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Ville-Etat de Nexus / Re : Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: mercredi 23 octobre 2013, 07:17:07 »

J'hésitais encore. J'avais peur de lui déplaire si je la pénétrais sans prévenir, ou même sans demander la permission. Et lui déplaire était bien la dernière chose que je souhaitais en ce bas-monde. La Déesse Kalianna était presque tout pour moi, moi qui n'avait rien. La satisfaire encore et encore devenait peu à peu mon seul et unique objectif dans la vie, je ne pouvais donc décemment pas tenter quelque chose qui pourrait la fâcher contre moi... Même si elle voulait me rendre "tentateur". Elle leva une main aux doigts longs et fins, beaux, et me caressa doucement la joue. Mon pénis était dressé comme jamais, d'une longueur rare et parcouru de pulsations. Honteux, je baissais le regard. En effet, si elle continuait de m'exciter comme cela, je pourrais bien éjaculer sans même la pénétrer. Aussi, c'est avec soulagement que j'entendis son murmure :

« Si je n'ai rien dit, je crois que c'est positif... Esclave. »

Enfin. La délivrance. Je pouvais enfin couper court à ma frustration. Enfin. Je guidai le bout de mon gland contre son vagin et, d'un solide coup de rein, m'enfonçai finalement en elle. C'était une sensation... Divine. Et c'était le mot le plus approprié, évidemment. Je n'avais jamais couché avec une déesse, et, même après une demi-seconde plongé dans son intimité, j'étais subjugué par les multiples sensations qui parcouraient mon sexe. Une intense chaleur, et une humidité constante, sans être froide, comme l'humidité des caves en hiver, plutôt comme une sorte de transpiration à la fois parfumée et lubrifiante. Un délice.

Me remettant peu à peu de mes émotions, et ne désirant pas faire attendre ma Déesse vénérée, je commençai à bouger, donnant de rapides coups de hanche, faisant aller et venir mon membre en elle, prenant garde à toutes les petites erreurs que je pourrais commettre, de sorte qu'elle ne puisse se plaindre d'aucune de mes attitudes. Je me devais d'être irréprochable. Me maîtriser était certes difficile, car je voyais clairement qu'elle utilisait ses pouvoirs pour rendre son corps des plus attirants. Démarche inutile, elle avait déjà l'un des plus beaux corps qu'il m'ait été donné de contempler. J'étais fasciné. Je penchai ma tête vers l'avant pour venir lécher ses tétons, pour faire en sorte qu'elle prenne du plaisir à plusieurs endroits à la fois.

Je prenais mon rôle d'esclave sexuel très à coeur.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: mercredi 14 août 2013, 19:12:23 »

Je savourais ce moment comme jamais. J'avais presque l'impression que c'était moi le maître, dominant Kalianna de toute ma taille, la déesse agenouillée devant moi, branlant délicieusement mon gros membre entre ses seins... J'étais au paradis. Et les coups de langue qu'elle donnait sur mon gland ne faisaient que renforcer encore mon bien-être. À ce moment-là, elle cessa cette douce étreinte autour de mon pénis et se redressa, reprenant son rôle de maîtresse. Elle prit la parole d'une voix que je trouvai alors extrêmement sensuelle :

« Tu n'as pas le droit de jouir tant que je ne t'en donne pas l'autorisation, si je te permet de jouir, ce ne sera que dans le pot de métal à côté du lit, une seule goutte sur moi et tu peux dire adieu à ton salaire d'une journée. »

Cela avait le mérite d'être clair. Mais si elle disait cela, c'est parce qu'elle ne me connaissait pas encore. Elle allait bientôt découvrir que je pouvais être très résistant, pour cela... En effet, j'étais très doué pour retenir mon orgasme jusqu'au moment où cela en devenait intenable. Car je ne relâchai la pression que lorsque mon membre palpitait à m'en faire mal, que je sentais que la totalité de contenu de mes testicules était stockée dans mon gland et n'attendait plus qu'une chose : une incroyable éjaculation qui pourrait remplir ma maîtresse comme il faut. Elle serait ravie. Donc, pour lui montrer que nous étions d'accord, je marmonnai :

« Entendu... Sublime... Déesse... »

« Le "sublime" était totalement gratuit. Un petit compliment ne faisait jamais de mal, après tout. J'observai ma maîtresse, attendant la suite de ses instructions. Elle repoussa une mèche de cheveux derrière son oreille, puis s'accroupit, la pointe de ses tétons frôlant mon torse, son souffle chaud se faisant ressentir dans mon cou, me faisant tout à coup remarquer que j'avais vraiment très chaud... Je la regardais toujours, mais il y avait quelque chose de différent. Je la trouvais beaucoup plus séduisante que tout à l'heure, comme si c'était une autre Déesse, plus magnifique encore, qui se tenait devant moi. L'une de ses longues et douces jambes était plaquée contre la mienne. J'avais tellement envie de... De tellement de choses ! Son corps me donnait mille et une idées salaces, et je n'attendais que son feu vert pour lui offrir définitivement mon corps ! Cependant...

Cependant je n'ai pas pu attendre jusque là. Tout à fait hypnotisé par ses superbes courbes, je l'embrassai d'un long baiser langoureux, aggripai ses fesses de mes bras puissants, la soulevant de terre avec force. Mon membre en érection frottait contre sa jambe, non loin de sa belle intimité... Tentant de me maîtriser, j'eus la politesse de demander la permission.

« Maîtresse... Puis-je ? »

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: dimanche 04 août 2013, 21:06:17 »

Je sentais tout le corps de ma maîtresse frémir sous les assauts de ma langue. Elle tremblait de plaisir, je le ressentais : ce que je faisais lui plaisait, assurément. Cependant, après un instant, elle se recula légèrement, mettant son sublime vagin hors de portée de ma bouche... Déçu, je la regardai pour comprendre son attention, mais elle me tira par le bras avant que j'aie le temps de voir ce qui n'allait pas. C'est alors que je croisai son regard, et comprit qu'elle avait vraiment bien aimé ce que je venais de lui faire. D'ailleurs, la preuve était cette première récompense qu'elle venait de m'offrir : un doux baiser qui mit les compétences de ma langue à rude épreuve, une fois encore... Ensuite, une fois ce ballet lingual rompu par ma maîtresse, elle me sourit et prit la parole :

« Tu es très surprenant esclave, tu cachais un véritable bijou sous tes vêtements et dans cette bouche, tu mérites une surprise... »

J'écarquillai les yeux, perplexe. Était-elle en train de me dire qu'elle allait déjà exaucer mon souhait ? Je m'attendais à devoir la servir quelques jours avant d'avoir la moindre chance d'obtenir cette si douce récompense... Je ne tardai pas à réaliser que j'avais effectivement bien deviné : s'agenouillant devant moi, la Déesse frotta sa poitrine contre mon torse, puis ses jolis seins englobèrent mon membre. Elle pouvait sentir à l'intense chaleur de mon pénis que j'étais déjà très excité. Ensuite, elle commença à me masturber lentement avec ses seins, en faisant des mouvements lents mais efficaces, des va-et-vients avec sa poitrine tout en la pressant sur mon membre des deux mains. Elle était douée... Divinement douée. Évidemment, vous me direz, puisque c'est une déesse. Et en effet, elle faisait honneur à sa réputation... Puis, sa langue se joint à la fête, léchant avec gourmandise le bout de mon gland. C'était terriblement bon... J'avais envie de jouir là, tout de suite, mais c'était impossible... Car j'avais encore un autre talent : j'étais exceptionnellement endurant. Je mettais souvent de longues, de très longues minutes avant de jouir... Mais lorsque j'arrivais enfin à cette délicieuse issue... J'éjaculais tant que j'aurais pu remplir un verre d'eau en un seul orgasme. De quoi ravir ma propriétaire...

« Oui... C'est bon, maîtresse... C'est – Haan ! – C'est formidable... Je n'ai jamais rien senti d'aussi agréable !

Soutenant tout mon corps avec mes mains pour ne pas tomber du lit, je remarquais à peine les regards coquins dont me gratifiait ma belle Déesse...

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: samedi 03 août 2013, 18:21:20 »

Je la regardais d'un air fiévreux, son sourire pervers ne servant qu'à m'exciter plus encore... Lorsqu'elle retira sa robe, mon membre fit un bond, galvanisé par ce corps rempli de promesses... Ses seins étaient gros, ils feraient très bien l'affaire si elle décidait de me récompenser... Elle portait un petit string doré, qui cachait juste assez pour m'octroyer une étrange excitation frustrée, mélange de plaisir par anticipation et d'impatience qu'elle l'enlève aussi... Mais dans l'immédiat, c'était elle qui devait être gâtée. Me regardant toujours, elle caressa un instant sa poitrine, me faisant déglutir, puis elle s'approcha de mon sexe et donna un coup de langue dessus. Ce n'était pas prévu, elle était censée commencer par mes pieds ! Je tremblai, surpris, comprenant qu'elle n'accepterait pas tous mes caprices, loin de là. Elle fit plusieurs va-et-vients sur mon membre, le suçant avec ardeur. Et ses efforts étaient récompensés. Mon pénis avait atteint la taille d'un membre banal en totale érection, or il n'était levé qu'à moitié, la preuve qu'il pouvait encore grandir... J'espérais que cette surprise allait la satisfaire...

Quand elle cessa de me sucer le gland, je ne pus retenir un léger grognement. Comprenez-moi, c'était si bon que j'en étais presque triste qu'elle s'arrête. Mais je n'étais que son esclave, je n'avais pas mon mot à dire. Je fis donc semblant de rien. Elle me poussa alors et ma jambe buta contre un objet dur. Je tombai en arrière et réalisai alors que j'étais arrivé sur le lit. Ensuite, lentement, me regardant toujours alors que mon regard à moi était plus orienté vers sa poitrine, elle grimpa sur moi, prenant garde d'éviter mon membre à moitié dressé, certainement pour ne pas me donner du plaisir que je n'avais pas mérité.

« Je vais devoir t'apprendre à être un dominant, car tu es un mauvais dominant ! Mais pas tout de suite... Nous avons tout notre temps... »

Un mauvais dominant ? Elle avait refusé d'accéder à mon ordre, ça ne faisait pas de moi un mauvais dominant ! Mais je ne pouvais pas me plaindre à ma maîtresse. Vexé, je me tus donc. Elle approcha doucement son visage du mien, ses lèvres presque au contact des miennes, mais au moment où j'allais l'embrasser, croyant que c'était ce qu'elle voulait, elle changea de direction et vint me chuchoter à l'oreille :

« Ta Déesse veut voir ce que tu sais faire avec ta bouche, sans tes doigts et sans ton membre, fais-moi le plus de bien jusqu'à ce que je décide quand arrêter, seulement avec ta bouche, je te laisse carte blanche sur ce que tu veux faire, peut-être après cela t'auras une surprise. »

Intéressant... Je devais lui montrer comment je me servais de ma bouche... Je la vis faire mine de retirer son string, puis s'arrêter. Je compris rapidement qu'elle préférait me laisser cette tâche. La position étant plutôt inadéquate pour cela, je lui montrai par la même occasion que je n'étais pas dépourvu de force physique. J'empoignai ses fesses nues, en profitant pour palper sa peau douce, puis la soulevai et la retournai à la seule force de mes bras, la laissant retomber sur le dos, sur le lit. J'espérais qu'elle ne jugerait pas ça comme une tricherie, parce que j'avais quand même utilisé mes mains pour la soulever. Pour ne pas la faire attendre, je m'approchai d'elle, et plus spécialement de sa poitrine. J'engloutis immédiatement le mamelon de son sein droit dans ma bouche, inspirant de l'air pour donner un effet d'aspiration très agréable, mordillant légèrement son téton pour augmenter graduellement le plaisir. Je fis ensuite des ronds autour de son téton qui commençait à durcir, ce qui voulait dire qu'elle aimait ce que je lui faisais ! Motivé par cette observation, je fis ensuite de même avec l'autre sein, jusqu'à ce qu'elle soit dans le même état d'un côté et de l'autre, sa poitrine luisante de ma salive.

Une fois que j'eusse correctement gâté la superbe poitrine de ma maîtresse, je redescendis légèrement ma tête, m'arrêtant devant ce string si tentant... La Déesse savait comment captiver ses amants. J'approchai mon visage de son sous-vêtement puis d'un mouvement habile du cou et de la mâchoire, je coinçai le bout de tissu entre mes deux rangées de dents, avant de tirer doucement vers le bas, retirant lentement la lingerie, le bout de mon nez caressant son bas-ventre durant toute la manoeuvre... Je déposai précautionneusement le string sur la table de nuit, prenant garde de ne pas abîmer un bien si précieux, avant de revenir à ma tâche. L'intimité de ma maîtresse était magnifique, et si je n'étais pas aussi soumis, je n'aurais certainement pas résisté à l'envie d'y fourrer mon gros membre.

Tiens, à propos de cela... Belle surprise pour la Déesse : complètement tendu, mon sexe atteignait enfin sa véritable envergure, de dimensions impressionnantes. Même à la Déesse des Péchés, cela devait lui faire un petit effet... Revenant à mes obligations en tant qu'esclave, j'entrepris alors de lui lécher soigneusement la vulve dans son ensemble, pour ensuite m'attarder tour à tour sur son mignon clitoris et sur ses lèvres intimes tentatrices...

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: samedi 03 août 2013, 09:30:10 »

La maîtresse ne me laissa pas le choix. Elle saisit mon menton entre ses longs doigts fins et le souleva. Elle était magnifique. Subjugué par sa beauté stupéfiante, j'eus beaucoup de peine à refermer la bouche. Lorsque j'y parvins finalement, elle prit la parole de sa voix que j'avais déjà commencé à aimer. Cette voix qui donnait ses ordres auxquels moi seul pouvait obéir... Oui, je l'aimais déjà.

« La branlette espagnole, j'aime bien ça, mais pour que ta nouvelle maîtresse veuille bien t'en faire une juste d'abord, je désire voir tes talents... de meneur, de dominant, j'aime bien les dominants et ceux qui se font tentateur, impressionnes-moi et ordonnes-moi presque tout ce que tu veux, ta déesse désire voir ta valeur, car un bon esclave, peut autant dominer qu'être dominé ! J'attends ! Impressionnes-moi. »

J'étais doublement impressionné. Premièrement parce que je ne m'imaginais pas un instant qu'elle aurait ne serait-ce qu'envisager de m'offrir ce que je lui demandais... Et là, elle avait clairement dit qu'elle pourrait me faire une branlette espagnole si je lui obéissais correctement... Galvanisé par la possibilité d'enfin assouvir mon fantasme, j'en arrivai à mon second étonnement. Elle me demandait de jouer au maître avec elle. C'était plutôt perturbant, puisque je n'avais jamais été le maître de personne. La dominer serait certainement difficile, mais la possibilité qu'elle exauce mon souhait me donnait des ailes. Je modifiai mon regard, passant de l'air soumis à des sourcils froncés, un regard profond. Je me relevai, lui montrant ainsi que je la dominais déjà rien que par la taille, la toisant du haut de mon mètre-quatre-vingt-trois. Enfin, tout cela n'était qu'un rôle, évidemment... La perspective de pouvoir dominer une aussi belle femme m'excitait beaucoup, et mon membre commençait déjà à se dresser, se durcir et s'allonger... Je commençai donc à jouer mon rôle de meneur.

« À genoux. Tout de suite. Et dénudes-toi les seins, j'ai toujours rêvé d'avoir une servante en topless... »

Mensonge, évidemment. Je n'avais tout simplement jamais songé à avoir une esclave... Mais je ne devais pas laisser passer l'occasion que me donnait la Déesse...

« Ensuite, tu viendras me lécher les pieds. Doucement, orteil par orteil, avant de remonter lentement tes lèvres le long de mes jambes, et venir t'occuper de ma bite. Et si je t'ai dit de te mettre seins nus, ce n'est pas pour rien, alors sois créative ! »

J'avais employé toute mon énergie à chercher quelque chose de dégradant pour elle mais que j'oserais quand même lui dire... Parce que après tout, c'était moi l'esclave, et elle avait bien dit que je pouvais lui demander "presque" tout... Maintenant, j'allais voir si ça rentrait dans la catégorie des choses qu'elle acceptait...

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Ville-Etat de Nexus / Re : Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: jeudi 01 août 2013, 16:27:59 »

J'avais entendu le son de ses talons hauts qui martelaient le sol avant même qu'elle ne rentre dans la chambre. Du coin des yeux, je vis la porte s'ouvrir, mais je ne levai pas le regard, ne sachant du coup pas à quoi ressemblait ma nouvelle maîtresse. Oui, nouvelle maîtresse, parce que la phrase qu'elle venait de prononcer voulait bien dire cela :

« Esclave, à présent tu m'appartient, c'est décidé, je te garde au moins une semaine pour t'essayer, oui oui tu auras un salaire, mais il faut que tu le mérite ! »

C'était ne peut plus clair. Mais avec elle, pas de contrat, pas de blabla, elle commença directement à me donner des ordres. Ordres auxquelles je m'empressai d'obéir, d'ailleurs. Il fallait lui montrer que je méritai bien de belles récompenses... Elle poursuivit donc :

« Relèves-toi et regardes-moi! Avant de passer aux choses sérieuses, je désire que tu me parles de toi, oh ! Et que tu ne portes pas de vêtement, tu n'en auras pas besoin pour la suite des choses, et c'est mieux ainsi, il fait chaud ! Tu me nommeras : Déesse, car tout le temps dire Déesse Kalianna, ça devient redondant, donc tu pourras autant dire Déesse que Déesse Kalianna! Mais pas trop du deuxième!  Oh et je veux aussi que tu me décrives tout les talents que tu as au lit ! ♥ Voilà ! ♥ »

Plutôt exigeante, la patronne. J'avais intérêt à ne pas la décevoir. Je m'exécutai donc, retirant mes vêtements un à un, à commencer par son T-shirt blanc, puis son pantalon bleu ciel, et puis il termina par le petit caleçon noir, révélant à ma maîtresse mon membre qui, au repos, ressemblait au plus commun des pénis. Sa surprise si jamais elle commençait à m'exciter... Elle serait très fière de son esclave ! Je lui répondis donc, même si j'avais peu à dire...

« Oui, Déesse. Je n'ai à dire vrai que peu à vous raconter à mon sujet... Je me suis réveillé un jour, à la rue, sans doute abandonné par ma famille, et j'ai finis par comprendre que pour avoir un toit et une vie convenable, je devais me faire esclave auprès des plus fortunés... Vous m'avez trouvé. Je ne peux rien vous dire d'autre, malheureusement... Par contre, en ce qui concerne mes talents au lit... Je peux faire absolument tout ce que vous désirez, le moindre de vos fantasmes peut être réalisé sur ou avec moi, je ne refuse rien. Et vous serez ravie d'apprendre que je suis très endurant. Et euh... Je ne sais pas si je suis autorisé à vous le dire, mais... Mon fantasme, c'est la branlette espagnole...

Voilà. Elle était servie, j'espérais secrètement que cette maîtresse exauce mon souhait, un jour... Mais pour l'instant, c'était elle que je devais satisfaire !

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Ville-Etat de Nexus / Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

« le: jeudi 01 août 2013, 09:51:29 »

Tout avait commencé lorsque j'avais décidé de me faire esclave. Malheureusement, j'avais eu peu de chance, ma propriétaire était d'une cruauté illimitée, mais, avec l'aide d'autres esclaves, nous sommes parvenus à nous sortir de son manoir, et à repartir chacun de son côté. Or, j'avais toujours autant de problèmes financiers qu'avant, voire plus, puisque j'avais du donner tout mon argent à mon ancienne maîtresse. Je tentai donc ma chance une seconde fois, en m'auto-vendant sur la place publique. J'eus d'abord un très maigre succès, car la plupart des clients venaient surtout pour voir les marchands d'esclaves réputés, et surtout pour voir de jolies esclaves à acheter, ou seulement à regarder nues sur la place. Moi, je n'avais pas grand-chose à montrer. Certes, j'aurais pu dévoiler mon membre imposant, mais je préférais garder un certain suspense vis-à-vis de mon prochain propriétaire.

Je n'eus heureusement pas à attendre trop longtemps. En effet, quelques heures après ma mise en vente, un homme de haute taille aux dents clairsemées était arrivé, et m'avait interpellé. Il m'avait rapidement expliqué que sa maîtresse désirait m'acquérir, et qu'il voulait m'amener jusqu'à elle pour que je puisse m'entretenir avec elle... J'acceptai donc ce marché, suivant l'homme à travers toute la ville de Nexus, jusqu'à arriver à une magnifique résidence. Si l'extérieur ne ressemblait en somme qu'à un manoir relativement commun, une fois que j'entrai dans le bâtiment, je me retrouvai confronté à un intérieur tout simplement magnifique. Les yeux écarquillés, totalement abasourdi, j'entendis à peine l'homme de main me glisser à l'oreille :

« Ça surprend la première fois, n'est-ce pas ? »

Surprendre ? Le mot était faible. En cet instant, j'étais ahuri, déconcerté, ébahi, éberlué, émerveillé, étonné, hébété, stupéfait, majs en aucun cas je n'étais "surpris". C'était un bel euphémisme. La bouche bée, je me retournai vers l'homme, en quête d'une quelconque directive. Il se contenta de me dire en souriant :

« Ma maîtresse vous demande de vous mettre à l'aise en attendant son retour. La chambre est au sommet de cet escalier. Je vous laisse, j'ai du travail. »

Et il partit d'un bon pas, me laissant seul avec mes interrogations. Je gravis donc les marches de marbre blanc dans lesquelles je pouvais voir mon visage tant elles étaient brillantes. L'entretien d'un tel bâtiment devait être une quantité de travail énorme. Et si elle désirait m'acheter, cette tâche risquait bien de me revenir. Une fois devant la porte de la chambre, je frappai trois coups, bien que l'homme de main m'ait prévenu qu'il n'y avait personne. Après une bonne minute d'attente, je finis pas rentrer dans la pièce, la découvrant dans toute sa splendeur. Désirant faire bonne impression sur ma possible future maîtresse, je ne me mis pas "à l'aise", mais je m'agenouillai sur le sol, face à la porte, le visage baissé en signe de soumission, de sorte qu'elle me voie dès qu'elle passerait la porte.

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Le coin du chalant / Re : Esclave de luxe ?

« le: mercredi 31 juillet 2013, 22:27:53 »

Pas de problèmes, je t'envoie un mp

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Prélude / Re : Evan...[Valimuté]

« le: mercredi 31 juillet 2013, 21:19:15 »

Merci, et peut-être à bientôt...

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Le coin du chalant / Esclave de luxe ?

« le: mercredi 31 juillet 2013, 21:14:27 »

Étant validé, je me propose donc comme esclave personnel. J'attends ici les propositions, je lancerai le topic lorsque j'en aurais. Si vous voulez devenir mon ou ma maîtresse, n'hésitez pas ! Merci

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Prélude / Re : Evan...[Valimuté]

« le: mercredi 31 juillet 2013, 21:13:20 »

Merci beaucoup, je tâcherai de ne plus vous décevoir...

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Prélude / Re : Evan...[Marie]

« le: mercredi 31 juillet 2013, 16:09:10 »

Cassidy – « Merci beaucoup, belle jeune fille... »

Marie – « J'ai rajouté quelques lignes, cela suffira-t-il ? »

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Prélude / Re : Evan...[Marie]

« le: mercredi 31 juillet 2013, 15:54:17 »

Melody – « Merci d'avoir daigné m'adresser la parole, noble dame. »

Marie – « Ce sera fait... »

Mélinda – « Au plaisir de vous servir, Sublimissime... »

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Prélude / Evan...[Valimuté]

« le: mercredi 31 juillet 2013, 13:28:57 »

Nom/Prénom/Surnom : Ceux que ma maîtresse veut bien me donner. Avant, je pense que c'était Evan.

Âge : Je ne m'en souviens plus.

Sexe : Je suis un mâle.

Race : Je suis un humain.

Orientation sexuelle : J'obéis à ma maîtresse.

Description physique :
Je suis un homme. Mes cheveux sont assez longs pour passer devant mes yeux, et de couleur marron, de même que mes yeux. Je suis assez grand, un mètre quatre-vingt-trois, et ma musculature est bien dessinée. Mes muscles saillants sont d'ailleurs souvent visibles car je suis très rarement habillé pour toute la partie au-dessus de la ceinture. Tout dépend de l'humeur et des envies de ma maîtresse, en fait. Mes traits sont fins, et j'ai de nombreuses blessures sur le corps, signe que ma maîtresse peut aussi se faire violente. Mon nez est droit et j'ai une fine bouche aux lèvres presque transparente. Mon regard est plutôt vide, car j'aurais bien trop peur de regarder là où je ne devrais pas. Pour ce qui est de mon sexe, il atteint presque les trente centimètres, ce qui est assez conséquent, du moins selon ma maîtresse. J'ai aussi une force assez impressionnante, même si elle ne peut pas rivaliser avec des géants de muscles ou des magiciens qui amplifient mystiquement leur force physique. J'ai aussi une bonne endurance, pratique lorsque ma maîtresse veut s'amuser un peu...

Caractère :
Je suis un être brisé. Je n'ai plus aucune volonté propre, mon seul et unique destin est de servir ma maîtresse, encore et encore, jusqu'à la fin de mes jours. Mais je le fais bien ! Je lui suis totalement dévoué, et obéis sans discuter au moindre de ses ordres. Je suis une véritable poupée vivante, pour elle. Mon seul but dans la vie est de faire en sorte que ma maîtresse soit satisfaite de moi. C'est pourquoi écrire beaucoup de choses sur mon caractères est assez difficile, car celui-ci s'adapte aux envies de ma maîtresse, et on ne peut pas dire que j'aie vraiment de la personnalité. Je ne suis qu'un jouet, et ça sera toujours le cas. Avant d'adopter cette mentalité, j'avais cependant un tout autre caractère, mais j'ai malheureusement publié beaucoup de ce que j'aimais ou n'aimais pas avant de commencer cette vie d'esclavage. Je me rappelle seulement que j'adorais la couleur bleue. Je ne sais pas pourquoi cela m'a autant marqué...

Histoire :
J'ai très peu de souvenirs de mon passé. Je pense avoir été drogué puis abandonné par mes parents lorsque j'avais à peu prés quinze ans. Après, me réveillant à la rue, j'ai dû survivre seul, et tous les moyens étaient bons. Je finis même par offrir mon corps à certaines femmes qui passaient par là, pour faire en sorte d'avoir de quoi acheter de la nourriture, et passer un jour de plus. Les hivers étaient mon pire cauchemar. Froids et humides, je tombais souvent malade, et aujourd'hui encore, je ne m'explique pas comment j'ai pu survivre à cela.

Mon salut, je le dois au statut d'esclave. Un jour, en en voyant deux suivre leur maître en le flattant pour qu'il leur donne une récompense, je compris qu'en dépendant d'un ou une maîtresse, je pourrais au moins avoir un toit pour dormir. Je me constituai donc esclave. Une riche marchande m'acheta immédiatement, puisque j'étais un esclave gratuit. En effet, si j'avais fixé un prix de vente assez haut, étant son esclave, je dus lui obéir lorsqu'elle m'ordonna de lui donner mon or. Je me retrouvais donc sans le sou, même si j'avais maintenant un refuge pour passer l'hiver. Mais c'était sans compter mon infâme propriétaire,

Elle était extrêmement colérique, et dès que quelque chose ne se passait pas exactement comme elle l'avait prévu, elle me tabassait pendant de longues minutes, imprimant à jamais sur mon corps des marques cuisantes. Meurtri et déçu, je finis par prendre la fuite en libérant d'autres de ses esclaves, et l'un d'eux parvint à la tuer. Il eut alors l'idée de rester dans ce manoir pour profiter de ses richesses, et beaucoup le suivirent. Moi non. Ce lieu était beaucoup trop horrible dans ma mémoire, et je voulais le quitter à tout prix. Je recommençai donc à me mettre en vente. Jusqu'à ce que ma maîtresse me trouve...

Situation de départ : Je suis très expérimenté.

NOTE : Dans cette fiche, je parle par défaut d'une maîtresse. Si vous êtes un homme ou si vous êtes plusieurs et que vous désirez être cette "maîtresse", je modifierai.