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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 28 juillet 2014, 08:16:01 »
Le lundi matin est une sorte de malédiction. Un fléau régulier. Cyclique.
Bonne semaine à tous.
08:16
Bonne semaine à tous.
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Les terres sauvages / Re : Chasseur providentiel [Mortimer]
« le: vendredi 25 juillet 2014, 16:46:56 »
Lui faire plaisir.
Assurément. Quel plaisir pervers prends-je à me voir ainsi écraser sa fente sur le visage ? Allez savoir, ma queue redouble de vigueur, alors que ma partenaire, semblant quelque peu décontenancée - ce qui, avouons-le, a tendance à beaucoup me plaire - par ma demande, se met en place, lentement, hésitante, ne sachant à quelle sauce elle sera mangée, quelle ironie, si l'on considère que le festin et pour moi, quant au jus l'accompagnant... Mmmmh...
Ma langue caresse les contours de sa chatte qui coule déjà jusqu'à mes lèvres, authentique délice... Elle ondulera bien vite, je ne compte pas laisser de répit à cette vulve palpitante.. Occupé à tracer les contours de son abricot, maculant sa peau de salive, je laisse mes mains à leur diabolique entreprise, massant sa peau, de ses cuisses à ses flancs, mes mains caressent et glissent, légèrement moites sans perdre de leur douceur...
Voilà...
Sa mouille coule, m'inonde, je la sens dégouliner le long de mon menton, mes mains caressent son dos avant de venir empoigner ses seins... Je rencontre ses propres doigts occupés à martyriser ses pointes, je la laisse faire, mes doigts roulent, caressent, se hissent jusqu'à ses lèvres... Je peine à les atteindre ? M'aide t-elle ? Je pense, lorsque je les sens aspirer dans le fourreau humide de sa bouche.
Oui...
Ma langue la fouille, la pénètre, j'explore son sanctuaire, et, taquin, aspire, suçote sa petite perle sortie de sa niche, la taquine, mes dents viennent l'apprivoiser... Son nectar s'écoule à profusion et je ne peux m'empêcher, d'une main, d'aller chercher mon pieu pour me branler doucement alors qu'elle m'étouffera sous peu de son plaisir. Pour le mien, le plus grand.
Je la repousse de ma main libre légèrement en arrière, elle se cambre, jusqu'à presque s'allonger, je la lape comme un animal assoiffé, mes coups de langue sont frénétiques, je harcèle son clitoris, là... Allongée sur le dos, tête-bêche sur moi.. Là... Je lui fourre à nouveau ma langue aussi profondément que la nature me le permette, continuant à me branler.. à quelque centimètres de son visage...
J'ai horriblement envie de lui empaler la chatte. Maintenant.
Mais encore davantage de l'entendre crier son plaisir, alors je persiste, et la baise de ma langue.
Assurément. Quel plaisir pervers prends-je à me voir ainsi écraser sa fente sur le visage ? Allez savoir, ma queue redouble de vigueur, alors que ma partenaire, semblant quelque peu décontenancée - ce qui, avouons-le, a tendance à beaucoup me plaire - par ma demande, se met en place, lentement, hésitante, ne sachant à quelle sauce elle sera mangée, quelle ironie, si l'on considère que le festin et pour moi, quant au jus l'accompagnant... Mmmmh...
Ma langue caresse les contours de sa chatte qui coule déjà jusqu'à mes lèvres, authentique délice... Elle ondulera bien vite, je ne compte pas laisser de répit à cette vulve palpitante.. Occupé à tracer les contours de son abricot, maculant sa peau de salive, je laisse mes mains à leur diabolique entreprise, massant sa peau, de ses cuisses à ses flancs, mes mains caressent et glissent, légèrement moites sans perdre de leur douceur...
Voilà...
Sa mouille coule, m'inonde, je la sens dégouliner le long de mon menton, mes mains caressent son dos avant de venir empoigner ses seins... Je rencontre ses propres doigts occupés à martyriser ses pointes, je la laisse faire, mes doigts roulent, caressent, se hissent jusqu'à ses lèvres... Je peine à les atteindre ? M'aide t-elle ? Je pense, lorsque je les sens aspirer dans le fourreau humide de sa bouche.
Oui...
Ma langue la fouille, la pénètre, j'explore son sanctuaire, et, taquin, aspire, suçote sa petite perle sortie de sa niche, la taquine, mes dents viennent l'apprivoiser... Son nectar s'écoule à profusion et je ne peux m'empêcher, d'une main, d'aller chercher mon pieu pour me branler doucement alors qu'elle m'étouffera sous peu de son plaisir. Pour le mien, le plus grand.
Je la repousse de ma main libre légèrement en arrière, elle se cambre, jusqu'à presque s'allonger, je la lape comme un animal assoiffé, mes coups de langue sont frénétiques, je harcèle son clitoris, là... Allongée sur le dos, tête-bêche sur moi.. Là... Je lui fourre à nouveau ma langue aussi profondément que la nature me le permette, continuant à me branler.. à quelque centimètres de son visage...
J'ai horriblement envie de lui empaler la chatte. Maintenant.
Mais encore davantage de l'entendre crier son plaisir, alors je persiste, et la baise de ma langue.
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Absences
« le: jeudi 24 juillet 2014, 20:12:25 »
Passe donc de bonnes vacances 
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 24 juillet 2014, 14:36:33 »
N'a toujours pas mangé. Hésite.
Et se sent tout chaud dans le dos, vivement ce WE..
14:36
Et se sent tout chaud dans le dos, vivement ce WE..
14:36
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Prélude / Re : Akina S. Walker (Valitexasrangerisée !)
« le: jeudi 24 juillet 2014, 10:10:07 »
L'avatar est un excellent choix 
(re)bienvenue, et mon petit doigt a l'intuition de deviner, lui aussi.
(re)bienvenue, et mon petit doigt a l'intuition de deviner, lui aussi.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 24 juillet 2014, 09:07:59 »
En direct, le fil rouge. Répondu à mon RP aussi. Et la température de monter. survivrons-nous à cette journée, nous autres joueurs honteux du bureau ? :p
09:08
09:08
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Les terres sauvages / Re : Chasseur providentiel [Mortimer]
« le: jeudi 24 juillet 2014, 09:05:26 »
Un doigt.
Ses yeux susurrent le désir qu'elle éprouve, j'ai perdu un démon et ses trésors, je gagne une déesse et son corps, le deal me convient.
Un doigt.
Il s'enfonce davantage alors qu'elle souffle l'envie qu'elle a de me voir continuer attouchements intimes et exploration d'elle, son souffle divin est sur mon visage, je l'attire davantage contre moi, plaquée qu'elle est contre ma virilité brandie, gorgée de sang, mise à nue par la dextérité que je soupçonne assistée de magie de ma sulfureuse maîtresse.
Maîtresse ? Le jeu ne prend pas ce chemin, je la devinerais assez encline à se laisser dominer par un être inférieur, sorte de jeu pervers propre aux puissants...
Son entrejambe moite est désormais plaquée contre ma queue... Nos ondulations se font plus lascives, envieuses, moites.. Déjà sa fente coulisse le long de mon membre, traçant un sillon humide sur la peau veineuse...
Deux doigts.
Plus profonds, joueurs, taquins, écartant ses chairs, cet orifice serré qui m'électrise, alors que je la sens davantage s'humidifier, coulant tout contre ce pieu sur lequel je l'empalerai bientôt.
Deux doigts et nos respirations se font haletante, alors que le baiser que je lui offre tient davantage du vorace festin, je croque sa bouche, nos langues dérapent peu à peu sur les peaux de nos visages... Deux doigts qui vont et viennent plus rapidement, maintenant, la baisant des mes mortelles phalanges, aspirant à nouveau sa langue, la suçant...
Alors qu'au rythme de nos ondulations je sens mon gland caresser son bouton gonflé, proche, si proche de la pénétrer, trop proche, l'envie de céder à la fourrer sur le champ est immense mais je représente ici la race humaine et si je ne la prendrai jamais à l'instar d'un dieu je compte bien lui montrer comment un insecte compte la faire jouir. Et rejouir.
Deux doigts.
Et je m'arrête là... À grand regret, ils quittent doucement son cul serré, cette violation de son antre fut un délectable plaisir qui m'a redoutablement excité. Elle aussi, si j'en crois ses yeux presque déçus ?
Je me laisse retomber doucement en arrière, rompant le baiser qu'un mince filet de salive prolonge.. Avant que la distance ne le coupe. Allongé sur le dos j'attire ses cuisses à moi... La traîne sur mon torse, je sens sa mouille couler dans la manoeuvre, sur tout le chemin, sur ma peau.
Je vois cette appétissante chatte progresser lentement vers moi, vers mon but, mon festin, je la regarde, elle ne voit désormais mon visage plus qu'entre ses cuisses, les effluves que m'envoient son sexe stimulé me font redoubler d'excitation.. Mes yeux se plantent dans les siens..
Je veux te boire à la source, déesse... Je veux ton divin nectar...
Coule sur moi.. Assieds-toi sur mon visage.
Je ne la quitte pas des yeux, formulant ma brûlante requête alors que mes mains caressent sa peau au pigment si particulier, s'en allant glisser sur son ventre et cueillir ses généreux seins, mes pouces tournant autour de ses pointes dardées.. Ainsi caressant sa poitrine je la regarde, cette chatte bouillante si proche de ma bouche.. Je la provoque, laissant doucement ma langue sortir d'entre mes lèvres, comme la promesse de la laper jusqu'à la dernière goutte de jus.
Ses yeux susurrent le désir qu'elle éprouve, j'ai perdu un démon et ses trésors, je gagne une déesse et son corps, le deal me convient.
Un doigt.
Il s'enfonce davantage alors qu'elle souffle l'envie qu'elle a de me voir continuer attouchements intimes et exploration d'elle, son souffle divin est sur mon visage, je l'attire davantage contre moi, plaquée qu'elle est contre ma virilité brandie, gorgée de sang, mise à nue par la dextérité que je soupçonne assistée de magie de ma sulfureuse maîtresse.
Maîtresse ? Le jeu ne prend pas ce chemin, je la devinerais assez encline à se laisser dominer par un être inférieur, sorte de jeu pervers propre aux puissants...
Son entrejambe moite est désormais plaquée contre ma queue... Nos ondulations se font plus lascives, envieuses, moites.. Déjà sa fente coulisse le long de mon membre, traçant un sillon humide sur la peau veineuse...
Deux doigts.
Plus profonds, joueurs, taquins, écartant ses chairs, cet orifice serré qui m'électrise, alors que je la sens davantage s'humidifier, coulant tout contre ce pieu sur lequel je l'empalerai bientôt.
Deux doigts et nos respirations se font haletante, alors que le baiser que je lui offre tient davantage du vorace festin, je croque sa bouche, nos langues dérapent peu à peu sur les peaux de nos visages... Deux doigts qui vont et viennent plus rapidement, maintenant, la baisant des mes mortelles phalanges, aspirant à nouveau sa langue, la suçant...
Alors qu'au rythme de nos ondulations je sens mon gland caresser son bouton gonflé, proche, si proche de la pénétrer, trop proche, l'envie de céder à la fourrer sur le champ est immense mais je représente ici la race humaine et si je ne la prendrai jamais à l'instar d'un dieu je compte bien lui montrer comment un insecte compte la faire jouir. Et rejouir.
Deux doigts.
Et je m'arrête là... À grand regret, ils quittent doucement son cul serré, cette violation de son antre fut un délectable plaisir qui m'a redoutablement excité. Elle aussi, si j'en crois ses yeux presque déçus ?
Je me laisse retomber doucement en arrière, rompant le baiser qu'un mince filet de salive prolonge.. Avant que la distance ne le coupe. Allongé sur le dos j'attire ses cuisses à moi... La traîne sur mon torse, je sens sa mouille couler dans la manoeuvre, sur tout le chemin, sur ma peau.
Je vois cette appétissante chatte progresser lentement vers moi, vers mon but, mon festin, je la regarde, elle ne voit désormais mon visage plus qu'entre ses cuisses, les effluves que m'envoient son sexe stimulé me font redoubler d'excitation.. Mes yeux se plantent dans les siens..
Je veux te boire à la source, déesse... Je veux ton divin nectar...
Coule sur moi.. Assieds-toi sur mon visage.
Je ne la quitte pas des yeux, formulant ma brûlante requête alors que mes mains caressent sa peau au pigment si particulier, s'en allant glisser sur son ventre et cueillir ses généreux seins, mes pouces tournant autour de ses pointes dardées.. Ainsi caressant sa poitrine je la regarde, cette chatte bouillante si proche de ma bouche.. Je la provoque, laissant doucement ma langue sortir d'entre mes lèvres, comme la promesse de la laper jusqu'à la dernière goutte de jus.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 24 juillet 2014, 08:26:23 »
Déjà chaud dans ce bureau.
Je vais RP, tiens.
08:26
Je vais RP, tiens.
08:26
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Les terres sauvages / Re : Chasseur providentiel [Mortimer]
« le: mercredi 23 juillet 2014, 17:59:37 »
Ce qui se passe ensuite relève de l'enchantement, de la fantasmagorie, ma sauveuse, mon enchanteresse comprend rapidement quelles pulsions m'animent.
elle vient chercher ma bouche et ctte sensation mouillée termine de m'enhardir.. Je la veux, je veux la posséder, la prendre, la voilà qui se redresse, allongé, soudain guéri de mes maux par je ne sais quel prodige - que je chercherai à expliquer, certes, mais plus tard - je la regarde se débarasser avec une étonnante facilité de ce qui lui tenait lieu de robe...
Mon désir est à son comble lorsqu'elle s'allonge sur moi, nue, cette nudité que j'ai à peine eu le temps de savourer, et qu'elle me glisse quelques mots langoureux..
Faisons connaissance.
Mes mains viennent chercher ses fesses que je caresse avec tact... Avant de les empoigner plus sévèrement.. qu'elle sente quel désir animal m'anime...
Mortimer.. Juste Mortimer..
Glisse-je avant de lui prendre la bouche à mon tour... Enlacée, je ne la laisserai pas s'échapper, je la désire, et je la désire sur le champ... Une simple unité carbone, fragile et mortelle telle que moi devrait se sentir intimidé, d'être ainsi entretenu et bien mené par une divinité.. Devrais-je me soumettre ? Être docile face à l'offrande qu'elle me fait ? Est-ce bien ce qu'elle attend de moi...
Ma langue glisse dans sa bouche pour caresser la sienne, puis descend le long de son cou, savourant la saveur de cette peau, que j'imagine changeante au gré de ses envies...
Elle sentira évidemment, allonge sur moi qu'elle est, la raideur de mon sexe, ce membre prisonnier de mon pantalon bon pour la poubelle depuis ma confrontation... Je suçote le lobe de son oreille et ma main se fait plus caressante, glissante entre tes fesses, effleurant, massant l'oeillet dissimulé que je débusque sans mal, fin limier je suis, après tout...
Cette sulfureuse initiative plaira t-elle à ma déesse, moi qui aspire à nouveau sa langue, elle s'offre à son sauveur, le valeureux pourfendeur de démons que je suis... Alors lorsque je me redresse d'un coup, la forçant à être assise à califourchon sur moi.. jambes de part et d'autre des miennes, assis, que je resserre mon étreinte sur elle, pénétrant du même coup de quelques centimètres ce sanctuaire bien tôt débusqué.. Je guette sa réaction, hardi mortel que je suis, diable d'amant que je veux être pour elle... Loin des divines queues qui l'auront possédées aux royaumes divins, je veux la baiser tel un faible mortel avide de sa chair.
elle vient chercher ma bouche et ctte sensation mouillée termine de m'enhardir.. Je la veux, je veux la posséder, la prendre, la voilà qui se redresse, allongé, soudain guéri de mes maux par je ne sais quel prodige - que je chercherai à expliquer, certes, mais plus tard - je la regarde se débarasser avec une étonnante facilité de ce qui lui tenait lieu de robe...
Mon désir est à son comble lorsqu'elle s'allonge sur moi, nue, cette nudité que j'ai à peine eu le temps de savourer, et qu'elle me glisse quelques mots langoureux..
Faisons connaissance.
Mes mains viennent chercher ses fesses que je caresse avec tact... Avant de les empoigner plus sévèrement.. qu'elle sente quel désir animal m'anime...
Mortimer.. Juste Mortimer..
Glisse-je avant de lui prendre la bouche à mon tour... Enlacée, je ne la laisserai pas s'échapper, je la désire, et je la désire sur le champ... Une simple unité carbone, fragile et mortelle telle que moi devrait se sentir intimidé, d'être ainsi entretenu et bien mené par une divinité.. Devrais-je me soumettre ? Être docile face à l'offrande qu'elle me fait ? Est-ce bien ce qu'elle attend de moi...
Ma langue glisse dans sa bouche pour caresser la sienne, puis descend le long de son cou, savourant la saveur de cette peau, que j'imagine changeante au gré de ses envies...
Elle sentira évidemment, allonge sur moi qu'elle est, la raideur de mon sexe, ce membre prisonnier de mon pantalon bon pour la poubelle depuis ma confrontation... Je suçote le lobe de son oreille et ma main se fait plus caressante, glissante entre tes fesses, effleurant, massant l'oeillet dissimulé que je débusque sans mal, fin limier je suis, après tout...
Cette sulfureuse initiative plaira t-elle à ma déesse, moi qui aspire à nouveau sa langue, elle s'offre à son sauveur, le valeureux pourfendeur de démons que je suis... Alors lorsque je me redresse d'un coup, la forçant à être assise à califourchon sur moi.. jambes de part et d'autre des miennes, assis, que je resserre mon étreinte sur elle, pénétrant du même coup de quelques centimètres ce sanctuaire bien tôt débusqué.. Je guette sa réaction, hardi mortel que je suis, diable d'amant que je veux être pour elle... Loin des divines queues qui l'auront possédées aux royaumes divins, je veux la baiser tel un faible mortel avide de sa chair.
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Les terres sauvages / Re : Chasseur providentiel [Mortimer]
« le: mercredi 23 juillet 2014, 11:38:36 »
Inconscience et turbulences.
Blackout.. Je n'ai plus conscience de mon existence physique, j'erre dans un monde polymorphe, multicolore, sans le moindre repère, la créature aura eu raison de moi, pauvre fou.
Quelle arrogance, j'ai merdé sur toute la ligne... Comment n'ai-je pu prévoir ce scénario, jamais un démon de cette trempe, une entité aussi maléfique se serait laissée asservir par mon orme, aussi puissant soit l'artefact... Toute ma vie j'ai étudié les arcanes et traqué les sorcelleries, il eut dû m'être évident que la bête détruirait un monde entier et plusieurs autres avant de se laisser dicter sa conduite, il est venu à la confrontation directe, peu de chances qu'il ait survécu mais mon enveloppe charnelle y est passé. Quid de cette charmante entité ? Et maintenant ? Suis-je condamné à errer dans cette semi-vie, dans ce décor sans le moindre sens ?
Éveil brutal et profonde inspiration.
Mes yeux s'ouvrent en grand. Je vis. Engourdi, je sens un corps, le mien, j'ai des sensations, tout comme si j'étais vivant. Face à moi la bête, réflexe, de mes faibles forces j'attrape le poignet de ce bras posé sur moi... Mon étreinte est pathétique, une caresse.. Mon cœur s'emballe...
… Avant que je ne retrouve usage de mon jugement... Je prend conscience de l'environnement douillet et protecteur qui m'entoure, j'avide celle qui me couve d'une aura de bienveillance. Elle..
Alors nous en avons réchappé... Mes sens reviennent peu à peu, et ma main est posé sur la sienne, se fait caressante, sur tout son avant-bras.
RHALAHAN.. Est-il détruit ?
Articule-je aussi faiblement que le permet mon état.
Je connais la réponse. Oui. Par mon aveuglement. J'en ai réchappé mais l'amertume est grande, il a détruit son enveloppe, et probablement que tous les trésors que je convoitais se sont envolés avec lui. Sans la présence de mon ange protecteur, ma déesse de vie, je serai sans doute mort. Au moins ai-je sauvé cette improbable rencontre.
Mes sens reviennent et une violente excitation me submerge. Me suis-je seulement rendu compte caresser son bras jusqu'à son épaule ? Son odeur m'enivre et ma vision se perd de cette hypnotisante bouche au galbe de sa généreuse poitrine.
Mes yeux roule. Chalet chaleureux, l'a t-elle créé de toute pièce ?
Croit-elle que je l'ai sauvée d'un funeste sort ? Et n'est-ce pas le cas, quelque part ?...
Une certitude m'assaille, j'ai envie de posséder ma sauveuse, et cela suinte de tous les portes de ma peau d'insignifiant mortel. Et une entité aussi puissante qu'elle ne peut l'ignorer.
Merci...
Glisse-je.. Mes yeux roulant sur son corps de déesse.
Blackout.. Je n'ai plus conscience de mon existence physique, j'erre dans un monde polymorphe, multicolore, sans le moindre repère, la créature aura eu raison de moi, pauvre fou.
Quelle arrogance, j'ai merdé sur toute la ligne... Comment n'ai-je pu prévoir ce scénario, jamais un démon de cette trempe, une entité aussi maléfique se serait laissée asservir par mon orme, aussi puissant soit l'artefact... Toute ma vie j'ai étudié les arcanes et traqué les sorcelleries, il eut dû m'être évident que la bête détruirait un monde entier et plusieurs autres avant de se laisser dicter sa conduite, il est venu à la confrontation directe, peu de chances qu'il ait survécu mais mon enveloppe charnelle y est passé. Quid de cette charmante entité ? Et maintenant ? Suis-je condamné à errer dans cette semi-vie, dans ce décor sans le moindre sens ?
Éveil brutal et profonde inspiration.
Mes yeux s'ouvrent en grand. Je vis. Engourdi, je sens un corps, le mien, j'ai des sensations, tout comme si j'étais vivant. Face à moi la bête, réflexe, de mes faibles forces j'attrape le poignet de ce bras posé sur moi... Mon étreinte est pathétique, une caresse.. Mon cœur s'emballe...
… Avant que je ne retrouve usage de mon jugement... Je prend conscience de l'environnement douillet et protecteur qui m'entoure, j'avide celle qui me couve d'une aura de bienveillance. Elle..
Alors nous en avons réchappé... Mes sens reviennent peu à peu, et ma main est posé sur la sienne, se fait caressante, sur tout son avant-bras.
RHALAHAN.. Est-il détruit ?
Articule-je aussi faiblement que le permet mon état.
Je connais la réponse. Oui. Par mon aveuglement. J'en ai réchappé mais l'amertume est grande, il a détruit son enveloppe, et probablement que tous les trésors que je convoitais se sont envolés avec lui. Sans la présence de mon ange protecteur, ma déesse de vie, je serai sans doute mort. Au moins ai-je sauvé cette improbable rencontre.
Mes sens reviennent et une violente excitation me submerge. Me suis-je seulement rendu compte caresser son bras jusqu'à son épaule ? Son odeur m'enivre et ma vision se perd de cette hypnotisante bouche au galbe de sa généreuse poitrine.
Mes yeux roule. Chalet chaleureux, l'a t-elle créé de toute pièce ?
Croit-elle que je l'ai sauvée d'un funeste sort ? Et n'est-ce pas le cas, quelque part ?...
Une certitude m'assaille, j'ai envie de posséder ma sauveuse, et cela suinte de tous les portes de ma peau d'insignifiant mortel. Et une entité aussi puissante qu'elle ne peut l'ignorer.
Merci...
Glisse-je.. Mes yeux roulant sur son corps de déesse.
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Les terres sauvages / Re : Chasseur providentiel [Mortimer]
« le: mardi 22 juillet 2014, 18:48:41 »
« Il... Arrive... »
A t-elle le temps d'articuler dans une forme intelligible de communication avant de se replier en deux, hurlant rageusement, au désespoir, il se trame ici des conflits impliquant des forces qui me dépassent nettement.. Celle-ci est une créature céleste, une demi-déesse, démone, bienveillante, élémentaire ?
Ma curiosité a peu le temps d'être piquée... La survie va être l'enjeu de cette drôle de rencontre, c'est évident.
Car désormais je sens le sol trembler, mon attention est divertie de la contemplation fascinée de cette créature sublime perdant son sang, au seuil de la fin d'une existence que je soupçonne forcément défier l'imagination... Le sol tremble, les parois tremblent... Il possède le lieu, mais l'entité maléfique approche, elle a senti l'orme.. elle sait que moi, frêle et insignifiante créature mortelle dénuée de tout pouvoir, elle sait que j'ai le SAVOIR, elle sait que si j'ai emporté cette pièce, artefact n'ayant aucune raison d'avoir croisé le hasard pour se trouver ici, elle SAIT que je connais le moyen de la détruire, et elle ne peut le tolérer..
« Aidez-moi... Je... Je vous en... Prie... »
C'est exactement ce que je vais faire mais pas question d'altruisme ici..
À nous deux RHALAHAN.. C'est à tes trésors magiques que j'en veux.. Et u vas m'y conduire... En ces instant j'oublie la peur, j'oublie même la créature que je défends tel un preux paladin pourfendeur des forces du mal... Plus rien ne reste que la confrontation à ce que j'ai étudié ma vie durant... L'arcane...
La bête a pris la forme d'un monstre innommable, projetant ses effluves mortelles et l'odeur de souffre dont me préserve l'orme...
Je psalmodie le cantique habituel, préservant mon âme de ses attaques psyché... Mâchoires serrés je lui fait face, m'interposant entre elle et lui.. La bête est immense et grasse, lente, aux yeux rubis... Ses cornes s'enroulent en arrière, ses griffes semblent de métal... Elle me regarde, me jauge.
Non. Elle scrute la pierre dans ma main...
Je la tend, récite quelques paroles de magie noir sans prononcer le moindre son mais la bête sait ce que je cherche à faire.. L'asservir...
Le sol se craquèle, le tonnerre gronde à l'intérieur, j'aurais dû prévoir la réaction de cette entité maligne, elle se détruira et nous avec avant de faiblir... Le plafond de la caverne s'ouvre, s'écarte comme la faille dans le sol, l'explosion couvre tout, les murs s'écroulent, la bête charge, je retiens l'orme de toutes mes forces...
Bruit sourd, je perd la vue, l'ouïe, je me sens projeté en arrière, je heurte quelque chose de dur..
Qui a vaincu ? Je ne sais pas.. Peut-être suis-je déjà mort, autour de moi les ténèbres d'une cécité temporaire et la pluie battant mon visage... Un goût de sang emplit ma bouche.
A t-elle le temps d'articuler dans une forme intelligible de communication avant de se replier en deux, hurlant rageusement, au désespoir, il se trame ici des conflits impliquant des forces qui me dépassent nettement.. Celle-ci est une créature céleste, une demi-déesse, démone, bienveillante, élémentaire ?
Ma curiosité a peu le temps d'être piquée... La survie va être l'enjeu de cette drôle de rencontre, c'est évident.
Car désormais je sens le sol trembler, mon attention est divertie de la contemplation fascinée de cette créature sublime perdant son sang, au seuil de la fin d'une existence que je soupçonne forcément défier l'imagination... Le sol tremble, les parois tremblent... Il possède le lieu, mais l'entité maléfique approche, elle a senti l'orme.. elle sait que moi, frêle et insignifiante créature mortelle dénuée de tout pouvoir, elle sait que j'ai le SAVOIR, elle sait que si j'ai emporté cette pièce, artefact n'ayant aucune raison d'avoir croisé le hasard pour se trouver ici, elle SAIT que je connais le moyen de la détruire, et elle ne peut le tolérer..
« Aidez-moi... Je... Je vous en... Prie... »
C'est exactement ce que je vais faire mais pas question d'altruisme ici..
À nous deux RHALAHAN.. C'est à tes trésors magiques que j'en veux.. Et u vas m'y conduire... En ces instant j'oublie la peur, j'oublie même la créature que je défends tel un preux paladin pourfendeur des forces du mal... Plus rien ne reste que la confrontation à ce que j'ai étudié ma vie durant... L'arcane...
La bête a pris la forme d'un monstre innommable, projetant ses effluves mortelles et l'odeur de souffre dont me préserve l'orme...
Je psalmodie le cantique habituel, préservant mon âme de ses attaques psyché... Mâchoires serrés je lui fait face, m'interposant entre elle et lui.. La bête est immense et grasse, lente, aux yeux rubis... Ses cornes s'enroulent en arrière, ses griffes semblent de métal... Elle me regarde, me jauge.
Non. Elle scrute la pierre dans ma main...
Je la tend, récite quelques paroles de magie noir sans prononcer le moindre son mais la bête sait ce que je cherche à faire.. L'asservir...
Le sol se craquèle, le tonnerre gronde à l'intérieur, j'aurais dû prévoir la réaction de cette entité maligne, elle se détruira et nous avec avant de faiblir... Le plafond de la caverne s'ouvre, s'écarte comme la faille dans le sol, l'explosion couvre tout, les murs s'écroulent, la bête charge, je retiens l'orme de toutes mes forces...
Bruit sourd, je perd la vue, l'ouïe, je me sens projeté en arrière, je heurte quelque chose de dur..
Qui a vaincu ? Je ne sais pas.. Peut-être suis-je déjà mort, autour de moi les ténèbres d'une cécité temporaire et la pluie battant mon visage... Un goût de sang emplit ma bouche.
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Les terres sauvages / Re : Chasseur providentiel [Mortimer]
« le: mardi 22 juillet 2014, 17:52:25 »
IL me faudra un jour trouver de l'aide. Mes faire exorciser, peut-être, qui sait sous le signe de quel démon m'a t-on ensorcelé pour que je sois aussi con.
Les terres sauvages... Mon équipement précaire.. Et cette soif intarissable.. J'ai des appartements confortables et douillets à Nexus, un salaire assez copieux de l'Université pour des recherches passionnantes...
Mais il faut que cette lubie, cette obsession ravage mon âme... La découverte de ce grimoire fut une aubaine, en élan d'enthousiasme, d'excitation et d'appétit des plus réjouissants. Un démon arcaniste des plus intéressants, matérialisant ses émanations magiques dans des artefacts uniques, le genre de piège dans lequel je cours, moi, simple mortel terranide qui n'a avec moi que quelques grigris et la volonté de fer qui me fera crever si je ne parviens pas à mes fins : mettre la main sur ces pièces indispensables à ma collection.
Voilà.. Voilà ce que je fous là. Embourbé dans la boue, pris dans un orage terrible qui n'a rien de naturel et m'incite à penser que je ne suis pas loin du but.. Un tel déchainement de violence confine au fracas, aux pouvoir dépassant l'entendement..
Alors que ma Raison me hurle de rebrousser chemin j'avance péniblement vers mon but..
Quand un hurlement inhumain déchire mes tympans... Je me laisse tomber au sol, les paumes plaquées sur les oreilles, hurlant sourdement... Piégé dans un déchainement de forces telluriques assez inédit..
Le cri s'étouffe, ma douleur s'estompe. J'accuse le coup avant de me relever, fébrile.. Mon pas es tpeu assuré, je pourrais tomber à tout moment.
J'ouvre ma gabardine de voyage pour y enfoncer ma main gantée et attraper l'orme grise acquise - à ma manière - chez cette vieille recéleuse de magie noire... Mes études tendent à souligner que les forces enfermées dans cet artefact sont les seules à pouvoir contrarier ce démon...
RHALAHAN.. Est son nom. De ceux qu'on ne prononce pas. Démon malin et dangereux, maléfique, affamé.
J'identifie sans peine à l'aide de mes instruments l'origine du déchainement magique.. Une grotte à la faible lueur.. Dans laquelle je m'engouffre, Orme dans le poing, en avant. Il est rare que ma peur surpasse mon appétit de toucher au but... C'est aujourd'hui le cas, mais je suis davantage cupide qu'inquiet pour ma vie...
La situation est difficile, l'ombre du démon et son âme malveillante sont partout.. Il semble posséder l'endroit, la roche suinte de son vice... Il faut le matérialiser ou je ne débusquerai jamais son antre..
Je me plaque contre une paroi.
Au fond, une forme.. Humanoïde. Le malin est là. Son attitude est peu banale.. Il me provoque, m'attire dans un piège ?
J'avance à pas de loup, protégé - je l'espère - de mon jouet.
Je réalise assez tardivement...
Cette entité magique là n'a rien à voir avec celui que je cherche, et j'avance doucement.. Inquiet, scrutant la pénombre et l'air qui m'entoure, une autre présence nous observe...
Qui êtes-vous ?
Murmure-je, avançant vers une créature sculpturale presque nue aux cheveux de feu, dont la vision ravit immédiatement mes sens, me faisant perdre pied, la marque d'une succube ? J'en doute... Elle est superbe. Lascive. Épuisée. Sexuelle.
Les terres sauvages... Mon équipement précaire.. Et cette soif intarissable.. J'ai des appartements confortables et douillets à Nexus, un salaire assez copieux de l'Université pour des recherches passionnantes...
Mais il faut que cette lubie, cette obsession ravage mon âme... La découverte de ce grimoire fut une aubaine, en élan d'enthousiasme, d'excitation et d'appétit des plus réjouissants. Un démon arcaniste des plus intéressants, matérialisant ses émanations magiques dans des artefacts uniques, le genre de piège dans lequel je cours, moi, simple mortel terranide qui n'a avec moi que quelques grigris et la volonté de fer qui me fera crever si je ne parviens pas à mes fins : mettre la main sur ces pièces indispensables à ma collection.
Voilà.. Voilà ce que je fous là. Embourbé dans la boue, pris dans un orage terrible qui n'a rien de naturel et m'incite à penser que je ne suis pas loin du but.. Un tel déchainement de violence confine au fracas, aux pouvoir dépassant l'entendement..
Alors que ma Raison me hurle de rebrousser chemin j'avance péniblement vers mon but..
Quand un hurlement inhumain déchire mes tympans... Je me laisse tomber au sol, les paumes plaquées sur les oreilles, hurlant sourdement... Piégé dans un déchainement de forces telluriques assez inédit..
Le cri s'étouffe, ma douleur s'estompe. J'accuse le coup avant de me relever, fébrile.. Mon pas es tpeu assuré, je pourrais tomber à tout moment.
J'ouvre ma gabardine de voyage pour y enfoncer ma main gantée et attraper l'orme grise acquise - à ma manière - chez cette vieille recéleuse de magie noire... Mes études tendent à souligner que les forces enfermées dans cet artefact sont les seules à pouvoir contrarier ce démon...
RHALAHAN.. Est son nom. De ceux qu'on ne prononce pas. Démon malin et dangereux, maléfique, affamé.
J'identifie sans peine à l'aide de mes instruments l'origine du déchainement magique.. Une grotte à la faible lueur.. Dans laquelle je m'engouffre, Orme dans le poing, en avant. Il est rare que ma peur surpasse mon appétit de toucher au but... C'est aujourd'hui le cas, mais je suis davantage cupide qu'inquiet pour ma vie...
La situation est difficile, l'ombre du démon et son âme malveillante sont partout.. Il semble posséder l'endroit, la roche suinte de son vice... Il faut le matérialiser ou je ne débusquerai jamais son antre..
Je me plaque contre une paroi.
Au fond, une forme.. Humanoïde. Le malin est là. Son attitude est peu banale.. Il me provoque, m'attire dans un piège ?
J'avance à pas de loup, protégé - je l'espère - de mon jouet.
Je réalise assez tardivement...
Cette entité magique là n'a rien à voir avec celui que je cherche, et j'avance doucement.. Inquiet, scrutant la pénombre et l'air qui m'entoure, une autre présence nous observe...
Qui êtes-vous ?
Murmure-je, avançant vers une créature sculpturale presque nue aux cheveux de feu, dont la vision ravit immédiatement mes sens, me faisant perdre pied, la marque d'une succube ? J'en doute... Elle est superbe. Lascive. Épuisée. Sexuelle.
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Le coin du chalant / Récits avec Mortimer
« le: mardi 22 juillet 2014, 15:15:27 »Bonjour,
je suis ouvert à peu près à tout pour les RP habituels, sur le forum, les premiers sujets devraient être lancés sous peu, mais n'hésitez pas.
Ici je parlerai surtout des One Shot, j'adore les personnages à usage unique sans besoin de recréer de fiche...
J'en ai lancé un premier, et il est assez libre, ambiance polar, film noir et toutes les références qui vous inspireront. J'ai plutôt envie que ça débouche sur du Hentai, après la forme, le cheminement, le rythme, à nous de voir. Pas de limite de participation, mais mp-moi avant toute chose si ça vous dit : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=14295.0
Il vous salue.
14
One Shot / Le Singe Rouge [PV]
« le: mardi 22 juillet 2014, 14:48:18 »Citer
Petit sujet RP ouvert à qui voudra, ambiance polar/film noir, ambiance ce que vous y mettrez.
Plus d'infos ici : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=14296.0
Tu trouveras ce que tu veux dans l'impasse du Singe Rouge... C'est ce qui se glisse de lèvres à oreilles piercées dans toute la ville, basse, haute, moyenne. Ce que tu veux, on sait ce que ça sous-entend, c'est une promesse tacite, un arrangement, un non-dit évident, dans l'impasse du Singe Rouge, ce que tu cherches, c'est ce qu'ailleurs tu ne trouves pas, parce que tu ne viens pas en courses ici par pur plaisir, parce qu'ici ça pue le glauque, ça pue le rebut, le ban, le mal-famé, l'affamé. Ça sent la crasse, le coup tordu, ici tu viens donc quémande ce que tu cherches, d'illégal, de foireux, d'inavouable.
Et on ne s'est pas foutu de ta gueule, on trouve bien tout ce qu'on veut, ici...
On raconte aussi qu'aux origines il n'était rien que cette impasse, pas loin du canal, où un petit malin mal inspiré voulut créer un établissement "lounge" à la con nommé le "Red Monkey". Il fallait être un nouvel arrivant en ville ou le dernier des abrutis, voire les deux, peu importe. L'ironie du sort, les expropriateurs/nouveaux proprios aiment les clin d'oeil, une forme d'art toute locale, et ont rebaptisé la turne de la même manière, mais dans notre bonne vieille langue.
Tout ce que tu es venu chercher, en somme.
Moi, ce sont des infos. De quoi m'éclater le cerveau. Et du sexe, en guise de cerise. Ou de base à mon dessert. Je ne suis pas regardant sur l'ordre des plats.
La vérité est que j'en ai soupé de perdre mon temps, à suivre les pistes données par le vieux comme à un chien-chien, qu'il ne m'ait jamais encadré est une chose, qu'il ne mette pas toutes les chances de son côté pour retrouver sa fille, une autre.
Ah.
Oui.
Je ne suis pas un privé ténébreux ou un flic alcoolique torturé. Ni même un porte-flingue ingénieux. Je suis un foutu enfoiré, un parasite qui avait vu la chance lui sourire une première fois, il y a un an, quand elle a jeté son dévolu sur moi. Nima. Drôle de prénom ? Je vous emmerde.
Nima, donc. Ma fiancée, au grand damn de son paternel, que j'appelle le vieux, comme un stéréotype, une obligation.
Nima qui a disparu.. Nima que j'aimerais retrouver. Question d'orgueil. Et parce que je ne dors plus. Nima à qui j'avais tarté la gueule la veille de sa disparition. Nima que je n'ose croire capable de me quitter comme ça, sans un mot. Non il y a un truc...
Nima dont les quelques effets personnels et la boite mail que j'ai réussi à hacker m'ont révélés de drôles de choses.
Comme cet endroit.
Y trouver tout ce que je veux, moi c'est mon amoureuse. Celle que je cocufie à tour de bras et sur qui je lève la main lorsque j'ai trop absorbé de susbstances chimiques et d'alcool mais que je chérit plus que tout.
Mes pas me guident dans l'impasse, parmi la petite foule des paumés, des drogués, des pervers, des nymphomanes, des apaches, des artistes sans inspiration, des politiciens mort-né, des veuves assassines et des séminaristes curieux..
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 21 juillet 2014, 09:36:06 »
Pas sûr de tout saisir, mais je dirais lundi matin, au bureau, pas envie.
09:36
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