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« le: jeudi 05 mars 2015, 19:48:05 »
Roxane continua de sucer son Maître, pour entre sa queue de plus en plus profondément dans sa gorge, sachant que cela était encore plus agréable. Elle recouvrait son membre de salive, ainsi, facilitant la pénétration, jusqu'à avoir son sexe entièrement dans sa bouche. Mais alors qu'elle allait continuer ainsi ses vas et viens, il poussa sur son crâne de sorte à laisser son sexe bien carré au fond de sa gorge. La jeune femme faillit bien avoir un haut le cœur, mais se contint, grimaçant un peu et gémissant doucement. S'il ne la lâchait pas bientôt, elle allait étouffer ! Elle ne tenta cependant pas de se retirer, sachant pertinemment ce qui l'attendait si elle osait une telle chose. Enfin, il la relâcha, et elle s'empressa de reculer son visage, retenant à grande peine de tousser. Elle s'humecta les lèvres, reprenant un peu son souffle.
Puis, elle écouta son Maître exposer le programme la concernant. Au fur et à mesure, Roxane fronça un peu les sourcils. Ça ne lui plaisait pas trop de devoir se faire prendre la bouche par ces types-là. N'oublions pas qu'elle avait été une femme riche et de bonne famille, puis une Dévoreuse au service d'un Dieu. Se faire malmener par de simple gardes malpropres la dégoutait. Elle savait pourtant ne pas avoir le choix, et n'avait aucune voix au chapitre. Au moins, ils n'avaient le droit qu'à sa bouche !
Rahemar se pencha ensuite vers elle pour lui annoncer ce qu'elle allait devoir faire en revenant dans une heure. Elle ne s'attendait pas à ça, mais se contenta de hocher la tête.
Les gardes se levèrent, apparemment ravis de ce petit cadeau. L'un d'eux attrapa sa laisse et lui intima de la suivre, un sourire goguenard aux lèvres. Le regard froid, elle le suivit tout de même, regrettant déjà de devoir quitter son Maître. Il l'amenèrent dans un autre pavillon, bien moins confortable et luxueux que celui de leur supérieur.
- Viens par-là, ma jolie, grogna le type en tirant d'un coup sec sur sa laisse.
Roxanne grimaça lorsque son collier força sur sa nuque. L'autre ricanait et souriait en salivant. On l’amena au centre de la pièce sur un vieux tapis en fourrure arraché à un animal qui lui était certainement inconnu. Le garde tendit la laisse à son comparse, et lâcha d'un ton sec :
- A genoux.
Ça lui faisait mal de devoir obéir à ce sale type, mais la jolie blonde s’exécuta, se baissant alors à genoux en le fixant. Il enfonça alors soudain son pouce entre ses lèvres, brutalement, remuant alors celui-ci dans sa bouche, caressant férocement l'intérieure de sa joue et sa langue.
- Alors comme ça on manque d'ardeur à la tâche, hein ? T'en fait pas, après ça je peux te jurer que t'y mettra plus de cœur.
Il ricana, encore, sous l’œil espiègle de l'autre type qui attendait sagement que le spectacle commence. L'homme continua de lui faire sucer brutalement son doigt avant de le retirer. Il attrapa alors la cravache en cuir coincée dans sa ceinture et en plaça le bout devant sa bouche avec un regard lubrique.
- Lèche petite chienne.
Roxanne fixa le bout de la cravache, retenant un air de dédain, puis s’exécuta, léchant l'objet par de petits coups de langue humide. Son acolyte semblait presque impatient, triturant la laisse entre ses doigts, le regard passant de ses lèvres à sa croupe. La jeune femme continua son œuvre, jusqu'à ce que la cravache soit si trempée que des filets de salives tombent sur le sol. Alors il finit par l'enfoncer dans sa bouche pour effectuer des mouvements de vas et viens. Il n'allait pas trop profondément, heureusement. Cela dura quelques minutes, puis il retira l'objet et l'essuya entre ses deux seins en riant.
- Bien, bien... Tu es obéissante, c'est vrai. Alrick ?
Alrick était sans doute l'autre homme. Celui-ci ne cacha pas sa satisfaction à l'idée que cela fusse son tour. Il déboucla sa ceinture, sortant alors son sexe déjà dur qu'il masturba doucement en s'approchant d'elle. Roxanne l'observa, alors qu'elle réalisait que sa faim était toujours plus présente. Elle n'avait pas imaginé commencé à l'assouvir avec ce genre d'individu... tant pis. L'homme grogna d'excitation.
- Putain, j’enfoncerai bien ma queue entre ses cuisses !
- Contente-toi de sa bouche, on t'a dit ! Aboya l'autre garde. Lèves un peu ton cul, ma cochonne...
La demoiselle, le cœur battant, leva légèrement les fesses en s'appuyant sur ses genoux. L'autre en profita pour carrer directement son sexe tendu dans sa bouche. Roxane protesta d'un gémissement étouffé tandis qu'il glissait une main à l'arrière de son crâne pour l'empêcher de lui échapper. Soudain, l'autre posa ses doigts sur son intimité qu'il commença à caresser avec avidité. Tandis qu'elle suçait le dénommé Alrick, ou plutôt que celui-ci lui baisait tranquillement la bouche, il continua de la caresser, enfonçant parfois le bout de ses doigts jusqu'à ce qu'elle mouille. Avec un sourire conquérant, il enfonça alors carrément sa main sans prévenir. Roxane poussa un cri étouffé, un cri de surprise, mais aussi de plaisir tandis qu'il fouillait son intimité pour agripper le savon à peine main et l'en sortir d'un coup, tirant un autre gémissement à la blonde.
- Du savon, hein ? Ahah... au moins on saura que c'est propre là-dedans. Alors, comment est cette bouche dis-moi, camarade ?
- Humf... putain elle est bonne ! Merde !
L'homme avait le visage rouge, les dents serrés, et quelques secondes plus tard, il lâcha une giclée de sperme chaud au fond de sa gorge dans un râle. Roxane fronça le nez, puis il la lâcha, mais l'agrippa immédiatement par la mâchoire.
- Ouvres. Je veux te voir te rincer la gorge avec.
- Alrick, bon sang, c'est tout ce que tu sais faire ?
Son comparse lui répondit par un claquement de langue agacé. Il avait pas baiser depuis un moment et n'avait pu se retenir dans cet écrin superbe qu'était la bouche de l'esclave. Roxane, de son côté, ouvrit sa bouche remplie de semence et exécuta la demande du garde. Quand il le lui permit, elle finit par l'avaler. Bien entendu, elle trouvait son goût bien moins agréable que celle de son maître. L'autre ordonna à son comparse de s'occuper de son cul, d'y déloger le deuxième savon, et d'aller chercher deux autres objets pour les remplacer. Roxane n'aimait pas ça...
L'homme déboucla alors à son tour sa ceinture et sortit son sexe, un peu plus gros que le précédent.
- A nous deux, maintenant. J'attends.
La jeune femme prit le sexe dans une main et le branla un peu avant de l’humidifier avec sa langue, puis de le prendre en bouche. Le second choisit ce moment là pour se servir de sa mouille et lubrifier son antre, et y fourrer ses doigts. Roxanne gémit de douleur, se crispant tandis qu'il tentait de sortir l'autre savon. Heureusement pour elle, il finit par glisser de lui-même. Le garde dont la queue s'enfonçait dans sa bouche agrippa ses cheveux d'une main ferme.
- Concentres-toi ! Vas plus vite.
Roxane obéit, entendant l'autre type se redresser en ricanant et s'éloigner, certainement pour aller chercher des objets à glisser dans ses orifices. Elle essaya de ne pas y penser, ni même s'y faire attention, et augmenta un peu le rythme de ses vas et viens.
- Encore plus vite. Encore !
Elle suivit ses ordres, mais il n'était pas encore satisfait, lui intiment encore et encore d'accélérer, si bien que la jeune femme peinait à tenir la cadence. Le sexe s'enfonçait maintenant profondément, tapant violemment dans le fond de sa gorge. Il riait, grognant de plaisir à la voir ainsi le sucer à pleine vitesse. Sa cravache toujours à la main, il la claquait un peu contre son cul à chaque fois qu'il voulait qu'elle accélère. L'autre type revint alors, tenant dans sa main une bouteille d'environ 1L et une sorte de fruit ou de légume long ressemblant étrangement à une courgette.
- Ça devrait lui plaire, tu crois pas Jared ?
Roxane n'en pouvait plus de sucer le sexe à une telle vitesse et ses joues étaient rouges et la faisaient souffrir. Mais ce fut pire lorsque le garde commença à pénétrer la bouteille dans son anus. Elle voulut hurler, mais faillit s’étouffer avec la queue dure et palpitante d'excitation qui continuait à baiser sa bouche. Plus la bouteille entrait et plus elle avait mal. Lorsqu'elle presque entièrement entrée, dépassant légèrement tout de même, le fameux Alrick passa à son intimité, y logeant le fruit/légume dans toute sa longueur. Roxane gémit, incommodée par ces objets logés dans ses orifices. L'homme devant elle choisit ce moment pour agripper sa tête à deux mains, et donner quatre coup de reins violents et profond dans sa gorge avant de déverser une grande quantité de sperme dans un soupire de plaisir.
- En voilà une gentille fille. N'avale pas, garde-le encore un peu dans ta bouche, profites...
Roxane, la bouche endolorit et pleine, du faire beaucoup d'effort pour ne pas recracher le tout. Elle tremblait un peu sous la douleur, et le type derrière elle choisit ce moment là pour donner un tout petit coup de pied dans le cul de la bouteille. Ce n'était pas très fort, mais cela suffit à la faire cambrer de douleur, et elle s'étouffa à moitié avec le sperme qu'elle ne pu s'empêcher de recracher en toussant. Celui qui s'appelait Jared grogna de mécontentement et l'agrippa fermement par son collier.
- Regardes-moi ça ! Et bien tant pis pour toi, tu vas tout nettoyer avec la langue. Et n'oublies pas ma queue.
Roxane avait un mal de chien, mais obéit et lécha entièrement le sexe du type. Puis elle se baissa lentement pour lécher le mélange de sperme et de salive qui se trouvait sur le sol, comme une petite chienne.
Durant les dernières minutes de son calvaire, elle du sucer tour à tour les deux hommes de nouveau malgré sa douleur, encore et encore, jusqu'à ce qu'ils éjaculent de nouveau et qu'elle doive tout avaler.
Enfin, seulement, il la raccompagnèrent sous le pavillon où se trouvait Rahemar. Une fois devant lui, la jeune femme se souvint de ce qu'il lui avait dit et, les objets toujours logés dans ses orifices, se baissa à quatre pattes, puis se prosterna à ses pieds, lançant alors d'une vois trahissant son être perturbé :
- Merci pour cette leçon, Maître, j'ai bien apprit. Je saurais me montrer à la hauteur désormais. Je ne suis rien comparé à vous, je ne suis que votre chienne qui mérite qu'on la traite comme vous le faîtes, qui mérite d'être punie et reprise à chaque fois que vous le jugerez nécessaire. Je ne vous mérites pas... vous êtes si juste avec moi... Je jure de vous servir comme il se doit, même si je ne mérite pas non plus l'honneur, ne serais-ce que de lécher votre noble fessier...
Elle espérait que cela suffisait, le visage toujours près du sol, soumise, et les joues toujours rouge d'avoir subit les envies des deux gardes.