Centre-ville de Seikusu / Re : howto.makeagoodsacrifice.com
« le: lundi 29 juin 2020, 20:35:58 »— J'avoue que tu fais pitié… lui assénat-il en rentrant.
C’était la stricte vérité. À moitié nue, en larmes, la jeune fille aurait ému n’importe qui de normalement constitué. Mais Haru, c’était tout le contraire. Il aurait presque pu ressentir du respect si elle s’était montrée plus combative et plus digne, mais dans cet état il ne lui restait que le mépris… et l’excitation. Il la laissa se calmer quelques secondes, avant de reprendre calmement.
— Bon, écoute, j’ai pas été très cool avec toi… Allez, viens. On va quand même visiter. J’ai changé d’avis. Je ne te baiserai pas dans toutes les pièces.
Par chance, Skyler n’avait même pas enlevé son collier, et la laisse gisait toujours sur le sol. Il l’attrapa, et tira dessus fermement. Il ne cherchait pas à être brusque, cependant il allait la traîner à travers l’appartement s’il le fallait. À part peut-être en s’agrippant au décor, elle n’était tout simplement pas assez lourde pour lui résister. Même avec une seule main il la faisait avancer tant bien que mal. Il soupira en récupérant son sac à l’entrée de la pièce.
— Garde ton énergie pour plus tard.
Ils n’allait pas loin, de toute façon. Le garçon poussa la porte de la salle de bain. À sa suite, le dos de la jeune femme glissait sur le carrelage. Il traversa toute la pièce pour arriver jusqu’aux toilettes, après quoi il cessa d’avancer et fit seulement en sorte que Skyler se rapproche de lui. Dans le même temps, il observa l’endroit.
— Sympa.
Les sanitaires étaient belles, très modernes, dans la même teinte de bleu que la salle d’eau. Par souci d’esthétisme plus que pour raison pratique, on avait laissé un peu de tuyauterie apparente, sous la forme de deux cylindres dorés qui descendaient symétriquement de chaque côté. Haru en saisit brièvement un entre ses doigts, avant de retourner fouiller dans son sac.
— Bon… Enlève ton collier, demanda-t-il.
L’ordre était une distraction. Il n’attendit même pas qu’elle ait terminé pour la saisir par la cheville, et d’y passer l’anneau d’une menotte qu’il vient de sortir. Le temps qu’elle comprenne, il la souleva littéralement du sol pour l’attacher à un des tuyaux.
— J’avais dit que je ne t’expliquerais qu’une seule fois les règles… Alors considère ça comme un rappel. Désobéissance, punition.
Une deuxième paire de menottes lui servit à attacher l’autre jambe, du côté opposé. Skyler se trouvait à présent dans une position très inconfortable. La moitié de son bassin reposait contre la cuvette, à la verticale, tandis qu’elle était forcée de maintenir son dos allongés sur le carrelage. Bien sûr, ses bras étaient toujours libres, et elle pouvait s’en servir pour se dresser un peu, mais avec les deux pieds menottés ainsi en hauteur elle n’avait que très peu de liberté.
— Je voulais que tu sois ma chienne. T’es même pas digne de ça, fit Haru en terminant d’enlever le collier. Tant pis, tu seras mes chiottes.
Il sortit de sa poche une sorte d’Opinel au manche noir, puis il plaça le surin entre les cuisses écartées de Skyler. Mieux valait pour elle qu’elle se tienne calme, car la lame était affûtée… il ne la prévient pas cependant, tant pis pour elle s’il l’entaille plus que nécessaire. En prenant bien soin de faire ressentir le mordant du métal contre sa peau, il découpa un grand cercle dans le tissu. Assez pour complètement révéler le sexe de la jeune femme ainsi que son anus.
— Tu me fais marrer. Tu étais prête à me donner ta virginité ? Sans déconner. Tu crois que j’en ai quelque-chose à foutre ? Tu crois que ça vaut quelque-chose ? Tout le monde s’en fout de savoir qui a chié en premier dans un trou.
Le garçon se pencha, et ramassa sur le sol la brosse qui servait à récurer la cuvette. Il la brandit en l’air, et, sans plus de cérémonie, enfonça d’un coup le manche en laiton dans la vulve de la jeune femme. Il appuya jusqu’à ce qu’il soit au fond, puis le retira sèchement. Le mouvement fut à la fois violent et bref, comme s'il avait voulu ouvrir l'opercule d'une bouteille avec la pointe d'un couteau. L'objet ressortit évidemment rougit par l'hymen qu'il venait de transpercer. Il l’agita alors au-dessus de son visage, pour que quelques gouttes de sang y tombent.
— Oh, pauvre Skyler. Perdre sa virginité avec une brosse à chiottes. Pitoyable.
Il se pencha vers elle, et lui chuchota à l'oreille.
— Je ne veux pas te détruire. Je veux te remettre à ta place, t’apprendre ce que tu vaux. Pas grand-chose. Enfin, tu as une qualité visiblement…
Il remit la brosse en place : encore une fois, le manche directement à l’intérieur de l’adolescente. Il prit un peu plus de temps cette fois, s'amusant à en racler les bords avec l'embout. Il s’autorisa à rire.
— Ton sexe est assez étroit pour que ce bâton merdeux reste en place.
Haru s’éloigna d’elle pour ne plus avoir à maîtriser les bras de la jeune femme. Enfin il ferma la porte derrière lui, la laissant dans la pénombre.
— Je reviendrai quand j’aurais envie de pisser. Toi, tu sortiras de là quand tu auras mis cette brosse-là dans ton cul. Et dans l’autre sens.