Chapitre 4 : Naissance d'une Légende
L'obscurité s'éclaira lentement, dévoilant une image brouillée. Adriana cligna des yeux lentement, chassant ce voile pour dévoiler une image nette. Elle put ainsi admirer un plafond blanc, avec des lampes encastré dans le mur. Elle cligna encore des yeux. Elle pouvait sentir tout son corps, l'oreiller sur lequel sa tête reposer, les draps lisses et doux qui fessaient de sa couverture, ses sens se réveillant petit à petit. On ressent encore des sensations après la mort ? Mais quelque chose clochait. Elle tourna sa tête, regardant à droite et à gauche. De part et d'autre, s’étaler toute sorte de machine médicale, toute étaient éteinte, sauf une, un assistant respiratoire, tandis qu'elle put voir le sac d'une intraveineuse, les tubes fin glissant sous ses draps.
Par réflexe, elle porta une main à son visage, si vite qu'elle ne s'en rendit pas compte, se cognant touchant un masque de respiratoire, avant que de violents flashes n’apparaissent dans son esprit, lui fessant oublier ce qu'il venait de se passer : l'annexien lui déchira son bras gauche. Elle se redressa brusquement, pour observer ses nouveaux bras, des prothèses bioniques, remontant jusqu'au coude. Elle arracha ses draps, contemplant ses nouvelles jambes, elles aussi des prothèses bionique partant des pieds jusqu'à genoux, et l'intraveineuse sur sa cuisse, sans doute parce que s'était impossible sur ses bras. Son cœur battait fort, elle était désorientée, perdue. Elle arracha son masque, retirant deux longs et fins tubes, une de sa bouche et l'autre de son nez, la fessant tousser et ayant un haut de cœurs, avant de respirer profondément. Elle avait survécu ? Elle était vivante ? Elle se mit à rire et à pleurer, n'arrivant pas à le réaliser ! Elle arracha l’intraveineuse, se moquant des conséquences, bien trop heureuse. Alors qu'elle voulue quitter son lit, elle fut prise de vertige, et chuta, mais se rattrapa en une fraction de seconde, ce qui la surprit. Elle se redressa complètement, se cognant au plafond, constatant avec surprise qu'elle frôla plafond. La pièce était grande, mais plutôt basse de plafond à son goût.
Elle ne fit quelque pas, mais faillit tomber, se sentant affaiblit, elle voulue se rattraper à une machine, mais elle défonça plus qu'elle s'appuya sur la machine, pliant le métal et le plastique. Elle retira sa main, effrayée, reculant et posant son pied trop fort, fracassant le carrelage. Cela la surprit qu'elle glissa lourdement, brisant à nouveau le carrelage et fessant trembler la pièce. Elle commença prendre peur, ne comprenant plus ce qu'il se passait. Des bruits de pas se firent entendre, lointain mais proche, tandis que des voix se firent entendre, au point de devenir si forte que cela en était insupportable, et c'est longtemps après que la porte s'ouvrît, dévoila un visage trop familier.
-Vous êtes réveillé ! Scanda Natacha. C'est... c'est magnifique ! 5 jours d'avance sur le planning !
-Qu'es qui m'arrive... Je... Adriana se relava observant d'un œil surprit et inquiet la scientifique. Je ne me rappelle pas... que vous étiez aussi petite ?
-Oh non. Répondit Natacha, les yeux brillants de malice. Il va falloir vous faire suivre des cours de rattrapage et d'éducation, car voyez vous, cela fait 2 ans que vous êtes dans un coma artificiel et vous avez plein de chose à rattraper.
Adriana resta muette pendant un long moment, Natacha reculant discrètement, ne sachant pas comment elle allait réagir. Selon la procédure, elle n'aurait pas dû le lui annoncer de manière aussi brute, mais elle n'était pas du genre à suivre les procédures.
-2 ans....
Adriana se laissa se dirigea vers le lit et se laissa choir , lequel émit un craquement. 2 ans, elle n'arrivait pas à le concevoir, 2 ans qu'elle était dans un sommeil artificiel, depuis son combat contre... Le simple fait de ce souvenir de l'annexien, la fit sursauter.
-La bataille que...
-Gagner. Répondit Natacha. Adriana, l'héroïne de Aurélia, la tueuse d'annexien ! Votre coup d'éclat a désorganisé les formiens, ce qui à permit d'enfoncer les défenses du nid, de sauver des centaines de femmes et de faire exploser le nid. Et cela, c'est ressentit sur tout les fronts, les formiens ont reculés, les annexiens ont fuit les combats, l'armée à put établir une ligne de défense digne de ce nom et nous avons battue des records d’engagement. On ne parle plus que de vous depuis 2 ans, vous avez permis un boom économique pour le secteur commercial, avec des figurines, des tee-shirts. Et on ne compte plus le nombre journaux qui parlent de vous, votre état de santé fais...
-Mon escouade est morte ? Coupa Adriana.
Natacha s'arrêta dans sa tirade, son visage redevenant grave.
-Vous êtes la seule survivante. Le projet TCAL à été jugé comme un échec réussit, et à été reconvertir pour un autre projet. Vous êtes la seule sur les 50 membres, à avoir atteint l'objectif... . Natacha laissa sa phrase en suspens, avant de reprendre. 32 membre sont mortes lors des premières confrontations. 13 sont morts de leurs blessures, après avoir réussi à faire fuir des annexiens, malgré nos tentatives de le sauver. Elle marqua une nouvelle pause. 4 sont portés disparue, supposer mort au combat.
Un hurlement s'échappa de la gorge d'Adriana, fessant fuir Natacha, évitant le lit qu'elle lui jeta, explosant le mur. Elle détruit les appareils, les explosant aussi facilement que des structure d'argile, fessant trembler les murs, hurlant sa haine, sa rage, sa colère, sa tristesse, sa rancœur. Encore. Elle avait encore tout perdue. Les membres de l'unité TCAL avaient été presque une nouvelle famille, elles l'avaient aidé à se reconstruire et à ne pas sombrer dans la haine et la violence, la réhabilitant au monde humain. L'histoire s'était répété, elle avait perdu ses sœurs d'arme, perdue deux ans de sa vie. Quand elle fut capable de reprendre ses esprits, n'ayant plus rien à détruire et la colère se dissipant, elle put remarquer l'état de sa chambre, comme si une bombe avait explosé. Impossible de pouvoir identifier une quelconque machine, ou savoir que les milliers de morceaux de plastique, de métal et de tissus former autrefois un lit, et qu'autrefois, il y avait quatre murs, deux débouchant sur une pièce adjacente, les deux autres sur des couloirs. Malgré tout ça, elle était encore pleine d'énergie, nullement fatiguer et son rythme cardiaque intact.
-Vous vous êtes calmé, on dirait ? Clamât une voix.
Natacha sortit de nul part, intact et nullement inquiet, avançant parmi les décombres, notant tout ce qu'elle voyait.
-Heureusement que j'ai renforcé le sol. Annonça telle. Néanmoins vous sortez tout juste de la phase de réveil, votre corps n'est pas encore conscience de tout son potentielle et pour le moment vous le vivez bien, ce qui est bon signe...
Adriana, encore tourmentée, l'écouta d'une oreille sourde blablater tout son blabla scientifique. Elle en avait rien à faire. 5 depuis l'arriver des formiens qu'elle n'avait pas vue, ni parler à ça famille, perdue des dizaines de camarades cher à son cœur et qu'elle avait abandonner à la mort l'amour de sa vie. Pourquoi on ne la pas laisser mourir ? Elle était encore habitée par la haine et la vengeance, elle avait encore des raisons de se battre et de continuer, mais elle n'avait plus le goût de vivre. Alors qu'elle commençait à abandonner l'idée de continuer le combat et de vivre, des bruits se firent entendre.
Plusieurs personnes, venant de tout les directions, marcher d'un pas discret, chargeant leurs armes, convergèrent vers elle. Elle put estimer leur nombre, une trentaine, entendant distinctement chaque personne, arrivant même à se focaliser sur une seule personne. Le pire étant qu'elle ne put déterminer leur distance, car il fallut 5 bonnes minutes avant qu'elle ne parviennent à le faire, estimant leur distance à une vingtaine de mètre, devant pas loin de 60m quand elle les entendis la 1er fois, ce qui la choqua. Pourtant, elle pouvait affirmer à 100% que ce n'était pas des amateurs, des pros en la matière, le bruit caractéristique de fusil d'assaut AoDA, modèle militaire impossible à trouver autre part que dans les mains d'un soldat des forces spécial, aucune parole, armure légère, au vu des bruits de pas, sûrement le modèle Infiltrator, conçu pour ne produire aucun son de frottement ou autre et disposant d'un système de camouflage identique à celui des caméléons.
-Un problème ? Demanda Natacha.
-Qu'es que tu m'as fait ! Pourquoi j’entends tes hommes à des dizaines de mètres !
-Je ne vois pas de quoi tu parles. Répondit Natacha et il faut que tu sache... que tu n'a pas passer 2 ans dans un lit sans que rien ne se passe ?
-Quoi ?
Mais elle ne put rien faire, car les inconnues étaient à présent poster de par et d'autre à l'extérieur de la pièce. Ils étaient répartis dans 2 groupes de 15, un dans chaque couloir entourant la chambre, Adriana remarqua par ailleurs que maintenant, l'absence de fenêtre. Quelqu'un dégoupilla une grenade, l'entendant aussi clairement que si on l'avait fait à côté de son oreille, avant qu'un homme ne se déplace sur le couloir de gauche, s’apprêtant à la lancer. Instinctivement, Adriana fonça sur Natacha en une fraction de seconde, la portant dans une des pièces, à travers le trou dans le mur, avant de soulever le lit le mettant sur le côté, face à son ancienne chambre, comme abris. La grenade entre et rebondit contre le sol 2s plus tard. Même les modifications pour l'unité TCAL ne pourrait en aucun cas lui permettre ce genre d'action. Elle saisit Natacha par le col, qui continua à noté ce qu'elle voyait, nullement inquiète, alors que la grenade explosa, provoquant un puissant flash et un sifflement aiguë, qui n'affecta pas le duo.
-Vous m'avez fait quoi ! Hurla telle.
-Perfectionner. Répondit-elle. Mais on garde ça pour plus tard.
-Vous rigolez j'espère ? Cria Adriana, commençant à être hors d'elle.
-Je me tords de rire en effet. Répliqua Natacha d'un ton froid. Ces messieurs sont venus voir mon numéro d'ailleurs. Ils ont pour ordre de tuer tout ce qui bouge ici.
-Je vais vous... grogna Adriana.
Tout ce qu'elle put faire, ce fut d'attraper Natacha et de la protéger, tournant le dos au lit, alors que plusieurs personnes ouvrirent le feu, tirant sur le lit, qui commença à partir en morceaux. Plusieurs balles traversèrent le lit. Un homme leva le bras, une fois que le matelas fut mis en lambeaux, fessant stopper les tirs. Il désigna deux hommes, leur montrant le lit. Ils acquiescèrent et se déplacèrent lentement, chacun d'un côté, se tenant à bonne distance du lit, le contournant, sans baisser leur armes. Violemment, le lit fut jeté contre celui de droite, défonçant le mur comme si c'était une fine couche de verre. Cela se passa si vite que personne ne put comprendre ce qu'il s'était passé. Adriana bondit sur l'homme de gauche, lui donnant un coup si violant qui vola à travers le mur de la pièce et celui du couloir, s’écrasant contre une machine.
Les hommes la mirent en joue et ouvrirent le feu. Lent, mais si lent. Adriana était déjà sur eux, alors qu'ils ouvrirent à peine le feu le temps semblant s'être ralenti. Elle dégagea celui qui sembler être le chef, l'envoyant valser dans traversée sa chambre de réveil, l'envoyant dans l'autre pièce, avant d'arracher des mains le fusil d'un de ses sbires, lui brisant les phalanges et le poignet au passage, avant de parvenir à vider son chargeur sur les 6 derniers, ne loupant aucune balle et sans leur laisser le temps de faire quoi que ce soit. Le reste était encore dans les couloirs, le long des trou dans le mur et ouvrirent le feu, visant Adriana alors que les corps de leur camarades commençaient à tomber sur le sol et que leur cible ramassa une autre arme. Elle avait esquivé les premières balles, avant d'user de son bras métalique comme bouclier, laissant les balles de 9 mm s’écraser dessus sans provoquer de dommage. Quelques-unes touchèrent Adriana, mais ne lui causant que de blessures bénignes, n'arrivant même pas à percer complètement sa peau. Elle tira, 1 balle, 1 mort, en plein dans la visière, abattant ainsi 7 personnes, avec le reste des balles dans le chargeur. Elle ne réalisa pas son prodige, son esprit ne se préoccupant que de savoir comment abattre ces ennemies pour le moment. Déjà 15 de morts, en moins de 1 minute. Elle plongea dans la pièce en face, se réceptionnant avec une roulade. 6 du côté droit, 8 du côté gauche, ils avaient presque tous vider leur chargeur ce qui était une bonne opportunité.
Elle défonça le mur à sa droite, arrivant sur le flanc droit de l'équipe de droite, les surprenant en train de recharger. Le plus proche reçu un uppercut dans la mâchoire, broyant cette dernière, éclatant ses dents et lui brisant ses cervicales et la nuque, l'envoyant contre le plafond. Le deuxième finissait de recharger, mais Adriana lui asséna une manchette dans la gorge, brisant sa trachée, suivit des cervicales et de la nuque, l'envoyant valser contre le troisième. Le quatrième sortie un couteau de combat, mais Adriana lui attrapa le poignet, le brisant sous la pression, avant de lui broyer le genou d'un coup de pied. De l'autre main, elle enfonça la tête du cinquième dans le mur. Elle récupéra le couteau et décapita à moitié le quatrième, provoquant un gicler de sang qui l’éclaboussa, puis jeta le corps et enfonça la lame dans le cou du sixième, avant de le lancer, l'enfonçant dans le crâne d'un des hommes de gauche, l'envoyant percuter le mur derrière lui. Elle souleva le troisième et s'en servit comme bouclier, ce dernier absorbant les balles de ses camarades, qui cessèrent le feu. On dégoupilla une grenade. Elle jeta le corps vers celui qui voulut entamer son lancer, le percutant violemment, le fessant lâcher sa grenade. Le temps qu'ils réagissent, la grenade explosa, emportant le lanceur et deux autres personnes. 0 à droite, 4 à gauche.
Elle voulut ramasser une arme, mais un des 4 restant, sortie de son dos un lance-roquette et pus mettre en joue Adriana, qui le remarqua trop tard, et tira. Le missile traversa la pièce en une moins d'une seconde, et Adriana put voir à nouveau le temps ralentir. En vérité, son temps de réaction et d'action était si rapide, que le monde sembler plus lent pour elle, fessant croire à un ralentissement du temps. Et cela suffit pour qu'elle attrape le missile au dernier moment, à quelque centimètre de son torse, sous les yeux incrédule de l'homme, tandis que ces camarades reculèrent. Elle le jeta comme une fléchette, frappant l'homme au thorax, qui crut recevoir une boule de bowling, malgré l'armure, avant qu'il n'explose, son sang et des morceaux se rependant dans toute la zone. Juste après, un fumigène se déclara, nappant rapidement l'endroit d'une épaisse fumée blanche.
Les 3 hommes survivant restèrent dans le couloir, après être revenue, pointant leur arme vers la fumée. Elle malgré la fumée, elle fut à peine irrité, parvenant à respirer relativement bien. Le plus inquiétant fut sa vue, car elle envoyait plusieurs taches blanche, par terre, entourer de jaune allant au rouge, ou affichant des couleurs froides. Elle comprit rapidement que les taches blanches étaient les armes, et les corps de soldats morts. Elle avait une vision thermique, mais elle ne put se poser la question du pourquoi et du comment, car les 3 hommes se mirent en mouvement dans sa direction. Elle leur fonça dessus, chopant par le coup deux hommes, avant dans lancer un sur le troisième, sans qu'ils ne puissent comprendre ce qu'il se passait. Elle broya la trachée de celui qu'elle avait en main, attrapa son arme, et tua celui qu'elle avait jeter, sans qu'il ne puisse faire quoi que ce soit. Le dernier aperçu avant de mourir, que les blessures de leur cible, avaient déjà disparu, ne laissant que des traces de sang.
Adriana jeta l'arme, commençant lentement à ce rendre compte de ce qu'elle venait de faire, alors qu'une système de ventilation ce mit en route, dissipant la fumer du fumigène et Adriana retrouvant un vue normale. Elle avait tué 30 ennemies, nue, sans arme et sans subir de blessure grave, en l'espace de 2 minutes. C'était humainement impossible, ces hommes auraient pu être membre des forces spéciale.
Clapclapclapclapclapclapclap
-Magnifique. Scanda Natacha en allant vers elle. Mieux que dans mes prévisions. Rassure-toi, ce sont des condamnés à mort qu'on à préparer pour ce jour. Jeggurrlle..
Adriana avait saisi Natacha à la gorge, la soulevant comme si c'était un poids plume. Elle a regarda droit dans les yeux.
-Je. Veux. Savoir. Ce. Que. Vous. M'avez. FAIT ! Tonna Adriana en lâchant la scientifique.
Natacha tomba à genoux, se massant la gorge, reprenant sa respiration, avant de relevez la tête. Adriana la regardait avec des yeux noirs, jetant des éclairs.
-C'était un pari risqué, car les chances de survie étaient quasi-nuls dans ton état. Commença Natacha. Tu devrais être morte après ton combat, mais je suis intervenue à temps pour te sauver, grâce à une cellule cryogénique. Ta réussite était telle, que le sénat ne voulait pas que tu meures en héros, mais plutôt que tu survives et deviennes un symbole d'espoir pour le peuple, que tu puisses être le témoin de la puissance de l'armée et que l'on peut gagner. Tu as subi pendant 2 ans de multiples intervention chirurgicale et chimique, plus qu'une femme dans toute sa vie. Commença Natacha en se relevant. D'une part pour t’empêcher de mourir, d'autre part pour faire de toi l'aboutissement du projet Légende. Le projet TCAL était le processus de sélection, bien qu'il fut pensé à l'origine pour combattre les annexiens, afin de vérifier qui supporter le mieux les injections et qui était le plus compatible avec le produit. Enchaîna telle rapidement. Tu étais la meilleure, je l'avait senties quand je t'ai vue, c'est pourquoi j'ai du te faire tout ces supplices lors de tes 2 ans dans l'asile.
-Tu est en train de me dire, que vous m'avez empêcher de mourir, sans même vous poser la question de ce que je voulais, pour faire de moi un putain d'objet de propagande ? Crachat Adriana.
-Oui.
La franchise de Natacha perturba si bien Adriana, qu'elle en resta coi en long moment.
-Il va falloir si faire à l'idée, Générale Adriana la Tueuse d'Annexien, membre du commando Valkyrie. Annonça Natacha, en s'éloignant. Bien, ce petit exercice était pour voir comment ton corps et ton cerveau réagirait, tu le prends plutôt bien, l'unité TCAL à été bien été utile sur ce coup. Suis moi, il y a encore beaucoup de chose à voir, je dois de former à tes nouvelles capacités, bien que tu es réussi à maîtriser tes capacités physiques naturellement et rapidement, trop vite selon les prévisions, mais on verra ça avec les tests.
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2 semaines se sont écoulé depuis le réveil d'Adriana, qui du subir une batterie de test et d’exercice, afin de découvrir ses nouvelles capacités et en maîtriser d'autre. Elle découvrit ainsi que la moitié de son cerveau était devenue cybernétique pour accueillir une IA, répondant au nom de Freya, qui lui servirait de soutien et source d'information. Ajouter à cela que ses yeux n'était plus les orignaux, mais une copie bionique, fessant office de capteur pour Freya, avec plusieurs fonctionnalités, comme la vision infrarouge et thermique. Elle dut accepter le fait d'être nommé Générale 3 étoile, et désigner comme étant digne d'être membre du commando Valkyrie.
Ce fut seulement à la fin des deux semaines, qu'on annonça officiellement qu'elle était sortie de son coma et qu'elle put sortir du laboratoire de Natacha. Le peuple, tellement tenue en haleine, explosa de joie à cette nouvelle, provoquant plusieurs émeutes pour voir l'Héroine d'Aurélia, quand elle sortit de l'hélicoptère la ramenant à Tekhos. Une parade fut menée en son honneur, prévue depuis longue date, fessant la une des journaux. Elle fut aussi promue officiellement et intégrée au commando Valkyrie, devant une foule en délire, où elle aurait due réciter un discours écrit depuis longtemps, mais qui fit le sien, de manière bref, mais qui ravit le peuple tout de même.
-Citoyennes de Tekhos ! C'est un honneur que de recevoir tant de louange de votre part, et un soulagement de voir que vous n'avez pas perdue espoir. Vous me voyez comme seule héroïne, mais par respect pour mes sœurs d'arme, n'oubliez pas leur sacrifice, car je n'aurais jamais pu réussir sans elle. J'ai vécu l'horreur et l'enfer, mais j'en suis ressorti plus forte, et je jure devant vous, de ne jamais connaître le repos, tant qu'un seul formiens sera en vie. Je suis devenue votre symbole, devenez mes sœurs d'armes, combattez à mes côtés et je vous mènerez à la victoire contre les formiens.
Le taux de recrutement fit un bon, tandis qu'on la harcela pour promouvoir tel ou tel produit, recevant plusieurs demande d'interview et d'invitation à des shows téléviser, les politiques fessant même pression pour qu'elle accepte. Elle refusa toujours, au point de devoir faire jouer ses galons et ses nouveaux pouvoirs pour qu'on la laisse tranquille. Elle resta quelques mois à le capital, durant lesquels elle dus surbirs de nouveau entraînements afin de la parfaire, avant de pouvoir partir rejoindre sa famille, du moins les survivants, voulant les revoir. Elle sauva l'entreprise familiale de ces dettes, créanciers et huissier, en arrivant et après avoir subit les remontrances, accusation et repproches multiples de ses soeurs, se rattrapant un peu auprès d'elle. Excepter la première qui l’accueilli à bras ouvert, les deux autres la regardèrent comme une étrangère, gardant toujours envers elle . Elle découvrit qu'elle était tante, et que le reste de la famille, ses cousines, cousins et rares tantes, avait plus ou moins couper les ponts. Elle y resta 2 mois, avant de repartir au combat, s'assurant d'abord que l'entreprise reparte et avoir plus ou moins renoué ses liens avec ses soeurs.
Chapitre 5 : Une bataille sans fin
Des années plus tard.
Les fondations du nid tremblèrent, des piliers et des murs s'écroulant. L'annexien
Saryn la tisseuse de mort, fulminer, alors qu'elle se dirigea vers les tréfonds de son nid, suivit de son
cérébrate Furion et de plusieurs de ses formiens d'élite. Des mois de travail réduit à néant, des mois à creuser sous une ville de ces humaines, des mois à creuser pour établir un nid, réussissant l'exploit de ne pas alerter l'ennemie. Elle avait réussi à faire écrouler un quartier du centre-ville, ouvrant la voie pour ses mignons, envahissant la ville si rapidement, prenant de court ces mal-baisées. Elles avaient conquis rapidement la ville, commencée à étendre son nid et capturée des centaines de futurs jouets. Elle avait préparé ses défenses, placé ses mignons de façon à optimiser les harcèlements et la dispersion des forces ennemies.
Mais elle était venue, 2 jours après, amenant avec elle une force d'attaque conséquente, pulvérisant ses défenses, après seulement 3 jours de combat, atteignant rapidement son nid, l'obligeant à rappeler ses mignons, pour la ralentir
Une nouvelle explosion retentit, fessant trembler le nid, fessant perdre l'équilibre à l'annexienne.
-Maîtresse, nous devons nous dépêcher ! Intima Furion.
-Elle est entrée... elle est là ! Elle vient pour moi ! Hurla l'annexienne.
Elle était liée à sa horde par la penser, et elle ressentait chaque coup qui tuer ses mignons, et par la matière organique composant son nid, elle pouvait la sentir à chaque instant, progressant rapidement, laissant un sillage de mort et de sang derrière elle, malgré tout les tentatives de ces troupes pour la stopper. Elle avait beau générer des tentacules, bloquer des accès ou sacrifier ses mignons, elle avançait. L'annexienne pressa le pas, se mettant presque à courir, oubliant la honte et sa la fierté blesser. Elle devait vivre, mourir ici ne fessait pas partie de plan de l'Overmind, la fourmilière perdrait trop de force. Elle se dirigea vers l'immense tunnel qu'elle avait creusé depuis la fourmilière, là où l'attendait une immense créature, un vers géant : le moyen de transport des formiens. Elle avait eu l'intelligence de placer en lui une partie de son butin, quelque centaine de femmes, et une infime partie de sa horde, le reste mort ou en train de se battre contre les Tekhanes. Une autre explosion se fit sentir, bien plus proche et qui lui insuffla la peur. Elle était là, tout près.
-Je vais la ralentir maîtresse ! Lui dit Furion.
-Quoi ! S'exclama Saryn. Imbécile ! Tu n'es pas de taille ! Tu m'es plus utile vivant à mes côtés !
-Encore plus inutile si vous mourrez maîtresse.
-Je... vas. Lâcha Saryn.
Elle se rapprochait de plus en plus, elle sera là d'une seconde à l'autre. Elle ignorait si elle avait les chances de la battre, mais elle ne pouvait pas prendre le risque de s'y essayer. Elle avait réussi à avoir Grawl, qui fessait partie des plus fort, ses chances étaient faible. Le sacrifice de Furion lui permettrait de s'échapper. Ce dernier avait remonté l'escalier, arrivant dans une pièce vaste, avec plusieurs tunnel. Le plafond avait été détruit, au centre de la pièce, se tenait Adriana La Menace. À ses pieds, gisaient en morceaux plusieurs cadavres, réduit en lambeau de viande, des formiens qui avaient tenter de la ralentir. Elle tenait
une énorme arme, presque aussi grande qu'elle. Couverts de sang, au loin, des explosions et des bruits d'armes à feu se firent entendre, mêler au cri de rage et d'agonie des formiens encore en vie.
Furion se jeta sur elle, avant de glisser sur le sol, évitant de peu la lame qui émettait un bruit strident. Elle sauta, évitant son tacle, fessant un salto avant, se réceptionnant sur ses pieds, un peu plus loin et se releva en même temps que le formien, qui chargea à nouveau. Adriana avait entama plusieurs moulinets avec son arme, d'une vitesse improbable et d'une élégance incongrue, repoussant le formien, qu'elle toucha au torse, l'entaillant profondément, avant de tourner sur elle-même, abattant son arme sur la créature, qui échappa in-extrémiste au coup mortel, sacrifiant son bras. Il cracha un acide violet sur son adversaire, d'un mouvement latéral de la tête, crachant un grand flot d'acide, l'obligeant à reculer, avant de charger à nouveau, cette fois en crachant de l'acide, l’empêchant de l'attaquer. Elle recula, très vite, hors de porter, suffisamment pour se servir de son arme comme perche improvisée, se projetant en l'air, passant au-dessus du formiens, parvenant d'une roulade, à lui déchiqueter le dos avec son arme, l'envoyant s’écraser contre le mur, se noyant presque dans son acide. Adriana se réceptionna sur un pied, un genou et une main, touchant de l'acide, qui rongea son pantalon et un peu sa peau. Elle se releva et entreprit d'achever ce misérable.
Plusieurs personnes jaillirent du trou, des ravageurs et une soldate sans arme. Cette dernière se dirigea vers Adriana, qui fonça vers l'endroit d’où était venue le cérébrate, ayant remarqué depuis le début qu'il était trop faible pour être un annexien, le chien était venue défendre son maître, tandis que les ravageurs entreprirent d'investir toutes les entrées présentes, suivit de l'infanterie régulière et
des soldats en armure lourde. Adriana, tenant son arme sur une épaule, dévala les escaliers, descendant dans une immense salle, où elle put voir un ver géant glisser dans un tunnel tout aussi géant, qui s'effondra sur lui-même, bouchant l'accès, alors que Adriana venait juste d'arriver devant.
-LÂCHE ! Hurla t-elle de toutes ses forces, fessant rugir son arme.
-Pff... pff... ouais... lâche... Crachat Shinata, en même temps que ces poumons, posant ses mains sur ses mains.
-Tu t’essouffles ? Lui demanda Adriana.
-Je... reprend juste mon souffle.
-Ne perds pas trop de temps, il doit encore avoir des formiens dans le coin. Dit Adriana en repartant, vers l'escalier.
-Pffiou...
La lieutenant
Shinata se redressa, suivit sa générale. Elles revinrent dans la pièce, des coups de feu se fessant entendre de loin, alors que d'autres soldats sortir encore du trou dans le plafond, rejoignant diverses entrée, par groupes de 6, une lieutenant s'assurant d'envoyer autant de soldate dans chaque entré, évitant le chaos. Une personne sauta du trou et se dirigea vers Adriana, avant de se mettre au garde-à-vous.
-Ma générale ! La colonelle Néméria est en train de détruire les dernières poches de résistance, plusieurs centaines de civils ont pu être sauvé, et le haut commandement cherche à vous contacter.
-Parfais. Dites à Néméria de poursuivre ses recherches sur des potentielles prisonnières et de pulvériser tout bâtiment ayant été infecter. Ordonna Néméria. Ah, et dites au haut-commandement que les radios ne marche pas aussi loin dans un nid formien et que je autre chose de plus intéressant à faire pour l'instant.
Adriana prit une entrée au hasard, s'engageant avec Shinata à la suite d'un quatuor de Ravageur, elles même suivit par des des soldates, qui explosait intérieurement de joie, alors qu'elles marchaient au côté d'une légende. Le tunnel les mena à une vaste salle avec plusieurs piliers, et des cocons un peu partout, déchirer, leur contenue rependue sur le sol, dévoilant des fœtus formiens, à moitié écraser. Le sol était recouvert de plusieurs douilles de balles, des cadavres de formiens encore frais, à peine plus gros que les ravageurs. Ce dernier avait encore plusieurs tunnels, certains rejoignant une salle relier par un tunnel à la salle précédente, ou d'autre salles plus loin. Les bruits de feu et cries s'étaient tue, visiblement, il n'y avait plus aucun formiens dans le coin. Cela permit à Adrina d'entendre encore plus facilement des gémissements, derrière un mur. Elle s'y dirigea et donna plusieurs coups avec son arme, dévoilant une antre puant le sperme et la sueur.
Elle y entra, et ce qu'elle vit ne la dégoûta pas plus que ça, ayant trop vue cette scène : des femmes engluaient dans les murs ou à des piliers, prisent sans fin par des tentacules, se vidant encore et encore en elle, le trop-plein s'écoulant part terre. Toutes les soldates se révulsèrent et certaine rendirent leurs boyaux.
-Graver cette image dans votre tête. Annonça Adriana. N'oubliez jamais pourquoi on se bat et pourquoi eux, ils nous envahissent.
Elle se retourna repartant dans la pièce.
-Détachez-les. Prodiguez les premiers soins et portez-les au plus vite à la surface pour leur évacuation. Ordonna d'un ton sec Adriana. Shinata, va voir plus loin s'il n'y a pas d'autre cachette comme celle-la. Ces saloperies ont sûrement espéré qu'on ne le remarque jamais. Toi ! Dit-elle en désignant une soldate. Va prévenir la capitaine Hélia de faire venir les équipes de secours.
-B... bien ma générale. Dit-elle avant partir au trot.
Adriana sortit de la pièce, alors que d'autres soldates s'y engagèrent. S'il devait y avoir des formiens, ils seront mors avant qu'elle n'y arrive et il n'y avait pas eu de coup de feu depuis un moment. Elle remonta vers la pièce où elle avait tué le cérébrate. Plusieurs soldates avaient remonté des femmes capturées, de tout âge, en état de choc, droguées, déconnecter de la réalité. Des mois de thérapie seront nécessaires pour les soigner, et encore plus pour reconstruire la ville. Elle prit un tunnel balisé, menant visiblement à la surface. Après une vingtaine de minutes, elle finit par sortir du nid, ce dernier formant une structure obscène sortant du sol, croisant les équipes médicales, débarquant leur matérielle de plusieurs Jeeps Rover. Plus aucune explosion, la ville était soudainement bien calme.
Une dizaine de Goliath 2, de la Cavalerie d'Acier ce tenait là, dont l'imposant Démarrion, le dernier représentant des « Vitrificateurs ». En s'approchant, une trappe s'ouvrit de ce dernier dévoilant Néméria, une bière à la main !
-Générale Adriana ! Lança joyeusement Néméria. C'était comment à l'intérieur ?
-D'un très mauvais goût. Répondit Adriana. Tu bois déjà la victoire ?
-Je m'échauffe juste ! S'en voulez une ?
Adriana hésita un moment, avant de grimper sur Démarion attrapant la bouteille que lui tenait Néméria, avant de s’asseoir en tailleur sur le véhicule. Elle avala une lampée, regardant d'un œil mauvais la structure organique s'étendant devant elle.
-L'annexien s'est échapper ? Lui demanda Néméria.
-Ça se voit tant que ça ? Demanda amèrement Adriana.
-J'suis étonné que la structure soit encore d'bout après ton regard. Répondit Néméria en avalant une gorgée de sa bière.
Les deux transgressaient allégrement plusieurs règles et protocole, mais personne n'allait dire quoi faire à l'Héroine de Aurélia. Voilà plusieurs années maintenant, que les annexiens se fessaient plus discret lors de leur invasion, évitant l'affrontement avec Adriana quand elle venait, ou bien la combattant rapidement, avant de s'enfuir le plus vite possible. Tout cela lassé Adriana. Elle avait finit par se faire une raison d'exister encore, son but désormais étant d'avoir toute les têtes des annexiens, la première exposer à un musée à sa gloire. Mais comment poursuivre sa raison d'exister, si cette dernière passait son temps à fuir ?
-Ouais, il a fui comme les autres, si bien que j'ai aucune idée à quoi il ressemble.
-Il était pe't-être tellement moche qu'il ne voulait pas que tu le voies. Plaisanta Néméria.
-...
-T'inquiètes, t'aura encore plein d'occaz, ils vont pas repartir dans l'espace. Lâcha Néméria.
-Ouais. Répondit Adriana. Ils seront encore là demain.
Adriana finit sa bière et se releva, ramassant son arme au passage.
-Ils seront toujours là. Dit-elle, en regardant le nid.