La cervelle brûlée et noyée sous les drogues, Irina n'est plus une personne à proprement parle. Elle est devenue une sorte de machine sexuelle à demi-consciente, uniquement mue par les ordres qu'on lui donne et surtout, un appétit sexuel maladif, animal... insatiable...
Quand Superia ment sur son compte pour faire craquer Sarah, la plonger dans le désespoir en lui racontant une odieuse contre-vérité, Irina n'a cette fois ci aucune réaction de défiance ou de rébellion.
Au contraire, comme pour ponctuer le discours horrible de la tortionnaire, Sarah sent d épaisses goutes de bave couler sur sa nuque et son dos. Son amie, la petite rebelle qui a tant lutté contre Biogenix, la baise désormais pour la firme, pour la briser... et elle adore ça... elle ne pense qu'à ça... pire encore, Sarah découvre qu elle en bave de plaisir.
Comme pour répondre aux affirmations de sa maîtresse, la pauvre petite cyborg au QI de moineau répète d une voix pâteuse et mole à chaque coup de rein qu'elle donne :
- Bonne esclave... gentille... baiser encore... baiser pour bonne maitresse... oui... baiser... obéir... baiser... obéir...Et elle le répète encore et encore aux oreilles de Sarah, jouissant après quelques va et viens pour reprendre immédiatement, jamais soulagée par ses testicules qui produisent inlassablement de nouvelles doses de foutre à expulser dans la chatte et l'utérus encore béant de la prisonnière. Les minutes passent ainsi, en un viol ininterrompu, uniquement rythmé par les orgasmes d'Irina et ses paroles de zombi sexuel. A force de se remplir de foutre, le petit ventre de la prisonnière, encore déformé par la bosse que forme sa vessie, recommence à gonfler et à se tendre. La policière sent de plus la queue bestial de son amie à mesure que son vagin se fait comprimer par tans de fluide.
Pour de nombreuses autres esclaves humaines, un tel traitement pendant toutes ces journées eût été soit fatal, soit suffisant pour les rendre folle et leur faire crier grâce. Mais Sarah était d une autre trempe, d'une autre espèce, et si Superia ne voulait pas avoir affaire à la Witchblade le jour ou elle la détacherait, il fallait aller encore plus loin, jusqu'à ce que la jeune flic soit totalement détruite...
Et pour ce faire, elle avait une arme secrète, une méthode si monstrueuse qu'elle allait émasculer la volonté de fer de la policière et balafrer son corps et son âme à jamais. Et les outils de cette déchéances étaient en train d'atteindre leur maturité derrière le grand tube de verre du bassin d'évolution...
-Maî... Maîtresse !Hurle Sarah, tans d'épuisement que de désespoir. Supéria en est presque surprise et détourne quelques instants son regard du bassin.
-C'est bien Esclave... continue comme ça... bientôt tu seras aussi docile et heureuse que le Sujet 2501... On t'offrira un joli collier avec ton propre numéro et tu feras la grande tournée de tout ceux qui payeront pour t'avoir... n'est pas peur, tu seras accessible à tous, même aux petites bourses...Ajoute la doctoresse maléfique en ricanant avant de se retourner vers le verre du bassin. Elle avait hâte de louer la petite flic une fois qu'elle serait prête, hâte d'arpenter les rues malfamées où elle avait fait tans de dégâts parmi la pègre pour louer son cul et sa bouche à ses anciens ennemis.
Mais cela devrait attendre encore un peu... attendre que les enfants de Sarah ne la pousse définitivement dans la folie et l'abandon.
Une heure c'est presque écoulée et les progéniteurs ont presque fini leur évolution. Leur ADN formien, mêlée à celui de la superbe policière à fait d'eux des œuvres d'art vivantes tout droit sortie de l'imagination de H.R. GIGER et chacun de leur visage est celui de Sarah.
Supéria se délecte déjà de l'expression et des hurlement que poussera sa captive quand elle verra ses traits sur les corps monstrueux de ses violeurs... Mais ils ne sont pas encore prêt, et ce n'est pas à eu d'ouvrir le dernier acte.
Au moment où Supéria formule cette dernière pensée dans sa tête, un des parasites se précipite contre le verre de la vitre et tambourine sur sa surface transparente de ses milliers de minuscules tentacules. Son petit corps bouffi se crispe et convulse d'impatience à l'odeur de tans de chaire à coloniser.
-Ils sont prêt...Murmure alors la doctoresse d'une voix sinistre, comme si elle venait de prononcer une sentence de mort...
-2501 ! C'est fini pour toi ! Dégage toi et retire lui le bouchon d'urètre.Irina pousse un grognement de protestation mais obéit sans discuter. Elle libère le corps de Sarah de son énorme queue et sans la moindre délicatesse, saisie la petite tige de plastique qui obstrue la vessie de la prisonnière. Un véritable geyser d'urine se déverse entre les jambes de Sarah, inondant les seins et les cuisses d'Irina qui en bande de plus belle. La sensation de soulagement est si intense que son cœur aurait pu s'arrêter, si elle n'était pas aussi vigoureuse.
-Bien, laisse ta petite amie reprendre son souffle quelques secondes, je veux que tu m'aide à lui présenter ses premiers enfants, ils ont tellement hâte de retourner dans leur maman...Dit Supéria à Irina d'un air énigmatique tout en captant le regard de Sarah pour que celle-ci ne manque rien de ces derniers mots. Puis elles se dirigent vers le bassin d'évolution.
-Fait attention 2501... ne laisse pas leur tentacules te toucher ou tu seras parasité toi aussi, prend en un dans chaque main et vient suit moi.Quand elles se retournent vers la policière arnachée dans le vide, celle-ci remarque avec effrois comment ses premiers « enfants » ont évolués. Dans chacune de leurs mains, les deux tortionnaires tiennent une créature immonde et spongieuse. Leur peau est de la même couleur halée que celle de Sarah, mais la ressemblance s'arrête la. Car leur corps ressemble à une grosse anémone inversée, couvertes de millier de petits tentacules qui s'agitent frénétiquement; en leur cœur, une grosse cervelle palpite et se contracte de manière avide .
-Détend toi Sarah... cesse de gigoter, c'est inutile, tu ne peut y échapper et bientôt tu me remerciera de t'avoir offerte ces présent, tu vas adorer ce qu'ils vont te faire.Dit calmement Supéria en se rapprochant de la Policière avec ses deux immondes parasites dans les mains. Une fois arrivée devant elle, elle lui murmure:
-Voila, nous y sommes, c'est la fin de ta carrière de flic et d'héroïne, mais tu sais, dans quelques instants, tu t'en foutra... com... plè... te...ment...Et approche doucement le premier parasite du sein droit de Sarah. Au moment où les tentacules touchent la peau délicate de son mamelon, ils se mettent à frétiller, à la palper, puis, soudainement, à s'y enfoncer comme des vers de terre dans un sol meuble. Une sensation de fourmillement nerveux insupportable traverse le sein de Sarah et la fait involontairement mouiller à mesure que le parasite s'enfonce dans sa chaire, sous ses yeux, son sein gonfle pour pouvoir accueillir le corps de la créature. Après d'interminables minutes de souffrance et de chocs nerveux, le parasite à disparu totalement sous la peau de son sein, devenu plus gros.
-Maintenant regarde bien Sarah... les prodiges de la sciences, rien que pour toi...Supéria donne une minuscule petite pichnette du bout de l'ongle sur le téton et l’auréole de Sarah. La policière ressent instantanément une sensation de plaisir intense, brutale, enivrante. Sa sensibilité est totalement exacerbée, disproportionné par rapport au simple petit contact que lui à infligé sa geôlière.
-Tu imagine ce que ça va etre quand on va te les malaxer et te les mordre comme ceux d'une petite pute Esclave ?Pouffe Supéria en regardant la réaction de Sarah. Puis elle reprend.
-On continue ?Elle laisse quelques instants à sa suppliciée pour parler, puis, approche l'autre parasite de son sein encore normal. A nouveau, la créature pénètre sa chaire et s'y installe, transformant la poitrine parfaite de Sarah en énorme balcon ultra sensible, si sensible qu'elle pourrait en jouir rien qu'en étant plotée.
-2501... c'est ton tour... viens offrir tes cadeaux à ta nouvelle consœur...Toujours perdu dans un brouillard de sexe et de folie, Irina ne ressent que désir et excitation à l'idée de transformer le corps de la nouvelle esclave de la Maîtresse. Elle s'approche à son tour de Sarah, armée de ses deux parasites répugnants, les hurlement et les suppliques de celle-ci ne la font que bander de plus belle.
Elle se présente devant Sarah et se penche en avant pour lui appliquer un parasite sur la vulve.
Quand Irina le pause sur la vulve de la jeune femme, il se glisse entre les parois trempée de son vagin et s'enfoncer jusqu'à son utérus. Une fois confortablement installé il le colonise de ses récepteurs nerveux et transforme la cavité et son col en une zone érogène aussi sensible que sa chatte.
-Tu va adorer tes prochaines grosses grâce à celui-ci Esclave !S' esclaffe Superia en regardant l'expression de Sarah quand elle éprouve ces nouvelles sensations utérines.
Elle se retourne vers Irina:
-Va me chercher les deux derniers Esclave !Deux ? Pourquoi y en a t Il encore deux ? Il ne reste plus qu'un orifice à modifier et l'anus promet d'être l'expérience la plus traumatisante.
-Tu es surprise ? Ne le soit pas, tu va voir que le meilleur et le pire son à venir... et je ne parle pas de ton petit cul de sainte ni touche...Ajoute Superia pendant qu'Irina revient avec les deux derniers parasites. Sans surprise, le premier est pour son anus. Comme le précédant, il s'infiltrer entre les plis de son anus et s'enfoncer profondément dans son fondement où il colonise toutes les parois pour les transformer en une nouvelle zone hétérogène ultra sensible.
Désormais, où que Sarah se face baiser, elle ressentira un plaisir décuplé et anormal, jusqu'à ce que les orgasmes incessants la lessive totalement.
Mais l'ultime transgression vient ensuite, quand Superia s'empare du dernier parasite et contre toute attente, se campe devant Sarah et dit.
-Alé ma chérie... c'est presque fini... maintenant on ouvre grand la bouche... Irina, vient aider ton amie à devenir une nouvelle femme.Toujours sans rechigner Irina vient ouvrir la bouche de son amie pendant que Superia lui glisse le parasite entre les lèvres pour qu'il s'installe dans sa bouche et sa gorge.
-Comme ça tu pourras même jouir quand tu suce un client... n'est ce pas merveilleux ?