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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: mardi 12 mars 2019, 22:32:02 »

Tiamat se faisait véritablement défoncer par la démone, mais dieu que c'était bon! Jusqu'à présent, elle n'avait couchée qu'avec des faibles qui perdaient pied bien trop rapidement ou des gens qui ne cherchaient qu'à faire d'elle leur chose. Mais Sophiana elle... chaque coup de rein faisait pleinement effet en elle, comme une décharge électrique au plus profond de son être, traversant son corps pour remonter jusqu'à son cerveau et exploser ses pensées. Heureusement, elle était une dragonne. Même jeune par rapport à son espèce, elle pouvait encaisser ça. De fait, elle ne resta pas impressive face à son amante, usant de sa queue caudale pour l'envoyer entre les fesses de la démone, s'enfonçant dans son fondement et débutant de puissants vas et viens en elle. Saphiana ne tarda d'ailleurs pas à jouir en elle, expulsant de violentes giclées de semence chaude, déclenchant des frissons de plaisir dans le corps de Tiamat.

- Hmmm... Haaaaaa.... ça fait longtemps que... Personne ne m'a pris ainsi... Je pense pas me tromper en disant que c'est même la première fois...

- Essaye les. Vas y... Reprend ta véritable nature...

- Si... Haaaaaa... Si tu y tient tant que ça...

Et tandis que Sophiana replongea en elle, Tiamat usa de ses nouvelles ailes tout en agrippant les hanches de la démone, s'envolant à mi hauteur de la pièce en se retournant. Suspendue ainsi entre sol et plafond en surplace, elle prit les reines de leurs ébats en dominant allègrement son amante, obligeant celle-ci à s'accrocher à elle pour ne pas se casser la gueule en bas, bien qu'elle soit toujours maintenue par sa queue caudale, toujours enfoncée en elle tel un énorme crochet. La dragonne remua donc contre la démone, comme en apesanteur dans cette cellule.

- Alors ? Haaaaaa... Tu prend bien ton pied, salooope ?! Haaaaa...

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Prélude / Re : Elona, coeur d'archère bestiale

« le: dimanche 10 février 2019, 23:40:44 »

Bienvenyu :3

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: dimanche 10 février 2019, 16:44:31 »

Habituée depuis quelques années à dominer, c'était bien la première fois qu'elle se soumettait à quelqu'un. Mais d'un autre coté, c'était elle qui le lui avait demandée, car elle se doutait, au fond, qu'elle aurait bien du mal à dominer la démone tout en sentant ses ailes repousser. Ainsi, dans un premier temps, elle ne ressentit que bonheur et plaisir, lorsque cette queue gargantuesque pénétra brutalement son intimité, avant de la ramoner avec frénésie. Agrippée à Sophiana, Tiamat gémissait de plaisir, l'enlaçant de ses bras et les crocs encore plantés dans son cou. Néanmoins, cette plénitude ne dura que quelques instant, avant qu'une horrible sensation de douleur ne lui traverse le dos.

- Haaaa... Haaaaaaa... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!

Heureusement, la cellule était insonorisée, personne n'entendait ce qui s'y passait depuis l’extérieur, auquel cas, les gardes auraient déboulés en entendant ce hurlement de douleur... En fait, parler de douleur n'était qu'un euphémisme, comparé à ce que la dragonne ressentait véritablement. C'était comme si son corps était déchiré en deux et chauffé à blanc dans le même temps. Comme si une lance l'embrochait de toute sa taille. Les métaphores étaient nombreuses pour décrire cette sensation. Sophiana redoubla d'ardeur, pour équilibrer du mieux possible souffrance et plaisir, mais les fait étaient tels que la dragonne ne parvenait plus à réfléchir, lutant pour se concentrer d’avantage sur la seconde sensation plutôt que la première, et ne faisait donc plus vraiment attention à ce que faisait son amante.

Tiamat se retrouva ainsi les bras enchainée par des menottes accrochées au plafond, suspendu au dessus de sa tête et les cuisses largement écartées, le corps cambré vers l'avant. Elle pris note, légèrement détachée des évènements, que la démone l'embrassa copieusement et lui maltraitait les seins, pendant que ses os terminaient de se reformer, suivis des muscles et des membranes. Elle n'osa pas bouger ses ailes pour le moment, ayant trop peur d'avoir mal. Tiamat n'était pas une masochiste et Sophiana avait beau la bourrer de toute ses forces et la remplir de sperme, la dragonne était tout simplement incapable de jouir avec cette douleur difficilement soutenable. Ainsi, ses ailes mirent bien une longue demi-heure pour se refformer, avant que la douleur ne diminue, progressivement effacée par le plaisir que lui procurait la démone. Et malgré cette incroyable souffrance, Tiamat n'avait pas perdue connaissance. Elle avait courageusement encaissée et pouvait désormais profiter du reste de la soirée avec elle, sans perdre une seconde de conscience avec son amante.

- Haaaaa.... Haaaaaa... Pfiouuuu.... C'est bon... Je vais pouvoir profiter... un peu plus de notre soirée... belle démone...

La soirée allait enfin pouvoir véritablement commencer pour elle...

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: dimanche 10 février 2019, 00:02:15 »

Ainsi, son père avait été destitué par Ishtar ? Donc en plus d'avoir survécus à son bannissement, elle était parvenue à venger leur mère et leurs frères et sœurs ? Décidément, bien des choses devaient avoir changées depuis son départ. Si cette démone tenait parole, elle se ferait un plaisir de retourner chez elle passer voir sa mère... Et peut être faire connaissance avec son ainée, si elle était là. Ces informations la motivèrent plus encore pour coopérer avec Sophiana, mais avant ça, comme elle le disait, il fallait recharger ses batterie en énergie charnelle. Heureusement, elle est sensée la violer pour la briser, même si dans le cas présent, c'est plutôt elle qui va se faire prendre. La dragonne n'avait aucune idée de l'heure qu'il était actuellement, mais elle pouvait voir a travers la lucarne de sa cellule qu'il faisait déjà nuit noir dehors. Elles devaient avoir tout au plus quatre heures devant elles pour baiser, avant de mettre leur plan en application. Sophiana lui fit alors une proposition, sans cesser de la peloter et commençant enfin à la pénétrer de sa longue verge.

- Bois mon sang et tu recevras ta récompense... Tu ressentira une puissante douleur, terrible, mais c'est le prix a payer pour que tu reapprenne à voler... Haaaaaan !

Pouvoir de nouveau voler, un fantasme auquel elle n'avait plus pensée depuis bien des années... Mais effectivement, faire repousser des ailes ne devait pas être de tout repos. Elle approcha sensuellement ses crocs du cou de la démone, susurrant doucement à son oreille.

- Si c'est aussi douloureux que tu le prétend, alors... baise moi fort... fait moi oublier cette douleur...

Et elle mordit dans son cou, commençant à aspirer son sang...

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: samedi 09 février 2019, 18:17:09 »

Tiamat regarda cette créature tordre avec une facilité déconcertante les barreaux de la cage dans laquelle elle avait été éjectée. Car si, techniquement, elles se trouvaient actuellement dans la même cellule, celle-ci possédait en réalité une cage en guise de sas. Les esclaves qui arrivaient y étaient jetées et la dragonne les récupéraient ensuite pour les dresser. Une fois cela fait, elle les remettait dans la cage, que les hommes revenaient chercher pour la conduire à sa nouvelle "chambre". En réalité, ce système de "cage-sas" avait été mis en place pour éviter les incidents avec Tiamat. Une nouvelle recrue avait un jour eu la merveilleuse idée de la traiter comme une pute, sans tenir compte des avertissements des autres. La dragonne l'avait purement émasculé. Depuis, les contacts physiques entre elle et les hommes étaient extrêmement limités.

La créature, après l'avoir tendrement et intimement caressée, se présenta finalement à elle et lui déclara qu'elle serait une future raine démoniaque. Cela expliquait donc la facilité qu'elle avait à user de son pouvoir, malgré le système de sécurité. Elle lui avoua également qu'elle était à la recherche d'une esclave récemment capturée et de la libérer, c'était sa priorité. Elle lui demanda donc sa coopération, avec comme contrepartie de la libérer et peut être l’embaucher, et lui permettre de retrouver sa mère. La dragonne la laissa la caresser, mais répondant volontiers à ses petites attentions, notamment à venant palper son délicieux cul, glissant ses mains sous ses vêtements et entreprenant de les faire glisser jusqu'au sol.

- Humm... Quelle généreuse proposition... Je serais ravie de retrouver ma mère, mais c'est sans compter sur mon père... Il sera difficile à faire tomber sans une armée... Du reste... Les rondes se font plus rares passé 2h du matin, ce sera donc le meilleur moment pour agir, quant au système de sécurité... il y'a moyen de le surcharger en magie, si on le pousse à bout...

Le système avait été pensé pour contenir sa magie... Si les hommes avaient su que la Neko était en réalité une démone, il aurait au préalable renforcé celui-ci, avant de les mettre ensembles. A elles deux, elles devraient réussir à briser les cristaux avec une surcharge de magie, mais cela prendra plusieurs minutes.

- Quant à la louve, je me souviens l'avoir dressée oui... Mais j'ai bien peur qu'elle soit devenue complètement dépendante du sexe, suite à mon traitement... Elle est devenue tellement affamée que les mafieux l'enferment avec deux jument Futa pour la calmer... Quant à moi, je dois au moins faire semblant de te dresser, d'ici la fin des rondes... Ce qui nous laisse quelques heures devant nous, avant de passer à l'acte...

Toutefois, plutôt que la dresser, Tiamat allait tout simplement coucher avec elle. Mais elle montrait une certaine forme d'impatience... Hormis dresser des soumis ou se faire violer lorsqu'elle était plus jeune, elle n'avais jamais couchée d'égale à égale avec quelqu'un... Se plaquant tout contre elle - et contre le mur - la dragonne vint donc l'embrasser langoureusement, sans lâcher les fesses de la démone, s'amusant à avancer et reculer contre sa nouvelle amante, afin de stimuler leur poitrine sous la pression exercée. Le baisé dura de longues et intenses minutes, avant qu'elle ne libère ses lèvres, luisante de leur salive mélangées.

- Et pour ta gouverne... Je me nomme Tiamat, ma belle...

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: jeudi 07 février 2019, 21:33:30 »

- Par Lucifer, une Naviento. Ah ah ! J'y crois pas, tu as des ressemblance avec Ishtar. Waw... Avant de te répondre, il y a des cameras ou des micros ?

Honnêtement, "Beast" ne pu cacher sa surprise. Elle était certes une Naviento, mais elle était toutefois née après le bannissement d'Ishtar d'Inféris. Le peu qu'elle savait d'elle, c'était ses frères et ses sœurs qui le lui avaient dit. Elle portait le même prénom que sa mère, Tiamat, bien qu'elle ne l'ait jamais vue non plus. Leur père était un tyran, qui violait périodiquement sa mère et dont la moitié de sa descendance était mort née, l'autre ayant difficilement passée l'enfance. En fait, sur ses 666 enfants, le quart seulement avait passé leur première dizaine d'années. Tiamat avait été vendue à des marchants d'esclaves à l'âge de 12 ans, quelques années seulement avant la chute de son père, aussi ignorait-elle tout de ce qui se passait à Inféris depuis lors. A la question de la succube, la dragonne montra l'une des caméra. Visiblement, cela faisait des mois que les circuits avaient grillés.

- Si la dymérite bloque la magie, elle a aussi l’inconvénient de créer des dysfonctionnements électroniques, en trop forte quantité. Ces humains et moi, on a un marché. N'ayant jamais pu me dresser, ils m’héberge du mieux possible tant que je dresse leurs nouvelles esclaves. Elle eu un rire jaune. Je ne suis pas dupe, je suis toujours prisonnière... Mais en comparaison de ce que j'ai subis depuis ma naissance, c'est la meilleure situation à laquelle j'ai jamais eu droit...

Tiamat vivait dans des condition exécrables. Un lit moisis, une planche bancale en guise de table pour manger, une étagère avec peu de livres, lus et relus et tout le reste du mobilier servait à dresser des filles et en faire de vraies nymphos... Au moins, les hommes n'essayaient plus de la violer. Si la succube connaissait les Naviento, alors elle avait du remarquer que, pour une dragonne, celle-ci ne possédait pas d'ailes. La raison en était simple, son père les lui avaient amputées... Si bien que seule deux cicatrises aux omoplates témoignaient de ce reliquat.

- Bien, j'ai répondue à ta question, à toi de répondre à la mienne. Et inutile de me menacer avec tes membres fantomatiques... Mes écailles sont suffisamment solides pour les contrer.

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: mardi 22 janvier 2019, 22:50:48 »

La Neko avait un langage un peu trop cru pour une fille qui venait tout juste d'être capturée, et avec facilité qui plus est... Mais entre l'alcool, l'aphrodisiaque et ses hormones en ébullition, les hommes ne se posèrent pas plus de questions que cela. Ils espéraient juste qu'une fois son dressage terminé, elle sera plus soumise et n'ouvrira sa grande gueule que lorsqu'on l'y autorisera. Le baraqué la conduisit donc dans les sous-sols du bâtiment, aménagé en cellules fermées par des grilles plutôt que des portes et derrières lesquelles on entendait des soupirs de plaisir ou les lamentations de filles encore en cours de dressage, nues et attachées. Dans le lot, il y avait quelques lycéennes humaines fraichement capturées, leur uniforme en lambeaux et ne cachant plus grand chose. L'homme amena la Neko à une cellule fermée par une porte et l'ouvrit après quelques tours de clefs, jetant la terranide à l’intérieur. Dans le noir, deux grands yeux améthystes brillèrent, fixant la nouvelle captive, chaude comme la braise, puis l'humain.

- Beast, Une nouvelle recrue pour toi. Elle est déjà bien chaude, tu n'auras aucun mal à la dresser. Fait ton taf convenablement et notre arrangement pourra se poursuivre.

Il referma la porte à double tour et s'en alla en sifflotant, laissant les deux créatures ensembles. La dénommée Beast, toujours dans l'ombre, regarda longuement la terranide se tortiller devant elle, réclamant qu'on s'occupe de sa chatte en feu. Sur les murs, Sophiana pouvait observer de nombreux accessoires de bdsm, tendis que des machines sexuelles avaient été repoussées contre les murs de la cellule. Une bibliothèque et un lit semblaient constituer le seul vrai mobilier de la pièce. Continuant de la toiser froidement, elle finit par ouvrir la bouche.

- Bien imitée, succube... Mais si tu veux te faire sauter, c'est pas le meilleur endroit au monde... Cette cellule possède un système de sécurité en dymérite intégré aux murs, qui absorbe et annihile toutes formes de magies... Si tu veux sortir d'ici, il faudra que je te dresse avant...

La créature quitta l'obscurité pour se montrer face à elle. Beast était en réalité une dragonne noire, sa peau sombre constituée de fines écailles et recouverte partiellement par une combinaison en latex, qui laissait apparent son corps de l'entrejambe au cou. Sa longue chevelure mauve cascadait dans son dos et encadrait un visage qui aurait pu être joyeux dans d'autres conditions. Deux paires de cornes blanches transperçait sa chevelure au sommet de son crâne. Beast s'accroupit face à la Neko qui n'en était pas vraiment une, relevant son menton.

- Comment t'appelles-tu ?

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: dimanche 20 janvier 2019, 02:15:11 »

Le garde du bordel était plutôt du genre baraqué et avec une mine patibulaire. Une véritable armoire à glace dans cette petite ruelle étroite. Difficile de passer inaperçu pour lui, mais le but était justement d'éloigner les curieux. Officiellement, il s'agissait d'un salon privé, accessible seulement pour les VIP, où marchants et clients négociaient leurs affaires en toute discrétion. Officieusement... c'était toujours un salon privé VIP, mais qui servait en réalité de bordel et de mise en vente, les femmes les plus exotiques y étant vendues comme de vulgaires jouets sexuels. Celui-ci ne faisait pas l'objet d'un mandat d’arrêt, simplement parce que les plus grandes pompes du gouvernement et des entreprises de la ville y avaient leur accès.

Monter la garde à cette entrée pouvait être particulièrement ennuyeux pour l'homme, obligé de faire le piquet dans cette ruelle sinistre pendant que les autres s'amusaient avec des femmes de toutes sortes. Mais parfois, rarement, il arrivait que des évènements le sortent un peu de son morne quotidien. Comme ce fut le cas avec cette Neko qui lui tomba littéralement dessus, ne cachant nullement ses attributs et ne cherchant pas à le faire de toute manière. Elle n'était pas sur ses gardes et semblait ignorer où elle avait mis les pieds.

- Hmmm... J'ai bien peur que ce ne soit complet actuellement, mais je suis sûr qu'il y'a moyen de s'arranger avec le patron...

Vif comme l'éclair, il sortit de sa poche une seringue, tandis qu'il aidait la Neko à se redresser un peu de son autre main. Elle semblait tellement imbibée d'alcool, qu'elle n’eut aucune réaction lorsque l'aiguille perça sa peau au creux des reins et qu'il en vida tout le contenue dans ses veines. Toutefois, le produit devrait très vite commencer à faire effet, notamment en provoquant de très fortes chaleurs à la Neko, une envie irrépressible de sexe.

- Venez mamz'elle, je vais vous conduire à l’intérieur... ça peut être dangereux pour vous de rester dehors dans cet état.

La tenant fermement par le bras, il la conduisit dans le vestibule, puis passa une autre porte. Dans la salle, plusieurs dizaines de filles en extase, nues et enchainées, se faisaient prendre par les puissants de la ville. Sans le produit dans ses veines, la Neko se serait déjà mise à paniquer, mais dans son état actuelle, elle ne devait normalement n'avoir qu'une envie, les rejoindre pour son plus grand plaisir.

- Ne t'inquiète pas ma belle, tu les rejoindra bientôt, mais j'dois te présenter au boss quand même...

Il entra ainsi dans une nouvelle salle, un bureau, dans lequel un homme se faisait langoureusement lécher le membre par deux autres filles, deux elfes qu'il tenait en laisse et qui semblaient être elles aussi dans un état second. Il regarda la nouvelle marchandise avec un œil intéressé, avant de regarder le garde

- D'où elle sort celle là ?

- Une Neko qui trainait dehors, complètement bourrée. J'me suis dis qu'ce serait du gâchis que d'là laisser trainer dehors.

- Mouais... Elle empeste l'alcool et on sait pas trop où elle a trainée... Conduit là en salle de dressage, Beast va la rendre un peu plus présentable pour les clients...

L'homme la redressa donc et la conduisit de nouveau à travers les couloirs. Finalement, la soirée allait être un peu plus animée que les autres, même s'il ne participerait pas directement à l'éducation de cette fille.

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: dimanche 30 septembre 2018, 19:10:57 »

Honnêtement, Miya fut prise de cours par la réaction de Sophiana, ne s'attendant pas le moins du monde à ce genre de réaction. Mais avec du recule, c'était sans doute dû à son coté démoniaque. Et puis la plus jeune ne connaissait son ainée que depuis un peu moins de 48h seulement, donc c'était normal. Mais de fait, en moins de temps qu'il n'en faut pour voir son membre débander, elle se retrouva au sol, tandis que les trois autres filles furent aspirées par un portail. Sa grande sœur était devenue anormalement neutre et détachée. Comme si le fait de ne pas lui sauter dessus ou de s'occuper d'une autre qu'elle inadmissible à ses yeux. Un peu égoïste sur les bords nan ?

- Joue bien, j'ai ta mère a récupérée.

Et elle sortit de la maison sans un mot de plus, la laissant seule au milieu d'un inconscient et de plusieurs cadavres. Interdite, la jeune tigresse resta à califourchon sur le sol durant quelques minutes de plus, avant de hausser les épaules.

- Bah... si Nessan sait pas exprimer les choses clairement, tant pis, mais moi, pas question que je joue avec des morts, j'suis pas nécrophile encore...

Si Miya avait tant craquée sur le gros membre de son ainée, ce n'était pas non plus pour rien. Remontant dans sa chambre, elle passa précautionneusement son bras sous son lit, jusqu'à attraper un coffret en bois long et étroit. Et, en l'ouvrant, elle en sortit un énorme gode équin (taille réelle). D'ici à ce que sa grande sœur ne revienne, elle comptait bien s’amuser avec ce jouet, qu'elle n'avait plus eu entre les mains depuis bien longtemps.


Ailleurs, sur les docks

L'ambiance festive battait son plein au port de Seikusu. Les bars et les restaurants étaient plein, les night-club diffusait leur musique, ténu par l'insonorisation des bâtiments et quelques artistes de rue dessinaient des portraits des passants. Plus enfoncés dans les quartiers, on pouvait trouver quelques bordels, certains luxueux, d'autres plus mal famés. Un seul se faisait nettement plus discret que les autres, son entrée étant dans une arrière cours, fermée par une grille, une vraie armoire à glace en surveillant l'entrée. Visiblement, il devait s'agir d'une maison close accessible seulement à ceux ayant reçu une invitation du propriétaire des lieux...

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: dimanche 30 septembre 2018, 18:05:39 »

- Mmmmmh... Miya n'ose pas montrée qui est la dominante vis a vis des trois autres ? Han !

La jeune tigresse trouvait que cette affirmation n'avait pas de sens, puisque sa grande sœur la dominait déjà sans problème. Non, le vrais soucis, c'est que Sophiana lui donnait terriblement envie de sexe alors qu'en même temps, elle voulait retrouver sa mère et faire payer les acheteurs, mais avec des coups plus que de l'argent. Mais puisque sa sœur d'adoption l'avait chauffée et la narguait désormais, Miya allait tout simplement l'ignorer, pour s'occuper de la tigresse Tomboy. De ses réactions de dégouts vis à vis de la grosse trique, il était clair qu'elle était une pure lesbienne et qu'elle préférait cent fois une langue dans son intimité plutôt qu'une monstrueuse matraque. Et puisqu'elle avait gentiment coopéré, il fallait la récompenser, pas la terroriser ou la forcer à faire des choses qu'elle n'aimait pas, même avec de l'aphrodisiaque.

- On va voir qui elle préfère de nous deux, si tu y tient ♪

Les doigts toujours sur les tétons érigés de la tomboy, Miya déscendit peu à peu ces derniers, les glissant sensuellement le long de la fourrure jusqu'à écarter ses belles petites fesses fermes. Ignorant superbement la queue tendue de Sophiana, elle sortit alors sa petite langue aventureuse et vint laper avec gourmandise la fleur intime de sa congénère féline, veillant à stimuler autant ses grandes lèvres et la chair intérieure que son clitoris. Les gémissements que la tomboy se mit à pousser soudainement était une belle preuve qu'elle préférait de loin ces petites attentions agréables aux actes brutaux de sa grande sœur.

- Alors Oneesan ? Qui est la vraie dominante maintenant ?

Pour Miya, dominer, ce n'était pas seulement imposer ses envies à son partenaire, mais savoir aussi écouter ses préférences... Sinon, cela ne se résumait qu'à un stupide acte de viol.

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Prélude / Re : Orphée Delrosaria [Valicidée !]

« le: mardi 11 septembre 2018, 21:08:57 »

La femelle du mouton, c'est pas la brebis plutôt ?

Bienvenue à la première brebis du forum :3

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: vendredi 24 août 2018, 12:38:16 »

Après une bonne série de baffes, le dernier mec encore en vie finit par se réveiller.

- Ah, quand même... Bon, maintenant explique moi comment toi et tes potes vous avez su pour ma mère ?

- Va crever salle chienne...

Miya soupira un bon coup de lassitude en fermant les yeux, avant de prendre son bras cassé et le tordre dans un angle proprement dégelasse, ce qui le fit hurler de douleur, les larmes aux yeux.

- Alors, déjà, je suis pas une chienne, ou alors t'es juste inculte en espèces animales. Et ensuite, si tu me répond pas, j'peux aussi te péter l'autre bras et les jambes, ça m'dérange pas.

Pour seule réponse, il lui cracha à la figure, avant de se moquer, ne l'en croyant tout simplement pas capable d'une telle chose. Quelques secondes plus tard, il hurla de nouveau à la mort, suite à un bruit de craquement et de déchirure mou. Miya venait de lui démembrer son avant-bras invalide, comme elle ferait avec son gibier de chasse, avant de balancer plus loin. Evidemment, il se mit à pisser le sang, mais cela ne dura pas longtemps après qu'elle lui fit un garrot à son moignon. Le but n'était pas de le tuer rapidement, juste de le faire souffrir.

- T'as de la chance, c'est ton bras gauche... Tu peux encore ne pas devenir totalement handicapé si tu coopère.

- Ahhh... S... Salope... Va t'faire foutre... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!

Non, la tigresse n'avait rien cassée ou démembrée cette fois-ci, elle s'était seulement contentée de grattouiller un peu la chaire exposée avec une griffe. Cela dura quelques minutes, avec en fond sonore la tomboy blonde qui était à la fois excitée contre sa volonté et dégoûtée par la situation. Finalement, les seule qui semblaient déconnectées, c'étaient la rousse inconsciente et la brunette en ahegao.

- J'me demande bien qu'est ce qui t'pousse à ne pas balancer l'info...

- Si... Putain... Si j'parle, ils m'tuerons...

- Et si tu continu de résister, tu finiras par mourir de tes blessures... Est ce que ça vaut vraiment l'coup de vivre comme tronc ou de mourir pour ces types ?

Il sembla considérer la question un instant, envisageant réellement la possibilité, avant d'abdiquer. De toute façon, si il parle, il se fera tuer plus tard, mais il vivra suffisamment longtemps pour se cacher le temps que tout ça se tasse... dans le cas contraire, soit il mourrait comme un con, soit il survivait, sans membres et donc dans la capacité de fuir si on pars à sa recherche. Il ferait une cible facile. Il était même possible que ses enfoirer continuent de jouer avec lui, avant de l'achever, comme le faisait la tigresse en ce moment même. Et puis s'est bien connus, les chats aiment jouer avec leurs proies.

- Okay... t'as gagnée... J'vais parler...

Il lui expliqua finalement - entrecoupés de râles de douleurs - qu'à la base ils étaient simplement venus dans cette baraque pour un cambriolage des plus classiques. Toutefois, la porte d'entrée était entre-ouverte et la femme qui vivait seule était effondrée dans le couloir, sans doute ruinée par l'alcool au vu des cadavres de bouteilles dans le salon. En bons délinquants pervers, ils l'avaient violés pendant que les filles cherchaient tout ce qu'il y'avait de valeur à récupérer, que ce soit de l'argent, des bijoux ou de l’électronique. Ils lui avaient aussi fait des injections de drogue aphrodisiaque, pour l’amener à la jouissance et ne pas rendre le viol trop chiant. Ils avaient donc été surpris par la transformation de la femme suite à son orgasme.

- On avait jamais vu un truc pareil... Et on s'est dit qu'elle rapporterait plus de fric que tout les trucs réunis ici...

Miya dû se faire violence pour ne pas éclater la face de ce type tout de suite. Il balançait absolument tout, sans réaliser qu'il ne faisait qu’attiser la colère de la tigresse que de la calmer. Pendant une semaine, ils ont violé la femme louve en long et en large, durant des heures, jusqu'à la briser complètement, jusqu'à ce qu'elle en redemande d'elle même. A ce moment là, ils ont pris contact avec un bordel un peu particulier au niveau du port, un établissement peu connus, dans lequel on trouve quelques lycéennes capturées, mais aussi des filles presque humaines, comme ils les appelaient eux même, essentiellement avec des attributs de chats ou des oreilles pointues par exemple.

- On l'a vendue il y'a trois jours de cela... et on a été payé 130 000 Yen dans la soirée...

Miya comprenait mieux pourquoi ils s'étaient rués sur elles dès qu'ils les avaient vus... C'était quand même une sacrée somme pour des délinquant à la rue et la possibilité de la multiplier par trois leur avait fait oublier le sens du danger. Sa mère avait sombré dans l'alcool, elle n'était donc pas dangereuse lorsqu'ils l'ont trouvés. Mais Miya et Sophiana elles, étaient en pleine possessions de leurs moyens. Miya le remercia en l’assommant et en lui faisant perdre connaissance. Elle avait des projets pour le faire souffrir et lui faire payer ses actes. Elle en fera sans doute pars à sa grande sœur si celle-ci lui pose la question, mais pas de suite, vu comment elle semblait s'amuser avec sa proie. D'ailleurs, celle-ci avait déjà entamée sa métamorphose à son tour et Miya fut un peu surprise de la voir devenir une tigresse comme elle. Certes, elle faisait très garçon manqué, avec ses cheveux courts et sa poitrine complètement plate, mais l'absence de pénis prouvait bien que c'était une femelle.

Miya s'approcha donc d'elles en retirant ses vêtements, se remettant donc complètement nue, et vint se coller contre le dos de sa nouvelle congénère en venant pincer ses tétons, s'arrangeant pour sentir le sexe de Sophiana glisser contre son intimité également.

- C'est bon, tu t'amuse bien sans moi, Oneesan ?

Jalouse ? Juste un peu...

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: mardi 21 août 2018, 07:33:19 »

En fait, quand Sophiana lui demanda d'aller chercher la dernière fille, celle défoncée par les mecs précédemment et pratiquement à poil, Miya était déjà à ses cotée. Mais en réalité, elle hésitait un peu. La fille en question était complètement en ahegao, incapable de réaliser ce qui se passait autour d'elle. Il suffisait de regarder les seringues vide à côté et les marques sur son bras pour comprendre qu'elle avait été droguée aux aphrodisiaques. Peut être étai-ce leur nouvelle prise à vendre ? Peut être un cadeau pour la vente de sa mère ? Ou peut être était-ce juste une fille de leur groupe qui aimait bien perdre pied en baisant, tout simplement.

Évidement, voir le membre de sa grande sœur devenir aussi raid l'avait rendue folle de désir... Mais à vrai dire, ce qui l'excitait encore plus, ce serait de voir ces salopes se faire sauter par un barreau trop gros pour elles. Et dans le fond, les voir devenir des furry n'était finalement que justice. Devenir comme elles, comme sa mère qu'elles avaient vendue, c'était l'assurance qu'elles ne tenteraient rien, pour éviter qu'elles ne se retrouvent dans la même situation que sa mère : se faire vendre comme bête de foire dans un bordel.

- Allez, parle, beauté. Avoue moi tout.

- Je sais pas... Je sais pas je sais pas je sais pas... V-v-v-vraiment p-p-p-pas... P-p-p-pitié...

Elle pointa d'un doigt tremblotant le chef de la bande, toujours dans l'inconscience causée par la douleur, après que son bras ait été cassé ou déboité. Elle semblait vouloir dire que lui le savait. En tout cas, la blonde était en pleur et était terrorisée à l'idée de perdre son humanité.

Pendant ce temps, Miya déposa finalement la 3ème fille aux pieds de la louve, avant de retourner voir le chef de la bande, tâter son poul pour s'assurer qu'il était toujours en vie, avant de lui mettre de grosses baffes afin de le réveiller.

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: lundi 20 août 2018, 22:37:05 »

Miya eu à peine le temps de rejoindre Sophiana que celle-ci lui mit sa pattoune sur la bouche pour l'empêcher d'émettre le moindre son, lui expliquant ce qu'elle avait découvert. Ainsi, des délinquant squattaient donc SA maison, après avoir vendus SA mère ? En son fort intérieur, la cadette espérait que ce soit pour la première solution que la seconde. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle ne croyait suffisamment pas assez aux coïncidences. Il y'avait peu de chances qu'elles soient retournées sur Terre la veille de la vente, probablement qu'ils étaient là depuis une semaine ou deux, elle ne voyait de toute manière pas comment son domicile aurait pu être autant dégradé en aussi peu de temps.

Miya vit sa grande sœur entrer dans la chambre de sa mère et en ressortir peu après, avec un mec complètement à l'ouest, à moitié en train de s’asphyxier avec la pression contre son cou. Rien que de le savoir sur le lit de sa mère, la tigresse vit rouge. Non, sans déconner, ces types allaient payer pour ce qu'ils avaient faits ici. Sophiana descendit donc à l'étage inferieur et balança le corps de l'ado sur la table en contrebas, qui se brisa sous l'impact. La tête étant complètement retournée, elle se doutait qu'il devait avoir eu la nuque brisée.

- Bonsoir, j'ai trouvée une chose dans la chambre de la mère de ma chérie, je dois supposer que vous savez où sa mère se trouve ou je...

Comme il fallait s'y attendre, l'un des types l'attaqua avec un couteau. Pas un couteau de cuisine ou un petit canif, non... Un vrais coutelas, avec cran d'arrêt, avec une lame d'au moins 10cm... Et qui se planta dans la paume de la louve. Miya eu un petit sursaut et cela la fit bouillir encore plus d'énervement. Heureusement, cela ne lui fit pas grand mal et tua pour la seconde fois de la soirée un demeuré... Un instant, de la soirée ? Oui... Sur Terre, la nuit se levait, alors que c'était tout juste le matin sur Terra...

Tout les autres sortirent alors un couteau, tandis qu'une des filles essaya de fuir, sans succès.

- Putain, on a encore du rab les gars... Bougez pas mes mignonnes... Si vous restez sages, vous rejoindrez très vite vot' copine... hé hé...

Miya roula des yeux au plafond, sortant ses griffes.

- Miya... laisse que les femmes en vie et "intact", j'ai un projet pour elle tandis que... les autres... fait leur cracher le morceau sur l'endroit où se trouve ta mère.

- Avec plaisir, Neesan...

La jeune tigresse avait passée six mois dans la savane, à vivre à la dure entre la chasse l'inconfort et les mâles... Ce n'était certainement pas cinq mecs à moitié défoncés par l'alcool et le shit, et rongés par l'avidité, qui allaient lui faire peur. A peine Sophiana lui fit sa demande, que la fauve bondit en avant, esquivant facilement la trajectoire des lames, donnant un grand coup de griffe au visage d'un premier mec, avant de projeter le second contre un mur. Elle fit ensuite un demi-tour sur elle même pour venir planter ses croc dans le cou du griffé et le lui déchiqueter, recrachant la chair avec un air dégoûte. Non pas dû au fait que c'était un humain, mais que la viande humaine, c'est particulièrement immonde, comparé au bison ou à la gazelle. Avec deux types tués en moins de cinq secondes, le chef de la bande faisait déjà beaucoup moins le fier. Il essaya malgré tout de l'attaquer avec son coutelas, mais Miya l'esquiva facilement, avant d'attraper son bras et le retourner violemment vers l'un de ses pote qui se prit la lame en plein dans son bide. Au passage, le bras émit un craquement sinistre au niveau de l'épaule et il perdit connaissance avant d'avoir le temps de crier, en faisant dans son froc dans le même temps.

En a peine vingt secondes de combat, elle avait déjà éliminée la moitié de la "menace". Il ne restait plus que l'autre fille qui était assise à la table auparavant et qui se plaquait contre un mur, avec un air terrorisé, celle qui s'était faite sauté dans le canapé et qui était toujours ailleurs, et un dernier mec, qui tentait vainement de fuir, maintenu par une force invisible. Et qui finit rapidement coupé en deux au niveau de la taille. Miya s'approcha de la fille face à elle, donnant un coup de patte dans sa main, assez fort pour lui faire lâcher sa lame, mais sans lui briser le poignet, avant de la caresser au niveau de la joue.

- Dis moi où est ma mère... qu'est ce que vous en avez fait... Je ne voudrait pas avoir à te faire crier trop fort, tu capte ? Ni à te tuer d'ailleurs... Même si c'est pas l'envie qui m'en manque...

Elle étira un sourire, qui dévoila ses canines, légèrement rougies par sa dernière morsure. Un bruit d'éclaboussure lui signala que l'adolescente était en train de se pisser dessus.

- On... On l'a ven... ven... vendu... P-P-Pour se faire d-d-du f-fri...

- J'm'en fout d'ton pognon, j'veux savoir où est MA mère !

Miya frappa contre le mur, près de sa tête et la fille émit un cris relativement aiguë.

- Hîîîîîîîîîîîî ! Je... Je... On... On l'a vendu... Au... Au... Au bordel du p-p-port... dans un entre-p-p-p-pôt d-d-désaffecté... Le c-c-contact est s-s-sur la t-t-table...

- Merci, pouffiasse.

Miya la saisit et la balança vers sa sœur. C'est à ce moment là qu'elle vit que la rousse, inconsciente, était désormais devenue une furry panda roux, mais toujours avec sa coiffure punk. La fille qui se retrouva face à la louve eu un moment de panique en voyant ainsi sa copine.

- Q-Q-Qu'est ce que vous lui avez fait ?!... Esp... Espèce de m-m-monstre !

- Intéressant... C'est ça ton projet les concernant ?

Déjà que sa grande sœur l'avait assez bien chauffée en l'embrassant en haut... Mais si en plus elle transformait ces filles en furry, ça n'allait pas calmer ses chaleurs...

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]

« le: dimanche 19 août 2018, 18:09:48 »

Miya savait sa nouvelle grande sœur forte, mais la voir défoncer la porte de sa chambre avec autant de facilité la surpris tout de même, si bien qu'elle eu un petit sursaut. Elle la vit prendre une forme plus canine que féline, carrément vêtue, avant de prendre l'angle du couloir. Juste avant, elle eu tout de même le temps de lui dire de chercher des vêtements, au cas où elles auraient à sortir. La plus jeune tiqua un peu sur l'excuse qu'elle sortira si quelqu'un devait voir son visage. Qui irait croire un truc pareil ? Personne de censé de deviendrait une furry via la chirurgie esthétique m'enfin ! Soupirant un peu, Miya fouilla dans ses armoires et tiroirs, cherchant des fringues suffisamment viables, ni bouffés par les mites, ni complètement moisis... Enfin, pas trop...


Si la chambre était dans un état déplorable, le reste de la maison n'était guère mieux. C'était même pire. Autant la chambre était poussiéreuse et humide, autant le reste de la maison était jonchée de détritus, de trous dans les murs et de tags divers. Toute la maison semblait à l'abandon depuis des lustres, effectivement squattés par quelques jeunes. Dans l'ancienne chambre de sa mère, il y'avait un délinquant complètement défoncé et à moitié affalé sur un matelas aussi défoncé que le drogué en question. La salle de bain était en ruine, la baignoire pleine de bouteilles d'alcools explosés et des flaques de bières ou de vodkas sur le carrelage. A l'étage inférieur, on pouvait entendre un peu de métal et quelques jeunes balancer des blagues salaces. Lorsque Sophiana descendit les escalier, elle put donc voir un groupe de cinq jeunes, trois garçons et deux filles, discuter autour de la table, dans des blousons en cuir et des jeans troués. Un peu plus loin, dans un canapé dans un état similaire, une ado se faisait défoncer par deux mecs, à moitiés nus et pris dans un plaisir indescriptibles, n'ayant même plus conscience de leur environnement.

Nul part il n'y avait trace de la mère de Miya. Toutefois, au vu de la discutions près de la table, les jeunes semblaient avoir une petite idée de l'endroit où elle pouvait bien être.

- Cette femme louve nous a rapportés un sacré paquet d'fric... Avec ça, on va pouvoir s'payer c'qu'on veux...


Plus haut, Miya sortit enfin de sa chambre, après avoir trouvée une tenue un peu plus convenable. Sans un bruit, elle traversa le couloir en se désolant de l'état de sa maison...