Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
Le coin du chalant / Les lames de la libération
« le: samedi 23 novembre 2013, 15:21:54 »Je rappel qu'aucune pénétration n'est possible avec elle, mais les plaisirs solitaires partagés sont une autre possibilité ^^ N'hésitez pas, garçons comme filles, à proposer vos trames si celles du dessous ne vous plaisent pas.
Kiyuri Nobukuni (Terre) :
- Trame 0 : Aucune trame histoire actuellement.
- Trame 1 (vampires) : En tant que seconde d'une des plus puissantes vampires de Seikusu, Kiyuri attire l'attention des autres vampires qui voudraient ses faveurs. Cela ne peut se finir que de deux manières : dans le sang ou le sexe. Voir les deux en même temps.
- Trame 2 (tout personnages) : Vous détenez l'un des nombreux sabres que Kiyuri recherche. Elle tente de négocier son rachat, prête à tout sacrifier (sauf sa virginité) pour cet objet inéstimable..
- Trame 3 (tout personnage) : Il n'y a pas que le sang dans la vie. Kiyuri est une femme qui sait ce qu'elle veut. Vous pourrez profiter de son corps entièrement si vous êtes une femme à son goût. Pour les hommes, cela risque d'être plus... distant, comme relation.
Sujets terminés / sujets en cours :
Les alentours de la ville / Re : Cocktails [Kiyuri Nobukuni]
« le: mardi 09 juillet 2013, 14:08:32 »Une fois répondu à la dernière question, il se leva assez brusquement, laissant Kiyuri méfiante : allait-il craquer et leur sauter dessus? Il s'était préparé à devoir le remettre à sa place de force, mais elle constata qu'il ne faisait que suivre le dernier les directives de la vampire en ouvrant son pantalon, découvrir la colonne de chaire pour montrer à quel point le spectacle des deux femmes étaient plaisant. Lorsque finalement son organe fut dévoilé, les deux demoiselles émirent un gémissement de surprise. La danseuse en arrêta quelques secondes ce mouvement : était-ce vraiment un pénis humain ? Surtout pour un garçon si jeune ? Cela laissa sans voix la vampire qui pourtant en avait vu bien d'autre. Pendant quelques secondes, son esprit vira au blanc, jusqu'à ce qu'elle se reprenne et lui dise :
« Voilà qui est pas mal du tout... je suis sûr que Sonia est tout aussi impatiente que toi, après avoir vu un tel engin. Vérifions cela ensemble. »
Kiyuri força la demoiselle à reprendre ses mouvements, toujours derrière elle, et tira doucement sur les deux fils qui maintenaient le bout de tissu cachant l'intimité de sa favorite. Cette dernière serra ses cuisses, ne laissant pas entièrement tomber, dévoilant tout de même un sexe épilé. Le tissu de la culotte semblait déjà imbibé, entre le souffle frais de la vampire sur son cou et la vision de la virilité du garçon palpitant doucement au rythme de son coeur. La main de Kiyuri glissa le long du ventre de la demoiselle, avant de rejoindre son sexe, sous le regard brûlant de leur invité. Sonia poussa un gémissement sensuel, alors que son amante forçait le passage de ses cuisses pour glisser délicatement un doigt en elle, ouvrant ses cuisses ayant pour effet de laisser tomber le bout de tissu à terre. On pouvait alors voir le jus intime couler le long de l'intérieur des cuisses de la demoiselle, alors qu'un doigt entrait doucement en elle, lui arrachant une plainte extrêmement sensuelle.
« Mmhhhh elle est mouillée à souhait. Ma petite Sonia, on dirait presque que ça te fait mal tellement ça serre autour de mon doigt. Tu vois, Ozalee, quand elle est comme ça, le simple fait d'être pénétré par un petit pénis de japonais la fait jouir... Que penses-tu de l'effet qu'aura ton dard ? »
Elle retira doucement son doigt de la vulve de la demoiselle qui tomba par terre, les genoux tremblants, les cuisses fermées, les genoux se touchant par terre. Elle avait la bouche grande ouverte, un peu de salive coulante. L'effet qu'avait la vampire sur elle était presque insolent, de ce fait, les hommes qui avaient l'occasion de la baiser en compagnie de Kiyuri n'oubliaient que rarement ce moment. Kiyuri arriva derrière le jeune homme, comme elle l'avait fait avec Sonia, planquant son corps contre le sien, lui laissant sentir sa petite poitrine aux tétons dure comme du fer presser contre ses omoplates. Ses mains passèrent devant, l'un sur son torse et l'autre sur son sexe qu'elle agrippa soudainement. C'était quelque chose de très rare, mais elle voulait sentir le sang battre dans ce sexe si gros, sur un corps pourtant si jeune. Elle sentit la chaleur se dégager sous ses doigts, être absorbée par sa fraîcheur. Mon dieu, était-ce vraiment possible qu'elle souhaite autant perdre sa virginité ? Jamais elle ne l'acceptera, mais bon Dieu qu'elle n'aurait pas hésité dans d'autres circonstances. Sa main imbibée de cyprine glissa sur le membre avec une grande fluidité, rendant la branlette extrêmement douce. Pour encore plus attisée le jeune homme, elle joua une dernière fois avec lui :
« Aller, dis-moi, où vas-tu planter cette queue ? Hein ? Dis-le-moi, Ozalee. Elle aussi veut le savoir, elle veut savoir ce que tu as prévu de lui faire. Ne la fais pas languir plus longtemps. »
Elle attendit sa réponse, continuant à le branler, laissant ses crocs pointus glisser sur la peau de son cou. Elle l'aurait mordu, là, immédiatement, mais se retenait, voulant garder le meilleur pour la fin. Le sang avait un goût encore plus prononcé lorsque l'amant jouissait. C'était dur de se retenir, mais Dieu qu'elle aurait un orgasme immédiatement lorsqu'elle planterait ses crocs en lui pendant que le sien lui troublerait suffisamment l'esprit pour ne pas faire attention à la douleur, la transformant en plaisir supplémentaire. Une fois qu'il eut répondu, il le fit s'avancer, toujours en maintenant le membre dans sa main, la deuxième l'ayant rejoint et le branlant avec les deux.
Elle siffla brièvement, attirant le regard de Sonia qui était à la limite de la folie. Elle regarda sa maitresse, avant de s'installer sur ses fesses et d'écarter les cuisses en grand, dévoilant un sexe prêt à accueillir le jeune homme. Kiyuri accompagna le pénis qu'elle avait en main vers la vulve trempée, et relâcha son étreinte une fois que les deux entrèrent en contact, portant sa première main sur le torse du jeune homme, l'autre sur sa propre vulve, déchirant sa propre culotte pour se caresser. Elle était trempée, et le simple contact de son doigt dessus lui donna une petite décharge, la faisant gémir dans l'oreille d'Ozalee, alors qu'elle fermait les yeux pour entendre le bruit de la danseuse atteignant l'orgasme à peine le membre enfoncé en elle.
Les alentours de la ville / Re : Cocktails [Kiyuri Nobukuni]
« le: dimanche 07 juillet 2013, 14:08:21 »Elle ne profiterait pas pour autant de ces caresses charnelles longtemps, mais le spectacle était moins pathétique et beaucoup excitant s'il était accompli par deux "professionnels". Autant elle savait les talents de Sonia qu'elle lui réservait, autant elle n'avait pas envie d'un amateur se joigne à la fête. Heureusement, malgré ce regard empli d'une certaine admiration candide de la beauté charnelle de la danseuse laissa place à un regard lubrique et brûlant.
Je voyais les yeux de mon invité fixer la poitrine qui se balançait au gré des mouvements de danse de Sonia. Ce n'était pas pour rien qu'elle l'avait choisi pour ce spectacle : elle avait toujours fait une énorme impression sur elle et sur les quelques hommes qu'elle avait emmenés avec elle. Eh oui, il n'était pas le premier à profiter d'un spectacle privé en compagnie de la vampire. Mais pour l'instant, il était bien plus contentieux que beaucoup d'autres. C'était un plaisir de le voir s'émouvoir du spectacle, d'autant qu'il respectait parfaitement les règles qui lui étaient données.
Elle profita également du spectacle, s'installa de manière plus confortable, ses jambes sur le canapé, retirant ses talons haut pour être plus à l'aise. Elle jouait tranquillement avec l'un de ses cheveux avec une main, tandis que l'autre caresser doucement ses jambes. Elle regardait les mouvements doux et sensuels de Sonia qui, à la demande du jeune homme, libéra sa poitrine de son étreinte, faisant durer le plaisir en gardant le tissu à sa place en le tenant de sa main, puis le lâcha alors qu'elle se penchait en arrière, retenus uniquement avec une de ses mains par la barre. En voyant la poitrine de la demoiselle à l'air libre, Kiyuri se mordit la lèvre avec l'une de ses canines avant de vite la rentrer.
Elle aussi sentait des picotements en dessous de ses sous-vêtements, mais elle se retenait autant que possible de bouger. Elle ne voulait pas laisser entendre qu'elle s'impatientait également, surtout pas en face du jeune homme qui avait ouvert sa chemise, dévoilant un corps de marbre suant comme un ogre, avec un tatouage qui faisait lien avec celui sur son visage. Il avait du style, cela plaisir à la vampire. Quand bien même elle se refuserait à tout contact trop intime avec un homme, elle appréciait avec plaisir la beauté du corps masculin qui ne l'excitait que davantage. Elle avait vraiment bien choisi sa victime.
Elle remarqua qu'il se laissait tomber sur le canapé, de manière quelque peu avachie. En ressentant la concentration de sang palpitant au niveau de son entrejambe, il était facile de comprendre pourquoi il était dans une telle position. Kiyuri s'en amusa et souhaitait profiter un peu pour jouer avec le jeune homme qui, de toute évidence, avait clairement l'envie de se soulager du poids de ses vêtements. Il était rare qu'elle touche un homme, mais lorsque c'était pour s'amuser un peu, elle n'hésitait jamais à tourmenter un homme au niveau de son pantalon. Aussi, elle fut plutôt brusque en posant sa main sur le sexe du garçon, tâtant de la dureté de son membre à ce moment-là.
Quelle surprise : dans son pantalon ne se trouvait pas un simple sexe d'adolescent. Cela semblait être un membre dans toute la force de l'âge. Deux ou trois sexes dans toute sa non-vie lui avaient donné cette envie d'accueillir la personne, et celui sur lequel elle avait la main en faisait partie. Mais elle ne le laissera jamais, elle avait mieux pour lui, bien mieux. Elle lui massa doucement la colonne de chaire au travers du tissu du pantalon, avant de lui dire :
« Regardez-moi ça ! On dirait bien que tu apprécies le spectacle, je me trompe, Ozalee ? »
Elle retira sa main presque aussi brusquement qu'elle l'avait posé et laissa répondre à sa question, puis mit à lui caresse le torse du bout du doigt. Elle aimait tirailler ceux qui étaient emplis de désir et leur faire atteindre leur limite. Son invité n'allait pas être épargné, c'était certain. Le pauvre garçon allait sans doute se mordre les lèvres plus d'une fois, mais sa récompense allait être à la hauteur de l'attente.
Mais être juste spectatrice n'amusait plus Kiyuri, déjà. Elle se leva et déchira une partie de sa jupe pour faciliter ses mouvements et retira son haut, révélant son corps frêle et bien moins développé que celui de la jeune danseuse, mais qui restait tout de même empli d'une grande féminité. Jetant un coup d'oeil à Ozalee en lui faisant un sourire, elle rejoignit Sonia sur la barre de pole-dance, à la surprise de cette dernière. La vampire se mit alors à danser avec la demoiselle, jouant de son corps, peut-être moins bien que la professionnelle, mais toujours avec une certaine sensualité. Il avait donc pour lui deux femmes se déhanchant pour lui.
Kiyuri ne se contenta pas de simplement danser, puisqu'elle jouait aussi avec le corps de Sonia qui, décontenancée et à son tour quelque peu excitée, perdait un peu de son talent pour offrir à son invité un regard fiévreux, les joues rougies par les caresses de la vampire sur sa peau nue. Pour faire bonne figure, elle ne touchait que la partie supérieure du corps de la demoiselle, le garçon n'ayant pas encore fait ce qu'il fallait pour lui faire retirer son dernier morceau de tissu. Mais c'était suffisant pour la vampire qui, placée derrière sa favorite, accompagnait ses mouvements en regardant par-dessus son épaule le jeune garçon.
Sonia, pour sa part, connaissait la nature cachée de Kiyuri. Sa fièvre n'était pas seulement due à la proximité de la demoiselle, mais à son envie d'être mordue. Elle n'avait pas de traces de morsure, celles-ci étant vite dissimulées par un onguent de qualité, mais elle avait déjà vécu la subtile douleur d'être mordue au cou par la vampire. Aussi, elle s'attendait d'un moment à l'autre à se faire mordre, ce que Kiyuri éviterai de faire en présence d'un humain. Tout ce qui passait par la tête de la demoiselle concernait Ozalee qui devait aimer le spectacle. Pour le tenter davantage, elle glissait sa main en direction de la partie basse du bikini avant de retirer délicatement sa main.
Elle se sentait en pleine possession du pouvoir, à l'instant présent. C'était un délice, un plaisir immense même. Mais elle aussi devait attendre, puisqu'elle avait donné les clé à Ozalee, et seul lui pouvait ouvrir les portes sur les mouvements suivants. Pour ne pas qu'il se lasse trop du spectacle, il lui demanda, avec une voix provocatrice :
« Qu'est-ce que ça fait de voir deux demoiselles danser pour toi seul, Ozalee ? Dis-moi ce que tu as sur le coeur... et en tête. »
C'était toujours le même jeu, mais elle se montra plus gentille et plus laxiste sur son déroulement. Sa frustration était forte, mais plus cela allait, et plus cette frustration se changeait en désir sexuel. Son seul but à présent était de faire chauffer son petit jouet jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, prenant le risque qu'il craque et ne respecte plus les règles. Mais c'était le jeu, il fallait bien voir jusqu'où ce dernier arrivera.
Les alentours de la ville / Re : Cocktails [Kiyuri Nobukuni]
« le: dimanche 07 juillet 2013, 01:30:46 »« C'est d'accord. »
Kiyuri fit un sourire encore plus grand, en se redressant. Elle attendit qu'il boive pour lui tourner le dos en lui faisant signe de le suivre du bout du doigt. Il lui donna son nom en lui demandant le sien. D'humeur joueuse, la vampire s'arrêta, alors qu'elle se diriger vers le malabar gardant les escaliers menant à l'étage, revenant vers le garçon dont elle caressa la joue :
« Je te le donnerai si tu es méritant. Ne sois pas trop pressé de briser les mystères, c'est ce qui rend la chose amusante. »
Elle lui prit le bras et l'entraina avec elle, se dirigeant vers les escaliers. Voyant la femme approcher avec le jeune homme, le vigile décroisa les bras, les poings serrés. Il arriva juste devant lui et lui fit un sourire, dévoilant ses canines de vampires, évitant que son petit jouet de ce soir ne puisse les voir pour sa part. Le vigile acquiesça doucement et s'écarta sans rien dire. Cachant ses canines, elle se tourna vers Ozalee en souriant :
« Suis-moi, tu pourras profiter du plus beau spectacle de ta vie en haut de ces escaliers. Et si tu es gentil, tu auras même le droit à plus. »
Elle monta les escaliers, constatant que la jupe de son tailleur la gênait clairement. Arrivé en haut, le petit couple fut reçu par une demoiselle à forte poitrine, avec juste un bikini noir sur elle. Sa peau pâle était clairement signe qu'elle était une vampire également. Elle fit un grand sourire et, depuis son pupitre, dit doucement :
« Bonsoir, madame. Je vois que vous êtes accompagnée. Quels plaisirs pouvons-nous vous offrir ce soir ?
- Dîtes à Sonia que je l'attends. J'aimerai qu'elle prépare pour un menu spécial, s'il vous plaît.
- Bien madame. Salle numéro trois. Profitez bien du spectacle, madame, monsieur. »
Elle adressa un immense sourire au garçon, alors que la vampire passait à côté d'elle, atteignant une porte-rideau violette. Elle écarta les rideaux et se tourna vers Ozalee, lui faisant encore signe d'approcher et d'entrer.
La salle était relativement grande. Au fond, en face de l'entrée, se trouvait un canapé violet en cuir, avec devant elle une petite table basse sur laquelle se trouvait une télécommande. Devant le canapé se trouvait une petite estrade ronde, avec une barre métallique montant au plafond. C'était là que les danseuses faisaient leur numéro. Le reste de la pièce était dans une ambiance tamisée, érotisante, du violet et du rouge un peu partout dans la pièce.
Kiyuri s'installa sur le canapé, posant son verre sur la table, croisant ses jambes ayant pour effet de remonter sa jupe et de dévoiler un peu sa culotte noire. Elle se tourna vers le garçon en lui souriant, le laissant le temps de profiter de la vu sur son sous-vêtement, avant de se pencher vers lui pour lui dire, avec un immense sourire :
« Sonia est ma favorite. Et elle apprécie particulièrement les jeunes hommes comme toi. Mais nous allons poser deux règles : premièrement, tu peux regarder autant que tu veux, et même te faire plaisir si le coeur t'en dit, mais tu ne touches pas à moins que je t'en donne explicitement l'autorisation. Deuxièmement, tu ne dis rien, à moins que je te pose une question ou que je t'autorise à dire quelque chose. »
Elle prit son verre et but une gorgée, avant de finir :
« Suis ces deux règles et tu auras de quoi t'amuser, je te le promets. Manque à une seule de ces deux règles et on arrêtera immédiatement. Si tu es d'accord, alors tout ira bien entre nous deux. »
Alors qu'elle termina sa phrase, la dénommée Sonia entra dans la pièce, un collier autour du cou avec une laisse en chaîne, un petit bikini noir et un foulard bleu marine tenant ses longs cheveux en une queue de cheval. En la voyant arrivée, Kiyuri se lécha les lèvres. Voyant la vampire, Sonia fit un immense sourire, s'approcha d'elle et l'embrassa à pleine bouche sous le regard du garçon. Kiyuri en profitant pour glisser ses mains sur les hanches de la strip-teaseuse, tout en jouant avec sa langue. Rien que cela arrivait à exciter la vampire qui, frustrée et nerveuse, était bien plus récéptive que d'habitude. Ricanant doucement lorsque Sonia quitta ses lèvres, elle se tourna vers Ozalee en lui disant :
« Alors, comment la trouves-tu ? Je suis sûre qu'elle ne te laisse pas indifférente. »
Sonia se tourna ensuite vers le garçon, lui faisant un sourire doux et charmeur. L'Ombre glissa sa main le long des hanches de la demoiselle, avant de lui taper la fesse en lui disant :
« Aller, Sonia, montre à notre ami ci-présent comme tu sais bien te déhancher. »
La jeune demoiselle acquiesça doucement, puis se leva et rejoignit la table avant de commencer son spectacle sous une musique sensuelle que Kiyuri avait lancé avec la petite télécommande. Elle admirait quelques instants les mouvements hypnotiques de Sonia, puis se tourna vers son invité, observant ses réactions en se pinçant les lèvres pour ne pas rire. Puis elle approcha de son oreille et lui dit :
« Si tu veux qu'elle enlève le foulard, tape une fois dans tes mains. Pour son haut, tape deux fois. Et pour qu'elle enlève le bas..., montre-lui comme tu es content de la voir. »
Elle ne put s'empêcher de rire en se rapprochant du jeune homme, restant tout juste assez près pour qu'il puisse sentir la fraîcheur qui émanait de la peau de la vampire, sans pour autant la toucher. Pas de contact, pas pour l'instant. Elle voulait le faire attendre jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Et vu la manière dont Sonia bougeait, il n'attendrait pas bien longtemps avant de demander à en voir plus.
Les alentours de la ville / Re : Cocktails [Kiyuri Nobukuni]
« le: samedi 06 juillet 2013, 12:14:31 »Aussi, aussitôt rentrée, sa première envie était d'aller voir ses lames. Mais Nô-hime, quelque peu fâchée par l'attitude qu'avait eu Kiyuri, lui dis de rester dehors cette nuit et de trouver à se détendre. Troisième frustration : être rejeté par sa maîtresse. Même si elle lui pardonnait, c'était un coup en plus sur le coeur inerte de la demoiselle. Aussi elle suivit les ordres de sa reine et décida d'aller se détendre. Sa première idée était d'aller voir des femmes retirer leurs vêtements pour ensuite allègrement profiter de leur corps... et peut-être un peu de leur sang. Encore en tenue de secrétaire, tailleur et jupe noire avec une petite cravate rouge et une chemise blanche, elle se dirigea vers l'une de ses boîtes de strip-tease favorites. Arrivé sur place, le pingouin s'écarta rapidement de son chemin : c'était une VIP, pas la peine de prouver son identité, elle était une habituée. Aussi, à peine à l'intérieur, plusieurs demoiselles dans l'arrière-salle étaient demandées sur la scène des VIP, à l'étage, sachant qu'elles étaient les favorites de Kiyuri.
L'Ombre du Papillon se dirigea vers son secteur VIP, mais alors qu'elle avançait vers l'escalier menant dans les salles VIP privées, elle s'arrêta au bar, surprise de voir un jeune garçon, peut-être un peu trop jeune pour être autorisé à entrer ici. Intrigant. Était-il comme elle, préservant son apparence infantile, car mordu trop tôt ? Elle hésita un instant, puis se dirigea vers le bar et s'installa à côté du barman qui approcha d'elle. Elle commanda un petit cocktail maison (bien qu'il n'y ait pas de sang dedans, c'était un délice), attendit en observant dans le miroir la danseuse sur scène, retirant peu à peu ses vêtements. Elle n'allait pas enlever plus que son soutien-gorge, cependant : seuls les VIP avaient le droit à un défeuillage complet. Elle observa ensuite le garçon qui observait les demoiselles avec une certaine délectation. Il n'était pas juste un petit garçon qui découvrait les femmes en tenue d'Eve, il était habitué à voir le jardin secret des demoiselles, tout en espérant sans doute le voir.
Elle allait un peu s'amuser ce soir. Elle défait doucement sa cravate, ouvrit quelques boutons de sa chemise et retira son veston noir. Elle le lança de l'autre côté du bar, tandis que le barman lui ramenait son cocktail qu'elle but tranquillement. Enlevant quelques gouttes du cocktail autour de sa bouche, elle se pencha vers le jeune homme, murmurant à l'oreille :
« C'est beau n'est-ce pas ? Ces filles sont les plus belles que tu verras dans toute la ville. Et elles ont sans doute le déhanché le plus fascinant du monde. Tu as bien choisi ton lieu pour te rincer l'oeil. »
Elle lui fit un sourire avant de reprendre une gorgée de son cocktail, avant d'ajouter :
« Mais c'est triste, tu n'en verras pas tellement, comparé à ce qu'elles ont à proposer. Seuls les VIP peuvent profiter du spectacle complet. »
Elle se leva doucement, prenant son verre, se mettant sur le champ de vision du jeune homme, occultant complètement la demoiselle qu'il admirait depuis quelques minutes. Penchée en avant, elle laissait voir son petit décolleté, ses longs cheveux noirs tombant sur ses épaules tels des voiles noirs :
« Est-ce que tu aimerais profiter à fond du spectacle ? J'aime bien avoir quelqu'un avec moi à l'étage. Ça t'évitera la frustration de voir toujours la demoiselle en culotte, alors que tu espérais voir sa petite chatte. Qu'en penses-tu ? »
Un léger sourire sur les lèvres, elle jouait les provocatrices. Elle aurait peut-être l'occasion de profiter d'un spectacle agréable, avec de la chance : les demoiselles du secteur VIP faisaient parfois du supplément, par plaisir, et Kiyuri, si elle se refusait aux hommes, aimait voir le sexe entre un homme et une femme. Elle s'en léchait les lèvres d'avance à cette idée.
Le quartier de la Toussaint / Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)
« le: mardi 25 juin 2013, 14:29:19 »Le fait est qu'elles étaient bien plus que de simples amies et que leur relation changeaient parfois du tout au tout : employée au bureau, Kiyuri devenait ensuite une garde du corps, puis une confidente, puis un professeur d'escrime, et, parfois, une amante dévoué. Un jeu de yoyo que Kiyuri interprêtait à la perfection, pour le plus grand plaisir des deux femmes, à n'en point douter. La vampire du clan Nobukuni admirait le dos de sa maîtresse, s'imaginant caresser sa peau pendant plusieurs heures. Une grande douceur se mêlait à la fermeté des gestes de la demoiselle tandis que ses mains dénouaient les points douloureux qu'elle sentait sous ses doigts. Entre ses gémissements de plaisir, la chef de la mafia demanda si elles pouvaient revoir la date de l'entraînement reporté, justement à cause de ce rendez-vous. Bien entendu, Kiyuri était ravie d'enseigner à la femme de l'ancien guerrier qu'était Nobunaga des passes d'armes et divers kata au sabre.
« Bien entendu, Hime-sama. Je serai également heureuse de voir vos progrés au cours d'un match amical, si vous n'y voyez pas d'inconvénients. »
Les échanges entre les deux femmes, aussi bien avec une lame qu'avec la langue, étaient toujours amicaux. Kiyuri la battait souvent durant ces échanges, malgré des défaites parfois cuisantes pour l'Ombre, mais cela ne changeait rien à leur relation par la suite. Donc, Kiyuri profitait toujours au maximum de ces moments partagées entre elles uniquement, comme tout autre moment même.
La fourgonnette arriva rapidement à leur lieu de rendez-vous. L'Eclipse était un lieu à l'apparence extérieur discret, la devanture n'affichant que très peu son statut de bar. Pour autant, chaque vampire suffisamment important connaissait ce bar, de par la facilité qu'ils avaient à obtenir du sang et les savoureux mélangent qu'ils faisaient avec pour plaire aux grands de la ville. Le véhicule se gara, Kiyuri remonta délicatement le yukata de sa patronne, comme si elle craignait de la voir prise de rougeur par des mouvements trop brusques. Elle prit son étui en cuir, ouvrit la porte et faufilla à l'extérieur, inspectant les environs. Pas de signe de danger, le sixième sens de la vampire était en paix. Elle s'écarta de la porte pour laisser Nô sortir, la précédent en direction du bar.
Le quartier de la Toussaint / Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)
« le: mercredi 15 mai 2013, 13:37:18 »Nô se décolla du mur, alors que la fourgonnette arriva non loin d'elles. Elle se tourna vers sa seconde, ce qui fit rougir cette dernière. Elle lui proposa d'aller à leur bar pour se poser. Un petit sourire de bonheur passa sur le visage de la seconde qui répondit timidement :
« Ce serait avec le plus grand des plaisirs, Nô hime. »
Lorsque la fourgonnette arriva devant elles, Kiyuri s'avança vers celle-ci et ouvrit la porte pour laisser sa supérieure passer devant et s'installer. L'immense fourgonnette, aux allures de limousine une fois à l'intérieur, laissait la possibilité à plusieurs personnes de se faire face. Seul le siège conducteur, derrière une vitre teintée la séparant des sièges passagers, ne faisait face à aucun siège. Kiyrui s'installa dos à la vitre teintée séparant la zone passager de la zone conducteur et toqua à la vitre :
« A l'Éclipse, et évitez les embouteillages.
- Bien, madame. »
À cette heure-ci, les gens rentrez chez eux, ce qui posait problème parfois, car la demoiselle n'était pas très patiente envers ses subalternes. Le conducteur commença le trajet, alors que Kiyuri observait la princesse. Elle semblait épuisée. Aussitôt, l'Ombre du Papillon demanda :
« Laissez-moi vous massez, hime-sama. »
Elle se leva dans la fourgonnette en allant s'installer aux côtés de sa supérieure. Elle attendit qu'elle lui tourne le dos et commença son massage, celui qu'elle avait appris à lui faire, visant les points qu'elle savait être capable de la détendre et lui retirer toute pression dans le corps. Elle aimait aussi l'entendre prendre plaisir durant ses massages, aussi visait-elle les "points de plaisir" qui avait pour habitude de donner quelques sensations, malgré le manque de sensibilité de la vampire. Après quelques secondes de massage, elle déclara doucement :
« Je voulais encore vous remercier, hime-sama. Vous vous donnez tant de mal pour m'aider dans ma recherche. Je ne saurai où j'en serai aujourd'hui sans votre aide. Je n'aurai peut-être même pas la moitié de ces lames. »
Elle lui disait souvent cela. En général, après qu'ils aient obtenu une nouvelle lame de l'école Nobukuni. Ce n'était peut-être pas assez pour agacer Nô, juste assez pour qu'elle sache à quel point elle lui était reconnaissante. C'était au départ la raison de son admiration et de sa loyauté. Et puis, au fur et à mesure qu'elle était sous ses ordres, quelque chose de plus intime, de plus proche et de plus sincère que la simple admiration et la simple loyauté s'était formé entre elles. Mais elle gardait tout de même cette reconnaissance envers celle qui l'aidait à traquer les lames de l'école de son père.
Cependant, quelque chose la déranger vraiment dans l'attitude de l'américain. Elle se retint de tout commentaire, mais une chose était certaine : la lame présente dans le fourgon ne la quittera pas de la soirée. Dans son étui de cuir, elle passerait inaperçue aux yeux de tous, mais sa priorité était d'éviter qu'il n'arrive quoique ce soit à sa bienfaitrice. Ou dans le cas présent, contre des humains, qu'elle n'ait pas à se tracasser de les tuer. Son Ombre était là pour cela, après tout.
Le quartier de la Toussaint / Re : La larme au coeur (Kiyuri Nobukini)
« le: lundi 29 avril 2013, 13:04:10 »Il était ainsi venu au bureau avec un présentoir de plusieurs lames. Seule l'une d'entre elles était une lame Nobukuni, les autres étaient des répliques totalement grossières, sans aucune comparaison avec les originaux, loin de là même. À l'oeil nu, c'était visible, même sans voir la lame de ces katana. Aussi, lorsqu'elle entendit dans le bureau le bruit d'un fer brisé, Kiyuri ne bougea pas d'un pouce, comparé aux gardes qui sursautèrent. Elle en sourit même, en entendant la femme d'affaires critiquer et punir l'arrivisme de l'américain. Après quelques secondes suivant la fin de la morale, des pas se dirigèrent vers la sortie du bureau de Nô, les portes s'ouvrant en grand pour laisser sortir l'américain qui fulminait. Il tourna la tête vers la petite asiatique qui le fixait en retour, impassible. La demoiselle était habillée comme à l'ordinaire au bureau : un tailleur noir, les cheveux lâchés et une paire de lunettes sur le visage, uniquement esthétique. Maquillage sommaire, rouges à lèvres écarlates et du far à paupière.
L'homme resta quelques secondes à la regarder, avant de partir suivi par ses gardes. Quelques secondes après, Nô sortit, tenant en main le présentoir complet avec une arme brisée posée dessus. Elle donna ce présentoir à un des gardes et s'en alla vers la sortie. Kiyuri se tourna vers le garde et dit, tranquillement :
« Emmenez cela à mes appartements. Déposez-les sur le bureau et sortez immédiatement. »
Le garde s'inclina respectueusement et se dirigea vers les appartements, suivis par les autres qui semblaient tout aussi imperturbables que Kiyuri. Cette dernière se dépêcha de rejoindre sa supérieure, restant derrière elle, suivant son rythme de pas. Plusieurs personnes, en voyant les deux femmes arriver, s'écartèrent sur leur passage en s'inclinant. Kiyuri réajusta ses lunettes qui, avec le rythme des pas, tombaient de son nez fin d'Asiatique pure souche. Arrivée à l'extérieur du bâtiment, les deux vampires se placèrent proches du petit magasin à côté du siège de l'entreprise Papillon. Kiyrui surveillait les environs, cherchant un signe d'agression quelconque, surtout après ce qu'avait subi l'américain qui n'allait peut-être pas en rester là. La remarque de Nô au sujet de son confrère fit légèrement sourire sa seconde qui retira ses lunettes, étant hors du bureau et du cadre du travail.
« Soyons franc également, Nô-hime : s'il n'était justement l'un des meilleurs moyens d'obtenir toute sorte de trésors inaccessibles en temps normal, les relations entre vous et cet homme ne serait ce qu'ils seraient aujourd'hui. Et il doit certainement le savoir, la raison pour laquelle il ne s'inquiète pas tellement des répercussions de son attitude durant la négociation. »
Elle passa brièvement la main dans ses cheveux pour leur donner un air moins strict et professionnel, plus libéré. Elle soupira doucement, en regardant vers l'autre côté de la rue, toujours en surveillant les alentours.
« Cependant, je m'inquiète que ce cow-boy n'ait pas apprécié ce conflit et qu'il souhaite nous imposer une "politique" agressive. Les Américains comme lui ont cette fâcheuse tendance à l'oblitération constante de ce qui ne leur appartient pas forcément, et il déteste singulièrement se séparer de ces biens. »
Elle regarda la vampire. Une sorte de regard d'admiration traversa ses yeux quelques secondes à la vue de la belle vampire, sa chef, son amie et bien plus encore. Elle rougit un peu, réajustant son tailleur rapidement, avant de dire, doucement :
« Dois-je prévoir une équipe de nuit pour éviter tout incident, hime-sama ? »
Non loin, la fourgonnette arrivait depuis le croisement de la rue. Kiyrui se tourna vers celle-ci et l'observa quelques instants, avant de regarder à nouveau sa supérieure attendant sa réponse.
Prélude / Re : Kiyuri Nobukini, l'Ombre du Papillon [Valimutée]
« le: samedi 06 avril 2013, 15:44:04 »Bisous à toutes et à tous (surtout à toutes)
Prélude / Re : Kiyuri Nobukini, l'Ombre du Papillon [Marie]
« le: vendredi 05 avril 2013, 19:30:29 »J'ai fais les corrections. Pour l'âge, c'est que j'avais inscris "Date de naissance", mais j'ignore pourquoi, il l'a pas pris -_-" Enfin, j'espère que ça sera bon ainsi
Prélude / Kiyuri Nobukuni, l'Ombre du Papillon [Valimutée]
« le: vendredi 05 avril 2013, 00:11:46 »Kiyuri Nobukuni
Surnom
La légendaire, l'Ombre du Papillon, Kiyu aux mains pourpres.
Date de naissance
Née entre 1370 et 1380
Race
Vampire ancienne
Famille
A l'origine, la famille de Kiyuri était fondatrice d'une célèbre école de forge traditionnelle japonaise, l'école Nobukuni.
Position sociale
Vice-présidente de l'entreprise Papillon, femme d'affaires, second de Kichô "Nô" Hime et garde du corps.
Situation et expérience sexuelle
Vierge, nombreuses expériences avec les femmes, quelques expériences particulières avec les hommes.
Description physique
Kiyuri est une femme tout ce qu'il y a de plus japonaise, pure souche, sans défaut et sans métissage. Son visage en losange arrondi, aux traits fins et gracieux, est entouré de longs cheveux noirs interminables lui tombant jusqu'au plus bas des fesses lorsqu'ils sont lâchés. Ses lèvres sont toujours maquillées sobrement, car celles-ci ressortent particulièrement, semblant demander un baiser à tout instant. Sa peau pâle trahie sa nature vampirique, mais lorsque l'on plonge dans ses deux magnifiques yeux bruns en amandes, soutenu par des sourcils élégamment épilés pour être le plus fin possible, on se laisse charmer au point d'en oublier cette étrangeté. A savoir que sa chevelure est parfaitement entretenue : peu importe le style de coiffure, elle prend grand soin de ses cheveux, ne permettant à personne de le faire à sa place, sauf dans certains cas. Elle prend même plaisir à choisir comment les coiffer : en chignon, lâchés, tressés, ... c'est tout un art pour elle.
Son corps n'a rien à envier à son visage : bien qu'elle n'ait pas une poitrine éloquente, ni des fesses bien rondes, son corps est parfaitement harmonieux. Son ventre glisse parfaitement sur le reste de son corps, sans amas de graisse disgracieux, et ses hanches fines, mal-vues à son époque, est aujourd'hui l'un des standards du corps d'une mannequin. Sa façon de se tenir est aussi pour beaucoup dans son allure, car elle se tient droite, les fesses légèrement courbés vers l'arrière. Son corps d'albâtre attire aussi bien les regards que les caresses, malgré sa fraîcheur cadavérique. Beaucoup d'homme se tourne généralement lorsqu'elle passe dans la rue, mais peu ont l'occasion de pouvoir profiter de ce qui se trouve en dessous de ses vêtements. Il se dégage d'elle une certaine sensualité, un charme naturel d'exotisme, même pour les japonais en général, car elle est une des rares japonaises "pures" foulant encore la terre. L'absence de brassage ethnique avant sa naissance préserva les gènes qui faisaient les japonais de l'époque.
Pour ce qui est de sa tenue, la demoiselle n'a qu'un choix à faire : du noir, du noir et encore du noir. Elle porte rarement des vêtements colorés, ou même clairs. Le sombre est son plaisir. Pour le reste, son style vestimentaire s'est adapté au temps : robes, pantalon de tissu et chemises, elle n'est pas difficile. Cependant, elle préfère des vêtements amples, ouverts, et surtout permettant de montrer ses tatouages. Elle en a une dizaine sur tout son corps. Ses bras, son dos et ses chevilles sont les plus ornés de couleurs rouges et brunes, sous des formes différentes. Le tatouage est toujours le même : des fleurs et des feuilles sur ces deux couleurs. Son dos est sa fierté : une longue plante grimpante parcourant tout son dos et ornée de nombreuses fleurs écarlates et des feuilles brunes soufflées par le vent. Elle aime aussi les accessoires comme les bracelets en cuirs, les chevillières, les colliers et les boucles d'oreilles en argent.
Description morale
La demoiselle qui naquit dans une famille respectée a gardé de sa fierté et de son orgueil. C'est une jeune fille assez discrète, généralement silencieuse, observant les gens droit dans les yeux sans sourire ni montrer une seul once d'émotion. Fier de son sang et de son rang, elle ne se dévoile qu'à des personnes de confiance. Lorsqu'elle ne connait pas la personne, elle peut paraître froide et distante. Et cela ne serait pas seulement qu'une impression. Elle ne s'agace pas facilement, loin de la, sa tolérance à la bêtise et aux paroles désagréables étant très élevée. Cependant, son mécontentent est visible, aussi bref que violent : sa voix ne prends pas en ampleur, bien au contraire, elle prend d'avantage en froideur et le reproche est clair dans son ton de voix. On peut comparaître sa voix à un grognement de chat, résonnant et très creux. Elle se doit de rester courtoise malgré son énervement, mais son désir de trancher la raison de cet agacement est palpable, surtout lorsqu'elle tient en main un objet tranchant, même un simple couteau pour le repas.
Lorsqu'elle connait et apprécie la personne, le changement est radical : un grand sourire apparaît sur son visage, ses pommettes remontent, dissimulant un peu plus ses yeux, et son visage semble rayonner. L'aura meurtrier en permanence autour de son corps semble disparaître, laissant place à l'aura d'une jeune demoiselle en fleur. Elle garde son calme et sa retenue, mais on sent son plaisir et sa sérénité en présence de personnes qu'elle considère comme proches, qui se compte sur les doigts de la main, malgré toutes ces années. Devenant plus loquace, elle n'hésite pas à partager alors ses émotions personnels, par la parole mais aussi par les actes. Elle ira sans aucune honte toucher, caresser et enlacer la personne concernée. Pour autant, elle se limitera à des caresses chastes, et tous ceux pour qui elle adopte cette attitude savent qu'il ne s'agit JAMAIS de proposition. Sauf dans le cas où elle a bu.
En effet, une autre personnalité ressort de la demoiselle lorsqu'elle a bu. Malgré son corps vampirique, elle est capable d'assimiler l'alcool et d'en subir ses effets, si elle le désire. Lorsqu'elle est en état d'ébriété, elle se fait coquine, aguicheuse et provocatrice. Cependant les hommes qui espéreront coucher avec la demoiselle devront se priver du plaisir de la pénétration ou de la fellation, et même de la caresse intime. Elle prendra plaisir à voir l'homme se masturber devant elle, se faisant plaisir aussi sans aucune retenu, mais refusera le contact physique avec son intimité ou le membre de l'homme. Seule une femme pourra espérer une caresse de la demoiselle, de même qu'elle se laissera également toucher seulement par une femme.
En parlant de femmes, il en est une qu'elle respecte plus que toutes : Kichô "Nô" Hime, la chef de l'entreprise Papillon et la reine du clan Oda. En effet, elle entretient avec sa supérieure une relation étrange, entre l'amitié et l'élévation au rang d'impératrice, voir de divinité. Complètement à son service, elle use et abuse de ses avantages pour faciliter la vie de sa reine, parfois dans l'ignorance totale de cette dernière. Elle n'hésite pas à préparer des "surprises", à tuer d'éventuels gêneurs ou à prendre sur elle certaines charges de travail lié à l'entreprise, comme les comptes ou les réunions. Son but est de permettre à la femme de se détendre, d'améliorer son confort, même sans son consentement. Elle use parfois de stratagème tordu pour arriver à ses fins, utilisant certains des subalternes de la reine pour la "guider" vers la destination prévue par Kiyuri.
Peu importe la personne et l'état dans lequel la jeune femme se trouvera, elle ne tolère aucunement qu'on touche ses cheveux. Le contact d'une main sur sa toison l'agace et la rend violente, sans prévenir ou donner une chance à son "agresseur". Sacré, ses cheveux sont à la fois sa plus grande fierté et ce qui fait d'elle une femme, selon elle. Ceux qui osent toucher à sa chevelure doivent alors craindre de perdre au minimum la vie, parfois leur honneur. Pour les plus brutaux, qui lui arrachent une mèche ou deux, elle prévoit une longue et douloureuse mort dans les sous-sols du siège de l'entreprise. L’autre chose à laquelle elle tient énormément est le sabre qu'elle possède, héritage de son père et de son style, dernière arme encore trouvable. Malgré sa valeur immense, elle continue à l'utiliser, prenant grand soin de la lame qui représente la seule trace de son passé. Elle la voit comme une amie, voir comme un substitue d'amour.
Histoire et évènements importants
Kiyuri naquit durant l'ère de Muromachi, plus précisément durant la période de Nanboku-cho (1336 - 1392 du calendrier grégorien), période trouble de l'histoire du japon. En effet, à cette époque, le pays est brisé en deux par une guerre civile, opposant les empereurs de la cour Sud et de la cour Nord. Une période de 60 années où les morts se multipliaient, alors que les naissances se faisaient rares. A cette époque, les femmes étaient souvent destinées à la vente aux maisons de thé, où elle devenait courtisanes. Certaines, plus chanceuses, avaient l'occasion de devenir des geishas. Normalement, c'était le destin prévu pour la demoiselle, mais fort heureusement, elle n'était pas une simple fille de paysan, d'une part, et d'autre part son père lui réservait un avenir plus prometteur : le succéder. En effet, son père n'était autre que le fondateur de l'école Nobukuni, célèbre école de forgeron, dont le maître, Minamoto Nobukuni, était l'élève de Soshu Sadamune. Minamoto n'ayant pas eu de fils, il décida que sa fille sera son successeur pour son école de forge. La demoiselle, fascinée par les lames, l'était moins par l'art de la forge, mais le désir de pouvoir contempler les armes de son père la tenait à ce destin pendant toute sa jeunesse.
Cependant, Minamoto comprit que ce choix n'avait pas été des plus sages. Aussi, il décida qu'il valait mieux trouver un homme pour prendre le flambeau de l'école Nobukini. Il trouva un forgeron de qualité et lui promis l'un de ses plus belles lames en dot s'il épousait sa fille. Insultée, Kiyuri décida qu'elle partirait, mais pas avant d'avoir retiré l'arme des mains de l'homme qui l'avait reçu. Ainsi, pendant la visite à la dérobée de celui qui lui était choisis, elle lui demanda d'apporter sa dote, pour prouver qu'il s’agissait bien de lui. Et profitant de la pénombre, elle prit l'arme et tenta de s’enfuir. Ayant drogué la maison entière, elle aurait dû pouvoir partir sans trop d'encombre, mais son mari tenta de l'arrêter. Défendant sa vie, la demoiselle sortie sa lame et trancha la tête de son époux, conservant ainsi la lame, sa liberté et sa virginité. Elle quitta la maison et commença une vie de voyageuse, pendant des années, avec pour seul trésor l'arme de son père. Sans savoir ce qu'était devenue sa famille, elle échappa à la guerre civile en se battant, jusqu'à ce que celle-ci passe avec la victoire de la cour du Nord. Mais la demoiselle était atteinte d'une maladie qui la frappa très tôt, quelques années après que la guerre civile prenne fin. Elle aurait dû mourir, ignorée du monde. Mais elle reçu le baiser d'une créature de sang, obtenant une non-vie, devenant une créature de folklore, se nourrissant de sang et n'apparaissant qu'à la nuit venue.
Les siècles passèrent. La demoiselle, devenue vampire, décida de profiter de sa longévité pour se forger une légende : on parla durant les époques qui suivirent de la femme en noir et à la peau blanche, tranchant la tête des amants et des amantes. C'était elle. Elle ne tuait pas seulement les amants, mais elle fut connu pour avoir tué un couple de noble de l'époque de d'Edo. Dans son palmarès, on aurait pus ajouter nombre de samouraï, d'assassins, mais également d'autres vampires qui se mettaient sur son chemin. Elle passa les siècles ainsi, en compagnie de la lame de son père, dernier vestige de sa vie, souvenir ancestral d'une existence qu'elle oublia rapidement, à mesure que les siècles passèrent. Ces souvenirs restèrent dans l'oubli, jusqu'au jour où elle retrouva un autre des sabres de son père. Alors, la puissance du souvenir troubla la jeune femme qui se fit un point d'honneur à retrouver l'ensemble des armes de son père. Cette quête commença réellement durant le vingtième siècle.
Durant cette période, elle tenta de trouver le moyen d'atteindre les katanas, détenus par des yakuza, des collectionneurs capables de les défendre ou disparus dans l'ombre. Pour cela, elle s'en alla trouver l'une des maisons de Yakuza les plus puissantes, composé essentiellement de vampire, et dont la couverture n'était autre que l'entreprise de cosmétiques Papillon. Elle demanda à rencontrer la chef de l'entreprise, qu'elle reconnu avec les portraits de l'époque Sengoku : il s'agissait de l'ancienne femme de Oda Nobunaga. Elle rapprocha cette vision au nom du clan de vampire Oda. Aussitôt, la demoiselle normalement froide et distante, voir menaçante, montra un profond respect pour la femme. Bien entendu, cette marque de respect permis aux deux femmes de discuter. En partageant son désir de retrouver les lames de son défunt père, Kiyuri intrigua l'esprit de la femme vampire qui décida de la prendre sous son aile. Kiyuri promis servitude en échange d'informations sur l'emplacement des lames de l'école Nobukini.
Mais le temps passa, et les deux femmes, avec d'abord une relation hiérarchique stricte, devinrent amie et confidente. Face aux autres vampires, Kiyuri est la seconde de la reine du clan Oda. Mais lorsqu'elles se retrouvent seules, elles partagent tout, leurs secrets, leurs joies, leurs inquiétudes. Et plus elle en apprenait sur la reine, plus une admiration réelle marquait le cœur de la jeune vampire d'une vingtaine d'années en apparence. Rapidement, l'admiration se transforma en fascination, et la fascination devint une adulation. La demoiselle voit aujourd'hui sa reine comme une femme hors pair, une femme de haut rang, la digne femme de l'empereur. Jurant plus que sa vie pour elle, jusqu'à son honneur même, elle ne sert plus pour obtenir les armes de son père, mais pour rester auprès de la femme qui devint son idole. Elle continue sa quête, désireuse d'obtenir toutes les armes de son père, mais pour autant, elle souhaite aujourd'hui être utile pour Kichô "Nô" Hime, le Papillon pourpre. Kiyuri est connue dans le milieu pour être la garde du corps de la reine, sa vice-présidente et sa femme de main la plus loyale, à tel point qu'on la nomma "l'Ombre du Papillon".
Aptitudes et pouvoirs
- Maniement du katana : Kiyuri, pour avoir pratiquer pendant tout sa vie d'errance l’art du katana, manie son arme de prédilection avec une grande dextérité. Elle utilise plusieurs katanas différent, mais préfère "ShinJin'Sei", l'arme qu'elle déroba durant sa première nuit de noce.
- Force surhumaine : Kiyuri dispose, comme tout vampire de son ancienneté, d'une grande force, bien supérieure à celle d'un homme ordinaire. Elle peut aisément terrasser un lutteur humain moderne à main nue sans difficulté.
- Vue perçante : Kiyuri a une vue exceptionnelle, même au sein de la société vampirique. En effet, outre sa capacité à voir dans les ombres comme en plein jour, elle peut voir avec précision à plusieurs kilomètres, tant qu'elle a une vue dégagée là où elle regarde. Elle passe d'ailleurs énormément de temps dans la tour de verre à regarder les humains vivre, au travers de vitre stoppant les rayons mortels du Soleil. C'est l'un de ses plaisirs.
- Régénération dans l'ombre : Kiyuri peut guérir complètement ses blessures, à condition d'être plongée dans l'ombre. Aucune lumière, même lunaire ou artificielle, ne doit toucher son corps. Pour cela, elle doit se cloitrer dans son coffre, seul endroit, à sa connaissance, où elle peut être dans les ténèbres sans passer ce temps dans un cerceuil.
- Marche de l'ombre : Kiyuri peut marcher en silence, avec fluidité, et laisser dans son sillage des images rémanente, troublant l'adversaire qui tente d'observer ses pas. Lorsqu'elle avance de cette manière, seul le son du vent qu'elle pousse délicatement avec son corps et ses vêtements peut être perçu.
- Cri de mort : Kiyuri a rencontré plus de morts qu'aucun autre vampire qu'elle a put rencontrer. Elle eut plusieurs fois l'occasion d'entendre le cri de la mort lors de ses meurtres, et en connait les secrets. Le cri de mort est un cri de frayeur, repoussant toute créature vivante qui se sent menacé par la mort. Ce cri est inaudible, techniquement, mais il est perçu par l'inconscient de la cible de la demoiselle.
- La pointe écarlate : Kiyuri n'aime pas enfoncer sa lame entière dans un corps. Au lieu de cela, elle n'a qu'à presser à peine la pointe de son arme sur un des neuf points de vie d'une créature pour la tuer lorsque la première goutte de sang coule de la plaie. Cette méthode semble provoquer un arrêt cardiaque et cérébrale immédiat de sa cible, ressemblant alors à une mort naturelle.
L'épée "ShinJin'Sei"
Il s'agit d'une lame de type nodashi, avec une garde et un fourreau noir. La lame en elle-même mesure 120cm, pour une longueur totale de 150cm et une épaisseur de 1,2cm. Malgré les années, elle n'a pas perdu de son tranchant, grâce à la qualité de la forge et à les soins que lui porte la demoiselle. La seule imperfection visible, avec une grande attention cependant, est le reste de sang sur le tissu entourant la garde. Il lui arrive parfois d'utiliser d'autres armes, mais elle refuse d'utilise une arme n'appartenant pas à l'école Nobukini.
A savoir
Kuyuri n'aura jamais de sexe avec un homme, mais peu partager une soirée intime où chacun se fera plaisir sans toucher l'autre.
Lorsqu'il fait jour, Kuyuri ne se repose pas, comme les autres vampires : elle se terre dans sa chambre, avec des vitres teint pour bloquer les rayons du Soleil mortels pour un vampire. Elle aime particulièrement inviter des femmes à partager sa couche pour occuper ses journées ou à s'entraîner au sabre.
Elle recherche 247 armes créées par son père et ses disciples. Pour le moment, elle en a 62, qu'elle garde dans une pièce secret dans sa chambre. Elle a mis tout en place pour qu'elle seule puisse ouvrir la pièce isolée contenant les sabre.
Kuyuri ne refuse jamais un verre, à condition qu'il s'agisse d'un alcool fort. Elle a l'habitude de contrôler les effets de l'alcool dans son sang, donc elle ne sera pas forcement saoûl, même après avoir bu plus que de raison.
Comment avez-vous connu le forum le forum
Doublette de Jad
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels
Ca vient, ça vient, j'ouvre bientôt mon forum.