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Prélude / Re : L'Archer du nord
« le: jeudi 04 décembre 2014, 17:16:41 »Holala... Arrêtez vos grands chevaux, de ce que j'en ai lu on sait pas grand chose sur irvine dans Berserk en plus, il reste assez mystérieux !
Et puis, si vous vouliez le jouer , z'aviez qu'a faire le personnage d'abord au lieu de rouspéter !
( Et je suis pas sûr de vraiment pouvoir assurer ce perso merci pour la pression et tout et tout ça rassure... x) )
Au pire si ça va pas je le donnerai à quelqu'un...
Prélude / L'Archer du nord [Validirvinisé]
« le: jeudi 04 décembre 2014, 16:43:26 »Nom/Prenom/Surnom : Maandrakarn Cyllgaerdruynn
Âge : 301 ans
Sexe : Masculin
Race : Démon, autrefois bâtard, sang mêlé...
Orientation sexuelle: Pourrait se souvenir de ce qu'est le désir mais ne se considère plus concerné par la chose dans son triste état.
Description physique :
Rares sont ceux qui l'ont aperçu car il se cache bien. Et plus rares encore seront ceux qui seront capables de dépeindre le début d'une caricature de cet être où de donner le moindre des détails qui soient pour autant justes, qui soient vrais sur son apparence. On l'a dit humain autrefois... Mais à ce jour il est bien rare que quiconque décèle la moindre trace de cette humanité en lui, Quoique... Son regard transmette encore des bribes peinées de ce qu'il fut jadis. Humain ? Bien qu'il puisse recouvrir cette apparence deux jours seulement par an, il demeure le reste du temps un être damné par une bien étrange malédiction qui l'a frappé. De son humanité il a gardé... Quelques lignes faciales, ses joues et la forme de ses yeux, on pourrait parler de ses lèvres mais, celle du haut se voit un peu fendue par le fléau démoniaque qui l'animalise. Et ce qui lui sert de fin de museau on ne sait plus bien de si un nez, de si une truffe il s'agirait. Sans doute un peu les deux.
Néanmoins il ressort de son allure l'impression encore certaine qu'il n'aurait pas tout perdu de ce qu'il fut autrefois, un soldat, où plutôt un archer, mais sûr qu'il fut un homme droit et formé à certaines aptitudes martiales. Un fier et adroit tireur, un archer hors paire même à ce niveau surtout maintenant qu'il possède l'équivalent de la puissance d'une redoutable baliste démoniaque en bout de course de l'avant de son corps. Son propre crin d'un noir ébène servant de fil d'une fibre plus résistante et étirable encore, que celui d'un violon. Il est bien tenu, formé et entrainé et les années ne semblent depuis longtemps, ne plus avoir de prises sur la gravité de sa chair ni les rides de sa peau qui restent pour la majorité, inexistantes à ce jour.
Il n'est pas sans parier que la désolante quadrupédie qui l'afflige incarne en soi tout l'effroi et le prêt à porter démoniaque indiscutable de son état, la répugnance des humains qui auraient la malchance de tomber sur sa silhouette. Etait ce bien ça ? Etait ce bien une bête qu'il possèda donc entre ses quatres jambes ?! Est ce un centaure ? Est un loup ? Ne serait ce pas des longues cornes de cerf qui dépassent de part et d'autre de cette seconde tête... Une seconde tête dites vous ?! Ces cornes de cerf démoniaques qui s'étendent comme les bois d'un arc lorsque son archer tire surle crin fin et long de l'animal pour encocher une première flèche ?
Caractère :
Caché et Mystérieux, prête peu à la discution, agit plus qu'il ne parle, de nombreuses années à hanter le vaste domaine que lui a réservé sa famille l'ont rendu difficille à approcher, tant par le fait qu'il se comporte plus comme un chasseur et un prédateur qu'un être humain, la sociabilisation c'est pas vraiment son fort, il règne en prédateur absolu sur son territoire et de temps en temps quelques souvenirs de ce qu'il fut jadis le hante. Il n'est pas à exclure qu'il prenne la parole mais c'est plutôt quelque chose de rare. Il est très méfiant et sent facilement la présence d'autres bêtes ou d'autres créature dans les environs. Il est prompt à se défendre parce qu'il n'est pas rare qu'un groupe d'aventuriers ou de héros ayant eu vent de son existance vienne tenter le diable en essayant d'escalader sa montagne, mais souvent ils finissent embrochés au pied de son trône majestueux quand, trop fatigués pour l'affronter après leur grimpette il les attend, flèche déjà prête.
Histoire :
Contre les flancs escarpés des montagnes enneigées, les vents hurlaient la symphonie d'une inlassable tristesse, qui, de nuit comme de jour modulaient les notes et les tons selon le relief et la végétation rasante des sommets. Sifflant comme le poème d'une vie d'autrefois. Parvenant jusqu'au trône de glace de l'infortuné roi oublié de cette cîme. Il n'était pas rare qu'une averse ou une tempête ponctue cette mélopée cinglante et incessante, ou qu'encore un caprice leur faisait changer de direction ; mais souvent quand l’un se calmait en brise doucerette en apaisant les visions d'un passé à oublier, il ne faisait que laisser sa place à un voisin plus cinglant encore, ravivée.
C’est au cours de l'un de ces concerts de mugissements vibrants, glacés, frémissants, que vint se profiler une silhouette. Tranchant l’horizon de son profil élancé... Perturbant les harmonies subtiles des masses d’airs en mouvement. Opposant à elles de grandes cornes d'un noir d'acier étirant la silhouette de ce que l'on pouvait prendre pour un grand loup, planant ainsi loin de bonds furieux au dessus des roches acérées et des congères blanches.
Nous dépassons l’arête rocheuse tout en suivant l'un des derniers bonds prodigieux de cette créature que les promeneurs auraient tantôt fait d'appeller démon... La bête file rapidement vers la vallée, la longueur et la puissance de ses bonds lui donne l'air d'être suspendu dans les nues par les souffles éoliens caressant le dessous de ses cornes et de ses flancs, repliées de sorte à lui offrir juste ce qu’il fallait de portance, et de pénétration dans l'air pour avancer sans risques à contre courant, planant sur les dépressions d'air remontant la montagne et lui permettant toujours, d'atterir sans se briser l'échine.
Après le col de montagne, les roches, après les ruisseaux suivis et les petites prairies buissonneuses, une immense forêt s’étendait de part et d’autre de la vallée, hectares rapidement survolés à puissants bonds et rapides foulées. Les vents se déplaçaient plus librement ici, par dessus cette clairière, cet espace bien plus vaste... Une course folle, plus rapide que l'oeil et la pensée comme s'il fuyait le passé, les vents emportant les souvenirs peinés d'une vie qui fut jadis la sienne, mais celle d'un humain.
Une flèche fends alors les cieux avec la puissance de cent balistes, et le claquement du tonnerre. Visant le soleil cette flèche maudit les anciens, perçant les nuages et se veut chercher la maison des dieux l'ayant affligé de cette malédiction. Des heures durant la créature évolua ainsi, avec comme seule compagnie un petit passereau s’approchant furtivement pour l’observer, se posant sur l'une des cornes, ou un rapace assez curieux pour ne pas s’écarter par méfiance, avant que l’un ou l’autre ne s’éloigne sous le claquement des crins de l'arc bandé puis d'une flèche décochée.
Et malheur à l'oiseau qui trouverait paisible et rassurant de se poser sur le bois rigide, paraissant paisible, de l'immense corne lui servant d'arc... L'archer est d'une sagesse et d'un calme impressionnant avant qu'il ne tire... Comme un grand cerf à l'aguet ne bougeant plus d'une paupière... l'instant même où les doigts lâchent le crin, où la flèche est décochée, la puissance de la vibration serait telle que l'oiseau posé sur ses bois de corne exploserait de toutes plumes, de tous os et de toute chair.
Et l'impact de ses flèches noires ainsi lancées, est assez puissant pour faire sauter l'écaille du plus redoutable des dragons.
Je vous présente, Maandrakarn Cyllgaerdruynn et sachez qu'il n'a pas toujours porté ce nom d'un langage tout aussi bâtard que son sang... Ce nom provient d'un langage cryptique et antique, résultante de dialectes qui n'avaient alors lieu que lors de tractations et de rituels d'elfes devenus sombres, s'étant détournés de leurs origines, obligés de communiquer avec des entités démoniaques au travers de l'immatériel pour se nourrir d'une énergie noire et s'approprier leur puissance.
Son vrai nom ? Oh... Il ne s'en rappelle plus. Sachez tout de même qu'il appartenait à une puissante famille, mais lui n'en était que le bâtard, même avant de devenir ce monstre... Son père ayant trouvé fort amusant et plus plaisant de forniquer avec une semie-drow, plutôt qu'avec sa femme vieillissante. Quoique ce bâtard ait à de nombreuses reprises fait, par ses actes plus braves que ses pleutres et couards de frère la fierté de son père, il n'a jamais jeté l'oeil de la convoitise sur le trône. Et la punition qui l'accable aujourd'hui n'est peut être pas totalement indissociable des fautes de jugement de son paternel.
Situation de départ : En a pas eu en tant qu'humain, et encore moins en tant que démon c'est plus vraiment à l'ordre du jour.
Autres :
Particulièrement mobile, rapide et agile, tire des flèches d'un calibre plus gros que certaines balistes médiévales, serait une arme d'une puissance et d'une précision redoutable pour son époque.
Peut tirer jusqu'a deux flèches à la fois.
Ses énormes flèches sont d'un matériau très souples et résistant, matérialisés à partir du propre crin noir de son corps.
Possède une vue remarquable, mieux vaut ne pas rester dans sa ligne de mire, on a déjà retrouvé une de ses flèches à plus de neuf kilomètres de l'ancien domaine famillial.
Peut recouvrir une forme plus humanoide, sans le corps de loup mais possédant toujours les cornes formant un arc dissocié de son corps.
Comment avez vous connu le forum : Doublette
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Ben pas plus que précédemment.