Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Hiroko Satô

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Hiroko Satô

Pages: [1]
1
Gymnase en plein air et piscine / Re : Baignade en eaux profondes ? (PV Lyli)
« le: samedi 16 décembre 2017, 22:09:18 »
Hiroko fut à peine saisie par le poignet qu’elle sentit son pied glisser et s’envoler. Il est interdit de courir aux abords d’une piscine non sans raison. Dans l’affolement, c’est tout naturellement que la déconcertée tenta de se raccrocher à ce qu’il y avait de plus proche. La moelleuse poitrine de la sirène en l’occurrence ; qu’elle accueillit avec autant d’enthousiasme que de circonspection. L’anticipation entraina à nouveau l’affolement et une certaine paralysie.

Hiroko se laissa remonter le menton, et ferma les yeux presque par mimétisme quand les lèvres vinrent à sa rencontre. Le regard embrumé, la jeune fille semblait comme hypnotisée, happée par ces gestes sensuels, ces paroles pétries de sous-entendus. Elle y répondait comme ils semblaient l’y inviter. Ses mains se laissèrent ainsi guidée jusqu’à la proéminente poitrine dont les tétons semblaient durcir en même temps que s’affermissaient les siens. Il n’y avait plus aucune résistance chez la jeune fille, si ce n’est des : « Non » répétitifs qu’elle n’exprimait dorénavant qu’en pensée.  

- « Je ne veux pas perdre face à mes désirs » murmura-t-elle avec gêne, comme pour répondre à ces questions laissées en suspens.

Son bas-ventre s’échauffait déjà au rythme de ses gémissements et de ses caresses, mais il redoubla d’intensité lorsqu’un second baiser dérapa en une fougue intense et avide. La maudite agitait ses hanches, excitée d’être la proie de cette belle prédatrice. Déjà perlait sur ses cuisses une certaine humidité qui augmentait à mesure qu’elle frottait ses jambes entre elles. Toujours prisonnière de ces mains, il en naquit une certaine frustration de ne pouvoir se toucher. Si bien qu’Hiroko se laissa choir sur les genoux, à bout et implorant du regard.


2
Gymnase en plein air et piscine / Re : Baignade en eaux profondes ? (PV Lyli)
« le: lundi 11 septembre 2017, 21:35:37 »
Le réveil est dur. Hiroko suffoque avant de déglutir ce qui lui reste d’eau. Son estomac est lessivé, autant que l’est son cerveau. Elle s’étonne de voir le plafond à son réveil et force sur sa mémoire afin de se souvenir des derniers évènements. La présence de Lyli lui revient vite au son de sa voix et avec elle le rêve d’un baiser fougueux sous fond aquatique. Hiroko reprend couleurs et chaleur instantanément. Du coin de l’œil, l’indiscrète observe les formes de sa sauveuse, bienheureuse de ne pouvoir être confondue tant que cette dernière a le dos tourné.

Comme souvent avec sa malédiction, une limite franchie entraine l’escalade ; Hiroko serre des poings et des dents pour se retenir de poser ses lèvres sur ce corps séduisant. Vainement, elle ferme les yeux mais ne peut s’empêcher de les rouvrir dans l’instant. Elle pleurerait presque de cette dépendance. Elle écoute attentivement la sirène et se découvre victorieuse d’un jeu dont elle ignorait sa participation. C’est beaucoup d’informations qui peinent à monter à son cerveau. Hiroko peine à en suivre le fil.

Elle le conçoit toutefois, le lessivage lui apportant une certaine hauteur d’esprit. Peut être que sa propre expérience avec la magie noire l’y incline. Nul doute qu’elle est bien plus demandeuse et réceptive de son langage non verbal en tout cas. Aussi lorsque Lyli se retourne, ne cesse-t-elle pas déjà de la reluquer et de regarder à nouveau le plafond d’un air un peu affolé. L’ardeur monte encore quand Lyli s’approche. Ne supportant plus la tension et craignant qu’elle lui effleure la peau dans cet état si sensible et vulnérable, Hiroko se redresse brusquement.

Elle prend alors de profondes inspirations pour retrouver son calme. Cela étant, elles lui permettent également d’irriguer le cerveau et de retrouver un peu de lucidité. C’est à ce moment tardif qu’Hiroko reconnait donc l’escroquerie. Ainsi, dotée d’une confiance retrouvée, l’irritée se retourne afin de confronter les regards et se met à blâmer sévèrement la sirène. Afin d’appuyer son propos, elle n’hésite d’ailleurs pas à matraquer Lyli de son index.

- « Attends ! Si comme tu dis, tu es bel et bien une sirène, alors ce concours d’apnée, ça n’a été que tromperie ?! Argh. J’y crois pas, et j’ai failli me noyer en plus… »

C’est à cet instant que son regard se porte sur son index qui tapote le sein de Lyli ; et comme hypnotisée par ce mamelon qui durcit, Hiroko se met à le pincer, à le titiller, à prendre le sein de pleine main. Le désir avait piraté un court instant son corps et quand elle en fut consciente, elle en fut complètement désolée. Jamais encore son inconscient avait pris le dessus et elle en fut parfaitement horrifiée.

- « Non… ce n’est pas moi… c’est la malédiction... »

Souhaitant quitter cette endroit avant de nouvelles escalades, la jeune humaine se lève en panique et se met en tête d’aller récupérer ses vêtements.

3
Gymnase en plein air et piscine / Re : Baignade en eaux profondes ? (PV Lyli)
« le: dimanche 10 septembre 2017, 18:29:59 »
Hiroko n’était plus en mesure de lutter contre les agissements de Lyli. La peur et la nage l’avaient complètement vidées. Elle avait reconnu une bouée en la sirène et la serrait d’autant plus fort qu’elle craignait d’en être séparée. Conséquemment, elle n’osait trop la confronter et se laissait plutôt guider. Ainsi, elle se laissa orienter la tête et endormir par ses paroles, sans doute bernée par ce semblant de réconfort que cette « planche » lui apportait. Si bien que quand Lyli la força à plaquer ses lèvres contre les siennes, elle en fut complètement étonnée.

Pour autant, elle n’osait l’écarter de peur de ne pouvoir à nouveau s’y accrocher. Elle avait peur du rejet. Alors muée par l’espoir d’ignorer ces baisers, elle présenta plutôt ses yeux clos et une bouche scellée. En vain, puisque ces baisers volés ne mirent pas longtemps à provoquer leurs effets et Hiroko n’ayant plus que ce recours se mit à porter de légers petits coups à Lyli pour l’enjoindre d’arrêter. Une façon de la supplier sans la contrarier. Elle redoubla toutefois d’intensité quand elle sentit sa langue venir la tapoter.

Mais quand le genou vint frapper son sexe, la confuse céda. Elle poussa un cri de jouissance, étouffée par l’envie de le contenir ; et après quelques spasmes son corps se relâcha. Hiroko ne combattait plus ; l’œil hagard indiquait qu’elle était même ailleurs. Ainsi à cette langue qui s’immisçait et tournoyait, elle y répondait, peu consciente de ce qu’elle faisait. Hiroko se pensait même dans un rêve ; à tel point que quand Lyli exprima sa capacité à la réveiller, elle y réagit ainsi.

- « Non… Ne me réveille pas... »

À ces mots s’ajoutaient des gestes un peu tâtonnants ; sa main qui n’avait plus la notion des distances venaient ainsi effleurer ces lèvres qui visiblement lui manquaient. Elle n’avait pas quitté cet état second quand vint le défi de la sirène ; et conséquemment, ne fut pas plus consciente de son avertissement que des mots qui avaient précédés. Si bien qu'elle ne prit qu’une légère inspiration quand elle l’attira dans l’eau.

Hiroko accueillit cette fois ce baiser avec anticipation, et il dura longtemps. Vraiment longtemps. Trop longtemps. L’appréciant au-delà de toutes raisons, Hiroko s’était évanouie dans cette étreinte. Lyli s’était peut-être un peu trop avancée en pensant le résultat couru d’avance. Les morts, eux non plus, ne peuvent manquer de souffle.




4
Comment avait-elle deviné qu’elle viendrait ici ? C’était une décision spontanée, et même plutôt inusuel pour la respectueuse des règles qu’elle était. Certes, Hiroko avait fait routine de venir dès l’aube préparer les flotteurs et autres éléments nécessaires à son cours de natation, mais cette inconnue avait-elle vraiment prévu de se laisser enfermer la nuit, pour la cueillir au matin ? Avait-elle vraiment étudié le rythme de ses journées quand elle-même ignorait son existence jusqu’à aujourd’hui ?

- « Mais tu es une vraie stalkeuse »

Être traquée par un pervers, c’était tout ce qu’Hiroko craignait. En pire cette fois, car son expérience des filles l’amenait à moins se méfier. Elle ne savait trop quoi redouter. Lorsqu’elle la vit se mordre la lèvre inférieure, la jeune fille ravala sa salive ; ce qui était sûr, c’est qu'elle ne lui semblait pas moins inquiétante. Hiroko avait à peine accéléré le mouvement de sa brasse en réaction, que la sirène lui avait déjà barré le chemin vers sa retraite.

C’était effrayant, notamment par la vitesse à laquelle elle l’avait rejointe. Hiroko avait jeté un coup d’œil en arrière, n’y comprenant rien. Elle sentait qu’un élément lui échappait, mais n’y pouvait rien. La jeune fille était déboussolée. Lorsque la sirène s’approcha à nouveau, elle en fut complètement affolée. Afin de pouvoir fuir de ses deux mains, Hiroko concéda enfin à retirer le bras de sa poitrine. Mais ne souhaitant tourner le dos à Lyli, elle n’évolua pas dans l’eau comme elle l’aurait souhaité. Au lieu de les éloigner, chaque nouvelle brassée diminuait d’autant l’écart qui les séparait.

Face à face, elle se sentait comme prise en chasse. L’agitation de ses bras et de ses jambes témoignait d’ailleurs de son affolement. Je te veux ; c’était peut-être les avantages de sa malédiction, mais elle comprenait le message. Ses seins, son corps frémissaient, fouettés par les éclaboussures de leurs mouvements. Ils étaient si proches maintenant que leurs corps semblaient collés ; mais elles reculaient toujours, non plus à son initiative, mais à celle de sa prédatrice qui la ramenait doucement vers le centre du bassin. Leurs lèvres étaient si proches et elle était si troublée ; c’est Hiroko qui cette fois-ci se mordillait la lèvre pour se retenir d’agir.

Aussi, elle accueillit avec soulagement l’immersion de la sirène. Soupirant, elle se remit d’avoir évité la limite. La ronde aquatique de Lyli avait quelque chose de reposant et la jeune fille s’était calée dessus pour se remettre de ses émotions. Il n’empêche qu’elle avait voulu rejoindre le bord parce qu’elle fatiguait, et qu’elle ne comprenait toujours pas cette envie de vouloir l’en empêcher. Cette stalkeuse voulait-elle sa mort ? Hiroko était toutefois heureuse de constater que son désir de survie prenait le pas sur sa libido. Encore qu’elle craignît l’acte finale, certains trouvaient du plaisir aux portes de la mort.

Hiroko ne tarda d’ailleurs pas avoir sa réponse quand elle l’agrippa aux jambes. Chaque nouveau baiser lui donnait l’impression d’un peu plus couler. Il n’aurait manqué que d’être mordue pour avoir l’impression d’entendre la musique du grand requin blanc. Hiroko ne dépréciait pas, mais elle ne savait trop quoi penser de ce double sentiment. Peut-être parce que c’était inhabituel ; peut-être parce qu’elles portaient son poids, la maintenant à la surface ; peut-être parce que ça lui rappelait sa masturbation ; les bulles qu’elle reçut sur son intimité eurent un tout autre effet. Grâce à elles, elle se mordait à nouveau la lèvre, se cambrant vers l’avant comme pour résister au plaisir qui montait rapidement en elle.

Hiroko écouta à peine Lyli quand elle remonta à la surface. Au lieu de ça, elle la saisit précipitamment comme une planche laissée au naufragé. Elle avait posé sa tête sur son épaule et la serrait si fort maintenant qu’elle aplatissait probablement ses seins contre sa propre poitrine. Tremblante dans sa voix comme dans son corps, on devinait facilement la peur qui était sienne.

- « Pitié » lui répondit-elle, comme si elle venait de la torturer.

Pour autant la manière dont elle frottait son entrejambe contre la jambe de Lyli donnait un tout autre sens à ses paroles. Preuve en est que si son désir de survie était plus fort que sa libido, il était surtout plus fort que sa raison. En tout cas, reposée dans les bras de la sirène, elle se calma.

- « Qu'est-ce qui pourrait bien se passer à deux filles nues dans une piscine ? Elles pourraient bien se noyer » plaisanta-t-elle d'un ton fatiguée.

- « Ne fatigues-tu jamais ? » lui répondit l'éreintée, alors qu'elle voyait l'inépuisable Lyli battre toujours des jambes.

5
Qu’il était bon de se baigner dans l’eau froide. Hiroko ne fit pas même de longueur. La jeune fille avait tellement attendu ce moment qu’elle aurait accueilli l’hypothermie à bras ouverts. Elle sentait enfin ses paupières s’alourdir et regretta qu’il n’y ait pas pied dans ce bassin, car elle aurait bien somnolé à son bord. Un pic d’adrénaline survint néanmoins quand des bulles éclatèrent au large de la piscine. Hiroko se crispa, car sa seule référence du genre lui venait des dents de la mer. Pour elle, c’était la tétanie ; et ça lui valut un petit cri étouffé ainsi qu’un énorme frisson lorsqu’elle fut apostrophé dans son dos. La tension redescendit d'un coup lorsqu’elle examina Lyli et ses propos, mais elle serait maintenue éveillée pour un moment maintenant.

Prenant acte de la situation, Hiroko fronça les sourcils de voir qu’elle n’était pas si seule. La cartésienne n’avait ni assez d’humour, ni assez d’empathie pour répondre à ces rires. Au moins il s’agissait d’une fille. Pas de risque d’avoir des envies perverses ou d’en provoquer, s’était-t-elle rassurer. Pas de risque, s’était-t-elle répétée anxieuse, ne pouvant quitter du regard la silhouette nue qui nageait maintenant autour d’elle. Prise entre l’envie irrésistible de regarder et d’ignorer, Hiroko s’était placée une main devant les yeux pour continuer à observer la nage à demi-feutrée. De quelle odeur elle parlait, elle l’ignorait. Le chlore peut être. Parce qu’elle était focalisée sur autre chose, les paroles de Lyli sonnait davantage à ses oreilles comme le chant envoûtant d’une sirène que comme un discours porté de sens.

Hiroko n’en fut que plus prise au dépourvue lorsque Lyli vint glisser son nez jusqu’au creux de son cou. Les corps étaient bien prêts maintenant, presque trop. Hiroko fut prise d’une nouvelle chaleur à son contact. On entendait que ses : « Ah ! », « ah ! » saccadés qui tentait désespérément d’inspirer l’air que cette chaleur venait à lui ôter. Lorsqu’elle sentit ses seins durcir à la rencontre des siens, un cri de panique la saisit. Hiroko prit brusquement Lyli aux épaules et la poussant se donna un peu de propulsion afin de partir en arrière et ainsi s’écarter d’elle. Continuant à brasser des pieds, sa main avait cesser de masquer ses yeux pour masquer ses seins. Lyli avait sans doute senti leur affermissement, mais Hiroko tenait malgré tout à cacher le désir évident qu’elle avait eu de ce contact. Elle en était pas moins déboussolée et on pouvait sentir tout son trouble dans l’index tremblant pointé en direction de la sirène.

- « Qu… qu… qu’est-ce que tu fais ici d’abord ? L’a… l’a… l’accès à la piscine est interdite la nuit. Tu… tu… tu ne devrais pas être là. Je vais te… te… te signaler »

Certes, Hiroko n’était pas moins coupable de cette violation, mais elle n’était plus vraiment en état de raisonner. Gênée d’être observée dans sa plus parfaite nudité, elle avait plongé dans l’eau jusqu’à ce qu’il ne reste que la partie au-dessus de son nez. Honte, colère, excitation, tout cela avait donné à ses pommettes une couleur rose vive ; ses cheveux trempés flottaient notamment autour d’elle ; et elle tenait maintenant un regard noir à l’attention de sa comparse. Quelques minutes dans cet état l'aidèrent toutefois à reprendre un peu de contenance. Etant plus à même de réfléchir, l'intruse tiqua alors sur un détail. Sortant la tête de l’eau, elle s’exclama.

- « Comment ça fait d’ailleurs que tu ais pu entrer ? C’est moi qui ait le double des clés. Tu t’ais laissée enfermer ? »

Réfléchissant par elle-même, Hiroko en vint la conclusion suivante.

- « Si c’est la raison de ta présence, je ne te retiens pas. Tu trouveras mes clés dans mon sac. Je te laisse les emprunter »

Sentant la fatigue de ses jambes à faire du surplace, Hiroko commença à brasser vers le bord droit ; d’un bras seulement, toujours ennuyée qu’elle était, de dévoiler sa poitrine aux tétons encore vivement excités. Mais elle était rassurée. Sa compagne allait sans doute partir maintenant, et elle pourrait profiter du reste de la soirée.

6
Gymnase en plein air et piscine / Baignade en eaux profondes ? (PV Lyli)
« le: mardi 27 juin 2017, 18:55:54 »
Hiroko était couchée sur son futon, yeux lucides et ouverts, guettant les ombres de ce clair de lune comme on compterait des moutons. La jeune fille sentait venir l’insomnie. Elle en connaissait la raison. Elle s’était retenue de se masturber cette nuit pour rejoindre les bras de morphée. C’était partie pour être une de ses nouvelles habitudes et elle s’opposait à l’idée. En feu, elle luttait. Elle avait ouvert sa fenêtre pour profiter de la fraîcheur de la nuit, mis un ventilateur à ses côtés, et dégagée sa couette à grand coup de pied. En culotte et débardeur, sa seule retenue était de se les ôter. Elle sentait ses tétons pointés et n’avait qu’une crainte, qu’être nue la pousse à céder.

Signalant le changement d’heure, son réveil se mit à biper. Hiroko tourna la tête pour constater les trois heures du matin annoncées. Elle en rit de désespoir. Son regard s’attarda ensuite sur le trousseau de clés posé également à son chevet. La fatigue sans doute, elle en avait oublié l’acquisition récente. Il s’agissait des clés de la piscine municipale. Hiroko y suivait des cours, presque deux fois par jour depuis que sa malédiction avait déréglée sa température. Depuis, responsable de l’équipe de natation de son lycée, son coach lui avait confié le double des clés afin qu’elles puissent s’entraîner en dehors des horaires réservés au public.

En nage, la pensée d’une trempette au clair de lune avait tout de séduisant. A vrai dire, elle avait même occulté un court instant le désir de son bas-ventre ; et il n’en a fallu pas plus pour la convaincre de s’y rendre. C’est avec entrain qu’elle s’apprêta donc pour sa sortie nocturne. Hiroko n’était pas une habituée des improvisations. Elle maugréa d’ailleurs de voir que son maillot était encore dans la corbeille de linge sale, mais à y réfléchir il était bête de ne pas profiter de la désertion du lieu pour se baigner dans le plus simple appareil. Aussi, séduite par l’idée, elle ne s’encombra que d’une serviette et de vêtements de rechange.

Hiroko se rendit à pied jusqu'à l'établissement. La nuit était calme et dans son audace, elle se sentait l’âme d’une aventurière. Sans doute s’y mêlait la crainte d’être surprise, car au seuil du local, elle se sentit plus intimidée. Hiroko engouffra sa clé, tremblante, comme on déflore une virginité et sitôt entrée verrouilla précipitamment la porte derrière elle. L’intérieur ne fut pas moins accueillant que le dehors. La petite habituée se déplaça d’ailleurs de mémoire car l’endroit était plongé dans la pénombre. L’interrupteur n’y fit rien notamment ; mesure d'économie, on semblait avoir coupé le courant pour la nuit.

Fort heureusement, l’une des salles était éclairée sous la lumière bleue tamisée de la lune. Le ciel se reflétait par ailleurs sur la surface du bassin, si bien qu’on ne pouvait en déterminer la profondeur qu’à partir des pancartes informatives suspendues au plafond. Hiroko était captivée par ces nuages et ce rond laiteux peints sur la surface de l’eau. C’était un moment unique, à profiter, et elle ne se fit pas prier pour se déshabiller et rentrer dans la piscine. Peu habituée, elle frémit de désir au contact froid de l’eau et de ses seins et pubis dénudés, mais dans cet éden elle était bien.

7
Prélude / Re : Hiroko Satô [Valicidée !]
« le: mardi 27 juin 2017, 06:21:58 »
Mais nan, c'est pas ma faute à moi. J'suis maudiiiite  :P

8
Prélude / Re : Hiroko Satô [Alice]
« le: lundi 26 juin 2017, 23:40:51 »
Bon, je ne comprends pas. Je n'arrive pas à changer mon avatar. Ce n'est pourtant pas ma première fois.
J'ai essayé de la même manière que précédemment, c'est à dire en transférant ma propre image, mais il revient toujours à l'ancienne.
N'en pouvant plus d'essayer, j'ai voulu le remplacer en spécifiant une url vers un hébergeur d'images, mais même ainsi il ne veut pas.

Vous avez déjà été confronté à des soucis de ce genre ?

Edit : Bon, à priori, ça devait être qu'un problème de cookie ^^'
L'avatar est bon, maintenant.

9
Prélude / Re : Hiroko Satô [Alice]
« le: lundi 26 juin 2017, 21:50:45 »
Arf, j'avais déjà eu du mal à trouver celui là qui laissait entrevoir sa malédiction tout en restant modéré ^^' J'avais même écrit le physique à partir de lui du coup. Enfin bref, c'est reparti pour une séance de recherche :) Ca risque de me prendre un peu de temps par contre.

10
Prélude / Hiroko Satô [Valicidée !]
« le: lundi 26 juin 2017, 21:19:12 »
Prénom : Hiroko

Nom : Satô

Âge : 17 ans

Sexe : Féminin

Race : Humaine

Sexualité : En pleine découverte

Histoire :

Le prénom d’Hiroko s’écrivant avec les kanjis d’abondance et de prospérité, il témoigne des attentes déjà fort marquées de ses parents quant à l’avenir de leur fille. A sa naissance, son père n’était alors qu’un simple livreur dans un restaurant de sushi et sa mère une caissière de supermarché. De revenus modestes, les deux vivaient à Tokyo, dans un petit appartement de quinze mètres carrés qui les obligeaient à manger, dormir et travailler dans la même pièce. On peut comprendre qu’ils aient eu ainsi souhait de prospérer et espoir que leur fille ne soit confrontée à la même difficulté.

Pour autant, Hiroko appréciait cette promiscuité, cette animation réconfortante, et le temps qu’ils lui consacrèrent contribua sans doute à façonner la petite fille modèle à laquelle elle les habitua. Notamment, l’exemple de sa mère, à côté de qui elle étudiait chaque soir alors que celle-ci se préparait aux passages de ses certifications, développa chez elle une assiduité dans son travail. Toutes deux aimaient à s’encourager mutuellement. Hiroko se révéla d’ailleurs une si belle et brillante élève qu’elle fut source d’envies et de jalousies par ses camardes, et lui valut d’être proclamée idole du collège en ce temps-là.

La scolarité de la jeune fille fut ainsi ponctuée de photographies prises à son insu, de lettres de confession et même d’un fanclub qui travaillait à la rendre encore plus irréelle et désirable. Qu’elle fasse preuve d’autant de distance y contribua également. C’était une jeune fille intouchable, trop studieuse et responsable pour s’intéresser à l’amour ou s’offrir un rencard. C’était avant tout une puritaine. Qu’il s’agisse d’alcool, de tabac et même de sexe, la dépendance était aux yeux d’Hiroko la marque d’une pauvre volonté, incompatible avec le sérieux d’une ambition.

Aspirer à quelque chose était l’idéal transmis par ses parents. Son père ouvrit d’ailleurs son commerce d’alimentation quand elle atteint ses quinze ans et ils déménagèrent dans un appartement un peu plus grand. Sa mère s’occupait pour sa part de l’exportation du commerce qui finit par s’étendre sur quatre branches. Hiroko fut d’abord ravie de ce changement. Elle avait sa propre chambre. Mais le temps qu’il passèrent ensemble diminua d’autant. Elle en vint à avoir plus de temps avec les employés de maison qu’avec ses propres parents. Quant au diner, c’est un bento qui avait charge de combler son isolement.

Quand le petit commerce devint véritable corporation, ils s’implantèrent et déménagèrent à Seikusu. L’appartement devint une maison dont le salon valait bien un centre d’exposition ; une serre sous véranda entretenait la fraicheur de l’endroit ; et le garage contenait une dizaine de voitures et autant de bécanes. Dans ce lieu désert, Hiroko grandit seule et envieuse. Jalouse de ceux qui s’amusent, jalouse de ceux qui folâtrent, mais trop fière pour le reconnaître, elle s’isola. Préférant leur porter le tort, elle se fit la représentante du conseil de discipline, missionnée de les soustraire à ce qu’elle n’avait pas.

C’était toutefois mal connaître les phénomènes surnaturels de Seikusu et de son école remplie d’êtres d’un autre monde. Dans sa traque persécutrice, Hiroko finit par faire une mauvaise rencontre. Sa cible était tout ce qu’elle méprisait ; couchant dans le bahut, trichant à ses examens et croyant même en la magie noire. Hiroko la fit exclure de l’établissement, non sans l’humilier, la traitant de trainée et prenant plaisir à cela. Furieuse, c’est avec un sourire hostile que cette dernière lui répondit qu’elle apprendrait bientôt le vrai sens du mot ; et de se rassurer, qu’elle aimerait sans doute ça.

Hiroko ne la prit pas tant au sérieux, mais quand survinrent les premiers signes de la malédiction, elle n’hésita pas longtemps sur la coupable. Elle qui s’était jusqu’alors montrée plutôt frigide s’était mise à fantasmer. Pas d’une manière sensuelle, mais d’une façon plutôt obscène, la vue d’une banane ou d’un popsicle lui donnant des envies perverses. Une envie obsédante contre laquelle elle devait maintenant lutter en permanence. Ce fut surtout un trouble pour ses études. Elle ne compte plus les fois où elle craqua, parfois en plein cours, pleurant après s’être masturbée jusqu’à la jouissance.

Pas tout à fait passive et résignée, Hiroko s’ouvrit au surnaturel. Elle espérait y trouver le remède qui soignerait sa nymphomanie. La représentante du conseil s’inscrit donc dans le club de magie noire du lycée et bien que ce dernier fut difficilement un modèle du genre. Elle ne désespèra toutefois pas d’y trouver de l’authenticité grâce à ses membres passionnés, malgré leur puérilité.


Physique :

Hiroko est une jeune japonaise, petite de taille et plutôt chétive. Son corps dégage pourtant énormément de désir. Elle le doit probablement à ses yeux humides qui traduisent toute la frustration de son abstinence ; à l’humidité de ses vêtements qui laissent deviner ses formes ; à la fièvre de son corps qui empourpre sa peau ; à son souffle qui ne cesse d’haleter. Une malédiction lui vaut cette effervescence. Ces cheveux bruns mi-long lui arrivent à hauteur des épaules et sont souvent rabattus en une natte sur son profil gauche afin d’évacuer cette humidité qui l’importune. Si l’on se soustrait à cette appétence, on notera toutefois que la manière dont elle s’apprête n’a rien de tendancieuse. Elle porte préférentiellement une robe noire et un débardeur que cache partiellement un tee-shirt au ton jaunâtre. Bien que communs, on notera toutefois que ses vêtements sont toujours de première main et donc révélateur d’une condition plutôt aisée.

Caractère :

Hiroko a l’esprit vif et concret. Faisant montre de beaucoup d’autosuffisance, elle préfère être autonome que de devoir faire confiance à quelqu’un. Elle n’hésite d’ailleurs pas à signaler les erreurs des autres, en particulier si ça nuit à l’intégrité de son travail. De même, les règles étant produites pour le bien commun, elle n’hésite pas à intervenir quand elles ne sont pas respectées. Autrement, elle n’est pas très participative et se fait même plutôt absente des activités sociales ou extra-scolaire. Elle n’est toutefois pas totalement désintéressée et se révèle même plutôt jalouse de ces distractions. Simplement, elle est attachée à son image d’élève sérieuse et se prive de beaucoup pour la maintenir. Toutefois, c’est une résolution qu’elle suit d’autant plus difficilement aujourd’hui qu’elle a été maudite. Un charme la pousse à ressentir un désir sexuel croissant, troublant et insatiable. Hiroko craint sa malédiction et plus particulièrement la prédiction qui lui fut faite. Elle redoute que ses envies la poussent à se vendre, succombant à sa débauche et oubliant ses projets. Chaque nuit, elle cauchemarde d’être prise entre les chairs, assaillie de fantasmes toujours plus pervers, le sourire et le sperme entre les lèvres. Elle est surtout terrorisée de constater chaque matin le produit de ces rêves mouillés.

Autre :

- Magie noire : Hiroko étudie la magie noire. Sa pratique reste celle d’une néophyte qui ne saurait distinguer la vraie magie de la fausse. Elle ne saurait toutefois rester à ce niveau dans l’environnement surnaturel de Seikusu.

- Maudite : Hiroko est sous l’influence d’un charme qui la pousse à ressentir un désir sexuel croissant, troublant et insatiable.

Pages: [1]