Les terres sauvages / Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)
« le: dimanche 11 février 2018, 19:33:05 »- Pour des créatures infernales elles sont plutôt attentionnées ! dit Odessa d'une voix amusée, après que Grayle l'eut déposé sur le matelas qui était confortable. Il enleva son haut et se campa devant elle, le sexe toujours en érection.
- Bordel, qu'est ce que t'es bonne... murmura-t-il avant de grimper à son tour sur le lit et de caresser les jambes de sa compagne. Elles étaient longues, fermes, musclées mais sans ostentation et avaient la peau douce, bref un véritable enchantement pour un amateur de belles cuisses féminines. Il se mit à les lécher, remontant petit à petit vers son entrecuisse dans laquelle il passa une langue avide ; chaque coup de langue, chaque caresse arracha un gémissement de plaisir à Odessa et elle sentit son corps devenir chaud comme la braise tandis que son intimité s'humidifiait davantage, prête à recevoir la virilité de son partenaire.
Il l'embrassa de nouveau, pétrissant ses seins lourds. Elle sentit sa verge chaude contre son ventre et elle crut qu'elle allait le rôtir tant elle était ardente.
- Ça fait quoi d'être en face ? C'est bien, hein... ?
- Ouais !... fut sa seule réponse. A vrai dire, elle était encore un peu sous le choc d'être devenue sans crier gare une bipède et son cerveau ne parvenait pas encore à réaliser l'évènement, raison pour laquelle elle se laissa faire quand Grayle la trimballa vers le centre du lit puis poser un coussin sous sa tête avant de la contempler avec le même regard enfiévré.
Ce ne fut que quand elle sentit sa verge fouailler en elle qu'elle sembla sortir de sa semi-torpeur. Ses mains s'agrippèrent sur le corps de l'homme et elle souleva d'elle-même ses belles jambes afin de mieux recevoir la virilité de son partenaire ; ce dernier semblait complètement possédé : il la pilonnait sans vergogne, avec un étrange mélange de rudesse, de douceur et de sauvagerie, tout en pétrissant, suçant, mordillant ses tétons qui avaient doublé de volume sous l'effet de l'excitation.
Grayle prenait Odessa comme le dernier des goujats et elle adorait ça. Chaque coup de rein arrachait à la belle des gémissements de plaisir qui se répercutèrent en écho dans le temple...