Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Brenda Mac Norman

Pages: [1]
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 01 août 2015, 17:40:06 »
Bon anniversaire !

Bisous sur la fesse gauche !

1740

2
Archives publiques / Re : Welcome to the Suck [Bienvenue en Enfer] !
« le: samedi 01 août 2015, 17:36:37 »
Félicitations mesdames !

Tout mes voeux de bonheur pour cette nomination!

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 01 août 2015, 12:48:56 »
La deco reco c'est pas top. J'ai dû me taper la moitié de mes doublettes pour en trouver une qui veuille bien se co. J'suis énervée. xD

1247

*va aller pleurer chez la modoteam*

4
Bonjour et bienvenue !

5
Prélude / Re : Le Cristal Noir et la poupée arnaqueuse.
« le: mercredi 06 mai 2015, 00:59:16 »
Bienvenue à toi !

Le contrôle du temps...en voilà un pouvoir bien grand.

6
Avatar par Stephen Connor ! :3

Par Maxime Verehin*

(Désolé :3)

Bienvenue !

Ah merci je cherchai justement le lien. Et merci pour la bienviendu.

7
Disons que je le trouve pas particulièrement désagréable avec ma doublette !

8
Je l'ai vu sympathique :) Ailleurs qu'avec Brenda ! :3

9
Pour lire  un RP entre lui et moi ou le voir...sympathique ?

10
Merci Voodoo !

En fait y'a que des gens gentils ici !

11
@ Naisho : Nous allons voir ça sous peu. J’espère que vous ne serez pas trop déçu. Merci o/

@ Enora : Merci belle modératrice ! Et si vous avez envie de jouter, mes 4 garnements seront ravis j'en suis certaine.

@ Stephen : :3

@ Cassidy : Merci ! :D

@ Tessia : Merci de la proposition ! Et du bienvenue !

12
Prélude / Re : Une autre succ...ah non. Désolée !
« le: mardi 05 mai 2015, 17:57:29 »
@Kokiji : Je me disais aussi...au moins c'est franc !

Merci Sarkesh !

Et merci Catalina de votre sollicitude ! :)

13
Prélude / Re : Une autre succ...ah non. Désolée !
« le: mardi 05 mai 2015, 17:52:44 »
Merci à vous deux !

Je me demande d'où vient cet amour si soudain...mes beaux cheveux très certainement !

14
Prélude / Une autre succ...ah non. Désolée ! [Valimercenarisée !]
« le: mardi 05 mai 2015, 17:44:16 »
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

Ma vie ? Non, je n'ai pas eu une vie mais deux. L'une est indissociable de l'autre.

Mon nom est Brenda. Brenda McNorman. Je suis née il y a près de vingt-cinq ans de cela, aux Etats Unis et plus précisément à Hartford dans le Connecticut.

J'ai eu ce qu'on pourrait appeler une vie de parfaite petite américaine. Pour commencer, mes parents étaient de bons parents. Mon père étaient banquier et avait un salaire permettant à lui seul d'apporter confort à la famille. Ma mère travaillait en tant qu'institutrice pour les jeunes de l'Elementary School. Une famille pleine de bonheur dont j'étais le centre.

Fille unique, un peu gâtée, un peu pourrie, j'ai vite compris comment être le centre de toutes les attentions ! J'ai toujours fait en sorte de donner un prétexte aux gens m'entourant d'être fière de moi, de me féliciter. Petite, c'était avec les dessins. J'avais un don. Selon mes professeurs, j'étais une artiste née. En grandissant, ce fut la danse. J'avais la grâce du Cygne. Si l'art des pinceaux n'était plus ma vocation, petit rat de l'Opéra serait parfait pour moi. A l'adolescence, je voulu devenir Cheerleader.  C'est avec facilité que j'intégrai l'équipe des Pom-Pom Girls ! J'étais le genre de personne à qui rien ne résiste. Rien. Le monde s'offrait à moi et je comptais bien le mettre à mes pieds !

Devenue jeune adulte, je n'eus aucun mal à devenir mannequin. Bien sûr, je débutais par de petits shootings mais je savais que sous peu je monterais sur les plus grand podium pour défiler dans de somptueuse robes de grands créateurs. Lorsque je reçu mon premier cachet, je fut la plus heureuse des femmes. Fière de mon travail accomplie, je me rendis le plus vite possible à la banque afin de déposer mon précieux chèque. C'est à la banque de mon père que j'avais mes comptes, c'était donc pour moi l'occasion de le voir et de prendre un bon déjeuner avec lui. Dans la file d'attente, je tapotais frénétiquement sur mon portable pour faire passer le temps plus vite. Je ne vis donc pas arriver la menace.

Deux hommes vêtus de noirs et cagoulés déboulèrent dans l'établissement. Ils hurlaient à qui voulaient bien les entendre qu'il fallait se coucher à plat vente dans un coin de la banque. Les clients obtempérèrent rapidement et je les imitais sans faire de vague. Seuls les guichetiers s'enfermèrent derrière un rideau de vitre blindés annonçant qu'ils ne donneraient aucuns billets. Les deux hommes ironisèrent un instant avant de se gausser d'eux. L'un d'entre eux, le plus massif, attrapa un homme parmi nous et le tira face à l'un des guichetiers. Il pointa sur sa tempe ce qui ressemblait à un petit fusil. Un bruit assourdissant s'est fait entendre. J'ai vu l'otage s'effondrer au sol le visage déformé et ensanglanté. Dans mon fort intérieur si bien sûr j'étais dégoûtée, j'étais surtout soulagée de ne pas être cette personne.

Mes yeux retournèrent au guichetier qui ne savait plus quoi faire. Il restait là, figé. C'est alors que j'ai vu mon père intervenir, tenter de résonner les braqueurs. Voyant que l'effet escompté n'arrivait pas, le colosse revint vers nous et cette fois ci, ce furent mes cheveux suivit de ma personne qu'il embarqua. La réaction de mon père fut immédiate, il ordonna à ses collègues de donner l'argent aux braqueurs sans faire d'histoire. Moi je pleurais bêtement, priant pour ne pas finir comme l'homme à mes pieds. Les hommes en noirs prirent deux sacs qu'ils remplirent à craquer. C'est alors que les sirènes des voitures de police retentirent.

Afin d'être certains de pouvoir partir sans embûches, les braqueurs me gardèrent comme otage. Traînée de force, on me fit courir jusqu'à une voiture dans laquelle on me jeta sans ménagement. Tremblante comme une feuille, pleurant les larmes de mon corps, je ne pouvais que suivre le mouvement. Je me rendis compte qu'il y avait un troisième homme qui était le chauffeur de l'expédition. Affolée par ce qui m'arrivais je perdis connaissance.

C'est à partir de ce moment là que ma seconde vie commence.

Lorsque je me suis réveillée, je me rendait compte que j'étais attachée. Les mains liées dans le dos, bras entrecroisés. Force fut de constater que j'avais une autre attache au cou. Une laisse m'empêchait de me relever. J'étais assise dans un coin de la pièce, comme une vulgaire chienne. Ils avaient poussé le vice jusqu'à me mettre une écuelle en guise de verre d'eau. Sûrement s'estimaient ils gracieux de m'avoir laissé de quoi boire. J'eut du mal à percevoir ce qu'il y avait autour de moi. Il faisait sombre. Une simple lampe posée sur une table en guise d'éclairage. Je compris rapidement être dans un sous sol. Il faisait frais et l'humidité était présente, glaçant encore plus mes os.

Fumant une cigarette, un homme était assis autour de la table. Il me vit reprendre conscience et s'intéressa à moi. Il ne parla pas, tout comme moi je me taisais. J'avais peur de l'éventuelle réponse qu'on pourrait me faire. Qu'allait il faire de moi ? La réponse tacite viendra à moi rapidement. L'homme prit soin d'éteindre sa cigarette dans un cendrier avec une lenteur qui m'effraya étrangement. Il se leva, ses yeux sombres me fixant, et vint vers moi. Il détacha la laisse et me força à me lever. Plaquée contre le mur, je tremblais comme une feuille.

Dès que sa main se leva à auteur de mon visage, je compris. Il se présenta à moi avec un sourire qui en d'autres circonstances m'aurait semblé charmeur. Il s'appelait Lars.

Il tissa entre ses doigts une mèche de mes cheveux roux. Il donna un instant une ondulation à ce morceau de chevelure pourtant si raide en ce temps. Il laissa filer la mèche pour atteindre mes épaules, là où mes cheveux laissaient à ses doigts le liberté d'aller ailleurs. Il fit glisser la pulpe de ses doigts sur mon visage parfait. Il plissa les paupières, examinant mon teint laiteux. Ses yeux me firent l'impression de me percer quand ils rencontrèrent mes pupilles d'un bleu pour le coup glacé. Ma bouche fine et rosée trembla par l'appréhension. Ses doigts descendirent le long mon cou gracile pour atteindre mes épaules. Les saisissant, il prit soin de tirer sur les bretelles de mon débardeur, rompant le tissu. Sans ménagement, il déchira ce qu'il restait de mon haut, dévoilant ma poitrine généreuse dans un rebond.

Je tentais de reculer mais le mur froid et rugueux vint me retenir, griffant la peau délicate de mon dos. Je retins mon souffle quand sa poigne se referma sur l'un de mes seins en le malaxant, appréciant sa fermeté et sa douceur. Il glissa sa main sur mon dos puis sur mon ventre plat et légèrement musclé. Sa main vint titiller l'orée de mon bas ventre sans pour autant y toucher. Il préféra dégrafer ma ceinture pour que ma jupe aille rejoindre les lambeaux de mon top. Il agrippa les rondeurs de mes fesses y marquant de sa poigne les marques de ses doigts. Ses ongles vinrent laisser de fins sillons rouges sur mes jambes fuselées. Il m'agrippa fermement, et remonta mes jambes.


Je voulu m'enfuir, crier et lui faire mal. En guise de rappel à l'ordre il tira avec violence sur la laisse toujours attachée à mon cou. Je fus contrainte de pencher la tête en arrière, manquant de souffle. Sa main posée sur ma cuise serra comme s'il cherchait à en arracher la chair. J'eus beau faire, je n'étais pas de taille. Il s'évertua à me faire ressentir chaque douleur, chaque humiliation. Le temps passait et je ne devenais plus qu'une poupée. Il me désarticulait. Je ne peux dire combien de temps il éprouva mes nerfs. Quand il cessa, je cru mon calvaire terminé. Un détail m'avait pourtant échappé. Quand je fus capturée, ce n'était pas par une personne. Les deux autres ont fini par poindre le bout de leurs nez et d'autres choses. Ce qui m'avait semblé être un calvaire jusque là ne fut qu'un prélude.

Des heures plus tard, du moins je l'ai ressenti comme ça, ils me laissèrent choir au sol. Je n'étais plus attachée et pourtant mon état de délabrement était tel que je ne pouvais penser à m'enfuir. Je me voyais mourir. Dire que cela me rendait heureuse était un euphémisme. Mourir semblait une bénédiction. Une libération. Pourtant mon premier tortionnaire vint vers moi et souffla des mots à mon oreilles que je ne pus saisir. Et je sombrais là, dans un chaos qui m'enveloppait. Quand je me réveillai, je ne sentais plus aucun signe de fatigue. La douleur n'était plus. C'était forcement le Paradis. J'étais morte et obligatoirement soulagée de mes faiblesses.

Que nenni. Je me retrouvai nez à nez avec mes tortionnaires. Attachée de nouveau comme une chienne, je les voyais avec leurs sourires mauvais. Je n'ai pas compris tout de suite, mais l'un d'entre eux, celui qui m'a murmuré un psaume, m'a soignée grâce à ce qui, je le sais à présent, est de la magie. C'est pourquoi les hommes pouvaient profiter de moi sans craindre d'aller vraiment trop loin. Après tout tant que je n'étais pas morte, tout allait pour le mieux. Ma vie ne devint qu'une morte succession de violences et de viols. J'étais réduite à l'état d'esclave.

Très vite, je ne devins qu'un simple robot. On m'ordonnait et je m'exécutais. Je n'avais plus de volonté propre. J'étais perdue, comme dans un brouillard. Même mourir ne semblait pas pouvoir me délivrer. Quelques mois plus tard, on me demanda, ou plutôt  on m'ordonna, de faire semblant d'être une otage dans un nouveau braquage. Je vis là un moyen de m'échapper. Le jour J, j'entrai dans la banque comme n'importe quel client. Je me savais surveillée. J'attendais le bon moment pour fuir et être enfin délivrée. Lorsqu'il vint enfin je tentai de fuir. Je n'avais pas prévu qu'un nouveau complice ferrait son apparition ce soir là. Il m'empêcha de partir et me fit comprendre que le prix à payer allait être cher. Mes tortionnaires abattirent plusieurs personnes. Le soir, en rentrant de notre forfait, cachés dans un entrepôt isolé, ils m'avouèrent que les victimes étaient mon châtiment. C'était comme si j'avais tiré moi même sur la cachette. J'étais horrifié et anéantie. La leçon était plus que comprise.

Ce soir là, les vices et tortures furent bien pire que les autres. Ce fut tel que même Lars peina à me sauver. Je dus garder le lit pour me reposer. Il furent étrangement doux. Et me laissèrent tranquille. J'en tendait de ce qui me servait de chambre qu'il préparait un autre coup avant de quitter le pays. J'entendais qu'il parlait du coup de l'otage mais je ne comprenais pas. Je ne pouvais pas, je serai un trop gros risque pour eux dans cet état. Le lendemain ils partirent, me laissant seule avec un peu de nourriture.

Je ne cherchais pas à m'enfuir, j'étais trop faible physiquement mais surtout mentalement. La velléité de partir avait quitté mon corps. Ce fut presque avec soulagement que je les vis revenir. Mon état d'allégresse fut coupé par la vue d'une cinquième personne. Une femme. Jeune, elle semblait avoir à peu près mon âge. Une jeune fille blonde, très jolie. Il ma la jetèrent dans mes bras en m'expliquant qu'elle était ma disciple, mon apprentie. Je devais faire d'elle une esclave docile et serviable. Il la reprirent aussitôt de mes bras protecteur. Pendant que mon corps se remettait, les leurs avaient une faim de loup. Si de prime abord  il lui demandèrent simplement de faire à manger, je me rendis à l'évidence qu'elle servirait de dessert.

Nous partîmes le lendemain. Je ne sais comment mais nos quatre tortionnaire s'étaient arrangés pour que nous puissions quitter le pays. Enfermées dans une cage métallique nous avons traversé l'océan pour arriver au Japon. Personne ne se préoccupa de nous et des cris de Kelly, puisque c'était son nom. Après plusieurs longs jours de traversé, nous sommes arrivé sur la terre ferme. Du port nous sommes allé vers une ville du nom de Seikusu. Pas vraiment dedans, dans un manoir tranquille dans la banlieue éloigné de la vielle. La où personne ne dérangerait.

Dans ce nouvel environnement, je m’efforçai de convertir Kelly qui redoublait d'effort pour me cracher au visage mes quatre vérités. Elle continuait de se battre là où j'avais abandonné. Devant mon échec à faire se tenir tranquille la jolie blonde nous furent toute deux punies. Très sévèrement. A mon grand étonnement, je la vis prendre plaisir à se faire violer. Ses cris étaient voluptés. Ses gestes étaient caressants. C'est en croisant son regard que je compris. Ses yeux étaient farouches. Eux ne voyaient rien tout à leurs plaisirs. Malheureusement pour elle, son petit jeu se retourna contre elle. Persuadés qu'elle était heureuse et capable de résister, Lars et ses compères lui firent subir des choses qui me hantent encore.

Elle mourut.

Cela me fit comme un électrochoc. Je ne devais plus laisser personne mourir. Pour en être certaine, je devais trouver un moyen de les éliminer. Je devais changer.

Mon coeur se ferma une nouvelle fois. C'était différent des autres fois. Je n'étais plus éteinte. J'allais devenir manipulatrice. Faire croire ce que les autres ont envie d'entendre pour arriver à mes fins. Quitte à devoir faire d'horribles choses, si cela me permet d'arriver à mon but, je le ferais. Mon meilleur atout c'est de me faire passer pour celle que je ne suis pas : une jeune femme écervelée. Je vais leur faire faire ce que je veux, un jours je les ferais ramper  à mes pieds pour mieux les faire s'entretuer. Et j'adorerai ça.

Bien sûr au fond de moi je reste toujours la douce et gentille Brenda, celle qui aime les gens et s'amuser. Le bien d'autrui avant le mien. J'ai au moins appris à ne plus être superficielle ou prétentieuse. Je suis quelqu'un de plus réfléchi, je ne fais plus rien d'un simple coup de tête. Quelque part ce fut une leçon de vie.


J'ai attendu que nous quittions Seikusu. Avec le corps de Kelly sur les bras, Lars décida qu'il était temps pour sa bande de faire profil bas. Ils m'ont emmenée dans les bois et de là il m'ont jetée au sol. Un autre m'a récupérée lorsque je suis tombée. Je n'ai rien vu de la manœuvre puisque j'avais les yeux bandés. Lars m'a expliqué que nous avions traversé une faille et que nous étions à présent dans son monde d'origine. Là où nous pourrions nous cacher. C'était un peu gros à avaler comme histoire mais comment ne pas croire une personne qui vous soigne d'une simple parole ?

C'est là que j'ai commencé mon travail de sape. Lorsque je me retrouvais seule avec l'un d'entre eux je lui racontais de jolis mensonges. Il était le meilleur des amants. Il était le plus intelligent. Il devrait être le leader. Avec Lars j'ai poussé le vice jusqu'à le persuader que j'étais folle de lui. Un jour tout se payera et c'est moi qui récolterais la monnaie.

Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

Autre :

- A force d'être soignée par Lars, elle à absorbé une petite quantité de magie lui permettant de se soigner plus rapidement.

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