Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Kazumi Naeka

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Kazumi Naeka

Pages: [1] 2 3 ... 9
1
Salles de cours et bibliothèque / Re : You are our doll! [PV Kazumi Naeka]
« le: mardi 04 février 2014, 07:52:09 »
- Voyons, un cul que je ne peux pas faire souffrir, pas lécher, je suppose pas doigter? Ça me laisse que des caresses du coup ? Et je suis pas trop emballé là... Surtout quand je vois deux belles coquines qui se font plaisir.

Bon, dans la théorie elle m'avait bien compris, mais ça ne changeait pas le fait qu'elle n'était toujours pas emballée. Mais bon, après tout je n'avais rien demandé, et mon but n'était pas de lui faire plaisir à elle, mais bien de moi, ressentir du plaisir. Alors je n'allais quand même pas faire un effort pour elle alors qu'elles me faisaient quand même du chantage, même si cela ne me dérangeait pas spécialement. Et alors que j'en étais à mes considérations diverses, je vis du coin de l'oeil Yuko qui se déshabillait, retirant ses vêtements, puis ses sous-vêtements, avant de rejoindre sa jumelle et de déclarer :

- Pourquoi ne pas s'occuper de nous deux, en même temps bien sur. On pourra voir si vous avez le doigté pour cela ?

Pourquoi pas ? Une possibilité qui méritait d'être explorée en tout cas. Le fait de m'occuper d'elles deux m'intéressait. Je la regardai embrasser sa soeur, puis lui murmurer quelque chose à l'oreille. Celle-ci ricana, puis toutes deux écartèrent leurs jambes, leurs doigts écartants leurs lèvres, me laissant une vue imprenable sur l'intérieur de leurs minous. Alors que je les regardais, comme fascinée, elles dirent d'une même voix :

-Occupez-vous de nos minous, Kazumi-Senseï !

C'était le moment où jamais de prendre l'ascendant. Il fallait que les jumelles me prennent pour leur maîtresse, qu'elles me soient dévouées... Pour ça, je pouvais par exemple m'occuper d'elles tellement bien qu'elles se sentiraient dépendantes et ne voudraient plus me quitter... Pour Yuka, c'était déjà gagné, elle était très soumise par nature, mais Yuko serait plus difficile à dominer. Je décidai donc de me concentrer d'abord sur la soumise, qui pourra peut-être aider à convaincre sa soeur... Je restai donc face à Yuka, répondant comme par réflexe :

- Avec plaisir !

Sur ce je me mis à caresser les lèvres intimes de la lycéenne avant de lui introduire un doigt dans le vagin, puis deux autres qui le rejoignirent dans sa fente chaude et humide. Elle voulait que je m'occupe de son minou, et elle était masochiste. Tout les critères seraient remplis. Parfait. Je commençai donc à remuer mes trois doigts dans son vagin à toute vitesse. Tantôt, je faisais de simples mouvements de va-et-vients, tantôt je faisais de petits mouvements circulaires. Mais j'allais extrêmement rapidement, au point de me faire mal au bras. C'était tellement rapide que mon élève était prise de frissons incontrôlables, et gémissait périodiquement. De plus, la vitesse faisait également que sa cyprine était entraînée par le mouvement et éclaboussait les environs, par exemple le corps de sa soeur qui était à côté, ou encore mon avant-bras qui en quelques secondes donnait l'impression que je rentrais après une forte pluie. J'avais mal au bras, mais si je parvenais à maintenir le rythme, elle allait probablement jouir très rapidement...

2
Salles de cours et bibliothèque / Re : Chantage || PV Cassidy Green
« le: dimanche 27 octobre 2013, 08:16:04 »
Alors que je lui parlais plus crûment, je pouvais deviner qu'elle rougissait, même dans la position plutôt inconfortable dans laquelle je me trouvais. Quoique, la tête bien calée contre une jolie fesse, ce n'était pas la plus désagréable sensation qu'il m'est été donné de ressentir... Elle gémissait plus fort maintenant, alors que je la masturbais toujours aussi énergiquement, un doigt fiché dans son petit trou. Entre deux soupirs de plaisir, elle murmura :

- J'aurais préféré dans mon intimité, mais là c'est bon aussi...

Elle trouvait encore le moyen de se plaindre... Quelle insolence ! Elle aurait mérité mille et une punitions, mais l'heure n'était pas à la souffrance. Dans ma main, son membre chaud et tendu, dégoulinant déjà de pré-sperme, se mit à trembler de plus en plus fort, plus gros et plus dressé que jamais. Je vis les bras de Cassidy remonter, sans doute pour se caresser les seins. Avec un sourire, j'en rajoutai une couche :

- Parce que je ne te suffit pas ? T'as encore besoin de toucher les nichons comme la petite cochonne que tu es ? Tu es vraiment irrécupérable, ma pauvre !

Et alors que je lui disais cela, preuve supplémentaire de sa perversité, elle éjacula soudainement, en assez grande quantité, des traînées de sperme jaillirent de son membre devenu rouge sous la chaleur et la pression de ma main, que je retirai rapidement, pour éviter qu'elle ne soit vite recouverte de semence chaude. D'un coup, je retirai mon doigt de son anus, m'éloignant légèrement d'elle, regardant avec un sourire ses jambes trembler sous l'afflux de plaisir. À présent, le moment était venu de passer à l'action. Je fis donc quelque pas vers mon bureau pour empoigner une paire de menottes, puis je me précipitai sur elle, profitant du moment d'inattention qu'avait provoqué sur elle son récent orgasme. Je lui passai les menottes, puis la bousculai vers le mur de la salle de classe avant d'attacher les menottes à la valve du radiateur. Ainsi, elle ne pouvait presque plus bouger. Je souris et prit la parole, me régalant de son regard abasourdi :

- Et tu pensais que c'était bon, qu'on était quittes ? Tu viens ici me faire chanter, puis tu t'arranges pour coucher avec moi, je te fais jouir et tu croyais vraiment qu'on en avait terminé ? Non... Dorénavant tu es en mon pouvoir et je peux faire ce que je veux de toi. Et si tu essaies d'avouer... Tu savais que j'étais très amie avec le videur de mon club de striptease ? Un mec très baraqué... Je sais où tu habites... Tu vois où je veux en venir ? Bien...

Je repris mon souffle après cette longue tirade, puis m'approchai d'elle en souriant toujours d'un air méchant.

- Tout ce que tu m'as fais subir je vais te le rendre au centuple ! Tu n'es pas prête d'être libre...

Et sur ce, je m'écartai de quelques mètres, m'assit sur le sol, et commençai à doucement caresser ma vulve... Parce que j'en étais frustrée, moi, de l'avoir fait jouir sans profiter de rien. Mais c'était trop tard maintenant... Alors j'allais plutôt me masturber jusqu'à en avoir un orgasme devant elle, pour lui renvoyer toute la frustration qu'elle m'avait donnée. Ça doit être horrible d'avoir une érection et de ne pas pouvoir la calmer...

3
Salles de cours et bibliothèque / Re : You are our doll! [PV Kazumi Naeka]
« le: dimanche 27 octobre 2013, 08:14:06 »
Je me plaisais bien, en fin de compte, avec ces deux jumelles perverses. J'avais un peu peur, mais finalement elles n'étaient pas si diaboliques. Juste sadomasochistes... J'adorais jouer à la maîtresse avec Yuka, même si je n'avais pas beaucoup d'expérience dans ce domaine, mais être dominée par Yuko ne m'excitait pas particulièrement... Dommage pour elle, c'est donc sa soeur qui repart avec le premier prix ! Je comptais bien lui montrer qu'elle me faisait du bien, et lui rendre la pareille. Je continuais de l'embrasser goulûment, caressant son petit corps, quand Yuko vint tripoter mes lèvres intimes. Cette fois, je la laissai faire. Excitée comme je l'étais, je pouvais au moins accepter cela. Dans le même temps, Yuka rompit notre baiser et prit la parole en caressant sa petite poitrine d'un air aguicheur :

- Senseï... Occupez-vous de mes seins !

Alors là... Inutile de me le dire deux fois, d'autant plus qu'elle n'adoptait pas le même ton autoritaire que sa soeur jumelle ; je projetai mon visage sur sa poitrine, embrassant l'un de ses globes de chair, jouant avec l'autre d'une main, tandis que les doigts de mon autre main étaient dans sa bouche après avoir visité mon antre humide... Elle me goûtait, elle aussi. Ses seins avaient beau être encore petits, ils étaient agréable à prendre en main, et avaient l'air très sensibles. Je sentis à nouveau le souffle de Yuko, contre mon oreille cette fois, elle me chuchota :

- Profitez-en pour lui mordre doucement ses petits bouts... elle adore çaaa ! N'est-ce pas ma petite Yuka ?

- Oh oui, Senseï, s'il-vous-plaît ?

Et sur ce, Yuko offrit ses doigts à sa soeur qui les lécha d'un air lubrique. Ces deux étudiantes étaient décidément les filles les plus perverses que j'avais jamais vu. C'en était impressionnant ! Donc, elle voulait que je lui morde les tétons ? Pas de problème ! Aussitôt dit, aussitôt fait, mes lèvres entourèrent l'un de ses petits bouts tout durs, et je me mis à aspirer, suçotant son mamelon comme je le ferais avec un bonbon particulièrement délicieux. Ma langue faisait des mouvements circulaires autour, tandis que son autre sein restait sous la responsabilité de ma main droite, qui s'en occupait plutôt bien, pinçant et tirant son téton dans tous les sens. Ma main gauche, quant à elle, ne restait pas inactive : je la glissai lentement sous le corps de Yuka pour malaxer ses fesses, les griffant légèrement du bout de mes ongles.

Et finalement, excitée comme j'étais, je me résignai et, relâchant, pour quelques instants seulement, la poitrine chérie de la lycéenne, je tournai mon visage vers sa soeur en agitant mon derrière et je lui dis :

- Et si en fin de compte je te laisse mon cul, tu promets de ne pas me faire mal ?

4
Salles de cours et bibliothèque / Re : Chantage || PV Cassidy Green
« le: mardi 01 octobre 2013, 16:55:09 »
- Oui... D'accord, je vous le promets...

Ouf. J'étais soulagée, elle acceptait ma proposition. En même temps, elle n'avait pas trente-six millions de solutions, mais au moins il n'y avait pas besoin de s'embêter à négocier là-dessus. Je lui fis donc cette "cravate de notaire", "branlette espagnole", "paizuri" ou comme vous voulez, en gros, je masturbais son pénis avec mes seins. Et cela avait l'air de beaucoup lui plaire, d'ailleurs. Moi, un peu moins. J'avais juste une sorte de grosse saucisse bouillante entre les seins... Je voyais mal comment certaines femmes pouvaient apprécier autant faire cela... Par contre, de l'autre point de vue, je pensais pouvoir comprendre le goût des hommes d'être massé par de jolis obus de chair... Bien sûr, je ne savais pas ce que ça faisais d'avoir un pénis, mais qu'importe.

Très vite, Cassidy se mit à gémir assez bruyamment sous les assauts de ma poitrine. Elle gémissait fort, et elle ne tarda pas à s'exclamer d'une voix saccadée, presque brisée par la jouissance qui approchait :

- Je... Han... Je vais... Jouir, pro... Fesseur...

Un point positif pour elle, elle respectait sa parole. Elle me prévenait qu'elle n'allait plus tarder à éjaculer. Pour la remercier pour cet égard, même si je ne lui devais rien, je décidai de ne pas la laisser se finir toute seule. Je relâchai son membre, puis allai me mettre dans son dos, toujours accroupie, ma joue collée contre sa fesse alors que je continuais à la masturber avec ma main. À présent, cela ne devait plus être qu'une question de temps pour qu'elle ne parvienne à l'orgasme. Toutefois, dans un sursaut de générosité, je pris la décision de l'assister dans sa jouissance, en me servant de ma main libre pour enfoncer l'un de mes doigts fins dans son anus.

- Hmmm... Tu aimes ça, hein ? Tu aimes que je te doigte le cul pendant que je te branle comme ça ?

J'aimais bien ça, avoir l'impression d'être la maîtresse, celle qui dominait l'ébat... Mais vu ma corpulence, j'avais rarement l'ascendant sur mon partenaire pour pouvoir faire cela... Alors que là, il aurait été malvenu qu'elle proteste.

5
Salles de cours et bibliothèque / Re : Chantage || PV Cassidy Green
« le: lundi 23 septembre 2013, 07:09:40 »
Cassidy hocha doucement la tête. Sans doute réfléchissait-elle à ma proposition. De toute façon, je ne lui laissais pas le choix, c'était à prendre ou à laisser. Soit elle se branlait en me regardant, ce qui, je l'avoue, me flatterait, soit elle pouvait partir tout de suite. Les yeux toujours baignés de larme, malgré le fait que je lui propose une telle alternative, elle murmura :

- D'accord... Mais est-ce que je pourrais me finir entre vos seins ? Je veux dire...

Elle baissa la tête en rougissant. Et ben, elle n'y allait pas avec le dos de la cuillère. Au moins, j'étais fixée, elle voulait que je m'en occupe. Me laissant dans mes réflexions, elle poursuivit doucement :

- Je veux dire... Est-ce que je pourrais mettre mon membre contre vos seins ? Sajs aucune pénétration ? Je comprendrais si vous refusiez...

Elle comprendrait, elle comprendrait... Facile à dire ! Je voyais bien à sa tête qu'elle aurait du mal à accepter un refus. J'étais bien embêtée, du coup... Elle respira un grand coup et essuya ses larmes alors que j'hésitais, perplexe. Et puis, une fois ma décision prise, je m'approchai lentement d'elle et posai un doigt sur son gland tout chaud, qui me dégoutait un peu... Mais je ne pouvais pas résister à l'air penaud de mon élève...

- Bon... C'est d'accord. MAIS ! J'impose mes conditions. Tu ne fais rien, tu me laisse te branler avec mes seins, et surtout quand tu sens que tu vas venir, tu me préviens, que je m'écarte. Je tiens pas à ce que tu tires ton coup sur mon visage.

Au moins, c'était clair, elle n'avait plus rien à négocier, à demander. J'allais la masturber et une fois qu'elle aurait éjaculé, j'aurais été débarrassée de ce problème. Légèrement intimidée par sa queue imposante, je retirai à nouveau mon soutien-gorge, pris mes deux globes de chair en main, me penchai en avant pour entourer son membre et pressai mes orbes charnels contre sa hampe. Ensuite, je commençai à faire des va-et-vients assez rapides, histoire de la faire jouir assez rapidement. D'autant plus qu'elle devait être au bord de l'orgasme, vu comment elle m'avait prise peu avant... Entre mes seins, son membre tout chaud dégoulinait de pré-sperme, se répandant sur ma poitrine. Ça ne me plaisait pas, loin de là, mais c'était la dernière ligne droite.

Encore un petit effort, et ce serait terminé.

6
Salles de cours et bibliothèque / Re : You are our doll! [PV Kazumi Naeka]
« le: mardi 16 juillet 2013, 13:06:34 »
Mais c'est quoi ce délire ? Qu'est-ce qu'elle croit, qu'elle me lèche le cul, comme si elle était une chienne ? Bon, dans un sens c'est vrai, mais pas littéralement ! Un cul, c'est sale, c'est pas fait pour, ça sert juste à aller au petit coin ! Je n'y comprends plus rien, sur le coup. Et en plus, ça ne lui va pas ! Elle se dépêche de protester, comme si j'avais marqué "Propriété publique" sur mon derrière. Non mais oh !

- Mais, c'est pas drôle! Dans ce cas, faut pas m'en vouloir si je change de tactique.

Elle avait quand même un faible pour mon cul, celle-là. Je la comprends, évidemment, mais je suis la seule qui peut y toucher, normalement ! Et là, elle me masse les fesses avec entrain... Bon, ça au moins ça ne me gêne pas. C'est agréable, et tout... Mais me lécher le trou de balle, c'est quand même pas la même chose ! Je n'en reviens pas ! Heureusement, j'arrive à faire semblant de rien et les jumelles ne semblent pas avoir remarqué à quel point ça m'a perturbée. Alors que Yuko, sans doute frustrée de ne pas pouvoir faire ce qui l'arrange, me malaxe le postérieur, Yuka m'embrasse avec passion, et je dois avouer que je ne déteste pas ça, loin de là ! Ma poitrine est en contact avec la sienne, sa petite poitrine si mignonne ! Dans le même temps, elle me caressait les cheveux, le visage... Sa main ressemblait à un morceau d'étoffe de luxe, le genre qui vient de loin et qui coûte super cher. Le genre qu'une fille comme moi peut pas s'offrir. Alors, c'est une expérience plutôt agréable. Sous l'afflux de plaisir qu'elle m'offrait avec ses mains et sa bouche, j'en aurais presque oublié ce petit souci avec mon derrière.

Mais Yuko n'avait pas dit son dernier mot. Je sentis plus que je n'entendis la fessée dont elle me gratifia. Plutôt inattendu. C'est un peu con, parce que du coup j'ai un peu mordu la lèvre de Yuka, de surprise. Je tente de me rattraper en léchant tendrement l'empreinte de mes dents dans sa lèvre. Pendant ce temps, Yuko essaie de me provoquer – J'ignore ce que j'ai bien pu faire pour mériter tout ça.

- Je vais vous dire ce qui est sale, senseï. C'est vous... Vous n'êtes qu'une sale petite coquine qui ne demande qu'à être abusée par ses élèves blondes et jumelles.

Mais quand s'arrêtera-t-elle ? C'est dingue, alors que Yuka est en train de me combler, voilà que sa soeur jumelle me donne l'impression de faire tout pour me refroidir. Sur le coup, elle me déçoit un peu. En plus, elle ponctue sa phrase par une nouvelle claque sur mes fesses. Le pire dans tout ça, c'est que j'aime bien ses fessées. Mais j'espère qu'elle ne va pas exagérer. En plus, je ne peux même pas lui répondre, sa soeur m'embrasse encore avec ardeur, m'empêchant d'ouvrir la bouche.

7
Les alentours de la ville / Re : Bain de Soleil || PV Edean
« le: dimanche 09 juin 2013, 21:02:39 »
Il souriait maintenant, à la fois gêné et amusé par ce que je lui faisais subir.

- Non, Senseï vous avez raison. De toute façon, je pense que vous ne me laisserez pas vérifier…

Oui, bon, il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin non plus. Quoique, cela pourrait être très amusant de le faire tourner en bourrique, comme ça. Mais qu'est-ce que je raconte ? Je ne me savais pas si méchante... Le pauvre. Je pourrais lui faire miroiter le paradis pour ensuite m'en aller avant même de lui avoir montrer de quoi il retournait... Je suis sadique, en fait. Mais c'est trop tentant, je n'arrive pas à m'en empêcher !

Je le regardais avec un petit air taquin, tout en sachant pertinemment que je ne lui faisais qu'une mauvaise blague. Et là, je trouvai enfin une justification pour ce que j'allais faire. Il n'avait pas à dire ça, non plus ! "Je pense que vous ne me laisserez pas vérifier", gné gné gné. Non mais tu crois quoi, mon petit ? C'est pas Noël, que je sache...  Je m'approchai de lui, lentement, presque de façon imperceptible. Je passai ma langue sur mes lèvres de manière très suggestive, je lui susurrai au creux de l'oreille :

- Pourquoi es-tu si catégorique ?

Ensuite, l'air boudeuse, je me reculai, fit la moue et croisai volontairement les bras sous ma poitrine pour la mettre encore un peu plus en valeur. Je ne voudrais pas être à la place de ce pauvre petit étudiant !

8
Salles de cours et bibliothèque / Re : Chantage || PV Cassidy Green
« le: lundi 22 avril 2013, 15:59:52 »
Elle continuait de pleurer doucement, laissant s'échapper de brefs sanglots lamentables en me fixant tristement. J'avais beaucoup de peine pour elle. Ce qui lui était arrivé n'était en aucun cas enviable et aurait détruit de nombreuses jeunes filles de son âge. Mais Cassidy, elle, avait su surmonté tout cela et passer à autre chose. Mon intervention lui avait rappelé de douloureux moments, et j'avais un petit peu honte de cela... Mais pas au point de me laisser carrément violer, parce que c'était bel et bien ça, par une de mes élèves ! Dans un souffle, Cassidy murmura :

- Je... Je... M'excuse de vous avoir forcée, professeur... Mais...

Elle balbutia quelques mots inaudibles, puis ouvrit la bouche à trois reprises, mais à chaque fois elle la refermait immédiatement, semblant chercher les mots justes. Les larmes coulaient toujours le long de ses joues, et je me surpris à être attendrie. Elle finit par me dire :

- Je… J’aimerais qu’on continue… Je ne vous… Euh… Prendrais plus… Mais j’aimerais qu’on continue… S’il vous plait…

Et elle ré-endossait sans sourciller son costume de petite chaudasse prête à tout pour baiser. Toute ma compassion et mon empathie disparurent en un clin d'oeil, remplacées par une colère incontrôlable. Mais qu'est-ce qu'elle croyait ? Que j'allais la laisser me faire ce qu'elle voulait et s'en aller juste après, l'air de rien ? Je regardais avec dégoût son pénis toujours dressé en détaillant mes formes, c'est limite si elle ne se léchait pas les babines comme un prédateur !

- Non.

Sur le moment, je n'ai rien dit d'autre parce que je ne trouvais pas les mots. J'avais envie de lui dire à quel point elle se trompait. Que l'amour, ce n'était pas simplement quelqu'un qui pénètre quelqu'un d'autre. Que les sentiments existaient, qu'elle pouvait se faire des amis, tenter de coucher avec les autres après une longue relation, et non pas simplement pour le sexe. Mais je ne parvins pas à lui dire tout ça. C'était trop compliqué, et mon raisonnement était quelque peu embrouillé par son membre chaud, dur et palpitant qui pointait vaillamment vers moi. Une idée assez étrange venait de germer en moi...

- Écoute. Je ne veux pas que tu me fasses l'amour. Et encore moins me sodomiser. Si tu as vraiment besoin de te vider, je peux te servir de "matériel visuel" pour que tu te... Masturbes... Mais je ne veux pas que tu me fasses l'amour. D'accord ?

Je me doutais bien qu'elle serait déçue, mais en même temps je ne pouvais pas lui donner ce qu'elle voulait au mépris de mes propres envies ! Avec un sourire bienveillant, je la couvai du regard dans l'expectative de sa réaction.

9
Les alentours de la ville / Re : Bain de Soleil || PV Edean
« le: mercredi 17 avril 2013, 19:41:03 »
- Je ne le croyais pas, Sensei, je me demandais juste si je devais y croire ou pas. Ce que vous dites est vrai, mais les adolescents sont souvent naïfs.

J'aimais bien cette façon fière et détournée de s'excuser, de faire en sorte que je ne lui en tienne pas rigueur. Il oubliait peut-être qu'il était adolescent, qu'il était l'un d'entre eux, et surtout que comme tous les autres, il avait cru à cette stupide rumeur. La preuve était là ; il était venu me poser la question. Soucieux de ne pas me mettre en colère, il se rassit relativement loin. Soit par crainte, soit pour me laisser un minimum d'espace et d'intimité, aussi illusoire soit-ils. Toujours était-il que j'appréciais. En même temps, il semblait culpabiliser et regretter d'être venu m'importuner. À la question que je lui posai, il ne répondit pas, jetant néanmoins un coup d'oeil timide dans ma direction.

Bien que ce coup d'oeil ne dura pas plus d'une seconde, elle suffit à enflammer à nouveau les joues du pauvre jeune homme. Orgueilleux, comme tous les hommes, il ne voulait pas que je le vois et détourna fièrement le regard. Il semblait brusquement très intéressé par la mer, qui auparavant ne l'avait même pas attiré. Pourtant il était là, près de moi, à rougir pudiquement de s'être un peu trop approché du fruit défendu... Mais c'était à moi de rester sur mes gardes. N'était-ce pas la femme qui avait commis le péché originel ?

Cependant, un simple étudiant, aussi pudique, timide et poli soit-il, ne pourrait pas me faire changer d'avis à propos des hommes en général, ces êtres brutaux et avides, qui vous séduisent uniquement pour le sexe, et qui vous jettent juste après. Il avait beau ne pas être encore adulte, il n'en était pas moins un garçon...

Mais j'aimais beaucoup le taquiner, je lui adressai donc la parole une nouvelle fois :

- Je t'ai posé une question, il me semble... !

10
Elle avait l'air clairement vexée, pour le coup. Le rouge aux joues, et les bras et jambes croisées, elle avait prit la parole d'une voix qui me semblait encore plus enfantine :

- Pour ta gouverne, ma puce, j'ai 23 ans ! Et je me comporte ainsi parce qu'être trop "adulte" m'ennuie à en crever !

Pourquoi pas... Depuis mon arrivée ici, au lycée Mishima, j'avais rencontré mon lot de personnes particulières et aux philosophies de vie totalement étranges et différentes qu'une jeune femme de vingt-trois ans qui jouait à la gamine n'était pas le pire des cas sociaux qu'il m'avait été donné de rencontrer ici, à Seikusu. Mais de toute manière, je n'avais pas été payée pour l'embêter sur son comportement... Je ne devais faire qu'une chose : danser. Et c'était bien ce que je comptais faire ! Lentement,  je repris ma chorégraphie, tentant par mes sourires aguichants de lui faire comprendre que je ne l'embêterais plus à propos de son âge, qu'elle m'ait menti ou non...

Tout en tirant ma petite langue humide, mes bras se croisèrent sous ma poitrine, la mettant clairement en valeur sur le coup, et mes petites mains agiles se posèrent sur mes épaules quelques instants, et puis j'enlevai doucement  mon chemisier, révélant à ma jeune cliente un joli soutien-gorge affriolant noir. De quoi la rendre à nouveau plus réceptive, je pense. Surtout avec mes bras croisés sous mon imposante poitrine. Je lui lançai un clin d'oeil taquin, attendant une quelconque réaction...

11
Les alentours de la ville / Re : Bain de Soleil || PV Edean
« le: mardi 19 février 2013, 18:06:17 »
Il me regardait droit dans les yeux, comme s'il luttait en lui-même pour savoir s'il devait y croire ou non.

- Des rumeurs courent comme quoi vous seriez futanari… Par exemple l’autre jour un mec nous a raconté qu’il espionnait les toilettes des filles et qu’il vous a vue affubler d’un… Euh… D’un membre en trop.

Ah ouais, d'accord. C'était pas des rumeurs de pacotille. Mes yeux s'écarquillèrent presque involontairement, parce que d'un côté, j'étais assez soulagée que ce ne soit pas... Ce à quoi je m'attendais. Là au moins, je pouvais être honnête. Et même peut-être le mettre un peu mal à l'aise, histoire de me venger du fait qu'il m'ait vraiment fait peur. Amusée, je regardais avec un sourire discret son visage s'enflammer et son regard soudainement très intéressé par le sol sous ses pieds. Tentant sans doute de se rattraper, il ajouta timidement :

- Mais franchement je me demande comment ils ont pu dire ça d’une si belle femme que vous…

Mais bien entendu... Il est évident qu'une femme belle ne peut pas être une mauvaise personne ! Quel raisonnement admirable, il faudrait le décorer, ce garçon. J'avais du mal à réprimer un sourire moqueur, à ce moment-là. Toujours aussi mal à l'aise, voire plus qu'auparavant, il se leva, plongea les mains dans ses poches, marmonna quelque chose de tout à fait inaudible et s'en alla lentement.

- C'est faux.

Cette simple phrase sembla tout à coup le dissuader de s'en aller, ce qui dans n sens ne m'arrangeait pas. J'aurais bien aimé être tranquille, moi aussi ! Mais bon, je voulais quand même obtenir ma petite vengeance.

- Je n'ai pas de... "Membre en trop", comme tu le penses. D'ailleurs, je ne sais même pas qui a lancé cette rumeur, ou même comment certaines personnes peuvent avoir la naïveté d'y croire. Mais ce ne sont que des histoires pour exciter les pauvres jeunes hommes en chaleur, rien de plus.

Je tenais à ce que ce soit clair. Et je ne risquais pas de lui montrer une preuve, donc le seul moyen était de me montrer persuasive par les mots. En espérant dissiper tous ses doutes.

- Et puis, tu penses sincèrement que ce serait possible avec un bikini pareil ?

Impossible de cacher un quelconque attirail masculin accoutrée comme ça, c'était certain. Mais il avait l'air vite gêné, alors peut-être n'oserait-il pas regarder ? Ce serait son problème...

12
Les alentours de la ville / Re : Bain de Soleil || PV Edean
« le: dimanche 17 février 2013, 09:40:08 »
Génial, voilà qu'il rougissait, ce qui, implicitement, voulait juste dire qu'il venait d'aviser ma poitrine dénudée. Dieu m'a donc maudite au berceau ? Il prit la parole d'une voix qui me sembla intimidée. Au moins, il avait l'air bien élevé. Ce garçon.

- Je suis ici comme vous, je profite du beau temps.

Bon, cela voulait dire, en principe tout du moins, qu'il ne me cherchait pas. Il était tombé sur moi par hasard et allait donc s'en aller bien vite, me laissant toute à mon confort. C'est ce que je croyais. Je me trompais bien. Et j'eus l'occasion de le découvrir immédiatement : le jeune homme s'assit à mes côtés en regardant l'étendue liquide. J'en profitai donc pour remettre ce sui me tenait lieu de vêtement et empoignai ma gourde, que j'avais emportée. Je bus une gorgée d'eau glacée et...

- J’ai ouï-dire des tas de choses sur vous depuis votre arrivée, ce ne sont sans doute que des bobards de lycéens, mais je me demandais s’il y avait une part de vérité là-dedans…

... Je manquai de m'étrangler et recrachai la majeure partie de ce que je venais d'avaler. Quoi ??? Des rumeurs ? Non, pas encore ! Cette petite Cassidy qui m'avait déjà surprise au Night Jay et qui m'avait forcée à lui faire l'amour pour acheter son silence... Tout cela n'allait quand même pas recommencer ! Je m'efforçai de me donner une contenance et de faire semblant de rien. Après tout, peut-être ces rumeurs n'avaient-elles rien à voir avec mon second travail... Je ne manquai pas de lui demander...

- Et bien... Quel genre de rumeurs ?

J'espérais sincèrement qu'il me balance un truc totalement anodin, du genre « C'est vrai que vous sortez avec la prof de biologie ? » ce à quoi je pourrais répondre honnêtement, d'un non bref. J'aurais bien aimé d'ailleurs, mademoiselle Isley était juste magnifique. Mais passons outre ce sujet... Je le retardais avec une inquiétude masquée, priant presque que je me trompe sur ces intentions.

13
Salles de cours et bibliothèque / Re : You are our doll! [PV Kazumi Naeka]
« le: dimanche 17 février 2013, 09:38:22 »
La petite Yuka ne repoussait pas mon soudain assaut, loin de là, elle l'accueillait même avec de nombreux gémissements qui m'excitaient encore plus ! Sa main recouverte de sa propre cyprine remonta lentement vers ma hanche, puis mon dos, et de l'autre elle me caressait les cheveux. Contre ma langue, je sentais la sienne qui remuait au fil de ses gémissements étouffés, engloutissant sa bouche dans la mienne pour l'empêcher de trop faire de bruit... Doucement et tendrement, je posai mes mains sur ses petites fesses, les caressant avec délice, les griffant même du bout des ongles par moment.

- Huhu, deux belles petites coquines qui se font du bien. Continuez, mes chéries, continuez...

Tiens, Yuko avait eu la même idée que moi. Je sentais sa main sur ma fesse gauche et ne tardai pas à sentir l'autre aussi. Elle me malaxait énergiquement le fessier, et bien que je ne pouvais pas pouvoir son visage, j'imaginais bien le sourire qu'elle devait avoir... Et c'est là que tout bascula. On passa d'un plaisir total à une atmosphère plutôt désagréable. En effet, je venais juste de sentir la langue de la jeune fille glisser sur mon cul... Ça aurait pu être bon à me rendre folle... Mais cet endroit... Me gênait.

- Ha ! Non, je... Yuko, pas là ! C'est sale !

Même si Yuka, toute à son plaisir, n'avait pas entendu mes paroles, elle avait certainement senti mes mains se retirer de ses fesses et ma langue de sa bouche. Je m'étais retournée pour faire face à la lycéenne, un air à la fois désolé et dégoûté sur le visage.

14
- Léona ! Mais j'aime bien quand tu m'appelles Mademoiselle !

- Va pour mademoiselle, alors...

Je lui offris mon plus beau sourire tout en continuant de remuer le bassin avec une grâce féline. Alors que je caressais lentement mes cheveux, mon cou... Mon dos... Je voyais ses yeux s'illuminer. Je ne pouvais pas en être sûre, évidemment, mais j'avais en tout cas bien l'impression qu'elle appréciait le spectacle. Quand je lui ai dis mon nom, elle a ricané, et j'avoue avoir cru un court instant qu'elle se moquait de mon prénom... Pourtant je l'avais toujours aimé... Je ne voyais rien de drôle dans "Kazumi"... Et puis petite voix fluette vint couper court à mes pensées négatives :

- C'est joli !

Je m'attendais pas à ça. Sur le coup, j'ai commencé à rougir sans pouvoir m'arrêter. Enfin, je n'en suis pas certaine, mais la sensation sur mes joues me donnait clairement l'impression qu'elles prenaient littéralement feu.

- Rmmh... Euh, merci...

J'ignorais totalement comment répondre à cela, aussi choisissais-je de ne rien lui dire. Et puis après tout, peut-être parlait-elle uniquement de ma danse, et ne pensait-elle même plus à mon nom. Peu importait, après tout. Quand elle commença à pencher la tête sur le côté, j'en venais à vraiment penser que j'avais une gamine en face de moi. Et danser de cette manière devant une gamine ne faisait pas vraiment partie de mes moeurs. Je décidai donc de mettre les choses au clair avant d'aller plus loin :

- Dites, euh... mademoiselle ? Quel âge avez-vous, si ce n'est pas trop indiscret ?

Bon c'est vrai, on me paye pour danser – et bien d'ailleurs – pas pour poser des questions, mais je voulais tout de même avoir une réponse...

15
Salles de cours et bibliothèque / Re : Chantage || PV Cassidy Green
« le: samedi 16 février 2013, 08:49:10 »
- Je vais vous dire pourquoi je cache mon hermaphrodisme… parce que dans mon ancien lycée, quand les filles de ma classe l’ont découvert, elles ont fait de moi leur objet sexuel ! Ça vous ne pouvez pas comprendre ce que c’est que de vivre cela ! Quant aux garçons de ma classe, ils ont laissé faire !

Aïe. En effet, ça ne devait pas être très facile à vivre, un tel traitement. Mais je n'aurais pas pitié de cette sale gamine. Elle m'avait quand même "violée", en quelque sorte ! Un peu trop pour que je lui pardonne si vite. Toutefois, preuve qu'elle m'avait touchée, je m'interrompis dans mon rhabillage et restai en sous-vêtements. Elle pleurait. Elle pleurait, et c'était tout simplement impossible pour moi de déterminer si elle était sincère, ou si elle ne l'était pas...

- Alors quand je peux baiser avec un mec, j’en profite, car j’ai rarement baisé avec des hommes… mais des femmes… ou des élèves… vous seriez surprise de savoir combien j’en ai eu… même dans la classe, sans compter certains professeurs ici... alors quand je vous ai vue danser en vous déshabillant… j’ai eu envie de vous, professeur… je… j’ai pensé que vous ne l’accepteriez pas en sachant ce que j’étais…

- Et tu aurais très probablement eu raison. Ou tout au moins sous certaines conditions. Ce n'est pas pour rien si je n'aime pas les hommes. Et même si tu disposes de leur... Attribut, ton apparence féminine aurait pu me donner à penser que tu serais différente d'eux... Ils sont brutaux, ils sont égoïstes, centrés sur eux, et seulement eux ! Et toi, tu,arrives, en tant que femme, tu me fais espérer... Et puis tu me donnes tout ce que je déteste chez eux... Si tu avais été plus douce avec moi tu aurais eu ta chance... Tu as joué, et tu as perdu. Dommage.

Elle me faisait un peu pitié, dans un sens. Mais bon, après le sale coup qu'elle m'avait fait, je ne pouvais décemment lui ouvrir les bras... Et les jambes. De plus, la sodomie, c'était très peu pour moi. Personne n'avait jamais touché à mon cul, et j'espérais bien que ça ne change pas.

Pages: [1] 2 3 ... 9