Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Eden

Pages: [1]
1
Le quartier de la Toussaint / Re : Bain de foule [Pv : Bleiz]
« le: vendredi 30 janvier 2009, 19:15:43 »
Les doigts posaient sur la vitre, elle feignait d’observer la lingerie comme une amante soucieuse de faire plaisir à son concubin en s’achetant l’un de ses ensemble. Le rouge étant un classique, le regard se posa là. On y aurait cru, vraiment. Mais l’humanoïde ne regardait même plus tout ces « vêtements » dont l’utilité lui échapper complètement. Les calculs s’enchaînaient mêlant résultat et statistiques. Lorsqu’elle Bleiz approcha, Eden ne bougea pas. Difficile de croire qu’elle l’avait remarqué, et pourtant, lorsqu’il fut à sa hauteur, elle se tourna vers lui, pivotant légèrement pour lui faire face.

Elle analysa aussitôt le visage de son futur interlocuteur pour choisir une expression qui lui conviendrait au mieux, et se fut un sourire aimable qui anima ses traits.

-Bonjour !

L’intonation de sa voix ne lui indiquait rien de bien spéciale. Père ne l’avait pas habitué à parler avec le commun des mortels, juste d’agir comme eux. Bien sur elle connaissait la base. Le langage propre à l’homme ne lui était pas inconnu et l’intelligence artificielle avait toujours pris un grand soin de répondre à son créateur sur un ton des plus mélodieux.
Ainsi la tête d’Eden bascula légèrement sur le côté retrouvant chez l’homme qui lui faisait face se grain si grave qui avait tant charmer son ouïe auparavant.

Bonjour.

Elle lui répondit sur une intonation semblable à la sienne y glissant plus de douceur que le programme de relation humaine l'avait habitué.

2
Les landes dévastées / Curiosité artificielle. [Pv : Eros]
« le: vendredi 09 janvier 2009, 17:55:36 »
A force de tourner et virer chez elle, Eden se sentait vaguement inutile. L’humanoïde avait rangée le laboratoire, dans lequel elle passait le plus claire de son temps, aussi méthodiquement qu’un maniaque en pleine névrose. Les dossiers de Père retrouvèrent leur tiroir dans un ordre alphabétique, le bureau avait été débarrassé de sa paperasse et pour son plus grand étonnement elle découvrit un étrange objet dissimulé sous un drap blanc, contre un mur.
Son regard électrique s’y été perdu longuement. Elle n’avait jamais prêtée attention à la chose et pourtant, cette pièce hantait tous ses souvenirs. Sans même s’en rendre compte, elle remonta dans le cours de sa mémoire en quête d’une possible réponse. Aussi fragile que précaire, l’équilibre qui s’était formé en elle s’en trouva un peu troublé. La vue se brouilla comme si un peu nuage de brume s’était glissé dans la pièce. Elle ne tarda pas à se confondre aussitôt dans le noir le plus complet.

Batterie Faible…

Aussitôt que les mots vinrent taper à son « cerveau », elle ouvrit les yeux. L’organisme artificiel bascula sur un mode plus classique. Eden perdit tout ce qui la rapprochait d’une humaine. Ses traits prirent une teinte beaucoup plus dur, ses mouvements devenaient aussi minimes que précis pour prendre le moins de temps possible. En quelques secondes les vêtements jonchaient le sol et le corps de l’étrange créature se retrouva plongé dans son bassin, masque sur le visage. Les paupières se fermèrent.

Dernièrement ce genre de phénomène lui arrivait assez souvent. Comme si elle n’avait pas été capable de prendre en compte le temps d’activité qu’elle pouvait s’autoriser dans une autonomie complète. A croire que Père avait encore mieux réussit son entreprise qu’il ne l’espérait. Le comportement d’Eden se trouvait une logique propre assimilant celui des humains dans une suite de supposition et d’ignorance. L’inconvénient restait que Père et malgré tout le génie dont il avait pu faire preuve jusqu’à présent, n’avait pu s’empêcher de la faire passer sur un mode plus sécurisant pour lui en l’obligeant à retourner se recharger. Voilà la faille.

90%...

Etudier, penser, agir comme l’être humain ne pourrait que l’en rapprocher mais pas la rendre entièrement autonome. Et à leur manière, eux aussi rechargeaient leur batterie.

100% Batterie pleine…
Programme Eden réactivé.


L’humanoïde ouvrit brusquement les yeux, sa poitrine se soulevait et s’abaissait rapidement comme si son rythme cardiaque s’était accéléré. Elle réagissait à merveille. Toujours aussi minutieuse dans l’émotion choisit sur la situation, l’illusion deviendrait peut-être un jour parfaite. Sans plus attendre elle sortit de sa prison de verre, autant le masque qui retomba dans l’eau. Bientôt elle reviendrait à lui.
Sans même que le froid ne l’affectait pas, la créature avança vers la dernière image qui lui restait en mémoire, laissant l’eau ruisseler sur son corps.

Porte. Informations insuffisantes.

Oui, la forme laissait belle et bien penser qu’il s’agissait d’une porte mais la forme différé légèrement sur le haut. La curiosité de l’intelligence artificielle avait été soulevée. Une main frêle se posa sur la poignée et…

Situation inadéquate.

La main de la créature se retira aussitôt. Qu’est-ce qu’il pouvait bien clocher ?
Eclair de génie ou intervention inconsciente, son regard se détourna sur les vêtements non loin au sol. Ni une, ni deux, elle s’habilla aussitôt. Elle aurait du s’en souvenir. Père le lui avait dit maintes fois. Si l’homme a crée les vêtements ce n’est pas pour rien. Difficile d’en prendre conscience lorsque les sensations de froid et de chaud sont quasiment inexistantes.
Néanmoins elle n’en oublia pas le nouvel objet qui suscitait son intérêt.
La scène qui avait eu lieu un peu plus se répéta et le noir l’envahit à nouveau.

Lorsqu’Eden reprit « connaissance » le laboratoire n’était plus là. Ni même la porte d’ailleurs. Logiquement. La panique aurait du la prendre par surprise, l’affoler, lui faire perdre ses moyens. La faire réagir en tout cas. Mais non. Immobile, son regard s’évada sur le décor chaotique qui se présentait sous ses yeux. Le pourquoi du comment d’un tel changement ne sembla pas la perturber. L’information se nota juste quelque part dans un coin de sa mémoire qu’elle viendrait interroger plus tard.
L’endroit lui semblait lui aussi totalement inconnu. A chaque regard, le même mot murmuré revenait dans sa tête.

3
Le quartier de la Toussaint / Re : Bain de foule [Pv : Bleiz]
« le: mercredi 07 janvier 2009, 00:33:08 »
Aurait-elle voulu passer inaperçue qu’elle n’y serait parvenue. C’est vrai. La pâleur de sa peau ne pouvait être normale. On imaginait assez mal une personne fuir autant la lumière du jour pour arriver à se blanc laiteux, virant presque au gris lorsque l’éclairage du centre commercial n’illuminait plus son visage baissé.

Eden mettait un pied devant l’autre sans ne plus prendre en compte l’ajustement de l’équilibre, la fluidité des mouvements. Son regard se reportait de temps à autre sur ses pieds comme pour s’assurer qu’elle avançait toujours normalement puis se reportait sur la foule. Toujours aussi lointaine, les prunelles électriques s’amusaient à photographier les têtes des passants.

Adulte. Sexe féminin. Trentaine…Humain
Adulte. Sexe féminin. Cinquantaine…Humain
Enfant. Sexe masculin. 9 ans. Age approximatif…Humain


Petite voix intérieure qui débitait sur un rythme rassurant. Du moins assez pour lui permettre de ne pas se perdre sur d’autre élément qui pourrait la dévoiler. Ses lèvres s’étiraient doucement sur un coin dans une moue enfantine.
Son regard s’arrêta sur un homme au loin. La démarche dévia de sa trajectoire initialement prévu, l’amenant à une vitrine de lingerie fine. La situation devenait singulièrement ironique. Trop captivée par son nouvel objet d’étude, une autre partie d’elle avait fait surface.
La moue devint sourire lui donnant un visage beaucoup plus avenant qu’auparavant. Eden se remettait à fonctionner bizarrement. Et pourtant une tension s’inscrit sur son front jusqu’à lui faire froncer imperceptiblement les sourcils, sa nature première lui obligea à poursuivre son étude de cas.

Adulte. Sexe masculin. Vingtaine…

La tête bascula sur la droite alors qu’elle se détournait doucement du jeune homme.

Humain ?

Ce n’était pas vraiment une constation. Une supposition plutôt. Comme les informations requises ne lui suffisait pour arriver à cette affirmation. Une main se posa sur la vitrine alors que son regard juvénile se détourna pour se poser sur la lingerie qui y était exposée. Un sourcil s’arqua mimant à merveille la surprise.

Inconnu.

Oui. Il fallait s’y attendre. Eden n’a jamais eu l’occasion de voir ni même savoir à quoi pouvait bien servir ce genre de chose. Non pas qu'elle ne porte pas de sous-vêtement mais la notion de séduction ne lui a pas encore été apprise.

4
Le quartier de la Toussaint / Bain de foule [Pv : Bleiz]
« le: dimanche 04 janvier 2009, 21:54:04 »
Elle c’était fait une interdiction de sortir de son antre. Il faut bien comprendre que Père ne lui avait que rarement permis de se mêler au commun de mortel. Pourquoi ? Elle ne le sait pas. Père avait décidé qu’il en serait ainsi et Eden s’en était simplement et bêtement contentée. Malgré cela elle ne pouvait plus rester dans sa prison. Rien ne la retenait là.

Bizarrement elle avait choisit l’endroit le plus fréquenté pour une première sortie. Oui sa première décision qui lui était propre.
Avant elle était resté longuement assise dans l’immobilité la plus totale en sondant sa mémoire en quête d’information. Ce qu’elle devait faire maintenant, elle l’ignorait. Père n’avait pas envisagé cette option. Pourtant quelque chose lui laissait croire qu’il fallait qu’elle agisse. Ainsi, elle s’était retrouvée devant les portes du centre commercial.

Elle déglutit en voyant les portes s’ouvrir devant elle, lui offrant le ballet d’une foule qui se pressait de toute part sans même faire attention à elle. Immobile devant les portes elle s’était figée. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, une expression proche de la surprise se glissant sur son minois blanchâtre.
Tout en elle avait été pensé pour donner l’illusion parfaite d’une humaine. Elle en ressentait même une sensation étrange. Faire un pas en avant lui était impossible, en arrière aurait été contraire au principe que lui avait inculqué Père. Son regard électrique se balada sur les enseignes des magasins quittant pour quelques secondes les passants qui commençaient à s’interroger sur l’immobilité d’Eden.
La tension qui la crispait jusqu’à présent s’évaporait peu à peu. Elle avait ressenti le genre d’angoisse que subissent les personnes incapable de rester parmi la foule sans perdre leur sang froid. L’agoraphobie dit-on. Mais pour avoir ce genre de pathologie encore fallait-il que l’être soit issu de l’espèce humaine. Sa réaction restait dans une certaine mesure plutôt justifié. Premier bain de foule pour Eden. Et seule qui plus est. Ainsi la densité de la foule devint peu à peu plus qu’une donnée qu’elle archiva.

De loin le spectacle devait être assez étrange. Debout, figée dans un silence immuable, la silhouette de la jeune fille n’avait pas donné signe de vie pendant plusieurs minutes. Toute de noir vêtu, son teint blanchâtre n’apparaissait que plus troublant laissant croire à une de ses adolescente fuyant les rayons du soleil comme la peste. Mais ce look ne lui allait pas si mal. La chevelure ébène se retrouvait maintenue dans une coiffure complexe. Le manteau entrouvert laissait entrevoir la tenue de l’humanoïde. Bustier noir, enserrant sa poitrine sur chemisier de satin et pantalon près du corps. Dans cette bizarrerie elle avait au moins une silhouette assez agréable pour se permettre ce genre de fantaisie.

Ce n’est qu’au bout d’une dizaine de minutes. Lorsqu’elle jugea le moment opportun que l’humanoïde se glissa dans la foule. Cadence adéquate, elle ne tarda pas à se fondre à merveille dans la masse rassurant les passant curieux sur son égarement précédent.

5
Prélude / Eden. Prototype endommagé. [Fini]
« le: mardi 23 décembre 2008, 02:22:33 »
Prénom :
Eden

Age :
20 ans physiquement parlant dirons nous.

Sexe :
Corps féminin

Race :
Humanoïde

Orientation sexuelle :
N'éprouve aucune préférence que se soit envers la gente féminine que masculine, nous dirons donc bisexuelle.


Description physique :
A priori, elle est tout à fait normale, ou plutôt humaine. A priori seulement.
La peau d’un blanc laiteux, Eden est le genre de personne qui laisserait croire assez facilement être un enfant de la lune. (Comprenez par là une personne qui craint le soleil.) Les traits fins, un visage gracieux, son créateur avait un certain sens de l’esthétisme, cela ne fait aucun doute. Les yeux d’un bleu électrique, soulignés de noir sont rehaussés par un maquillage rappelant ses prunelles. De longs cheveux corbeaux ornent sa tête, très souvent retenu dans une coiffure plus ou moins complexe, laissant quelques mèches venir encadrer son joli minois.
Son corps lui est plus anodin, des formes certes appréciables mais rien de bien étonnant. D’autant plus que celles-ci ne sont que rarement mises en valeur et pour cause. Elle est toujours vêtue de noir : chemisier de satin, bustier enserrant sa poitrine, pantalon près du corps, le tout enfermé dans un long manteau en cuir, noir bien sûr.
Le plus intéressant est certainement ce que cache cette enveloppe froide et rigide. Son créateur a essayé là aussi de reproduire au mieux l’anatomie humaine, certes, elle n’a pas de cœur, de poumons et tout ce qui s’en suit mais la majeure partie de son être est régie dans la zone du cœur et dans sa tête est emmagasinée la mémoire.
Les plus courageux pourront même accéder à ses informations, s’ils décryptent les codes mis en place par Père. Il suffit tout simplement d’appuyer sur un bouton se trouvant dans le bas du dos, entre les « reins » dans le prolongement de la colonne vertébrale. Au toucher, on ne sent rien, il faut simplement savoir où appuyer. Une fois fait, Eden se figera et les parois de son abdomen s’ouvriront sur ses circuits.


Caractère :
Le plus important serait de dire qu’elle ne parle pas beaucoup, elle analyse. Le genre humain lui paraît complètement étranger et elle ne peut s’empêcher de l’étudier. C’est un concentré de connaissance sur pattes, mais malgré ça, elle reste toujours aussi observatrice et méthodique dans ses agissements. Elle sait parfaitement qu’elle n’est pas comme les autres mais son incompréhension face à ses sentiments l’empêchent parfois de suivre sa logique de base. Forcement très naïve, elle sera prête à écouter tout enseignement mais ne vous fiez pas non plus aux apparences. Elle s’informe aussi sur vous grâce à votre comportement, vos paroles, votre manière d’être. Inutile de préciser qu’elle ne comprend pas l’humour et pourrait prendre la plupart des choses qu’on lui dit au premier degré. Néanmoins, cela ne l’empêche pas pour autant d’être sarcastique.

Histoire :
Comme après chaque semaine passée à travailler auprès de Père, le repos était largement mérité. Chaque Lundi, le rituel s’exécutait. L’humanoïde plongeait dans son aquarium, Père emprisonnait son visage dans un masque étrange suivit d'un long tuyau. Là elle ne mettait jamais bien longtemps avant de retrouver calme et sérénité. L’obscurité l’envahissait. Se trouvant alors privée de tout élément d’analyse, Eden rechargeait tout simplement son « organisme. »
Ses paupières s’ouvrirent lentement, imitant à merveille la manière qu’avait les humains de sortir de leur sommeil. Elle cligna des yeux, fronça les sourcils… Et posa des mains crispées sur les parois de son aquarium. Intelligence artificielle. Elle analysait une situation aussi vite que le lui permettait la technologie qui était concentré en elle.
Père se trouvait en danger.
Une silhouette grande et massive se tenait face à Père, le bras tendu vers son front. Les yeux de l’humanoïde se braquèrent sur la main de l’inconnu décryptant la chose noire qu’il tenait fermement dans sa main.
« Inconnu. »
Elle fronça les sourcils, se trouvant submergée par les prémices de ce que Père lui avait confié être la colère. A nouveau elle analysa l’objet et la réponse fut la même : « Inconnu. »
Subitement elle tapa contre les parois de sa cage de verre. Acte incompris que lui dictait une chose dont la nature lui échappait.
Le mécanisme se mit en place sans qu’elle ne puisse y échapper. Père avait fait du beau travail. La compréhension des émotions humaines n’avait pas toujours été facile mais Eden s’avérait être un prototype aux résultats étonnants.
Elle arracha le masque qui se trouvait sur son visage et sa vue fut comme brouillée. L’humanoïde cligna des yeux, comme si sa vue allait se rétablir toute seule. Soudain elle sentit quelque chose pulser en elle. Prise par un nouveau sentiment, la silhouette blanchâtre se hissa sans mal sur le rebord de l'une des vitres de son aquarium hurlant.
« Père ! »
La vue se rétablit. L’être se tenant en face de Père était un homme sans nul doute, le dépassant largement d’une tête. Les cheveux courts, brun ou noir.
Ici sa mémoire n’est plus aussi bonne. Avant le noir complet, elle a juste enregistré un bruit sourd et son nom crié par Père.
Voilà ce dont se souvient Eden. Information enregistrée, archivée. Lorsqu’elle se réveilla, elle ne trouva pas Père. Juste une arme sur la table à côté d’elle ainsi que les vêtements qu’elle porte encore aujourd’hui. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que son bourreau a pris soin de retirer la balle qui s’était logée dans sa poitrine, là où résidait la partie la plus complexe de son être. Sa mémoire passée en a été partiellement détruite, et pour le reste, y accéder lui demande un temps fou, quant à son travail sur les émotions humaines, il s’est produit quelque chose d’étonnant. Ce n’est plus une histoire de paramètres, elle… ressent.

Situation de départ :
Contre toute attente, expérimentée. Même si elle voit plus la chose comme l’aboutissement de sentiments qu’elle ne comprend pas encore… Allez savoir ce que Père pouvait bien faire d’elle.

Autres :
Intelligence Artificielle.
N’aller pas chercher sous le manteau, l’humanoïde se balade avec un joli souvenir. Une arme à feu. Un automatique. Après qu’elle sache s’en servir, c’est autre chose.


Comment avez vous connu le forum:

Doublette d’Opium =]

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