Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Seraphina Grimshaw

Pages: [1]
1
Oui ? Non ? Peut-être ? Seraphina attendait patiemment sa réponse. Mais elle ne se faisait pas de soucis. Avec l'expérience, elle avait appris à mieux cerner les gens, et le fait que le terranide n'ait pas été choqué par sa suggestion était bon signe. Elle le toisa de haut, de son regard bleu imperturbable. Enfin, de haut... au sens figuré. Ce n'était pas du haut de ses 160cm qu'elle pouvait regarder qui que ce soit avec hauteur, encore moins le colosse qui se tenait face à elle.

- Y-yaah !?!?

Elle poussa un bref cri de surprise. En un instant, elle se retrouva soulevée de terre, plaquée contre le mur. Avait-elle été trop loin ? Un frisson d'effroi traversa son échine. La jeune femme était effrayée, mais pas paniquée. C'était son quotidien, de fréquenter des gens dangereux, voire le fond de raclure de l'humanité ou d'autre peuple à conscience. Néanmoins, sentir son souffle chaud sur son cou, la pression de ses crocs contre sa peau, cela donnait une toute autre perspective à la vie. Suspendue, elle ne disait rien, ni ne respirait plus, dans une attente angoissante.

Jusqu'à ce qu'il murmure les mots magiques. Après un discret soupir de soulagement, Seraphina put enfin reprendre son souffle. Son coeur battait la chamade. Était-ce de la peur, ou... de l'excitation ? Dans tout les cas, elle reprit bien vite du poil de la bête.

- Oho, je vois. Le chaton montre les crocs, huh...

Toujours maintenue en l'air, aussi facilement qu'une poupée de chiffon étant donnée son gabarit, elle ne se débattait pas, et se laisser aller avec le flow. Mieux, elle joua même le jeu, et s'installa plus confortablement. Elle enlaça le terranide, un bras à son cou, et les jambes autour de sa taille, croisées derrière son fessier. Avec une pointe d'insolence, elle posa l'index de son autre main sur le museau du lion d'un geste maternaliste.

- Oui, bien sûr, tu n'es pas UN animal.

Une petite pause, un sourire en coin, et elle ajouta.

- Tu es MON animal, héhé.

Elle avait voulu le promener plus longtemps dans les rues, s'amuser un peu a ses dépends ou ceux des passants, mais le réflexe animal de Mahès l'avait toute troublée. Et maintenant, elle avait envie de toute autre chose.

Elle fouilla dans la petite sacoche attachée à sa ceinture, et tendit à Mahès un petit trousseau de clé. Avec un ton malicieux et un sourire amusée, elle lui indiqua.

- Et là, la maitresse veut que son animal de compagnie la porte et aille la déposer chez elle, dans son lit. Avec délicatesse bien sûr, tu ne voudrais pas blesser ta nouvelle maitresse, mmh ? C'est au 6eme étage, porte à droite. Oh, et l'ascenseur est cassé.

Cela faisait bien 4 ans que l'ascenseur ne fonctionnait plus. A l'image du quartier, délabré et mal entretenu. Ce n'était pas le pire endroit de Tekhos, mais s'il y avait un classement, il y aurait matière à être nominé. Pour une employée, Seraphina était pauvre, et un petit appartement ici était tout ce qu'elle pouvait se permettre. Il y avait cependant tout le confort nécessaire, une cuisine-salon, une salle de bain, une chambre, et des meubles autour desquels il fallait slalomer pour se déplacer. Étonnamment (ou pas), tout était entretenue et bien rangé. Même si la décoration, par son absence, lui donnait un caractère assez froid et austère. A l'image de sa locataire ?

2
- Héhé, intéressant...

Dans son bureau, à la prison, Seraphina oscillait doucement sur sa chaise roulante. La lumière matinale filtrait difficilement à travers les rideaux de la fenêtre. Cet après-midi, un fourgon apportera une vague de nouveaux prisonniers. Pour pouvoir les accueillir dans de bonnes conditions, et prendre les mesures nécessaires, Seraphina parcourait les dossiers et se familiarisait avec chacun.

- Très intéressant...

Évidemment, le professionnalisme n'était pas la première motivation de Seraphina. Non, elle feuilletait les dossiers comme s'il s'agissait d'un catalogue, à partir duquel elle faisait ses courses. Et un profil attira toute son attention. Yzmir. Son dossier indiquait que c'était un homme, mais ses traits féminins laissaient planer une profonde ambiguïté. En tout cas, il était très mignon. Et la gardienne s'imaginait déjà mille et un scénario où elle pouvait abuser d'un si joli petit ange. Jusqu'à ce que, dans son esprit, une idée se démarqua de toutes les autres. Un sourire sadique étira ses lèvres.

Elle décrocha le téléphone a son bureau, et appela le poste de garde du bloc C.

- Oui, Flora ? C'est Seraphina. Peux-tu envoyer Viper à mon bureau. Oui, tout à fait, c'est une convocation. Merci.

Un moment plus tard, Viper entra dans la pièce. C'était un homme à la carrure large, 1m80, assez musclé, les sourcils épais, la voix rocailleuse, des tatouages de serpents sur ses avant-bras. Il était condamné suite à une longue série de viols, avec circonstances aggravantes, séquestrations ou violences. Même une personne comme lui était visiblement mal à l'aise devant la gardienne, se demandant pourquoi il était convoqué... et à quelle sauce il allait être mangé aujourd'hui.

- Bonjour, m'dame Grimshaw.

- Mhm. Ne t'assied pas, ce sera rapide. J'ai une mission pour toi. Nous accueillerons un nouveau détenu cet après-midi, un certain Yzmir. Vous serez tous les deux assignés au nettoyage des douches, ce soir. Tu n'auras pas de mal à le reconnaître : petite carrure, teint pâle, long cheveux blond, un air efféminé.

Elle lui montra la photo du dossier, auquel Viper réagit par un sifflement intéressé. Une pause, avant de reprendre, le sourire en coin.

- Je veux que tu le terrorise, que tu lui fasse regretter d'avoir atterri dans cette prison.

- Reçu 5 sur 5, m'dame Grimshaw, avec plaisir héhé ! Et avec une bouche comme ça, mmh ! Une p'tite bouche de salope qui d'mande qu'à s'faire violer, héhé ! Enfin... j'peux l'violer, hein ?

- Mmh...

Seraphina resta silencieuse, pensive, quelques instants, avant de hocher la tête.

- Oui, tu peux. Il est à toi, tu peux faire ce que tu veux de lui. Mais à une condition : interdiction formelle de l'abîmer. C'est clair ?

- Oooh ! Ouais très clair, m'dame Grimshaw ! Héhé, merci, j'vai-

Elle l'interrompit et lui fit signe de partir d'un revers de main.

- Oui, oui, c'est bon. Tu peux y aller.

* * * * *

Plus tard dans la soirée, Seraphina alla chercher les deux détenus, Yzmir et Viper, pour leur corvée. Après un passage dans le local d'entretien, récupérer seaux, serpillères et produits ménagers, ils allèrent dans les douches. Mais, au lieu de les surveiller, elle adressa un sourire à son complice, et s'éclipsa, hors de vue mais à porté de voix pour les entendre.

Il n'en fallu pas plus à Viper pour se rapprocher dangereusement de sa proie, jusqu'à le plaquer contre le mur carrelé.

- Mmh, t'es mignon toi. Et t'as de très belles lèvres, on t'l'a déjà dit ? J'parie qu'tu dois sucer comme une succube affamée, héhé.

Il regarda autour, le sourire en coin, pour appuyer la situation, avant de reporter son attention sur son co-détenu. Il lui caressa les cheveux avec un désir non dissimulé, le corps toujours très proche du sien, oppressant.

- On dirait bien qu'on est qu'tout les deux. T'en fais pas, ma belle, si t'es sage il t'arriveras rien, ok ? Allez, montre moi c'que tu sais faire avec ta bouche...

La main qui caressait ses cheveux se glissa fermement derrière la tête de l'androgyne. De son autre main, il dézippa son pantalon et en extirpa sa queue en érection, épaisse et nervurée. De gré ou de force, Viper comptait bien la lui faire goûter.

3
Seraphina observait silencieusement, croisant mentalement les doigts. La tension de la police était presque palpable. Elle ne doutait pas que sa petite histoire bien ficelée ait son petit effet, et qu'elle aurait gain de cause, mais au fond, tout était possible. Pendant ce moment de réflexion, qui parut durer une éternité, le terranide chuchota pour corriger son prénom. Elle balaya sa remarque d'un revers de main, comme s'il s'agissait d'un détail sans importance. En revanche, elle était assez rassurée de voir qu'il la suivait dans son histoire, et pour lui donner plus de crédibilité, elle le grattouilla doucement la crinière, comme elle le ferait à un chat.

Finalement, la police abonda dans son sens, et jugea que la situation n'en valait pas la peine. Le sourire aux lèvres, Seraphina acquiesça comme une bonne citoyenne, ravie que son histoire ait fonctionné. Ce n'était que le début. Maintenant, elle avait hâte de pouvoir récolter les fruits de son travail. Alors que Mahès allait répliquer, elle s'empressa de le faire taire. Ce n'était vraiment pas le moment de tout faire capoter !

« Oui oui bien sûr, madame l'agente ! Vous n'entendrez plus parler de nous, je m'assurerai qu'il ai bien retenu la leçon. Promis ! » Elle se tourna vers l'homme-ligre, et ajouta. « Allez Grosminet, sois gentil et excuse-toi. »

Comprenant que la tension était tombée, et que rien de croustillant n'allait se passer, la foule finit par se disperser, dans un brouhaha de propos mêlant indignation et déception. On apporta à Mahès de quoi se vêtir avec un minimum de pudeur, et Seraphina pouffa de rire en voyant le résultat. Les coutures menacèrent de craquer lorsqu'il enfila la tenue, manifestement trop courte et étroite pour lui. Remerciant une dernière fois la police, elle les salua et quitta la scène, en emmenant le terranide avec elle, lui tenant la patte.

Maintenant qu'ils étaient tirés d'affaire, c'était le moment pour la jeune femme de capitaliser sur la situation. Tandis qu'ils marchaient dans les rues, en direction de son appartement, elle lui expliqua la situation.

« Hé bien dit donc, on peut dire que tu as eu chaud. La police n'est pas tendre avec les petits délinquants, ici. Encore moins avec les étrangers. Ou les terranides. Ou les hommes. Alors si en plus tu cumules les tares... Tu aurais pu finir abattu sur place, ou placé en garde à vue. Et, honnêtement, je ne sais pas lequel serait le pire, la police a une définition très laxiste de ce qui relève de la bavure, pour les gens comme toi. »

Ils s'arrêtèrent à l'entrée d'une barre d'immeuble en mauvais état, des graffitis sur les murs, la porte tordue qui ne se fermait plus, la vitre cassée. Elle se tourna ensuite vers le terranide, et poursuivit.

« Comme je le disais, ça aurait pu très mal tourner. Heureusement que j'étais là pour toi... mmh, Nalas, c'est ça ? Qu'est-ce que tu faisais là, d'ailleurs ? »

Elle reprit ensuite le fil de sa conversation. Elle hésita à adopter une approche mielleuse, plus manipulatrice, pour l'inciter à obtenir de lui ce qu'elle voulait. Mais à première vue, Mahès lui paraissait être quelqu'un de plutôt perspicace, et honorable. Elle préféra donc jouer sur cette fibre, et adopter une approche plus directe.

« Si je suis intervenue, ce n'est pas par bonté de coeur, tu dois t'en douter. Quoique, peut-être un peu, je ne suis pas un monstre après tout... enfin. Tel que je vois les choses, tu as une dette envers moi. Je dirais même que je t'ai sauvé la vie, en un sens. Et, en retour, je ne demande pas grand chose. Disons, 24 heures de ton temps. Tu t'engageras à me servir, et devras inéluctablement m'obéir. 24 heures, seulement. Ensuite, ta dette sera payée, tu seras libre de retourner à tes aventures. Peut-être même qu'on te trouvera des vêtements adaptés pour éviter d'attirer la police une nouvelle fois, héhé. »

Seraphina lui sourit, son visage froid ne trahissant ni malice, ni bienveillance. Juste un sourire de circonstance, sincère.

« La réponse ne tient qu’à toi. Tu es libre de tes choix, et de leurs conséquences. Si tu acceptes, il suffit de me répondre "Oui, maîtresse". »

4
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mercredi 05 juillet 2023, 20:01:44 »
Et 10 !
Par les pouvoirs qui me sont conférés, je suis dans l'obligation de réquisitionner le corps de la prochaine personne. Ne résistez pas, c'est pour le bien de la nation. Promis juré.~ :-*

5
« Au revoir, Seraphina. Bonne fin de journée ! »

« Mmh, oui, salut. »

Seraphina salua sa collègue avec une relative indifférence, sans prendre la peine de croiser son regard. Elle n'avait pas d'affection particulière pour elle, mais pas vraiment d'animosité pour autant. Tout au plus, elle était légèrement irritée par son optimisme et sa perpétuelle bonne humeur. Mais ça restait tolérable, songea-t-elle. Sur le mur, dans un placard prévu à cet effet, elle rangea son trousseau de clé avec les autres. Puis elle scanna son badge, et un bip sonore lui signifia la fin officielle de son service pour la journée. La gardienne de prison pouvait rentrer chez elle.

Sur le chemin du retour, elle se perdit dans ses pensées. Sa journée avait été assez ordinaire. La prison était relativement calme, ces derniers jours, sans débordement. C'était une bonne chose en soi, après tout, mais Seraphina était quand même un peu déçue, car cela impliquait aussi que les opportunités de punitions étaient rares. Et c'était la partie de son travail qu'elle préférait. Elle soupira. Peut-être que si elle provoquait certains prisonniers...

Au détour d'une rue, des cris de foules la tirèrent de sa rêverie. Elle ne percevait pas de danger ou d'hystérie, mais manifestement quelque chose d'atypique était en train de se produire. Guidée par sa curiosité et par les bruits, elle se dirigea vers la source de ce brouhaha. De loin, elle ne pouvait pas manquer la vue d'un homme-lion, si grand qu'il surplombait la foule. Quelques coups de coude plus tard, elle parvint à se faufiler jusqu'au premier rang, et remarqua qu'une escouade de policières entourait le terranide, les armes dégainées et pointées sur lui. Mais qu'est-ce qu'il pouvait bien se passer ?

La jeune femme tendit l'oreille pour comprendre, et déduit assez rapidement qu'elle faisait face à un dialogue de sourds. Le terranide voulait des réponses à ses questions, visiblement un peu perdu, et les policières voulaient qu'il abdique à leur sommation. Le ton montait, et tout autour, une foule agitée qui se demandait comment tout cela allait se terminer, le téléphone dégainé et prêt à immortaliser la scène.

Une lueur de malice scintilla alors dans ses yeux bleus. Peut-être qu'elle avait un coup à jouer dans cette histoire... Brisant le cercle, elle s'avança vers les policières, levant les mains en signes d'apaisement. Avec sa tenue de gardienne, le képi sur la tête, et la matraque attaché à sa ceinture, elle espérait que cela donnerait un peu de crédibilité à ce qu'elle allait dire, au moins pour être écoutée.

« Mesdames les agentes ? Je m'appelle Seraphina, gardienne de troisième quart à la prison Lodestar. Il s'agit de mon terranide, hum... Grosminet. Je l'ai obtenu très récemment, et il ne s'est pas encore adapté à la vie à Tekhos. » se justifia-t-elle, en reluquant le terranide, nu de la tête aux pieds. Un beau spécimen, songea-t-elle, un sourire en coin, avant de poursuivre. « Je suis vraiment désolée pour tout ce raffut inutile, il n'est pas dangereux, vous savez ? Je dois signer une déposition, ou je peux le ramener chez moi ? »

Seraphina, un poil manipulatrice, s'était bien gardée de mentionner les autres options, comme la garde-à-vue. La jeune femme sourit aimablement, à qui elle pensait être la cheffe de l'escouade. Tandis qu'elle hésitait, ses deux autres collègues, tenaient toujours l'étranger en joue, pendant que le troisième, un homme qui n'avait pas le droit de porter des armes à feu, brandissait nerveusement une matraque télescopique. La foule commençait à montrer de bref signe d'hostilité, avec des insultes scandées comme "Sale homme-lette !" ou "Retourne dans ta niche !". Rien d'inhabituel, mais plus vite la situation se résolvait, plus vite la foule se disperserait. Et c'était à la police d'en décider.

6
Le coin du chalant / Des scénarios à Tekhos
« le: samedi 01 juillet 2023, 15:59:02 »
Quelques idées en vrac de situations pour un RP, que l'on pourra adapter à nos personnages et nos envies !

En prison
Que vous soyez un criminel aguerri ou victime d'une erreur judiciaire, peut importe, la sentence est irrévocable. Seraphina rendra votre séjour en prison... inoubliable. Ou alors, si vous rejoignez l'équipe disciplinaire de la prison, elle pourra vous montrer les ficelles du métier. A moins qu'un incident grave ne survienne, comme une émeute, ou un transfert de prisonnier qui tourne mal.

En ville
Tekhos regorge d'opportunités pour faire des nouvelles rencontres, que ce soit dans un marché, au comptoir d'un bar, au détour d'une rue peu fréquentable, voire pendant un événement particulier. La question serait plutôt, vers quelle relation cette rencontre mènera-t-elle ?

7
Prélude / Re : Moi, un ange ? Hé hé hé hé... nope. [Meowlidée]
« le: samedi 01 juillet 2023, 15:07:22 »
Hé hé, tout à fait Belphy, les opportunités de se défouler ne manque pas !

Merci ! :P

8
Prélude / Re : Moi, un ange ? Hé hé hé hé... nope. [Meowlidée]
« le: samedi 01 juillet 2023, 01:24:46 »
Merci ! ^_^

9
Prélude / Moi, un ange ? Hé hé hé hé... nope. [Meowlidée]
« le: samedi 01 juillet 2023, 01:06:36 »
Identité : Seraphina Grimshaw
Âge : 22 ans
Sexe : Femme
Race : Tekhanne
Sexualité : Bisexuelle

Physique : Il ne faut pas juger un livre par sa couverture. Combien de fois avez-vous entendu cette expression ? Sans doute beaucoup trop. Il n'en reste pas moins que c'est un conseil à garder précieusement en tête si vous croisez Seraphina.

C'est une femme d'une beauté troublante, presque malaisante. D'un côté, sa chevelure, noire de jais et relativement courte, encadre un visage doux, aux traits fins et au teint laiteux. Son apparence est presque angélique. D'un autre côté, ses yeux d'un bleu intense semblent presque transpercer les âmes du regard. Ses expressions ne laissent transparaître aucune chaleur, aucune émotion, seulement le froid glacial de sa personnalité. Le contraste est saisissant.

Sa silhouette forme un sablier aux courbes généreuses, particulièrement en son sommet. Deux arguments de poids pour ceux qui ne soutiendraient pas son regard. Seraphina est une femme athlétique, exerçant une activité physique régulière de par sa profession. Plutôt petite du haut de ses 160 cm, cela ne porte nullement préjudice à son charisme, s'exprimant et se déplaçant avec une assurance déroutante. En dépit de sa proximité avec le milieu carcéral, elle ne porte ni tatouage ni cicatrice. Son style vestimentaire étant plus proche de la femme fatale que de la bohème innocente, sa garde-robe est principalement composée de vêtements séduisants mettant son corps en valeur.

Caractère : Il ne faut pas jug...ah, non, ça a déjà été dit. En effet, derrière cette bouille d'ange, se cache une personnalité beaucoup plus sinistre.

Seraphina est profondément sadique. Elle affectionne l'humiliation et la torture, mais ce ne sont finalement que des outils parmi d'autres pour parvenir à sa fin : asseoir sa domination sur les autres, et se délecter de leur impuissances. Elle n'a aucun scrupule à se montrer cruelle et à abuser des plus vulnérables pour satisfaire ses pulsions. Après tout, c'est ce qui régit le monde depuis sa création, la loi du plus fort. Et Seraphina embrasse son rôle de prédatrice à 100%.

Cependant, c'est un tempérament qu'elle ne dévoile que face à d'éventuels proies. Plus généralement, cachant bien son jeu, c'est une personne qui parait gentille et bienveillante. Elle a une telle assurance qu'elle rayonne d'un aura de charisme imperceptible, comme si elle était maîtresse de la situation en toute circonstance. Une assurance sincère, mais qu'elle pourra difficilement feindre si elle est prise au dépourvu.

Elle a, inconsciemment, un sens de la hiérarchie très fort, et s'adapte au statut de son interlocuteur. Elle peut donc tout à fait se montrer amicale, respectueuse, voire serviable selon les circonstances. La légende raconte qu'un certain statut pourrait même valoir une forme d'affection de sa part. Mais, jusqu'à preuve du contraire, ce n'est qu'une légende...

Histoire : Il était une fois, à Tekhos, une femme et un homme travaillant dans une usine d'armement. Lui s'occupait de la basse besogne, manufacturant des pièces à la chaîne. Elle, était manager et s'assurait du bon fonctionnement de l'usine. Ensemble, ils se marièrent et eurent beaucoup un enfant. Seraphina. Malheureusement, alors qu'elle avait seulement cinq ans, ses parents ont perdu la vie dans un terrible accident à l'usine. Sans autre famille, cette tragédie la laissa seule et orpheline. Elle fut placée dans un orphelinat, rigoureux et austère, où elle grandit sans amour ni affection.

La vie à l'orphelinat était rude, et Seraphina était souvent la victime de harcèlement et de brimades de la part des autres enfants. Face à ces abus, elle développa un mécanisme de défense assez singulier pour mieux les supporter : harceler d'autres enfants en retour. C'est ainsi qu'elle commença à intimider et à tourmenter d'autres orphelins, ciblant les plus faibles avec lesquels elle pouvait inverser les rôles. Moqueries, vols de desserts, violences étaient à l'ordre du jour. Des manipulations aussi, accusant des innocents de bêtises qu'ils n'avaient pas commis, et se délectant de voir les intendantes de l'orphelinat les punir. Au fil du temps, les graines du sadisme germaient en elle, prenaient racine, jusqu'à devenir une part intégrante de sa personnalité.

Devenue adulte, et à la recherche d'un moyen de subvenir à ses besoins, Seraphina cherchait un emploi, en vain. Les emplois qualifiés étaient hors de sa portée, et les emplois peu qualifiés étaient trustés par les hommes, corvéables à merci. Jusqu'à ce qu'elle finisse par atterrir sur l'emploi idéal : gardienne de prison. La paie était misérable, mais les avantages très intéressants : détenir une position d'autorité sur des détenus, pouvoir les dominer et les humilier en toute impunité, en bref, être payée à faire ce qu'elle adorait.

En dehors du boulot, Seraphina vivait dans un appartement minuscule de l'un des quartiers les plus pauvres de Tekhos. C'était certes le grand luxe comparé aux ghettos pour hommes qui existaient ici et là, mais quand même. Elle vivait en solitaire, n'ayant aucun lien familial, et pas de véritables amis non plus. Un ou une petite amie ? Pas tout à fait. Disons plutôt, une collègue avec laquelle elle a tissé une relation... de domination / soumission, implicite et platonique. De l'extérieur, on pourrait croire que Seraphina la maltraite, tout simplement, mais celle-ci s'en contente avec plaisir. Et en l'absence de communication, chacune des deux perpétue le statu quo.

Derrière ce visage d'ange se cache une sadique, mais peut-être que derrière ce sadisme se cache un coeur capable d'aimer, qui sait ?

Autre : Non

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