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Prélude / Re : 893 [Valimenstruée.]
« le: mardi 06 mars 2018, 13:32:59 »*Couvre amoureusement Chize*
Prélude / Re : 893 [lulu]
« le: mardi 06 mars 2018, 13:17:48 »Bienvenue <3
Archives publiques / Re : Sondage sur le statut des Terranides
« le: lundi 19 février 2018, 16:15:33 »Les alentours de la ville / Re : The Swallow Saga [Jûzô <3]
« le: dimanche 18 février 2018, 20:17:06 »- Vous confessez donc bel et bien avoir eu le nez dans les affaires de votre porcelet de défunt mari, fit-il sur un ton toujours égal. Vous pourriez mettre votre talent dans l'intérêt des miennes, convenez en. Je vous laisse imaginer la scène, tous ces hommes préalablement vidés dans vos entrailles signant un contrat avec l'associé qui laboure ce fameux petit fion contre le bureau autour duquel ils sont sagement agglutinés. Nous aurions à y gagner tous deux.
Il lui laissa l'opportunité de glisser hors de son étreinte, relâchant même la fesse que ses doigts molestaient tranquillement au fil de ses mots. La discussion et le contact avaient contribué à développer son érection, faisant se tendre son pantalon sans que sa taille d'excitation réelle soit tout à fait acquise encore.
Puis, alors que Cata retournait à son siège, la main de Jûzô lui attrapa le poignet pour la rabattre sèchement sur lui. Et la jeune femme se retrouva alors assise sur lui, le cul roulant contre le tube palpitant qu'elle avait depuis longtemps avisé. Le volume abusif la rendait très présente et les cahots de la route contribuaient à faire rouler la queue sous elle, pour leur plaisir à tous les deux.
- La meilleure garantie, c'est précisément le fait que vous n'ayez encore rien avalé.
Sa main large s'était d'abord déposée sur son ventre pour la maintenir, mais le chemin vers le pudique décolleté de sa robe de soirée fut rapide à accomplir. Quand les doigts de Jûzô en saisirent les rebords tout en caressant la naissance des deux seins, il ne fallut que le temps d'un souffle pour que le craquement du tissu ne retentisse. Le colosse balafré venait de déchirer le fourreau scintillant avec assez de largeur pour que les formes généreuses puissent menacer de jaillir à l'orée de tout mouvement. Bien que cela lui aurait à présent facile, le boss ne vient attraper aucun des deux jouets sautillants et porta plutôt ses mains sur les voiles tissés qui conservaient intacte la pudeur sensuelle de Catalina. Cela ne dura plus, puisqu'un nouveau déchirement se fit entendre dans le confortable habitacle.
- Que je suis maladroit.
Il empoigna un des seins avec une telle fermeté qu'il parut vouloir le faire éclater dans sa paume. L'autre main, elle, se faufila entre les cuisses de Catalina pour les écarter largement d'un mouvement impérieux alors que sa bouche venant se loger à l'oreille de la belle comme la langue d'un serpent persiflant.
- Nous voilà arrivés au moment où votre survie et la tranquillité de votre veuvage vont se décider en partie sur ce que vous pouvez avaler. Remettez vous un peu de rouge à lèvres ; nous allons littéralement mesurer vos talents...
Les alentours de la ville / Re : The Swallow Saga [Jûzô <3]
« le: dimanche 18 février 2018, 18:29:23 »Ses recherches avaient dégagé la personnalité d'une femme à la nymphomanie assumée ; Jûzô constatait que c'était tout aussi vrai qu'on pouvait se plaire à l'imaginer. Restait à savoir si elle en jouait comme d'un as gardé dans sa manche face à des mâles libidineux, ou si au contraire il s'agissait de la faille la plus exploitable de son jeu.
Alors qu'il entamait la réponse à son intention, le Buffle à la face striée fut d'avis de la tester et commença cela par un mouvement pour récupérer une assise confortable qui s'arrangea pour coincer davantage la large et imposante centimétrique phallique contre le tissu, de façon à davantage sculpter. Un peu facile certes, mais flatteur et efficace dans le registre abordé.
- La plus évidente serait une contrepartie financière. Non pas sous la forme d'un pot-de-vin, mais plutôt d'investissements pondérés. Assécher la source où la laisser sans revenus serait idiot, n'est-ce pas ? Je préfère parler de partenariat plutôt que d'extorsion de fonds. Pour peu que l'assassin soit la femme qu'on prétend, de plus, nous trouverions une façon des plus stimulante de signer un accord. Il but à son tour, comme pour l'assurer que c'était sans danger. En cas de refus, et bien. Vous êtes bien assez imaginative pour avoir une idée, n'est-ce pas ? Toutefois, je considère avoir une dette. Je me contenterai d'une balle dans la tête. Il se pencha légèrement, un sourire malicieux sur les lèvres. Après une longue, longue période de chasteté et de frustration.
Menacer une femme pareille du sort habituel -les viols en chaîne et autres commodités obscènes du cru- ne paraissait pas à l'oyabun très pertinent. Elle aurait été capable d'en retirer du plaisir, voire d'en amadouer ses tortionnaires. Plus judicieux était le choix tout à fait contraire : la priver de ces plaisirs sordides et en finir rapidement. Jûzô aurait trouvé cela regrettable que de transformer Catalina en tas de viande froide amenée à se faire bouffer par les vers, surtout après le temps passé à réunir les informations sur elle. C'était Chize qui l'avait reconnue tout à fait par hasard, elle qui avait fréquenté Kuze avec l'oyabun précédent du clan, son défunt mari à qui avait succédé Jûzô à la tête du clan. Se fiant à l'intuition de sa femme, le Buffle avait mené de longues recherches qui avaient fini par payer. La gaijin-trophée de ce gros porc de Shimada lui tombait dans la main.
- La cruauté, n'était-ce pas cette orgie à laquelle vous avez participé dans son bureau ? Je crois savoir que Shimada a signé de juteux contrats ce soir là, en vous troussant comme une pétasse ordinaire. Le porcelet était possessif, aussi vous a-t-il baisée rapidement en refusant de vous prêter à la compagnie qui s'ébattait avec les putes sous coke. Pourtant, ç'aurait été la moindre des choses. Non, miss Taylor, je ne suis pas cruel. Moi, je vous aurai bourrée jusqu'à ce que vous boitiez, puis jetée dans la fosse pour vous féliciter de votre participation à mes affaires professionnelles.
Le colosse se redressa contre le dossier de cuir noir de l'agréable banquette qui faisait face à celle de Catalina, déployant ainsi à son attention toute la largeur de son buste dont les muscles roulèrent joliment sous la chemise fine. Ses lèvres absorbèrent le reste de son whisky d'un trait goulu, puis il reposa le verre en déboutonnant un bouton supplémentaire, ouvrant un peu plus sur les dessins de ses pectoraux.
- Il fut un temps où j'aurai opiné très volontiers à vos propos. Mais, voyez vous, mon mariage m'a apprit que les femmes étaient très à-même de tirer parti des affaires qui leur passent sous le nez. Certaines forces ne doivent jamais être négligées. Vous êtes beaucoup trop maligne pour être prise à la légère et votre attitude présente me conforte dans mon idée.
Revenant au mini-bar, ses mains s'activèrent tranquillement dans une boite de noyer pour libérer un impressionnant cigare qui correspondait bien au gabarit du personnage. Jûzô coupa la queue, porta le cubain à ses lèvres avant de craquer une allumette pour enflammer l'extrémité et bientôt l'odeur âcre se mit à envahir l'habitacle.
- Alors dites moi, miss Taylor. Que dois-je faire de cet assassin, selon vous ? Votre avis m'intéresse beaucoup. Vous êtes directement concernée, puisque c'est grâce à lui que vous êtes veuve et libre de vous retrouver à me sucer pour me vider jusqu'à ce que j'en ai mal aux burnes.
Tirant sur le cigare, Jûzô ouvrit un peu plus l'arc de ses cuisses massives comme pour conforter sa position de pacha sur son trône, de mâle conquérant.
Ou pour lancer un appât à la veuve éplorée qu'il scrutait avec attention.
Elle jugerait.
Les alentours de la ville / Re : The Swallow Saga [Jûzô <3]
« le: dimanche 18 février 2018, 16:37:38 »Le regard qu'elle fit passer de Catalina à Jûzô à cet instant était-il intentionnel ? Sûrement. Chize était bien trop futée pour ne pas mesurer ce genre d'attitude et ses implications. La Buffle se contenta de sourire au même moment, ses yeux abandonnant le corps de la caucasienne le temps d'hocher la tête pour sa femme.
La limousine marqua un arrêt après moins de dix rapides minutes, s'arrêtant devant les murs blancs et joliment tuilés de la palissade qui cernait le domaine de la famille Tetsuzaemon. Le grand portail de bois était protégé par deux hommes, dont l'un vint ouvrir la portière à l'attention de Chize avant de lui proposer sa main pour l'aider à descendre de la voiture. La nippone apposa une rapide caresse sur les doigts de son époux en guise de salutations puis, une fois sur le trottoir, inclina légèrement le buste pour Catalina. Elle fouilla ensuite sa pochette, tendant à la brunette une carte de visite très simple (un fond blanc et une jolie esquisse à l'aquarelle d'une branche de cerisier) dont le verso supportait ses coordonnées à l'encre noire.
- Peut-être pourrions nous, un jour, aller faire quelques achats ? Les femmes de goût sont rares et je suis persuadée que votre compagnie s'avérera tout à fait enrichissante. Mais je ne vous retiens pas plus longtemps. Bonne soirée, madame.
La portière se referma sur un ultime sourire et la limo se mit doucement en branle, quittant les parages de la villa alors que Jûzô déposait son regard sur Catalina. Sans gêne, comme nombre de mâles, il se repaissait de la vision du corps séducteur de l'européenne, remontant de ses jambes à la courbure pleine et charnelle de ses seins. Le vérin qui gisait dans son pantalon de costard frétillant d'une première gorgée d'excitation, attirant l’œil sur la forme cylindrique massive qui courait sous les plis du tissu. Un monstre qui dormait encore, malgré tout.
Jûzô se pencha légèrement, prenant dans le mini-bar le verre qu'il avait préparé pendant le trajet, l'adressant à Catalina. Dans le whisky baignaient deux glaçons, qui tintaient doucement au gré des mouvements de la voiture.
- Trinquez avec moi, miss Taylor. Il avança son verre. A moins que cela ne soit encore officiellement Shimada ? Vous m'en voyez navré, mais je perds le fil.
Shimada. Il n'y avait qu'à voir le regard que le Buffle avait planté dans les yeux de Catalina pour saisir que l'homme avait choisi le patronyme en toute connaissance de cause. En évoquant l'un des derniers époux en date de la fameuse veuve noire, Jûzô mettait les choses en ordre de marche. Qu'elle sache que son vis-à-vis n'ignorait pas qui se cachait derrière la façade mondaine qui présentait si bien dans sa robe de soirée. Néanmoins, cela ne sonnait étrangement pas pour autant comme une menace voilée.
Jûzô s'accorda une gorgée de son propre verre, puis continua.
- L’assassin de ce pauvre Kuze n'a jamais été retrouvé, paraît-il. C'est regrettable ; quelques familles auraient voulu le féliciter pour son geste. Au Japon comme ailleurs, les balances n'ont pas bonne presse. Bon, il est également vrai que d'autres familles voudraient tout de même laver l'affront. Les clans, même rivaux, suivent des préceptes très stricts et la vengeance dans le sang en est un. Nous autres sommes rancuniers, savez vous ? Même après ces cinq années, selon la personne qui mettrait la main sur le meurtrier, cela pourrait finir sur un formidable gâchis.
C'était un jeu de dupes, ni plus ni moins. Les menaces étaient très claires maintenant et les voiles déposés sur le passé de Cata (du moins cet épisode là) étaient largement déchirés. Libre à elle de nier, bien sûr : quelle preuve pouvait apporter Jûzô ? Toutefois, il était certainement homme à savoir arracher la vérité sans trop de mal. Et sûrement y prendrait-il autant de plaisir qu'à épingler la belle gaijin sur le bout épais de sa queue de mastard. A la jeune femme, donc, de choisir l'orientation des événements.
- Il se trouve que je suis en mesure de protéger cet assassin. En faisant tomber Kuze, il a aidé les affaires de mon clan. Ce n'était bien sûr pas volontaire de sa part, mais je suis un opportuniste, miss Taylor : je compte bien retirer quelques compensations très concrètes de cet élan de bonté. Les bonnes alliances, surtout quand elles se concluent avec un vagin à fourrer, sont toujours bienvenues. Mais peut-être avez vous quelque chose à dire ou à proposer ? Chize dit de vous que vous avez autant de malice que de conversation. Faites moi profiter des talents de votre bouche, que j'en juge.
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 13:21:57 »@ Lulu : Faut que je pense à m'étendre, t'es marrante !
13h21
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 13:16:30 »A noter (tu le sais sûrement déjà, m'enfin) que si la fin n'a pas été éditée elle existe en scan. Et il y a même eu une suite (que j'ai pas lu) narrant les aventures du fils d'Hana et Yoh
13h19
Blabla / Re : Re : Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 13:07:14 »Et hop, c'est parti pour la domination criminelle de la ville
On commence par Cata, mais hé, faut bien commencer par dominer quelqu'un !
11h58
<3
13h00
La domination passera aussi par le quartier des putes <3
@ Koya : ouais, pour trouver l'origine de son manque de croissance il me semble <3
13h07
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 12:52:54 »Et il a Elizaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
12h52
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 12:48:36 »12h48
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 12:35:48 »Je vois même pas comment il pourrait y avoir discussion (et pourquoi on en fait pas un personnage rp *-*)
12h35
Archives publiques / Re : Sondage sur le statut des Terranides
« le: dimanche 18 février 2018, 12:34:47 »Plus sérieusement, les laisser ainsi leur laisserait, plus tard, la possibilité d'une révolution ou tout mouvement pouvant changer irp leur situation par le jeu, comme le propose le cornu du dessus. Autrement plus intéressant je pense qu'une réforme hrp !
Mais laisser des exceptions, justement pour que les choses puissent bouger. Si les terranides sont validés en esclaves enchaînés en mode ferme ta gueule, je ne vois pas l'intérêt.
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 11:58:22 »On commence par Cata, mais hé, faut bien commencer par dominer quelqu'un !
11h58