Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - El MacKenzie

Pages: [1] 2 3 4
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 23 avril 2010, 23:38:18 »
23h37

Pas besoin de me critiquer, je m'en veux toute seule ^^'

Et puis je vais déjà voir si j'arrive à me remettre dans le bain... Mais je ne peux pas jouer toute seule ^^'

2
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 23 avril 2010, 23:30:35 »
23h29

T///T

*se fait toute petite*
Pour ma défense, je n'arrivais pas à me connecter... :'(

Mais je veux bien tenter de me rattraper ! ^^

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 23 avril 2010, 23:23:54 »
23h23


Revenante ? Genre drap blanc et "hou hou" ? ^^

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 23 avril 2010, 23:13:32 »
23h11


Bonjour bonjour ! ^^

Enfin bonsoir ^^'

Oulà ! Il y a du monde ! Plein de gens que je ne connais pas !

5
Il était tard. Bien plus tard que ce qu'avait pensé Ophelia en quittant finalement la librairie. Ses achats lui seraient livrés dès le lendemain. Elle appréciait ce service, d'autant plus que le vendeur lui avait proposé de s'en occuper lui-même alors qu'elle l'avait retenu pendant des heures, après même l'heure de fermeture de la boutique! Comment aurait-elle pu deviner que ledit vendeur était surtout un jeune homme qui vivait seul et fantasmait sur les étrangères comme en attestait sa collection de films pour adultes? La réponse était qu'elle ne pouvait pas le savoir. Ce qui faisait qu'elle se contentait d'apprécier l'aubaine : elle rentrait chez elle les mains dans les poches ou presque alors qu'elle avait acheté environ 28 livres et pas des moindres.
Tel était sa drogue : elle lisait beaucoup. Surtout qu'elle n'avait encore pas beaucoup d'amis, et encore moins de repères. Dans ces cas-là, elle préférait encore se pelotonner dans le nid qu'elle s'était aménagé et se faire plaisir à sa façon.

Or donc, il était bien tard. La nuit était déjà tombée depuis un certain temps. C'est fou comme un éclairage différent peut changer les choses : maintenant qu'il n'était plus éclairé par la lumière du jour, Ely manqua son croisement. En revanche, elle repéra un carrefour brillamment éclairé aux néons et prit cette direction sans vraiment y prêter attention. C'est ainsi qu'elle se retrouva dans un quartier qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle ne tarda pas à trouver... étrange. Abasourdie par ce qu'elle voyait, elle estima plus sage de changer de voie. Le cas échéant, elle reviendrait quand elle y serait prête et préparée...

Ely choisit donc une petite rue sombre dont elle pensa qu'elle la ramènerait vers ses pénates. Malheureusement, elle n'était pas du tout où elle le pensait suite à cette histoire de croisement, de sorte que son initiative la conduisit dans une ruelle qui s'éloignait de l'agitation sulfureuse certes, mais qui ne la rapprochait pas d'abords plus civilisés. L'endroit était sale, mal éclairé et elle avait du mal à voir où il la menait. Commençant à s'inquiéter, elle songea qu'elle devrait peut-être rejoindre l'artère précédente, plus peuplée afin de demander son chemin. Mais son stupide orgueil l'en empêcha. La jeune rouquine préféra continuer un peu, songeant qu'il serait toujours temps de faire demi tour plus tard mais qu'en continuant un peu, elle trouverait peut-être son chemin par ses propres moyens.

Elle portait des bottes de moto (souvenir de ses virées en Harley avec son frère), de longues chaussettes rayées de noir, de vert, de pourpre et de bleu; son short de jean et un pull trop grand en laine noire que tendait néanmoins sa poitrine. Sa peau pâle tranchait sur sa tenue presque autant que ses mèches rouges. Elle n'avait rien dans les mains, ses papiers et sa carte de paiement étaient dans les poches arrières de son short, sa clé accrochée à une chaîne à un passant de ceinture... Elle n'avait besoin de rien d'autre et ne s'était pas encombrée.

6
Ophelia ne put que se féliciter de la jouissance de son élève. C'était pour elle comme une preuve qu'elle faisait bien son travail. Elle avala sa semence avec autant de délice que s'il se fut agi d'un verre de thé glacé en pleine canicule. Comme elle l'avait pensé, il y avait un petit quelque chose de différent dans le goût... Pas désagréable. La jeune Ecossaise en était à se demander si chaque homme avait son propre goût ou si cela tenait simplement de la différence de régime alimentaire entre la Grande Bretagne et le Japon. Questions totalement oiseuses et qu'elle s'empressa d'oublier quand il la fit s'assoir à nouveau sur ses genoux.
Avant qu'elle ait eu le temps de protester ou juste de dire quelque chose, elle se cambra sous la caresse de son souffle contre son oreille comme il parlait tout bas à son oreille.


- Je... Je vais encore apprendre des choses alors?

Le contact de sa langue chaude et humide sur sa peau lui arracha un frisson et fit se terminer sa phrase sur un gémissement. Résistant à la tentation de presser contre son corps brûlant les mains de Saika, elle passa une main derrière elle pour caresser les cheveux de son élève, l'autre effleurant le bras qui ouvrait son short. Elle rougit bien pendant un moment en songeant que sa culotte de coton rose devait être mouillée, mais il ne sembla pas y prêter attention.
Elle bougea ses hanches comme pour se presser contre cette main mais s'immobilisa pour murmurer entre deux soupirs :


- Je... Je vais te faire mal... Ta blessure...

Sur ses mots, elle tenta de se dégager pour se relever de ses genoux mais ses jambes semblaient à peine à même de la porter.

7
Chacun des compliments de Saika était comme un tison passé sur sa peau. Ely avait l'impression d'être brûlante. Quand il lui annonça qu'il allait jouir, elle lui sourit d'un air gourmand et répondit de sa voix la plus veloutée :

- C'est le but, non...?

Elle accéléra un peu les mouvements de ses seins, alternant un instant leur direction, en montant un tandis qu'elle descendit l'autre. Sa bouche reprit sa place sur son gland et quand elle sentit l'excitation monter en elle, elle décida qu'elle devait le faire jouir. Elle le voulait. Elle voulait sentir son sperme dans sa bouche et se demanda confusément, bien que son esprit fut embrumé, si cela aurait le même goût qu'avec son frère. Tandis qu'elle serrait sa poitrine autour de la base de sa verge, elle le prit plus loin dans sa bouche en aspirant légèrement.
La bouche pleine, elle lui lança un regard suppliant comme pour l'implorer de jouir entre ses lèvres.
Elle ne détournait pas les yeux, voulant lire le plaisir et le soulagement sur son visage.

8
C’était une chance pour la jeune femme au maillot noir : Ophélia avait justement ralenti son rythme pour observer le groupe d’enfants, se demandant ce qu’ils fabriquaient ici à une heure pareille. Son père, en tout cas, n’aurait jamais permis que son frère, sa sœur et elle se comportent ainsi, en public comme en privé d’ailleurs. En privé plutôt, puisqu’ils avaient une piscine intérieure que ce soit dans leur maison londonienne ou dans le château de ses ancêtres en Ecosse. Il fallait dire qu’elle était très complice avec son frère et sa sœur –même s’ils ne l’étaient pas entre eux elle les tempérait sans s’en rendre compte- et s’ils s’amusaient parfois à chahuter un peu, ils n’auraient jamais pris le risque de déranger un tiers –surtout ses parents qui savaient leur faire comprendre leur mécontentement d’une façon cuisante-.

Barbotant tranquillement donc, la jeune Ecossaise songeait qu’il était heureux que la piscine ne soit pas trop fréquentée à cette heure sans quoi cela aurait pu créer des problèmes, un enfant mal habile dans l’eau, une personne âgée qui ferait son aqua gym, ou que savait-elle.

C’est pourquoi la surprise l’empêcha de réagir tout de suite, quand une jeune femme trouva le moyen de se mettre dans la situation qu’elle avait imaginée sans la croire possible. Pendant un instant, Ely imagina même que la nageuse au maillot noir faisant semblant pour donner une bonne leçon aux gamins. C’était ce qu’elle-même aurait fait… à moins qu’elle n’ait plongé la tête des garnements sous l’eau pour leur apprendre la vie. Rapidement, pourtant, elle réalisa que la jeune femme ne faisait pas mine de reprendre contenance. Soit elle poussait son jeu à fond, soit elle avait réellement perdu pied.
Elle n’hésita pas plus longtemps : mieux valait prendre le risque de se faire honnir d’insultes plutôt que de mettre en jeu la vie d’une jeune femme. Dans la mesure où le maître nageur ne semblait pas avoir remarqué quoi que ce soit, elle traversa en deux mouvements de crawl la distance qui la séparait de l’incident. Esquivant un bras de la jeune « nageuse », elle plongea pour l’attraper sous la poitrine et la remonta, la tenant fermement contre elle pour lui éviter de sombrer à nouveau.


-   Calmez-vous mademoiselle… Tenez-vous à mon cou, je vais vous ramener vers le bord…

Elle lui frottait le dos comme pour l’aider à reprendre son souffle. Un instant, elle foudroya du regard les gamins qui n’en menaient pas large avant de reporter toute son attention sur sa « noyée ». Elle continua de l’entraîner vers le bord, et de là vers le petit bassin.

9
La jeune femme était désespérante. Charmante, envoutante mais absolument désespérante ! Ophelia ne savait plus quoi faire pour la convaincre qu’elle n’avait pas besoin d’excuse, ni même d’aide sans se montrer impolie. Souriant d’un air gêné, elle se laissa donc entraîner, bon gré, mal gré. Enfin bon, si ça pouvait lui faire plaisir…
Désireuse de ne pas l’accabler d’avantage, elle la rasséréna quant à son accent :


-    Ne vous inquiétez pas. Votre prononciation n’est pas si mauvaise… Mais vous n’avez qu’à m’appeler Mac… Ou Ely, ce sera aussi simple !

Ely n’était pas du genre à se montrer offensée par ce genre de détails. Elle savait qu’en vivant au Japon, elle devait faire avec la prononciation japonaise comme avec la culture nippone et qu’elle resterait quoiqu’il arrive une gaijin. Alors autant mettre à profit toute la bonne volonté qu’elle avait à disposition. Si cela passait par laisser tout le monde lui donner des petits noms, ainsi soit-il ! D’autant qu’elle se serait sentie vraiment cruelle de faire la difficile avec cette charmante personne à laquelle non seulement elle avait donné l’une des peurs de sa vie mais qu’elle persistait à déranger selon elle.
C’est cette même volonté de se montrer avenante et conciliante avec Yuri qui la poussa à se laisser asseoir. Elle poussa même l’abnégation jusqu’à ne pas protester contre la responsabilité réelle ou imaginée de la jeune femme aux cheveux de jais dans son accident malencontreux ! Au lieu de ça, elle prit une profonde inspiration pour étouffer une bouffée de gêne et reprit en souriant :


-   Vous êtes vraiment trop gentille. J’accepte avec plaisir et reconnaissance.

Ce qui ne l’empêcha pas de sortir son flacon d’alcool et une compresse stérile pour nettoyer sa plaie. Elle retira ses rollers et resta en chaussettes (rayées blanc, fuchsia et rose), s’accordant le temps de décider si elle rentrerait à pieds ou si elle referait le chemin en rollers.
Ophelia ne voulait pas embêter encore Yuri, ni paraître vouloir la chasser, mais elle se demandait tout de même si le souci que l’asiatique faisait de son sort n’allait pas lui créer des problèmes en l’empêchant de vaquer à ses occupations !


10
La première réponse de son élève ou de son maître, ne la satisfît qu'à moitié. Elle savait ce qu'était le plaisir. Mais elle doutait fortement que son orgasme soit absolument nécessaire à celui d'un homme. En outre, il n'avait pas fait mine d'approcher ses mains de son intimité, seule façon que connaissait Ely pour jouir... La seule qu'elle parvenait à envisager après toutes les préventions que lui avait imposer son frère et sa soeur sur ce qu'il était permis ou non de faire avec un partenaire. C'est donc avec une moue dubitative qu'elle lui répondit tout d'abord. Mais elle ne tarda pas à avoir autre chose en tête comme il stimulait son sein.
Le plaisir l'embrumait tant qu'il lui fallut un moment pour comprendre cette nouvelle consigne. C'était avec un enthousiasme renouvelé qu'elle quitta le siège de ses cuisses -en veillant à ne pas frotter sa brûlure- pour s'agenouiller à nouveau entre ses jambes. Finissant de retirer son haut, elle le lança négligemment sur le bureau pour ne plus avoir à s'en soucier. Se penchant vers lui, elle posa une main sur le côté de chacun de ses seins et en entoura la verge de Saika. Après une légère hésitation, elle pressa plus fortement ses globes fermes, savourant le contact nouveau sur cette partie de son corps.
Elle le regarda intensément au dessus de ses petites lunettes pour lui demander d'une voix légèrement voilée :


- Comme ça, Sensei...?

Ely commença alors à masser le pénis du garçon avec sa poitrine, de la base jusqu'en haut. Le gland dépassait juste de la vallée entre ses seins, et après une légère hésitation, elle redescendit au même rythme et prit le bout de son sexe entre ses lèvres, le stimulant de sa langue au rythme qu'elle utilisait déjà pour presser ses seins contre lui.

11
Ely avait pensé qu'il proposait de lui enseigner des gestes pour parfaire sa fellation, aussi se laissa-t-elle faire bien sagement. Elle s'installa à califourchon sur lui, bénissant le ciel qui l'avait faite si légère (au pris d'une activité physique régulière mais il fallait savoir apprécier le merveilleux dans chaque chose!) et un gémissement lui échappa en sentant les lèvres de Saika dans son cou. Décidément, elle aimait beaucoup ce genre d'occupation : elle s'en rendait compte un peu plus chaque fois que ce genre de situation se présentait... Glissant une main dans les cheveux de Saika, elle laissa son autre main descendre de son épaule à son ventre et sourit à son compliment.

- Merci, Sensei...

Elle frissonna sous ses caresses, les mains du garçon réveillaient en elle de doux échos, la nuit précédant son départ, son entretien d'embauche...
Mais elle n'était pas forcément satisfaite : elle devait et voulait s'occuper de lui et non l'inverse! Elle voulait qu'il lui apprenne des choses mais surtout qu'il lui enseigne comment lui donner du plaisir. Les doigts d'Ophelia glissèrent jusqu'à son sexe, le caressant à nouveau.


- Je pensais que tu voulais m'apprendre à m'occuper de toi...

Ses lèvres formaient une petite moue déçue, comme si on lui avait pris son jouet. Elle ne détestait pas ce qu'il lui faisait, loin de là mais ça ne correspondait plus vraiment à la tâche qu'elle s'était fixée de le soulager.

12
Gymnase en plein air et piscine / La mer... qu'on voit danser... [PV Yuya]
« le: jeudi 27 novembre 2008, 02:14:44 »
Après une rude journée, Ophelia s’estimait en droit d’aller piquer une tête. Elle avait du régler cette histoire de piano avec les assureurs (aussi rapiats qu’en Europe : elle n’en revenait pas !), puis ce petit détail ridicule à propos de cette fille qui avait fait une chute dans les douches (ce, sans faire allusion aux activités rien moins que morales qu’elle pratiquait  avec sa voisine de chambrée au moment de l’accident… Ely ne savait même pas qu’on pouvait faire ça dans cette position !). Oui, elle l’avait bien méritée cette virée à la piscine municipale.

Heureusement que les installations n’étaient pas très éloignées de l’école, sinon elle n’aurait pas supporté l’absence de bassin sur le campus ! Arrivée à l’entrée, elle présenta sa carte. C’était nettement plus économique que d’acheter des billets pour chaque visite. Devant l’entrée, elle s’assit sur un rebord qui entourait une fontaine et ôta ses rollers pour enfiler une paire de ballerines rouges à pois blancs. Sa robe légère lui arrivait à mi-cuisse et était blanche avec des boutons rouges de tailles différentes sur le devant. Ils n’étaient pas fermés jusqu’en bas et sa jupe qui voletait en dévoilait un peu plus que ce qu’elle aurait cru. C’était ça d’être impatiente.
La robe était ceintrée sous la poitrine, la mettant délicieusement en valeur. De son sage col marin, dépassaient deux lanières rouges à pois blancs –comme ses chaussures- qui se réunissaient derrière sa nuque en un nœud.

Elle salua le jeune homme de l’accueil et sautilla presque jusqu’aux vestiaires des femmes. Elle en eut pour deux secondes, le temps de retirer sa robe et ses chaussures. Son deux pièces rouge à pois blancs moulait sa silhouette comme une deuxième peau. Le bas, un shorty taille basse allongeaient ses jambes tandis que son haut, deux triangles montés sur des lanières, dissimulait difficilement ses seins.

Dès qu’elle eut laissé ses affaires dans la petite armoire, elle glissa la clé autour de son poignet et partit rejoindre la piscine, sa serviette arborant le tartan de MacKenzie sur son épaule. En général, elle venait le week-end ou passait pendant sa pause de midi mais ce soir-là, elle était à une heure de la fermeture. Il était 20h30 et l’endroit était occupé par les dernières personnes qui, comme elle, n’avait pas pu se libérer auparavant. Elle fit quelques mouvements pour s’assouplir mais il n’était pas vraiment question d’échauffement après son trajet en rollers. Ely s’accroupit près du bord et se mouilla les mains pour mouiller sa nuque, son ventre et sa poitrine. Sa mère lui avait toujours dit qu’il fallait éviter l’hydrocution. Même si le conseil était un peu superflu dans un bassin chauffé.

Quand elle eut fini, elle plongea souplement dans le grand bassin (après avoir vérifié qu’il n’y avait personne dessous bien sûr), nageant sur quelques mètres avant de refaire surface. L’eau dans ses cheveux et tout autour d’elle avait l’effet d’une caresse sur sa peau et elle partit pour quelques longueurs, nageant à un rythme lent et régulier. Après des heures passées assise, l’exercice lui était on ne pouvait plus bénéfique !
Le seul souci était qu’elle ne voyait jamais le temps passer…

13
Les compliments de l'élève lui donnaient un peu d'assurance et elle aspira légèrement son sexe avant de passer ses lèvres le long de son sexe jusqu'à la base. Saika semblait se laisser prendre au jeu lui aussi si Ely devait se fier à la caresse de ses mains sur sa peau. Elle lâcha un gémissement quand il s'infiltra dans son décolleté. La mousseline de son haut bordeaux était trop fine pour qu'elle puisse porter un soutien-gorge et les pointes de ses seins se dressèrent, tendant le tissu. Un bouton. Un seul petit bouton de rien du tout c'était tout ce qui tenait en place sa création pour empêcher les mains de son élève de se repaître de sa poitrine généreuse.
Ses mains tenaient le sexe du garçon, le caressant en même temps que ses lèvres laissaient une traînée humide pour retourner prendre son gland dans la chaleur de sa bouche.

Il lui fit une proposition qu'elle n'attendait pas. Jusqu'à présent, c'était elle qui avait pris l'initiative. Il lui avait certes demandé une fellation mais elle en serait certainement arrivée là vu le plaisir qu'y avait pris son frère. A présent, il lui proposait de se faire son professeur. Elle recula son visage et retira le sexe de Saika de sa bouche, continuant de le caresser légèrement de bout des doigts avant de le frotter contre sa joue avec un sourire mutin.


- J'en serais ravie... Je dois t'appeler Sensei ?

Continuant de le caresser rêveusement, elle déposa un petit baiser sur la peau chaude et douce de sa verge. Se respiration était légèrement saccadée et elle sentait une douce moiteur entre ses cuisses.

14
Ainsi encouragée, Ophelia commença à le masturber doucement, serrant légèrement l'emprise de ses doigts pour varier l'effet. Elle aurait pu continuer pendant un certain temps : ses doigts se mouvaient presque d'eux-mêmes comme s'ils se souvenaient de la danse enseignée de longs mois auparavant.
A la demande de Saika, Ely réagit en rougissant tandis qu'elle levait les yeux vers son visage. Elle sourit humblement.


- Je... Je n'ai fait ça qu'une fois... Si tu as une remarque, surtout n'hésite pas...

Si elle pouvait sembler froide et distante au tout début de leur entretien ou vive, naturelle et presque brusque par la suite, Ely avait à présent l'air d'une jeune mariée, une vierge rougissante ou peu s'en fallait.
Elle n'hésita pas un instant, ses seules réserves tenaient à son manque d'expérience mais elle ne montrait aucune répugnance à l'idée de s'adonner à cette pratique. Certaines femmes trouvaient peut-être cela avilissant mais il ne faut pas oublier que l'éducation sexuelle d'Ely avait été faites par son frère et sa soeur. Si sa soeur n'avait pas abordé ce thème -préférant se concentré sur un aspect purement féminin des choses-, son frère s'était chargé de lui montrer ce qu'il pouvait y avoir de valorisant à faire ce plaisir à un homme. Ainsi, pour Ophelia, cela faisait simplement partie des choses que l'on pouvait faire pour soulager quelqu'un ou simplement montrer son affection. Tragique...

La jeune professeur n'hésita donc pas longtemps avant de caresser du bout de sa langue le pénis de Saika. Elle remonta de la base de sa verge jusqu'à son gland, autour duquel elle fit tourner sa langue avant de le prendre entre ses lèvres rosées.

15
Si elle souhaitait faire ça? Ely n'aurait su dire si elle en avait "envie". Ce qu'elle savait, c'était que son frère lui avait été très reconnaissant quand elle l'avait soulagé, et qu'elle même en avait été plutôt gratifiée... Une bouffée de chaleur la gagnait justement comme lui revenait les souvenirs de sa dernière nuit avant son départ pour le Japon.
Prenant son courage à deux mains, elle le regarda, assise sur ses talons et lui sourit d'un air tout à fait charmant, désireuse de le détendre.


- J'espère plutôt faire ce que toi tu veux...

Elle s'essuya sur son short et souffla dessus pour que ses doigts ne soient pas trop froid. Passant le bout de sa langue sur ses lèvres, elle posa ses mains sur le sous-vêtement de Saika et glissa le bout de ses doigts sous l'élastique qu'elle abaissa très lentement. Elle embrassa doucement la bosse avant de faire réellement descendre la barre de tissu.
Elle lui lança un petit coup d'oeil hésitant.


- Si tu veux que j'arrête, tu n'as demander...

Alors, très légèrement, elle effleura de la pulpe de son index le sexe tendu du garçon, surveillant ses réactions de sous ses longs cils noirs. Lentement, elle enroula ses doigts autour.

- Et si tu veux quelque chose de précis... Demande aussi...

Elle fit glisser sa main vers elle.

- ...D'accord...?

Sa main gauche caressait la cuisse de Saika, remontant vers sa hanche, puis son ventre...

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