- Qui t’as mis en tête que l’amour fait mal ? Cela ne fait jamais mal, et si c’est le cas c’st de la oduleur consentie… ou un viol…. Bien que certaines victimes prennent du plaisir lorsqu’elles se font violer… Mais, je n’ai jamais très bien compris ce type de réaction. Pour ce qui est du fait que tu sois prête ou pas…. On n’est jamais prête dans ce genre de situation, il suffit juste de se laisser conduire de se laisser aller… Toutefois en terme d’âge, j’ai vu sur ta fiche d’identité que tu as 18 ans et bien sache que ma première fois s’est déroulé à mes 15 ans. Et, je pense que plus on attend et plus on stresse sur la situation pou rien. Toutefois, ma petite Nyuko on verra cela en temps et en heure….
Donc ça ne fait pas mal ? Peut-être que pour certaine personne c’est douloureux quand a d’autres ils prennent directement du plaisir… Tu rougis un peu. Pourtant, quand tu entendais ton ancien maître coucher avec ces domestiques, elles hurlaient toujours… Hurlaient donc t’elles de plaisir ? C’est assez bizarre tout ça. Tu as un peu plus de renseignement maintenant, même si à coup sûr, elle te demandera un jour que le faire et à ce moment-là, tu ne pourras pas refuser. Fania caresse ta joue en descendant et tu la suis, regardant autours de toi. C’était vraiment un château magnifique. Tu es restes bouche bée. Quand tu passes près des gardes, ils te regardent avec énormément de haine, sans doute parce qu’ils ne t’ont encore jamais vu et qu’ils te prennent pour une méchante. Tu baisses tes oreilles et chats et colles tes queues contre tes jambes, en baissant la tête. Ils te font peur, tu n’as pas envie de voir leur regard plus longtemps. Tu te sens mieux une fois dans le château. C’était vraiment très luxueux. Tu regardes partout autours de toi, c’est vraiment magnifique. Rien que de savoir que tu vas vivre ici, te donne envie de sauter partout, mais tu restes calmes. Fania ne s’arrête pas dans cet endroit magnifique mais continue toujours tout droit, pour arriver devant des escaliers. Tu sens qu’en bas, c’est l’endroit où le violeur t’attend. Tu sens que l’endroit sera horrible et qu’il te fera sans doute peur, mais tu sers les poings et descend. Vous passez devant le garde qui ne dit rien, devant d’autres cellules avant d’arriver devant celle où se trouve le violeur. La jolie dame ouvre la porte et te laisse entrer.
- Nyuko, nous avons affaire au prisonnier B212, un certain Jor Snide, il a à son effectif une série de 5 viols sur diverses jeunes femmes toutes âgées entres 15 et 20 ans. Ce type est une ordure, ne t’y trompe pas ! Plusieurs témoins ont vu cet homme sortir de la chambre des victimes. Il en a même tué une. Tu as devant toi plusieurs instruments de torture ? As-tu déjà torturé un cafard ? Je sens que cela va te plaire… L’objectif d’aujourd’hui et que tu lui fasses avouer ses crimes par n’importe quel moyen. Quand tu y seras parvenue, tu pourras le tuer. Si tu fais bien ton travail, il préféra mourir que continuer à vivre.
Tu regardes la table où se trouve divers instruments de tortures. Tu regardes la table et lance un certain sourire, qui peut donner un air pervers et psychopathe en même temps. Tu regardes une fois l’homme. Lui est attaché sur une croix et essaie de te faire changer d’avis. Fania pose une main sur ton épaule et tu la regardes, droit dans les yeux. Elle te poussa ensuite un peu vers la table.
- Attention, Nyuko…. C’est un exercice…. Je sais que cet homme est coupable e il devrait déjà être mort mais je compte te faire travailler sur le fait que tu dois lutter contre ton envie de tuer pour apprendre des informations. De toute manière, cela se finira par son meurtre… Quand tu auras réussit cette tâche, nous passerons à l’exercice suivant.
Allez, je te regarde… Montre-moi à nouveau ton potentielle… Fais plaisir à ta maîtresse…
Tu t’avances vers la table et regarde tous les instruments de tortures. Tu prends un petit couteau et t’avances vers l’homme. Il te regarde et te cris des mots comme quoi il n’y est pour rien, il fait tout pour te brouiller et te mettre sur une fausse piste. Mais tu ne l’écoutes pas. Tu fais plus confiance à Fania qu’à cet homme. Après tout, elle n’ira pas capturer quelqu’un pour rien, enfin, c’est ce que tu penses. C’est vrai que d’un côté, tu ne sais pas trop faire extrêmement confiance en elle parce que bon, tu ne la connais pas assez. Mais tu feras tout ce qu’elle te demandera de faire, pour ne pas mourir. Tu t’avances vers le bas ventre de l’homme et tu lui tailles un peu le bas ventre, là où se trouve la vessie.
▬ Et pourquoi je vous écouterez ?! Si vous êtes ici, c’est surement parce que vous y êtes pour quelques choses. Et vous connaissez mieux l’histoire que tout le monde, puis-ce que vous venez de m’expliquer qu’il y en avait plusieurs et que l’une d’entre elle est morte. Un simple innocent comme vous dites, n’aurait aucun renseignement. Ça prouve déjà que vous étiez dans l’affaire. Et il y a du surement avoir des empruntes pour que l’on arrive vers vous. Plus la peine de mentir. Oui je suis peut-être inexpérimentée, mais je lui loin d’être conne. Donc monsieur Snide, au lieu de mentir, pourquoi ne pas tout me raconter tout simplement ? Vous y gagnerez peut-être la vie, qui sait … Et puis dépêchez-vous, parce que c’est vrai que je suis inexpérimentée donc j’aurai beaucoup de mal à vous tenir en vie longtemps si vous me faites trop chier. Je n’aurai qu’une seule envie, joué au chat et à la souris avant d’en avoir marre et de vous tuer.
Tu lui redonnes un coup de couteau, mais cette fois-ci, juste au-dessus de son penis. Tu balances le couteau par terre et ressent la haine monter d’un coup. Tu sers les poings. Il faut te concentrer et te retenir de le tuer tout de suite. Tu dois être forte. Tu balances tes queues de gauches à droite, pour lui montrer que tu es énervée.
▬ Je n’ai qu’une seule envie, de couper votre sale bite qui s’est baladé dans pleins de filles innocentes ! Et dire que vous n’avez aucune honte ! Dépêcher vous de me donner des informations ou je vous fais endurer la même chose que vous avez fait à ces filles !!
Cette fois-ci, tu prends un couteau avec une longue manche et la serviette humide. Tu lui fais comprendre avec ces gestes que, si il ne dit rien, tu l’étoufferas en lui coupant ce qu’il a de plus cher et que le manche du couteau finira dans le seul trou qu’il possède en bas du corps.