13
« le: jeudi 18 janvier 2018, 19:10:13 »
Betty n'avait pas encore prévu de coup fourré pour le moment, elle cherchait simplement un moyen de reprendre ses esprits déjà. Chose difficile quand on esprit est embrumé par magie et perversité. Assise pour le moment sur la chaise, elle reste silencieuse, pas un mot ne sortit. Attachée par une paire de menottes, les mains dans le dos, elle était coincée. Elle ne résista pourtant pas, et les mains coincées risquaient encore moins de le faire. Elle l'observa un peu, le regard pourtant vide, elle semblait un peu au bout du rouleau après tous ces coups et blessures sur sa peau. Elle répondant pas à sa demande, elle ne bouge cependant pas non plus, le regarde faire dans un coin, sortir de la valise une seringue. Oh, maintenant il voulait la droguer pour la rendre accroc à ça bite, ou bien à la douleur peut-être ? Elle n'en savait trop rien, et franchement n'était plus à même d'y penser correctement. Son esprit n'arrivait pas encore à se relever de la douleur, son corps non plus. Ce satyre était malade, croire qu'une personne peut être dressée comme un animal... Et en parlant d'animal son délire était visiblement de faire d'elle une vache à lait.
Elle sentit donc la seringue et l'aiguille surtout, elle grimaça à peine sous la douleur pourtant bien présente, l'écoutant alors parler d'être plate... Ce qui pourtant n'était pas vraiment le cas, sans être au niveau d'Alice, elle avait tout de même assez de poitrine pour se plaire avec. Elle sentit donc le produit couler en elle, une sensation de chaud, de picotement traversant tout son sein. Puis de même avec le suivant, le collier retirer ses yeux semblait revenir un peu à eux. Elle sentit alors un autre collier et agita les oreilles et la queue... Puis elle le regarde attacher une laisse, et le laisse regarder sa poitrine qui avait déjà pris un bonnet tandis que ses tétons éjectaient d'eux-mêmes du lait. Heureusement qu'elle n'avait pas six ou huit tétons hein, ça serait une catastrophe innommable. Elle le regarda alors serrant les dents sous une certaine douleur dans sa poitrine, c'était bien trop rapide. Deux bonnets de plus, et encore du lait qui jutait en dehors sans demander l'avis de la propriétaire de la poitrine.
- Ahhnn... non-pitié... ça brule... arrêtez ça...
Elle s'agita sur la chaise, impossible de penser à obéir face à une telle douleur, ses cellules se multipliaient, sa poitrine gonflait de l'intérieur et cela ne semblait pas vouloir se stopper. Le produit était-il adapté aux métabolismes des Furrys ? Allez savoir, mais pour le moment elle gémissait de plus en plus douloureusement, de longues minutes durant l'effet principal du produit. Puis cela sembla se calmer, la laissant le souffle court, son clitoris tout excité, sa queue battant l'air doucement, sa gueule bavante ouverte, et sa poitrine aussi grosse que celle de sa collègue Alice...