Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Renaud Senorti

Pages: [1] 2 3
1
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: mardi 07 avril 2015, 18:27:55 »
*Fait vrombir les cordes de sa guitare*

Hellyeah ! Après 3 semaines dans le plus noir des gouffres de la non-inspiration, enfin je sent la puissance du RP me revenir !

18h18



=3

18:27

2
Les alentours de la ville / Re : Seikusu ne répond plus [PV Makoto]
« le: lundi 30 mars 2015, 03:13:21 »
- En effet, c’est une curieuse curiosité que cette sensation… Un peu comme… Comme la rosée du matin sur un roseau humide un matin de printemps à Taiwan.. la promesse d'une belle journée et la perspective d'une soirée enflammée

Mais Renaud.. mais pourquoi tu dis ça.. ah oui, peut-être parce-qu’ en face de moi une japonaise tout à fait séduisante, se trouve presque nue, les jambes écartées, en chaleur, que mon esprit et grisé par les aphrodisiaques de l’autre saloperie, et que je n’ai pas fait danser le grand chauve depuis quelques mois..

Ou aussi que l’humidité dont je parlais était celle que je sentais au sol, cyprine + boue aphrodisiaque de l’autre blob ? Complétement, est-ce que j’étais en état d’érection dépassant de mon pantalon complétement déchiré au niveau de mon entrecuisse ? Assurément. Est-ce que j’avais envie de la prendre maintenant et tout de suite ? Sexuellement.

La question que je me posais là maintenant et tout de suite, c’était, est-ce que je profite qu’elle soit comme ceci… ?

Non la vraie question c’est est-ce que je suis assez con pour ne pas saisir ma chance ?

Faut croire que non. Doucement je colle mes lèvres aux siennes, je suis Français bordel, le French kiss doit sexporter (c’est fait exprès). Je la mets sur le dos

- Je vais vous faire un massage pour faire circuler votre sang et éliminer les toxines, c’est un indien qui m’a appris à faire ça, enfin, une indienne

En l’occurrence c’était vrai, sauf que ce n’était pas exactement des toxines mais du stress, que normalement c’était de l’acuponcture et que au final, le a, je l’ai sauté, l’indienne aussi, on a bien compris le cul mais pas trop le poncture. Et le massage en question était un massage de la poitrine ! Mes mains fortes et calleuses, imprégnées des automnes à vendanger les vignes des terres produisant le Châteauneuf des papes, palpant cette poitrine avec avidité, tandis que mes lèvres parcouraient son cou et whoooo stop Renaud tu viole une femme!

- Euh.. Veuillez m’excuser, je me suis emporté..

Mieux

..et je crains continuer, appelez-moi simplement Léon.


...

Encore Mieux.

je reprenais les caresses, mon sexe frôlant sa jambe. Je voulais me sentir en elle, je voulais la prendre à la Grec ou encore à l'Italienne, lui faire découvrir l'Europe du sexe, du miens en tout cas. Ma main caresser son entrejambe à présent.

- J'aimerais savoir si vous êtes consentantes pour le restes.. que.. Léonthologiquement.. sinon c'est compliqué

Je trouvais la lucidité de lui lancer un grand sourire.

3
Prélude / Re : Sous l'eau, il ne pleut jamais (Validéprimé !)
« le: lundi 30 mars 2015, 01:41:11 »
tu as été une grosse vilaine Lyan.

4
Le quartier de la Toussaint / Re : Moonraker
« le: vendredi 14 novembre 2014, 22:57:23 »
Je ne rêvais pas, le cœur de ma cible avait été percée après que le crane n’ai explosé, j’en était sûr.

- Armand mon ami, vous aviez mie un autre tireur sur le contrat ? fis-je à mon téléphone

- Je… non pourquoi ?

- Et bien disons que quelqu’un a brisé le cœur de ce pauvre Makarof

- Vladoskof

- Peu importe. Toujours est-il que quelqu’un a soulagé la migraine de notre ami.

- Et ? La cible est morte mission accomplie Renaud

- Non non non non, vous ne comprenez pas Armand, là on a joué sur mon terrain, c’est une question d’honneur.

- De l’honneur… Renaud enfin, c’est à force d’être au japon que vous vous sentez Samuraï ? Oubliez ça et ne mettez pas en péril votre couverture.

- C’est un duel maintenant Armand


- Renaud !

- Ah je passe sous un tunnel je. Ar.. vous.. tcha.. maka… tche… rena… plac...Bwak

Je raccroche et je cours en direction du bruit d’une voiture qui démarre. Et là, je snes une sorte de décharge d’adrénaline et je ne semble pas me fatiguer. Je prends mon arm en voyant que je n’arrive pas à la rattraper et tire une fléchette à traceur.

- Armand ? Oui C’est Renaud,  oui je suis sorti du tunnel, vous pourriez me faire parvenir une moto ? J’aimerai faire un tour en ville mais je n’ai pas de véhi…

Je tourne la tête, Armand avait fait vite, un motard venait vers moi, mais quand je vis que ses bras n’étaient pas recouvert d’un gilet mais de tatouage

- Oh un Yakuza, laissez tomber Armand

Je stop la course du motard d’un coup de manchette dans la gorge et lui prend sa moto, fonçant vers la voiture que je piste grâce au traceurs depuis mon smartphone, Q avait beau être un personnage de fiction, son équivalent Français, Patrique, n’en était pas moins performant.

Oui dit comme ça ça rend mal

Je continue de poursuivre ma cible, j’aperçois enfin la voiture

5
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 09 novembre 2014, 23:06:54 »
han, que ma voisine elle est brûne, fait du théâtre, est tatoué et vivait avec un mec et une nana chez elle
DUCOUP J'AI CRU

23:06

6
One Shot / Je vous offre un verre? (ouvert)
« le: dimanche 09 novembre 2014, 23:05:44 »
Une froide soirée d'hiver dans un pub nommé le Kennedy, dans une petite ville de France.

Le bar possédait à l'entrée un patio couvert par une toile de bache vert irlande et où se trouvait quelque clients courageux, ou fumeur, ainsi qu'un deuxième bar, surement pour servir les clients en été. à l'interieur même du pub se trouvait sur la gauche un coin karaoké et sur la droite, une télé à grand écran avec des canape, dans le fond, un babyfoot et une table de billard où jouait en solitaire, un grand homme en costume bleu ciel. L'homme semblait pensif, ou du moins semblait s'ennuyer. A en juger par son visage il ne devait avoir qu'environ 25 ans, mais déjà ronger par des soucis, à en juger par la mèche de cheveux blanc sur le côté de sa tête, coupant avec ses cheveux châtain rabattus en arrière. Il soupira et posa la queue de billard sur la table avant de se commander un diplomatico.


La barman venait de servir un verre à l'homme. Cet homme, Renaud Senorti semblait éreinté, buvant lascivement son verre de rhum en lorgnant sur le match de rugby à la télé. Une soirée comme une autre pour le jeune commissaire de police. Il ne savait pas depuis combien de temps il était le cul vissé sur ce putain de tabouret, mais une chose est sûr, il s'emmerdait comme le dernier des rats morts, mais genre bien vieux le rat. La musique du pub passait sur un mauvais lecteur de disque, tressautant de temps en temps. La serveuse, une femme agé d'une cinquantaine d'année à la poitrine disproportionnée et s'habillant dans un tenue trop courte pour ses jambes regardait le match de la même façon que Renaud.

> Vous attendez quelqu'un Comissaire?


> Personne en particulier, la chance peut être.

Renaud but alors son verre et le reposa avec ses clés, en signe qu'il ne partait pas de suite. Il se leva et sorti dans la rue en allumant une cigarette et se passant la main dans les cheveux, regardant les rues dont l'odeur de pierre humide lui plaisait tant. La ville n'était pas une forteresse cosmopolite comme Paris, mais c'était une chouette ville. Le maire était certes un peu couille molle mais comme premier poste en temps que commissaire, c'était agréable. il retourna s’asseoir au comptoirs, quand entra une fort jolie femme, il ne devinait que ses courbes élégante dans la pénombre du pub irlandais, mais son flegme italien reprenant le dessus, il lui dit en souriant

> Je vous offre un verre?

7
Le quartier de la Toussaint / Moonraker
« le: lundi 27 octobre 2014, 17:40:46 »
- Renaud, vous allez effectuer un asssassinat.

- Douce chanson que vous me chantez là Armand, qui est ma cible ?

- Tenez.


Mon contacte me fit passer une photo d’un homme… moche, petit, l’air aigrit mais intelligent

- Il s’agit du docteur Vladostov un haut dignitaire communiste, ou plutôt, était. Il se fait maintenant passé pour un producteur de combat de sumotori.

- Habile.

- Vladostov a les noms de plusieurs citoyens Français ayant travaillé pour le KGB, et le gouvernement ne tient pas à ce que ces gens voient leur noms salis de l’étiquette d’espion.
- Mais je ne comprends pas. Le président Giscard n’a-t-il pas dit que tout les Français étaient du côté des libéraux ?

- En effet il l’a dit.. il l’a dit…. Et oui..

Nous étions là, en silence, j’attendais que mon contacte me donne plus d’information. Il me glissa finallement une enveloppe.

- Bien, votre cible sortira de son club de sumotori vers 17h45 pétante. Arrangez-vous pour que l’assassinat ressemble à un accident, le gouvernement ne veut pas d’un deuxième Rainbow Warrior

Je ricanais.

- Et bien Renaud ?

- Excusez-moi mais.. Rainbow Warrior, c’est amusant, il va y avoir du jaune et du rouge, ajoutez moi au tableau ça fait du bleu, nous nous retrouvons avec les couleurs de l’arc en ciel.

L’homme me regarda, un peu stoïque avant de rire aux éclats, je ris de concert puis nous nous arrêtons. On ne déconne pas à la DGSE.

Je saluais mon interlocuteur et retournais à mon hôtel.
J’avais une meilleur idée que l’accident idiot et je pourrais déguiser cela en assassinat par un autre organisme, voir même mieux, discrédité les ruskofs en utilisant une de leur armes à eux et ainsi compliqué leur relation avec le japon, faisant ainsi d’une pierre deux coups.
Je n’avais qu’à récupérer une arme volé à un assassin russe pour m’en servir, chose délicate quand on est un assassin indépendant, quand vous bénéficiez du réseau de la DGSE, c’est tout de suite plus simple.

J’obtenais un fusil SVD (Snaïperskaïa Vintovka Dragounova) chez un petit marchand d’arme minable clandestin qui peiné à comprendre qu’il avait de la chance que je ne ressorte pas de chez lui en ayant tapissé les murs de sa cervelle. Bien évidemment, il savait que parler de moi lui risquer une longue et pénible agonie, je le lui avais fait comprendre (moi et son abat-jour).

Je me mis en positon,sur un immeuble bas qui me permettait d'avoir un bon angle de tir et régla la lunette du fusil dragunov afin d’étudier la trajectoire de ma balle en fonction de la distance et du vent. Je m’étais fait un petit plaisir et j’avais pris des munitions lourde, je n’aimais pas les communiste et la mort de celui-ci serait spectaculaire. C’est pour cela que j’ai pris la liberté de prendre une charge sensée être capable de percer le blindage d’un char. Je suis comme ça moi.

J’étais près, j’attendais. Il ne restait plus qu’au pigeon de sortir de sa cage dorée.

15h09.

8
Up pour demandes de rp sur ce personnage Mp moi sur Jethro Van Storm

9
bienvenute :D

10
Les alentours de la ville / Seikusu ne répond plus [PV Makoto]
« le: mercredi 10 septembre 2014, 18:59:38 »
{Légende : françaisjaponaisanglais}




J'avais posé le pied sur le tarmac de l'aéroport de Tokyo il y a une semaine, l'agence m'envoyait dans cette endroit qui avait nourrit mes fantasmes depuis mon enfances provençales. Je voyais le Japon différemment à l'époque, puis il  y a eu les mangas et là mon image du pays Nippon a était définitivement niqué. Je me souviens de l'ordre de mission, Mr B. le directeur de la DGSE m'avait même reçu dans son bureau pour m'en parler avec plus de précision.

Paris 26 Août 2014.



> Vous partez en mission Renaud
.

> Douce chanson que vous me chantez là Bernard


> Écoutez Renaud, la mission est bien ce que vous avez lut, des rumeurs d’événements paranormaux on était observé de façon inquiétante dans le districts de Seikkusu, Tokyo, Japon

> Et pourquoi m'envoyer moi Bernard ? Les hommes de Nick Fury ne sont-ils pas mieux adapté pour ce genre d'opération ?


> Parce que vos compétences sur le milieu asiatique ont était souligné par Mr le ministre lui même. Il vous veux sur cette affaire, et que la France tient à être au courant d'elle même de ce qu'il se passe là bas.

> Et bien.. si Monsieur Le Drian lui même me veut sur cette affaire, qui suis-je pour refuser ? Déclarais-je un grand sourire au lèvre.

> En effet vous n’êtes personne.

Il me regarde, je le regarde, il me regarde, je le regarde, un petit sourire se dessine sur ses lèvres, un grand sur les miennes et nous partons d'un franc éclat de rire chacun  avant de reprendre notre sérieux instantanément, on ne déconne pas à la DGSE.

> Plus sérieusement. Renaud, votre contacte sur place et Li Tak...Takama...Takis..
le directeur me regarde et lit une note, Toriaki

> Comme le bœuf ?

> Lui même.


> Puis avoir une réclamation?

> Dites toujours Renaud.

> Je veux choisir ma couverture.

> Accordé, avec Monsieur Li.. il vous faudra une bonne couverture !
[/color] Le directeur pouffait de rire

Je marque un temps pour comprendre avant de pouffer à mon tour

> Sinon je serais dans de beau draps !

Nous rions puis reprenons notre sérieux instantanément, on ne déconne pas à la DGSE.

> Vous partez Lundi.


> Je fais mes valises.[/i]

Je me lève après avoir salué l'homme le mieux renseigner de France après le Président Hollande et ressert ma cravate, je salue ce qui semble être une femme âgée mais pour mon œil aguerri je vois tout autre.

> Bravo mon p'tit Jean-Mi, très réussi le costume.


la voix d'un jeune homme sort de la vieille femme.

> Merci Mr Renaud !

Et me voilà parti pour le Japon.

Tokyo, 28 août  2014.




J'arrivais deux jours plus tard à Tokyo, et j'étais devenu Mario Spadini, journaliste travaillant pour une radio Franco/Italienne et je faisais un reportage sur le système scolaire japonais. Je ne quittais pas mon smartphone des yeux, étudiant  de façon intensive le Japonais sur.. Google traduction et Babel.com en machant un cheewing gum

> Con..nichon wa... Je suis ils le disent  comment ces samouraïs de mes deux ? Ô bonne mère, I'm Spadini-san. Duuuuuuuh, je sens que ça va pas être trise.

Je regardais passé un groupe d'hôtesses de l'air japonaises et retire mes lunettes de soleil de type Pilote en sifflant, mon plus beau sourire aux lèvres.

> Oh la la, fis-je en les regardants elles se retournèrent et gloussèrent.


Je sens que j'allais aimé ce voyage sur le sol nippon, 'fin ça c'était au début.



Seikusu, 3 septembre, aujourd'hui, maintenant, right now.




Nous étions la St Grégoire, j'étais dans ma chambre d'hôtel payé par l'agence entrain de nettoyer mes armes, j'avais emporté le strict minimum, SigSauer 231 Super legend, une arbalète en aluminium avec carreau à tête explosif et carreau non létale, un fil de piano pour étrangler, deux ou trois couteau de jet, une grenade flash, une à fragmentation et une incapacitante, ainsi que ma trousse de toilette, sait on jamais si je voulais être propre. Dans la pièce chaleureuse se jouait Hooked on a feeling, la bande son original d'un film à la mode et que j'avais appréciés écouter bien qu'a mes yeux, rien ne vaille la musique de notre belle France. Ah, elle est loin, la belle époque de la môme, de Brassins,  de Michel Berger ou Claude François, bien que je n'ai pas vécu ces auteurs, j'avais fais de leur chansons, les souvenirs des vacances à la mer. Après avoir soigneusement nettoyé mon arme de poing je la glisse dans un holster dissimulé dans ma veste de costume et descend afin de connaître un peu la région de cette jungle grise, pour l'instant j'étais ravi..

Je descendait en ville pour repérer un peu les lieux de mon travail. La ville était vertigineuse, monstrueuse une fourmilière.. bien que ça me rappelle ce que mon père me décrivait quand il était en vie en parlant de termitière géante au Tchad par lettre. Je marchais dans les rues de la ville, de cette cité monstrueusement peuplé. Je m’arrêta et porta la main à l’intérieur de mon veston sur mon arme en voyant ce qui semblait être une horde de zombie... Non c'était des jeunes qui faisaient un cosplay, un grand type chauve avec une fausse gatling et un faux accent russe me tapa dans le dos en beugland

> GENTLEMAN IS A SPY

Mais t'as gueule boulet... Je me retenais de lui broyer la main, il s'en alla en riant les gens dans la rues me regardèrent un instant.

> Quoi ? J'ai un bout de salade entre les dents ?
Fis-je dans un anglais parfait aux pointes d'accents du midi de la France.

Les gens continuèrent leur route et moi aussi, décidément les Japonais étaient des gens bien curieux, dans tout les sens du terme. Je commençais à avoir du mal à supporter les bruits de foules et j’entrai dans un immeuble au hasard il y avait deux ascenseurs, j'allais en prendre un quand je senti une arme dans mon dos.
Je ne tourna pas la tête pour voir qui c'était mais son français aux accents allemands le trahit, c'était un Prusse.

> Suifez nous, Maria.

> Avec plaisir.

Je me laissa guider vers l’ascenseur de droite qui s'ouvrit sur.. des chinois... Décidement on se serait cru dans un filme comique, je savais d'experience ce que les chinois me reprocheraient, j'avais tué un de leur frère, une fois dans l’ascenseur je vis une femme entré dans l'autre, suivit de ce qui me sembla être une masse rose et malodorante.. enfin malodorante.. On aurait dit une sorte de parfum envouteur mais puant.. un peu comme le parfum d'une prostitué un soir d'été.. Les portes se refermèrent mais j'entendis quand même un cri.. la femme était en danger. Je me devais de l'aider. Je restais cependant d'un calme olympien. Et tourna la tête vers les Allemands pour leur ressortir une réplique de OSS117 que je connaissais par cœur à force de l'écouter sur Youtune.

> Je suis ravi de vous revoir, je n'ai pas eu l'occasion de vous reparler depuis cette mission à Paris, je voulais vous en remercier, très belle mission, très agréable.. Ah. J'espère que vous n'êtes pas trop désapointés, j'n'ai pas pus tuer tout les.. chintoques je sais que vous détestez tout ces bouffeur de riz..

les allemandes se regardèrent, je prenais un air embêté.

.. C'est qu'ils sont récalcitrants.. ces faces de quetch..

Ils pouffèrent, les deux chinois se regardèrent choqués.

.. les tranches de pamplemousses.. robuste les têtes de prunes..

Ils ricanaient tout les deux, j’enchaînais, un petit sourire victorieux aux lèvres.

.. les cœurs d'annanas, les rondelles de citron...


mes deux allemands riaient franchement, les chinois perdaient patience

..Les bananes flambés..

Ils étaient hilare

..Avant qu'elles ne soient flambés..

Je les tenais, les chinois bouillonnaient
 
.. Les bananes quoi..

Ils étaient mort de rire et les chinois éxtremement en colère, un petit dingue retentit

.. Je descends là.



Je quittais mes deux allemands pleurant de rire et mes chinois vert de rage.. ou jaune peu importe. J'entendis trois coups de feu et m'arrêta, quatrième coup de feu, c'est bon. J'appelais l'ascenceur de la demoiselle et du... blob... L’ascenseur monta plus haut que mon étage, vers le toit.. Merde ! Je devais agir et vite sinon peut être que la vie de cette femme était compromise, par chance, l'escalier de service était là. Je le prit et grimpa jusqu'au toit

> je savais que mes cours de marche athlétique me servirait à autre chose qu'avoir un beau fessier.

J'arrivais en haut, sortant mon arme pour parer un éventuel danger.. et AU MON DIEU. La femme était entrain de se faire violer par la créature dont le parfum embrumait mon esprit. Je secouais la tête et tira sur le tentacule violant la bouche de la femme, le tir le coupa net. Je passa a celui qui s'occupait du vagin, le tir le coupa net mais le monstre se retourna vers moi, lâchant la femme.

> Euh écouté, je vous ai tiré dessus, mais sorti de son contexte ça peut paraître bizarre. Je passerai mon tour pour la coloscopie multiple.

Je vidai mon chargeur sur la créature qui me fonçait dessus en ouvrant ce qui semblait être une bouche. Je tenta de la faire fuir à la manière dont on fait fuir les lions, en leur fonçant dessus et en hurlant.. Ouais ça marche qu'avec les lions, je me vois soulever en l'air et déjà mon costume commence à être déchiré, je sens mon corps s'abandonné à ce qui semble être des phéromones et j'attrape ma grenade incapacitante au dernier moment..

> bouffes.. ça


Je jette la grenade dans le ventre de la créature qui explose, projetant sa matière gluante sur le toit de l'immeuble, je tombe à genoux, mon esprit grisé par l'aphrodisiaque de la créature..

> madame.. ça va ?

Je tentes de me relever pour aller la voir et me pose à genoux à côté d'elle, je vérifie que son cœur bat et si elle est consciente.

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 07 septembre 2014, 17:15:36 »
Visiblement Noh a réagis directe, Hé j'y pensais peut être que c'est pour ça que Plouf crachait sur le chat de ta colloc Noh



17:15

temps de faire mes valises moi

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 04 septembre 2014, 20:39:54 »
Il s'est passé quoi cette fois?

20:41

13
Le coin du chalant / Re : Activation de comptes!
« le: jeudi 04 septembre 2014, 14:20:57 »
Bonjour pourriez vous activer le compte "Jetrho" si il vous plais? http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4843

14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 04 septembre 2014, 13:34:00 »
On a pas toutes les données après, on a qu'une partie de l'histoire, avant de juger même si c'est pas cool de la part de la mère, attendons de tout savoir j'ai envie de dire


13:35

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 04 septembre 2014, 11:36:15 »
*gros câlin* Un dicton dit "Le gagnant par au combat en sachant qu'il sera victorieux, le perdant part au combat en espérant gagné". à part si t'es Oberyn Martel c'est complétement vrai. Il faut se dire que ça va bien se passer!

11h37

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