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Messages - Odessa

Pages: [1] 2 3 4
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Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: dimanche 11 février 2018, 19:33:05 »
Grayle se précipita vers Odessa quand cette dernière s'écroula au sol ; passer de quatre pattes à deux jambes était déstabilisant et demandait un certain temps d'adaptation, comme l'avait si bien dit l'une des succubes. Le vagabond l'aida à se relever et la contempla un petit moment les yeux brillants puis il l'embrassa avant de l'emmener vers l'immense lit à baldaquin qui semblait n'attendre qu'eux.

- Pour des créatures infernales elles sont plutôt attentionnées ! dit Odessa d'une voix amusée, après que Grayle l'eut déposé sur le matelas qui était confortable. Il enleva son haut et se campa devant elle, le sexe toujours en érection.

- Bordel, qu'est ce que t'es bonne... murmura-t-il avant de grimper à son tour sur le lit et de caresser les jambes de sa compagne. Elles étaient longues, fermes, musclées mais sans ostentation et avaient la peau douce, bref un véritable enchantement pour un amateur de belles cuisses féminines. Il se mit à les lécher, remontant petit à petit vers son entrecuisse dans laquelle il passa une langue avide ; chaque coup de langue, chaque caresse arracha un gémissement de plaisir à Odessa et elle sentit son corps devenir chaud comme la braise tandis que son intimité s'humidifiait davantage, prête à recevoir la virilité de son partenaire.
Il l'embrassa de nouveau, pétrissant ses seins lourds. Elle sentit sa verge chaude contre son ventre et elle crut qu'elle allait le rôtir tant elle était ardente.

- Ça fait quoi d'être en face ? C'est bien, hein... ?
- Ouais !... fut sa seule réponse. A vrai dire, elle était encore un peu sous le choc d'être devenue sans crier gare une bipède et son cerveau ne parvenait pas encore à réaliser l'évènement, raison pour laquelle elle se laissa faire quand Grayle la trimballa vers le centre du lit puis poser un coussin sous sa tête avant de la contempler avec le même regard enfiévré.

Ce ne fut que quand elle sentit sa verge fouailler en elle qu'elle sembla sortir de sa semi-torpeur. Ses mains s'agrippèrent sur le corps de l'homme et elle souleva d'elle-même ses belles jambes afin de mieux recevoir la virilité de son partenaire ; ce dernier semblait complètement possédé : il la pilonnait sans vergogne,  avec un étrange mélange de rudesse, de douceur et de sauvagerie, tout en pétrissant, suçant, mordillant ses tétons qui avaient doublé de volume sous l'effet de l'excitation.

Grayle prenait Odessa comme le dernier des goujats et elle adorait ça. Chaque coup de rein arrachait à la belle des gémissements de plaisir qui se répercutèrent en écho dans le temple...

2
Le coin du chalant / Re : Aventures diverses avec une Centaure
« le: lundi 29 janvier 2018, 15:45:37 »
(Désolée d'avoir pas vu plus tôt vos posts)

Vous pensez à quel type de RP en fait ?

3
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: mercredi 17 janvier 2018, 08:49:47 »
Les jurons sortis des lèvres de Grayle, quand son pénis prit des proportions gigantesques, résonna dans le temple, trahissant ainsi sa stupéfaction mais également, étant donné certaines intonations, sa douleur. Odessa, quelque peu inquiète, tourna la tête et vit que l'homme semblait souffrir ; en un sens c'était logique : on ne pouvait pas subir une transformation aussi radicale sans que le corps en pâtisse.

Quand il la pénétra, elle poussa un cri de plaisir et elle sentit que la douleur de son partenaire avait été remplacée par une sensation de jouissance. Il agrippa avec force sa croupe luisante, effectuant de puissants mouvements de va-et-vient dans son intimité qui était vraiment comblée.

- Putain, ça c'est de la queue ! s'écria-t-elle d'une voix rauque. La force de Grayle semblait décuplée : il l'obligea à s'accroupir sur le sol si bien que son buste et ses bras touchaient le dallage froid du temple tandis que sa croupe restait bien en l'air, offerte aux coups de boutoir de son amant qui n'y allait pas de main morte !

Elle qui aimait les étreintes sauvages, où elle se faisait pilonner de manière démentielle, elle était servie ! Les grognements de plaisir bestiaux de Grayle répondaient aux râles de plaisir, tout aussi bestiaux, d'Odessa qui avait les yeux révulsés et qui bavait. Cette fois ils étaient tranquilles, il n'y avait pas de risque qu'une horde de dothrakis débarque à l'improviste pour les interrompre dans leur coït.

Un ultime coup de rein et il jouit en elle, déversant un véritable flot de sperme dans son intimité. Ils poussèrent tous deux de véritables hurlements sauvages qui résonnèrent dans tout le temple tandis que la semence continuait à gicler. Il y en avait tellement qu'elle déborda et coula d'abondance sur le sol.

Durant de longues minutes, ils restèrent dans cette position, oubliant ce qui les environnait. Puis ils semblèrent émerger de leur extase. Grayle se retira d'elle et Odessa se releva. La queue du premier était toujours dressée, toute luisante de foutre tandis que l'orifice de la seconde en était toujours rempli, s'échappant en un mince filet de l'ouverture.

- Putain, quel pied ! s'exclama-t-elle, haletante, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration.

Les deux succubes avaient disparu mais la centaure sentit qu'elles étaient toujours là, cachées dans le temple, comme si elles en faisaient partie. La voix de l'une d'entre elles lui donna confirmation :

- Ce corps chevalin est robuste mais guère pratique pour l'amour : toujours la même position...

Odessa sentit alors sa partie basse fondre littéralement, devenant en quelques instants une sorte de masse informe, une pâte compacte qui prit rapidement forme si bien qu'à la fin la centaure se retrouva dotée d'une belle paire de jambes, aux cuisses robustes, aux chevilles fines, aux fesses pleines et rebondies et surtout des deux orifices adéquats ; une belle toison pubienne d'un beau blond complétait le tout.

Elle avait été tellement surprise par sa transformation qu'elle n'avait pu articuler un seul son. Et maintenant elle restait plantée sur ses deux pieds, complètement ahurie par ce qui venait de lui arriver. Elle fit un pas et... trébucha !

- Hum, cela demandera un petit temps d'adaptation...
- Sœur, sa vulve n'est plus adaptée au membre de son amant.
- Tu as raison, faisons lui reprendre une taille plus adéquate !

Et en quelques secondes le membre, ainsi que les testicules, de Grayle reprirent des proportions normales.

- Voila, maintenant ils vont pouvoir s'amuser pleinement !
- Par contre, le sol froid du temple, c'est pas ce qu'il y a de mieux...

Dans un "pouf !" sonore apparut un confortable lit à baldaquin dans lequel on aurait pu mettre cinq personnes sans qu'elles se gênent. Les draps étaient propres et sentaient la violette.

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Le coin du chalant / Re : Demande de RP / one shot permanente
« le: lundi 25 septembre 2017, 07:38:00 »
Les joies de l'équitation me bottent bien ^^

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Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: lundi 18 septembre 2017, 21:39:46 »
Odessa ne s'était pas trompée : les démones ne voulaient pas éprouver l'homme et la centaure par un combat mais par une joute d'un tout autre genre. En même temps c'était logique : un temple dédié à une Déesse du Stupre et de la Luxure n'allait pas imposer des épreuves martiales. C'était bon pour les divinités guerrières ces trucs là !

La belle centaure s'activait sur le pénis de Grayle avec passion : sa bouche aspirait la hampe jusqu'à la racine, sa langue en léchait le pourtour ou alors elle titillait l'embout, ses dents en mordillait la chair, quant à ses mains, elles malaxaient, pétrissaient les testicules qui étaient pleines. De temps à autre, elle ralentissait le rythme afin de retarder le plus longtemps possible la jouissance finale et que son amant crache le maximum de sperme que ses bourses pouvaient fabriquer. Comme elle lui avait dit tout à l'heure, il foutrait et poutrait autant qu'un minotaure...

Pendant ce temps, les démones assistaient au spectacle, tournant autour des deux partenaires, les frôlant parfois.

Grayle n'y tint plus : il s'était mis à caresser doucement les cheveux d'Odessa mais maintenant il s'était saisi de sa tête tout en imprimant à son bassin des mouvements de plus en plus frénétiques. Le visage de la Centaure devint écarlate tandis que le membre viril pilonnait sa bouche. Avec une joie sauvage, Odessa s'abandonna à cette débauche, maculant le pénis du jeune homme de sa salive si bien que l'on pouvait entendre des bruits de succion résonner dans le temple.

Puis ce fut l'orgasme : un liquide épais et chaud jaillit de l'urètre de Grayle et alla inonder la bouche de la centaure qui se mit à boire avec une certaine avidité le liquide précieux. Il y en avait tellement qu'il en déborda, menaçant de l'étouffer, coulant sur son menton et ses seins lourds. Quand les salves furent terminées, elle se redressa et gratifia Grayle d'un sourire radieux. Ce dernier était en sueur et ses membres tremblaient un peu mais il avait le regard brillant.

L'une des démones s'approcha et lui demanda si Grayle était digne d'elle. Son amant lui sourit d'un air carnassier et elle comprit ce qu'elle attendait d'eux. Elle se retourna et offrit sa large croupe au jeune homme. C'est alors que la démone parla de nouveau :

- Tu les aimes énormes, hein Odessa ? Dures... Épaisses... Ton désir va être exaucé !

Elle prononça une formule magique et aussitôt le pénis et les testicules de Grayle se mirent à grandir démesurément. Les bourses se mirent à gonfler et le pénis s'allongea si bien qu'à la fin les premières étaient aussi grosses que des pamplemousses et le second faisait deux bons pieds de long et était aussi épais qu'un grand cierge d'église.

Odessa écarquilla les yeux devant cette bite de cheval dont avait été pourvu son amant et elle passa une langue gourmande sur ses lèvres tant en remuant sa croupe...


6
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: mardi 07 mars 2017, 11:13:07 »
C'est alors que comme par magie, une femme surgit de nulle part, derrière Grayle. Entièrement nue, elle avait des formes voluptueuses et elle exsudait le sexe par tous les pores de la peau. Elle écrasa son imposante poitrine contre le dos de l'homme et lui murmura des paroles langoureuses, chargées de passion à l'oreille avant de plonger une main fine dans son pantalon pour en extirper son pénis en érection.

Odessa écarquilla les yeux non pas à cause du membre mis à découvert mais parce que l'apparence de la femme changeait sans cesse : elle allait de la beauté diaphane aux cheveux argentés à la brune capiteuse en passant par la rousse sensuelle, la vénus d'ébène ou encore l'elfe gracile...

Puis elle disparut et l'instant d'après la Centaure sentit quelqu'un sur son corps chevalin. Tournant le buste, elle vit la même créature assise à califourchon sur son dos, lui souriant. Ses mains se saisirent de ses seins et Odessa sentit leur pointe se raidir davantage, au point d'en avoir mal. Elle lui murmura également des paroles sucrées, assorties de petits coups de langue sur le lobe de son oreille.

Puis elle disparut de nouveau mais pour de bon cette fois.

Odessa sentit le sol, le plafond et les colonnes vaciller puis au bout d'un moment tout redevint normal. Excepté que le temple semblait différent : les lézardes du mur avaient disparu, les statues étaient d'un blanc immaculé comme si elles avaient été finies d'être sculptées la veille et le dallage était propre et uni.

Grayle se releva - la "secousse" l'avait projeté au sol alors que la Centaure avait pu conserver son équilibre grâce à ses quatre sabots fermement plantés - et commença à dire :

- Bon... et main...
- Maintenant, si vous voulez sortir, il faudra être à la hauteur ! acheva une voix féminine.

La seconde d'après deux silhouettes humanoïdes apparurent : deux femmes entièrement nues et à la beauté sombre et capiteuse avec des sabots de chèvre ou de bouc à la place des pieds et pourvues d'une grande paire d'ailes de chauve-souris. Odessa sut tout de suite à qui ils avaient affaire : des Succubes !

Les deux créatures s'approchèrent d'eux, changeant d'apparence, passant du masculin au féminin en un battement de cil.

- Alors, c'est eux qui sont censés passer les épreuves ? demanda l'un des Démons. Et bien... montrez nous ce que vous valez...

La Centaure remarqua leurs fouets et leurs épées courbes. Grayle aussi : il dégaina deux longs poignards à la lame noire, qui semblaient générer leurs propres ténèbres, et se mit en garde. Dans un premier temps, Odessa empoigna sa lourde double-masse, s'apprêtant à livrer un rude combat puis elle baissa son arme.

- Attends... dit-elle à son compagnon, posant une main sur son épaule,je sais ce qu'elles veulent et toi aussi tu le sais...

Elle enlaça son torse, caressant de ses doigts sa peau puis elle le força à se retourner, se coucha de manière à ce que sa tête soit à la hauteur de son entrejambe puis enfourna avidement son pénis durci par le désir, le suçant, le léchant amoureusement...

7
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: lundi 02 janvier 2017, 22:30:57 »
Catacombes

Elle pouffa de rire quand Grayle évoqua le fait que les statues pourraient s'animer et les attaquent avec leurs braquemarts.

Ils avancèrent plus avant dans le temple. Odessa écoutait à peine les commentaires de son compagnon, observant les fresques et les statues. Le lieu était ancien, c'était indubitable, mais elle sentait qu'on l'observait. Qui ? Quoi ? Elle ne le savait pas mais elle sentait une présence. Même si la salle était de dimension abbatiale, ses sabots résonnaient à peine, comme si les sons étaient assourdis.

Ils arrivèrent au fond de la construction : là s'élevait un autel surplombé par la même statue de femme à la poitrine voluptueuse, aperçue à l'entrée. Mais ce n'était pas celle-ci qui retenait le plus l'attention des deux visiteurs : de part et d'autre de l'autel se tenaient deux statues de pierre noire représentant un jeune homme et une centaure.

Curieuse, elle approcha la lampe de la seconde et poussa une exclamation de surprise : la statue lui ressemblait trait pour trait ! Certes elle était bien plus grande qu'elle mais c'était bel et bien elle-même qu'elle voyait : la même chevelure, la même poitrine, le même regard mutin... La touchant, elle s'aperçut qu'elle était lisse et chaude, comme si elle était vivante.

La présence de ces deux statues en ce lieu, au moment où ils étaient entrés dans le temple n'était pas le fruit du hasard : une force surnaturelle, voire divine, était à l’œuvre et se jouait d'eux.

Elle poussa un petit cri d'effroi quand Grayle posa sa main sur son épaule mais se ressaisit aussitôt.

- Odessa, ca va ? Je n'ai pas peur, mais j'avoue que ce temple est carrément bizarre...
- Ouais, ben je propose qu'on se casse d'ici et vite !

Elle avait à peine terminé sa phrase qu'une voix, surgie de nulle part, résonna à travers la salle :

- Soyez les bienvenus Odessa et Grayle le Pérégrin, je vous attendais !

La voix était féminine, grave, profonde, âpre, comme si elle ne sortait pas de la gorge mais directement des entrailles. Elle était chargée de passion, de sensualité et de bestialité et quand elle l'entendit, Odessa sentit monter en elle une petite flambée de désir... Mais la voix continuait :

- Cela fait bien longtemps qu'un couple, un mâle et une femelle, n'avait franchi le seuil de ma demeure ! J'en suis heureuse, profondément heureuse ! L'Ordalie Sexuelle va pouvoir commencer...
- Hein ?! s'exclama Odessa, revenue de sa surprise. C'est quoi ce bordel ?!

8
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: lundi 21 novembre 2016, 10:51:52 »
Avant même qu'elle ne commençât à se diriger vers le temple, Grayle, sans prendre de précaution particulière, arracha la flèche d'un seul coup. Un flot de sang jaillit puis se tarit petit à petit avant que la blessure ne se refermât comme par enchantement.

- Comment est-ce que... ? dit-elle, les yeux écarquillés. Elle avait senti que son compagnon n'était pas quelqu'un d'ordinaire mais de là à ce qu'il guérisse de ses blessures en un clin d’œil, ça ça n'était pas banal ! Elle se demanda s'il n'était pas une créature surnaturelle ayant pris une apparence humaine.

Elle hocha la tête quand il lui dit qu'on en parlerait plus tard mais elle se promit de le tenir à l’œil même si son instinct lui murmurait qu'elle n'avait rien à craindre de lui. En tout cas, elle sentait sa frustration et la partageait : ils passaient un bon moment et il a fallu que ces dothrakis débarquent et cassent l'ambiance !

Ils entrèrent tous les deux dans le temple. L'intérieur était plongé dans la pénombre et le peu qu'ils pouvaient voir étaient des piliers et des statues de femmes nues dans de diverses positions. Grayle alluma une lampe et ils purent mieux distinguer au centre de la salle une immense statue représentant une femme à la lourde poitrine. L'artiste avait bien œuvré puisque l'on pouvait voir la fente de sa vulve avec les poils autours ainsi que sa longue chevelure.

Sur les murs avaient été peintes des fresques représentant des hommes et des femmes en train de s'accoupler dans diverses positions ; sur d'autres figuraient des créatures hybrides en train de forniquer avec des humains ou avec leurs semblables. L'une d'elles fit sourire Odessa : un minotaure en train de besogner copieusement une centaure.

- Tu connais cette déesse ?
- Non, mais je ne pense pas que ce soit la Déesse de la chasteté ! répliqua-t-elle avec un petit sourire.
- D'ailleurs, tu es croyante ?
- Hum, je vénère, comme tous les Centaures, Chiron, notre dieu. Quant aux autres dieux, ceux des humains et des autres races, je les connais pas des masses.

Elle marque une pause puis reprit :

- Bizarre que les dothrakis aient eu peur de cet endroit. Je sais qu'ils sont superstitieux et qu'ils craignent la magie mais tout de même...

9
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: lundi 24 octobre 2016, 22:18:17 »
Elle avait à peine démarré sur les chapeaux de roue que le Dothraki, sortant enfin de la stupéfaction dans laquelle l'avait plongé la vision d'Odessa, rameuta les membres de sa horde en faisant sonner du cor. La centaure filait maintenant au triple-galop, essayant de mettre le maximum de distance entre eux et les guerriers des steppes.

Même si elle n'en avait jamais rencontré, Odessa connaissait les Dothrakis de réputation : pillards écumant les steppes, ils ne laissaient derrière eux que villages incendiés, richesses pillées, bêtes capturées et hommes et femmes réduits en esclavage. Ils évitaient soigneusement les grandes villes fortifiées, préférant se faire la main sur des agglomérations de taille plus modeste. Elle avait néanmoins entendu dire que certains d'entre eux commençaient à s'adonner au commerce, cultiver la terre et élever du bétail.

Ce qui ne devaient pas être le cas de ceux qui les poursuivaient. Malgré son avance, les dothrakis gagnaient du terrain. Elle entendit un sifflement, puis un autre : ils leur tiraient dessus au moyen d'arcs. Ils étaient non seulement d'excellents cavaliers mais aussi de redoutables guerriers et archers. Cependant, ils étaient toujours difficile de tirer correctement à dos de cheval lancé en pleine course.

- Odessa ! Tu crois qu'on serait à l'abri là bas ?! demanda Grayle, lui désignant ce qui pouvait bien ressembler à une ville.
- Ne parle pas ou tu vas te mordre la langue !

Elle se dirigea quand même vers la ville en question. Ce ne fut que lorsqu'ils n'en furent qu'à quelques centaines de mètres qu'elle comprit que quelque chose clochait : les bâtiments, ainsi que la muraille ceinturant la ville étaient délabrés, la végétation les recouvrant par endroits ; par ailleurs, il émanait de ce lieu quelque chose d'étrange qui lui donnait un peu la chair de poule.

Préférant quand même affronter un danger inconnu qu'un danger bien réel, elle continua quand même sa course. Elle franchit en trombe le portique et commença à ralentir pour finir par s'arrêter au bout d'une centaine de mètres dans ce qui semblait être une rue principale. Elle jeta un œil aux alentours dans l'espoir de trouver un endroit où se cacher. Vain souci : car elle entendit les pillards des steppes pousser un cri d'effroi (du moins c'est ce qu'il lui semblait), arrêter leurs montures et faire volte-face.

- Qu'est ce qui a bien pu leur faire peur comme ça ?! demanda-t-elle avant de porter son attention sur Grayle qui avait une flèche planté sur le flanc.

- Oh merde ! s'exclama-t-elle. Elle jeta un œil sur les environs et vit un bâtiment plus grand et plus imposant que les autres et qui devaient être un temple. A vrai dire, l'endroit n'avaient rien d'un village : c'était plutôt un lieu de culte fortifié ; on pouvait distinguer les habitations destinées au clergé, la bibliothèque, une sorte d'observatoire...

- Peut être qu'on pourra trouver de quoi te soigner à l'intérieur. dit-elle en se dirigeant vers la construction. Si c'était un lieu de culte, à quelle divinité avait-il été dédié et pourquoi était-il abandonné ?

10
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: mercredi 19 octobre 2016, 22:14:03 »
Si Grayle était au Paradis, Odessa l'était tout autant. Chaque coup de rein du jeune homme arrachait à la Centaure un cri, un gémissement, un râle, un soupir de plaisir. Il se défoulait littéralement sur elle, y allant de manière bestiale mais cela ne gênait aucunement la créature qui, en matière d'étreintes sauvages, était rodée. Outre ses congénères, elle avait goûté aux plaisirs de la chair avec des étalons et des Humains ; du temps qu'elle était gladiatrice, elle avait pu tâter du Nain, du Minotaure, de l'Elfe - du Drow pour être exact - et de l'Homme-Lézard. Odessa était ainsi : pas bégueule pour un sou, elle avait la croupe très accueillante. Raison pour laquelle on lui avait souvent surnommé "Large Partage".

C'est alors que ses sens aiguisés - quand on vivait au contact de la nature, il fallait être vigilant sinon on pouvait vite se faire boulotter par la première créature venue - l'avertirent que quelque chose n'allait pas : le sol se mit à trembler légèrement. Grayle le sentit aussi car il lui demanda ce que cela pouvait bien être, tout en continuant à la besogner.

- C'est pas un tremblement de terre, répondit-elle, jetant tout autour d'elle des regards inquiets, prêtant à peine attention aux coups de boutoir de son compagnon. Elle scruta l'horizon et vit une masse compacte de cavaliers. Ils étaient bien trop loin pour qu'elle put voir à quoi ils pouvaient bien ressembler mais elle ne voulait pas attendre qu'ils s'approchent davantage pour le savoir.

A regret, elle se dégagea de Grayle et lui dit d'une voix pressante :

- On se casse ! Des cavaliers ! Il y a fort à parier qu'ils vont s'arrêter ici pour faire boire leurs montures. Je sais pas si ce sont des amis ou des ennemis mais mieux vaut être prudent...

Il ne leur fallut que quelques minutes pour rassembler leurs affaires puis elle l'invita à monter sur son dos. Alors qu'ils commençaient à s'éloigner du point d'eau, ils virent un cavalier solitaire venir vers eux. Un éclaireur sans doute. Bien bâti, il portait un pagne et des bottes de peau et arborait une belle et longue chevelure ; une sorte d'épée à lame recourbée était passée à sa ceinture.

- Merde, des dothrakis ! s'exclama la Centaure.

L'éclaireur les avait vu et fut médusé par l'apparition d'Odessa : les Centaures étaient pour ce peuple des créatures légendaires, dignes de respect car ils étaient à la fois monture et cavalier. Bien entendu, Odessa ne le savait pas, connaissant seulement leur réputation de pillards sans foi ni loi, et, profitant de la stupeur du dothraki, fonça au triple galop vers l'est, espérant ainsi mettre le maximum de distance entre eux et les farouches guerriers des steppes.

11
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: mardi 30 août 2016, 20:24:06 »
Hormis le son des hautes herbes courbés par l'action du vent et celui produit par le vol d'un groupe d'oiseaux dans le ciel, les seuls sons audibles à proximité du point d'eau étaient les bruits de succion générés par la bouche avide et vorace de la jeune centaure qui s'activait sur le membre viril de son partenaire du moment, Grayle.
Le terme "s'activait" ne rendait pas vraiment justice aux attentions qu'Odessa procurait à l'homme : elle se goinfrait, s'empiffrait de son pénis, comme si elle savourait une grosse friandise particulièrement délicieuse. Les mains agrippées aux fesses de l'explorateur, elle s'enfonçait toute la tige au fond de la gorge avant de se laisser aller en arrière en la lui pinçant entre les lèvres. Elle badigeonnait son membre de sa salive si bien qu'il semblait recouvert de mousse savonneuse, luisant au soleil. Il y en avait tellement qu'un petit filet coulait le long de son menton avant de s'insinuer entre ses seins.

Au bout de quelques minutes, elle sentit le corps de son amant se contracter tandis que ses mains plaquait sa tête contre lui de manière à ce que pénis lui rentrât profondément dans la bouche. L'instant d'après, elle sentit une généreuse quantité de sperme l'inonder. Odessa écarquilla les yeux :

- Comment peut-il expulser une telle quantité ?! pensa-t-elle. Il devait être sacrément en manque !...

Grayle recula et une petite cascade de salive et de sperme mélangés jaillit de sa bouche et tomba sur sa lourde poitrine, la recouvrant entièrement.

- Ouah ! Quelle purée ! s'exclama-t-elle d'une voix à la fois admirative et enjouée. Tu foutres autant qu'un Minotaure ! Puis voyant que son compagnon avait toujours le membre aussi dur que du bois : en plus tu triques autant qu'eux !

Après l'avoir remercié, elle, ainsi que la Déesse (restait à savoir laquelle mais ce n'était certainement pas celle des papillons), il passa derrière non sans lui avoir posé un petit bisou sur ses lèvres, qui étaient encore maculées de sperme. Après quelques caresses sur sa robe et sa croupe, il rentra carrément dans son intimité, lui arrachant un petit cri de plaisir.
Bien entendu sa grotte n'était pas du tout du même gabarit que celle des femmes ordinaires, il fallait être membré comme un étalon ou un minotaure pour bien la remplir, mais Odessa savait bien contracter les parois de son intimité de manière à accueillir de manière convenable un pénis de taille humaine, du moment qu'il n'était pas de la taille d'un petit doigt...

Tandis que Grayle la besognait comme une bête, la jeune centaure avait agrippé ses seins lourds couverts de fluides et les léchaient amoureusement, jetant de temps à autre à son partenaire un regard fiévreux.

A plusieurs kilomètres de là, portés sur leurs puissants coursiers, les dothrakis galopaient à travers la steppe. Les éclaireurs chevauchaient en tête, suivis par une troupe plus imposante. Une véritable horde en fait...

12
Bienvenue jolie Licorne ^^

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 17 juillet 2016, 11:46:26 »
Je viens de me mater Batman VS Superman...

WTF ?! Le pire dedans c'est Lex Luthor qui fait vraiment tête à claques !

11h47

14
Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: dimanche 17 juillet 2016, 11:40:10 »
Il lui mordilla l'oreille droite et Odessa poussa un petit cri de plaisir. Puis il se mit à la lécher tout en s'approchant d'elle, de manière à ce que son torse soit collé à son dos. Elle sentit, au niveau de sa chute de reins, le contact de l'embout de sa virilité dressée et une douce torpeur envahit son corps. Les mains de Grayle, toujours pleines de savon, se posèrent sur les seins lourds de la centaure avant de commencer à les pétrir doucement, comme si c'était de la pâte à pain.

Elle n'y avait pas fait attention jusque là mais elle remarqua que les mains de son partenaire étaient fines et petites, pareilles à celles d'un adolescent, ce qui donnait l'impression qu'elles étaient "noyées" dans la masse de chair frémissante de ses opulents attributs. Elle aimait qu'on lui touche les seins, qu'on les caresse, qu'on les pétrisse ; elle était fière de sa poitrine et les attentions qu'on leur portait était en quelque sorte une manière de leur rendre hommage.
Même si elle appréciait les grosses mains calleuses, le genre qui pouvaient englober sans peine ses seins, comme celles de Zoren, son compagnon Minotaure lorsqu'elle était gladiatrice, elle aimait également les petites mains à la fois douces et fortes, comme celles de Grayle.

Elle poussa un petit cri de plaisir quand elles se mirent à pincer les tétons et une douce chaleur se mit à naitre dans sa croupe qui commença à s'humidifier. Les jambes du jeune homme se refermèrent autour de son bassin puis, tout en continuant à caresser sa lourde poitrine, lui fit tourner la tête pour ensuite l'embrasser.
Leurs lèvres se rencontrèrent, chacun savourant le contact de l'autre, puis ce fut au tour de leurs langues de faire connaissance. Le cœur de la centaure se mit à battre plus rapidement et son sang de circuler plus vite dans son corps hybride qui devint plus chaud. Elle sortit de l'eau, Grayle toujours agrippé à elle, puis le fit descendre doucement une fois arrivée à la berge.

Elle s'accroupit devant lui, son massif corps chevalin reposant dans l'herbe. Sa tête était à la hauteur de son pénis. Elle s'en saisit, une main sur la hampe, l'autre sous les bourses, elle lui jeta un regard avide, du genre qui voulait dire "miam miam !", puis enfourna le membre viril dans sa bouche, le suçant, le léchant, le mordillant même.
A un moment donné, elle passa ses mains sur ses fesses, qu'il avait fermes et musclées, s'aidant seulement de sa bouche pour lui procurer du plaisir...

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 20 juin 2016, 21:47:09 »
Le dernier épisode de GoT déchire !  :D

21h48

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