Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ange Gabriel

Pages: [1] 2 3
1
Te surveiller est important, Tani... murmura Gabriel, sa voix plus basse qu’un souffle. Mais pas plus que chasser les démons qui mettent en danger toute l’école, toi compris... et probablement bien plus que ça.

Ses yeux turquoise restaient fixés sur lui, mi-clos, m-ilumineux, comme si elle voyait à travers lui sans vraiment le juger.

-Tu dis n’avoir rien... rien à prouver... soupira-t-elle, la lumière autour d’elle tremblant comme une flamme.
Mais regarde tout ce que tu fais... pour te prouver que tu existes. Regarde... tout ce malheur... que tu laisses derrière toi.

Sa voix se brisait parfois en soupirs qui avaient quelque chose d’étrangement caressant. L’étreinte était réelle, chaude, et pourtant son regard restait clair. Elle sentait son corps, ses gestes, la pression qui la prenait comme une vague ; elle sentait aussi son propre sang battre dans ses tempes, cette maîtrise qu’elle refusait de lâcher. Elle comprenait qu’il puisse être frustré : rares devaient être les filles capables de supporter pareille intensité sans se briser... ou alors il y avait en lui quelque chose de plus, une magie qui réparait ce qu’il abîmait sans jamais réparer ce qu’il était. Ou encore qui renforçait ses partenaires, les rendant apte à enciasser bien plus qu'une humaine normale.

-Si tu arrêtes, si tu m’aides... je peux te montrer ce qu’est le vrai plaisir, reprit-elle doucement.
Celui d’aider son prochain, et peut-être d’être aimé pour ça. Pas celui qui te vide de ton humanité.

Elle ne l’avait pas repoussé violemment. Elle ne l’avait pas foudroyé. Mais ses mots, ses yeux, sa présence changeaient l’air. Même dans ce contact brûlant, même dans cette tension, il pouvait sentir que quelque chose de plus vaste, de plus lourd que lui, était en train de s’infiltrer dans ses veines comme une promesse.

-Choisis maintenant, Tani ... souffla-t-elle. Ou continue... et vois ce qui arrive quand on ose toucher ce qui brûle.

Ses lèvres furent capturées par celles de Tani. L’assaut était brut, presque animal, mais sous ses paupières mi-closes il n’y avait ni panique ni dégoût. Juste ce souffle qui l’enveloppait, ce mélange d’odeur de craie et de chaleur humaine, ce goût d’instinct. Elle laissa passer une seconde. Deux. Puis, lentement, elle répondit. Pas par soumission, mais par un souffle qui calmait au lieu d’énerver. Sa bouche, douce, rendait au baiser une autre texture, comme une eau tiède sur un fer brûlant. Elle se laissa glisser plus près, ses mains contre ses épaules, sa poitrine contre son torse, un contact ferme mais qui n’avait rien de servile : un lien, pas une reddition.

Du coin de l’œil, elle aperçut l’horloge. Peu de temps. Elle ne jouirait, ce qui était probablement pour le mieux, quoiqu'elle ne put se départir d'une légère déception. Elle espérait qu'il en irait différemment pour lui. Elle inspira profondément et murmura encore, sa bouche effleurant son oreille :

-Tout peut changer ici, Tani... si tu veux. Mais je ne serai pas juste une ombre de plus à consumer.


Le halo discret qui émanait de sa peau vacillait comme un cœur qui bat. Dans ce couloir où le temps paraissait suspendu, Gabriel sentait la poussière de craie, le vernis usé du parquet, la froideur du mur dans son dos… et malgré tout, elle y déposait sa chaleur. Elle pensa à l’élève qu’elle avait sauvée, aux regards vides qu’elle avait croisés ces dernières semaines, à l’ombre du culte qui rôdait encore derrière ces murs. Peut‑être que Tani n’était qu’un pion, peut‑être qu’il pouvait devenir autre chose. Elle voulait lui tendre cette possibilité, pas lui arracher son instinct, mais le guider vers un élan plus grand. Son souffle se fit plus lent, presque caressant, et sa lumière trembla encore, comme une promesse qu’il pouvait saisir s’il le voulait.

2

-Si tu as si peur … Tu n’as qu’à continuer à me surveiller et intervenir comme maintenant … ce n’est pas bien compliqué ! Si je suis gentil c’est bien parce que tu es très coopérative … Mais j’espère que tu prendras la bonne décision …

"Je ne peux pas te surveiller en permanence, Tani."

Un murmure simple, presque doux. Mais dans ses yeux, une note plus grave, une attente suspendue.

"À moins que... tu ne m’aides dans mes autres tâches."

Elle laissa planer cette phrase, comme un parfum étrange dans l’air déjà saturé de craie, de sueur adolescente et de faux-semblants.

Elle ne dit rien de plus, pas tout de suite. Parce que Tani n’était pas prêt à entendre. Et parce qu’il y avait des oreilles partout, même lorsqu’il n’y avait personne.

Ses douces lèvres continuaient d'aller et venir en un lent ballet le long de son sexe tendu, tandis que ses doigts faisaient de même entre ses propres fesses. Lorsqu'elle se sentit prête elle retira cette intubation qu'il lui faisait, pour se redresser et lui offrir le trou qu'elle avait commencé à préparer.

-Oh ? Tu me rendrais vraiment malheureux de ne pas pouvoir savourer tout ton corps ?


"tu as rendu de nombreuse filles malheureuses, tu sais ? Prouve moi que tu peux faire mieux que ça, et peut-être que j'essaierai de te rendre heureux à ton tour.."

La douleur et le plaisir mêlés de son large sceptre glissant entre ses fesses ne rendait la discussion facile pour aucun d'eux. D'autant moins facile qu'elle sentait sa virilité écraser son vagin et le stimuler ainsi, déformant jusqu'à son ventre. Elle ondulait son bassin pour lui procurer un maximum de plaisir, ses entraille lui prodigant également un massage par pressions successives tout le long de sa verge. Mais lorsqu'en plus il se saisit de sa perle Vénus, tous ses bastions pris d'assaut, anus, point G, cervix et poitrine en plus, elle se dit qu'il lui faudrait sans doute réellement faire appel à son entrainement pour résister...

-Aaah … T’es bien serrer … Tu m’absorbes …

Et de fait, elle l'absorbait. Tous ses muscles étaient consacrés à donner du plaisirs, et notamment à l'aspirer en elle. Elle le massait à l'intérieur, mais évidemment à l'extérieur également, ses mains se perdant sur son buste, autour de son cou, ou encore à la base de son sexe, jouant de ses bourses et de son périnée, esquissant de timide escapade vers son trou à lui. Ses lèvres elles aussi mettaient leurs talents en œuvre sur son cou, sur ses oreilles... Elle avait appris à donner du plaisir pendant plus de quinze ans, et son âme avait une expérience plurimillénaire, même si elle même ne s'en souvenait pas. Elle était heureuse d'avoir une première cible d'entrainement en situation réelle pour mettre cet entrainement à l'épreuve. Seuls ses talents de guérisons avaient servis sur Terre jusqu'alors.

-Ooh … ca grossi bien …

Gabriel fut quelque peu déstabilisée. Elle avait espéré faire cela discrètement. Elle ne dit rien, mais ouvrit son chemisier pour le laisser la peloter à son aise, espérant qu'il penserait que ce n'était que l'excitation qui avait gonflés ses petits tétons et ses seins. Elle continua de faire pousser sa poitrine, mais à un rythme moins soutenu. Il faudrait tout de même qu'elle pense à ne pas trop la faire pousser si elle voulait pouvoir refermer son chemisier et entrer en cour ensuite...

3
Dans ce cas, vas-tu m’apprendre après m’avoir bien bien nourri ? Je me demande combien de temps cela pourrait te prendre, parce que j’ai faim tous les jours ! … Et je n’ai pas peur … et toi ?

Moi j'ai peur, Tani. Peur de te laisser blesser ton âme en faisant du mal.

Il la pelotait sans vergogne, et elle ne faisait rien pour l'arrêter. C'était agréable pour tous les deux, alors pourquoi s'en priver ...

Chez moi, c’est mieux une fois que ça m’appartient ! Quand j’en ai la certitude, cela mérite récompense … et discussion … Pourquoi être gentil avec ceux qui ne le mérite pas ? Mais je sais une chose … Je veux ton corps qui est … miam…

Et bien dans ce cas demande à l'autre de t'appartenir avant de la prendre de force. Ce sera plus plaisant pour toi et pour elles. Montre moi comment tu demanderais.

Peut être … mais si on ne peut pas tout faire, on peut en faire le plus possible … Même si on a peu de temps, il me faut jouir avant les cours … Sinon je ne pourrai pas y assister … Tu sauras me faire un premier soulagement ?

Tu vois que tu sais demander gentiment, Tani. On va essayer ça. Répondit-elle en souriant.

Elle défaisait ce pantalon pour laisser paraitre sa verge qui l’impressionnait au point de douter de la survie des autres filles qui pourrait y faire face. Il sourit alors avant de se lécher les lèvres.

Si tu as si peur pour elles … prend leur place à chaque fois …

Je vais y réfléchir. Tu vois que je n'ai pas hésité à le faire pour celle-ci. Mais je n'ai pas très envie de te récompenser de tes aggression. J'aurais toutefois quelque chose du genre à te proposer. On en reparlera.

La main du jeune homme pressait sa tête contre sa verge. Elle l'engloutit avec difficulté, ne pouvant faire autrement que de laisser un peu ses dents trainer. Elle se demandait si es humaines étaient même capable d'ouvrir aussi grand. Elle fit coulisser l'énorme membre au fond de sa gorge à force d'avaler, la massant par des mouvement de déglutitions. Puis elle continua à l'enfoncer, sa gorge se déformant visiblement sur le passage de Tani. Bientôt ce fut dans son oesophage qu'il s'introduisit, tandis qu'elle en venait à lui lécher les bourses à la base de son sexe titanesque.

Tes fesses étaient superbe … Je veux les sentir pendant que j’entre en toi … J’ai envie de tes deux trous … Je suis certains que tu arriveras rapidement me décharger avec ceux-ci …

Ayant fait tout ce chemin elle rechigna un peu à sortir l'objet immédiatement. Elle fit quelques va et viens, ne reprenant pas son souffle durant plusieurs minutes, avalant chaque fois que nécessaire. Dans le même temps elle repris ses caresses sur ses fesses et son anus, se doigtant un moment, pour se préparer. Puis elle se retira, et aspira goulument, se massant un moment les mâchoires mise à rude épreuve pour qu'elle restent bien en place. L'air n'était pas une nécessité pour elle. Mais son corps humain en avait la plupart des réflexes.

Mes fesses ok. Le reste ... on verra plus tard si tu le mérite.

Elle empoigna de nouveau le sceptre turgescent de l'agresseur et le glissa contre elle, entre ses cuisses, frottant son intimité afin de l'humidifier un brin encore, jusqu'à ce qu'il atteigne son étoile du soir, l'y pressant avec force. Malgré la préparation et sa volonté de s'ouvrir, ce n'était pas si facile. Son entrainement et son corps angéliques souple et toujours propre allaient l'aider à ce que tout se passe bien, et bientôt le gland glissait doucement en elle, lui arrachant un soupir d'aise, mêlée d'un peu de douleur. Ce n'était peut-être pas plus mal. Elle espérait que ça l'aiderait à ne pas jouir, si des capacités démoniaques résidaient en lui. Ou du moins à ne pas jouir avant lui.

Je pourrai aussi attraper cette poitrine qui me parait bien entretenue …

Elle rit, un peu surprise que ses seins actuels et l'heur de lui plaire.

Je te garde ma poitrine pour plus tard... Peut-être en cours. Mais tu peux la cajoler avec douceur, en attendant.

En l'état, ses seins n'aurait clairement pas pu faire le tour d'une verge d'une telle taille. Aussi commença-t-elle à les faire grandir lentement, afin que ce ne soit pas trop évident.

4
-La prédation peut parfois être un jeu …


Gabriel eut un léger air peiné en répondant. Pensait-il vraiment que c'était un jeu pour les filles qui se faisaient agresser ?

Il faut que chacun s'amuse, pour que ce soit un bon jeu. Leur proposes tu une façon de gagner ?

-Tsss … Sois tu es le gibier, soit tu es le prédateur … Que fait l’un ou l’autre quand il y a une situation qu’il n’aime pas ?

Tu te trompes. Tout n’est pas une chasse. L’amour et le désir ne sont pas questions de proie ou de prédateur. C’est quand deux personnes choisissent, sans armes ni pièges, de marcher l’une vers l’autre. Le reste… c’est juste un jeu de fauves qui ont peur de se montrer tels qu’ils sont. De quoi as tu peur, Tani ?

Je suis territorial … et rien ne me dis que tu m’appartiens en ce moment ! … La douceur est difficile …

Sa main sur ses fesses et dans son dos était éminemment agréable. Ses paroles étaient entrecoupées de soupir profond tandis que son plaisir et son désir augmentaient. Elle avait appris à ne pas s'y abandonner totalement, mais ça ne l'empêchait nullement d'en profiter.

Et pourtant ... tu y arrives. N'est-ce pas mieux ainsi ? Et en effet ... Je ne t'appartiens pas. Si ça peut te rassurer .... Si ça peut te rassurer, je ne considère pas que tu m'appartiens non plus. ... Est-ce que ça te déplaît ? Est-ce que tu veux t'arrêter pour autant ? ... Est-ce que ça te serait plus agréable si je te forçais dans des postures selon mon imagination sous prétexte que je le peux ?

Elle rechignais à lui montrer de trop près ses propres méthodes. Elle aurait très probablement pu le plier à sa volonté et s'en servir comme d'un jouet. Aurait-il approuvé cela ? Aurait-il aimé ? Mais le sexe devait rester un plaisirs pour tous les deux. Inspirer, guider, montrer un meilleur chemin, voilà qui lui paraissait infiniment préférable. Elle avait de nombreuses idée sur la manière de procéder, mais avant d'enseigner à un enfant, il faut le nourrir pour qu'il soit capable d'être attentif.

Elle essayais de lui faire comprendre que l'amour et le sexe n'avaient nullement besoin d’agression pour exister, et que l'on pouvait s'abandonner de son plein grès à ceux ci. Que le partage n'en serait alors que plus grandiose. Les possibilités plus proches de l'infini...

Je peux avoir le temps de tout te faire …

Tout Tani ? Un millier de vie d'hommes ne suffirait pas à couvrir ce que l'on peut faire à deux...

Aaah … bordel si tu crois qu’il va être facile de calmer cette faim … Tout y passera avant minuit … Tu as ma parole …


Nous n'avons pas jusqu'à minuit, Tani... Nous avons quelques minutes avant que les autres n'arrivent, et que le cours ne commence. Il y aura un après. Dépendant de ton comportement en cours...

Elle ouvrit son pantalon pour laisser s'échapper le monstre qui s'y cachait... Véritablement une terrible créature. Ce garçon n'avait-il vraiment rien de démoniaque ? Ou peut-être un de ces terranides éléphantesques ?

Je doute que la plupart des hu ... des filles soient capable d'encaisser une verge de cette taille... même d'y survivre ...

Mais elle n'était pas la plupart des humaines. Il avait l'air de préférer goûter le contact de sa bouche plus tôt que celui de ses fesses, comme elle le proposais ... Ainsi soit-il, cela ne la dérangeais pas. Au contraire même, elle avait moins de chance de jouir ainsi. Elle espérait le purifier de sa dépendance au sexe, pas être corrompue par elle. Une fois qu'il serait purifié ... peut-être pourraient-ils aller plus loin. Une de ses mains agrippa tant bien que mal ce sceptre turgescent, tandis que l'autre venait lui masser les bourses. Sa bouche arpentait toute la longueur pour y déposer de petits baiser humides, progresser lentement vers son gland. Même avec son entrainement, avaler ceci n'aller pas être simple.

5
Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: vendredi 15 août 2025, 14:33:31 »
Oh. ça a l'air d'être un bon moyen de découvrir des perso, ça. ^^
Hum ... j'ai le droit de m'épouser ? Est-ce que dans ce cas la masturbation sera autorisée car sexe au sein du mariage ?
Bon quelque part je suis mon esclave, je m'obéis au doigt (souvent) et à l’œil (Sauf quand je me fais payer).
Hum. J'épouse Veronika parce qu'au moins la mort ne nous séparera pas.Je m'esclavagise, parce que je me tue déjà à la tache (mais ce n'est qu'une petite mort)Je tue Akita parce que pas la main verte

Anakha, Tani Rei, Lynn

6
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: vendredi 15 août 2025, 13:31:20 »
Avec plaisir, jolies écailles ...
Embrasseriez vous un crapeau prétendant pouvoir se transformer en prince ou princesse ?

7
-Enchantée, Tani. Sourire

Même si je n'étais pas intervenue, elle n'a pas eu besoin d'aide pour s'enfuir. Semblant s'apercevoir qu'elle pourrait blesser l'égo de l'agresseur, elle ajoute, avec l'air de s'excuser Non que je veuille remettre en cause tes talents de prédateur.

Puis, elle continue ses explications

Dans tous les cas, je pense qu'elle n'avait pas envie. Il y a des choses que tu n'aimes pas qu'on te fasse, Tani ?

Elle souriait toujours. Sa question était un brin inquisitrice, mais elle ne se départait pas de sa bienveillance. Elle cherchait une chose que l'on aurait pu lui faire qu'il n'aurait pas aimé, afin qu'il saisisse le parrallèle. Elle s'attendait un peu à ce qu'il joue au malin en lui répondant quelque chose du genre "Qu'on me fasse la morale". Mais peut-être qu'il commencerait à comprendre, au moins.

Je respecte Toujours ma paroles, Tani.
son ton était sans appel. Pourtant, en sentant ses caresses, elle se cambra légèrement pour lui faciliter l'accès. Un premier avant goût. Il allait de toute façon falloir lui faire sentir une certaine dose d'amour pour l'encourager dans la bonne voie. Et ce n'était pas désagréable non plus, quoiqu'il ne soit pas assez à l'écoute de ses désir, à elle.
Dans un soupir elle lui dit
Caresse moi un peu les fesses d'abord. En douceur, s'il te plait. Et peut-être le dos aussi ...
Sa main à elle vint caresser sa verge et ses bourses au travers de son pantalon, les palper sans trop d'insistance

Ce sera beaucoup plus amusant de ne pas les sécher. Tu verras.

Soudain, arrivant près de la salle, et profitant du couloir vide, elle l'attire contre elle et l'embrasse langoureusement, pour le goûter jusqu'à son âme, l'attirant contre elle, elle même coincée entre lui et le mur, sa poitrine pressé contre son buste, son bassin collé à lui également, afin de sonder ses réactions. Comme elle le pensait il n'est pas vraiment mauvais. Seulement Affamé. Et personne ne lui a appris l'empathie. Oh, il a bien quelques démons, mais elle aurait tôt fait de le purifier. De toute façon, il allait falloir lui donner un peu pour le faire patienter. Pour qu'il voit ce qu'il y avait à gagner à se racheter.

Ce baiser l'investirait aussi d'une éphémère bienveillance... Mais insuffisant pour quelque chose de durable.

Rompant le baiser, elle lui glisse à l'oreille

Comme tu l'as dit il reste un peu de temps avant les cours... Tu crois avoir le temps ? Si tu le penses ... et bien nous allons pouvoir nous amuser un peu.

S'écartant un peu, elle se baisse et retire sa culotte, avant de la glisser dans la poche de poitrine de Tani. Elle est un peu humide du baiser, et des attouchements précédents. Ou peut-être simplement parce qu'elle en a envie. En remontant elle caresse l'entrejambe du garçon. Elle pourrait trouver ça indécent, mais il a été assez clair sur ses désirs... Sa culotte dans la poche elle glisse sa main entre ses cuisses pour jouer avec sa mouille, et venir en barbouiller son autre trou. Elle n'a pas l'intention de lui donner sa chatte, encore moins sa virginité. Pas encore du moins. Pour l'instant il devrait se "contenter" de ça. Elle se prépare à guider sa verge là où il faut s'attendant à ce qu'il soit trop affamé pour la laisser choisir sans insister.

Empoignant sa ceinture et le bouton de son pantalon, elle lui jette un regard interrogateur, se préparant à les défaire.

Pour l'instant nous sommes seul. Et je n'ai pas l'intention que l'on nous voit faire... trop. Tu as jusqu'à ce que quelqu'un arrive pour nous amener à bon port. Ensuite ... ensuite nous pourrons continuer en cours, avec des choses discrètes ... Et sous certaines conditions...

8
Gabriel entendit crier, et une très jolie demoiselle jaillit du placard, visiblement secouée, sa tenue en désordre. Gabriel fit un pas en avant, une main tendue, appelant doucement — mais elle n’eut pas le temps d’intervenir.

D’un geste brusque, elle fut elle-même happée dans le placard. La porte se referma dans un claquement sourd. Un bref cri de surprise lui échappa… puis elle se laissa faire. Elle était venue pour ça.

Le placard aurait dû être plongé dans l’obscurité. Mais la faible lueur qui émanait d’elle — imperceptible à la lumière du jour — suffisait à projeter de pâles ombres sur les balais, les seaux… et sur son vis-à-vis.

Tsss… L’héroïne va prendre sa place, ça te va ? … T’es pas mal... T’es nouvelle toi aussi ? C’est quoi ton nom ?

Gabriel lui souriait. Un sourire calme. Bienveillant. Presque… serein.

C’est gentil. Oui, je suis nouvelle. Je m’appelle Gabriel. Et toi ?

Une pause.

Et oui, ça me va. Je suis venue pour ça. Je me doutais que tu ne la laisserais pas partir sans un échange équivalent, alors… me voilà.

Elle baissa les yeux vers le bras qui tentait de la retenir, l’air vaguement ennuyée. Elle aurait pu s’en défaire en un instant — mais elle craignait de blesser son ego, à défaut de son corps, sans en tirer quoi que ce soit.

Cela dit, je crois qu’il va bientôt être l’heure de retourner en cours. Tu as fait peur à une fille, ici. Et si j’ai bien compris les règles de cet endroit, tu risques gros en restant là.

Elle avait failli dire "des humains" — elle se rattrapa juste à temps. Un regard rapide vers lui pour voir s’il avait remarqué. Sans insister.

D’un geste fluide, elle écarta doucement son bras, manquant de le déséquilibrer. Elle eut un réflexe pour le retenir — geste probablement superflu, mais sincère.

La porte s’ouvrit. La lumière du couloir filtra de nouveau.

Gabriel se retourna, lui tendant la main, paume ouverte.

Viens en cours avec moi. J’ai quelque chose à te proposer. Si j’ai bien compris ce que tu recherches, tu pourrais y trouver bien plus que ce que tu crois.

Et devant son air contrarié, elle ajouta :

Ou bien… on peux rester ici, rejouer la même scène encore une fois, et tu peux me tripoter, espérer un soulagement de surface qui n'aura pas le temps d'arriver. Mais tu ne seras pas plus apaisé. Tu te feras renvoyer, et tu continueras à blesser. Et ce sont deux choses que je ne veux pas.

9
La cafétéria était toujours un défi.
Trop de bruit. Trop de monde. Trop de couleurs vives. Chaque plateau qui tombait sur la table sonnait comme une cloche de gare. Chaque voix semblait chercher à dominer les autres. C’était un monde d’exubérance, d’énergie brute… et Gabriel s’y sentait constamment en décalage.

Elle s’y fondait pourtant. Du moins en apparence. Son uniforme était parfaitement conforme : jupe plissée, chemisier ajusté, veste réglementaire. Le tissu lui paraissait rèche et grossier, notamment celui de ses sous-vêtement qu'elle avait songé à retirer. Mais un observateur extérieur n'aurait rien eu à redire, sinon peut-être qu’il était trop net, trop impeccable, et que le tissu semblait capter la lumière autrement. Rien de visible à l’œil inattentif. Mais pour qui regardait de près, elle avait l’air trop propre pour être vraie.

Elle sortit avant la cloche, comme souvent. Prétexte simple : elle n’avait pas faim. En vérité, elle était en chasse.
Les souvenirs confus de l’élève qu’elle avait arrachée aux chaînes du cercle démoniaque revenaient sans cesse. Tout cela se passait en dessous de ce lycée. C’était ici que les cultistes l’avaient trouvée. Ici, que tout avait commencé.
Gabriel avançait sans faire de bruit, chaque pas mesuré. Dans la foule du lycée, détecter une mauvaise pensée n'aurait rien apporté. En quelques jours, Gabriel avait compris que les humains en avaient sans arrêt. La plupart du temps ils en avaient aussitôt honte, et elles ne prêtaient pas à conséquence. Mais elle savait observer. Et aujourd’hui, quelque chose clochait.

Un garçon. Tani. Croisé plusieurs fois depuis le matin. Pas violent. Pas agité. Mais trop précis dans ses déplacements. Trop d’attention portée aux nouvelles élèves. Trop peu d’intérêt pour tout le reste.
Elle l’avait vu quitter la cantine en avance, l’air indifférent. Mais ses yeux avaient suivi une fille. Une toute nouvelle, comme elle. Petite. Silencieuse. Isolée.

Gabriel avait ralenti. Contourné les autres élèves. Lu une affiche. Jeté un œil à l’horloge.
Et puis elle l’avait vu. Le coin du couloir. Le placard. La porte entrouverte.
Le mouvement brusque.
Un claquement trop rapide.
Elle s’arrêta.
Personne autour. Les couloirs se vidaient lentement. Personne pour entendre. Personne pour voir.
Elle ne courut pas. Pas encore. Elle s’approcha, droite, calme. Elle savait qu’elle devait éviter la panique, éviter de donner l’alerte, éviter d’être trop tôt révélée.
Arrivée à quelques mètres du placard, elle s’immobilisa, les mains croisées devant elle.
Puis elle parla. D’une voix douce, parfaitement posée, mais audible dans le silence du couloir.
-Pas sûre que ce placard soit assez grand pour deux...
 Est-ce que tout va bien, là-dedans ?

Son ton n’avait rien de menaçant. Mais son regard, turquoise et fixe, démentait son innocence.
Elle attendit.
Un mot. Un bruit. Un geste.
Elle était prête.

Si elle ne recevait aucune réponse, elle ouvrirait la porte brusquement pour voir ce qui s'y passait. Se ce n'étaient qu'une surprise entre amis, amants, ou autre, il n'aurait aucune raison de ne pas répondre.
Si elle recevait deux réponses convaincantes , elle ne passerait qu'un oeil pour vérifier en essayant de passer innaperçue.
Et si quelqu'un lui faisait signe d'intervenir, elle plogerait dans le placard à son secours.

10
Prélude / Re : Jeune Ange Gabriel [Valikoyée]
« le: samedi 09 août 2025, 02:52:37 »
Merci. :)
Attention à ne pas te blesser en skate, il me faudrait recoller les morceaux … :p

11
Prélude / Re : Jeune Ange Gabriel [Valikoyée]
« le: vendredi 08 août 2025, 12:34:52 »
Oh un ange ... qui fais quelque peu grise mine ...

Merci :)

12
Chalant de [Ange Gabriel]
Méthodes de Communications
J'aime les possibilités qu'offre le rp par forum. Mais je ne suis pas fermée à d'autres options, discord ou autre.
Niveau d'Activité et Niveau Recherché

Pas d'attente spécifique en dehors de l'implication de l'autre. J'ai rencontré des débutants passionants et des vétérans ennuyants. Je suis moi même en reprise, donc la question de mon propre niveau se pose. À tout le moins, je pense être plus investis que par le passé. J'espère avoir à répondre plusieurs fois par semaine, et ne suis pas contre le faire plusieurs fois dans la journée certains jours, mais ça ne sera jamais tous les jours.
Les sujets tabous ou non-désirés
Pas de Scatho. Le perso s'en fout, mais moi non. Je serai incapable de continuer sans prendre un distance complète avec l'action. Le reste n'a pas besoin d'être exclu. Si un sujet me mets vraiment mal à l'aise, je vous en ferai part. Mais le perso peut encaisser et moi aussi. La plupart du temps, je considèrerais simplement que cela fait partie du jeu, et ferai agir Gabriel en conséquence. Le gore a tendance à me déplaire, mais la brutalité pas nécessairement.
Les paramètres acceptables
Beaucoup de choses sont acceptable. Si une certaine forme d'érotisme assez poussée ne m'intéressait pas, je ne serais pas ici. Mais si je voulais du cul sans contexte, je pense que pourrais facilement trouver d'autres supports. Donc je suis avant tout ici pour RP, et le personnage est réfléchi pour glisser assez facilement sur le terrain du sexe.
Les Trames
Gabriel débarque dans le monde des humains. Elle n'y entend goutte, ne sachant que ce qu'on lui en a dit. Il lui parait oppressant et abrasif. Cherchant à chasser/convertir les démons, et notamment celui responsable de la misère de celle qui l'a appelée, elle va tenter d'intégrer le lycée Mishima, ce qui pourrait poser soucis, administrativement, socialement, scolairement ... Elle ne refusera jamais son aide bienveillante (pas pour n'importe quoi, si vous lui demandez d'aider à tuer, son aide consistera à vous convaincre de ne pas le faire), même, et surtout, au pire des salauds, ce qui laisse de nombreuses possibilités de rp. Toutefois, ses pouvoirs ont de puissants impacts sur les personnes qu'elle fréquente, notamment de manière très intime. Donc soyez innocents ou soyez prêts à luter pour votre santé mentale tordue. ;)

Les démons et autres entités définies par leur nature maléfique, soyez avertis que vous serez privé de sa jouissance avant longtemps. Je n'ai pas l'intention de la faire déchoir de si tôt, même si dans un avenir  lointain je n'exclus pas qu'elle ait de plus ou moins courts passages ténébreux. Si vous êtes dans le même état d'esprit, une rencontre hentai ne pourra se terminer que par la frustration de l'un des deux. Si vous êtes prêt à vous convertir (ou a mourir ... sans doute pour renaître plus faible, mais tout de même. La conversion peut vous rendre humain ou angélique), au moins pour quelques temps, cela devient une possibilité. La déflorer directement provoquera quelque chose de définitif (du même ordre que précédemment, la repentance en prime). Toutefois songez qu'il existe tout de même des moyens de le faire, encore que je vous laisse me les proposer ou me les faire découvrir en jeu.

Les autres. Si votre addiction au sexe ou à d'autres éléments est importante à toujours être conservée, c'est risqué. Vous pouvez les réacquérir, mais elles seront effacée pour un temps. De même vos dépravations mentales, perversions et vices seront balayés par un orgasme qu'elle provoquerait. Sa simple présence encouragerait l'altruisme, le dévouement, l'abnégation. Plus elle prend de plaisir (sexuel ou non), et plus c'est intense.

idées en vrac :

  • Elle viens essayer de s'inscrire au lycée. Évidemment fournir quelque papier que ce soit pose problème.
  • Elle viens acheter son uniforme.
  • Elle cherche un lieu ou vivre, pouvant prendre les formes les plus variées. Elle saura se montrer reconnaissante, que vous le fassiez avec de bonnes ou de mauvaises intentions à l'origine.
  • Elle vous rencontre, en détresse dans la rue ou ailleurs.
  • Démon, cultiste, ou autre du même accabit, elle vous traque et vous accule, pour vous convertir, par la parole, puis par des méthodes plus douces.
  • Ange, vous tâchez de la ramener au paradis, car elle bien trop peu formée pour la tâche qu'elle s'est assignée. Et puis elle a été très désobéissante
  • Ange, ou autre, vous vous retrouvez dans sa tâche. Peut-être y voyez vous des moyens différents. Ces moyens sont-ils en opposition ? En concordance ?
  • Vous tâchez de l'agresser, dans la rue ou ailleurs.
  • Au Lycée, un professeur trouve à redire à son comportement (OO), ses notes, son investissement...
  • Prêtre, nonne ou simple fervent croyant, vous discutez philosophie et théologie. (elle n'est évidemment pas d'accord avec la chrétienté qu'elle connait cependant mal, mais encore un peu mieux que les autres religions).
  • Chikan/Chijo  (mais ça va être un peu bizarre avec elle ... ^^
Il n'est pas absolument exclu qu'elle se rende sur Terra, mais il lui faudrait une excellente raison pour ça. Elle a déjà suffisamment de travail avec la terre, même en se limitant à Seykusu... Ceci dit, elle ne tournera jamais le dos à un appel à l'aide si elle se retrouve par hasard à passer une faille...
Les Doublettes
Anakha Baley - Son Chalant - En reprise ; à la recherche de nouveaux joueurs.

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Prélude / Re : Jeune Ange Gabriel [Valikoyée]
« le: jeudi 07 août 2025, 14:11:31 »
C'est que le temps a passé depuis ma dernière visite. ^^ Mais je m'en vais mettre à jour mon chalant en ce cas. Merci bien :)

14
Prélude / Re : Jeune Ange Gabriel [Valikoyée]
« le: jeudi 07 août 2025, 10:28:24 »
Salutations

De retour après une longue absence, j'envisage de reprendre comptes et perso.

Cela serait-il un problème ?

15
Prélude / Re : C'est l'heure de broyer des os. [Koya]
« le: samedi 26 janvier 2019, 11:54:15 »
Comme un Tigron, enfantée mais incapable d'enfanter elle même ? Bonheur ou malheur ?

https://www.dailymotion.com/video/x2rthcy

Bienvenue. ^^


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