Messages

1

One Shot / Re : Quand le vert rencontre le bleu.

« le: mardi 09 septembre 2014, 01:45:07 »

L'orc observe avec de gros yeux Alice Cyan. Cette dernière voulait s'en prendre a sa masse. Putain elle voulait vraiment perdre des dents en prenant se risque. L'orc se recule alors et mets sa main devant elle pour bloquer la bleusaille puis en gueulant elle dit ses quelques mots : Woh du calme l'animal ! Les seules en dehors de moi qui touche ma masse ne sont plus de ce monde pour en parler. C'est pas ta mâchoire d'acier qui va contredire la règle. On ne touche pas a ma MASSE. Mais en revanche si tu veux du métal... j'ai la solution. " Elle se calme et respire un bon coup. "Ecoute, je dois détruire un cadenas nain, ça te tente de tenter de le manger ? Tu n'auras juste besoin que de m'accompagner jusque la grande porte de la mine. "

2

One Shot / Re : Quand le vert rencontre le bleu.

« le: mardi 26 août 2014, 22:35:19 »

Shadbak avait clairement vue la jeune bleu manger les cadenas comme si c'était un casse-croûte. C'est vrai que c'est impressionnant, c'est aussi un pouvoir utile... qui serait très utile à l'orc pour casser le cadenas des nains. Oh tiens ! La voilà qui se ramène. L'orc fait fit de ne pas avoir fait attention et continue son brin de chemin. Elle se fait rapidement rattraper par la chose et l'orc la sent fortement. Elle se retourne et sourit.

-" Oh tiens bonjour... humm a oui je me souviens de vous créature en cage. " Dit-elle avec une pointe d'ironie. " Alors on n'aime pas être seule ? Ou la compagnie des repas ne vous plait pas ? " Elle croise les bras et attend qu'elle se montre clairement. En même temps elle réfléchit à comment l'avoir dans la poche du moins comment avoir son dentier dans la poche.

3

One Shot / Re : Quand le vert rencontre le bleu.

« le: vendredi 15 août 2014, 21:55:52 »

-" Important ? Rien n'est important... rien pas même la vie. "* Dit-elle de façon ironique. L'orc s'approche derechef de la femme et lui touche le menton avec son index et son pouce. " Tu devrais savoir qui tu es... ça va t'aider à avancer. "  Conclut t-elle de la façon la plus franche possible. Puis Shadbak lui fait un signe de tête et commence à emprunter le chemin vers son campement. Laissant l'individu bleuté là où elle est. Shadbak ne se rend pas compte que la mâchoire d'acier de Alice pourrait briser la porte naine de sa mission. Aussi n'a t'elle aucun intérêt pour elle... A défaut de la tuer autant la laisser reprendre sa route vers d'autre lieu.

4

L'Art / Histoires et légendes [Fiction]

« le: dimanche 03 août 2014, 07:58:19 »

Tout d'abord désolée pour mon autre fiction avec Katrine, ma xbox étant morte je ne pourrais continuer de l'écrire.  Cependant pour ne pas vous lésé voici ma nouvelle fiction en espérant que vous apprécierez.

Avant-propos.

Cette histoire n’est pas un récit fantastique ou fantaisiste mais, plutôt un récit historique d’un monde de Jadis. Un monde ou les fées vivaient avec les hommes, les hommes vivaient avec les elfes, les elfes vivaient avec les nains… Et ainsi de suite sans oublier toute les races de la création divine. Ce monde n’est pas un monde de paix ou règne l’harmonie ça serait idyllique et irréaliste. Ce monde, est un monde comme le notre, l’amour côtoie la trahison, la haine côtoie la confiance. Enormément de personnes toutes différentes vivent sur cette terre et comme partout, les différences attirent discordance et les discordances attirent les guerres. Plusieurs guerres sont assez notable sur cette terre mais le plus gros conflit jamais arrivée est celui du l’ère du fer.

Cette guerre par d’un moment de paix ou règne pourtant la méfiance et la haine. Le peuple des hommes regroupe le royaume des Hongres, un royaume se trouvant sur le nord-est du monde, dans les grandes plaines de la doline sans fin. Les Hongres sont des monteurs de chevaux aguerrit et forment une cavalerie réputée. Le Tsarat de la rive d’Opale qui se trouve sur l’archipel de glace au sud-est de notre monde. Les habitants de la rive d’Opale sont des guerriers efficaces se bâtant avec l’épieu de la meilleur des façons. Pour finir, il y’a le Sultanat des Sawazar bordant les hautes montagnes du Gwon-dir et la forêt des âmes au sud du continent majeure. Les Sawazar sont très fort pour le dressage des Golems de pierres et sont ainsi très bon pour l’attaque de forteresse.

Le peuple des elfes quand à lui regroupe la république des Bolcans qui se trouve au sud des montagnes du Gwon-dir et sur toute la péninsule des Bhabhtas. Les Bolcanais sont des hauts elfes excellents dans le maniement du sabre. L’empire Bileog qui se trouve au sud-est du continent majeure, dans les forêt des âmes et ainsi se trouvant à l’exacte milieux entre les Hongres, les Opaliens et les Sawazar. Les habitants de Bileog sont des elfes-des-bois formant d’excellent archer. Avec les Bolcans, les Bileogs forment les derniers peuples elfe de notre monde.

Le peuple des nains pour sa par regroupe le conglomérat des Schmieds au nord du continent majeure, sur la cordillères des Höhes. Très bon artisan, les Schmieds excellent dans le commerce et leurs grandes salles sont remplie d’or et d’argent. Le conseil des Edels se trouve dans la capital du royaume des Hongres et habitent en harmonie avec eux. Les Edels sont de très bon banquier et une rumeur raconte qu’ils sont plus riches que le roi des Hongres lui-même. Les nains sont également présent au Sawazar et au Bileog sans pour autant qu’ils aient une influence sur le territoire.

Les orcs, se regroupent sous plusieurs Katoun ( princesse) et sont présent à Ayak-Sehir à l’est du continent mineur, au pied de la montagne de Sarkik. Ils sont particulièrement fidèle à la Katoun et sont prêt à mourir pour cette dernière. Ils sont également présent à Kaya au sud de la cordillères des Höhes et de la forêt de Koknär ainsi qu’à Kan-Sehir une ville se sitant entre Koknär et les Sawazar. Kaya et Koknär ont leurs propres Katoun et sont aussi fidèle à cette Katoun que les Ayak-Sehir à la leur.

Ont retrouvent les gobelins dans l’empire Lu-Pi au nord du continent majeure. Ils sont présent dans trois villes gigantesque à savoir Bei-Sha, la ville la plus au nord du continent et se trouvant dans le désert de Sha. Nan-Sha, au sud du désert de Sha et touchant la cordillère des Höhes. Ils sont très proches de la ville Orc de Kaya. Pour finir il y’a Yindao au nord du continent mineur. La force des gobelins est sans conteste leur nombre impressionnant.

Les Trolls vivent en tribu. Ont trouve les Trolls à plusieurs endroit notamment au Marais du Bana au nord du continent majeure et s’accolant au territoire des hongres et de la forêt de Koknär. D’autre vit dans le Gubat au cœur de la forêt des Koknär ou encore à Bago au sud du continent mineur. Les trolls sont d’impressionnante créature dont la force physique n’a aucun égal sur cette terre.

On ne trouve les Ogres qu’à Hinansho au cœur du continent mineur. Ils appellent leur cité le havre. La force des Ogres est la même que celle des Trolls si ce n’est en moins impressionnant. Depuis l’ère du bronze ( l’ère précédent l’ère du fer ) les Ogres disparaisse petit à petit. On estime qu’avant la fin de cette ère ils ne seront plus. D’ailleurs les habitants d’Opale ont déjà mit les ogres dans les légendes.

Maintenant que vous connaissez la géographie de notre monde vous êtes aptes à comprendre la politique. Ils faut savoir que pendant l’ère du Bronze les hommes ont exterminé sans scrupule le peuple des minotaures et des centaures cette extermination ne pouvait être arrêtée par les autres race à cause des nombreux petit conflit qui opposé les uns et les autres. Les elfes n’avaient que faire de cette espèce. Les nains tout comme les gobelins ne connaissaient même pas l’existence de ses créatures. Les orcs ne pouvaient défendre les centaures leurs alliés de crainte de se faire attaquer dans le dos par les nains. Les trolls ont préféré fuir le Bana pour les terres du sud et ils ont ainsi créé le Gurat et plus tard le Bago. ( Il faut dire que vers la fin de l’ère de la pierre, l’ère précédent celle du bronze. Les Trolls ont subit un cuisante défaite de la part des hommes et pendant l’ère du bronze ils n’avaient pas retrouvé toute leurs forces. ) Les raisons du massacre des minotaures et des centaures par les hommes n’est autre qu’un besoin croissant de territoire afin de subvenir à l’agrandissement de la population.   

Depuis, les orcs vouent une haine viscérale envers les Hommes. Les plaines entre Kaya, Kan-Sehir et Sawazar ne cessent d’être le lieu de nombreux conflit sanglant. Les elfes aide les Sawazar car sans cette ville il serait coupé du monde. En effet les elfes craignent que les orcs ne vont pas leurs laisser le droit de passage vers le reste du continent. Les Hongres, les Opaliens et les Sawazar mettent la pression aux nains pour qu’ils les rejoignent dans la cause. En effet les nains effectue le plus gros de leurs commerces avec les Hommes et pour ne pas perdre se profit ils décident simplement de cesser les transactions avec les Orcs. La fin de cette transaction commerciale a mit fin à la route du commerce du sud. Cette route traverse Kaya, Ayak-Sehir, Hinansho et Bago. Ainsi, Les Ogres et les Trolls rejoignent les Orcs dans le conflit. Les trolls de Bana et de Gubat ferment leurs frontières aux nains et aux hommes et coupe alors les routes du commerce de l’est. Les nains se retrouvent lésée et décide de s’allier avec les Gobelins. Ils signent alors le pacte de l’or et du sang. Un pacte qui interdit aux gobelins d’attaquer les nains et qui propose en échange des actes commerciaux plus intéressant chose que les gobelins accepte.   

Voilà le monde de paix relative qu’il y’a à l’aube de la grande guerre de l’ère du fer. C’est un jeu d’alliances complexe qui se forment. Et la moindre étincelle dans le gaz peut déclencher la plus brutale des explosions….

Chapitre 1 : De Ayak-Sehir, un départ pour le monde.

La ville de Ayak-Sehir est une ville Orc se situant à l’est du continent mineur. Plus exactement sur le bord de la mer Mavi, bordant la forêt de Yüksek et les montagnes de Yabanci. La ville est faite de bois de chêne, de pierre abrupte et de çamur noir. Une grande tour de pierre d’une hauteur approximative de cinquante mètres siège au milieu de la ville et descend jusque la plus grande maison de la ville a savoir celle de la Katoun Gom Gra-Bat chef du village et mère de la plupart des guerriers. Les murs de cette maison et de toute celle alentour sont noir de çamur, un très bon isolant mais qui donne malheureusement à la ville un côté sombre. Les rues sont de terre bien que lors des pluies cela devient de la boue et assombrie davantage la ville. Certes l’extérieur des habitations orc ne paie pas de mine mais l’intérieur en revanche est tout autre.

Généralement on trouve à l’intérieur des habitations orcs, un feu de cheminé qui chatoie joyeusement, une peau de bête posée sur un sol de bois, des meubles en bois diverse et plusieurs objets de décoration selon les goûts des habitants. Une habitation qui au final est très cossu et qui permet de se sentir chez soit très rapidement. Atour des maisons se trouve une muraille de pierre avec de temps en temps une tour de défense. Voila la composition de la ville Orc de Ayak-Sehir. En continuant le chemin de la grande tour et en se dirigent vers la taverne de la ville se trouve une maison tout aussi importante. Certes biens moins grandiose que la demeure de Gom Gra-Bat mais pas autant pittoresque que celle de Orok Gro-Orog. Non cette maison est celle de Shadbak Gra-Lurkul, un orc assez connue de la ville de Ayak-Sehir. Shadbak n’est autre que le premier bouclier de la ville, tueuse du sanglier du magicien bleu et du loup des tertres de Yabanci. Cette jeune Orc porte un visage assez beau pour un orc. Des yeux jaune virant sur le rouge, un nez fin, des lèvres délicates, trois cicatrices allant de la joue droite au milieu du cou, coiffer en hure et portant des cheveux de couleur rouge sang. Shadbak est d’une taille moyenne portant une armure d’Orcinium le métal des orcs et se bâtant avec une hache, parfois une masse et un surtout un bouclier.

Justement, Shadbak enfonce la clé dans la porte de sa maison et se dirige vers la chaumière de Gom Gra-Bat. Comme à son habitude, la jeune orc va retrouver la chef du village afin de voir si celle-ci n’a pas une mission particulière à lui confier. C’est justement en étant très proche de Gom Gra-Bat qu’elle à eu la mission pour tuer le sanglier du magicien bleu et du loup des tertres de Yabanci. Shadbak pousse la porte de l’habitation du chef et l’observe de haut en bas. La chef semble perplexe embêtée par quelque chose. Cette situation offre un sourire à Shadbak qui se dit qu’elle va pouvoir enfin réévaluer son honneur. L’orc s’avance et se mets à genoux devant la Katoun.

-«  Je me présente devant-vous Ô ma Katoun. Si vous avez une volonté à accomplir laissez moi être le bras armé de votre volonté. » *Dit d’un ton solennelle la guerrière qui n’obtient réponse que quelques secondes après.
-« Tes paroles sont justes Shadbak fille de Lurkul… mais cette fois ce n’est pas que d’un soldat qu’il me faut. Mais d’un diplomate, tu n’es pas sans savoir que la guerre approche sur le continent ? » Clame Gom Gra-Bat en observant le feu dansait devant elle. Depuis le début, la chef n’a pas posé un seul regard sur la femme.
-« Oui ma Katoun, je sais pour les différents que nous entretenons avec les Kirlis » Répond Shadbak en insultant clairement les Humains de Kirlis, qui veut dire sale. Elle observe toujours les réactions de la matriarche.
-« A la rigueur tu vas pouvoir être utile… peut-être… du moins je l’espère pour toi. Tu vas devoir te diriger à Gubat pour aller chercher Uva’Ara Korne une Shaman Troll. Avec elle vous tenterez de rallier le camp Gobelin pour les persuader d’entrer en alliance avec nous.»  Demande la Katoun en soupirant.
-«  Oui ma Katoun, ça sera fait en moins de six mois. » Shadbak sourit de toutes ses dents et s’approche de Gom Gra-Bat.
-«  Disant en moins de huit mois… Tu ne vas pas être seule pour le voyage. » Dit la chef en stoppant Shadbak et en lui désignant une masse derrière une colonne de pierre. L’orc se tourne et tente de découvrir qu’es qui se cache de façon aussi grossière dans l’ombre. Elle parvient grâce aux danses des flammes de découvrir un Ogre en tenue noir se cacher derrière la fameuse colonne.
-«  Voici Krul… un « assassin » provenant de Hinansho. Il va t’accompagner afin que les trois partit de l’alliance puisse demander à l’empire de Grob-bob de nous rejoindre. » Reprend Gom Gra-Bat en concluant son ordre de mission. Shadbak soupire se disant que le voyage va être des plus pénibles. Finalement l’orc va au pied de sa Katoun pour les embrasser, une marque rituel de vénération chez les Orcs surtout ceux de Ayak-Sehir.

Krul et Shadbak quitte la chaumière de la chef de la ville et se dirige vers la sortie de celle-ci. Si l’orc aurait été seule elle aurait prit un loup pour le voyage mais la avec Krul ça serait parfaitement inutile. De plus, la pauvre bête ne supporterait pas le poids de l’Ogre donc autant commencer le voyage à pied. Un des gardes à la sortit de la ville tend un sac de provision à l’orc et à l’Ogre puis le garde glisse à l’oreille de l’Orc les mots suivant. -«  Faites attention à vos provisions de nourritures… ça bouffe beaucoup trop ses choses là. » Shadbak sourit puis salut le garde.

Les deux compagnons commencent à avancer en direction du port de Ayak-Sehir. La journée vient tout juste de commencer ce qui veut dire qu’ils vont pouvoir prendre le premier navire du matin, celui qui part à dix heures. Quand bien même ils le loupent ils prendraient le suivant. De toute façon il faut deux mois de navire pour atteindre Kaya, la première ville orc au monde. Les deux compagnons n’échangent pas un mot, pas un regard. Krul ne se sent pas obligé de parler et Shadbak aimerait arriver au port rapidement et surtout en silence.

Chapitre 2 : Les mésaventures du port de Ayak-Sehir.

- « Hola l’ami vous ne pouvez pas monter… Regardez par vous-même ! La voile est déchirée, le mâts est pliée, les matelots sont chancelant et en plus de ça lui il est trop gros ! » Dit un marin en empêchant Shadbak et Krul de monter à bord du navire. Le marin montre en même temps les dégâts qu’à subit le navire lors de leurs dernières escale sur le continent et désigne Krul en disant gros.

- «  Krul pas être gros ! Krul être assassin toi vouloir mourir de main de Krul ? » Réplique l’Ogre en faisant craquer ses doigts dans les paumes de son autre main. Shadbak réagit rapidement pour ne pas avoir de problème et écarte l’Ogre du marin. Elle offre à ce moment précit un regard noir à l’Ogre, un regard qui en dit long sur les sentiments de Shadbak envers cet Krul. Le marin sert les poings, c’est un orc après tout et se genre de réaction à vite fait de lui faire monter la moutarde au nez. Un orc qui se met en colère n’a qu’une seule idée en tête… TAPER. Il est bon pour n’importe qui de ne jamais énerver un orc. 

 _  « Bon qu’es que vous voulez !? Car si c’est pour chercher les embrouilles dite le moi tout de suite et par Groth on se bat à mort ! » Dit le marin en commençant à retirer sa cape prêt à en découvre avec Shadbak mais surtout avec Krul. La réponse de l’orc ne se fait pas attendre et elle met un coup de poing dans le visage du marin. Il chancelle et tombe sur la passerelle de bois de bouleau menant au navire. Il se reprend et commence à cracher deux dents couvertes de sang.

- « Je suis Shadbak Gra-Lurkul première bouclier de Ayak-Sehir, tueuse du sanglier du magicien bleu et du loup des tertres de Yabanci ! Si tu veux te battre à mort prépare toi à cracher tes dents ! » Hurle l’orc en serrant le poing qui vient de faire tomber le marin. Le marin ne sait plus quoi faire, il se tourne vers ses collègues cherchant une aide mais il semblerait que personne n’a envie de se battre une bouclier du clan. «  Je te laisse la vie sauve si tu répares le navire rapidement… si tu as besoin d’aide Krul va se faire un plaisir de t’aider. » Conclut la guerrière sans demander l’avis à son compagnon qui ronchonne légèrement. Shadbak sourit et les laisses bosser. La jeune femme va pouvoir marcher le long du port et observer la mer d’azur qui s’étend jusque l’horizon. Beaucoup de légende sont née sur la mer Mavi, soit disant il y ‘aurait des pièvres géante qui rodent en son cœur. Des hydres gigantesques… Mais en vérité il n’y’a plus que des thons et des sardines dans cette mer.

Shadbak observe toujours cette eau en espérant qu’en forçant légèrement sur sa vue elle puisse voir le fond mais en vain. Il est vrai que les eaux doient être suffisamment profondes pour pouvoir engloutir un navire de la coque au nid de pie. La guerrière trouve que c’est impressionnant et angoissant à la fois. L’orc va devoir s’habituer à voir ça car pendant deux mois elle n’aura rien d’autre que cette vue. Dès lors elle pense que ça va être les deux mois les plus long de sa vie. Après plusieurs heures à ne rien faire, l’orc retourne voir le navire qui semble être réparée. En effet les marins sont déjà entrain de fêter la fin des travaux… A moins qu’il ne soit en pause. Shadbak s’approche et fait semblant de tousser pour les informer qu’elle est présente.

-«  Oh madame ! Vous êtes là. J’ai une bonne nouvelle à vous apprendre. Nous pouvons partir pour Kaya. J’espère que cette nouvelle vous plait » Dit le marin avec les dents en moins avant de se courber pour laisser passer l’orc. Celle-ci n’est pas crédule et sait que le marin joue le lèche botte pour ne pas perdre d’autre dent. La guerrière s’approche du navire et pose un pied dans l’embarcation. Celle-ci semble stable et correcte, elle devrait aisément tenir jusqu’au continent. L’orc ne dit rien et pour approuver le travail elle se contente d’aller dans la cabine des voyageurs pour y poser ses affaires. Cependant quand elle ouvre la porte de bois et de fer menant à sa chambre elle découvre que Krul dort dans l’unique lit.

-«  si tu veux pas mourir… je te conseil de quitter cette chambre cervelle gelée. » Dit-alors Shadbak à l’égard de l’Ogre qui se relève alors. Celui-ci se frotte les yeux et ronchonne.

-«  Pourquoi être si médisante envers moi. Tu oublis que je suis Krul assassin des ombre de la race des Ogres. » Clame l’Ogre en se tapotant le torse de façon brutal. Le bruit sonne fort, il a du coffre le bougre d’Ogre.

-«  Tu n’es pas assassin… Tu es trop gras et trop lent. Cesse de te leurrer… Quand bien même tu ne trompes personne. » Répond l’Orc sur un ton dur. La colère l’emplit et ça se ressent.

-«  Ah non ça c’est trop facile ! Tu ne m’as pas vue agir. Je me glisse dans les ombres, je marche en silence et Paf ! Je te tranche la tête avec ma dague ! » Clame l’ogre en sortant une épée de fer. L’orc ne tardent pas à lui indiquer que c’est une épée et non une dague mais l’Ogre ne répond pas il continue de parler. Il clame qu’il est une ombre, une plume dans la nuit… Cela à tout fait d’ennuyer et d’agacer Shadbak qui s’en va en claquant la porte de la chambre. La guerrière se dirige alors vers le pont et observe le capitaine lever l’ancre et sortir le navire du port. Le vent du sud gonflant les voiles et un temps clément qui s’annonce pour cette soirée d’automne. Shadbak reste sur le pont jusqu’au moment ou le soleil commence à décliner et les étoiles se lever. Après ce magnifique spectacle, à savoir le soleil couchant sur la mer de Kaya, la jeune orc se dirige vers sa cabine.

Quand elle pousse la porte, elle découvre l’Ogre allongée sur le sol et dormant à point fermé. Il à eu la bonne idée de laisser son lit à Shadbak, cette dernière est heureuse et sourit légèrement avant de poser ses armures et ses armes pour s’endormir.

Chapitre 3 : Périple sur la mer de Kaya.

Les premiers jours de la traverser de la mer de Kaya sont calmes. Le vent est plutôt clément et pousse le navire à pleine allure. La houle n’est que peu présente et aucun des passagers ne semble malade ce qui est une bonne chose. Car partager les odeurs d’estomac avec les autres rends tout de suite le voyage plus éprouvant. Pour finir, la nourriture est saine et fraîche, l’eau quand à elle est encore  potable. Encore des points positifs sur la traversée, dans la compagnie en revanche, l’ambiance n’est pas présente. Certess l’Orc et l’Ogre ne se sont entretué mais ils ne se sont pas parlés. Il semblerait en revanche que Krul s’entend bien avec le marin que l’orc a faillit faire exploser hier. Comme quoi il est plus facile de rabibocher deux mâles que deux femelles.

Cependant, lors d’une nuit profonde et sans étoile Krul se dirige sur le pont pour aller parler à Shadbak qui vient de sortir pour prendre l’air. Il s’approche discrètement histoire qu’elle puisse connaître ses capacités en furtivité. L’orc n’est pas dupe et sait qu’il est présent aussi prend t’elle la parole quand il est à moins d’un mètre.
-«  Bonsoir Krul… tu sais tes pas son lourd et quand bien même on te repère à l’odeur. » Dit-elle sans quitter l’horizon noircie par la nuit.
-«  Krul ? Qui ça être Krul ? Moi pas Krul.. Moi être Kr… Ul. Oui c’est ça Kru Ul. » Répond l’Ogre en tentant de mentir sur sa propre identité. Tout ça dans l’unique but de ne pas paraître pour un con et il vient d’échouer dans sa tâche.
-« Krul… Tu voulais quoi ? » Demande Shadbak de la façon la plus froide possible.
-«  Krul vouloir la paix… Krul se dit que nous sommes ensemble pour sauver Orc… Krul estime devoir être Krul et non être cervelle gelée. » Clame l’Ogre en grognant presque c’est mots. Dans le crâne de l’Orc ça résonne comme «  Cervelle gelée estime devoir être Cervelle gelée et non être cervelle gelée » chose qu’elle accepte et elle approuve d’un signe de tête –«  D’accord,  va dormir il se fait tard » Dit-elle dans un dernier soupire. L’Ogre obéit laissant la guerrière seule avec ses pensées. Avant d’aller dormir Shadbak remarque que le vent commence à se lever. N’ayant aucune connaissance maritime elle ne s’inquiète et ne se doute pas qu’une tempête va se lever.

C’est plus tard dans le matin que les échos de la tempête arrivent. Le vent souffle fortement et gonfle les voiles de façon abrupte. Le capitaine demande qu’on retire de la voilure afin de ne pas déchirer les voiles et de ne pas plier le mats ce qui serait fatal pour les membres d’équipage. La houle commence à se lever et la pauvre barquette tangue dangereusement entre les vagues, la pluie hurle et inonde le fond de cale. Dans la chambre des deux compagnons les objets vole. Les vases tombes de leurs réceptacles, les objets pendus au mur également. Shadbak est propulsé hors de son lit lors d’une énorme vague. La jeune Orc se souvient alors d’une vieille légende qu’on lui racontait jadis.

Autrefois, sans doute pendant l’ère du Bronze quelque part entre le massacre des minotaures et la disparition de l’empire Hrave vivait une princesse. C’était la plus belle et la plus convoitée des jeunes femmes de la planète. En vérité la plus grande moitié la désirait de par sa beauté et le reste de par son pouvoir. La princesse étant l’héritière du trône impérial du Hrave, l’époux deviendrait en l’épousant le nouvel empereur. Affaire politique outre, la jeune princesse devait rejoindre une petite île dans la mer de Kaya. Lorsqu’une tempête c’est levée la princesse est resté dans sa cabine terrifiée. Quand l’eau est montée elle à décidée de remonter sur le pont… C’était trop tard, l’eau avait déplacée un meuble devant sa porte et elle est restée bloquée. Depuis elle règne parmi les sirènes.

Quand elle se souvient de cette légende, Shadbak n’à qu’une réaction défoncer la porte emprunter le couloir et se diriger vers l’échelle pour arriver au pont. Elle va réussir à atteindre son objectif sans problème et va être confrontée à l’enfer. Les vagues atteignent plusieurs mètre de haut et quand le navire parvient à les éviter c’est souvent au prix d’un membre d’équipage ou d’un tonneau diverse. Shadbak s’agrippe à la barrière qui entoure le pont et observe les marins s’activer. L’Orc se demande comment aider mais ne connaissant rien dans le domaine maritime tout ça lui est inconnu. Krul est également sur le pont il tente de maintenant des cordages droit et ceux grâce à sa force et son poids. L’embarcation arrive dans le creux d’une vague et finalement chavire sur le côté droit. Shadbak tiens encore accrochée à la balustrade, pendant dans le vide et ne voulant pas lâcher car son armure l’entraînerait sous l’eau. Krul quand à lui se tiens au mâts mais décide de se lâcher pour s’écarter du navire et s’agripper à un tonneau qui flottent non loin.

-«  Shadbak ! Toi poser ton armure et toi sauter ! » Hurle l’Ogre en tentant de sauver un marin qui s’engouffre dans la folie aquatique en vain. L’Orc écoute mais ne fait pas attention… Une vague énorme s’approche et vient faire couler le navire. Shadbak est maintenant sous l’eau accrochée à un navire perdu. Elle le lâche mais son armure l’entraîne vers le fond comme elle s’en doutée. Shadbak commence à enlever les sangles de son armure et parient à se dépasser des jambières, des bracelets mais peine pour son torse. La guerrière perd rapidement son souffle et quand elle parvient enfin à enlever son entrave il est déjà trop tard.   

Krul qui se trouve encore en surface tente de chercher l’Orc en vain. Il se résigne à attendre avec les survivants sur les fameux tonneaux tout en espérant ne pas se faire bouffer par les requins ou d’autre bête immonde.

5

One Shot / Re : Quand le vert rencontre le bleu.

« le: vendredi 01 août 2014, 11:20:38 »

L'orc est surprise de voir un animal bleu sortir de la cage. Dans l'élan elle sort sa masse et la tien fermement, prête à sévir de toute sa fureur sur un possible adversaire.  Par chance pour Alice la question innocente qu'elle vient de poser la sauve d'un coup de masse prématuré. Shadbak observe la créature de haut en bas tout en se demandant si elle n'est pas une elfe de la nuit. Idée qu'elle réfute en voyant que ses oreilles ne sont pas pointue. Elle croise alors ses bras et fronce les sourcils n'appréciant pas les surprises et les découvertes de chose inconnue.

-" Toi aussi ils ont voulu t'attraper ? " Demande Alice à l'orc. Cette dernière mets du temps à répondre en effet c'est bien la première fois qu'une personne ne fuit pas en voyant un orc se tenir devant elle avec autant de sang sur les vêtements et les armes.

-" Non... Non non. En vérité je ne suis là que pour la vengeance de mes pair mort sous leurs courroux. "  Répond l'orc d'une voix dur et ferme elle tourne autour de la créature bleu toujours en l'observant dans le moindre détail. *

-" Dis moi... qu'es-tu simple créature ? Je ne connais ni ta race ni ton nom. Peut-être pourrais tu rectifier celà hummm ? " Demande l'orc en remettant sa masse sur sa ceinture. Une frêle cordelette la maintenant à un crochet sur sa ceinture suffit pour ne pas l'avoir dans les mains. L'orc s'appuie sur l'ancienne cage de la bleusaille et observe les autres cages autour d'elle. Shadbak ne compte pas les libérer à la rigueur elle va lancer un message à ses connaissances orcs pour qu'ils aient eux même de nouveaux esclaves mais ça sera bien tout. 

6

One Shot / Re : Quand le vert rencontre le bleu.

« le: jeudi 31 juillet 2014, 11:01:29 »

En vérité il y'avait plusieurs caisses en bois de chêne et des cages de fer toute de tailles différentes. Certaines, étaient même en démorite un métal puissant dans la réputation d'incassabilité dépasse de loin ses réels capacité de résistance. L'orc Shadbak s'approche, la hache et le bouclier sortit et s'approche doucement du premier adversaire. Il n'est d'aucun secret qu'un orc qui part à la bataille se bats avec toute la force et la barbarie que les anciens lui offrent. N'hésitant pas à crier pour imiter le diable,  a griffer et à mordre si ses armes défaillent.

C'est ce qu'il se passe dans se combat. L'orc pousse des cries bestial ce qui parvient à faire fuir l'un des marchands de vie. Celui qui attendait sur une caisse se prend quelques secondes après une hache dans le haut du crâne. Il reste cinq personnes dont deux en retrait près d'une grande cage. Sans doute les bougres ont-il user d'arc et de flèche. Shadbak observe donc les trois personnes quel va combattre au corps à corps. Il s'agit de trois épéiste, inutile de dire que l'orc va en faire qu'une bouché. L'orc et les soldats fonce dans la mêlée. Le premier coup de hache fend le bras d'un des soldats. Un coup de pied dans le ventre fait reculer l'orc. Shadbak lance alors sa hache qui se plante dans la poitrine du soldat qui  vient de lui mettre un coup. Rapidement elle prend sa masse dans les mains. L'autre soldat fonce sur l'orc et tente de la décapiter le coup va s'amortir de justesse dans le bouclier de Shadbak. La riposte et douloureuse pour le soldat en effet, l'orc lui mets un coup de bouclier dans le cou ce qui lui bloque la respiration. La guerrière à la peau verte n'a plus qu'à enfoncer sa masse entre les yeux du soldat pour le tuer. Il ne reste plus que 3 soldats, 2 archers et 1 soldat blessé qui fuient à toutes jambes.

Shadbak ne tente pas de les rattraper, elle est en armure lourde ça l'épuiserait plus qu'autre chose. néanmoins elle s'assoie pour reprendre un son souffle. Elle ne s'assoie pas sur n'importe qu'elle caisse. Elle est sur celle qui cache et abrite Alice Cyan. Ce n'est qu'un hasard parmi tant d'autre. Sans le vouloir un pan de l'arme lourde de Shadbak se glisse entre la porte de la cage et le reste. Dans un mouvement tout simple le pan agit comme un pied de biche et libère Alice. L'orc n'avait vraiment l'intention de libérer personne... Elle n'a aucun intérêt à le faire. En plus vue le racisme de certaine personne il serait capable de l'attaquer donc ça ne vaut pas le coup. 

7

One Shot / Quand le vert rencontre le bleu.

« le: mercredi 30 juillet 2014, 03:19:51 »

Camp des orcs de la forêt des âmes - Quelque part sur le plan de Terre - Début de l'hiver.

La forêt des âmes est une forêt qui s'étend sur plusieurs kilomètres au abord de la frontière sud de la contré du Chaos. On dit de cette forêt qu'elle est sinistre et selon les dires hantée. C'est sans doute l'ambiance lugubre des arbres aux branches rachitiques ou les bruits étranges de quelques animaux inconnus qui laissent aux maigres voyageurs une sueur froide leur parcourir l'échine du dos. Pourtant cette forêt n'est pas vierge d'habitant ni d'habitation. Au coeur même de l'endroit une se trouve le camp des âmes. Ce n'est ni les elfes, ni les nains qui habitent ici... Encore moins les hommes. Il s'agit en vérité des orcs. Cette race bucolique, souvent considéré comme belliqueuse ou grégaire par nos pairs et qui pourtant n'est en réalité que tout autre.

Les orcs, de façon général, respectent le code de Malakath le dieu créateur des orcs. Ils respectent donc se code qui les interdits de tuer ou de voler les autres être du monde. Il y'a cependant plusieurs compromis qui permettent de contourner ça. Par exemple, si vous convoitez un objet sur quelqu'un d'extérieur au clan ( Car tuer un membre du clan c'est porter préjudice au clan). Si par chance il vous regarde, et que vous le regardez également il y'a deux choix. Soit il baisse les yeux et vous devez le laisser fuir soit il maintient le regard et vous pouvez le tuer pour lui prouver que vous êtes plus digne que lui.

Dans cette tribu vit l'orc Shadbak Gra-Lurkul. Une orc honorable, chasseuse de loup, première bouclier noir, Tueuse du sanglier blanc du mage bleu et plein d'autre titre tout aussi intéressant, élogieux et flattant cette orc. Dans les villages humains alentour on la connait surtout comme une fouteuse de trouble, une meurtrière, croqueuse d'enfant et d'autre titre tout aussi intéressant et parfois tout aussi fictif. On vérité, personne ne connait parfaitement cette guerrière... du moins personne de vivant.

Shadbak, porte un équipement fait de lamelle de cuir l'entourant surtout au niveau de la poitrine du dos et du ventre. Par dessus ses bandes trônes une plaque de métal Orc, l'Orsinium. Elle porte un bouclier triangulaire  fait également de cette matière. Un bouclier ou siège plusieurs tête de flèche et tranche d'épée, un bouclier qui prouve que notre orc n'est pas une novice en matière de combat. Comme casque, elle porte un masque en terre cuite. Le masque en question représente un démon aussi laid qu'impressionnant. Une technique efficace pour terrifier davantage l'adversaire sur le terrain. Il faut dire qu'outre son masque la jeune orc est une femelle assez jolie. Une peau vert-grise et parfaitement uniforme, quelques cicatrices qui lui offre un certain charme animal, une coiffure rouge sang et coiffée de façon hirsute. En bref une orc charmante d'où l’intérêt de porter un masque de terre cuite lors de ses combats. Pour terminer avec l'équipement Shadbak se défend avec une masse orc et si elle a besoin de plus de tranchant elle possède une hache quant au combat à distance une arbalète simple lui suffit.

L'orc habite dans une cabane de bois et de peau. Une habitation qui semble pittoresque d'extérieur mais qui se trouve très cossu une fois à l'intérieur. L'espace ne manque pas dans ce genre d'habitation. Généralement le plus gros des coffres de rangements se troue dans la cave. Pour le reste une grande table de mets trône au coeur de la pièce principal et côtoie chaleureusement un feu de cheminé alentour. Autour de la grande pièce se trouve plusieurs autre salle. Une mène à la cuisine, les autres, mène aux chambres de la famille et des invités. En soit il n'y'a rien de plus convivial qu'une habitation des peaux vertes.

Shadbak se dirige actuellement vers un camp militaire orc plus en retrait vers l'est du village et cela afin qu'on lui donne plus d'éclaircissement sur une mission que Radkir le chasseur vient de lui transmettre. Elle sait juste qu'elle va devoir défoncer la grande porte de fer naine pour pénétrer dans un donjon ou plutôt une mine d'or. Il se pourrait même que la grande porte ne soit pas la seule dans le même genre... Quoi qu'il en soit, il manque des informations relatif à la mission, des informations qui pourrait être utile à son succès. L'orc marche sur le chemin de gravier noir menant vers le camp militaire, cependant, elle s'arrête sur la vision d'un transport d'esclave entre deux cités Humaines. Les transporteur effectue le trajet de la capital, Prisium jusque Gallea la ville la plus au sud du monde connue. Pour éviter des frais considérable dût au détour de la forêt des âmes, les transporteur la traverse souvent. Inutile de vous dire que c'est à leurs risques et périls. C'est un heureux hasard... En effet le mois dernier le convois à capturé plusieurs orc. Elle va pouvoir venger ses confrères dans le sang qui lui est dû.

8

Prélude / Re : Famille Doubinski [Valimutation]

« le: dimanche 15 juin 2014, 20:42:18 »

Super merci.

9

Prélude / Re : Famille Doubinski

« le: dimanche 15 juin 2014, 16:25:06 »

Haha merci =)

Sinon je vais régler le problème de l'avatar plus tard merci de me l'avoir dis je n'avais même pas remarquée.

10

Prélude / Re : Famille Doubinski

« le: dimanche 15 juin 2014, 15:56:47 »

Haha merci à vous deux =)

11

Prélude / Famille Doubinski [Valimutation]

« le: dimanche 15 juin 2014, 03:58:51 »

Histoire :

Les failles du temps…

Nous sommes actuellement sur une planète qu’on connaît très bien… et pour cause, c’est celle ou on vie de notre tendre jeunesse jusqu’à malheureusement notre fin. En revanche, nous ne pouvons placer cet endroit sur la carte. Le lieu se trouve exactement à la frontière du réel et de l’irréel ; touchant la pointe sud de l’Afrique ; frôlant les grands lacs Américain et non loin de l’Oural Européen. Nous allons appeler se territoire le Nebesnyy, le Nebesnyy est un territoire immense reliant l’infinie par quatre angles différents. Cet immense territoire est recouvert de grande forêt touffue et est encerclé par un océan azur dont on ne pourrait discerner ni la longueur ni la profondeur. Dans le Nebesnyy se trouve tout plein de créatures toute plus étranges que les autres. Cependant, la créature la plus étrange de tout le territoire c’est sans aucun doute les Siviyas, gardien de la nature. Mais au fond qu’es qu’un Siviyas ? C’est une créature humanoïde mesurant entre 160 et 210 centimètre. Ils ont une peau ébène profond virant parfois sur le bleu azur ou le doré. Ils portent des Mukkas sur le haut de la tête, des tentacules vivant et dont la couleur et représentatif de leurs humeurs, deux autres tentacules non-vivant cette fois trône de chaque côté des autres tentacules afin de montrer le sexe de la personne, tirant vers le bleu pour les mâles et le rose pour les femelles. Les Siviyas sont un peuple très animique aspirant à protéger la nature de la meilleurs façon qu’il soit. De plus, les Siviyas peuvent se déplacer à travers le temps et les ages sans en éprouver la moindre difficulté.

Je vais vous parler d’une des Siviyas, elle porte le nom de Novella. Cette jeune femme est une personne très simple, d’une gentillesse à toute épreuve et d’une douceur sans nulle autre pareille dans tout le Nebesnyy. De plus, cette femme est d’une sagesse et d’un calme presque olympien. Novella habite dans un immense frêne, le cœur de sa maison côtoyant les plus hautes branche de l’arbre. Comme sous dis la jeune femme vit d’une façon simple. Elle n’a qu’une unique pièce pour vivre, se laver et faire ses besoins. D’ailleurs, la jeune femme n’est pas très souvent dans cet habitat. Elle a une mission très chronophage, celle de protéger la nature, les esprits et le cycle de la vie… Une mission qu’elle aspire à concrétiser jusqu’à la fin de ses jours, aussi loin cela s’annoncent t-ils. Novella se fait souvent assister par un animal, il s’agit d’un chien des bois du nom de Hurleur. La jeune femme est très proche de l’animal qu’elle considère comme un ami plus que comme un « animal de compagnie ». Ensemble ils forment une équipe assez puissante qui permet souvent de conclure les objectifs de mission. Mais le calme de sa petite vie de ne va durer qu’un temps. Malk le prince noir de la folie est revenu dans les terres de Nebesnyy avec son armée et il n’a qu’un seul but faire en sorte que se territoire ne soit que cendre et mort.

C’est un autre Siviyas, Goundfair qui est le premier à apprendre le retour du prince noir. Goundfair qui surprend l’abomination et ses chiens de troupes avancer de l’outre-monde dans le Nebesnyy commençant les ravages sur la périphérie du territoire. Prit de panique Goundfair se mets à courir en direction des grands sages, tête pensante du peuple des Siviyas. Il n’a maintenant qu’un unique but prévenir ses derniers et revenir vers les démons pour les combattre avec toute la virulence dont il peut faire preuve. C’est en quelques sortent une guerre qui s’annonce sur se monde de paix… Les démons v’ont inaugurer le sang et le crime au paradis. Le Nebesnyy est troublée par ses heures sombres qui se profilent devant lui. Novella apprend l’invasion démoniaque que bien plus tard le même jour et c’est sans hésiter un seul instant qu’elle se dirige vers le front pour prendre part aux combats.

Le style de combat des Siviyas est totalement différent des uns des autres. Certain, v’ont entrer dans la bataille aux corps à corps maintenant dans leurs mains une épée en obsidienne, d’autre v’ont user de sarbacane avec des fléchettes empoisonnées et d’autre encore v’ont user de sortilège tous plus étrange les unes des autres. Novella utilise la magie pour combattre. Elle lance des grenouilles empoisonnées sortant de nulle part, des jarres d’araignées nécrophages si nécessaire, des malédictions en tout va… Clairement la jeune Siviyas est une magicienne aguerri et une magicienne qui n’hésite pas à faire pleuvoir ses sorts pour affubler son adversaire d’une mort certaine et d’une mort exemplaire. Le combat fait rage pendant plusieurs jours, et pour gagner cette guerre et la suivante Malk le démon décide d’utiliser un prisonnier Siviyas pour exterminer le file de l’humanité. En effet si il détruit une lignée de famille qui doit être présent lors de la fin du monde il extermine toute la population humaine car oui, il va tout simplement bouleverser l’équilibre déjà fragile du monde. Grâce au pouvoir des Siviyas il sait exactement le nom des familles qui vont assister à la fin du monde… Parmi toute ses personnes il sélectionne la famille Doubinski dont l’avant dernier maillon se trouve être Asya-Slava.

23 avril 2124 – Le 22eme siècle sur terre, avant propos.

L’humanité se développe à une vitesse impressionnante, nous avons quitté l’époque des temps modernes pour l’époque technologique et pratiquement après pour l’époque robotique. Au siècle dernier, nous avons fait des découvertes importantes, dans l’astronomie premièrement avec Gary Yukovisky qui grâce à la mission Red-Explorer pose le premier pas sur mars. Le Russe fut donc le premier à poser le drapeau de la terre sur cette planète. Oui, le drapeau de la terre. Car cette mission réunissait deux Américains, un Français, Un Russe, Un Chinois et Un Japonais… Il était donc hors de question de mettre un drapeau représentant un pays sous peine de lancer une troisième guerre mondiale envers le coupable. Nous avons également construit une nouvelle base spatiale internationale ainsi qu’une base lunaire permanente, base qui sert maintenant pour lancer les navettes dans l’espace. Dans les transports en second car ont vient de créer les premières voitures volantes… Il faut dire qu’ont les attendaient depuis le siècle précédent, les portails de vitesse qui envois les wagons de Tokyo à Paris en 15 minutes rétrécissant le monde une fois encore. On pourrait parler de la médecine également, nous n’avons pas soigné le Sida nous l’avons simplement éradiqué de la planète comme d’autre maladie dans le temps, le cancer s’attrapent et se guérie comme un rhume et les prothèses robotique afflux comme des petits pains. Politique pour finir, la crise du chocolat aux Etat-Unis a fait de se pays la vingtième puissance du monde derrière la Finlande… Je m’arrête là car je pense que vous ne connaissez pas encore la crise du chocolat.

Tout commence en Côte d’Ivoire vers la fin de l’année 2014, quand le général des armées Ivoirienne Diwa Karan tente un coup d’état contre l’actuel président Alassane Ouattara. Coup d’état qui échoue fort heureusement pour le président Alassane. Diwa Karan se trouve alors enfermé dans la prison de Yamoussoukro pendant 6 ans ce lui laisse le temps d’écrire un bouquin sur ses idéaux politique et culturelle du nom de « My Stryd ». En 2020 lors de sa sortie de prison Diwa Karan remarque que la Côte d’Ivoire est en faillite… il fait alors la propagande de son livre My Stryd et accuse ouvertement et publiquement les Extrémiste musulman d’avoir ruiné le pays. Les Ivoiriens s’insurge contre les « pseudo » fautif et lors de la prochaine élection du pays Diwa Karan est élue avec plus de 75 % des voies. Il s’avère que Diwa Karan est un bon président pendant ses premières années de mandat et cela en dépit de ce qu’ont pourraient croire, il s’attire même les faveurs de pays de l’Europe et des Etats-Unis qui lui envoie des aides financière pour faire de la Côte d’Ivoire un pays pratiquement aussi puissant que ceux de l’Europe de l’est. C’est en 2029 lors de l’invasion du Burkina-Faso par les troupes du Ghana que la face du monde va changer. Pour contrer l’expansion du Ghana les Etats-Unis fournissent des armes, des véhicules et de l’argent aux Ivoiriens. Ses derniers les utilisent pour repousser les troupes Ghanéenne hors de leurs frontières et plus tard hors du territoire du Burkina-Faso. Les troupes Ivoiriennes avance même le combat jusqu’à Accra et finissent par contrôler les trois pays. Malgré que la guerre soit terminée les Américain continue d’envoyer des ressources au pays ce qui lui permet de reprendre la marche de la guerre. En quelques mois La Côte d’Ivoire contrôle toute la côte ouest de l’Afrique et en moins d’un ans la côte d’Ivoire contrôle tout ce qui se trouve au dessous de la ligne entre le Sierra Leone et le Kenya devenant une véritable menace pour les pays d’Europe, D’Amérique et d’Asie. Pour contrer cela les Etats-Unis entre en guerre contre le nouveau super-Etat de Côte d’Ivoire. La fameuse guerre du chocolat vient de commencer, mais pourquoi guerre du chocolat ? Ils se trouvent que la côte ouest de l’Afrique et le premier producteur de chocolat au monde. Les Américains sont très friand de cette sucrerie et la pénurie de cette denrée suite à la conquête de l’Afrique par les troupes Ivoiriennes a grandement pénalisé le pays des droits des entreprises. Les Américains réussissent à endiguer la conquête Ivoirienne en très peu de temps cependant, le moyen orient signe le pacte de l’Or noir avec les Ivoiriens. Un pacte de paix et d’alliance militaire contre les Etat-unis. Ce pacte ne sera ni plus ni moins que le pacte de la mort de l’Amérique qui s’effondre dans les dettes et la pauvreté. D’ailleurs elle va manquer de se faire envahir par le Mexique opportuniste mais ne va au final lui céder que quinze états du Sud des Etat-Unis et déposer les armes à la face du monde et pour toujours.... La Russie devient alors la première puissance mondial, suivie de la France, l’Allemagne, La chine, Le japon, La côte d’Ivoire et loin derrière les Etat-Unis.

Pour en revenir à la politique du monde, La Russie devient la première puissance mondiale et pour prouver cela ils s’installent massivement sur la lune qui manque de devenir une république Russe. La France bien qu’elle voie sa langue devenir la première langue la plus parlée dans le monde est obligée de faire une extermination massive de ses vieux et de déterminer une limite d’age de 70 ans afin de conserver l’économie de son pays. Elle sera d’ailleurs regardée d’un mauvais œil par tout ses états voisin qui v’ont pourtant adopter cette politique en moins de deux mois on va parler de l’Europe comme d’un No-Old-man-land à l’avenir.

En 2089 l’humanité va connaître sa première rencontre et guerre contre une espèce extraterrestre qu’on va appeler Vosdien. Ses créatures d’outre-monde sont fait d’énergie pure et fonctionnent comme une colonie de fourmis. Leurs technologies et nettement plus avancée que celle de la terre et pourtant leurs arts de la guerre n’est pas aussi élevé que le notre. Les Vosdiens ont pourtant observé les actes militaires de la terre sur les 50 dernières années ce qui rendait obsolète la technologie de guerre moderne. Cependant le conflit ne va pas durer plus de 2 mois puisse que c’est en utilisant la technique du cheval de Troie sur le vaisseau mère de la colonie des Vosdiens que la guerre à cessée. Le cheval ne contenant pas une armée mais simplement une bombe nucléaire de 100 MT pour être certain de les réduire à néant. La technologie restante des Vosdiens sert alors pour l’humanité. ( Voir Affaire Cheval Atomique ).

Asya – Slava femme du futur,

Moscou 23 avril 2124, La température extérieur est approximativement de – 25 degré, le gel se fixe aux immenses tours comme une mère à son fils la veille de partir au front. Les vitres qui forment les fenêtres et les murs des habitations se mettent automatiquement à chauffer pour faire partir la couverture blanche qui la couvre. Ainsi la froideur de l’extérieur est trompée par la fonte des glaces et le pseudo soleil qui pointe son nez dans le ciel bleu. Il n’est que huit heures et les dernières personnes encore endormies sortent du lit. Il n’est plus permis dans cette société de faire la grasse matinée. Tout les habitant doivent dès lors se diriger vers la salle de sport afin d’effectuer la gymnastique obligatoire car si les moyens technologique permettent de ne plus faire un geste pour vivre bien ce n’est pas une raison pour laisser l’espèce se laisser aller à une décadence. Ainsi une fois un certain taux de kilocalorie dépensé chacun peut aller travailler ou vaquer à des occupations plus personnelles. Asya-Slava est une jeune femme d’une vingtaine d’années habitant la 52 ème tour au 526 étages et la cinquième maison du fameux étage. C’est une habitation très simple avec une pièce à vivre, une pièce d’eau, cuisine et chambre le tout très bien desservie par un ascenseur de vitesse et par une voie d’accès pour se diriger vers un parking ou se trouve les véhicules volants. Cette jeune femme habitant donc au 526-5 tour 52 est une jeune femme d’une beauté sans son pareil. Asya-Slava porte une coiffure très courte et d’une couleur bleu-azur magnifique. Cette couleur de cheveux pourrait paraître étrange pour vous personne des temps modernes mais sachez que c’est à la mode dans les années 2124. Les yeux de cette belle créature sont bleu se mariant donc très bien avec sa coiffure, son regard et plutôt froid et inexpressif bien qu’il puisse sembler rieur voir moqueur et parfois même taquin. Le visage de cette femme est très doux et serein offrant à chaque individu la rencontrant une impression sympathique et de confiance assurée. Asya est une personne mesurant 168 cm pour seulement 80 kg… oui 80. ça ne se voie pas car les lignes fines de sa silhouettes ne permettent pas de distinguer une seule rondeur et c’est simplement car il y’en a aucune. Si Asya pèse aussi fortement c’est uniquement car une bonne partie de son corps est fait de métal ou de d’autre matière qui ne sont pas naturel. Par exemple les deux bras de Asya sont renforcées par de l’acier et des muscles de fibre technologique, le cœur de Asya est chimiquement modifiée pour ne jamais se fatiguer et augmenter drastiquement ses capacités sportive tendis que les jambes de la jeune femme sont mi robotique mi normal. En vérité ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir autant d’amélioration technologique sur son corps. Quelqu’un de lambda ne pourrait en avoir qu’une seule et minime. Asya à eu la chance ou la malchance ça dépend de comment on regarde la dite situation d’être une fille de l’armée. Ainsi le gouvernement Russe a fait de cette jeune femme une arme efficace. C’est pour cela que lorsqu’elle à une mission Asya peut courir rapidement, faire un saut de trois fois sa taille, se réceptionner sur 10 mètres de chute sans craindre aucune fêlure, donner des coups de poing dans du béton sans en souffrir et s’agripper à une paroi pendant des heures sans lâcher.  Ce n’est pas car elle sait faire tout ça qu’elle est invulnérable ce qu’il faut se dire c’est qu’en face l’adversaire sait faire mieux ou pire selon les circonstances. Dans le civil Asya n’est pas capable de se servir au maximum du potentiel de son équipement, l’armée lui interdit et la bride au maximum. Elle retrouve grossièrement ses capacités de jeune femme normal ou presque. Elle serait capable de taper le béton sans risquer d’avoir le bras en miette mais elle ressentirait une vive douleur bien que celle-ci soit fictive et créer technologiquement. Sans ses augmentations, Asya revient à son stade de départ c'est-à-dire une jeune femme boitant et souffrant de son handicap à la jambe. Mentalement parlant, Asya est une jeune femme intelligente, appréciant les promenades, la lecture ne craignant pas l’effort physique. Une jeune femme intéressante, gentille, compréhensive et toujours apte à aider autrui. 

- Asya se trouve actuellement dans son lit, elle est complètement nue, à demi entrelacée dans une couverture de laine rouge et se servant de son oreiller comme d’un doudou. La jeune femme écoute le réveil sonner d’un Bip-bip agressif, il est 8 heures elle doit donc se lever ce qu’elle fait. Dans le cas où elle voudrait dormir plus longtemps elle recevrait une amende de plusieurs dizaines de crédit et ce n’est pas dans son intérêt. La jeune femme se dirige mollement et en traînant la patte vers la douche, elle actionne l’eau chaude et se laisse mouiller en s’appuyant contre le coin de sa douche. Pensive et voguant dans le floue s’imaginant une énième journée compliquée.

-«  Pfffff c’est trop dur le réveil à cette heure… » Se dit-elle en repoussant une mèche de cheveux qui se trouvait sur le devant de son visage. D’un coup la jeune femme entend sa sphère Lenadew, Lenadew c’est comme un tamagoshi du futur, une sorte de robot de compagnie pouvant recevoir des communications en visio, des appels et des messages, chercher des informations sur le réseau net et tout plein d’autre application toute plus inutiles qu’étrange.

-«  Maîtresse ! Maîtresse ! Le général Guron aimerait entrer en contacte visuel avec vous, dois-je accepter l’appel ou décliner ? » Clame lenadew en tournant autour de Asya, celle-ci soupire et approuve l’appel d’un signe de tête, le général apparaît alors dans la salle de bain et se trouve nez à nez devant Asya nue entrain de laisser l’eau de la douche couler le long de son corps.

-«  Humm….. Vous auriez pue vous couvrir un peu plus agent d’attaque Asya. Enfin qu’importe, je vais faire vite, nous avons repéré un groupe de rebelle au sud de l’ancien aéroport, rendez vous sur le pont juste avant de pénétrer dans la zone afin d’activer vos compétences d’attaque. Le rendez-vous doit avoir lieue à 10 heures 00 et une dernière chose habillez-vous la prochaine fois qu’on vous demande en visio, terminé. » Clame le sergent alors rouge de gêne, celui-ci coupe la transmission une fois le message émis. Asya reste quelques seconde immobile puis clic sur le bouton lavage automatique qui permets ni plus ni moins que de se faire laver. Elle utilise rarement le lavage automatique mais bon là le temps presse.  Après quelques minutes Asya sort de la douche propre, elle s’approche d’un losange noir près de la table basse et le pose contre le haut de son torse. Un liquide noir recouvre alors la peau de la jeune femme pour l’habiller d’une tenue de cuir noir adaptée aux mouvements rapidement et agile. Une fois vêtue, Asya prend sa béquille et avance vers sa moto volante engin très utile pour se rendre rapidement vers un lieu dit. La vitesse d’un de ses engins est d’environs 300 à 420 km/h , sa maniabilité permet au conducteur de faire des pirouettes et des cabrioles sans soucie et l’avantage c’est que si il y’a un accident le pilote et certain de se tuer sur le coup. Ce qui évite à tout le monde des désagréments plutôt désagréables. 

Une fois sur place, Asya se dirige vers l’équipe militaire près du pont d’accès à la zone d’intervention. Une équipe tactique du futur repose sur plus d’un individu. Nous pouvons parler des Colosses des personnes en armure lourde et équipée de mitrailleuse a balle perforante dont le principe et d’avancer et de rentrer dans le tas. Il y’a également les Faucons, dont fait partit Asya qui consiste à rester dans l’ombre et assassiner les troupes adverses en passant par derrière la ligne de front. Pour finir il y’a les Jills, des supers soldats génétiquement modifié et d’une polyvalence parfaite. Idéal pour lier la stratégie des Colosses et des Faucons. La jeune femme écoute les détails liés à la mission, le nombre de personne détectée et à abattre, l’environnement et tout ce qui pourrait avoir une incidence sur la mission. Puis une fois le briefing terminé chacun se voie autorisée à utiliser la machine pour s’augmenter. Asya peut donc se débarrasser de ses béquilles, prendre ses deux sabres, ses deux dagues et ses deux pistolets mitrailleurs et courir sur la position adverse. Enfin courir c’est un bien grand mot. Il se trouve que c’est un terrain urbain donc Asya va sauter sur le toit de la première maison observer les alentours puis sauter sur le toit du suivant et ainsi de suite jusqu’à ce qu’elle trouve les adversaires cibles.

D’un coup Asya sent son cœur manquer une palpitation et se crisper, sa vision devient floue et la couleur disparaît au profil du noir et blanc, l’équilibre lui manque, elle trébuche, elle tombe. Sans comprendre, Asya, celle qui se croit à cette heure précise l’égal des dieux défaille… c’est t-elle prise une balle ? ça lui est donc fatal ? Va-t-elle mourir ici, sur se toit au milieux de nulle part ? Asya tourne la tête pour observer son corps mais elle ne remarque aucune blessure apparente, elle se tourne vers ses partenaires qui semblent immobile au loin puis Asya remarque une sorte de portail fendant l’air de nulle part elle observe alors une étrange femme en sortir. La jeune guerrière ne sait pas encore qu’il s’agit en faite de Novella. Petit à petit Asya se reprend, elle se redresse doucement tout en se caressant le visage. Sa vision reviens à la normal et une fois opérationnelle elle sort son pistolet mitrailleur et vise Novella.

-«  Woh putain ! Mais qui vous êtes ? »  Hurle Asya, choquée par ce qu’elle vient de subir, elle sent également que sa technologie est de nouveau au niveau civil. La jeune femme est triste de devoir redire bonjour à cette pauvre femme qui ne cesse de boiter, cette pauvre femme qui ne se supporte même pas.

-«  Du calme Asya, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire. » Répond Novella en souriant tout ce qu’elle sait espérant que sa bonne humeur permette à la jeune femme de poser les armes. «  Je suis venue afin de vous prévenir que Malk le démon a envoyé un assassin pour vous tuer, je suis également présente pour vous assister si jamais il vous attaque. J’ai volontairement stoppée le temps pour que ça n’influe pas sur le déroulement de votre vie. » Continue Novella en appuyant doucement sur le haut de l’arme pour accompagner le mouvement de désarmement de Asya.

-«  Comment connaissez-vous mon prénom ? Vous me voulez du bien ? Je ne comprends plus rien… » Commence Asya en baissant son arme constatant qu’effectivement  le temps n’avance plus normalement et que c’est tellement surnaturel que ça en devient effrayant.

-«  Je me présente, je m’appelle Novella j’appartiens au peuple des Siviyas et mon but et de protéger la nature. Ça serait malheureusement trop long à vous expliquer. Aussi je vous demande de me faire confiance et ensemble nous allons terrasser l’assassin qui menace votre vie. » Clame Novella en incitant la jeune femme a avancer. Les minutes qui suivirent sont utilisées pour expliquer à Asya tout ce dont elle doit savoir sur la menace qui pèse sur sa famille et sur le dangereux Malk. Ainsi la jeune guerrière accepte d’aider l’autochtone autant pour cette vie que pour les autres. Quand deux personnes d’une extrême bonté travail ensemble c’est toujours magique.

Asya-Slava décide de se diriger vers le Hangar au centre de la zone d’attaque. L’endroit exact où devrait se trouver l’assassin démon. Va-t-elle réussir à le battre ? Après tout elle est pas en mode super soldate. Elle n’a que les armes pour l’aider à cette tâche. La jeune soldate s’avance dans le hangars arme en main. Novella contourne le bâtiment pour couper toute retraite à l’adversaire. L’intérieur du Hangar est sombre et l’ambiance est plutôt glauque. Des poutres de fer maintenu par une chaîne rouillée chancelles dans le vide et manque de tomber à chaque instant. Au sol plusieurs caisse encombre le passage et cache plusieurs partit de la pièce.

Le démon se trouve bien là ! Il observe la jeune femme qui peine à marcher et s’apprête à frapper. Il sort sa dague démoniaque, se maintient à une poutrelle au niveau du plafond et s’élance contre Asya. Novella arrive à temps et envois une chauve-souris en direction du démon. Celle-ci arrive rapidement sur lui et explose à son contact ce qui envois valser le démon contre des caisses en contrebas. La jeune femme sort alors son pistolet mitrailleur et tir dans la tête du démon qui ne fait que chanceller sous les impacts. Novella n’attend pas une réplique du démon et envois ses grenouilles d’acide attaquer le démon qui fini par mourir.

-«  Merci Novella, sans toi je ne serais plus. » Dit Asya en souriant.

15 Juin 2014 – Dakota du Nord – Ville de Fargo dans le comté de Cass – Vision de Katya.

Une chambre bordélique, un ordinateur portable Toshiba posé sur le lit et à demi fermé, des livres scolaires se battant en duel sur un bureau Ikea, un string rouge accroché contre le miroir de l’armoire, elle-même entrouverte sur une série de vêtement féminin. Ce champ de bataille n’est autre que l’antre de Katya. Cette jeune femme fait actuellement des études de droit à l’university of North Dakota ce qui lui prend la plus grande parti de son temps. Par chance nous arrivons à l   a fin de l’année scolaire. Katya exécute son dernier jour d’école aujourd’hui même. La jeune femme n’a pour le moment rien prévu pour les deux mois de vacance qui s’annoncent. Mais pour le moment elle ne s’en fait pas pour ça.

Katya pousse la porte de l’amphithéâtre afin d’effectuer son cours de Russe. Elle est la meilleure dans cette matière. Il faut dire qu’elle ne peine pas trop puisque c’est sa langue natale ainsi que la langue de ses ancêtres. Clairement Katya a prit le Russe comme langue vivante pour booster ses notes. Oui c’est de la triche en quelque sorte. Mais bon ! Nous sommes en Amérique pays de la triche et des coups bas.

La jeune femme est née sur le sol américain et c’est la première personne de sa famille à ne pas naître sur le sol Russe. Sa mère Eléonore a quittée la mère patrie le 20 septembre 1989, 4 jours après la chute du mur de berlin, et juste avant l’écroulement du bloc soviétique et la fin de la guerre froide. Eléonore voulait rompre avec l’hyper adoration de la Russie par sa famille et retrouver une liberté de choix politique. Une fois sur le sol Américain, la jeune femme avait reçu plusieurs missives du gouvernement Russe pour effectuer des missions d’espionnage, mission qu’elle a toujours refusée. Heureusement… Car comme tout réfugiée russe sur le sol Américain elle était suivie par les services secret. Toute tentative d’espionnage et elle se serait retrouvée avec une balle dans la tête ou pire.

Pour en revenir à l’amphithéâtre, Katya s’installe à côté de Jessie sa meilleurs amie. Elle est moins douée que Katya, autant pour le Russe que pour le droit et de toute façon Jessie ne va pas continuer les études. Elle aime faire de la photographie et désire en faire son métier.

-« Salut Jes’ ! Comment que tu vas ? » Dit Katya avec son accent Russe très prononcé.
-« Hi ! Je vais super bien en cette super belle journée et toi ? » Répond Jessie avec sa joie et son euphorie purement Américain et purement insupportable.
-« Bien merci, On mange ensemble à petit ? Euh je veux dire midi » Demande Katya qui peine encore pour l’anglais qui n’est pas sa langue favorite.
-«  Oui, oui ne t’en fais pas » Clame Jessie qui rigole de l’erreur de sa camarade.

Katya sourit bien que ça l’embête de faire encore des erreurs de mot quand elle parle. Suite à cela elle se concentre sur le cours de langue. Enfin se concentrer, c’est un bien grand mot. Elle s’occupe en dessinant pendant que les autres traduise un texte. Le professeur de langue s’en fiche un peu de Katya. En vérité il préfère l’ignorer plutôt que de risquer de se faire corriger par la jeune femme sur la langue Russe.

Le clocher de l’école sonne les douze coups de midi. Il est enfin temps pour Katya et son amie Jessie d’aller manger. Une fois le repas terminé, les deux jeunes femmes iront à leurs cours de droit pénal et cela jusque la fin de journée. – Après les cours, Katya fait la bise à Jessie et se dirige vers sa maison et plus précisément vers sa chambre, son antre, sa caverne.

Un bruit tonitruant se fait entendre de l’autre côté de la rue. Katya se tourne et observe ce qu’il se passe. La jeune femme distingue clairement deux femmes bien étranges. La première porte un costume noir identique à celui des motards, s’appuyant sur des béquilles pour avancer et arborant une coiffure pour le moins particulière de par sa couleur. La seconde qui n’est pas moins étrange que a première est une femme noire portant une sorte de tenue africaine ou de je ne sais quelle ethnie reculée ou oubliée. On dirait même que… Oui sa tenue laisse clairement voir un de ses seins. Plutôt jolie et appétissante la demoiselle. Katya détourne alors le regard pour ne pas paraître offensante. Une fois la curiosité atténuée, l’étudiante continu son chemin initial, sans se mêler des affaires de ses deux êtres étranges. Finalement elle arrive saine et sauve chez elle. Enfin presque, juste avant de pousser la porte de bois de la devanture de maison. Katya se reçois sur le coin du visage un liquide noir et visqueux. Ecœurée l’étudiante dit alors «  Putain de merde c’est quoi ça ! Mon haut tout neuf ! ». La jeune femme ronchonne pendant encore un moment avant de rentrer chez elle et de claquer la porte.

Une fois dans le home de sa maison, Katya quitte et envois ses pompes valser le long du portemanteau puis grimpe les escaliers pour arriver à l’étage. Elle pousse et ferme la porte de la salle de bain et commence à faire couler de l’eau bien chaude. Tellement écoeurée par le liquide sombre qui lui colle à la peau, elle ne prend même pas le temps de faire mousser le bain ni même de préparer ses vêtements pour après. Elle retire rapidement son T-shirt rouge, son jean noir, son soutient gorge et son string rouge et jette tout ses vêtements dans la panière à linge sale. La mère de Katya aura bien du courage si elle tente de laver ça. Une fois nue comme au premier jour la jeune femme plonge dans la baignoire. Elle enfonce même la tête sous l’eau afin de se débarrasser du liquide qui lui colle à la joue.

Katya sort enfin la tête de l’eau et sourit en voyant qu’il y’a plus aucun liquide noir qui la recouvre. Elle à réussie sa mission avec une telle facilité que ça en est déconcertant. Elle s’allonge alors plus convenablement dans le bain et aperçois du coin de l’œil une sorte de vers aliens de 20 cm de long pour une épaisseur de bien 4 ou 5 cm. L’étudiante pousse alors un crie d’horreur et tente de repousser l’ignoble créature qui gesticule sur le bord de la baignoire. Cependant, avec tous ses mouvements brusques, elle ne parvient qu’à faire tomber la chose dans le bain. Katya panique et se cambre pour ne pas toucher le fond de la baignoire avec son dos. Au bout de quelques secondes elle sent enfin la créature au niveau de ses fesses. Cette dernière semble vouloir s’accrocher à elle. Katya frotte alors brutalement sa main contre sa peau pour faire partir la bête en vain. Le vers s’approche alors du cul de la jeune femme et entre sans aucune forme d’invitation à l’intérieur. Katya se cambre davantage quand elle se fait ainsi visiter par le vers mais elle ne peut rien faire pour le moment que de subir. Paralysée par la peur et la surprise elle reste impuissante et sent le vers aliens s’enfoncer plus habilement dans son antre, collant chaque parois de son intestin et remontant toujours plus haut.

Au bout de plusieurs minutes de douleur et d’inquiétude, Katya ne ressent plus rien. Enfin si une vive douleur dans son derrière comme si elle venait de subir une violente sodomie. Ce qui est entre nous le cas. Prise de colère elle prend sa savonnette et la jette brusquement contre le mur de sa salle de bain. « Poc » C’est le bruit que devrait faire la dite savonnette sur le mur. En vérité elle a plutôt fait « Pouic » car la dite savonnette et devenue l’une des premières créations d’ombre de Edchina. Une création qu’elle va garder tout le long de sa vie.

15 Juin 2014 – Dakota du Nord – Ville de Fargo dans le comté de Cass – Vision de Novella et Asya.

Asya et Novella arrivent dans une petite ruelle sombre et odorante de la ville de Fargo dans le Dakota du Nord. Asya est presque surprise par le décor si rétro qui l’entoure. Elle n’a jamais rien vue de telle exception tout de même des films et des jeux avec pour histoire le 20 éme siècles. Elle avance sur un trottoir de béton et elle ce demande si c’est réellement solide. Novella quant à elle marche sur le as de son amie, pratiquant un silence qui pourrait faire envier les moines d’un monastère. Elle n’est pas surprise ni curieuse de découvrir cette époque. Puisque de toute évidence elle la connaît déjà et ce n’est pas une époque qu’elle affectionne tant que ça.

-   «  Nous avons un peu de temps avant l’attaque, tu aimerais visiter ? » Demande Novella qui n’obtient de la part de son interlocutrice qu’un mouvement de tête affirmatif et un sourire enfantin.

Asya est vraiment étonnée de tout, de la mode des personnes de l’époque. Un mélange entre du sobre et de la folie, parfois avec une pointe de futuriste mais vraisemblablement en oubliant le pratique pour l’esthétique. La façon de penser de cette époque est aussi cause de curiosité pour la jeune femme. Les membres suivent des pseudos règles tout en s’estimant avoir un libre-arbitre c’est assez incroyable comme contexte.

Après plusieurs minutes d’observation, Asya se permet même de voler une barbapapa. Oui ! Voler, car les commerçant de l’époque n’acceptent pas les Phyto-crèdits… Les cons… Si il savait que ça vaut dix fois la valeur de leurs argents, il ne cracherait pas dessus. Par chance il ne prévient pas les forces de l’ordre mais regarde avec un très mauvais œil la jeune femme.

Lorsqu’elle traverse le parc en empruntant le petit chemin de pavé, Asya remarque un petit garçon chauve qui semble triste. Elle s’approche et engage la conversation dans l’espoir de découvrir ce qui fait le malheur de se dernier. Elle teint se discours.

-« Et bien bonhomme, qu’es qui t’arrive ? »     
-« Je suis triste car j’ai un cancer. »
-« Bha… Il ne faut pas t’en faire. Tu n’en as plus que pour trois jours. »

D’un coup le jeune garçon pleure, alertant sa mère qui se trouvait non loin. La femme demande ce qu’il se passe et le petit garçon lui explique alors la conversation. La mère entre dans une colère noire et donne une gifle monumentale à Asya qui reste sur le cul.

«  Vous êtes un monstre » Hurle la femme en s’éloignant. Asya ne comprend toujours pas cet excès de violence et se tourne vers Novella qui ricane sans son cacher. Elle comprend au bout d’un moment que cette maladie est encore mortelle à cette époque et honteuse elle demande à la voyageuse du temps d’écourter sa visite.

Les deux femmes retrouve Katya devant l’université. Ils se cachent pour ne pas trop influer sue le destin de la super méchante. Ne pas changer les écrits trop brusquement comme dit Novella.

-« C’est donc elle ma grand-mère. Wouah ! Je ne savais pas qu’elle faisait du droit international. » Dit Asya en observant Katya avec des yeux qui pétillent.

-« Tu dois aussi connaître l’autre femme… c’est la meilleurs amie de ta grand-mère et également la marraine de ta mère. » Indique Novella en s’appuyant contre un arbre.

-« ça me fait bizarre… J’aimerais beaucoup lui parler. » Demande Asya en toute innocence.

-« Vous êtes trop proche dans le temps pour ça. Vous risquer de ne pas apprécier le voyage. » Dit simplement Novella qui commence la filature de Katya. Filature qui va porter ses fruits puisque juste avant que la jeune femme n’arrive chez elle, Asya et Novella remarque un démon se postant sur un muret et tenant un arc entre les mains. Il vise l’étudiante.

Asya sort alors son arme de prédilection le fameux pistolet mitrailleur et tire dans la jambe du démon. Celui-ci est alors déséquilibré et tombe brutalement sur une voiture créant ainsi un bruit tonitruant. Le combat n’est pas terminé, le démon se redresse rapidement. Asya jette un coup d’œil à une rue parallèle et remarque que Katya les regardes. Heureusement pour elle, elle détourne rapidement le regard et reprend son chemin. Novella s’approche du démon et invoque une grenouille géante qui d’une seule attaque avale entièrement le démon.

-« Nous n’avons pas terminée… Il reste un démon ici même. » Clame Novella en faisant disparaître sa grenouille. Les deux femmes se dirigent alors vers la maison de Katya. Elle remarque que le démon se trouve au sur le toit de la fameuse maison. Novella remarque qu’il n’a pas encore repéré les jeunes femmes aussi, elle demande à Asya de faire le tour et de lui trancher la tête chose qu’elle fait avec plus ou moins de difficulté.

Une fois la tête tranchée Asya entend la voie de Katya qui dit clairement : «  Putain de merde c’est quoi ça ! Mon haut tout neuf ! » Mais pas le temps de donner des explications les deux femmes doivent changer d’époque pour protéger un autre membre de la famille.   


Information complémentaire :

Prénom : Novella
Autre prénom : /
Age : ce n’est pas quantifiable, en dehors du temps et de l’espace.
Sexe : Féminin
Race : Siviyas
Nationalité : Nebesnyy
Pouvoir :
- Vague de chauve-souris explosive.
- Transformation en Araignée vénéneuse.
- Invocation d’une grenouille géante faisant guise de monture.
- Pluie de criquet anthropophage.
Arme : /
Autre : /

Prénom : Asya
Autre Prénom : Slava
Age : 25 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Nationalité : Fédération de Russie du 22 éme siècle.
Pouvoir : /
Arme :
-   Deux Sabres Tek’
-   Deux pistolets-mitrailleurs
Autre : / Possède un handicap à la jambe, handicap qui disparaît si on active les compétences spécial de ses jambes.

Prénom : Katya
Autre prénom : Echidna
Age : 21 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Nationalité : Russe et Américaine.
Pouvoir : Transforme la colère des uns en monstre.
Arme : Mitraillette.
Autre : Super méchante.

A venir :

Prénom : Katrine
Nom : Dvordoubinki
Age ; 27 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Nationalité : Royaume du Novgorod
Pouvoir : Loup-Garou
Arme : Faucheuse.
Autre : Princesse du Novgorod.



Sur cette image vous pouvez voir respectivement : Katrine, Anna, Katya et Asya.