Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Megumi Peu importe

Pages: [1]
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One Shot / Re : Soirée de merde en fait, putain [PV]
« le: mardi 24 novembre 2020, 23:18:23 »
La jeune fille se tend à l'approche du gros balaise. Elle se laisse palper avec déplaisir, droite comme I. Elle ne s'attendant pas à un tel accueil ; c'est plus sérieux que prévu. Elle avait imaginé poser des questions sur Leslie à son arrivée, mais la mine du gardien ne l'encourage pas à desserrer la mâchoire.

« Le sac. »

Elle doit se faire violence pour ouvrir son sac devant l'inconnu, mais la peur aide. Elle l'observe observer en silence. Il ne me demande pas le paquet ? Apparemment non, il préfère la pousser à l'intérieur. Elle n'ose pas broncher, elle qui ne pige jamais rien, face à ce protocole apparemment bien rodé. Elle n'avait pas prévu de rentrer -"tu livres le paquet et tu te tires" avait ordonné le poprio - mais d'un autre côté le mieux est peut être de ne pas faire de vagues et de simplement s'exécuter. Hésitante, elle lance un regard en arrière vers le gardien qui l'ignore déjà. Bon, en avant...

Un pré-sentiment lugubre paralyse son esprit tandis qu'elle s'approche de la maison. Elle ne va jamais ressortir de cet endroit. En poussant la porte, elle débouche sur une pièce où se trouvent plusieurs homme à l'allure dangereuse. Les regards se braquent sur elle. C'est la scène d'exposition d'un mauvais film, et les mafieux font leur première apparition. Ils sont calmes, faussement amicaux, imprévisibles et violents. Arrêtes de délirer. Tu livres, tu sors...

« Oi, gamine ! viens par là, un peu. Fais-moi ce que tu m’as apporté... »

Le script se déroule et l'entraine malgré elle. S'avançant de quelques pas, elle sort le colis du sac et le tend d'aussi loin qu'elle peut à l'homme en blanc. Dès que celui-ci s'en saisit, elle le salue d'un hochement de tête.

« Bonne soirée à vous ! »


Elle fait aussitôt mine de partir, pressée de briser le scenario macabre qu'elle s'est inventé malgré elle.

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One Shot / Re : Soirée de merde en fait, putain [PV]
« le: vendredi 13 novembre 2020, 20:13:46 »
La tonalité résonne à son oreille. D'une main tremblante, elle range le téléphone dans sa poche, et marche nerveusement d'un coin à l'autre du séjour en réfléchissant. Il faut agir vite ! Prendre son portable, mettre des chaussures, rincer les pinceaux. Non, pas le temps pour les pinceaux. Regarder sur Google Maps où se trouve le lieu de livraison. Ah mais non... je dois attendre l'adresse par sms. Idiote ! Du coup je commence par quoi ?... Elle se prend la tête entre les mains, perdue dans la foule des actions nécessaires. Du calme. Méthode. Méthode, méthode, méthode. Méthode. Même routine qu'avec toutes les tâches banales et difficiles. D'abord, elle sort un carnet et un crayon de son vieux sac à dos gris. Bon.

1) Formuler clairement la tâche. Il faut livrer le paquet. OK.
2) Décomposer en étapes simples :
   - D'abord sortir, OK.
   - Aller... à pieds ou en bus ? Ça dépend de la distance. Mais c'est où en fait ? Et MERDE, j'ai toujours pas l'adresse, je peux pas avancer !..

Le Nokia vibre, elle s'en empare vivement. Un message avec l'adresse, comme promis. Puis un deuxième :

« Tu dis bonjour, tu souris, tu donnes le paquet, tu déguerpis et tu m’appelle, OK Midori ?
- OK »


Elle copie l'adresse sur l'application Maps de son téléphone et trace un itinéraire : 45 minutes à pieds. Probablement la moitié si elle prend sa trotinette. Elle abandonne l'idée du bus : trop compliqué. Bon, retour à l'étape deux.

2) Décomposer en étapes simples :
   - Sortir. OK.
   - Faire le trajet en trotinette : elle a l'itinéraire sur son téléphone. Elle note "téléphone".
   - Trouver l'adresse. OK.
   - Sonner, donner le paquet : elle note "paquet".
   - Appeler le propriétaire : elle note "téléphone de Leslie".

3) Préparer ses affaires. Elle enfile son manteaux, ses baskettes, s'empare de son sac à dos. Mécaniquement, elle raye un à un les éléments de la liste, les rangeant dans le sac ou dans la poche de vêtement appropriée.

Bon. Elle prend une inspiration : rien ne sert d'angoisser ; la méthode est efficace.

Quelques instants plus tard, sur sa trottinette,  elle file dangereusement vite sur le trottoir humide. Une chance que les rues soient plutôt dégagées à cette heure. Lorsque des silhouettes humanoïdes se dessinent dans la lumière orange des lampadaires, elle les évite en sautant sur la chaussée. À chaque intersection, elle s'arrête brutalement et vérifie la direction sur son portable, puis repart en kickant comme une folle.

Elle arrive finalement dans la rue de sa destination, essoufflée et les quadriceps en feu. Elle ralentit. Plus qu'à trouver le numéro. Le coin est plutôt chic, et éloigné du centre ville. On a là pas mal d'habitations individuelles de bonne taille, avec portail et jardin. Un petit évènement semble avoir lieu quelques maisons plus loin, si Megumi en croit les sons et lumières qui lui parviennent. Un homme, qui fume devant le portail, la regarde approcher. Elle cherche des yeux le numéro : c'est bon, c'est là. Elle descend de son bolide et s'approche de l'inconnu, auquel elle s'adresse sur un ton poli :

« Bonjooour... J'ai un paquet à livrer. Je suis au bon endroit ? »

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One Shot / Soirée de merde en fait, putain [PV]
« le: lundi 09 novembre 2020, 00:24:36 »
L'appartement n'est pas très grand ; 40m². On a vu pire, mais ça reste peu pour héberger deux personnes, surtout si l'une est une peintre quasi obsessionnelle dont les toiles pas sèches occupent en permanence l'espace. En principe, Leslie et Megumi se sont mises d'accord sur des règles :
  • pas plus de trois chevalets en même temps dans le séjour ;
  • le matos qui ne sert pas doit être rangé à sa place ;
  • qui salit, nettoie.
En pratique, la théorie est souvent mise en défaut. En pratique, c'est quand même plus simple de laisser cette couche de papier journal en permanence sur le sol. En pratique, il y a des tâches qui ne se récupèrent pas. Mais puisque Leslie est d'une infinie patience, Megumi peut tout de même s'adonner à sa passion. Et quand elle s'y adonne, elle s'y laisse absorber, parfois des heures durant - chose inattendue chez une personne qui peine à lire les recettes de cuisine en une seule fois. Faire naitre des formes sur sa toile est un bonheur immédiat ; dès qu'elle commence, sa conscience se fixe sur un objectif unique : donner vie au tableau. Facile, dans ces conditions, d'oublier le reste du monde et de perdre la notion du temps.

Ce samedi, Leslie est partie en début d'après midi, et Megumi en profite. Vers 15h, elle a enfilé ses "vêtements d'artiste" (un vieux jean et un t-shirt rose délavé, tous deux couverts de vieilles taches de couleur), puis elle s'est plongée dans ses ouvrages, une playlist électro sans fin en fond sonore. Et cela fait longtemps qu'elle travaille, lorsque que la sonnerie désagréable d'un vieux téléphone portable fait éclater sa bulle.

Agacée, elle pose le pinceau sur sa palette, et se retourne pour chercher l'origine du bruit. Ce n'est pas son smartphone qui sonne ainsi. Leslie, en revanche, possède plusieurs vieux Nokias increvables - au moins deux qu'elle utilise régulièrement. Megumi déniche finalement le portable dans un sac à dos de son amie. L'écran annonce "Proprio". Hm. Leslie n'aimerait pas que Meg décroche à sa place. Cette dernière pose donc l'appareil sur une table et retourne à son chevalet. La sonnerie finit par se taire. Arh, je n'aime pas ce que j'ai fait avec l'ombre de ce bloc... Attends, quelle heure est-il ? Elle retourne au téléphone quelle avait laissé : 21h23. Déjà ? Leslie devait pourtant revenir vers 18. Je devrais peut être faire à manger. Elle aura faim en arrivant. Et d'ailleurs, Megumi a faim.

Elle dégaine son propre téléphone et appelle le portable principal de Leslie. Elle a peut être déjà mangé après tout ? Mais qu'est-ce qu'elle fabrique ? La tonalité se répète pendant de longues secondes ; répondeur. Hm. Le Nokia lance à nouveau sa mélodie stridente : "Proprio". Pressée, Megumi retente sa chance : attente, tonalité, répondeur. Elle soupire, agacée. Elle entre dans la cuisine, débarrasse rapidement ses mains de leur peinture dans l'évier, et s'essuie dans son jean. Elle ouvre le frigo, le placard, et réfléchit : il n'y a plus grand chose d'intéressant, et puis elle veut manger maintenant : ça sera des nouilles dans l'eau chaude, donc. Elle met de l'eau à bouillir, déballe les nouilles et commence à les manger crues, une par une. Le Nokia sonne à nouveau. Merde, mais y'a quoi de si urgent ?... La sensation que quelque chose ne va pas commence à s'installer dans son ventre. Elle essaie encore de joindre Leslie : répondeur. Son pouls accélère : petite panique. Merde, qu'est-ce que je dois faire ? Le Nokia sonne encore. Elle l'ignore, il se tait. Angoissée, elle retourne au séjour éteindre la musique. Dans le silence revenue, elle se masse les tempes avec les mains. Y'a peut être un vrai problème ? Le seul moyen d'être fixée serait de joindre Leslie. Mais peut être que son absence et les appels du proprio sont liés. Elle est peut être avec lui ? Elle hésite à le rappeler : après tout, il n'y a pas grand chose d'autre à faire. Mais c'est peut être une connerie ? Le téléphone coupe court à ses hésitations en sonnant encore : elle décroche.

« Oui, bonsoir ? »

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Prélude / Re : Tout vient à brûle pourpoint [Vanéalidée !]
« le: dimanche 08 novembre 2020, 17:12:35 »
Z'êtes trop bonne madame :)

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Prélude / Tout vient à brûle pourpoint [Vanéalidée !]
« le: samedi 07 novembre 2020, 17:45:39 »
Citation de: enpsychopedia.net/maladie_de_macmillan

Présentation :
La maladie de MacMillan est rare et touche exclusivement les individus de sexe féminin. Ses principaux symptômes sont les suivants :
 • trouble de l’attention (avec ou sans hyperactivité) ;
 • difficulté à inhiber ses réponses émotionnelles, impulsivité ;
 • à partir de la puberté : difficulté à réguler ses impulsions d'ordre sexuelles, pouvant mener à des comportements inappropriés.
En raison de ces difficultés, les adolescentes victimes de cette maladie sont souvent en situation d’échec scolaire. Plus tard, elles ont généralement des difficultés à trouver et/ou à conserver un emploi. Elles sont souvent économiquement précaires et isolées socialement.

Causes :
Il semble que l'origine de la maladie soit essentiellement génétique. Des études récentes ont mis en évidence l’omniprésence d’une mutation spécifique du gène RAT-P2 chez les patientes victimes de la maladie de MacMillan.

Comorbidités :
Les victimes de la maladie de MacMillan ont, par rapport à la popultion générale :
 • 8 fois plus de chance de développer une addiction à une substance psychoactive, et 15 fois plus de chance de développer une addiction aux opiacés ;
 • 12 fois plus de chance de subir une grossesse non désirée avant 18 ans ;
 • une plus grande tendance au stress chronique, bien que le phénomène soit difficile à quantifier.

Traitement :
Les patientes victimes de la maladie de MacMillan réagissent mal aux médicaments typiquement utilisés pour traiter les troubles de l'attention, ceux-ci provoquant des céphalées très intenses. Les instances de santé ne recommandent actuellement aucun médicament dans le traitement de la maladie.


« J’avais 16 ans quand j’ai lu ça la première fois ; j’ai chialé je me souviens. C'était comme le marteau du juge, bam. Avant le diagnostique, je croyais qu'un jour je serais comme les autres. À force d'essayer. Mais finalement ça m’a soulagée de savoir que j'avais pas le contrôle. J’ai arrêté d’espérer. Ma mère a arrêté de me torturer avec ses exercices pour augmenter ma mémoire de travail. J'ai pu sécher les séances de psy sans qu’elle m’engueule. Bref, je me suis mieux acceptée, et elle s’est autorisée à baisser les bras. On a convenu sans le dire que c’était foutu de toute façon. »

Avec un haussement d'épaules, Megumi s'affale sur le dossier de sa chaise et prend une sirotée de son cocktail sans alcool. En dépit de son prénom japonais, son visage n'a rien d'asiatique. Elle est pâle comme une européenne du nord, et parsemée de grains de beauté ; brune, mais pas autant que les japonaises, et sa chevelure sans discipline ondule en occupant l'espace. Elle est belle, bien qu'on ne puisse dire que ses traits soient délicats. Ses lèvres sont charnues ; ses sourcils noirs sont visiblement laissés à leur épaisseur naturelle ; ses grands yeux pâles, qui ne cessent de se promener d'une chose à l'autre, sont cernés par le manque de sommeil. La fille n'est pas imposante, mais sous le pull gris qui épouse son buste, on devine des épaules et des bras sculptés par l'exercice. Sur la table, l'écran fissuré de son smartphone continue d'afficher la sentence psychiatrique.

« Je me suis tellement bien relâchée, qu'après avoir redoublé ma première année de lycée, j'ai empiré mes résultats. J’en avais plus grand chose à foutre, honnêtement. Quelle idée de m’avoir mise dans la filière générale aussi ? Je sais même pas comment ma mère avait réussi à m’y faire accepter, à la base. Elle était encore déterminée à ce que je "réussisse" envers et contre tout, à ce moment là. Mais bon j’ai pas envie de trop parler de ma mère. Encore moins d’entendre ton opinion sur elle. Quoi que tu dises ça va m’énerver.

Bref, je détestais vraiment l'école. Les cours c'était une torture. Déjà je trouve ça compliqué de rester assise sans bouger trop longtemps. Mais surtout, écouter un prof parler pendant plus de 10 minutes c'est un effort surhumain pour moi. J'ai pas eu beaucoup d'amis à l'école. Au lycée, j'étais vraiment seule. Pour les autres j'étais juste une Marie-couche-toi-là un peu bizarre. Je leur ai donné de bonnes raisons de le penser, faut dire. J'avais pas vraiment d'amis, mais j'ai couché avec quelques mecs - c'était toujours un peu pareil : ils étaient contents de me voir quand on était seuls, et en publique ils me méprisaient comme tout le monde.

Ma première fois c'était euh... à 14 ans. Je rentrais chez moi le soir, par le même chemin que d’habitude, et j'ai croisé un mec trop beau. Un grand blond avec une allure de caïd et une tête d’ange. Il avait tout un bras tatoué, et il était là, assis sur un escalier. Il m'a regardée avec un air hautain et ça m'a retourné tout l'intérieur du ventre, vlan ! J’ai voulu passer comme si de rien n’était mais je l'ai sûrement trop regardé ; il s'est levé et il m'a lancé : "Salut toi, t’habites dans l’coin ou quoi ?". Bon après c'est allé très vite, voilà. J'ai passé un an avec lui - enfin, avec lui, disons que c'était compliqué. Ça m'a laissé le temps de découvrir que j'aimais qu'on me traite mal - enfin, que ça m'excite en tout cas. Bref. »

Elle regarde son verre désormais vide, songeuse.

« Je crois que j'ai jamais vraiment eu d'ami, à part Leslie. C'est la blonde sur mon fond d'écran là. C'est elle qui m'a poussée à quitter le lycée et à fuguer - à, euh... 18 ans. Y'a 3 ans, du coup. On l'a fait ensemble. Ou plutôt, elle m'a dit "je pars, tu viens ?" et je l'ai suivie. Je l'aurais probablement pas fait toute seule. J'aurais obéi à ma mère et j'aurais repris à zéro en collège technologique. Mais quand Leslie me dit "viens", je la suis. Elle sait toujours mieux que moi. Elle a la tête sur les épaules, les pieds sur terre. Si elle était pas là je serais bien dans la panade. Je pense que je serais à la rue ou prostituée, vraiment.

Parce que pour moi, le boulot c'est l'horreur. Je me fais virer de partout. Mais c'est normal, au fond : je suis pas fichue de me souvenir de plus de deux instructions simples ; j'y arrive pas. Des fois les gens me parlent et je me rend compte que je sais pas ce qu'ils viennent de dire. Ça m'angoisse de chercher du travail ; j'ai peur qu'on me prenne, que je doive vraiment y aller. Mais si je cherche pas, j'ai trop honte. Je veux pas être au crochet de Leslie pour l'éternité. Elle, elle dit qu'un jour mes peintures seront assez mûres pour rapporter de l'argent, mais j'espère qu'elle n'y croit pas vraiment, parce que moi je crois que je la décevrais. »

Le visage dur, elle se tait un instant en fixant le vide, avant de ramener ses yeux gris à toi.

« Pardon d'être aussi négative, je vide un peu mon sac sur toi. C'est pas le but du speed-dating normalement, hm ? J'ai passé une sale journée, je me gère mal. »

Un sms illumine l'écran du téléphone. Elle s'en saisit pour lire.

« ...ah, merde. Je dois y aller. »

Elle se lève : sa silhouette fine et athlétique se distingue sous ses vêtements ; son jean slim usé met en valeur un fessier rebondi et des hanches qui contrastent avec l'étroitesse de sa taille. Elle s'étire, exposant un instant une parcelle de son abdomen, où la ligne d'un muscle oblique se laisse voir sans effort sous la peau blanche. Elle laisse retomber ses bras avec nonchalance, et se saisit de sa veste en faux cuir.

« Désolée, hein, je t'ai pas laissé beaucoup parler. Merci pour la boisson. C'est quoi ton prénom déjà ? »

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