Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Flirt & Masturbation [Lise Peterson]
« le: mercredi 12 avril 2017, 02:13:12 »Du côté de son visage, c'était un délicieux carnage. La bienheureuse ne pouvait guère plus s'empêcher de baver et de pleurer alors que le mandrin de Mélinda lui ramonait toujours la bouche. L'extraordinaire endurance de la vampire aurait eut raison de plus faible que Lise, mais elle tirait son plaisir de sentir la toute puissance de sa maitresse l'étouffer à chaque passage, s'engouffrant dans sa gorge avec un bruit de succion, ses yeux se révulsant alors qu'elle se retenait avec plus ou moins de succès de contenir son corps qui hurlait contre l'intrusion.
Ourgl! Rougl! Agl!
Les pinces qui étaient venues s'aggriper aux tétons de Lise n'étaient qu'un commencent. Il y avait bel et bien une perversion chez ces hermaphrodites, accentuée par le phénomène de groupe et l'excitation toujours croissante de voir la bimbo encaisser, voire prendre toujours plus de plaisir alors que les ébats glissaient vers des tournures toujours plus extrêmes. Les coups se firent plus violents et les rires plus vicieux. Lorsqu'on s'aperçut que l'énorme mandrin de Lise était proche de l'explosion, déjà prêt à jouir de nouveau sous la frénésie des assauts, Julie se sentit fatiguée de presser du talon sur le chibre et elle saisit un lien de cuir. D'une main experte, elle le serra à la base du pénis de Lise, le nouant très serré. Compressé à sa base, le sexe de Lise eut un sursaut désespéré alors qu'on lui refusait sa jouissance et un long gémissement fit irruption dans la bouche de sa propriétaire, confrontée à l'une des souffrances les plus sadiques qui soit. Son foutre se pressait, bloqué par le lacet, désespérément poussé par un orgasme qui refusait de venir, mais le cuir tenait bon et Lise sentit sa frustration monter, délicieusement retenue, à un cheveux de la libération. Sa bite se mit à la brûler, mais elle ne fit pas un geste pour retirer l'instrument de sa douleur.
Mais Julie était loin d'en avoir fini avec elle et ce fut avec un sourire sadique qu'elle se tourna vers sa maitresse, un lourd plateau à la main. Elle s'approcha de Mélinda et lui susurra à l'oreille, désignant du menton les multiples instruments de torture qui étaient posés dessus. Il y en avait pour tous les goûts, mais certainement pas pour les âmes sensibles. Il s'agissait d'objets conçus pour sublimer la souffrance, la marier à la jouissance, pour les cœurs les plus accrochés. Ses cheveux plaqués sur ses yeux, à demie étouffée par le mandrin qu'elle enfournait avec une énergie presque démoniaque, Lise ne vit rien de tout ça, d'autant qu'un étalon particulièrement bien membré venant de s'enfourner en elle avec un ahanement d'effort, l'emplissant du premier coup et manquant de la faire hurler, puis s'étouffer alors que la bite de Mélinda reprenait son infernal vas et viens.
Alors Mélinda, toi, qu'est ce que tu veux lui faire subir ? Elle adore ça cette salope, elle nous défie ! Le fouet peut être ? C'est presque trop classique.... Les aiguilles ?! On pourrait forcer sa bite dans une cage... une grosse cage, mais pas de jouissance pour elle ! Elle n'est qu'un trou!
Et l'assemblée des hermaphrodites repartit de plus belles dans un concert de gloussements alors que l'orgie dégénérait sérieusement, les demoiselles incapables davantage leurs plaisirs se sautaient dessus entre elles, quand elles n'invitaient pas un des musculeux amants à les rejoindre.