Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Red King

Pages: [1] 2 3 ... 12
1
Le casque était retenue avec un clip, facile à retirer, mais encore faut-il l'attraper.
Je la suivis à l'intérieur, m'étirant en chemin. Sa faisait du bien de se stopper, tirer les jambes et le dos.
Elle prit du chocolat chaud, cela me fit sourire, c'était un peu enfantin, mais j'évitais de rajouter de l'essence dans notre "relation". Je me servis plutôt un thé froid. Et ce fut... Tout. Soudain elle me parla des toilettes, j'haussais un sourcil, je n'avais pas besoin qu'elle m'en parle.

J'allais lui répondre quand soudain je tilte.

- Ah oui... le lien.

J'en soupire et lui fait signe d'avancer, me disant que sa, c'était le début des emmerdes. Je me posais ainsi le long du mur des toilettes, à deux mètres de la porte. Espérant que la distance devrai aller, si du moins cette sorte de "fil invisible" traversait aussi le mur, sinon ce serait cinq dix ? mètres au sol. Bien moins moins qu'en ligne droite.

Elle n'avait pas apprécier ma réaction, bah moi je n'appréciais pas franchement devoir m'approcher ainsi des toilettes pour femme. Je pris donc mon tel et fit de nouvelle recherche sur le couple. Quand je sentis mon poignet se faire tirer, je grognais énerver et ne voulant pas faire d'elle une furie, glissais contre le mur jusqu'à ce que cela aille. Les femmes me jetaient des regards, mais dès que je relevais le mien, énerver, se taisait.

Heureusement, elle ne tarde pas à sortir, sentant le lien se détendre, je m'éloigne déjà pour éviter qu'on ai l'impression que je la stalke et me retenir de la prendre a parti aussitôt.

Dès que je la vois sortir, je lui fais signe. Une fois proche, au lieu de l'emmerder sur cette "longueur" de lien problématique. J'entre sur le dur du sujet.

- Bon, on peu parler un peu de cette histoire. Tu t’y connais en malédiction ? Tu connais des lanceurs de sort ?

Elle soupira et m'apprit à ma grande surprise qu'elle fut elle-même une victime d'une malédiction, bien que j'en fus plus curieux. Je ne voulais pas qu'elle se renferme et passa à autre chose.

- En effet, ainsi soit on va voir les derniers maudit, soit on cherche des infos sur cette malédiction. Enfin… sa c’est si on savait ou avoir des infos. Je ne mis connaissais guère en "bibliothèque" magique, surtout sur Terre. Mais peut-être en aurait-elle ?

Et... non. Elle continuai sur notre lancé la plus sur, les descendants.

-C'est le plus sur. S'ils avaient vécu ensemble durant des années, on devrai en apprendre plus ou moins, sauf s’ils n’étaient aucune mènent curieux de leur situation.

Réfléchissant en parallèle, je m'éloigne pour acheter une bouteille d'eau et reviens ensuite terminé cette discussion.

- Bon sinon, on sait pas combien de temps sa va nous prendre pour cette histoire. Tu me parle un peu de toi ?

Je lancais en espérant qu'elle se mette à dire ce qu'elle voulait et... non. Elle voulait que je la questionne, moi qui n'était pas des plus sociables.

- Humm… t’es riche ? C’est de famille ? Un travail ?

Je voulais laisser de côté mon jugement ou le confirmer d'ailleurs, à son propos. Fille à papa ?
Et sa réaction fut plus vive, n'appréciant guère, je ne l'interromps pas malgré la méprise... quoi que si, c'était un jugement indirecte, mais un jugement.

- je te juge pas. Je cherche simplement un sujet de discussion. Mais je trouve sa mieux que « ta couleur préférée ». Tentais-je de calmer la situation.

Ce à quoi elle plaisanta ? Je rigole à mon tour.

- Je ne l’aurais pas deviner. Du coup… tu dois beaucoup t’aimer. La taquinais je avant de reprendre. Disons que j ai pas mal de casquette, je suis mercenaire, garde du corps, détective privé. Chasseur de prime. On va dire que j’aide les gens à retrouvé des objets… ou personne disparu.

Vue ainsi, j'étais la personne parfaite pour notre situation, mais... me manquais pas mal d'info pour commencer ma recherche.

- Oui… même si en générale je sais qui je dois retrouvé et j’ai un peu plus d’infos qu’une histoire datant de… J’haussais un sourcil en tiltant sur un point. Y avait pas de date… disons de plus de cent ans. Faut vraiment trouver des infos sur ces deux là. S’ils proviennent d’ici.

Je devais trouver les bonnes question pour trouver les bonnes réponses. Je pris mon temps pour revenir à la question suivante, sur mes origines familialles indirectement.

- Non suis orphelin de guerre. Et toi ?

N'ayant pas de honte à cela, ni de gêne, je balancais sa. Et sa réponse... était similaire ? En tout cas, plus de parent. Je reste silencieux… dur à reprendre la conversation

- on y va ? On pourra continuer sur la route à papoter

Changement de sujet, elle me suivit et nous sortires, je lui montrais le clips et me remis en selle, avant de repartir pour quelque heure de route.

2
On peu mettre la tenue pardessus des vêtements, par contre on en vite chaud. Moi je me déshabillais donc pour la mettre et être un peu plus tranquille. Ainsi fait, j'attendis qu'elle me dise avoir terminé pour me retourner vers elle. Sa la moulait plutôt bien d'ailleurs... Mais là n'était pas la question.

- Je monte et tu te mets derrière moi.

Sans franchement attendre de retour, je pris donc position sur la moto et termine.

- Imite moi, mais mets tes bras autours de mon corps, comme pour m'étreindre.

A ce moment donné, je ne connaissais pas les effets de notre "malédiction" face à nos contactes. J'attendis donc tranquillement qu'elle me rejoigne avant d'allumer le moteur. Je sentis sa proximité et bientôt ses bras passèrent autours de moi, ne me tenant pas franchement, mais sa irai tant que je ne fais pas de grosse accélération. La sentant dans mon dos, mon coeur sembla légèrement accélérer ? Ou c'était l'exaltation d'une nouvelle aventure ?

Elle me lança enfin un "prête" et le moteur vrombit, inutile de dire que maintenant on ne s'entendrai presque pas, les casques ayant un concel-noise, le bruit était bien diminué... mais aussi nos voix toutefois.

Talk : Si tu veux me parler, le casque à un système pour. Tu dis "talk" avant de parler, tant que tu parle il continue de partager, si tu attends, il coupe la communication.

Elle pouvait donc m'entendre, directement dans le casque, et inversement.
Le moteur en marche, je lançais la moto en suivant le GPS, et... bon sang, on arriverai demain. 15 heures de route, on devrait prendre le train en fait ? Malheureusement après une rapide vérification, on avait aussi 12h de route à cause des changements de train, autrement dis... s'arrêter, reprendre, changer, un truc chiant. Et puis un long tripe en moto... c'était pas mal !

Je la sentais tendus dans mon dos, me forçant à éviter de zigzaguer ou dépasser trop souvent les voitures en ville.

Talk : Une fois sortis de la ville, on sera moins secouer. Tu veux qu'on roule tous de suite jusqu'au plus tard ou on s'arrête pour manger ?

Je n'avais pas encore faim, mais il était pratiquement midi, donc ça pouvait attendre, mais autant se mettre à la même page, surtout si elle avait besoin d'aller au petit coin !

La réponse de Anna n'est... pas des plus claire, quoi que ma question n'a pas été bien formulé. Je rigole, ce qu'elle n'entendra.

Talk : Très bien. Profite du paysage alors, parce que l'on en a pour un petit moment !

En dix petites minutes, nous sommes sorties de la ville et j'accélère. Le côté pratique du casque audio, les décibels, si jamais elle crie par peur de ma conduite, le volume sonore est bloqué à un maximum pour éviter de me surprendre et de me faire peur. Donc au moins on ne peut pas s'engueuler.
Chose qu'elle découvrira rapidement, les sensations entre voitures et motos sont... incomparables ! Tu vis les mouvements, la trajectoire, tu sens le vent contre toi. ... Et tu double pas mal de voiture. Oui, le poids étant plus léger, une meilleure accélération et respectant presque les limites de vitesses, je dépasse régulièrement des voitures.

Je reste pas mal concentré, heureusement, les autoroutes sont longues avant de changer, ce qui me permet de regardé autours de moi et d'apprécier le paysage moi aussi. Les couleurs changent, les collines sont montés puis descendus, pour le moment elle peut apprécier des routes simples, pas de gros virages ou de traverser de montagne, en hauteur.
Et au bout de deux heures, quatorze heures à passé...

Talk : J'ai besoin de me dégourdir les jambes, ont va s'arrêter, pour boire, manger un peu.

Je me retiens de rajouter "vider la vessie" pour rester polie mais je rigole discrètement tandis que l'on ralentie en entrant dans une aire. Je fini par nous garer et après m'être relever de la moto, glousse en la voyant peiner à retirer son casque. Bon au moins il est bien attaché, je l'aide et range les casques.

- Petite pause, on mange sur place, on prendra tout le nécessaire sur place ou quand on a besoin. La prévins-je tout de même, qu'elle ne fasse pas un sac de nourriture encombrante qui irai cramer sous la chaleur.

3
Je posais donc des questions pour comprendre ce qui se passait, les effets, conséquences et l'origine de tout ça. La jeune (et belle) femme intervint en parlant d'un coup de foudre, trouvant que c'était beau. ... La seconde d'avant elle était folle de rage, mais ça va si c'est une histoire d'amour ?
Je me retenu de tout commentaire, la regardant un peu, curieux. Puis reparti sur le vieux et... ce fut peut-être une erreur de lui rentrez rapidement dans le lard.

S'il n'avait rien à cacher, il nous aurait répondu, là... on fut mis dehors. Il avait un lien pour sur, avec cette histoire !
Je balayais la fumée autours de moi, reconnaissant la ruelle, il avait changer de dimension ? J'en grognais de frustration.
La femme, Anna, déterminé à avancer, pris le pas, je ne réalisas que tardivement ce qu'elle pensait et fut tirer d'un seul coup, par une "corde" invisible, venant m'étaler au sol en ayant perdu mon équilibre. Elle se moqua de moi tandis que je frottais mon nez, heureusement pas cassé, mais il avait pris un coup.

- Aouch...

Cela confirmais une chose, on ne pouvait s'éloigner et... je n'avais pas envie de vérifier ce qui se passait si nous étions tire malgré nous par la distance, genre deux voitures en sens inverses. Là on tombait, mais si cela faisait l'effet de corde en acier... je ne donne pas chère de notre peau.
Ne perdant pas le Nord, et peut-être pour ne pas en remettre une couche, elle me lanca sur l'adresse et sa question sur le moyen de déplacement.
Mon nez rougis par la chute, je regardais Anna en me rapprochant d'elle, me grattant la nuque.

- Vous me demandez ça parce que vous en avez un ? Où le contraire ?

Je passais à côté d'elle, en tachant de ne pas aller trop loin, je n'avais guère envie de m'étaler de nouveau, me rapprochant plus de la route et du parking. A mon passage, elle sembla me regardé... méfiante ? En tout cas sa réponse manqua de me faire éclater de rire lorsqu'elle sorti son téléphone... pour acheter une voiture. Une fille à papa quoi.

- Garde ton argent pour plus tard, on ne sait jamais. J'évite de la regardé pour garder ce petit sourire un brin moqueur. Viens par là. L'obligeais-je un peu en pointant la zone des véhicules motorisés. Tu as déjà monté une moto ?

Lui tournant le dos, je m'approche d'une moto rouge à éclair noir, dont je sortis deux casques avant de lui faire face pendant qu'elle me répondit, lui en tendant dans tous les cas. Sa réaction... On va pas être dans la mouise. Elle n'a jamais monté une moto... ça commence bien. Pire, lorsqu'elle regarde le casque, soit elle le trouve jolie, soit...
Je lui arrache le casque et lui met de force sur la tête, un brin agacé par la situation.

- Je n'ai pas envie de perdre de temps à ce que tu achète une voiture, donc oui, on est obligé. Allez enfile ça.

Je prenais alors une tenue de motard femme et lui enfila, forçant pour qu'elle se dépêche et ne cherche pas à résister. Le zip de la veste mis, je lui donnais un pantalon de sécurité pendant que moi-même je me déshabillais en parti pour mettre ces vêtements de sécurité, qui tienne chaud, mais ne sont pas à prendre à la légère, je n'ai pas envie de finir brûler au 5ième degrés par une mauvaise glissade qu'elle m'aurait faite faire.

4
Je tentais au moins de nouer un lien, parce que d'après ce que j'entendais, nous allions être lié d'une manière peu conventionnel. Je n'ai pas dis que je souhaitais faire bonne impression, mais au moins savoir comment on se nomme, afin d'éviter de l'appeler "Miss Green" pour ses cheveux verts, ou encore "hey toi".

Elle me fixait et après un instant, fini par me répondre, en s'excusant même. Signe comme quoi elle pouvait reconnaitre ses tords, bon à savoir ! Lui tendant la main, nous la serrions et... presque comme si je l'avais brûlé, elle retira sa main, choquée ? Puis découvrit un tatouage, que, en vue de sa réaction, ne portait pas, je levais donc mon poignet, confirmant la ressemblance... Oui, nous étions bien lié maintenant.

L'homme revint avec des informations... ma foi assez limité. Un peu comme une personne qui ne s'intéresse pas vraiment à cette histoire. C'est là que c'était louche, Anna était un peu trop choqué pour le réaliser. Mais il semblait avoir plus d'information que ça, je regardais rapidement sur internet si les infos donné, nous apporterais quelque chose d'utile.

Le couple en question possédait une galerie d'art à Okinawa, enfin... Leur enfant ? Vue qu'eux étaient morts... Il le savait donc, mais comment ? Il s'en était informé ou... Mon regard revint sur le coffret que je soulevais et regarda dedans. Il était maintenant vide, par contre, il y avait un double fond et derrière celui-ci. Un sceau magique qui semblait actif, mais ne rien faire... pour l'instant. Quoi que j'en devinais presque l'utilité. Je me retournais vers le comptoir et lui montrai l'intérieur.

- Bon, il va falloir m'expliquer quelque trucs... Si vous savez que ce coffret était maudit, pourquoi le gardez vous en public et pourquoi la malédiction serait de retour alors qu'elle a déjà fait des victimes. Je le fixais l'air sévère, il sourit et se posa confortablement sur sa chaise, comme s'il allait nous raconter une histoire.

- La malédiction est contenue dans ce coffret et reviendra tant qu'elle n'est pas allez jusqu'au bout de sa mission.

- Qui est ?

- Impatient va, tu me coupe en pleine explication. Gromella-t-il, je me retenue d'en remettre une couche et l'écouta. Lié deux âmes entre elles. Même si je ne suis pas bien sûr de ce que cela signifie. Haussa-t-il les épaules.

- Vous connaissez le nom de la malédiction et savez comment elle fonctionne. Expliquez moi comment c'est possible. Il nous cachait encore des choses...

- C'est écrit à l'intérieur. Pointa-t-il le coffret.

Je fus surpris et regarde, mais... rien. Fronçant les sourcils, il rigole et pointe nos poignets. Rapprochez vos mains, le texte apparaitra.

Oh, un truc qu'on n'aurai fait par pur hasard quoi, après un soupire, je proposais à Anna d'approcher sa main et en effet, un texte en argent s'inscrivit à l'intérieur.

"Dès que nos regards se sont posés l'un sur l'autre
J'ai su que nous étions fait pour être ensemble
Nous voici éloignés par les nôtres
Mais cette Amour nous rassemble
Et ce pouvoir nous unira
Aux travers de nos Âmes
Le Destin nous ramènera
Scellant notre vie sans lames"
- Roméo Amor à Juliette Philiandre


- Amor Philiandre... Amorphiliandre. Voici donc pourquoi ce nom. C'est un peu mélodramatique comme poème. Mais le but n'est pas bien clair pour autant... Il c'est maudit avec la femme qu'il aime ? Forçant une relation ?

- Je ne sais pas, soit il ne se rendait pas compte, soit il n'était pas au courant du mauvais sort. Répondit le vieil homme.

Je réfléchissais à ce que je venais d'apprendre, un détail me revint alors.

- Vous dîtes que la malédiction revient, mais comment le savez-vous ?

- Et bien, à chaque fois que le coffre se refermait. Je découvrais que le "couple" formé était mort, ensemble. Je crains que si l'un meurt, l'autre le suive.

Cette nouvelle n'était pas réjouissante, mais quelque chose d'autre me titillait... mais quoi ? Son air calme malgré la situation ? Se moquait-il de nous ? Comme si lui ne craignais rien, comme si lui... Attendais quelque chose. Posant le coffret sur le comptoir, je le fixais durement. Il avait habillement esquivé une question... Alors je la remettais sur le tapis.

- Pourquoi le coffre n'est pas enfermé, détruit ? Vous ne seriez pas en train d'attendre... le grand Amour ?

Il allait répondre quelque chose, quand son visage eut l'air d'être plus serein, voir même, triste ?

- Montrez-le moi s'il existe.

Et avant que je n'ai pu dire quelque chose, un brouillard épais monta dans la boutique et s'effaça tout aussi rapidement. Pour nous laisser en dehors de la boutique, dans la ruelle... qui maintenant terminait sur un cul-de-sac.

- Putain il nous a eus !


5
J’écoutais ce vieil homme, essayant de comprendre ce dont il se moquait et la réponse… me fit rire intérieurement. En bon dieu du chaos voilà un événement chaotique, mais je ne devais pas le laisser allez. Le chaos est toujours pour nous forcer a avancer et ne pas rester sur nos acquis.

Reste que tout le monde n’en n’a guère envie. Beaucoup s’en plaigne et ne feront rien, sauf fuir.
Bon là apparement on ne pouvait pas… se fuir l’un l’autre en tout cas. Du moins c’est ce qu’il disait je n’avais rien vue.
Toutefois… je n’appréciais guère qu’il se doute de nous et qu’en plus il garde la malédiction à vue d’œil. Même pas cacher.

- Donc vous aimez bien piéger vos clients ?

- Oh non, la malédiction ne s’active que si deux personne là touche en même temps. Sa n’arrive presque jamais, le dernier datait d’il y a dix ans.

Je l’aurais bien attrapé par le col, mais quelque chose me disait que si je l’agressais, il ne nous aiderais pas.

- bon ok personne n’a gagné contre cette malediction. Mais elle vient bien de quelque part. Ce genre de magie a toujours une histoire, c’est de la qu’elle tire ta force et permet de perdurer encore longtemps après la mort de son lanceur.

Non intentionnellement je ne m’occupais pas de la jeune femme, du moins pour l’instant. Un peu trop agacer par cet homme qui se moquait de notre destin, ou qui croyait en celui-ci, et se disait que c’était une bonne chose ?

- Humm… il faut que je vois mon registre pour pouvoir vous donner une piste. Je reviens, en attendant faite connaissance.

Avec un grand sourire il nous laissa en allant dans l’arrière boutique. J’étais à deux doigt de l’interdire de s’en aller, mais c’était sa boutique, il n’irai pas loin. Non ?

Je me tournais alors vers la femme et la fixe un peu mieux. Elle était jolie, mais sur la défensive. Normal vue la situations. Après un soupire, je pris l'avant de la conversation.

- bon… on pourrais reprendre depuis le début alors. Enchanté, je me nomme Ruy Asekura. Et vous ?

6
La boutique n'était pas immense, et les objets assez variés. J'étais sur de pouvoir trouver ce qu'il me fallait afin de répondre à la demande.
Mon regard voguait un peu partout, avant d'atterrir sur une boite qui, je le sentais, était spécial. J'y ressentais une faible magie s'en émaner et m'en approcha. Restant un peu à distance, j'observa la boite, finement décorer avec un sigle ma fois fort intéressant.

Non pas un, mais deux serpent, ce mangeant la queue en un huit pencher, soit le signe de l'infini. Je me demandais maintenant ce qu'elle renfermait et m'approcha pour la prendre. Au même instant, une chevelure verte eut la même idée que moi et attrapa l'autre poignet.
Tout se passa en une seconde, la boite s'ouvrit et la magie contenue dans le coffret s'en échappa, nous frappant tout les deux au passage.

Avec mon expérience, je roulais pour me stabiliser un mètre plus loin. La chevelure verte, que je voyais mieux maintenant était une jeune femme aux physiques des plus élégants, séduisant. Si elle aurait pue être d'une grande beauté, sa réaction fut... Tout est de ma faute. Ce qui me fit hausser un sourcil, une réaction plutôt agressive et me considérant en tort à cause d'un souffle magique... La surprise lui a fait perdre toute notion, à moins qu'elle n'en n'ai aucune à ce sujet là.

Je n'avais guère envie de m'énerver pour cela et ne lui retorqua rien, venant plutôt me gratter les cheveux.

- Hein ?

Quelque chose venait d'attirer mon regard à mon poignet gauche. ... Un tatouage que je n'avais pas fait faire, celui d'un serpent entourant mon poignet. Certes il m'était arrivé de boire un peu trop et d'oublié la soirée, mais ce matin encore, je n'avais pas ce tatouage. Je l'observais, quand soudain, mon poignet fut tirer sec vers la porte d'entrée, manquant de me faire tomber, alors que j'entendais un petit cris de surprise. En sortant du rayon, je vis la femme qui se tenait à l'encolure de la porte, comme pour se rattraper.

- Oh... je vois que mes chères clients ont étés réunis par le destin. Fit une voix un peu enraillé, mais au ton guilleret.

Je me retournais et vit un vieille homme fumant la pipe derrière son comptoir, souriant amuser visiblement. Je m'approchais donc pour avoir un peu plus d'explication.

- De quoi parlez-vous ?

- Vous avez ouvert à deux le coffre d'Amorphiliandre. Et vous êtes victimes de sa malédiction maintenant. A vous la vie à deux. Rigola-t-il ne se sentant pas du tout concerné par ce qui se passait.

Ce nom ne me disait rien et de quelle malédiction s'agissait-il ?

- Vous pourriez être plus précis sur cette "malédiction" ? M'agaçais-je en jetant un coup d'oeil au coffret encore au sol, ouvert sur un intérieur... vide.

7
La vie d'aventurier avait ses hauts et ses bas, il n'y a pas toujours de mission trépidante, on passe de la cueillette d'herbe à sauver un chat coincer dans un arbre. Tuer des gobelins à affronter un troll des cavernes, et plus effrayant, une manticore. Ce que j'aime dans ce métier ? On ne sait jamais ce que nous réserve le lendemain, c'est moins chaotique qu'une guerre, mais il faut savoir se reposer de temps en temps.

Et... Ce n'était pas pour aujourd'hui, la mission que j'avais me faisait beaucoup rire. "Trouver un cadeau pour notre anniversaire de mariage", vous le croyez vous ? Une personne avait trop la flemme où le manque de temps pour aller chercher un cadeau pour sa femme/mari ? Evidemment, la requête était anonyme, alors bon... déjà trouvé un cadeau n'est pas toujours facile, mais quand en plus on a que peu d'instruction...

C'était les trois ans de mariages et pour la femme de Mr/Mme inconnue et qu'elle ne désirait pas de bijoux, ou de fleur. ... En toute intelligence, j'aurais du prendre une autre quête, mais vous savez quoi ? Je l'ai prise pour voir la mine défaite, confuse du commanditaire. Pour tout vous dire, ma première idée fut une plante carnivore, sa change des fleurs ! Mais la guilde avait refuser aussitôt ma proposition... Même pas drôle.
Je ne pouvais décemment pas choisir une bricole au hasard.

Alors je faisais le tour du marché, de la nourriture, non, des jouets pour enfant... C'était tentant, s'ils n'ont pas d'enfants ou si elle n'est pas enceinte, le visage confus, voir suspicieux serait parfait, mais je n'étais pas satisfait. Les bijoux non plus... Plus compliqué que prévus et un livre, sa coûte chère à produire, donc trop peu d'histoire intéressante.
En terminant mon tour, je tombais sur une petite ruelle, menant à un antiquaire, franchement, il avait si peu de visibilité, que je me demandais s'il arrivait à survivre... Un loyer pas chère ? ou le propriétaire du bâtiment et de la boutique en même temps.

"Once in Life" jolie nom de boutique, même si le niveau d'alphabétisation de ce monde restait trop bas pour que beaucoup ai pu le lire. Toutefois, la pancarte était intrigante, un triangle avec un cercle à l'intérieur barré en son centre.
Je sentais rien qu'en m'approchant, l'aura mystique du lieu, sûr que j'allais trouvé la perle rare !

J'ouvris la porte et un carillon au son cristallin, rappela ma présence au vendeur, "observer, écouter et vous trouverez ce dont vous avez besoin." fit une voix provenant de plusieurs endroit, tel un écho. Une légère brume au sol et une luminosité orangé, vraiment une ambiance... mystérieuse. J'étais ravie de ma venue et me mis à faire le tour des étagères, il y avait de tout, des objets banals à ceux plus intriguant qu'on dirait aisément provenant d'une cabane de sorcière.

Ainsi que ce coffret à deux poignets, sur un piédestal qui m'attirait, j'en sentais la magie et m'approcha lentement, oubliant ce qui m'entourait ainsi que l'entrée d'une autre cliente.

8
Ville-Etat de Nexus / Re : Mais....Tu es un intrus? -Red King-
« le: dimanche 28 janvier 2024, 10:02:43 »
J'étais surpris par notre compatibilité intime, était-ce parce que nous étions tous deux des lapins ? En tout cas, sa féminité semblait épouser parfaitement la forme de mon érection en elle. Je n'étais pas à sa place, je ne pouvais être sûr, mais mon sexe glissait en elle avec aisance, ce qui me donnait des fortes sensation !
Et j'aurais certainement continuer si les deux vieux n'étaient pas dans les parages... Heureusement, Zola était pour que la nuit ne s'arrête pas aussi tôt !

Je me dépêchais ainsi de la ramener à ma chambre, trop impatient pour me laisser guider à la sienne. A peine entrée, et la porte refermé, que je jetais mes habits sur une chaise et retira mon peignoir. J'étais vraiment un chaud lapin... Je craignis pendant un instant que mon approche fut trop rapide, mais je bandais tant que c'était difficile à retenir !

Heureusement, Zola, se déshabilla à son tour avant de me sauter dessus, je l'étreignis d'une main et posa la seconde sur son pompon. Répondant avec passion à ses lèvres. Hors de l'eau nos corps nues pouvaient mieux se frotter, et se ressentir. Sa chaleur et son doux pellage, sa main sur ma carotte... Ma langue vint chercher la sienne, alors que je me mis à caresser son pompon.

- J'ai tellement envie de toi Zola... de te prendre partout. De te faire jouir sur ma queue, de baiser ta bouche... Lui sussurais-je entre deux baisers.

Ma main glissa alors de sa petite queue à sa féminité que je vins frotter de ma paume, m'amusant à faire entrer une phalange, sans aller plus loin, puis la ressortir et la rerentrer. Oh cette nuit... Zola allai bien la sentir !

9
Ville-Etat de Nexus / Re : Prise la main dans le sac -King Red (Atem)-
« le: jeudi 18 janvier 2024, 09:56:54 »
Sachant qu'elle venait tout juste de me voler... que je la laissais tranquillement faire le tour de la maison. Si elle me volait immédiatement, elle perdrait toute ma confiance. Si elle le faisait sur du long terme, je le verrais moins. Mais le fera-t-elle vraiment ?
Je sais que lorsqu'on est poussé au "pire" on ne le fait pas par plaisir, alors si quelqu'un vous donne sa confiance, le trahirez vous comme même ? Au vous donnerez vous à 100% afin d'être à la hauteur de cette confiance ? C'est ce que je voulais voir avec elle !

On se retrouvait au salon, son regard pétillait, elle semblait avoir apprécier la visite et acceptait le job. Est-ce mon esprit lubrique ou ses mots qui me firent penser autre chose ? Me voilà avec une idée de plus. Que j'arrivais finalement à modifier dans ma tête pour avoir quelque chose d'un peu plus "neutre".

- Ravie, je me nomme Atem et toi ? J'attendis sa réponse et repris. Enchanté Shizuka. Bien, du coup pour le travail, tu peux me dire tes conditions. Voici ce que je peux te proposer et tu me diras ce que tu préfères.

Je l'invitais à s'asseoir en face à face  à table, lui souriant charmeur. Tentant de me mettre bien pour elle, lui faire baisser sa garde et savoir à quel point elle serait suspicieuse à mon égard ou non.

- Ton d'abord, comme tu vas travailler ici, voici le travail proposer. Ranger la maison, faire la lessive. Je te paierais 2 pièces d'argent par jour pour ça. Si tu sais et veux faire la cuisine. Ce sera 5 pièces d'argents, toutefois, si tu manges avec moi, ce sera 4 pièces. Si tu désire loger ici, pour x raison, alors je descendrais à 2 pièces d'argents, mais tu vivras au chaud et sera nourrie. Si cela ne te gêne pas, tu auras le choix entre le canapé ou avec moi, dans mon lit. Plus confortable, mais avec moi dedans. Lui souriais-je faussement embarrasser. Evidemment, tu peux à tout moment changer de "formule", comme tu peux commencer à juste faire le ménage et plus tard décider de vivre ici.

Voilà, tout est dit, a elle de voir dans quelle condition elle voudrai travailler et vivre. Avoir plus d'argent, mais garder une vie difficile, car se loger coûte chère. Où être payé moins, mais... avoir presque une vie de couple, que je tenterais d'ailleurs d'instaurer petit à petit.
Par quoi allait-elle se laisser tenter ?

10
Les bas fonds / Re : most wanted - ft Willow Shade
« le: jeudi 18 janvier 2024, 09:34:54 »
J'observais face à moi la pyromane, elle faisait de son mieux pour rester calme, respirant profondément. Elle devait y être un peu accoutumée pour ne pas paniquer. Cela me rendait un peu plus curieux encore sur elle, finalement, j'entendis même son prénom, bien que murmurer, ce fut des plus audibles pour moi. Je n'ai pas de longue oreilles pour rien !

Willow donc, se rendait bien compte que, bien que libre, ce n'était pas sans danger de part et d'autre. Elle tentait discrètement, et vainement de retirer le collier, mais c'était de la bonne qualité ! Le problème d'un collier d'anti-magie de piètre qualité, c'est que si quelqu'un à assez de magie et tente de le retirer... C'est que cela accumule la magie jusqu'au point de rupture et... explose !

Il y a eut quelque mort misérable ainsi, autant du porteur, que ceux pris dans l'explosion magique ! Mais pas celui-ci ! Ce serait trop stupide de privilégier la quantité, à la qualité et de risquer de perdre des clients ou mêmes des filles/hommes de nuit.

La femme ne me quitta pas du regard, regardant parfois mon bas, avant que je ne sorte mon mandrin. Et ses jolies joues rougissantes, se mordillant la lèvre, elle pourrait dire ce qu'elle veut, elle ne semble pas insensible à ma grosse carotte !
Elle me fit alors rire avec un commentaire dessuait dans ce lieu.

- Si tu voulais être sage, fallait pas venir brûler du matos ou descendre dans ce trou à rat. La narguais-je

Et avant qu'elle ai pu me rétorquer quoi que ce soit, j'agrippais son poignet droit et la tirait vers le bas. Perdant l'équilibre, elle tomba sur ses genoux, qui furent amortie par mes pattes, positionner expressément pour éviter qu'elle tape le sol dur et froid de la pièce.
Si elle aurait pu apprécier ce "douceur", elle était maintenant à genoux devant mon entrejambe et...

J'attrape finalement sa chevelure, pour l'approcher de mon pénis, lui faisant frotter son visage contre. Ce qui eut pour effet de me rendre encore plus dur et chaud, avec un sourire sadique.

- Je vais te montrer que je ne suis pas un lapin sage ou patient.

Par là, je lui avais laisser sa chance, chance qu'elle n'avait pas prise et maintenant, j'étais bien décider à me faire plaisir. Plus elle résisterait, moins ce serait agréable, alors autant qu'elle se laisse aller et passe une nuit des plus mémorable !
Pour le moment j'étais encore doux, et je ne voulais pas vraiment la violenter, mais si je devais forcé un peu pour qu'elle se lâche, je ferais. Sinon... j'utiliserais la petite surprise du collier...

- Allez, joue avec Monsieur le Lapin Tyler, ou sinon je vais devoir me forcer à toi. Lui lançais-je donc un dernier avertissement, la regardant chaudement, mon sexe cachant une partie de son visage.

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Place publique / Re : C'est moue tout ça - ft Kana
« le: jeudi 18 janvier 2024, 09:01:45 »
Difficile de dire la nuance entre le fait d'être intriguer par mon trait de caractère et le danger, ou la curiosité, voir simplement le défi pour continuer de me teaser ou se moquer de moi. M'enfin bon, tant que je m'amuse !

J'avais donc lancer un défi de différent style et non de couleur, ce qui n'avait pas forcément été compris à cause de ma petite remarque sur le rose. Une bunny noir ou bleu aurait peut-être été mieux vue d'ailleurs... Pas sûr, mais tout de même moins sceptique que ce rose jurant avec sa belle fourrure. Alors oui, je sais que marquer un contraste peut aller. Mais... A la limite ce serait plutôt des touches de rose qu'une tenue complètement rose du coup !

Je fus donc ennuyer de la voir aussi rose, sûr d'elle. Mais... rien n'y fit, je me tâtais entre la sincérité ou la caresser dans le sens du poil. Finalement... je pris la sincérité et son sourire s'estompa, ne désirant pas "l'humilier" plus (si tel fut son sentiment), j'allais prendre congé.
Toutefois... elle me stoppa, me fit me retourné.

- Hein ?

Et avant que je n'ai pu poser la moindre question, m'embrassa ! D'abord surpris, je ne tardais point à répondre à son baiser, nous collant l'un à l'autre, mes mains se posant sur ses hanches. Je sentis sa bouche s'ouvrir et un petit bout de langue venir chercher sa comparse, faisant de même. Ce fut un balai langoureux entre nous, je l'agrippais alors plus fermement et collait mon bassin au sien, ou elle pu sentir une bosse naissante d'intérêt pour elle...

Ce long baiser fut à couper le souffle... Je repris le mien, tandis qu'elle me remerciait d'être sincère. Je me contentais de hocher la tête, ne voyant rien de plus à dire et retirer mes mains de son jolie corps avant qu'elle ne se déshabille et me regarde... Je ne sais pas trop. Etait-elle excitée ou un remerciement plus pousser ? Je ne l'imaginais pas en chaleur, mais elle ne tentai pas de se rhabiller, ni de m'éloigner, c'était forcément une proposition.

Comme je n'étais pas bien sûr dans quel état d'excitation elle était, je me décidais alors d'agir un peu différemment de ce qu'elle aurait pu imaginer.
En effet, ma main droite vint caresser sa féminité, tandis que je me penchais pour venir embrasser sa poitrine. De ma main gauche, libre, je pris la sienne et la posait sur mon pantalon, ne portant littéralement que cela, pas de sous-vêtement, je l'invitais à m'exciter un peu plus alors que je tentais de faire pareil pour elle.

Ses jolies seins, sa douce fourrure m'attirait et bien que j'avais une très forte envie de la prendre la aussitôt, je voulais m'assurer qu'elle en avait au moins envie, mouillait un minimum. Alors ma paume frottait sa féminité et touchait son clitoris caché par son pellage, un doigt glissant sur sa fente, près à tout instant, à la pénétrer.

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One Shot / Re : La Sainte et la prophétie - ft Harmonie
« le: mercredi 17 janvier 2024, 15:02:21 »
Si la Sainte n'était plus "chaste" depuis que j'avais commencé à lui envoyer des rêves érotique, maintenant elle n'était plus pure, ni vierge ! Je lui prenais aujourd'hui sa première fois !

Son jolie petit minois se crispait sous l'intrusion, ses gémissements aux premiers abords douloureux, tendirent lentement vers des soupires et des halètements, alors que mon membre écartait ses parois humides. Nue l'un contre l'autre, voir l'un dans l'autre, je pouvais voir ses belles et délicieuses courbes qui m'avait tenter depuis un moment. Et voilà que je prenais possession de sa fleur !

Mon érection s'enfonça entièrement en elle, la crispant alors qu'elle m'accueillait, trempée, sa fleur s'éveillait à un nouveau plaisir. S'épanouissant avec ma tige qui la faisait éclore. Je sentais que lentement, sa féminité se décontractait, me permettant alors de mieux me mouvoir entre ses cuisses. J'en profitais pour embrasser ses tétons bien tendus et murmurer son prénom.

- Han... Harmonie. Je vais comblé la femme en toi !

Je tressaillais d'excitation et ne tarda pas à donner des coups de reins, la pénétrant avec fougue, mais un rythme lent, lui laissant le temps de gémir longuement chaque va-et-viens en elle. Je voulais qu'elle me ressente venir en elle à chaque fois, et non surstimulé par des assauts rapides et fougueux. Du moins... pour l'instant.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Mais....Tu es un intrus? -Red King-
« le: mercredi 17 janvier 2024, 14:48:45 »
La mignonne lapine, se laissait guider, me tenant bien par la nuque, ce qui me permit d'avancer et de la maintenir contre moi, sans perdre l'équilibre. Pourtant ce ne fut pas simple avec elle empalée sur mon chibre... Mais c'était si bon !
Je n'avais pas envie de remettre à plus tard, ma première jouissance, c'est pourquoi je la prise rapidement contre le mur.

Ses doux gémissements... sa féminité enserrant ma carotte, tout ça était trop stimulant pour moi,  tant et si bien qu'après un baiser de plus fougueux, elle vint, d'ailleurs, je ne tint pas plus non plus. A mon tour, je jouissais, délivrant ma semence chaude dans sa féminité.
Reprenant mon souffle, je restais une bonne minute en elle, ondulant lentement des hanches pour apprécier ce moment autant que possible.

Après m'être calmé, je sortais enfin d'elle, mon membre ayant presque déjà repris de sa droiture avec ce plaisir coupable et ce corps somptueux contre moi. Zola allait avoir une soirée mouvementé...

- Reprenons nos habits et allons continuer ça dans ta chambre.

Ce n'était pas une question, mais pas vraiment un ordre non plus, plus la suite logique de l'instant. Dans les vestiaires, je bandais tellement que ce ne fut pas possible de remettre mon bas, je me mis alors un peignoir qui peinais à cacher mon érection. Je l'attendais hors des vestiaires ou je m'empressais de prendre sa main dès qu'elle en sortie, je ne sais pas si elle était aussi presser que moi, mais cela devenait urgent.
Je pris donc les devants, la tirant, mais faisant attention à ne pas lui faire de mal.

Je marchais d'un bon pas, vers ma chambre, finallement, je l'avais trouvé trop timide pour lui laisser le temps de nous guider à la sienne et ouvrit ma chambre, la tirant à l'intérieur avant de refermer. Je jetais aussitôt mon peignoir, me découvrant entièrement nue face à elle, avec un grand sourire coquin, une trique bien droite et un regard ardent sur elle.

J'étais prêt pour reprendre, et elle ?

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Place publique / Re : C'est moue tout ça - ft Kana
« le: vendredi 12 janvier 2024, 15:05:45 »
La chatte me fit sourire, si j'aimais son côté sauvage et que je n'avais pas peur d'elle. C'est bien parce que mon espèce n'était pas un simple lapin... mais un laporou, une espèce bien plus guerrière. Qui lors des nuits de pleine lune, devienne agité, certains nous surnommes d'ailleurs "lapin-garou" à cause de sa. Et comme on peu manger aussi de la viande... sa n'aide pas. Mais sa ne me dérange pas, faut bien se faire respecté.

- Il faut croire que j'aime le danger.

Après s'être quasiment coller à moi, frotter nos nez... endroit sensible, si je restais fixe, elle pu voir mon regard briller d'une lueur plus... excité disons là. Je dû me mordre la langue pour ne pas l'embrasser, et serrer les poings pour ne pas l'étreindre. Elle m'enflammait la petite chatte !
Elle me traita de pervers, ce qui me fit rire et malheureusement, ne compris pas qu'elle n'avait pas suivis mes propos ironique, pour la couleur. Elle me relâcha donc et je l'observais curieux, allez chercher une autre tenue, sans me douter de ce qu'elle prévoyait.

J'attendis donc son retour et qu'elle se montre, cependant, elle fini même pas m'invité dans la cabine. J'hésitais, elle m'avait comme même prévenu qu'elle me botterait le derche si j'entrais... C'est pourquoi j'attendis une petite dizaine de seconde, avant de me décider à entrer et là...

Surprise !

La chatte s'était "déguiser" en bunny rose. Elle avait une position, qui était clairement une invitation à la toucher, me faisant du rentre dedans, espiègle ou sincère, dure à savoir. Cependant...
Elle allait être déçut. Je me demandais si je devais être sincère, risquant de m'en prendre une, ou jouer le jeux. Je fus silencieux, l'observant de la tête aux pieds, plusieurs fois. Le temps parût bien long, avant que je ne me décide à être franc.

- Je suis désolé, mais sa ne te va pas du tout. Navré, mais comme je m'en doutais, la couleur rose ne te vas pas trop, avec ta belle fourrure. Et imité une lapine alors que tu es une chatte... Sa ne m'excite pas du tout.

J'aurais pu lui mentir, mais si elle avait voulu vérifier, ou même, elle pouvait bien le voir à mon silence de départ, sans un air exalté par la vue. Je ne bandais pas, ni ne la dévorais du regard. La j'étais plutôt... sceptique.
A vrai dire, je ne sais pas si d'autre furry, aime "simuler" une autre espèce, mais... je ne trouve pas sa sexy. Les humaines ok, mais parce que c'est un rajout, une furry... Sa me donne juste de voir 4 oreilles, 2  queues bien différentes. Sa aurait plutôt tendance à me perturbé plus qu'autre chose.

Je me demandais si je devais sortir avant de prendre une baffe, si jamais son ego en prenait un coup ou enfoncer au contraire le clou pour l'enjouer plus à répondre à mon défi. dont je m'étais visiblement mal exprimer ? Reste à savoir, sa réaction, mais je me retournais, prêt à sortir si elle ne m'arrêtait pas.

- Je te laisse te changer.

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La zone industrielle / Re : Times bomb - ft Azalea
« le: vendredi 12 janvier 2024, 14:42:58 »
Alors que je venais à peine de me poser et commander, une personne se mit en face de moi avec son propre café. Fine, cachant en partie son visage avec sa capuche. Je ne doutais pas longtemps de qui, ou plutôt de si la personne ne se trompai pas camarade. Vue son premier commentaire, j'en souris un brin amuser.

- Bonjour. Peut-être, mais souvent ce sont les choses les plus simples qui peuvent être caché aux yeux de tous avec un subterfuge plus compliqué. Si on suivait les liens qui semblait être caché, on aurait pu se perdre à chercher la suite de Philomathie par exemple. ... Sa me ferait presque rire si avec ça, quelqu'un trouvait un trésor dont je n'aurais même pas conscience.

Sur cette réponse, je pris tranquillement une gorgée du liquide chaud, glissant le long de mon œsophage, c'était bien agréable.
Ayant un petit cartable avec moi, je le posais sur la table et l'ouvrit lentement, pour ne pas l'inquiéter de ce qui pouvait s'y cacher, toutefois celui-ci était assez plat pour qu'elle n'ai pas délirer sur une potentielle arme dedans.

- Là dedans, il y a les informations sur ma cible. Je préviens une dernière fois, je m'attaque à un mafieux, si vous ne voulez pas risquer votre peau. Alors ne regardé pas et allez-vous en. Sinon... Je serais ravie d'avoir le nom de ma partenaire de travail. Pour ma part, je me nomme Levy, enchanté.

Je n'avais rien de plus à dire pour l'instant, lui laissant le choix d'allez plus loin ou abandonner, vérifiant si aucune autre personne n'avait trouvé, ou était tenter. Il y avait quelques regards, mais était-ce de simple curieux ? En tout cas, nombreux sont les hackeur qui, désoler du stéréotype, ne sont bon qu'assit sur une chaise, tranquille chez eux. C'est aussi pourquoi je donnais un lieu de rencontre en physique et rappelais la dangerosité de ma mission.

Parce qu'il fallait y allez physiquement ! Et donc risquer de se faire agresser, voir torturer si on était choper.
A l'intérieur, ce trouvait un portfolio, avec des informations sur notre mafieux, ses origines, ses études et enfin, des informations sur sa position et ce sur quoi il traffiquait, il avait des noms de complice, mais aucune évidence, juste des propos... de personnes maintenant "disparu". C'est pourquoi je ne cherchais plus de témoin, mais des preuves physiques/virtuelles qui me permettrait de le faire tomber, lui et ses collaborateur.

J'observais la personne, était-elle fake ? J'avais le coup un jour, un témoin envoyant une "doublure" à sa place, qui lui ne savait rien et... c'était fait buter d'ailleurs. Résultat, le vrai ne s'est jamais montré et le pauvre innocent fut tué pour 100$ ... Je n'allais pas lui demandé si c'était vrai, le reste nous le verront bien, elle ne pourra pas feindre longtemps et devra rendre des comptes si jamais. Sinon... les choses avanceront plus vite et nous pourrons réfléchir à la démarche à suivre !

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