Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Frau Van Lindermann

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Frau Van Lindermann

Pages: [1] 2 3 4
1
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 04 septembre 2017, 12:16:51 »
Finalement, après une bonne demi-heure d'isolement, les policier revinrent auprès de Smile, ouvrant alors la porte de sa cellule silencieusement, avant que l'un d'eu ne vienn à faire un geste de la tête en disant :

« Sort... Quelqu'un veut causer avec toi. »

La femme poussa alors un petit gloussement, avant de lentement se lever de son banc de béton, les mains solidement liées par des menottes. Sans en dire plus, la femme suivit donc les deux poulets sans broncher, croisant au passage d'autres de leurs collègues qui, au vus de leur regard, ne portait clairement pas le femme dans leur cœurs ce qui, au final, était clairement compréhensible, cette ville comptait déjà assez de maboule comme ça.

Les flics laissèrent ensuite la femme entrer dans la salle d’interrogatoire, seule, avant de laisser entrer une rousse en fauteuil roulant qui vint alors à faire face à la folle, enchaînant ensuite par de brèves présentations.

« Bonjour, Smile. Je m’appelle Barbara Gordon. J’ai été chargée de mener un entretien avec toi. »

« Est-ce que tu as entendu parler de moi ? »

La folle ne répondue pas immédiatement à la femme, nan, dans les secondes qui suivirent, elle se contenta de regarder fixement l'éclopée dans les yeux, avant de se reculer bien au fond de sa chaise, les mains liée devant elles.

« Hmmm. Peut être... oui...  » Dit elle d'abords en souriant très légèrement, avant d’enchaîner presque aussitôt. « Et toi... Ma tête te dit quelque-chose ? »



Pendant ce temps, derrière une large vitre teintée, le commissaire et plusieurs autres personnes étaient silencieusement entrains de regarder la scène quand un brève chahut se fit entendre derrière la porte, porte qui s'ouvrit faibrillement sur un jeune homme légèrement tremblant et mal assuré.

« Hmmm... commissaire... Euh... Faudrait que vous veniez vite fait... J-j'ai un truc à vous dire... »
Ledit commissaire fronça ses épais sourcils en regardant le jeune homme silencieusement puis... D'un regard il fit signe à Nathan d'attentivement surveiller l'intterogatoir, avant de s'en aller avec le jeune flic dans le couloir.

« Que ce passe t-il ? Je n'ais pas franchement envie de perdre mon temps avec des conneries alors tu as intérêt à avoir des infos qui valent le coup. »
« Hm... ça, pour valoir le coup... »
« Cesse de tourner autour du pot et accouche ! »

Le jeune homme ravala alors sa salive puis, en prenant un légère inspiration, il enchaina.

« Voilà... Il y a de ça deux heures environs, un cadavre a était retrouvé dans un chiotte de la Toussaint, ça serait une prostituée et- »
« Et alors ? Des cadavres ont à que ça ce soir ! Tu pense sérieusement qu'une pauvre pute à le mérite de pouvoir me déranger ? »
« N-non bien sur commissaire mais... Là c'est pas vraiment pareil... » Le jeune homme ravala de nouveau sa salive en se grattant la nuque. «  Eéééh... Comment dire... Il n'y a rien de sur, hein... »
« Accouche. »
« Bien... Alors celons les première estimations... Ce cadavre présenterais d'étrange similitudes avec... Alors je sais, ça paraît dingue, hein mais... »
« LA BARBE ! CRACHE LE MORCEAUX ! »
 Le jeune homme se pinça les lèvres puis, fini enfin par parler plus clairement.
« Le cadavre à était éventré... Délesté de son utérus et... Enfin en gros, ça suivrait le même procédé que fut La Duchesse... »

Le commissaire fronçât de nouveau les sourcils en serrant les poings puis, d'un ton sec il vint à dire.

« Impossible, elle est morte. Affaire classée. » Dit il avant de commencer à se retourner pour rejoindre de nouveau la salle où il se trouvait précédemment avant de se faire de nouveaux interpeller par le jeune flic.
« Nan attendez !... Les médecins légiste pense sincèrement que ça pourrait être elle... Je sais, ça paraît fou mais... » L'homme sortit alors d'une pochette de couleurs brunes différent clichés du cadavre. «  Regardait par vous même... Il... Les morsures semble à-priori correspondre à sa dentition... Le mode opératoire et le même et les médecins on récupérés plusieurs, poils et cheveux qui là encore au premières estimations semble... correspondre, tout du moins au niveau de la couleur...  Bien sur faut attendre que tout ça soit analysé mais... Ce qui nous fait clairement penser que c'est elle c'est le message laissé sur le cadavre... Même si, une fois encore, nous ne somme pas à l’abri d'un potentiel imitateur, hein... »

Le commissaire, silencieux, observât les clichés en gardant un air grave et sérieux puis, sans en dire plus, il fit un geste de la tête au jeune homme avant de rentrer dans la pièce d'enregistrement, cliché à la main, cliché qu'il transmis discrètement à Nathan au passage en lui disant ces mots :

« Regarde ça... et dit moi ce que tu en pense... vrai ou faux à ton avis ? »

2
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: mercredi 25 janvier 2017, 10:47:55 »
Lucrezia

Le jours pointait petit à petit le bout de son nez et, alors que l'aube dessinait dans le ciel une faible lueur rougeoyante, la sinistre Duchesse regagnait quant à elle son repaire à l'abandon... sa victime ? Elle l'avait laissée dans des chiotte publique, complètement mutilée de partout et avec un petit message adressé aux autorités policières (ou non) en prime.

Les mains de la Duchesse étaient légèrement tremblantes... Sa démarche était mal-habile et chancelante... ça fait tellement longtemps qu'elle n'avait pas tuée... Ce soir, ça avait fait boom dans sa tête... Et même deux heure après, ça la travaillait encore. Ce soir, elle était comme la cerise sur le gâteaux, un détail, mais un détail qui quand il serait révélée au autorité, dans quelques jours, ou semaines, allais avoir l'effet d'une bombe au seins de la populace de Seikusu... La Duchesse voyait déjà la gueule des pute en cuir et de la police lorsque la nouvelle tomberais... Oh... Les flics se dirait sûrement un truc comme « c'est un imitateur » mais au fond il seront que c'est faux, les médecins légiste on tout ce qui leur faut sur la victime... empreinte, cyprine, cheveux, salive... Alors nan, ils sauront que c'est pas une imitation... Mais il nierons les faits, comme des putain de négationnistes et pendant ce temps là, les cadavre tomberons et ils tomberont jusqu'à ce que la vérité surgisse, car il ne pourront pas garder éternellement ça sous silence.

She's'back. (bien sur, là, sur l'image, elle doit bien avoir plusieurs jours :3 )



Frau

Dans ta voiture, tu réfléchissait silencieusement... Tu faisais le points, en jetant par moment une œillade à ta mallette pleine de fric... L'argent... C'était un peu comme l'ange de la mort, il est invisible et pourtant... Il est la cause de millions de morts, de la guerre et de tous ce qui c'était plus ou moins passé ce soir... L'argent était sale, insidieux et traître mais comme le saint Graal, tout le monde court après.
Tu savais que rien n'était fini... Tu savait pas pourquoi ce con de Jethro était venue ici, dans cette ville de merde, pleine de tueurs sanguinaires et de mafiosi... C'était pire qu'Albuquerque à l'époque ou tu l'avais quitté et on à beau dire, les état unis n'était rien en comparaison de cette ville.

Ton regard vint à fuiter vers les trottoir du quartiers de la Toussaint... Les putes rentraient chez « elles »... Les mac ramenait le troupeau bien gentiment... C'était fini... La nuit s'éclipsait au profit de la lumière bienfaitrice du jours... Pour quelques heures du moins.

Tu arrêta ta voiture, un modèle lambda avec seulement des vitres teintée, tu pris ta mallette en regardant les alentours, puis rapidement, tu rejoignit un apparte dont Jethro t'avais donné les clés, histoire que t'aille un endroit ou crécher le temps que ça ce tasse. Rapidement, tu sortit lesdites clés que tu enfonça dans la serrure avant d'ouvrir la porte, d'entrer et de la refermer quasiment aussitôt en fermant les deux verrous au passage.

L'endroit était certes pas hyper luxueux mais... Pour un appart ce trouvant dans la toussaint, c'était relativement habitable... Pas de vermines, les murs étaient propre et ça sentant pas la moisissure, il y avait de l’électricité et l'eau courante... Ouai... C'était le strict minimum quoi. Tu balança mollement la mallette sur le canapé, avant de te diriger vers le frigo, frigo vide, ou presque, juste un pack de bière, deux bouteilles de soda et... C'est tout.
Les placard en revanche était plein de conserve et de bouffe impérissable.

Tout ça... Pour un pauvre maire à la con.



Smile


La mystérieuse femme clown était finalement revenue dans sa cellule, isolée des autres. Les flics avait eu beau essayée de la cuisiner, rien à faire... Impossible de l'intimider ou quoi que ce soit et, bien évidement, pas question de la passer à tabac, toute manière, à quoi cela servirait il, ça la ferait plus marrer qu'autre chose et ça risquait de faire du vilain si ça venait à s'ébruiter.La femme observait donc silencieusement les aller et venue des flics, certains tremblait sous l'abus de café et de cigarettes, et elle, elle ce bidonnait intérieurement en imaginant les petits stagiaire jongler entre paperasse et machine à café tout ça sous les hurlements de ses supérieurs, complètement en rogne car pas foutue d'avoir sur réussir quoi que ce soit en cette soirée.

3
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: dimanche 15 janvier 2017, 14:38:50 »
« Monsieur Jethro vous attend, Madame, glissa alors un homme qui s’approcha d’elle. Il est... Très curieux de savoir ce qui s’est passé ce soir. »

Tu n'avais pas répondue... T'avais pas franchement envie de parler de toute manière, cette soirée, c'était un putain d’enchaînement de merde et pour le coup, t'en avait vraiment plein le cul, il était que ça ce finisse... Silencieusement, tu regardât l'autre vieux, avant d'hocher de la tête puis d'entrer.
Le Plus important au fond, c'était que la came soit partit, tu l'avait livrée, t'étais en vie et libre, c'était là les trois ultimes points que tu pouvais retenir, les seuls qui comptes réellement, cependant, t'allais pas non plus faire comme ci de rien n'était, t'allais lui dire à Jethro ce qui t'était tombé sur la gueule, ho que oui.

En suivant l'autre tocards, tu farfouillât dans la poche interne de ton blouson de cuir afin d'en sortir une cigarette que tu porta a tes lèvres, avant de l'allumer, recrachant aussitôt un lourde bouffée de fumée. Impossible pour toi de savoir comment l'autre conne en combi' moulante s'en était sortit quand tu lui avait fait sauter ta caisse à la gueule, mais toujours est il, tout ça c’était derrière toi, au fond, c'était tellement Jethro qui t'avais demandé de la buter... Bordel, pas moyen d’aligner deux pensés sans que ça parte en couille dans ta putain de tête... Le sommeil commençait à vraiment te faire défaut, il était vraiment tant que tu raccroche pour ce soir... Vraiment.

« Il vous attend. »

Sans même regarder l'homme, tu entra dans la pièce, rien à branler de la politesse, de la vourtoisie de quoique soit, t'en avait ras le cul, point.
Une fois dans ladite pièce, tu aperçus Jethro sagement assis, avec un petit sourire narquois mais... Visiblement satisfait.

« Assied toi... Vas y... Et raconte moi un peu. »
« Te raconter quoi ? Hein ? Le merdier dans lequel je me suis foutu ? Putain... Tu te prend pour mon putain de daron maintenant ? »

Tout en tournant légèrement sur toi même, tu aspira fortement sur ta cigarette, posant ensuite une main sur ton fronc.

« La came est plus là... Ont a réussi, c'est tout ce qu'il y a savoir... Roooh et puis prend moi pas pour la dernière des connes bordel !!! » Lâchas tu sèchement avant de donner un coup de pied dans un bidon qui traînait là.
« Tu le sais ce qui c'est passé ! Bordel... Une tarée c'est pointée, les yakuza, l'autre pute en combi, les flics... PUTAIN D'MERDE MAIS C'EST QUOI... CETTE PUTAIN DE VILLE JETHRO !? »

D'une main tremblante, tu vint à porter ta cigarette au bout de tes lèvres, avant de légèrement te calmer.

« Ok... Ok... Fffffff... ça va... Mon fric... Maintenant. »

En recrachant la fumée, tu avait alors regardé l'homme dans les yeux avec beaucoup de colère... Putain, ça, c'était typiquement le genre d'enculé juste bon à vous faire sautez votre liberté conditionnel... Ok, c'était un ami, mais là, t'en avait largement assez vus pour ce soir.



Face à la folle... Un homme, un commissaire. Ce dernier semblait pas super jouasse, mais après le beau bordel que la clownette avait foutue, pas étonnant qu'il soit en rogne le poulet.

« Ton nom... PARLE BORDEL ! »
« Hooooooooo mais c'est qu'on pas de super bonne humeur... Par contre pas sur que de savoir mon om vas te permettre de te calmer... Nan sérieux... Mon nom quoi. Ahah ! »
« Tu veux jouer à la plus maline ? »
« Ouai... Je suis drôlement forte à ce jeu là... »

en disant cela, la femme hochât de la tête avant de ce remettre bien au fond de son siège.

« Tu sais... Il y a des hommes à moi qu'adorerais te frapper dessus... Femme ou pas femme... Alors je te conseil de parler... Et vite. »
« Ah ! Ahahahahaha ! Nan... Sans dec' ? Putain... J’espère que tu l'a coupé le micro là, hein ? Dit moi que tu l'as coupé, nan parce que ce genre d’aveux, ça vous ruine une carrière, commissaire... »

L'homme grognât avant d'attraper la femme par le colbac, approchant son visage très prêt du sien.

« Parle, sinon c'est ta gueule qu'on vas ruiner... »
« Pffrrt ! Sans dec'... » Lacha t-elle en bougeant sa tête de gauche à droite afin de montrer ses cicatrices à l'homme.
« Regarde... Il y a déjà quequ'un qui c'est amusé à me la ruiner... ma gueule, ahah ! Tu pense sincèrement que ce son des coups de matraques qui vont aggraver le truc ? Ahahahah ! Nan... Putain toi, tu me fait putain d'rire... Et dire que je pensait que les japonais avait pas le sens de l'humour... ahah ! »


Elle en avait... Strictement rien à battre.

4
des beretta ? Pfeuh !

Rien ne vaut la chevrotine et le calibre 50  8)

re-bienvenue quand même, Surimi.

5
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: vendredi 29 avril 2016, 15:45:54 »
« grrrmmpffr ! »
« Pour qui tu travailles ? Qui t’a engagé ? À qui est-ce que ce camion devait être livré ?! »
« Vas bien te faire foutre ! »

L'homme te tenait fermement contre sol et plutôt bien en  plus ! Cet enflure avait une sacrée force, toutefois, alors que tu revoyait déjà dans ta tête les porte de la prison s'ouvrir à toi… Un homme vint à intervenir… Avec entre les mains, la clé de ta liberté.

« Lâche-là ! Ou je la tue. »
« que… Le vieux ? »

Bordel, il était encore debout ce con ! Et putain… Il te venais en aide quoi ! Même pour toi, ça, c'était vraiment un truc « old school »… Les coéquipier étaient à présent plus habitués à se tirer dans le dos qu'a s'entraider mais se gars là, alors même qu'il aurait pu partir c'était pointé avec entre les mains une gonzesse, sûrement une des pouffes que t'était censée avoir butée… Mais bref, toujours est il, ce gars était là, face à l'armure et, visiblement, cette dernière était pas mal emmerder par la situation.

Puis… Après une brève discussion comme t'aimait en voir, l'armure te libéra et, à ce moment précis, au moment où tu vint à te relever, un énorme montée de haine vint à te prendre au tripes, t’ordonnant de fracasse la gueule à cet enculé en combi noire mais… Ton professionnalisme et les sirènes de polices ordinairement de remettre ça à plus tard, tu te contentas simplement d'un regard un brin supérieur, juste avant de rentrer dans l'un des voitures encore en état puis… Tu démarras.



« Hmmmpffrr... »

Au loin… La femme entendit les sirènes de police hurler… Mais… C'était vraiment lointains dans sa tête… Comme une voix qui, du plus profond de son êtres semblait lui rire au nez, alors même que les dites sirènes n'était à présent plus là… Smile se réveilla donc lentement de sa torpeur en faisant rouler sa tête tout en grommelant, avant de voir à ses poignet des menottes. La femme fronçât brièvement les sourcils puis, dans un premier temps, elle testa la solidité de ses liens, avant de comprendre qu'il était inutile d'essayer de casser ça, la faisant alors se tourner vers une solution plus rusé, se qui l’amena à observer lesdites menottes à la recherche de la serrure. La salle où elle était, était plongée dans le noir, ne lui laissant comme seule lumière une lampe de chevet, sobre, un peu dans le même style que celle que les flics utilises dans les interrogatoires… Puis… Alors qu'elle cherchait toujours un moyen de se libérer, un bruit diffus vint à l’interpeller.

« Hmm… Je savais pas que la police utilisait des moyens aussi peu orthodoxe... »


La femme était toujours aussi calme et impassible… Malgré la situation.



Tu avais rapidement roulée sans t'arrêter, avant de prendre un petit chemin terreux traversant les bois, pour ensuite rejoindre une route, puis enfin, la ville.
T'étais heureuse putain… Tu le montrais pas, bien entendue, mais au fond de toi, t'étais putain de jouasse ! Et… Lentement, alors que tu rejoignait la planque de Jethro, tu vint à tendre la main au vieux mec, sobrement, toujours… Mais ça, chez toi, c'était tellement rare que ça suffisait à savoir à quel poins t'était de bonne humeur, chose d'autant plus rare.

« Merci papi et… Je m'appelle Frau. »

Ouaip… Pas Dobermann pour le coup… Nan, lui, tu sentais que c'était un type de confiance et, par conséquent, tu pouvais te permettre de lui donner ton vrai nom, n'était-ce pas la moindre des chose après tout se que vous aviez vécus ?

6
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: vendredi 22 avril 2016, 23:54:05 »
« bordel... »

L'explosion t'avais littéralement soufflée et, à ,présent, tu pouvait entendre dans ta tête le sifflement significatif, t’abasourdissant les esgourdes tendis que, difficilement, tu entreprit de te relever. C'était l'enfer autour de toi, des flammes, des corps et, alors que tu titubait sur place en te tenant la tête, tu compris qu'une fois encore, t'était dans une belle merde.
« un flingue… merde… il me fait un gun ! »
t'avais parlées en allemand, comme une sorte d'instinct, ton esprit n'était pas encore tout à fait remit sur « pied », cependant, tes yeux d'aigle vinrent à t'avertir de la présence d'une silhouette sombre non loin de là… Qui était ce ? « encore un fils de pute… Hmpffrr ! » Discrètement tu te dissimula derrière une carlingue de bagnole, attrapant au passage un fusil d’assaut, un flingue et un couteau de combat, sur le coté de ton crane une large égratignure te maculée le visage de sang.

« Attend… Attend… Attend… »

Tu ferma les yeux brièvement, puis, calmement, tu inspira et expira de l'air, avant rouvrir tes mirette d'un seul coup, te relevant alors face à l'étrange silhouette en armure. Là, tu amorça le lance grenade ce trouvant sous le canon de ton fusil d’assaut, grenade qui vint alors à exploser à quelque mètres de ce type visiblement de la même « veine » que les autres pétasse, puis, après cette vive explosion, tu te mise à tirer à feu nourris sur ladite silhouette, les balle percutant la matière de son armure.

« Abattait moi ce fumier !!! » ordonnas tu alors avant de te remettre à tirer

Les balles fusèrent en une myriade de flash stroboscopiques, ton fusil crachant de l'acier sans discontinuer  vers ta cible, mais très vite, cette dernière vint à ce rapprocher dangereusement de toi, t'obligeant à parer l'un de ses coups avec la cross de ton armes, coup de cross qui fut suivie d'un violent coup de pied puis, quasiment instantanément, tu pointa ton arme vers cette espèce d'armure noiratre et…

« clic,clic,clic »
… Merde !

Cet alors que ladite armure vint à te charger, mais forte de tes réflexe et de ton expérience, tu esquivas l'attaque en attrapant au passage ton couteau de combat, couteau avec lequel tu assena plusieurs coup à cette énorme masse sombre avant de lui mettre un violent coup de pied dans l'abdomen, la faisant ainsi reculer de plusieurs pas en arrière.

« T'as pas choisie le bon soir pour me les briser fils de pute, quoi ou qui que tu soit, je vais te dérouiller la tronche. »

C'est vrai… Tu commençais à en avoir plein le cul de toutes ces conneries… vraiment.



Dans la tête de la cinglée… tout ce bousculait… Il y avait eu le combat… Puis un grand bruit sourd et maintenant, ce sifflement…. Sifflement qui semblait faire échos dans sa tête, cependant… Elle n'en était pas moins toujours en vie… Sonnée, mais toujours là. Lentement, la femme vint à ramper sur le sol en attrapant au passage une mitraillette qu'elle utilisa ensuite comme appuie pour ce relever.

« Huhuhu.. hmhmhm ! Huhuhu… »
Sur son faciès mutilé un large sourire continuait de s'affichait tendis qu'au milieux des flammes elle titubait et trébuchait sur le sol, avant de ce relever une seconde fois avant de ce faire craquer le cou.

« Allez… Allez me dit pas que tu est morte.. huhu… »


Elle fit un tour sur elle même en tombant une fois encore à la renverse tout en éclatant de rire cette fois ci puis… Pour la troisième fois, elle ce releva, autour d'elle, les flammes et l'odeur de poudre et d'essence… Tout ça la rendait complètement folle… Mais alors qu'elle tournait sur elle même en titubant, un silhouette noire l'interpella, la faisant sourire de plus belle.

« oooooh… toi… » Lâchât elle en pointant la silhouette avec son arme.

7
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: samedi 05 mars 2016, 18:17:57 »
« T’es qui, toi ? Encore une autre tarée qui veut se faire botter le cul ?! »
La folle était lentement entrain de ce remettre du coup de pied de la justicière. Elle était donc affalée sur le sol, la tête entre les bras, dissimulée sous ses cheveux verdâtres. Puis… Son dos ce mit à faire de léger soubresaut, trahissant alors une franche marade, alors même qu'une justicière masqué venait de lourdement endommager son véhicule en mettant au tapis l'un de ses hommes.
Lentement, la folle vint alors a ce rouler sur le coté en ce bidonnant, un immense sourire sur son faciès défiguré par un large « sourire de l'ange ».

« Houuuhouhahah… haha… ouuh... » Ricanât alors la Miss joker en ce relevant, légèrement titubante sur ses jambes. »Haaa... vous alors… C'est vrai que vous êtes tellement... incorruptible, haha ! » Lâcha t-elle alors en ce relevant lentement, ses long cheveux vert tombant devant son visage livide et maculé d'un maquillage rouge sang.
Cette femme était depuis peut l'une des nouvelles « cibles » de la police de Seikusu et ce, à cause des nombreux larcins qu'elle avait vraisemblablement commis ou, tout du moins son gang, allant du simple vole d'argent au vole de produits chimiques et même jusqu'au vole de réacteur à fusion nucléaire portatif.

L'étrange femme avait en ce relevant prit une barre à mine et, en penchant légèrement sa tête sur le coté, elle observa la justicière, encerclée par les deux hommes de mains encore debout tendis que le camions fonçait toujours malgré son état déplorable.

« B-boss, le camions de Méth est entrain de nous semer ! »

Sans vraiment prendre compte de l'avertissement du conducteur, La mystérieuse folle continuait de regarder Barbara, glissant alors l'une de ses mains dans la poche de son manteau violet… Avant de reprendre la parole d'un ton toujours aussi calme malgré la situation.
« Tu sais c'est quoi votre problème à vous, les « justiciers » ? C'est que.. HUM ! C'est que… Vous ne savez pas vous arrêter! »
Et hop, sur ce, la femme sortit de sa poche une sorte de boule en plastique qu'elle éclata contre le sol du fourgons, créant alors une légère détonations qui libéra ensuite dans l'habitacle une épaisse fumée noire.
« Aaaahahahaahaha ! »

Et là, bien évidement la femme vint a bondir vers la justicière en même temps que les deux autres nazes qui servait d'homme de mains à la tueuse clownesque, tueuse qui, dans une monté d'hystérie ce mit à frapper, frapper et encore frapper avant de donner un violent coup de pied dans l'abdomen de barbara, repoussant cette dernière contre le fond du fourgons où la fumée n'était pas encore présente. La s’élançât alors vers batounette mais cette dernière repoussa une vois encore la folle sur le sol, folle qui en s'étalant ria alors de bon cœur tendis que ses deux compagnons s'élancèrent à leur tour vers la justicière.



Bien que la vision de cette justicière soi-disant hors-d'état t'avais surprise, le fait qu'elle ce soit ruée vers l'autre malade te soulagea, Mieux encore ! Elle avait bien endommagé le camions de ladite folle, ce qui t'offrit un écart non négligeable entre ton camion et celui de la folle.
« Ok… On y arrive, prépare toi, quand on vas sortir vas pas falloir avoir les doigt dans le cul, je passe la mains au types de l'USWA et, pendant qu'ils foutent la malle, on s'occupe des flics, de la justicière et des l'autre pot d'peinture… » Avais tu dit à ton compagnons d'infortune en le regardant en coins avec un léger sourire. « Ok papi ? »
Au loin, tes yeux perçant pouvaient entrevoir les phare de plusieurs berlines garées légèrement en travers de la route, signe que bientôt, cette infernal course poursuite allait être close et, comme par un savant mélange de concours de circonstances, les effectifs policier avait bien baissés, la folle et la justicière était sûrement entrain de s'entre-tuer et toi, t'allait pouvoir t'en tirer sans trop de dégâts avec tout ton blé.



« Ok les gars… La cargaison arrive… Mais c'est bizarre… Il y a pas autant de « monde » que prévu... »
« Ont s'en branle, tous en ligne les mecs, on arrose ce qui est néfaste, on prend la cargaison et on ce tire. »
Sur ce, plusieurs homme sortir des voitures, armes de poings et fusil d’assaut à la main, prête à réceptionner la cargaison aussi vite que possible.



C'est bon… Tu y était enfin, au bout de cette sinistre et interminable nuit de violence. Rapidement, tu rétrogradas en gardant un œil sur l'autre camions qui était bien loin à présent et, une fois que tu fut à auteur des berlines, tu freina un coup sec, avant de prendre ton fusil à canon scié en laissant en même temps l'autre chauffeur prendre le relais. Deux type te remplacèrent donc toi et mike dans l'habitacle et s'en allèrent à leurs tours en te laissant accompagnée d'une dizaines d'hommes prêt à ralentir ce qui était encore derrière toi et Mike il y a de ça quelque minutes.

Mais… parce qu'il y a toujours un mais… Tu vint à voir l'autre camions débouler à son tour a toutes allure.

« Et merde... »
En voyant le lourd véhicule débouler, les hommes ce mirent à tirer à feu nourrit, crevant alors les pneu restant du camions à viande, tuant au passage le conducteurs qui, dans un ultime coup de volant reversât le véhicule sur le coté, véhicule qui produisit alors un puissant "BOM" avant de glisser vers les berlines en laissant derrière lui une traîné d'étincelle.
Tu sautas in extremis sur le coté e faisant par la suite une roulade, dans le but d'esquiver le camions qui fini sa course au milieux de la route, camions duquel de l'essence s'échapper à présent en un fin ruisseau qui rejoignit la carcasse de eux autres berlines qui avait eux le malheur d'être fracassées durant la collision.

8
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 25 janvier 2016, 17:44:40 »
Aaah… Les guramu… à cet instant, c'est trou du cul en costard était bien loin de ton esprit ! Cette barge en tailleur était de toute évidence beaucoup plus dangereuse car, contrairement à eux, elle ne semblait être mue par aucune putain de raison. Des barils, des lance grenades et maintenant un lance-roquette !? Tu était sérieusement entrain de te demander jusqu'où cette malade compter aller pour te mettre en pièce, toi et… Accessoirement toute la ville. On te disait violent frau.. Mais elle… Elle, elle était clairement au dessus, elle éclatât sans broncher l'hélicoptère de la police, un camions de transport puis, avec toujours le même putain de flegme, elle ce mit à te viser, ce qui, bien évidement te fit frémir, cependant, une roquette c'était lent et peut précis et, ton expérience en la matière t’indicât que, fort heureusement, les projectiles de cette timbrée n'était pas thermoguidés.

« Merde… Merde,merde,merde ! »

La femme ce mit alors à te viser tendis que le puissant bolide noire, lui, semblait vouloir en finir au plus vite avec cette barge, ce mettant alors a tirer sur le pneu de ce dernier et, alors que l'autre malade allait tirer sur toi, l'un des pneu de son véhicule vint à éclater, la déstabilisant ainsi durant son tire qui alla s'écraser non loin de ton camion, faisant vaciller le lourd véhicule qui ce souleva sur deux de ses roue avant de ce remettre en piste dans un puissant bruit de métal tout en te faisant légèrement bondir sur ton siège. Malheureusement, un tel choc ne fut pas sans incidence sur ta tenue de route et, avec hargne, tu tentât de reprendre le contrôle du monstre d'acier, tournant alors frénétiquement tes main sur le volant avant d'enfin reprendre le contrôle… Sauf que, voilà… bientôt, tu pus voir à ta gauche la cabine du deuxième camions benne.

« Hmpffr ! Nan les gars… Pas cette fois ! »

Et vlam, d'un coup sec, tu vint à repousser le véhicule, envoyant ce dernier ce manger un petit muret de bitume servant a délimiter les voies, reversant alors ledit camion benne sur le coté. Comme le vieux te l'avait conseillé, t'avais prit la prochaine sortie avant le péage mais… Encore une fois, un petit détail vint encore une fois à t'emmerder. D'une part, la nitro ne faisait plus « effet » mais, bientôt, un rapide coup d 'oeil dans ton retro vint à t'avertir d'une autre « surprise » de la part de la femme au cheveux vert… Une surprise bien lourde et bien plus mortel qu'un lance roquette… Assurément.



« Hmpffrr ! »
La crevaison du pneu fit tomber la folle sur le cul, la faisant lâcher son lance roquette par la même occasions. Fort heureusement pour Frau, batgirl avait réussit à déstabiliser le tire de la clownette mais… Malheureusement, la belle avait un autre as dans sa manche et, alors que deux autres hélicoptères de polices vinrent a faire le apparitions.

« Ok… » soufflat alors la folle en ce relevant, légèrement branlante sur ses jambes. « sortaient églantine... »
« V-vous êtes sur boss ? »
« J'ai dit… Sortaient églantine… MAINTENANT ! »
L'homme ravala brièvement sa salive, avant de ce déplacer vers l'arrière du camions avec trois autres de ses collègues, tendis que la folle au cheveux verts, visiblement de plus en plus en proie à la folie ce mit à dancer joyeusement en tapant dans les mains de manière rythmée.

« POLICE ! NOUS VOUS SOMMONS D’ARRÊTER LE VÉHICULE IMMÉDIATEMENT, NOUS NE LE RÉPÉTERONS PAS, ARRÊTER CE VÉHICULE ! »
Pfff… Autant pisser dans un violons, la clown était littéralement en transe et, en guise de réponse la femme leur tira simplement la langue avant de prendre une grande bouffée du produit que contenait son inhalateur. Cet alors que les quartes hommes revinrent vers le rebords du camions, faisant alors glisser sur un rail une lourde sulfateuse de calibre 50… Effectivement, les Guramu, à cotés, c'est des pédale, avec leur petit kimono et leur katana en plastiques.
« Haaaanw ! Eglaaantiiiiiiiine ! HAAAAAHAHAHA ! Aller les gars ! Chargeait là moi… j'en peut plus d'attendre ! »

La femme était entrain de trembler sur place sous l'excitation, tendis que les quatre sous-fifre fixèrent sur les deux coté de l'arme de longue chaîne de balles sortant de lourdes caisse militaires.
« Haaan… HAAAAN OUI !!! » Lâchât alors la femme en prenant les deux poignée de la sulfateuse en mains, avant d'enclencher d'un geste vif son joujou. Elle était littérament en fusion et, un œil observateur remarquerait sans mal les longs filint de cyprine dégoulinant des cuisses de la femme.
« Here… We… go »
La femme ce mit alors a tirer sans viser, balançant son fiel d'acier sur tout ce qui ce trouvait devant elle, fauchant plusieurs voitures qui, sous la puissance du calibre utilisé vacillèrent et, bien évidement, batounette s'en prit un peu dans la gueule aussi mais, fort heureusement pour elle, son char semblait blindé. »
HouuuuuhahahahahHAHAHAHAHAHHAHAA !!!! J'ADORE TUER PUTAIN !!!

La puissance d’Églantine était telle que les bras de Smile tremblait sous les tirs, tirs qui vinrent a ce tourner vers les deux hélico qui entre temps c'était eux aussi mit a tirer sur le camions, crevant alors un autre pneu au passage, faisant vaciller une fois encore le camions mais… Au diable le camions, la folle était littéralement en transe, ses yeux roulant de paire avec sa tête, les balles heurtèrent les hélicoptères, l'un d'eux prit alors feu et, alors que le pilote tenta de fuir, la femme l'acheva sans pitié et, le deuxième eut malheureusement droit au même sort.

IIIIIIHIHIHAHAHAHHAAAAAAHHAHA !!!! BANG BANG !!!! HAAAAAHAHHA
Les cartouches vides filait au rythme des tir de la femme, s'étalant sur le sol du camions avant de tomber sur la route dans une concert de « cling cling » significatif. La femme sautillait et taper des pied, de la bave coulant  légèrement de sa bouche tendis qu'un sourire sadique semblait restait figé sur son visage déjà « souriant »

« hnnihihihihihHAAHAHAHA ! »

Sa poitrine ce soulevait et s'abaissait lourdement et, en continuant de tirer (un peu n'importe où) elle vint à ce pencher en arrière ; Les hommes eux étaient… Sceptique et effrayés… Certes, avec leurs masque à gaz on ne pouvait pas voir leur expressions, mais… Ci… Ils étaient totalement terrifiés par cette femme qui, sans aucun remord balançait tout ce que cette machine avait dans le ventre, tuant civil, flics et en prenant le risque de faire exploser le camion de méth au passage car, bien évidement, Frau eut droit elle aussi à quelque balles dans son camions, fort heureusement, le blindage de ce dernier était suffisamment fort pour stopper les balles, même de calibre 50... Enfin, jusqu'à quel point ?



Cette femme était… T'en revenais même pas qu'elle ais en sa possessions un tel monstre et, t'en revenait encore moins qu'elle l'utilise avec aussi peut de précaution. C'était effrayant, tous simplement. Voir une telle cinglée balancer du calibre 50 comme ça… Enfin… C'était pas ton problème… Enfin ci ! Ci bordel ! C'était ton putain de problème car, bientôt, le bruit de lourds impact vint à te faire frémir sur place.
« Putain de merde… BORDEL MAIS FAIT UN TRUC !! » Hurlas tu alors en frappant sur ton volant sous l'agacement et… La peur. Oui Frau, tu avait peur là, enfin… Légèrement peur mais, au fond, n'était ce pas normal ? T'était au volant d'un énorme camion bourré d'un produit extrêmement inflammable et tu avait au cul une espèce de clown givrée et une justicière de pacotille !

Chienne de vie !

9
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: vendredi 22 janvier 2016, 22:17:58 »
La situation devenait de plus en plus critique… La mafia, cette missions, la police et… cette timbrée là. Nan Frau, tu ne rêvait pas et pourtant, dieu sais que tu aurais aimée ça, être dans un putain de rêve… Pourtant, et ça, tu devait bien l'admettre, la situation était critique mais… au fond de toi, il y avait cette lueur, cette flammèche eternelle avide d'essence, avide du fuel de la violence et de la colère, cette même flamme qui, dans bien des situation c'était transformée en un indomptable brasier… comme la fois où, par pure vengeance, tu t'était faite tout le gang de motard de ce fils de pute qu'était ton oncle, avant de lui ravager la gueule à l'essence. T'était la violence personifiée… Une étincelle et tu t'enflamme mais… Là… Avec la cargaison que t'était entrain de transporter, ton esprit te hurlait que... t’allait mourir… Ou, au mieux (ou pire) t'aller te faire coffrer.
L'homme qui était à ta droite vint alors à te dire que rester dans le tunnel autoroutier était un coupe-gorge et, d'un hochement de tête, tu répondit favorablement à son plan car, autant quand la police était seule, le coup du tunnel était plutôt bon, autant maintenant, avec cette malade à tes trousses… C'était carrément du suicide !
Cet ainsi que tu déviât vers l’extérieur, visualisant alors au travers du pare-brise criblé de balle le puissant projecteur d'un hélico. Mais bientôt, un bref regard vint à t'avertir de la venue d'un autre problème et… quel problème ! Une grosse bagnole noire vint à foncer pleine balle vers toi en s'occupant au passage de l'un des véhicules qui accompagnait le gang de cette mystérieuse psychopathe au cheveux vert.

« Bordel… »

Tes mains étaient légèrement tremblantes et, alors que tu continuait à foncer sur le bitume à travers les balle et les hurlement incompréhensible de l'hélicoptère et des sirène de police, tu vint à lourdement soupirer… Que devait tu faire ? Hein ? Continuer à aggraver ta situation ? Continuer à risquer ta vie pour un type qui, au fond, n'était peut être pas si blanc que ça à ton égard ? Oui car… Cette mission c'était clairement une opération de dingue… Pourquoi t'aurais t'il fait prendre autant de risque en sachant pertinemment que t'allait être dans la merde jusqu'au cou ?
« Putain nan… C'est moi qui me fait des idées… » vint tu alors à te dire en ton fort intérieur. Mais… Tu devais bien avouer que cette perspective était tout à fait envisageable.

Cet ainsi que, perdue dans tes pensé, a moitié en trains de perdre les pédales… Tu vint à prendre une décision… Celle de jouer cette valse à fond… Quitte à mourir, tu le fera avec panache, comme ton darons, comme la putain d'allemande que t'est. Tu t'allumas un clope et, avec la hargne au fond des yeux tu vint a silencieusement regarder le vieux qui te servais de coéquipier et… Avec un léger sourire, tu vint à lui dire :

« Aller…
Eine weitere für die Straße ...


Tu alluma ta cigarette puis, d'un coup, tu vint à utiliser la nitro, faisant alors cracher des flamme au tank d'acier que tu conduisait, reprenant alors l'avantage sur tes poursuivants.




« Ouaarg ! »

Et bam, voilà que l'un des hommes ce trouvant dans le camions vint à tomber à la reverse tendis que la mystérieuse femme au cheveux verts, pas le moins du monde affolée, sortit la tête du camions en haussant les sourcils.
« Hm… »
Elle fit alors glisser sa langue sur la paroi interne de sa bouche (un des nombreux tic que la femme a, preuve d'un problème psychiatrique sous-jacent.) et, quand l'un des camions-benne vint à crever en ce reversant sur le sol… Et bas, la mystérieuse femme émit la même réactions, c'est à dire… Rien. Mais bientôt, le camions remplie de méth vint à faire un grosse accélération tendis que le flash de l'hélicoptère vint à éblouir la carlingue du camions à viande, contraignant la femme à faire à ce couvrir le visage légèrement, avant de faire signe à l'un de ses acolyte d'apporter quelque chose.

«♫  boom… Quand votre coeur fait boom boom hm,hm,hm ♪ ♫  ! »
La femme ce mit alors un genoux à terre et, dans son dos, l'un des hommes vint à lui donner un… lance-roquette coco chanel plaqué or… ouaip, c'est pas une blague ! Le folle ce mit ensuite à viser l'hélico, ce qui, bien entendue fit réagir le pilote et son acolyte.

« non de dieux mais… MERDE ! RETROGRADE ! RETROGRADE PUTAIN !!! »
« ♪  hm hm hm ♫  !»

Et… Shiiiiiiiouf ! La roquette fila vers l'hélicoptère en laissant derrière elle une traîné violette, avant d'exploser le véhicule dans une grande bourrasque de flamme et d'acier carbonisé, laissant finalement tomber une épaisse carlingue d'acier sur l'un des fourgons de police qui poursuivait encore le convois.
«AaaaaaaaaAAAAHAHAHAHAH AH ! AH ! AH ! » s’exclamas alors la mystérieuse folle avant de refaire signe à l'un de ses hommes de lui donner une roquette, roquette qu'elle enclencha ensuite dans son engin avant de remuer la tête de manière a pousser dégager les cheveux devant son visage.
« Putain… t'es vraiment le plus beau de tout les sex-toys toi, MOUAH ! »
et hop ! Elle embrassa son engin avant de la lécher en regardant la batmobile et... de la viser.
Mais, faut dire qu'en pleine course poursuite, tirer sur des voitures c'était pas facile et, bien que les hommes masqués ais déjà bien fait le ménage parmi la police (et continuaient à le faire), la situation rester délicate. Mais voilà, alors que la femme était à deux pas d'appuyer sur la détente, le camions vint à rencontrer un petit obstacle (style gros cailloux ou truc dans le genre), ce qui le fit vaciller, faisant alors basculer la folle qui tira alors au hasard, envoyant alors la roquette contre un camions transportant plusieurs voitures, créant alors une violentes tempêtes d'explosion qui, à coup sur venait de faire jouir la chef du gang bariolé. Plusieurs voitures s'envolères et explosère, percutant le sol et quelque un du peut de véhicule de polices restant.
« houhou… houhouhou… Pfiouuu broom ! Hihihi hm,hm ! » Ricana la mystérieuse tarée en ce redressant, visiblement peu soucieuse du conducteur du camions qu'elle venait de pulvériser.
Là, elle prit en main son ultime roquette qu'elle enclencha avant de finalement ce remettre à viser… Le fourgon de méth… Ouaip, du coup, vus qu'il ne lui restait plus qu'une roquette, autant finir le tout en beauté.

« ♪ hm,hm,hm ♪ ! Bye bye la méth, ahaha ! Dommage... »

la femme visa… Posa son index sur la gâchette… Puis...

10
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: dimanche 03 janvier 2016, 21:08:54 »
« Police de Seikusu ! Veuillez arrêter immédiatement votre véhicule et vous ranger sur le bas-côté ! Tout refus d’obtempérer à notre ordre placera nos agents en situation de défense légitime ! »

Ce son… Quand tu l'entendit résonner dans le ciel, ce fut comme ci le monde entier s'écroulait autour de toi… Les condés… De tout ce que cette ville pouvait compter comme sale raclures, il avait fallut que ces fumier de flics pourris de merde soit avec les guramu. Cependant, était tu réellement étonnée par cette nouvelle ?

« génial… Les condés… BORDEL !! » Hurlas tu alors en frappant sur ton volant. Bordel oui… Pour le coup, t'était vraiment pas en veine.

Dans les air, les battements des pales d'hélicoptères ce faisaient clairement entendre, ce mélangeant alors au sifflement des sirène de police… L'espace d'un instant tu ferma les yeux en prenant une grand aspiration… Et tu chercha à faire le poins. Pourquoi diable avoir accepté cette missions suicide ? Pour l'argent ? Ou est ce que c'est juste pour l’adrénaline que te procurerait ce taff ? Combien de fois Frau… Combien de fois t'étais tu dit d'arrêter, hein ? Mais très vite, tu due sortir de tes pensés et, plus précisément au moment où le papi à tes cotés vint à te dire qu'il serait préférable de retourner  sur l'autoroute, sur sur quoi tu vint à lui dire :

« Ok… Mais faut d'abord ce libérer de l'emprise des coucous… Il y à une entrée d'autoroute souterraine pas loin… Par contre...  » Lâchas tu alors en tournant ton regard vers celui de l'homme. « Hésite pas une seule seconde à tirer … Si tu veux t'en sortir, j’espère que t'as pas trop de moral ni trop de sainteté en toi, car perso, moi je ferais tout ce qui est nécessaire pour m'en tirer… Même si ça implique te tuer massivement des civils, compris ? »

Le ton était sec, solanel et, une fois ta réplique fini, tu vint à tourner sur ta droite en fauchant au passage un poteau puis, à toute allure, tu alla t'engouffrer dans ladite autoroute souterraine.
Pendant ce temps, les autorités policière vinrent à ce faire passer le mots par radio et, bien évidement, depuis le temps, ils c'était tous mis en tête de tirer sur le camions.
« à toutes les unités, la cible prend l'autoroute au croisement de l'avenue nagato. Je répète, la cible prend l'embouchure souterraine au croisement de l'avenue Nagato »
« Bordel… C'est limite trop facile à ce tarif là... »
Il est vrai que conduire une camion remplis de mèth dans une autoroute souterraine n'était pas une idée florissante mais… Conduire à découvert, en proie au hélicoptères n'était pas forcement mieux non plus.



Mais alors que les premières voitures de polices vinrent à pénétrer nan l'autoroute, un gros camions poubelle vert et violet vint à ce mettre à hauteur de l'une d'elle, enfin, plus précisément à hauteur d'un fourgons. Le conducteur de ce dernier vint alors à tourner la tête en affichant une mine perplexe.

« Que... »
BLANG !!!

Les roue du camions benne vinrent alors a crisser, défonçant alors le petit muret en bétons, éjectant alors le fourgons sur le cotés.

« Bordel ! C'est quoi ce merdier !? »
« Les ritals ? »
« Nan… Les rital ne ce trimbale pas avec des putain de camions benne vert et violet… enfin.. Merde »
L'un des flics prit alors sa radio en mains, prévenant dans la foulés le reste du convois.
« A toutes les unité, un véhicules suspect viens de faire irruptions dans la poursuite... »
Mais bientôt, un autres camions benne ainsi qu'un camions de transport de viande vint à faire leur entrés à leur tour, Le camions benne venant alors percuter de plein fouet un voiture de police, la faisant alors traverser le bitume avant d'aller s'écraser dans le canal qui longeait l'autoroute.

« Mais Bordel, c'est quoi ce merdier ! »

Cet alors qu'en parallèle du camions de mèth, le gigantesque camions à viande (qui était du même acabit que celui de Frau) vint à ouvrir une large trappe sur le coté, offrant à la vus de tous, le visage maquillé d'une femme portant un tailleur jaune, un corset vert et d'une jupe mauve élégamment mise en valeur pas des bas résille vert bouteilles, le tout, surmonté par un grand trench violet. Ladite femme regarda calmement les alentours en tenant à la mains un talkie-walkie puis… Toujours sans stress et avec les cheveux au vent, elle vint à porter ledit objet à sa bouche.

« Okay les minet… Envoyez la purée… Je veut la méth… d'la méth putain… je veut, je veut je veut...  »

A ce moment précis, plusieurs hommes armés de lance-grenades et de fusil d'assaut vinrent à faire feu sur les autorité policière, explosant joyeusement plusieurs voitures au passages dans un déluge de balles, de feu et de gravas, les sirènes de police produisant alors un son distordu et s'écrasant sur le coté ou explosèrent, tout simplement.

« J'adore ce boulot… hMmmhmhm ! Je l'adore de trop putain ! »

Là, retenue pas une poignée, La femme maquillée vint à faire signe à l'un de ses hommes de ramener un gros fût de pétrole, fût sur laquelle la femme posa ensuite l'un de ses talons aiguilles avant de sortir un inhalateur et d'en prendre une bouffée. Puis, calment, elle remit l’inhalateur dans sa poche, remplaçant ce dernier par un pistolet, avant de faire basculer le fût sur la route, la femme visât puis... tira à feu nourrit sur ledit fût, faisant exploser ce dernier sur la carlingue de l'un des fourgon de police.
« BOOM BOOM AAAaaaaaaahHAHAHAAHAHHA !!!  Quand votre coeur fait BOOM !»

Cet alors que le regard de La femme vint à ce tourner vers le camion de Frau et, sans en dire plus, elle pointa son arme sur lui, tirant ensuite dessus jusqu'à ce que son chargeur soit vide, les balles rebondissant alors dans un bruit significatif.



Toi… T'était complètement à l'ouest, autant les flics, t'aurait sue plus où moins gérer mais là… Enfin, c'était quoi ça !? Et bordel c'était qui cette folle et pourquoi diable lui venir en aide si c'était pour lui tirer dessus juste après!?

« Cette ville est vraiment pleine de tarés putain… »

11
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: mardi 01 décembre 2015, 20:23:15 »
Quand les mitraillettes ce mirent à hurler et les balles à percuter la carlingue du véhicule, tu n’eus même pas la queue d'une réactions… Comme ci au fond de toi, tu savais que ça aller arriver. Tu resta calme, ton regard ce tourna bien vers le rétroviseur mais… C'est tout. Et ouai… Alors même que tu transportait avec toi suffisamment de méth pour te refaire plonger à l'ombre pour un bon moment, tu restais calme, froide et impassible. Enfaîte, même le coté « dangeureux » de ta cargaison ne t'effrayait pas outre mesure, comme ci tu laissais ton avenir au main du destin. Mais… Il serait bien idiot de croire ça car, au fond de toi commencer à brûler les flamme d'une colère et d'une hargne irrépressible. Puis… Après les balles, s'en suivirent des explosions qui vinrent alors à faire trembler le lourd véhicule que tu était entrain de conduire.

« La rue piétonne, à droite, vite ! C’est un foutu coupe-gorge, ici !! » s’exclamât alors l'homme.

Toi, tu suivit sagement son conseil car, de toute évidence, il avait raison mais… Très vite, des cocktails Molotov ce mirent à jaillir,venant ensuite s’éclater sur la carrosserie du camions dans de violentes gerbe de flammes. Mais encore une fois, tu resta calme… Enfin, ton visage ce crispa légèrement mais voilà quoi… Rien de bien flagrant. Tu vis ensuite l'homme sortir une arme de sa poche avant de ce mettre à tirer sur plusieurs hommes et… D'en tuer deux ou trois d'un tir bien placé. Cependant, toute ta concentration ce devait d'être mobilisé sur la route, tu prit alors une bonne bouffé d'air, avant d'attraper le levier de vitesse afin de passer a la vitesse supérieur. Le camions émit alors un « pchhh » significatif tendis que la fin de la rue piétonne ce dessinait devant toi. Tu jeta une ultime œillade à ton retro, retro dans lequel les seul véhicules que tu voyait était ceux des yakuzas qui continuait de tirer à feu nourrie sur la carlingue du véhicule. Mais voilà que bientôt, deux berlines noires vinrent à ce mettre en bout de route, juste à la sortit de la rue piétonne, sûrement dans l'espoir de t'arrêter… Mais voilà quoi, c'était mal te connaître que de croire qu'un simple tas de ferraille aller te stopper… Pas là… Pas maintenant… Ooooh grand non.

« Accroche toi papi… ça vas s'couer... »

Ton visage ce contracta d'un coup, exactement au même moment où ton pied vint à écraser la pédale d’accélération. Folle ? Sûrement… Mais quand on avait passer sa vie à faire toutes les sale boulots que ce monde peut offrir, on le devient forcement. Au début, les yakuza qui était dans les bagnoles ce mirent à te tirer dessus, sûrement dans l'espoir de t'arrêter mais… très vite, ils durent fuirent in extremis l'habitacle de leur foutu bagnoles de merdes, bagnole que tu cogna violemment avec ton pare-choc, envoyant alors lesdites voitures quelques mètres plus loin, tendis que derrière toi, les autres yakuza te coller toujours au train en te tirant bien évidement toujours dessus.

«Okay… t'as pas une grenade ou une merde qui explose par hasard ? » Vint tu alors à dire en regardant l'homme du coin du regard tout en tendant ta main droite vers lui.



Lulu

Au fond de toi, c'était comme ci toutes les lumières ce rallumaient une à une… Les rues crasseuses de la Toussaint et ses innombrable coins sombres et puis… cette pauvre pute tremblotantes là… Elle était comme la flamme vacillante d'un briquet sous la pluie, une sorte d'ange auréolé par la lumière d'un réverbéré miteux, une ange qui, fatalement aller mourir ce soir… Des mains d'une folle revenue de parmi les morts.

Tu aurais put lui parler, essayer de nouer un contact avant de lui sauter dessus mais… nan… L'envie était trop forte, c'était trop pressent, trop intense ! A peine t'avait elle vus, que tu avait bondis sur elle avant de la plaquer sur le sol humide de cette ruelle, ses talons aiguilles raclant l’asphalte luisant dans un ultime débattement. Toi, tu avait les mains poser sur sa gorge et les yeux injectés d'une folie sans borne, de tes lèvres s'écoulait un mélange d'eau et de salive qui trahissait une envie énorme, un désir incommensurable de meurtre et de sang, sang que tu sentait battre au travers de la carotide de la jeune femme, tendis que les yeux de cette dernière ce révulsait petit à petit… T'était entrain de l'étrangler et, certes, c'est vrai, tu était un peu entrain de « bacler le travail » mais… nan, c'est ce que tu voulait à ce moment là, au-delà du sexe, c'était de massacrer cette pute qui te faisait envie, tu voulais lui triturer les boyaux, lui arracher ses « glande de vie » et te masturber avec sa propre mains, tu voulais une boucherie, tu voulais sentir l'amertume suave et ferreuse de son sang ce reprendre sur tes lèvres et éclater sa vessie au dessus de tes nibard… glauque ? Pas pour toi, pas ce soir… Ce soir, c'était ton soir et cette nana, elle aller te servir d'instrument, comme une sorte de crayons signant ton retour en lettre de sang.

A croire que ce soir, Seikusu était empli d'une aura de maléfice et de violence et… Comme un ultime couplet à ce concert funeste… Un autre acteur ce préparait à intervenir dans cette valse macabre.




Dans un entrepôt situé non loin de la Toussaint

« Yo… Boss… Je viens de recevoir un message, nos indiques disent que le convoie est partit et que les yakuza sont déjà dessus. »

Là… Assise sur une luxueux fauteuil en cuir, une silhouette, vraisemblablement accoudé ce mit à rire avant de calmement ce lever.
« Ah oui… Et bien qu'attendons nous ? »
« Euh… oui ! Euh… Juste, moi et les autres on ce demandait… La dope tous ça… C'est pas votre rayons habituellement… Alors, pourquoi vouloir prendre part à cette gueguerre ? »

La silhouette, toujours à moitié dissimulée dans l'ombre vint alors a ricaner une seconde fois avant d'enfiler un long manteau.

« Parce que… ça n'a aucun sens… Justement. Ahah ! Il n'y à pas toujours de raison au actes… Des fois, il faut juste prendre le temps de s'amuser… Car après tout, la vie est trop courte pour ce prendre au sérieux. »

12
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: mercredi 04 novembre 2015, 19:31:22 »
 Tu descendit ton verre de whisky en restant muette comme une tombe. Tes yeux bleu luisait comme deux saphir irradiés par la lumière de la lune… T'était paumée, tu savait pas quoi faire… Guramu était bien trop gros pour toi et il avait derrière lui toute une armée mais… Jethro avait l'UWSA.
Toi, il fallait que tu récupère le reste de ton pognon et que tu mette les choses à plat, point barre.

« J'ai eu être trouver une solution pour ton… Petit problème financier. »

là, tu haussa un sourcils, intriguée ;

« J'ai contacté un homme très… Influent qui serait prêt à t'offrir le reste de la somme qu'il te manque en échange d'un… Petit service. »
« Un petit service ? »

L'homme ce racla légèrement la gorge avant de ce rapprocher de son bureau en joignant ses deux mains.

« Si je t'ai… Autorisé à détruire plusieurs dizaines de litres de méthylamines sans broncher frau, c'est que notre petite affaire connais de multiples... soucis à seikusu. L'UWSA  a eu vent de certaines fuites en provenances des autorités policières, certaines personnes auraient comme qui dirait caftées et... »
« Tu veut que je les liquides ? »

L'homme émit un sourire en soupirant avant de ce remettre a te parler.

« Nan… Le problème est autre. Malheureusement, le problème a prit une grosse ampleur et ce n'est plus qu'une question de temps avant que la police ne fasse un truc, un « gros coup » comme ils disent. De plus, des rumeurs circules comme quoi un nouvelle méth circulerait à seikusu, une méth rose bonbon qui elle, est pure à 100 %. »

Cent pour cent ? La nouvelle te laissa légèrement sur le cul et te fit même légèrement hausser les sourcils. Jamais une méth n'avais était aussi pure, même le cuistot d'Albuquerque n'avais jamais fait ça putain !
« 100 % ? sérieux ? C'est possible ça ? »
« Malheureusement pour nous, oui… On sais pas qui est le cuistot derrière ça mais putain… C'est de la bombe et… Tu vas rire mais elle est moins chère que la notre… Alors… forcement, t'imagine bien que pour notre marché, ça va pas.

Lentement tu hocha la tête en ne quittant pas l'homme du regard en signe de compréhension. Une méth pure à 100 % et qui en plus était moins chère (une chose que tu ne comprenait pas d'ailleurs) était forcement plus attrayante que la dope de Jethro qui, elle, n'était pure qu'à 86 %.

« Bon… Ok, c'est la merde, et ensuite ? »

L'homme s'humecta brièvement les lèvres, puis reprit.

« J'ai fait démanteler nos labos de méth, le gros du matos est déjà installé dans une autre ville nippone, plus sur et non « polluée » par cette merde rose. Toutefois, il reste tout un tas de méthamphétamine et de méthylamine dont j'ai pas eu le temps de me débarrasser. »
Silencieusement tu l'écoutait… Mais pour toi, tout était déjà clair, tu savait ce qu'il allait te demander.
« Je fait mettre tout le stock dans trois énormes camions, deux sont déjà partit ce matin mais… Il en reste un, il contient surtout de la méth mais aussi quelque bidons de méthylam- »« Abrège... »

Jethro marqua une courte pause puis…

« Je... Enfin, "nous" souhaitons que tu conduise ce camion… Hors de seikusu. »
« Et j'en fait quoi après de ton tas de merde, hein ? Et pourquoi moi ? »
« Il y aura un GPS avec l'endroit où tu doit livrer le camions, toutefois, ont pense que les Guramu et sûrement d'autre familles sont au parfums, mine de rien, le « monde du dessous » a de bonnes oreilles et ce, malgré toute notre bonne volonté  à vouloir dissimulé nos infos. »
« Ta pas répondu a toute mes questions... »

Un silence plana sur la scène l'espace d'un instant, avant que Jethro ne ce remette à parler.
 
« Tes la seule personne qu'il me reste en qui j'ai réellement confiance Frau… Et vus que tu as besoin de fric… Je me dit que t'a pas vraiment le choix. »
« J'ai toujours le choix... »
« Pas là nan… Pas là... »

Et là… tes poings ce crispèrent d'un coup tendis que ton regard cinglant vint a croiser celui de ce foutu connard de merde qui venait visiblement de t'embarquer dans une autre putain de merde sans nom.

« J'avalerais pas le truc sans mouffeter Jethro… Transporter un camtar entier de méth au travers d'une ville bourrée de flics et avec en prime une bande d'enculés de nyak au trousse… Nan mon gars… C'est pas la moitié de mon blé que tu vas me filer si je réussie… C'est le triple de la somme de départ, t'entend ! »
« La moitié frau... »
« le… Putain… de triple, Jethro… Sinon, je t'assure que ta putain de méth arrivera jamais a bon port. »
« La moitié, Frau. C'est pas moi qui fixe les règles pour le coup. »

Une fois encore un pesant silence vint à s'emparer de la pièce, un silence qui, en prime, ce chargea d'une sinistre tension naissante.

« Le triple… l'UWSA me donne la somme qu'elle a fixé, toi, tu me donne le reste. Et cherche pas à négocier avec moi, c'est pas parce que t'est le parrain de l'une des familles Italiennes les plus influente de cette putain de ville que t'arrivera a m'entuber, tu sais aussi bien que moi que ce soir, si je conduit ce camion… Je risque fort de me foirer, alors un conseil… Motive moi à le faire ton taff, sinon, trouve toi un autre chauffeur. »

Il hésitait… ça, tu pouvait aisément le sentir. Mais au vus de comment il semblait tenir à ce que ce soit toi qui conduise ce dernier camion et ce, en particulier ce soir, alors que le maire de seikusu avait était abattu et que plusieurs « actes » ont étaient commis, ça ne voulait dire qu'une choses… Que la situation était très urgente. La police et les unité spécial pouvaient être particulièrement traîtres et discrètes quand elles le voulaient et pour le coup, il vas sans dire que l'UWSA et Jethro avait était prit au dépourvue, autant pour cette nouvelle méth, ça aurait put s'arranger mais pour les flics, c'était une question de rapidité, plus vite la ville serait vidée de cette méth, mieux cela valait pour ce cher parrain et pour toutes ses connaissances.
L'homme fini toutefois par lacher un soupir avant de te dire sur un ton aigrie.

« Ok c'est bon… Tu les auras… Je te verserais la sommes en trois fois… Mais tu l'auras. »

Tu hocha la tête brièvement puis, par curiosité, tu vint à lui demander.

« Une dernière chose… Qu'est ce qui adviendra de la méth une fois que je l'aurais livré ? Qui est l'acheteur ? »

L'homme vint à finir son verre de whisky d'une traite avant de ce lever et de te tourner le dos en enfilant son manteau qui ce trouvait sur son dossier.

« Quel acheteur ?… Il y a pas d'acheteur… Je veux juste que tu éloigne ce truc de Seikusu… »
« Qu… Quoi !?  Comment ça ? »
« 680kg de Méthamphétamine et 50 bidons de Méthylamine, c'est cher. Malheureusement, on a pas eu d'acheteur pour ce camions là et on pas assez de temps pour l'écouler… Alors après, une fois en dehors de seikusu, fait en ce que tu veux. »
« ça me laisse combien de marge ?  J'ai droit a quoi ?»
«T'as carte blanche Frau… Fait ce que tu veux. Cependant, il ne faut pas que nos ennemis récupère la came et bien sur… Ne te fait pas prendre. »
« Carte blanche ? » Lâchas tu alors en haussant un sourcils.
« Carte blanche… Tout ce que tu considèrent comme une entrave à ta mission peut être détruit ou tué… Clair ? »

tu esquissa un léger sourire un peu crispé puis… tu clos la discutions par un simple :

« Oh que oui… »



un peu plus tard


« Alors autant te le dire tout de suite, cette machine c'est pas de la merde. Blindé à mort et armé d'un puissant v8, ce monstre a était pimpé spécialement pour ce genre de convois. Les vitres sont teintées, bien sur mais par précaution je serais toi, j’enfilerais un truc et- » « Ouai c'est bon, ta gueule... » 
 Répondis tu alors à l'homme en montant sur les marches en fer menant à la cabine du conducteur.T'étais vraiment pas jouasse et intérieurement, t'en menait pas large, surtout en sachant que la ville était bourré de flics et que les bande de bouffeur de chiens étaient au courants qu'une cargaison de méth aller être de sortie. Et puis… Cinquante putains de bidons de méthylamines… Sérieux, si un seul venait à exploser, pour sur que tu dirait au-revoir a ton jolis petit cul de schleu. Toutefois… Pour une raison que tu ignorais, cette folie furieuse te donnait une chair de poule de tout les diable, pas une chair de poule due à la peur, nan nan nan ! Une putain de chair de poule due à l'Adrénaline, due au danger et à cette putain de somme d'argent que t'aller recevoir. Calmement, tu t'installa donc dans la cabine en posant à coté de toi un fusil à fusil à pompe à canon scié puis, tu prit le volant en mains… Tu regardas ta gueule dans le rétroviseur, ton regard surplombant tes rayban aviator noires qui allait d'ailleurs de paire avec ton blouson de cuir noir que tu avait mis en passant par l'une de tes planque qui ce trouvait sur le chemins des docks. Ainsi vêtue, t'avait vraiment un look d'enfer pour ce qui aller peut être être ta dernière mission… Ou pas car, ma foi, t'était pas non plus du genre pessimiste, tu t'en était toujours bien sortie jusqu'à là, et puis… La taule, c'était pas vraiment ce qu'il y avait de pire non plus alors, dans tout les cas…

« Pffff… Aller, carpe diem ma grande, bouge cette merde et tache juste de rester en vie… »

Sur ce, tu démarras la bête et rien que ça c'était énorme… Bordel, le mec avait dit un « putain de v8 » mais bordel de merde, c'était un monstre ! Le vrombissement du truc était juste énorme et même pour toi c'était putain d'orgasmique. Derrière toi, cinq bolides étaient là pour t’escorter en cas de pépins et autant dire qu'au bruit que leur moteur faisait, eux aussi était parés pour la défonce.
Tu lanças un bref œillade a ton retro viseur gauche avant de poser ta mais sur le frein à main puis, l'espace d'un instant tu vint à repenser au quatre nanas que t'avait séchée ce soir en te disant qu'au moins, elles, elles viendraient pas t'emmerder. Mais alors que tu allais démarrer, un type vint à entrer avec toi dans l'habitacle du camions. Surprise, tu fronçât brièvement un sourcils puis, tu vint à dire sur un ton quelque peut agressif : « Putain… Mais tes qui toi !? »
« Hola… C'est cool… du calme, je suis là au cas où il y aurait un soucis, okay... »
Ton regard acéré observa le type de haut en bas avec agacement avant de lui répondre d'un bref hochement de tête. Puis, sur ce, tu démarra enfin la machine, prête à bouffer du bitume… Et de l'acier si l'occasion venait à ce présenter.



HRP / la méth rose provient de ma DC ===> Méthylamine Braum , dans sa fiche j'explique qu'elle commence à écouler sa dope à seikusu ^^

13
Prélude / Re : Le Bronx ? Mother's Fuckeeeeeeer's [Nora]
« le: mercredi 04 novembre 2015, 16:01:12 »
Salut le n... N... Ggnn...

*prend un bonne inspiration*

Nnnnouveau ! Voilà ! C'est ça que je voulait dire depuis le putain de début...
Un conseil, fait bien gaffe à ce que tu fait par ici, certaine personnes on la gâchette facile et les poings qui démangent.

*balance un mégot sur les pompes du gansta*

(en gros... elle te souhaite pas la bienvenue. mais moi oui, amuse toi bien :) )

14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 12 septembre 2015, 13:08:20 »
ça c'est pas glop par contre :/

13h05

bon aller, lets RP !

15
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: mardi 11 août 2015, 00:11:59 »
Le sang… tu regarde tes mains et tu te dis que, merde… T'as encore complètement craquée et au fond de toi, quelque chose te souffle que ça va pas aller en s'arrangeant… Tu ressert ton emprise sur le volant… Pied au plancher tu file sur la route, les réverbèrent font comme des flash stroboscopique et tu commence a te dire que la fatigue te fait disjoncter… Ou c'est juste toi… Où t'es capable d'aller comme ça… Hein ? Jusqu'où ? D'un seul coup, tu repense à ces malades qui court les rues en te disant que c'est pas toi… mais bordel ci.. Putain c'est toi ! Tu tue pas par justice ma vieille.. tes une putain de psychopathe et tout ce qui c'est passé ce soir est entrain d'faire comme une gros crac dans ta tête… Pourtant… Pourtant tu fonce vers Jethro.. Tu sais qu'il y a du « gros » derrière lui… derrière les guramu aussi, ce qui t'amène à penser que là, ce soir, dans ses chiottes… t'avais passer une étape.

La pluie s’abat sur ton pare-brise et lentement tes beaux yeux bleus ce lève et là… Tu te dit qu'un putain de miracle serait cool… Mais c'est pas le moment de ce mettre au bondieuserie ma grande, reste calme et lucide… Et remet lentement toutes les pièces dans l’ordre… Le Maire… Les Guramu, l'entubage, les justicières… Putain… Tu trempe dans cette merde jusqu'au cou, quoi que tu fasse, t'es prise au piège et tu connaissant, tu sais pertinemment que t'arrivera pas à t'en sortir sans faire de carnage… Bizarrement, l'idée de frapper encore te donne des frissons… On fuguasse regard en direction de ton bras vint d'ailleurs à confirmer la chose… Nan, t 'était loin d'être rassasiée Frau… T'était une sombre valkirie, une amazone faite de plomb et de haine… Un bidon d'essence consentement entourée par les flammes impétueuses de la colère.

Rapidement, tu te rapproche de ton but, les hauteurs de la ville s'ouvre à toi et il te fallut d'ailleurs pas plus de quelques minutes pour atteindre la baraque de Jethro. Lentement, tu ralentie devant son portail, un truc cossue avec des arabesque et tout le toutim.
T'attend quelque secondes devant… Secondes qui te parure interminables d'ailleurs. Mais tu pouvait pas en vouloir a ses tas d'cons d'êtres prudent, après ce qui c'était passer à l'Opéra. Finalement, le portail vint enfin à s'ouvrir, tu roule donc lentement jusque devant le propriété et là… Tu marquas une pause. Tu soupira un grand coup puis, lentement, tes yeux bleu cyan scrutèrent les gardes de Jethro en te demandant ce que tu devait vraiment penser d'eux, c'est enculés leur loyauté et celle de Jethro… Les gars te regardait… Toi aussi… Puis, après un court laps de temps, tu sortit enfin de ta caisse. T'avais une sale gueule et ça, les gars le remarquèrent bien vite puis… Tu claquas la portière d'un coup franc et en lançant un regard supérieur et haineux à chacune de ses merdes, tu vint à grimper les marches en marbre blanc menant à la demeure de Jethro. T'avais du sang sur la tronche, les mains, le torse… Tu t'était foutu sur la tronche toute la nuit et la fatigue commencer  à cravacher ton cerveau de malade mais… rien à foutre, tu continue, tu marche, droite et bien déterminer à en finir avec ce merdier de tout les diables.

Lentement, tu vas de toi même dans le bureau du mafiosi, comme une grande fille, tu rentre et là le type te regarde… Il est dans son fauteuil et sans rien dire il te regarde t'affaler dans le fauteuil qui fait face à son bureau. Le gars te mate avec son regard supérieur, un verre de vin à la mains en ce demandant sûrement dans quel était était les deux femmes dont tu t'était chargées, la question lui brûle les lèvres, tu le sais… Mais le mec laisse couler… Il veut que tu le dise… Toi… tu dit rien, tu le fixe, t'en peut plus, t'as fait un carnage de malade, cramée des meuf sans broncher et sûrement péter les seules durite qu'il te restait.

« Je... »

Qu'est ce qu'il vas te sortir l'enfoiré, hein ?

« Tu veux un verre ? »

Putain le con, il te propose un verre… Sérieusement, là, tout de suite, tout ce que tu voulais c'était lui coller ton poings dans sa gueule, ton fric et qu'on t'emmerde plus… Mais nan, au lieu de ça, toi, tu passe ta main droite dans tes cheveux soupirant avant de lui dire sur un ton monocorde et éreinté.

« Un Whisky… Triple. »

L'homme haussa un sourcil puis fit signe à de ses gars de te servir. Ledit gars te sert donc et ce reçois en guise de remerciement un regard froid accentué par ton petit air supérieur et cruel, le genre qui veut dire « merci connard » puis, tu prit ton verre en main, tu le porta à ta bouche et là, Jethro vint une nouvelle fois à causer.

« Elles sont mortes n'est ce pas... »
« J'lai ais envoyées en enfers ses putes… En théorie… Il en reste plus qu'une, une jeune, blonde, plutôt fortiche mais elle fait pas le poids contre moi. Si jamais il lui viens l'idée de revenir nous emmerder… Je lui éclaterais sa gueule et je le crèverais. »

L'homme te regardais silencieusement… Toi, tu le regardait pas, mais dans le silence ambiant, tu l'avait entendus ravaler sa salive… T'était flippante Frau… Ce mec te connaissait et tous ces gars là… Il savait tous plus ou moins de quoi t'était capable.



lulu

Seikusu… Cette ville t'avais vus naître… Elle t'avais vus grandir, elle avait vus ton enculé de père crever puis Ta tendre mère puis… Toi. Dans ta tête, les souvenirs une fois encore remontaient à la surfaces, tantôt poisseux, tantôt durs. Mais là… Là plus tu avançais vers le quartier de la toussaint… Plus tu sentait ton cœur battre, renaître… Tes yeux vide s'emplissant d'une lueur funeste tendis que ta visons, elle, vint à radicalement changer.
Tu empruntât dans un premier temps les ruelles sombre et les petit passage mal éclairée, avant de brièvement passer par le parc avant d'enfin voir au loin les immeubles pourris de la Toussaint ce dresser devant toi, avec ici et là, la lumière diffuses des néons multicolore de tout ces bars à putes immondes au relent de sueur, de tabac froid et de chatte.

Plus tu approchait et plus tes babines s'échauffaient… Petit à petit, tu perdait pieds mais… Tu te sentait renaître à nouveaux. Ce soir, t'aller enfin revenir…
Du parc, il te fallut encore une bonne petite quinzaines de minutes avant d'enfin arriver à la Toussaint et… Une fois rendue, dieu que tu ne fut pas dessus.

« Je suis de retour… Mes jolies. »

Lentement, d'un pas lugubre te vint à emprunter d'autres ruelles sombre, plus salle et lugubres que les autres. Ici et là, sa sentait la pisse, les ordures et la mord mais, le quartier de la toussaint avait aussi pour lui un parfum plus « suave » une odeur torride que tes narines savait pister à plusieurs mètres autour de toi… Tu la connais cette odeur au rabais, tantôt trop sucrée tantôt saveur « désodorisant pour chiotte » ce mélangeant à l'odeur du maquillage, des capote, du chewing et, des fois, du sexe frais. Cette odeur qui te faisait mouiller comme une salope, comme seule le musc d'un homme peut le faire… L'odeur des putes ! Tu emplie tes narines de cette puanteur ambiantes et… Tu rouvrit tes yeux… Luisant… Avide… La Duchesse était de retour mes agneaux et ce pour vous offrir le plus beau des silence. En route, la pluie vint à s'inviter à cette sinistre marche funèbre mais toi, t'était ailleurs, tu t'en foutait et pour preuve, une espèce de femme t'avais semble t'il demander l'heure mais… Visiblement pas interresée, tu l'avait totalement larguée.

Mais au final, après plusieurs interminable minutes de marche… T'avais vus au fond d'une ruelle une jeune femme isolée… Et là… ça avait fait ding dans ta tête.

Pages: [1] 2 3 4