Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Georgette Lenoble

Pages: [1]
1
- Non arrête! Brgblll! Arr...brrrglb!

Et voilà qu'après les toilettes du collège, que c'est ici dans mon nouveau lycée, que je me refais encore mettre la tête dans une horrible cuvette, par une fille qui n'a vraiment rien du tout de commode. Quand elle tire la chasse d'eau, je me retrouve avec de l'urine et même du caca, en plein sur le visage. Mais je n'ose pas bouger un seul petit doigt. J'ai juste les mains posées sur les siennes par réflexe, parce qu'elle me tenait par les cheveux. J'étais à quatre pattes, en train de boire la tasse répugnante... J'avais tout simplement envie de disparaitre. Envie de ne plus exister du tout et d'être oubliée de tout le monde.

- Gggglbbbbl! Gggggblblbllll!

Je n'ai pas seulement peur, mais je suis aussi écoeurée. Dégoutée par l'énième humiliation que je subis et qui ne fait que me rappeler encore une fois tous ces horribles souvenirs où je me suis faite frappée, insultée, violée ou même plongée je ne sais ee plus combien de fois la tête dans la cuvette, comme exactement aujourd'hui! J'en ai marre... Ca ne fait même pas un mois entier que je suis là et on commence déjà à s'en prendre à moi. Comme d'habitude, ça a commencé par des moqueries, avant de passer par des insultes. Le plus que j'avais le droit en plus d'être traitée de "pute" ou de "salope", concernait ma couleur de cheveux. On s'amusait à me dire que je devais arrêter de manger des carottes et même du caca. Et puis des garçons ont commencés à me tripoter, quand on est tombé sur des anciennes images de moi. Je ne sais pas exactement qui les a envoyé, mais des anciens élèves de ma classe situé pourtant en France, ont réussit à les faire passer même ici. Moi qui croyait que j'allais enfin être tranquille pour de bon, avec tout ça. Que j'allais enfin avoir droit à avoir de vrais amis qui m'accepteraient comme je suis, j'avais juste l'impression que tout était en train de recommencer...

- Pitié. Arrête. S'il-te-plait.

La rencontre avec cette horrible fille du nom de Naru, s'était passée il n'y a seulement que quelques jours. Des filles de ma classe étaient en train de m'embêter dans les couloir entre les cours, en s'amusant à me tirer fortement sur les cheveux pour que je les suive, en me disant en même temps que je portais des carottes sur la tête. Et c'est là que cette odieuse fille est arrivée. Au début, je croyais qu'elle était venue pour m'aider. Les autres filles ont même eu peur d'elle, surtout quand celle qui s'amusait à me tirer et à me trainer par les cheveux pour me forcer à avancer, s'est prise une claque derrière la tête. Alors dès qu'elles sont partis, j'ai voulu la remercier. J'ai tout de suite pensé que j'allais enfin avoir droit à une véritable amie, qui en plus m'aurait défendue contre tout le monde ici. Mais c'est quand elle m'a dit de la retrouver le soir, après les cours dans les toilettes des filles, qu'elle m'a surtout piégée. Elle a commencé à me mettre la tête dans le lavabo en faisant couler l'eau froide et en se moquant de moi avec ses copines. Alors elle m'a dit qu'elle arrêterait, si je lui donnais mon argent pour la cantine, dès le lendemain. J'ai donc out de suite accepté, mais elle a quand même continué de me persécuter, même après avoir prit mon argent. Je ne savais pas ce qu'elle voulait, ni ce que javais fait pour mériter ça. Tout ce qu'elle me disait, c'était que je devais la retrouver à chaque fois dans les toilettes des filles à la fin du cours, si je en voulais pas que ça soit encore pire pour moi. Donc comme d'habitude, je préfère ne pas oser répondre et accepter de faire ce qu'on veut de moi, pour espérer que ça aille peut-être mieux un peu plus tard. Ou au moins, que ça ne soit pas pire. Et puis c'est au bout de plusieurs jours, que je suis maintenant ici à boire la tasse, la tête dans la cuvette de ces horribles toilettes. Exactement comme avant... Pourquoi ça recommence encore?....

Naru, la fille qui me persécute dans les toilettes, m'ordonne de lui essuyer toute la main et l'avant bras trempé en bonne partie par les déjections, après avoir finit de tirer la chasse. J'ignore donc ce que j'ai reçus sur le visage et toute la tête, pour sortir mon mouchoir en tissu de ma poche. Obéir ainsi à ce qu'elle veut, quand elle m'ordonne de lécher, juste après m'avoir envoyé un coup de pied dans les fesses, qui m'a fait assez mal. Même si on m'avait déjà plusieurs fois demandé de lécher les cuvettes des toilettes, j'en avais quand même la nausée, rien que d'imaginer faire ça sur son bras. Mais comme je ne voulais pas qu'elle me frappe, j'avance la tête toute détrempée par l'eau croupie et qui sent vraiment mauvais, vers sa main. Je ferme alors les yeux et c'est en grimaçant, que je pose la langue dessus. Il me faut encore une bonne seconde en plus, avant de commencer à lécher lentement toute sa main, jusqu'au niveau de son avant-bras.

- Errrk... Eeeerk...

C'est encore avec une envie de vomir le déjeuner et le gouter que je n'ai pas eu le droit, que je lèche plusieurs fois le reste des horribles déjections des autres filles, laissées sur son bras. J'espérais au moins qu'elle ne me demande pas d'avaler.

2
C'est incroyable! Avec papa, j'ai presque l'impression que tous mes problèmes s'envolent, à chaque fois qu'il revient. Comme toujours dès qu'il est là, juste en face de moi, je me sens toujours mieux. Et à chaque fois que je pars à sa rencontre pour lui sauter dans les bras et l'accueillir comme il le mérite, il m'embrasse tendrement. Il en profite pour me rassurer à propos de maman avant de m'embrasser encore une fois, pour ensuite être reçut par mon tuteur et me soulever ensuite du sol, pour me mettre sur sa grande épaule. Papa était vraiment quelqu'un de fort. Et moi, j'adorais me sentir n'être plus qu'une simple plume, à chaque fois qu'il faisait ça avec moi. Et c'est évidemment en homme pas seulement respectable, mais tout simplement bon et respectueux de tout le monde et bien sûr de nos domestiques sans aucune distinction, qu'il les salue tous sur notre passage.

- Tu vas voir papa, je suis certaine aussi que tu vas beaucoup te plaire ici. Hihi.

Pendant que je glousse, je le laisse prendre ses aises en visitant une à une les différentes pièces, qui ont beaucoup changées depuis mon emménagement. Je profitais de la vue exceptionnelle que j'avais à être posée sur lui, même si je ne comprenais jamais comment il faisait, pour arriver à me supporter aussi longtemps sur lui. Mais c'est papa. Donc j'imagine que c'est entièrement dut à ses nombreuses heures passées à faire du sport. Et une fois le petit tour terminé une demi heure après, Mikhail décide de nous laisser seuls. Quand papa me repose au sol précautionneusement, il s'allonge sur le lit dans sa grande chambre attitrée, tout en me demandant si je me plaisais bien de vivre maintenant ici. Je frotte mon menton et je lui fais mon plus beau sourire, malgré que je repensais bien quelques instants au problème que j'ai rencontré avant-hier...

- Oui ça va papa. J'avais peur d'avoir quelques problèmes pour m'intégrer mais maintenant que tu es là, je sais que ça ira. Et puis tu me connais, ce n'est pas moi qui vais me plaindre de ce que j'ai, alors qu'il y a beaucoup plus pauvre et malheureux que nous. Mais à choisir, je préfère avoir un père pauvre et qui m'aime, qu'un père riche et qui ne m'aimerait pas.

Pendant que je parle, je remarque que papa qui me regarde un peu étrangement. Mais j'imaginais qu'il était tout simplement heureux et et en même temps temps un peu fatigué du voyage qu'il a fait, malgré la vitesse que cela prenait pour venir ici.

- Mais toi tu es riche et tu m'aimes! Cependant si je devais choisir entre la richesse et ton amour, je sais déjà évidemment ce que je répondrais.

Je m'avance vers lui et je l'embrasse sur la joue, avant remarquer qu'il piquait quand même un peu.

- Hou! Papa tu piques! Hihi.

C'est heureuse de le retrouver et de l'avoir à mes côtés, que je m'assois sur le bord du lit en le regardant avec tout l'amour que je lui ai toujours porté. J'aime papa et je ne l'échangerais jamais contre un autre.

- Bon alors, tu veux qu'on fasse quoi maintenant que tu as finit de visiter ta nouvelle demeure, papa? Tu as envie faire de quelque chose en particulier? Profite bien, parce que je compte souvent décider du programme. Et puis n'oublie pas papa, que tu es aussi chez mademoiselle Georgette Lenoble.

Tout en gloussant encore une fois, je m'amuse à passer la main dans mes cheveux et à faire semblant de prendre un peu le même genre d'air, que maman aime bien parfois prendre pour taquiner ou parce que c'est tout simplement dans ses manières de faire.

3
Les alentours de la ville / Bienvenu à la maison [Ethan Lenoble]
« le: dimanche 24 avril 2022, 18:32:45 »
- Ca y est. Je crois que c'est papa qui arrive. J'entends quelque chose au loin...

Ca fait tout juste une semaine, que j'ai emménagé dans notre nouveau manoir. J'avais quitté la France, mon pays natal, pour venir habiter ici, car je trouvais cet endroit très joli et très sympathique. Au départ, je pensais surtout vivre ici toute seule. Du moins avec les domestiques et une tutelle adaptée, quand j'ai eu un gros problème il y a tout juste deux jours. Heureusement que ça s'est quand même bien terminé... Mais j'ai surtout compris que même cet endroit pouvait être très dangereux et en plus, c'est finalement déjà assez difficile pour moi de vivre tout simplement sans mes parents, malgré que nous-nous téléphonions tous les jours. Et puis en discutant sans vouloir trop en dire non plus, comme je ne me sentais pas très bien avec ce qui s'était justement passé, c'est là qu'on s'est mis d'accord. Papa m'a fait la surprise, en me disant qu'il allait avoir un peu plus de temps à pouvoir me consacrer. Il était alors prêt à venir habiter avec moi, dans cette nouvelle demeure si je le voulais et franchement, je crois bien que j'étais la fille la plus heureuse du monde entier, en entendant ça. Lui et moi allions pouvoir rattraper une partie de tout ce temps perdu, à cause de ses nombreuses absences pour son travail. C'est tellement fantastique! Bien sûr, nous avions discutés de certaines conditions, avant de nous mettre tous les deux définitivement d'accord.

- Ah le voilà! Papa! Papa! Papaaaaa! Ohéééé!

C'est dans l'immense cour du manoir, que je vois un jet qui se dirige droit vers la demeure! C'était lui! C'était papa qui arrivait enfin! Alors dès qu'il se rapproche suffisamment de moi, je lui fais de grands signes en sautant sur la pelouse. Je ne savais pas si il me voyait, mais je portais justement une robe blanche, avec des papillons bleus dessinés sur le tissu. Le blanc était l'une des couleurs que je préférais, si je rajoutais le rouge et le vert. Enfin, plus l'engin volant se rapprochait et plus ça devenait assourdissant. Mais papa qui ne fait pas les choses à moitié comme d'habitude, finit par se poser à l'emplacement directement prévu pour l'atterrissage et le décollage de l'appareil.

- Mademoiselle Lenoble. Ne vous avancez pas trop, tant que votre père n'aura pas complètement atterrit.

Pendant qu'on évite à ce que je me rapproche trop, le jet finit enfin par s'arrêter. Je cours alors dans sa direction à toute vitesse, tout en continuant de l'appeler. Quelques instants après, alors que je ne suis plus qu'à quelques mètres de l'escalier métallique dépliant qui vient d'apparaitre, je le vois enfin sortir!

- Papa! Oh papa enfin! Tu es là!

C'est toute heureuse, que je lui saute dans les bras après qu'il soit enfin descendu sur le sol, alors que tous les nouveaux domestiques se tiennent un peu plus loin derrière-moi. Tous ceux qui travaillent durement dans notre nouveau manoir et qui ont eut la gentillesse de venir prêter leur aide ici, sont venus pour l'accueillir avec moi. Bien sûr j'avais l'habitude de voir ça, à chaque fois que papa revenait de l'un de ses voyages d'affaire, là-bas en France. Mais je n'ai jamais trop aimé ça, ça m'a toujours un peu mise mal à l'aise. Ca me donnait toujours l'impression d'être quelqu'un d'important, qui le recevait avec tous ses sujets... Mais bon, c'est comme ça qu'est ma vie et puis le plus important pour l'instant, c'est qu'il soit là. Que papa soit enfin là, pour moi!

- Papa! Je suis tellement heureuse que tu sois enfin là! J'espère quand même que ça n'a pas été trop dur pour maman?

Pendant que je me colle à lui, je repense à maman qui n'a pas pu venir, à cause de ses propres obligations qui l'empêchaient de pouvoir nous rejoindre. Mais bon au moins, elle a dit qu'elle viendrait nous voir aussi souvent qu'elle le pourrait. C'est déjà au moins ça. Et pendant que papa avance avec moi et termine de parler, celui qui a été nommé comme mon tuteur et qui dirige surtout le bon fonctionnement du manoir, s'avance vers nous.

- Bienvenu monsieur Ethan. J'espère que vous-vous plairez beaucoup ici. Au nom de tout le monde, permettez-moi de vous remercier d'avoir pu donner vie à cet endroit. Tout comme avec votre fille, sachez que nous serons à votre disposition à tout moment.

4
Prélude / Re : Merlin l'enchanteur de ces dames [terminé]
« le: dimanche 24 avril 2022, 17:37:05 »
*Saute dans les bras de son paternel et lui souhaite la bienvenue*

5
Prélude / Re : Merlin l'enchanteur de ces dames [en cours]
« le: samedi 23 avril 2022, 23:41:23 »
Papa qu'est-ce que tu as encore fait? ::)

6
Le parc et son sous-bois / Re : Abus en direct ( Pv Georgette Lenoble )
« le: samedi 23 avril 2022, 21:06:10 »
Ce soir pour me détendre un peu pendant qu'on termine l'emménagement au manoir, j'ai demandé à mon nouveau chauffeur de m'emmener au cinéma. Je voulais voir un film gai et sympathique, pour essayer de fêter un peu mon arrivée dans ce nouvel endroit fort accueillant. Un film où il y aussi de l'amour et où les plus malheureux, finissent par vivre aussi un peu heureux. Je n'aime pas trop les films dramatiques, parce que ça me fait tout de suite pleurer. Quant aux films d'horreurs, j'en ai tellement peur que je ne peux jamais en regarder. Donc c'est après avoir voulu manger des petites choses sympathiques, pour apprendre à encore mieux découvrir la bonne cuisine locale, que je suis partis d'un petit bar sympathique, pour ensuite aller au cinéma et choisir ma séance. C'est évidemment toute seule, parce que je n'ai pas encore trouvé d'amis à me faire pour l'instant, que je regarde ensuite le film dans une salle, qui n'est pas trop bondée. Une fois la séance terminée à peu près deux heures plus tard, je retire mes lunettes rouges que je mets quand je suis devant un écran, parce que j'ai parfois mal aux yeux. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai beaucoup aimé le rouge et le vert. Le blanc aussi, c'est joli et c'est lumineux. Mais voilà que à peine tout le monde commence à sortir, que le chauffeur me bi, en me disant être prêt à me reprendre. Comme j'avais envie de marcher seule, je lui dis de ne pas m'attendre. J'étais quand même assez grande pour rentrer toute seule si j'en ai envie, non mais!

C'est en gonflant un peu les joues, que je décide de vouloir renter à pied au manoir. Bon c'est vrai que ce n'était pas tout à côté non plus, mais j'en ai parfois marre qu'on me prenne encore pour une enfant. Donc je profite de l'air à la fois frais et moite, à cause de la présence d'un léger brouillard, pour marcher dans les rues nocturnes. Pendant que je regarde un peu ce qui est encore ouvert ou pas à cette heure déambulant tranquillement, je finis par arriver dans une rue beaucoup plus étroite et calme. Alors que j'en profite pour essayer de regarder un peu par là où il y a encore de la lumière, comme  derrière les fenêtres des vieilles maisons où tous ces pauvres gens doivent se sentir si injustement à l'étroit, une voiture passe à côté de moi... et s'arrête subitement?...

- Hein?...

Sans vraiment m'inquiéter, j'ai quand même un petit frisson quand je vois quelqu'un qui sort rapidement. J'ai alors le souffle bloqué, quand la personne qui ressemble à une fille de mon âge ou peut-être une femme plus âgée que moi, me met directement quelque chose dans la bouche, avant de me la coller ensuite!

- Mmmmh??? Mmmmmmmh!!! Mmmmmmmpf!!!

Je n'ai même pas le temps de comprendre ce qui se passe, que j'ai la vue obstruée et juste après, on me ligote même les mains. Sans savoir quoi faire, on me pousse très vite dans ce qui semble être le coffre de la voiture, qui vient tout juste de s'arrêter à côté de moi. Quand je l'entends claquer, le véhicule se met à rugir et à démarrer, je ne savais pas du tout où!...

- Mmmmmmh!!! Mmmmmmh!!! Mmmmmmmh!!! Mmmhhhh!!!

Cette fois, je panique! J'ai peur et je ne vois rien! Je ne sais même pas où on m'emmène!... Est-ce que j'aurais fais quelque chose de mal? Je ne savais rien, mais j'étais maintenant allongée dans le coffre d'une voiture, avec quelqu'un qui était en train de conduire, sans même savoir qui c'était... J'ai alors le coeur qui bat à toute vitesse! Je tremble et je finis par vite pleurer. J'étais terrorisée et je n'arrêtais pas d'essayer d'appeler mes parents, mais j'avais la bouche fermée, a cause du tissus qui me bloquait l'intérieur. Alors j'essaie de me calmer... J'essaie de me dire que tout va bien aller. Que c'était une mauvaise blague qu'on était en train de me faire. Que je n'étais pas en danger et que personne n'avait de raisons de vouloir me faire du mal comme ça. Je sais qu'on ne m'aime pas beaucoup, mais je suis certaine que tout va très vite s'arranger. Enfin je l'espère... Puis assez rapidement, la voiture finit par s'arrêter enfin. Je recommence alors à trembler de peur, quand j'entends le coffre s'ouvrir...

- Mmmh? Mmmh! Mmmh!

Tout en bougeant mais pas trop non plus, parce que j'avais peur que la personne s'énerve après moi, je sens que je marche d'abord sur quelque chose qui ressemble à de la terre, avec du bois et des feuilles. Sans me demander mon avis, je suis entrainée assez fortement à l'intérieur d'une maison qui semble faite avec des planches en bois, je crois. La personne, s'il s'agit toujours bien de la femme de tout à l'heure, me force ensuite à m'asseoir par terre. Elle délie après plus ou moins mais mains, avant de me retirer le bâillon qui m'empêchait de parler et de respirer jusqu'à présent...

- Aaaah!... Que???... Aaah!...

Quand l'air entre dans mes poumons enfin mieux libérés, j'ai comme plein de salive qui ressort par la bouche. Et alors que je suis sur le point de m'uriner dessus tellement j'ai peur de ce qui se passe, on me retire ce qui me cachait la vue. Mais je n'ai pas le temps de voir quoique ce soit, que je suis agressée par des violentes lumières, qui m'obligent à fermer les yeux! Je... Je veux rentrer chez-moi!... Mais je n'osais même pas parler encore. J'étais tellement terrorisée, que je me disais qu'on ne me ferait peut-être pas trop de mal, si je ne faisais rien de déplaisant. C'est une des choses que j'ai appris, à force d'être persécutée. Ne pas réagir, pour avoir moins à subir de coups et les insultes. Mes parents m'ont plusieurs fois dit que ce n'était pas la bonne méthode, mais moi j'avais vraiment l'impression qu'on m'embêtait un peu moins, quand j'acceptais de me laisser faire.

Pendant que je continue de respirer à plein poumons. Que je ne suis pas loin de pleurer encore aussi, j'entends marcher. On dirait que les bruits de pas s'éloignent un peu et que la personne est en train de pianoter sur un ordinateur... Mais je suis ensuite encore terrorisée, quand je l'entends rire! Qu'est-ce elle préparait? Que...

- S'il-vous-plait, laissez-moi partir!... J'ai peur! Je n'ai rien fais de mal, je vous le jure! S'il vous plait madame! Laissez-moi m'en aller et je ne dirais rien à personne!

Alors que j'ai les yeux qui s'habituent un peu à l'aveuglante lumière qui m'éclaire dans ce drôle d'endroit, je regarde en direction de la personne de tout à l'heure, tout en lui suppliant de me laisser m'en aller. Mais Je ne voyais pas du tout à quoi elle ressemblait, comme elle avait un masque... Mais tout ce qu'elle me dit juste après, c'est de me demander de sourire à... à la caméra qui me filme en direct?

- Non! Non! Arrêtez s'il-vous-plait! Non!...

Et voilà qu'en plus de me remettre à pleurer, que ma vessie ne tient plus du tout le coup. Je sens honteusement ma culotte se mouiller et chauffer, sous ma robe... Pendant que je fais pipi par terre, je tremble comme une feuille morte, des pieds à la tête. Je ne comprenais rien. J'avais alors peur qu'on me fasse vraiment du mal. Beaucoup plus encore que toutes les autres fois. J'ai détesté entendre ça, mais je n'ai plus dormis pendant des semaines, quand on m'a dit un jour qu'il existait un internet qu'on ne voyait pas. Ici, on pouvait voir des personnes se faire torturer, violer et même tuées... Mais je suis certaine que c'est faux! Ce genre d'endroits ne peux pas exister! C'est de la science fiction! Tout ça n'est que du mensonge, pour me faire peur!

7
Le coin du chalant / Adorable rouquine mal aimée de tous ou presque
« le: mercredi 13 avril 2022, 21:59:13 »
Ce chalant est maintenant fermé.

8
Je... je ne comprends vraiment pas. Tout avait l'air se bien se présenter dans ce nouveau pays tellement beau, que j'ai pourtant déjà des problèmes. Ca a commencé la semaine dernière, pendant que papa et maman m'aidaient à distance, à essayer de recruter des gens pour mon nouveau chez moi. Le manoir que papa m'a acheté. Et puis c'est là que je suis tombé sur celui qui devait normalement être mon nouveau chauffeur, monsieur Sennefer. Dès le tout premier jour, il s'est arrêté en plein milieu de la route, en plein foret... Et il m'a ensuite forcée à lui faire des choses. Les mêmes genres de trucs dégoutants que plusieurs garçons de mon ancienne école m'ont obligée à faire. Mais j'avais peur de parler. Je ne voulais pas qu'il me fasse du mal, alors je n'ai rien dis. Et puis de toutes façons, je commence à avoir l'habitude. C'est comme ça...

- Allez courage! Bientôt tu auras des amis ici! Et puis si je continue à être gentille, je suis sûre que monsieur Sennefer le sera aussi!

Je me ressaisis, pendant que je pars explorer des nouveaux endroits du manoir, que je ne connais pas encore. Comme par exemple, la grande cave souterraine, la cave à vin. Comme celle qu'il y a chez moi en France, dans le domaine de mes parents. Je suis donc descendue pour la visiter. Comme je ne trouvais pas l'interrupteur, j'ai donc avancé à l'intérieur dans le noir. Je voulais juste faire quelques pas pour essayer de voir un peu. Bon j'avais un peu peur aussi. J'espérais quand même ne pas rencontrer un fantôme ou quelqu'un qui me voudrait encore du mal...

- Mais non! Ca n'arrivera plus! Plus jamais Georgette, tu le sais... Aie!

Comme il faisait presque complètement noir, je me cogne contre la tête quelque chose, avant de finalement avoir envie de partir. C'est alors que je vois la sortie tout au bout, après avoir essayé de retourner sur mes pas comme j'ai pu.

- C'est bizarre... Je ne me rappelle pas que j'étais allée si loin que ça dans la cave...

J'avance donc doucement, jusqu'à voir quelque chose par terre... Lorsque je me rapproche encore après avoir un peu hésité, je vois une personne...

- Que...

Je ne comprenais plus rien... Où étaient passés tous les tonneaux? Pourquoi il n'y avait plus les escaliers? Où est-ce que j'étais? Est-ce que j'étais passée par une autre entrée? Une entrée secrète?... En attendant, j'étais terrorisée de voir quelqu'un qui était allongé comme ça, par terre. Mais je n'ai pas le temps d'essayer de comprendre, que la personne se relève et se dirige vers moi. Pendant que je commence à reculer sans rien y comprendre, je tombe par terre...

- Aie! Non stop arrêtez! Pardon je me suis perdue! Je ne voulais vous déranger!

Croyant que j'avais peut-être dérangé quelqu'un qui travaillait ici et qui voulait se reposer un peu, je mets mes deux mains devant moi. Rencontrer un inconnu dans un endroit pareil, me mettait vraiment mal à l'aise. Je n'aurais vraiment pas dus descendre toute seule dans cette cave...

9
Les alentours de la ville / Mon chauffeur malveillant [Sennefer Arsinos]
« le: mardi 13 juillet 2021, 00:07:53 »
- Allô?... Oui papa ça va, tout va bien... Oui... Oui ici tout le monde est gentil. Je suis sûr que je vais enfin me faire des amis ici, je... Je te laisse tu embrasse maman pour moi, le nouveau chauffeur doit arriver d'un instant à l'autre. Je vous aime tous les deux très fort. Oui gros bisous. A bientôt.

Ouf! A peine je m'installe au Japon, dans cette merveilleuse ville que les gens d'ici appellent Seikuzu, que je n'ai pas eu beaucoup temps pour moi. Entre l'emménagement qui s'est fait à toutes vitesses, l'installation, le déballage et puis puis ensuite le recrutement des premiers domestiques qui vont prendre bien soin de moi, je n'ai presque rien vu venir. Bien sûr, ça ne m'a pas empêchée non plus d'aller dans mon nouveau et merveilleux lycée. Et pour l'instant, à part quelques uns qui se sont déjà un peu moqués de moi, les élèves d'ici ne m'embêtent pas vraiment. Je suis donc certaine que je vais très vite me faire un ou deux amis, avant peut-être la fin du mois. Cet endroit, cette ville, tout m'avait l'air d'être vraiment bien sympathique par ici. Mais je trouverais surement ça beaucoup plus marrant, si j'étais avec quelqu'un pour me faire visiter tout ça. Peut-être même un amoureux? Ce serait tellement chouette!

Bon en attendant, j'ai dus raccrocher en urgence, lorsque mon père m'a appelé. Mes parents sont adorables, mais j'ai l'impression qu'ils m'étouffent encore plus, depuis que je suis partis. J'ai donc dut préciser que j'attendais le nouveau chauffeur de la voiture de sport, qui allait m'emmener faire un tour quelque part en ville, pour ce samedi matin. Du dernier étage de mon nouveau manoir, je regarde les différents meubles et les autres objets que les déménageurs continuent d'emmener à l'intérieur. Tout n'était pas encore terminé, mais j'avais déjà tout ce que je voulais avec moi. Le téléphone toujours en main, prête à recevoir l'appel de mon nouveau chauffeur qui doit arriver d'un moment à l'autre, je quitte ma grande chambre douillette, pour rejoindre un vaste couloir, avant de descendre l'escalier.

- Bonjour madame! Bon courage! Bonjour monsieur! Ca a l'air lourd! Bonjour madame...

En chemin, je salue toutes les personnes que je croise. Très heureuse d'être arrivée ici, je continue de me balader en chantonnant un peu partout, jusqu'à ce que le téléphone sonne enfin.

- Allô? Oui c'est bien moi monsieur. C'est bien Georgette Lenoble à l'appareil. Et vous êtes?... Mon nouveau chauffeur qui doit arriver, c'est tout à fait ça!... Très bien je vous attends en bas monsieur Sennefer. A tout de suite!

Et voilà. Je viens de recevoir un rapide appel, de la prochaine personne importante que j'attends. Aussitôt raccroché, je me précipite en courant vers le grand portail d'entrée où j'attends ensuite. Dix minutes plus tard, un homme élégant aux cheveux blanc apparait dans une belle et curieuse voiture. Tout en sautant, je lui fais des grands signes avec les deux mains, pour l'accueillir et il se gare ensuite dans la cour. Puis dès qu'il sort, je lui souhaite la bienvenue, en penchant la tête en avant et en attrapant du bout des doigts, ma petite robe rouge comme cela se fait chez moi.

- Bonjour monsieur Sennefer. Bienvenue chez moi. Alors c'est vous mon nouveau chauffeur? Je suis bien contente d'avoir un si bel homme comme vous, à mes côtés! Je suis sûr qu'on va très bien s'entendre. Je sens que vous avez l'air d'être quelqu'un de sympathique et d'honnête. Oui.

Je me rapproche de lui, tout en l'observant d'avantage. Oui, il était beau. Il me faisait d'ailleurs un peu rougir.

- Euh... Dites-moi tout ce que vous voulez savoir, avant que l'on s'en aille. D'ailleurs j'espère que ce n'est pas trop rapide pour vous, monsieur Sennefer? C'est que j'ai emménagée il y à tout juste quelques jours et je ne connais pas grand chose ici. A part les domestiques, je suis seule. Pas d'amis. Mes parents sont restés en France. Mais je suis sûre que je vais rencontrer des personnes formidable comme vous!

J'étais déjà conquise par cet homme vraiment très élégant. Au point que j'applaudis et et que je ris, tout en sautant encore sur place. J'étais vraiment excitée de partir faire un tour, dans cette nouvelle belle voiture qui n'attendait déjà plus que nous! Ca va être marrant! Hihihi!

10
Prélude / Une petite bourgeoise martyrisée [Vanéalidée !]
« le: lundi 05 juillet 2021, 23:33:26 »
Identité : Georgette Lenoble
Âge : 15 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Pansexuelle

Physique :

Visage poupin et innocent, avec des joues rosées. Un regard éveillé qui plonge droit vers des pupilles de couleur vert émeraude. Les cheveux roux mi-longs. Une coiffure esthétique sur laquelle apparait de chaque côté, deux longues boucles, ainsi que de jolies franges au niveau du front. Si Georgette qui n'est pas très grande avec son 1m55 et ses 41 kilos, n'a pas de quoi impressionner qui que ce soit dans sa petite carrure, se rattrapera avec des habits aussi chics, que distingués. Sans jamais porter des tenues extravagantes, la jeune rousse qui a toujours eu l'habitude d'être habillée dans des tenues fabriqués par des grands couturiers, apprécie généralement le rouge et le blanc. Variées et travaillées, parfois dans des détails tels que des ourlets, des boutons ou encore une double couche de tissus soyeux, la petite noble aime terminer ses hauts, par une jolie petite robe toute aussi chiquement travaillée que le reste. Avec parfois des petits bijoux de luxe qu'elle porte toujours de manière discrète, la rouquine aux cheveux de feu sait toujours garder quelque chose de profondément modeste, derrière ses vêtements à la fois chics et artistiques.

Caractère :

1_ Qualités et Défauts :

Honnête - Volontaire - Distinguée - Modeste - Attendrissante

Soumise - Naïve - Utopiste - Fleur bleue - Intimidable

2_ Détails :

Derrière la gentillesse de Georgette se cache une fille très modeste, malgré son éthique sociale. Son rang l'a emmené à avoir une certaine éducation qui la rend naturellement polie et bien élevée, partout où elle va et quoiqu'elle fasse. Bien qu'elle connaisse les manières du savoir vivre sur le bout des doigts et que cela se traduit généralement dans ses posture ou dans son langage sans vulgarité, elle sait parfaitement accepter les différences des autres. Très honnête et rarement encline à mentir ou à cacher quelque chose, sauf parfois vis-à-vis de ses parents pour ne pas leur créer encore plus de soucis liés à ses propres problèmes, Georgette est une fille en qui on se sent très vite en confiance, derrière sa simplicité d'esprit. Volontaire dans bien des situations, elle aura toujours des petits mots gentils ou rassurants, envers tous ceux qui sauront la reconnaitre comme elle est vraiment. Son comportement très sympathique, authentique, frais et absent de tous jugements, a quelque chose qui la rend naturellement attachante, passé son profil à être persécutée et abusée par les autres.

Mais le revers de la médaille derrière de telles qualités, est que Georgette n'est déjà pas du tout aidée par cette même éthique sociale, qui semble être en partie à double tranchant pour elle, en plus de sa personnalité à être beaucoup trop gentille. Georgette a le don d'attirer les problèmes, même sans jamais les chercher. Profil de victime idéale, traitée comme une bonne poire avec qui on maltraite et que l'on profite sans vergogne, la petite rousse est incapable d'arriver à s'imposer envers les autres. Persécutée au quotidien par ses camarades pour un oui ou pour un non, malgré sa positivité à toute épreuve, son manque d'assurance inévitable la rend très facilement intimidable. Elle est aussi très naïve et manipulable, au point de croire beaucoup de choses qui ne sont absolument pas vrais. Mais dans son monde merveilleux de véritable souffre-douleur, Georgette trouvera généralement toujours une excuse à donner à ses bourreaux, croyant la plupart du temps que les choses finiront par s'arranger tout seul. Si son côté fleur-bleue l'amène à facilement s'attendrir envers ce qui est mignon. A s'attacher un peu vite à des personnes qui s'intéresseraient un semblant à elle, à cause de sa recherche permanente d'amis, elle reste bien souvent incapable de deviner les réelles intentions de ces derniers.

Histoire :

Georgette qui est née en France, dans la ville de Bourge, est la fille unique d'un père qui est un grand propriétaire de terrains de viticultures (du moins officiellement pour les siens) et d'une mère elle-même aristocrate et de très bonne famille. Elle habite dans un très grand domaine situé en périphérie de la ville, où sont présents toute une ribambelle de domestiques. On pouvait dire qu'elle semblait disposée à être née sous une bonne étoile et à vivre parfaitement heureuse jusqu'à la fin de ses jours, avec des parents aimants et attentionnés. Seulement, en plus de n'avoir ni de frères ou de soeurs à cajoler, malgré ses demandes régulières envers ses parents à ce sujet, la petite est très vite rejetée par ses camarades d'école. Déjà peu aidée par son prénom et avec son nom légèrement douteux, Georgette subit d'abord des moqueries continuelles, avant que les choses ne s'aggravent encore en grandissant.

Les parents, inquiets de voir leur progéniture si injustement mise de côté, se retrouvent chaque année à devoir fêter son anniversaire, sans qu'elle n'ait jamais un seul ami à inviter chez eux. Mais dès cette époque, Georgette n'était pas toujours très heureuse par cette situation. Il arrivait fréquemment que ses parents viennent lui sécher ses larmes, avant de la combler encore plus d'affections et de cadeaux, la plupart du temps des plus futiles. Mis à part qu'elle soit rejetée et qui lui manque de vrais amis pour remplacer ses poupées et ses peluches, la petite fille se développe bien et sait grâce à ses parents, vivre des moments réellement heureux. Passant régulièrement de superbes vacances aux quatre coins du monde. Emmenée tantôt en mer sur leur yoat de luxe. En hélicoptère pour des ballades aériennes inoubliables. Ou en montagne dans les recoins les plus privilégiés, Georgette a vraiment de quoi raconter ses souvenirs à tout son lot d'amis, portés absents aux abonnés. Il lui arrive bien de ne pas toujours être à chaque fois rejetée par les autres, mais ces derniers choisissent généralement de ne pas la fréquenter ou de très peu lui parler, de peur de subir eux-mêmes les représailles de ses propres persécuteurs.

La descente aux enfers continue encore plus bas, dès que la gentille petite fille entre au collège. Plus que jamais catégorisée de fille à papa et de maman, attirant les jalousies de toutes part tel un aimant, avec comme d'habitude l'incapacité à savoir se défendre, Georgette va jusqu'à devoir changer plusieurs fois d'écoles, tant sa situation pouvait parfois devenir infernale. Moqueries, insultes, coups, humiliations et même parfois viols, la rouquine avait le droit à tout. Et en plus, comme si le destin était lui aussi ligué contre elle, elle avait souvent le chic de se retrouver dans des mauvaises situations, sans pour autant jamais le faire exprès. Devenue une jeune adolescente, elle se renferme de plus en plus dans des activités solitaires, tout en ne pouvant éviter les enfers des réseaux sociaux, où elle continue de se faire harceler et de recevoir de la part de ses camarades, une collection de photos impressionnantes sur elle, qui est vraiment très loin de la mettre en valeur.

Mais un jour, à force d'être sans cesse rejetée et traitée comme une moins que rien, Georgette finit par craquer. Elle tente alors de se suicider, en se jetant du plus haut étage du manoir. Sauf que derrière son étonnante malchance au quotidien, elle se retrouve au final avec seulement une jambe et un bras cassé à l'arrivée et sans même avoir à en garder des séquelles par la suite. Bouleversés, incapables de savoir ce que peuvent faire de plus ses parents, hormis lui apporter son lot de cadeaux et de réconfort habituel, ils finissent par retrouver de l'espoir, lorsqu'ils la voient s'intéresser peu de temps après avec un certain engouement, à tout ce qui touche au Japon. D'après Georgette qui se met elle-même ses propres illusions dans la tête, là bas, tous les gens sont sympas. Ils aiment tous les jeux vidéos et ils n'ont que des amis. C'est donc tout à fait l'endroit rêvé pour elle, pour s'épanouir enfin comme il faut.

Ses parents n'attendent pas plus longtemps, pour l'emmener visiter plusieurs fois cet endroit paradisiaque qu'elle trouve tellement formidable, à chacun de leurs voyages. Dévalisant comme d'habitude toutes sortes de boutiques, pour pouvoir lui offrir tout et n'importe quoi qui serait en rapport avec cette culture orientale, du moment qu'ils la voient être heureuse, Georgette finit par prendre la décision qui lui parait la plus logique. Elle fait le choix de son nouvel établissement qui l'enverra au lycée, pour continuer ses études dans ce pays qu'elle aime tant. D'abord hésitants, ses parents finissent par très rapidement céder. Mais à condition qu'elle loge non pas à l'internat, mais dans le manoir qu'ils lui achètent sans attendre, dans la périphérie de la ville de Seikuzu, l'endroit où se trouve son prochain établissement.

Comme ses parents ne pourront pas toujours être à ses côtés et parce qu'elle a durement insisté pour essayer de devenir un peu plus autonome, Georgette a donc d'abord placée sous tutelle, à cause de son âge. Et qui dit nouveau domaine, dit nouveaux domestiques. Cela inclus en plus de ceux du manoir, un chauffeur privé avec limousine et voiture de sport. Un pilote d'hélicoptère, avec son héliport privé sur le terrain. Un tout nouveau yoat de luxe, acheté dans le port de la ville. Et enfin, un jet privé prêt à décoller n'importe quand, pour se rendre partout en un clin d'oeil, y compris chez ses parents.

Un peu désolée d'assister à toute cette mascarade, même si Georgette sait que ses parents ne le font que dans son propre intérêt, elle finit par s'installer dans son nouveau chez elle, avec l'espoir d'avoir enfin droit à des amis. Des vrais et qui pourront l'apprécier comme elle le mérite. Mais bien que certaines choses pourraient peut-être enfin changer dans le bon sens pour elle, la jolie jeune rousse encore bien naïve, n'échappera pas pour autant à son lot de persécutions qui l'attendront inévitablement, notamment avec quelques anciennes photos jamais bien loin pour ressurgir, partout elle ira. Et c'est suite à de nouveaux problèmes qui se préparent déjà, notamment un qui risquerait d'éclabousser son propre paternel, que à peine pourtant arrivée, que Georgette appelle ses parents. C'est finalement après avoir posé certaines conditions, qui lui permettront de continuer de vivre un peu plus sa vie comme elle le souhaitait depuis son arrivée, que Georgette voit ainsi avec engouement, son propre père venir s'installer avec elle dans leur nouveau manoir. Autant pour qu'elle puisse s'habituer un peu plus facilement à sa nouvelle vie, que pour avoir aussi du soutient en cas de besoin. Ou encore pour tout simplement rattraper le temps perdu, suite aux absences régulières de son paternel, qui saura déjà certainement bien comment s'y prendre là-dessus.

Autres :

- Bonne Etoile : Fille de millionnaires, Georgette a à peu près les moyens pour pouvoir acheter tout ce qu'elle veut, sauf des amis, la seule chose qui l'intéresse vraiment. Que ce soit par l'océan, par les airs ou encore par le sol, elle a à disposition des chauffeurs et des pilotes qui sont prêt à la déplacer à toutes vitesses, où elle le voudra. Lorsqu'elle se trouve face à un danger qui menace directement sa vie, il semblerait que Georgette possède alors une chance hors du commun. A condition qu'elle ne joue pas avec diable non plus.

- Mauvaise Etoile : Georgette a tendance à attirer sur elle, une certaine malchance. Surtout en ce qui concerne la vie quotidienne et particulièrement le relationnel. Cela peut aller de la simple maladresse, en passant à des situations parfois plus farfelues, jusqu'à toute une scène qui pourra lui attirer de véritables ennuis. Comme par exemple les agressions en tous genres, du moment qu'elles ne menacent pas sa vie.

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