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« le: dimanche 04 mars 2018, 15:57:23 »
Identité: Roxas
Âge : 24 ans.
Sexe : Masculin.
Race : Esper
Orientation sexuelle: Hétérosexuel.
Description physique :
Il regarde toujours la même direction depuis des années du haut de son mètre 78, Roxas est un jeune homme très atypique, possédant des cheveux blonds et ébouriffés, pèse 55 kilos, est doté d’un corps plutôt chétif, d’une musculature ectomorphe, possède une force physique assez faible (ne peut soulever des objets qui font maximum 25 kilos) et possède néanmoins de nombreux atouts qui lui sont propres et qui sera développé plus tard. Ses yeux en bleu océan (aussi L’iris qui est bleu), dont les pupilles sont de couleurs noires qui font 1.5mm de diamètre et possède une cicatrice sur l’œil gauche qui fait 3 centimètre en partant vers le haut et 2 en partant vers le bas. Il a un nez plat, des lèvres fines, des dents blanches mais certaines ont un plombage dû à des bonbons. Sur chacune de ses joues, on peut voir qui à quelques entailles à cause de combats violents. Sur son corps nu, on peut remarquer qu’il est tatoué par trois fois. Un sur le bras gauche où l’on peut voir un kanji signifiant ciel, celui sur le bras droit représente un X et un dans le dos qui représente un dragon de couleur noir et rouge.
Roxas est habillé avec un T-shirt noir à manches courtes qui descend juste qu’aux hanches, qui la particularité d’être à fermeture éclair avec pour curseur une étoile à quatre branche. Une veste à courtes manches blanche avec fermeture éclair, avec pour décoration des damiers de couleurs noirs et blancs, deux poches au bas de la veste et le doubler de cette dernière est d’un rouge assez foncé avec les lignes espacés de 7 cm chacune. D’un pantalon long de couleur noir pour le haut et beige pour le bas, on peut remarquer pour séparer les deux couleurs, des coutures avec des pressions argentées, et aussi il y a un retroussement sur le bas pour chaque jambe d’une hauteur de 2.5 cm. Par ailleurs, il porte des chaussures grises, avec des semelles d’usures blanches, des lacets rouges et un ornement noirs sur le dessus. Au niveau des accessoires, il à sa disposition un bracelet gris sur le poignet gauche, on peut voir aussi deux anneaux dont l’un de couleur blanc sur l’index de sa main gauche et l’autre noir à annulaire de sa main droite et à autour du cou un collier en platine en forme de couronne et on pouvais apercevoir un piercing sur l'oreille droite.
Caractère :
Roxas est quelqu’un de très ouvert, il n’hésitera pas à aider ceux qui en ont besoin. Il n’est pas très bavard, et répond de temps en temps pour mettre un peu d’ambiance ou pour répondre aux questions. Il est vif d’esprit, analyse une situation pour savoir quelle est la meilleure option à prendre. Si on l’insulte sans aucune raison, il devient assez agressif mais sans insulté la personne, essaie de discuter avec la personne pour voir le problème et le résoudre pacifiquement. Mais méfiez-vous tout de même car, dès que quelqu’un le met au défi sur le Go, il fera qu’une bouché de son adversaire.
Il couchera si son envie lui dit, sinon n’attendez rien de sa part. Par contre, s’il y a confiance en sa partenaire et aussi si elle est d’accord, alors se lancera. Mais ça ne sera pas tout le temps. Mais il utilisera d’autres atouts pour obtenir les renseignements qu’ils cherchent. Et par forcément avec un acte sexuel, méfiance.
Mais si je peux donner un dernier conseil, donnez-lui une glace à l’eau de mer et il parlera avec vous directement. Sinon, si vous voulez connaitre tous quelques secrets sur les jeux, n’hésitez à lui parler, il vous répondra systématiquement.
Histoire :
Roxas est né dans une ville très éloigné de là où il habite maintenant, une ville qui a en son centre, une gare et qui juste au-dessus de cette dernière se dresse un énorme clocher qui possède deux cadrans, cinq cloches dont deux de chaque côté qui sont rattachées par une structure métallique qui elle-même sont fixés à la toiture et la dernière cloche si situe tout simplement à l’intérieure. Le bâtiment possède un secret à lui, il s’agit d’un escalier secret qui se trouve tout au fond et qui a la particularité de mener jusqu’à un une corniche de 40 cm de largeur ce qui est suffisant pour s’asseoir et profité de la vue.
Si on regarde plus en profondeur la ville, on peut y voir des allées où des commerces sont installés comme des marchands de vêtements, de chaussures, de produit de parfumerie dont ils sont ouvert jusqu’à minuit et le système d’éclairage est assuré par des lampadaires en forme d’étoile. Un centre-ville où sont disposés les restaurants, les brasseries, les bars et même les magasins pour acheter l’équipement du sport officiel de cette ville : Le struggle dont le terrain de jeu est la gigantesque place situé au centre du centre-ville (il y aussi toute une arène qu’il faut construire) et on y voir des gens s’amuser, se lancer des défis entre rivaux et essayer aussi de remporter les différents tournois organiser par la marie.
Après, ils y a les quartiers résidentiels là où vivent beaucoup de familles, la seconde partie de la ville qui se trouve plus en hauteur là ou vont souvent les touristes pour admirer les plages, le partie basse de la cité et son grand réseau de chemin de fers. Les égouts où les jeunes qui vont pour jouer à cache-cache ou bien même se retrouver en cachette pour faire la fête, les nombreux repaires qui se place souvent dans des passages sans issues et qui sont aménager par les jeunes. Le musée qui montre pas loin de plus de 700 ans d’histoire avec pour pièce majeur des fragments de météorites. Le manoir abandonné là où personne n’ose mettre les pieds car il parait que l’endroit est maudit, la plage où l’on peut apercevoir au loin une ile qui porte le nom non officiel : L’ile du destin.
Mais il y a un endroit qui est encore bien plus important car déjà c’est le dernier à faire le goût traditionnel de la ville et dès qu’on croque un bout dedans on ressent le salé et le sucré et de nombreux habitants viennent en acheter, c’est le marchand de glace et son célèbre parfum eau de mer ou une quantité folles de personnes qui viennent de pays étranger juste pour en manger une. Et pour finir, quand le soleil finir par atteindre l’horizon, elle est plongée dans le crépuscule, on aperçoit le ciel rouge et orangé et illumine comme par magie toute la cité et c’est pour ça qu’elle se nomme : La Cité du Crépuscule.
Il a vécu ses quinze premières années normalement, chaque matin il allait à l’école pour apprendre de nouvelles choses mais aussi s’amuser avec ses amis, tous ensembles ils allaient dans leur jardin secret qu’est la fameuse corniche situé à la gare avec comme gouté une glace à l’eau de mer.
Et quand on arrivait au dernier jour d’école avant les grandes vacances, ils organisaient la fête de l’école avec beaucoup de jeux, du théâtre, des combats avec des bâtons en mousses et surtout la course autour du terrain de sport car à la fin, il y avait un lot unique qui est : 4 mois de glaces gratuites. Les parents regardaient depuis les gradins et comme toujours, il finissait deuxième devant son meilleur ami. Mais les choses allaient peut être changé cette année-là, ils étaient tous sur la ligne de départ, le signal retenti, ils foncèrent à pleine vitesse et quasiment à la fin de la course il était encore deuxième mais dans un élan de courage, il a fini à égalité avec son meilleur ami, se partagèrent le lot et ils firent leurs fist bump habituel. Pendant les grandes vacances, ils allèrent tous à la plage, résoudre les énigmes annuelles de la ville, voir le tournoi de struggle et faire leurs devoirs de vacances et tout le monde pensait que ça continueraient toute leur enfance.
Mais malheureusement, un jour de vacance, après avoir espionné le directeur, il surprit une conversation et là, une nouvelle tomba, les vacances étaient raccourci d’une semaine. Il ne lui restait 7 jours avant qu’il ne reparte au lycée, il raconta la nouvelle à tous ses amis, ils étaient tous dégouter, mais pour qu’il s’en aille avait le sourire et pleins de souvenirs de ces vacances, ils décidèrent de faire une liste de choses à faire durant cette semaine. C’était pour eux, une immense exploration de la ville et de ses alentours. Dès les premiers jours, ils étaient sur les hauteurs, à visiter les grottes des environs, s’amuser dans les arbres, construire une grande cabane, visiter les égouts de la ville, aller à la plage, aller voir le collège en douce et pleins d’autres choses.
Le cinquième jour, ils eurent à faire face au manoir abandonné, avec pour seules armes de vulgaires bouts de bois, et leur courage, sans doute plus efficace. L'heure de la chasse au fantôme avait sonné. Il n'était plus temps de reculer, aussi, ils pénétrèrent dans l'enceinte lugubre. Cependant, au premier bruit, les compagnons de Roxas prirent peur, et s'enfuirent en hurlant de terreur, le laissant seul dans la pénombre, et une silhouette fantomatique. C'était une jeune fille, aux cheveux blonds, portant une robe blanche spectrale, et pour seul atour, un collier dont le pendentif était semblable à une larme. Elle s'avança et descendit lentement les escaliers, l'invitant du regard à la suivre. Mais lui, voulait en découdre. Levant son semblant d'épée en bois de chêne, pris par l'envie de vérité, s'il s'agissait bel et bien d'un fantôme, il se jeta sur elle, brandissant à la fois son arme de fortune et son courage pour l'affronter. Mais cet assaut se solda par un échec, le nez dans un mur de la bâtisse, alors que la jeune fille s'était simplement décalée sur le côté. Furieux et vexé, Roxas se planta là, et fit une mine boudeuse.
Elle ria de cette situation, s’approcha de lui tout doucement mais elle entendit la porte s’ouvrir à nouveau, regarda en direction du bruit et vit apparaitre un jeune garçon plus âgé que l’autre mais il avait les cheveux d’un rouge très clair. Ils se fixèrent pendant deux minutes, mais ce silence fut briser par l’avancé du jeune garçon en direction d’elle, on pouvait entendre son gloussement même si il est très faible, effrayer par ce garçon qui approcha de lui avec détermination et avec un regard très grave et mit sa main dans sa poche. Arriver devant elle, cette dernière ferma les yeux et commença à verser quelques larmes, peur de savoir son secret dévoilée, mais sauf qu’en rouvrant ces derniers elle vit un mouchoir de couleur rouge devant elle devant un jeune garçon surpris de sa réaction. Elle prit l’objet, nettoya ses petits yeux, redonna le mouchoir à son possesseur, le repris, lança un petit sourire de remerciement, parti en direction de son ami, arrivé à sa hauteur, il donna un coup de poing sur la tête à ce dernier et commença à lui passer un savon.
Le dialogue entre les deux dura quasiment une quinzaine de minutes, toujours devant la jeune femme amusé de voir une amitié aussi original entre deux enfants qui sont radicalement opposés. D’un coup de vent, notre tête blonde alla devant la demoiselle, s’excusa de son comportement grossier, embrassa par surprise sa joue rosée, très surprise, commença à rougir comme une tomate, pris dans ses bras de velours le jeune garçon et lui souffla dans l’oreille un mot à la fois doux et touchant. Elle voulait connaitre plus les deux jeunes garçons mais aussi sur cité, donc elle est invita à monter dans la partie supérieure du manoir, tout content il fonça à toute allure dans les escaliers et l’autre marcha tranquillement tout en se posant des questions sur l’origine de cette jeune fille.
Arriver devant une porte blanche orné d’une serrure en or, elle sortit une clef de couleur blanche avec une couronne gravé sur l’anneau, se retourna pour lancer un dernier sourire aux jeunes, tourna la clef trois fois vers la droite, on pouvait entendre un déclic très bruyant, les garçons surpris de ce bruit très fort reculèrent d’un petit pas, mais la blonde tout en posant sa main douce sur la poignée et l’abaissa petit à petit pour faire apparaitre une salle tout en marbre d’une couleur blanche.
Ils entrèrent dans cette dernière tout doucement, une fois arriver dedans, ils étaient très impressionner par cette immense salle, on pouvait distinguer un lit tout blanc orné d’un symbole inconnu à ce jour. Au milieu de cette dernière, il y a une grande table de verre orné de fleurs sur les coins, posé en son centre, un vase qui est composé de roses rouges, une chaise en bois était installer dans le bord droit, on pouvait aussi remarquer des crayons de couleurs posé à même sur la table avec jusqu’à coté d’un carnet à dessin. Mais ce qui choqua les deux, c’est le nombre de dessins qui composaient les quatre murs, il y en avait plus d’une centaine et ils étaient d’une beauté à en couper le souffle.
Les trois personnes s'assirent tranquillement dans des places libres, discutèrent pendant presque cinq heures de tous les sujets possibles qui va du plus simple, au plus loufoque et passant même au plus gênant tout en mangeant des cookies et sirotant un thé à la menthe. Ils étaient francs, direct et juste avec leur hôte. Après avoir épuisé son stock de question, elle souriait d’un sourire doux et souffla mais elle vit les deux autres complètement hors service, surtout n’avaient presque plus de voix.
Elle proposa de les raccompagner dans la ville, ils acceptèrent sans hésiter. Ils se levèrent en même temps, marchèrent en direction de l’entrée de la pièce mais près de la sortie de la salle blanche, un dessin retient l’attention du petit blond et sur ce dernier, on pouvait remarquer un jeune garçon d’une vingtaine d’années combattant quelqu’un d’autre qui était caché sous un manteau noir dans une ville avec de grands immeubles autour d’eux. Il était comme absorbé par ce dessin et juste à côté on pouvait voir une autre œuvre qui n’était pas encore terminer, on pouvait juste voir un coucher de soleil illuminant une ville. Complément déconnecté de la réalité, il a fallu que son ami lui donne une petite claque sur tête pour le faire sortir de ses songes.
Après avoir redescendu les escaliers d’un pas sûr, ils aperçurent des traces des pas dans le sol, des épées en bois, des serviettes, des lampes torches et des bougies qui était certainement dû aux passages des enfants qui ont fui à toute vitesse en direction de la clairière et par amusement elle pris une épée en bois.
Au fur et à mesure qu’ils s’enfoncèrent, la demoiselle commença à avoir un pincement au cœur car elle supposa très fortement que dès qu’ils sortiraient de cet endroit, ils ne se rêveront pas avant un très long moment, voyant cela, le grand gamin lui proposa une idée qui était de faire une photo d’eux trois à son meilleur ami et celui-ci répondit avec une petite frappe dans le dos.
Il prit son geste comme un oui, il éclipsa discrètement pour aller prendre un raccourci connu uniquement de deux jeunes et l’autre devait la retenir le plus longtemps possible donc il la provoqua en duel avec une épée. Voyant un regard aussi déterminer, elle accepta sa requête, pris aussi son arme ramassé il y a quelques minutes, salua son adversaire par respect et engagea une offensive contre son ennemi.
Quinze minute plus tard, arrivant avec un appareil photo et avec tous les autres jeunes qui s’étaient sauver comme des froussards, ils virent tous la blonde entrain de désarmer le blond avec une série de coups à une vitesse hallucinante, ils étaient bouches bée devant cette scène surréaliste.
Quasiment proche de la défaite, il courut vers son arme tel une tornade mais avant qu’il ait pour dire ouf, elle était devant lui prête à porter le coup final, dans un élan tout aussi fou, esquiva son attaque, récupéra son jouet en bois et enchaina avec un coup en direct surpuissant. Mais avec grâce elle fit une parade à la limite de l’irréel, se plaça sur la gauche, frappa dans la main porteuse pour le désarmer une seconde fois, prit son arme et mit un coup dans la jambe gauche pour le mettre à terre.
La blonde regarda l’adolescent avec un courage et une détermination à toute épreuve, posa ses deux armes par terre, pointa du doigt le gamin et lui dit d’une voix très enjouer qu’il devait abandonner ou elle lui mettra une raclée. Surpris de cette phrase, il hésitait grandement à lui répondre oui mais une petite partie de lui refusait cette solution, d’un coup de vent, il arriva à reprendre son arme avec une vitesse folle, ils étaient tous sous sans voix.
Il tourna la tête doucement vers la gauche, arrivé à un angle de 60°, on pouvait distinguer un œil jaune avec une pupille noire, d’une voix calme, il posa une énigme : « Je suis ce que je suis mais je ne suis pas ce que je suis car si j'étais ce que je suis, je ne serais pas ce que je suis. Qui suis-je ? » Tout de suite après avoir dit ses paroles, il perdit connaissance, comme une flamme qui s’embrase, le garçon aux cheveux rouges rattrapa son ami, le plaça sur son dos et commença à marcher en direction de la ville. Quant aux autres, ils hésitèrent un court instant à les suivre sauf d’un mouvement, la seule femme du groupe pris tout son courage et suivit les deux compères et d’un pas fort, les autres firent de même.
Marchant depuis quinze minute, ils arrivèrent près de la ville, on pouvait apercevoir les lumières qui commencèrent à s’allumer avec comme symbole pour cette fois-ci des croissants de lunes, partout dans les rues, on pouvait voir des banderoles accrocher un peu partout dans la ville qui annonça le départ du tournoi de struggle le lendemain matin à 10 heures. Arrivés près du centre-ville, les jeunes se séparèrent pour repartir chez eux pour se préparer au grand jour, près du blondinet, ce dernier se réveilla et sauta d’un coup du dos de son meilleur ami. Ce dernier fit un micro sourire, lui mit une tape dans le dos, lui rappela l’horaire du tournoi et commença à partir mais Rox lui tapa le dos et lui répondit qu’il l’attendait en finale. Ils se claquèrent les mains pour se dire au revoir et regagnèrent leurs maisons respectives.
Le sixième jour arrive, on pouvait entendre les feux d’artifices dans le ciel bleu, la foule s’était réuni pour le plus grand évènement de la ville, les bars, les restaurants, les sièges et les transats étaient tous remplis. Le commissaire, le maire, et l’arbitre expliqua les règles pour tous les participants : « Les règles sont très simples, le premier qui met K.O son adversaire ou qui le fait sortir de l’arène remporte le match, pas de coup en dessous de la ceinture, ni de contact physique, coups de poings, pieds et tête. Vous avez comme équipement une batte en mousse, votre rapidité, force, stratégie et endurance. Bonne chance à vous tous et que le meilleur l’emporte. » Après les paroles des différents intervenant, le maire tira une fusée et proclama le début du tournoi.
Le soleil était à son zénith, la foule était en liesse devant tous ces combats, ils s’enchainèrent avec une vitesse folle et qui se concluait souvent par une victoire des favoris, sur les cent vingt-huit participants, il en restait plus que quatre. Les demi-finales allaient bientôt débuter, Roxas était assez tendu alors que Léa est très serein, ce dernier le voyant stresser, alla lui parler de tout et de rien, soudain entendant leurs noms résonner dans les enceintes, ils marchèrent en direction de l’arène mais voyant l’occasion de s’amuser encore plus, il lança un pari au blond : « Si tu gagnes le tournoi le tournoi, tu auras le droit de m’affronter en 1 contre 1 dans un vrai duel mais si tu perds tu m’offriras 5 mois de glaces. » Il eut pour seule réponse, un simple mouvement de tête et un petit sourire avant d’arriver devant l’endroit où allaient se jouer les combats restants.
Quelques heures plus tard, il ne restait que 2 participants présent sur l’arène, tous étaient acclamés par des dizaines de milliers de spectateurs, les deux grands amis étaient réuni, et comme veux le plus grand hasard, ils se retrouvèrent face à face une nouvelle fois mais là les sentiments aillaient être mis de coter pour ce combat, les deux se regardèrent avec violence, d’un coup leurs bâtons s’entrechoquèrent avec force, les coups s’enchainèrent avec fracas, les enchainements qu’ils proposèrent étaient de haute voltige, on pourrait distinguer à l’œil nu les traces de coups sur leurs corps et ils continuèrent tout ça pendant quelques minutes.
Quinze minutes passèrent, aucun des deux ne voulaient céder malgré le sang qui coulait du nez pour Léa et d’un œil pour Roxas, le public regardais avec silence chaque riposte porté des deux finaliste, on entendait chaque coup résonner dans toute la ville, ils étaient de plus en plus violent, les deux sont dans une telle transe que rien ne comptais à part la victoire. Les yeux bleus de l’un étaient redevenus des yeux jaunes et de l’autre d’un rouge très clair qu’on pouvait voir à travers ses derniers une détermination en béton.
Soudain, le blond passa dans le dos de son adversaire, tenta d’atteindre la colonne vertébrale mais avec un réflexe de folie, il frappa la main droite de ce dernier et le brisa avec facilité mais le coup parvient à toucher la jambe gauche et elle aussi se cassa sur le coup. Les deux étaient à bout de souffle, des contusions partout, des bleus à tout va mais le mental était encore là, dans un soupçon de folie, ils se chargèrent une nouvelle fois avec férocité, l’un reçu un coup dans le visage, l’autre dans le ventre, soudain le temps s’arrêta brusquement ce qui surpris l’ado blond, là dans un élan sauvage, le garçon aux cheveux rouge infligea une grave blessure à l’œil gauche avec l’aide d’un Chakram qui sorti de sa ma main gauche grâce à sa magie de feu et on pouvait l’entendre rigoler de plaisir.
Hurlant de douleur, on apercevait une mare de sang à ses pieds, sur l’œil gauche on aperçoit une cicatrice petite à première vue mais profonde, se relevant avec difficulté, il ouvrit partiellement son globe oculaire gauche mais la douleur est trop vive et perdis de nouveau l’équilibre à cause du liquide sur le sol. On pouvait entendre des applaudissements venir de l’autre, arrivant avec un large sourire, il attrapa son ami par la gorge et lui glissa quelques mots : « Tu vois, je te l’avais dit… tu pourras jamais me battre. » Directement, il donna un poing dans les côtes du blond mais celui-ci répliqua avec un coup de pied sur la tempe qui déstabilisa ce dernier.
Dans des efforts surhumains, ils arrivèrent à se relever en même temps, poing nu d’un côté et Chakram de l’autre, le désavantage était très visible, et là, l’ado fougueux commença à fermer les yeux, marcha vers son adversaire tranquillement, ce dernier surpris du geste, fit les même gestes que son ami et dans un silence, on pourrait entendre le bruit cinglant du métal couper la chaire d’une personne.
Et ce n’est que quelques secondes plus tard que le manipulateur de feu était à genou avec une entaille sur le torse alors que l’intrépide se retourna, leva sa paupière endommagé et fit apparaitre un iris de couleur blanc, dans sa main gauche, une épée argentée, où l’on pouvait apercevoir des gravures animalières, la fusée était orné de multiples cristaux noirs, le pommeau avait un beau saphir en émeraude en son centre et la garde était en or massif.
Mais dans un élan de compassion, il releva son ami, tapa dans son dos et lui dit : « On a une finale à terminer, que le meilleur gagne, bonne chance. ». Il marcha 10 petits pas, braqua son arme vers l’autre finaliste. Le spécialiste du feu, dans un dernier mouvement de douleur, appliqua la même posture et dans un déluge d’intensité, on pourrait juste entendre les cris des deux finalistes qui combattaient juste qu’au bout.
Cinq minutes passèrent, ils étaient complétements à sec que ce soit physiquement et mentalement, leurs fers à terre et en morceaux, ont pouvaient les voir tituber, contre toute attente, ils rigolèrent de la situation et dans un geste amical et sportif, reprirent leurs bâtons de Struggle et lancèrent ce qui allait être le dernier coup mais soudain le temps repris son cours comme par enchantement et le temps que le public compris la situation, que les duellistes se frappèrent en même temps dans le visage.
Dans un hurlement général du public qui vit l’état des concurrents qui avaient des blessures partout, les deux commencèrent à tomber net quelques secondes après leur assaut mais dans sursaut salvateur, Léa posa un genou au sol pour ne pas tomber sur le sol tandis que Roxas, ne pouvais pas le faire et s’effondra sur le sol et toute chance de victoire était réduite à néant. Dans un gloussement de peur, l’arbitre fit son devoir et déclara le dernier debout grand vainqueur du tournoi et directement après avoir dit ce message, le finaliste tomba lui aussi par terre. Et juste avant de s’évanouir, ce dernier pouvait entendre les ambulances arriver en trombe pour les amener à l’hôpital.
Quelques semaines plus tard, après de multiples opérations et de rééducations, les deux compères sortirent enfin de l’hôpital, marchèrent vers le centre-ville pour pouvoir aller au marchand de glace. Après avoir commandé leurs délices, ils se rendirent à l’horloge de la gare pour pouvoir la manger. Mais dès leur objectif atteint, regardant son ami avec sa canne, le blond décida qu’ils iraient se poser sur un banc qui se situait à quelques pas d’ici. Ils s’installèrent avec délicatesse et discutèrent du match, des cours qu’on leurs avaient envoyé, de la jeune fille et de leur avenir. Léa voulait partir de cette ville pour pouvoir rejoindre la grande ville qui situait à plus de 800 km pour connaitre la Littérature et la Philosophie et son ami lui voulait aller dans une école européenne pour pouvoir apprendre l’Astronomie et les Mathématiques et tout d’un coup le reste du groupe arriva avec des paniers repas et tous ensembles ils profitèrent de ce moment unique pour manger.
Les examens venaient de se finir, le stress était présent sur tous les visages des élèves, le moment fatidique approcha et dans un cri de joie, ils avaient obtenus tous leurs diplômes mais la joie disparut très vite pour faire place au sérieux, car c’était la dernière fois qu’ils étaient tous réunis parce qu’après ils en iront tous vers leurs nouvelle vie. Dans un élan de fraternité, ils formèrent un cercle et s’encouragèrent mutuellement pour la réussite de tous, dès que ce geste fût accompli, ils se séparèrent dans de leur côté pour préparer l’avenir.
Sac sur le dos, Rox commença à trottiner en direction de la gare pour pouvoir prendre son train qui partait vers la capitale. Il était le dernier à le prendre car les autres étaient déjà partis depuis des jours. Présentant son billet au contrôleur, il arriva à sa place et s’assoit tranquillement. Regardant par la fenêtre, il aperçut la jeune fille en blanc qui lui lança un petit sourire, arriva près de la vitre, glissa une lettre et s’en alla en courant en versant des larmes. On pouvait entendre le sifflet retentir et la machine commença sa longue traversée en direction de sa destination. Il regarda la lettre avec attention, l’ouvrit doucement et lit tranquillement cette dernière. Tellement plongé dans la lecture, il sorti lui aussi sa plume et écrivait aussi une lettre à l’attention de son amie.
Les heures passèrent, il arrivait enfin à sa destination et dans la foulé, il posta son encyclique et courra en direction du métro pour prendre la direction de l’aéroport. Arrivant devant le terminal, il prit son courage entre ses mains, donna son billet d’avion et se mit en marche vers son avion mais quelqu’un hurla son prénom, se retournant, il croisa le regard son meilleur ami, alla vers lui, réalisa une accolade riche en émotion, ils se serrent la main et partir chacun dans des directions opposées. On pouvait apercevoir Léa sortir de l’aéroport alors que Roxas pris la direction de la porte d’embarquement et s’en alla vers de nouveaux horizons.
Dix années sont passées, dans une rue en direction de la place centrale de la capitale, on pouvait apercevoir un jeune homme de 24 ans, blond, avec des yeux bleus toujours sa cicatrice sur l’œil gauche, niveau habits, il porte T-shirt noir à manches courtes, une veste à courtes manches blanche avec fermeture éclair, avec pour décoration des damiers de couleurs noirs et blancs, un pantalon long de couleur noir pour le haut et beige pour le bas, des chaussures grises, avec des semelles d’usures blanches, des lacets rouges et un ornement noirs sur le dessus. Il marcha en direction d’un salon de thé, parla avec le directeur de la matinée, enleva ses chaussures, se rendit dans l’arrière-boutique qui était un salon de go, il prit ses pierres, regarda son adversaire et lâcha pour seule phrase : « Que le duel commence ! »
Après un duel acharné, il perdit son duel de 0.5 point, il rigola de la situation et salua son adversaire avec respect et lui offrit un verre de thé. Après s’être chausser, il donna un billet au directeur, ce dernier hurla à pleins poumons et lui souhaita une bonne journée et le blond se retourna et lui répondit calment : « Merci à vous aussi. »