Le quartier de la Toussaint / Re : Correction bien méritée. [PV: Stephen Connor]
« le: vendredi 22 mai 2020, 14:55:24 »Éprise de pulsions incontrôlables, la traînée vint écraser sa langue moite contre le torse du démon, goûtant à sa chair comme une vraie camée. Elle embrassait chaque centimètre de sa peau, s'enhardit à s'attarder sur ses tétons pour voir si il y était sensible ou non. Puis, anhélante et perdue dans cette vague de volupté, Anne-Lyse poussa un ultime cri de plaisir lorsque son bourreau s'enfonça comme une brute d'un coup sec. Son foutre brûlant vint tapisser les parois de la belle, lui offrant un orgasme si intense qu'elle en défaillit presque.
- AAAAHNNNN !! ♥♥♥
Son couinement de femelle en chaleur raisonna dans toute la pièce, si bien qu'il était fort probable que tout le monde l'ait entendu. Chacun savait que la redouté Anne-Lyse de Montfort se faisait démonter comme la dernière des putes. Ses oreilles se mirent à bourdonner et, pendant un court instant, la blondasse à talons eut l'impression qu'elle allait s'évanouir.
Pourtant, il n'en fut rien. Tirée de sa torpeur, Anna se retrouva en quelques secondes hors de la baignoire. La langue sortie de force, elle fixait le géant puis son téléphone, comprenant qu'il comptait filmer la scène qui allait suivre. Or, le plaisir s'étant lentement dissipé, la conne réalisa enfin ce qu'il s'apprêtait à faire. Trop tard... Elle voulut dire quelque chose mais le goût âcre de son urine sur sa langue lui arracha un geignement. Il avait osé ! Après tout ce qu'il venait de lui faire subir, le salopard lui pissait littéralement à la gueule.
Humiliée au plus au point, Anne-Lyse ferma les yeux pour fuir l'objectif du téléphone. Les râles du plaisir du démon n'aidaient en rien, d'autant plus qu'ils avaient pour effet d'exciter la donzelle qui, pourtant, n'appréciait d'aucune manière le liquide écœurant qui coulait sur sa langue. La voilà qui était réduite au rang de toilettes. Les secondes parurent interminables mais le colosse se vida enfin, ordonnant à son nouvel l'urinoir d'avaler puis de nettoyer.
Oooh comme elle aurait aimé avoir la force de dire non. Se redresser, lui cracher à la figure, s'en aller sans se retourner... Mais son corps, que dis-je, son esprit n'avait pas la force ni l'envie de se rebeller. C'est donc tout naturellement, sans se faire prier, qu'Anna s'exécuta et vint engloutir le mandrin d'une traite pour le nicher au plus profond de sa gorge obscène. Son beau visage était déformé par le dégoût mais elle continuait sans relâche, lapant chaque centimètre de son manche pour le nettoyer comme il le lui avait demandé. Le doute n'était plus permis. Il venait bel et bien de briser quelque chose en elle.