Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« le: vendredi 05 décembre 2025, 13:24:42 »Ce n'est que lorsque la large main du mafieux quitta sa crinière pour se caler sous son menton, lui relevant la tête pour offrir ses traits défaits par l'extase à l'objectif de la caméra. Ses prunelles, déjà brun sombre en temps normal, étaient complètement noires, l'iris mangé par la pupille dilatée au maximum. Il ne lui manquait que des petites cornes recourbées et un long, souple appendice caudale pour ressembler à une succube.
Céleste ne se fit pas prier pour venir sucer le pouce qui venait de se glisser entre ses lèvres, arrondissant ses lèvres pulpeuses autour pour l'aspirer, sa langue jouant contre la pulpe et l'ongle de ce doigt inquisiteur. Pour couronner le tout, pour rendre la vidéo absolument indécente, la brune aux boucles emmêlées gémissait langoureusement tandis qu'elle s'affairait à baver contre l'articulation du pouce qui ressortait d'entre ses lippes.
Les mouvements languides du colosse étaient dosés juste comme il fallait pour laisser la sorcière redescendre de son pic de plaisir, juste assez lascifs et indolents pour qu'elle soit avide du moment où il reprendrait son burinage en règle. Elle ne fait que peu attentions aux jeunes femmes. Mais son regard accroche parfois celui de la petite vendeuse qui filme sous tous les angles tout en ayant une main glissée contre sa fleur détrempée. Elle est consciente de la présence des deux autres à leurs côtés, vaguement, dans le sens où elle ressent chaque tressautement de la queue du mafieux qui coulisse voluptueusement dans ses entrailles.
Enfin, la brune sent son amant repartir en trombe, continuant de ravager férocement son anus écartelé. Et les gémissements lascifs se changent de nouveaux en petits cris affamés, en soupirs de délices, tandis que ses reins répondent coup pour coup, cognant leurs bassins brutalement. Le claquement de l'aine masculine contre son cul arrogamment bombé résonne dans la pièce. Et, une nouvelle fois, Randal réussit à ramener la belle au bord du précipice de l'extase. Avant de finalement l'en pousser d'un autre coup de bassin. Le film amateur ne manquera pas de piment, avec ce nouvel orgasme. La blonde parvient à filmer le moment où la sorcière perd pieds, ses yeux roulant dans leurs orbites, tandis que son esprit était bien incapable de la moindre pensée un tant soit peu sophistiquée.
Les prochaines paroles du colosse sont entendues sans être pleinement assimilées, alors que Céleste peine à rester consciente, à revenir sur terre. Elle finit cependant par en saisir le sens, et un sourire salace étire ses lippes toujours entrouvertes alors que son dos est ramené contre le torse puissant de son amant.
« Oooh, tu me gâtes, Sugar… On pourrait… Mmmh… Penser que l'on fête mon anniversaire… »
À présent assise sur les cuisses -et le chibre toujours vigoureux- du mafieux, la sorcière est bien contente qu'il l'aide à venir s’empaler sur sa trique. Elle tremble, la pauvre, son corps encore sous le coup des deux orgasmes presque à répétition. C'est donc sur des jambes flageolantes, ses mains venant s'agripper aux cuisses de son amant entre les siennes pour se maintenir, que Céleste s'active à venir se dilater l'anneau sur l'épais mandrin de Randal.
La blonde s'est déplacée pour venir les filmer de face, captant toute l'obscénité de la scène avec l'objectif. Elle zoom parfois sur l'intimité ruisselante, gorgée de cyprine, de l’immortelle, sur son anus étiré peut-être aux limites du possible, avant de revenir sur son visage défait par l’extase, filmant aussi bien l'expression du colosse que sa queue veineuse qui pourfend sa cible.
Quand les deux autres prennent place, la blonde filme également la façon dont le mafieux apprécie la généreuse, l'opulente poitrine de Shana. Elle enregistre la manière dont la seconde vient se mettre à quatre pattes, le cul tendu, presque en rampant pour venir aspirer les bourses remplies de l'homme. Elle s'approche même pour capturer la manière dont sa langue lape la cyprine qui goutte, qui ruisselle, depuis le con de la sorcière.
« C'est hot, putain…, hallucine la vendeuse alors que la rouquine décide de repousser les limites de la sorcière en venant donner un coup de langue sur cette petite chatte dégoulinante. Tu joues avec le feu… Prévient-elle, redoutant de voir la cruelle immortelle émerger du torrent d'extase où elle est plongée. Mmh, tu as de la chance qu'elle ne soit plus vraiment consciente de qui fait quoi, commente-t-elle finalement tandis que la seule réaction de Céleste est de rejeter la tête en arrière, contre l'épaule de Randal, en gémissant de plus belle. »
La rouquine en profite, alternant entre les joyaux viriles et cette fleur qui ne demandait qu’à être butinée. La vendeuse, amusée et excitée, colle une fessée retentissante contre la croupe offerte de son amie. Elle vient ensuite, sans cesser de filmer, glisser quelques doigts inquisiteur dans la petite chatte tout aussi gorgée d'envie, déclenchant des gémissements qui s'échouent contre les bourses de Randal et les lèvres intimes de l'immortelle.
Avec toutes ces stimulations, il n'est donc pas étonnant que Céleste atteigne une troisième fois le septième ciel, giclant presque son plaisir contre le visage de la rouquine affairée. Qui n'en perd pas une goutte.









