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Prélude / Re : Un Satyre à la chevelure de flamme - { Validé }
« le: mercredi 22 août 2012, 17:49:53 »
Uhuh, merci 
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Le parc et son sous-bois / Rediscovery [Azazel Ängelsson]
« le: mercredi 22 août 2012, 17:48:36 »
« C'en est assez, Alpha Arietis ! »
Solaris avait du mal à garder son sérieux. À ses côtés, deux ménades pouffaient de rire. Pourtant, Athéna n'avait pas l'air de trouver ça drôle. Le temple de la déité était parfaitement silencieux... Ce silence pesait dans cet endroit magnifique et solennel. Le satyre ne cherchait pas à défier l'autorité d'Athéna mais la situation cocasse dans laquelle ils l'avaient mise, lui et quelques uns de ses comparses, lui donnait encore le sourire. Pourtant, l'idée de mettre des laxatifs dans l'hydromel de la déesse n'était pas la sienne...
« J'ai dit : c'en est assez ! »
Entendre la déesse rugir fit sursauter Solaris qui se calma enfin. Les deux ménades à ses côtés se turent d'un coup, laissant apparaître sur le visage un air apeuré. Notre homme baissa la tête, les lèvres pincées et pourtant son regard toujours porté vers la déité. Il croisa ses bras dans son dos et de son pied nu il se mit à jouer avec un caillou imaginaire sur le sol de marbre. Il attendait sa punition, il ne pouvait rien faire d'autre dans cette situation. Et il ne valait mieux pas mettre Athéna en colère...
« Pour la peine, je t'envoie sur Terre le temps qu'il faudra. Je verrai avec Dionysos combien de temps durera ton séjour en-bas. Sur-ce, je te souhaite un bon voyage ! »
Solaris n'eut même pas le temps d’écarquiller les yeux qu'Athéna leva son épée et un éclair s'abattit sur lui.
Légèrement sonné, le satyre ouvrit ses paupières lourdes. Il sentait sa peau chaude reposer sur quelque chose de froid. Sa tête tournait légèrement mais il reprit bien vite ses esprits. Nom de Zeus, il n'avait pas un tel souvenir du monde des Humains ! Par réflexe, il se téléporta à un mètre du sol, les mains sur sa tête. Mais quel est cet endroit...? Solaris tourna la tête à gauche, puis à droite. Personne pour le moment. Il se trouvait dans une petite ruelle au milieu de la ville, manifestement. D'un coup, il se laissa tomber à terre, surpris : il vient tout juste d'entendre des voix, des voix d'humains. Non sans vouloir chercher la source de ces paroles, Solaris s'enfuit à pattes dans la direction opposée. On lui avait compté diverses histoires en rapport avec la société humaine actuelle, devenue trop cartésienne. Certains prêtres et prêtresses lui ont raconté des histoires dans lesquelles les humains tuent ou torturent ce qu'ils ne peuvent comprendre... C'est pour ça que Solaris prit peur des humains terriens et que se faire exiler sur Terre pour une durée indéterminée l'inquiétait au plus haut point.
C'était la fin de journée, le soleil avait bien entamé sa descente dans le ciel, le teintant d'une douce couleur orangée. Les quelques personnes dans la rue rentraient du travail ou se baladaient, au choix ; il n'y avait pas d'individu particulièrement louche dans le coin. Quelques personnes se retournèrent en voyant un éclair orangé passé dans les environs. Légèrement stressé et perturbé, Solaris n'était pas en moyen de toutes ses facultés : il courrait tout en se téléportant, rendant sa cadence encore plus rapide. Hélas pour lui, sa chevelure ne passait pas inaperçue, laissant une légère gerbe de flammes derrière lui. Et je ne vous parle pas de ses cornes... Certain ne prononcèrent pas un mot mais n'en pensaient pas moins, d'autres poussèrent un cri, et d'autres plus vaillants prenaient des photos avec leur cellulaire.
La course de Solaris fut intense. Il sauta par-dessus une barrière sans – ou presque – efforts et ses pieds atterrirent sur de l'herbe. Notre protagoniste continua sa course et s'enfonça légèrement dans les bois, où il s'arrêta de courir, enfin. Malheureusement, sous le stress, il avait eu du mal à contenir ses flammes et presque chacun de ses pas furent marqués d'une trace de brûlé sur le sol, autant sur le bitume que sur l'herbe. Il ne fit pas attention à ce détail et le satyre continua à s'enfoncer dans les bois. Au passage, il se nourrit du peu de fruits qu'il trouva sur son passage.
Exténué, Solaris se laissa tomber à terre en poussant un soupir de soulagement. Il s'assit en tailleur et se saisit de sa flûte de Pan avec laquelle il commença à fredonner une petite mélodie simplounette. Que pouvait-il faire à part attendre ? Pas grand chose. C'était la première fois qu'il revenait sur Terre après tant de temps et il avait peur de ce qui pouvait lui arriver. C'est un satyre, il sait que les humains ne peuvent pas se défaire aussi facilement de lui, mais il n'y pouvait rien. Néanmoins la musique commençait à défaire son nœud à l'estomac, petit à petit il se détendait.
Solaris avait du mal à garder son sérieux. À ses côtés, deux ménades pouffaient de rire. Pourtant, Athéna n'avait pas l'air de trouver ça drôle. Le temple de la déité était parfaitement silencieux... Ce silence pesait dans cet endroit magnifique et solennel. Le satyre ne cherchait pas à défier l'autorité d'Athéna mais la situation cocasse dans laquelle ils l'avaient mise, lui et quelques uns de ses comparses, lui donnait encore le sourire. Pourtant, l'idée de mettre des laxatifs dans l'hydromel de la déesse n'était pas la sienne...
« J'ai dit : c'en est assez ! »
Entendre la déesse rugir fit sursauter Solaris qui se calma enfin. Les deux ménades à ses côtés se turent d'un coup, laissant apparaître sur le visage un air apeuré. Notre homme baissa la tête, les lèvres pincées et pourtant son regard toujours porté vers la déité. Il croisa ses bras dans son dos et de son pied nu il se mit à jouer avec un caillou imaginaire sur le sol de marbre. Il attendait sa punition, il ne pouvait rien faire d'autre dans cette situation. Et il ne valait mieux pas mettre Athéna en colère...
« Pour la peine, je t'envoie sur Terre le temps qu'il faudra. Je verrai avec Dionysos combien de temps durera ton séjour en-bas. Sur-ce, je te souhaite un bon voyage ! »
Solaris n'eut même pas le temps d’écarquiller les yeux qu'Athéna leva son épée et un éclair s'abattit sur lui.
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Légèrement sonné, le satyre ouvrit ses paupières lourdes. Il sentait sa peau chaude reposer sur quelque chose de froid. Sa tête tournait légèrement mais il reprit bien vite ses esprits. Nom de Zeus, il n'avait pas un tel souvenir du monde des Humains ! Par réflexe, il se téléporta à un mètre du sol, les mains sur sa tête. Mais quel est cet endroit...? Solaris tourna la tête à gauche, puis à droite. Personne pour le moment. Il se trouvait dans une petite ruelle au milieu de la ville, manifestement. D'un coup, il se laissa tomber à terre, surpris : il vient tout juste d'entendre des voix, des voix d'humains. Non sans vouloir chercher la source de ces paroles, Solaris s'enfuit à pattes dans la direction opposée. On lui avait compté diverses histoires en rapport avec la société humaine actuelle, devenue trop cartésienne. Certains prêtres et prêtresses lui ont raconté des histoires dans lesquelles les humains tuent ou torturent ce qu'ils ne peuvent comprendre... C'est pour ça que Solaris prit peur des humains terriens et que se faire exiler sur Terre pour une durée indéterminée l'inquiétait au plus haut point.
C'était la fin de journée, le soleil avait bien entamé sa descente dans le ciel, le teintant d'une douce couleur orangée. Les quelques personnes dans la rue rentraient du travail ou se baladaient, au choix ; il n'y avait pas d'individu particulièrement louche dans le coin. Quelques personnes se retournèrent en voyant un éclair orangé passé dans les environs. Légèrement stressé et perturbé, Solaris n'était pas en moyen de toutes ses facultés : il courrait tout en se téléportant, rendant sa cadence encore plus rapide. Hélas pour lui, sa chevelure ne passait pas inaperçue, laissant une légère gerbe de flammes derrière lui. Et je ne vous parle pas de ses cornes... Certain ne prononcèrent pas un mot mais n'en pensaient pas moins, d'autres poussèrent un cri, et d'autres plus vaillants prenaient des photos avec leur cellulaire.
La course de Solaris fut intense. Il sauta par-dessus une barrière sans – ou presque – efforts et ses pieds atterrirent sur de l'herbe. Notre protagoniste continua sa course et s'enfonça légèrement dans les bois, où il s'arrêta de courir, enfin. Malheureusement, sous le stress, il avait eu du mal à contenir ses flammes et presque chacun de ses pas furent marqués d'une trace de brûlé sur le sol, autant sur le bitume que sur l'herbe. Il ne fit pas attention à ce détail et le satyre continua à s'enfoncer dans les bois. Au passage, il se nourrit du peu de fruits qu'il trouva sur son passage.
Exténué, Solaris se laissa tomber à terre en poussant un soupir de soulagement. Il s'assit en tailleur et se saisit de sa flûte de Pan avec laquelle il commença à fredonner une petite mélodie simplounette. Que pouvait-il faire à part attendre ? Pas grand chose. C'était la première fois qu'il revenait sur Terre après tant de temps et il avait peur de ce qui pouvait lui arriver. C'est un satyre, il sait que les humains ne peuvent pas se défaire aussi facilement de lui, mais il n'y pouvait rien. Néanmoins la musique commençait à défaire son nœud à l'estomac, petit à petit il se détendait.
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Le coin du chalant / Re : Airpéééé, je veux airpéééé !
« le: mardi 21 août 2012, 20:07:56 »
Ny'up !
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Le coin du chalant / Airpéééé, je veux airpéééé !
« le: jeudi 16 août 2012, 16:55:05 »
Ma fiche : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=9274.0
J'accepte tout le monde, du moment que votre perso ou votre style d'écriture me plaît. Niveau longueur je ne suis pas difficile mais le moins de fautes possible serait le must :3 Je fais dans le social, voire le hentai (seulement si vous le désirez).
Trame 1 : Alors que vous vous baladez en forêt, une étrange lumière attire votre regard. Vous remarquez très vite que cette lumière vient... d'une chevelure particulière.
Trame 2 : Une grande fête est organisée dans un village. Vous décidez donc de vous y rendre. A priori, vous ne serez pas le seul curieux dans le coin. (n'oubliez pas que Solaris est en possession d'un chouette artefact pour les fêtes... à moins que si hentai il y a, vous préférez rester seul à seul !)
Trame 3 : On raconte que l'on peut parfois trouver des satyres dans les bois. Peut-être qu'aujourd'hui sera votre jour de chance et que vous réussirez à en capturer un...
Trame 4 : Solaris a encore fait diverses conneries... Les Dieux décident de le punir en l'envoyant sur Terre pour une durée indéterminée... (de préférence, j'aimerai qu'il atterrisse dans le Lycée)
Trame 5 : Fervent croyant, vous prenez notre satyre pour un démon à cause de ses cornes et de sa chevelure flamboyante. Comment allez-vous réagir ?
Ou si vous avez d'autres idées...
j'avoue, je suis un peu en rade d'idées !
J'accepte tout le monde, du moment que votre perso ou votre style d'écriture me plaît. Niveau longueur je ne suis pas difficile mais le moins de fautes possible serait le must :3 Je fais dans le social, voire le hentai (seulement si vous le désirez).
Trame 1 : Alors que vous vous baladez en forêt, une étrange lumière attire votre regard. Vous remarquez très vite que cette lumière vient... d'une chevelure particulière.
Trame 2 : Une grande fête est organisée dans un village. Vous décidez donc de vous y rendre. A priori, vous ne serez pas le seul curieux dans le coin. (n'oubliez pas que Solaris est en possession d'un chouette artefact pour les fêtes... à moins que si hentai il y a, vous préférez rester seul à seul !)
Trame 3 : On raconte que l'on peut parfois trouver des satyres dans les bois. Peut-être qu'aujourd'hui sera votre jour de chance et que vous réussirez à en capturer un...
Trame 4 : Solaris a encore fait diverses conneries... Les Dieux décident de le punir en l'envoyant sur Terre pour une durée indéterminée... (de préférence, j'aimerai qu'il atterrisse dans le Lycée)
Trame 5 : Fervent croyant, vous prenez notre satyre pour un démon à cause de ses cornes et de sa chevelure flamboyante. Comment allez-vous réagir ?
Ou si vous avez d'autres idées...
j'avoue, je suis un peu en rade d'idées !
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Prélude / Re : Un Satyre à la chevelure de flamme - { Validé }
« le: jeudi 16 août 2012, 15:54:42 »
Oh merci
À moi les jolies nymphes ! \^w^/
À moi les jolies nymphes ! \^w^/
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Prélude / Re : Un Satyre à la chevelure de flamme
« le: jeudi 16 août 2012, 11:33:16 »
Ah ben y'a intérêt que la température monte ! *s'agite dans tous les sens*
Merci à vous deux
Merci à vous deux
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Prélude / Re : Un Satyre à la chevelure de flamme
« le: mercredi 15 août 2012, 22:55:46 »
Eh bien merci à vous trois ! *fait une courbette*
*fait une courbette*
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Prélude / Un Satyre à la chevelure de flamme - { Validé }
« le: mercredi 15 août 2012, 21:23:00 »
N O M : Solaris Arisen, Alpha Arietis, Solarblaze Aries... Les appellations furent nombreuses.
 G E : Vieux, probablement.
S E X E : Mâââââle.
R A C E : Demi-Dieu, il est plus considéré comme un Satyre ou un Faune sur l'Olympe.
O R I E N T A T I O N : Pansexuel, pardi ! Une personne ne doit pas être réduite à son sexe.
E X P E R I E N C E : Expérimenté, voyons, vous êtes face à un satyre !
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(Cliquez pour agrandir les images !)
P H Y S I Q U E : Nous n'allons pas entrer dans les détails. Solaris est un grand homme atteignant sans peine le mètre 90. Sans être une bête de muscle, notre homme est plutôt bien fait : sa silhouette harmonieuse semble être elle-même taillée dans du marbre, si on omet sa peau dorée, hâlée. Une douce chaleur s'échappe de son corps imberbe, jeune et vigoureux, inchangé depuis les âges. Combien de personnes, de tout âge, de tout sexe, sont tombées sous le charme de cet éphèbe ? Faire le compte de toutes ces personnes serait une bien trop grande perte de temps. Uniquement vêtu d'un bête pagne en tissu (dissimulant un remarquable organe), on remarquera quelques marques noires sur le corps du Satyre : deux traits noirs partant du haut de son visage traversent ses pommettes et ses joues et se rejoignent au niveau de la pomme d'Adam. Une autre marque noire se trouve en-dessous de celle-ci. Deux autres descendent de ses épaules pour atteindre son torse, on en trouve d'autres partant de l'arrière de ses épaules pour zigzaguer jusqu'à ses coudes. On retrouve d'autres marques du genre sur ses jambes. Solaris porte aussi un simple collier fait de dents : ce fut un cadeau de l'un de ses amants du moment.
Malgré les années, le visage de notre Satyre reste inexorablement jeune. Jeune, et beau. Ses traits sont fins, légèrement androgynes. Avec quelques artifices, Solaris pourrait se travestir et être convaincant. Ses lèvres, légèrement fournies, affichent bien souvent un grand sourire communicatif. En remontant un peu plus haut, on peut voir ses yeux en amandes, d'un noir aussi profond que l'onyx. Ses yeux de biches sont ornés de longs cils noirs bien fournis, ce qui rend son regard intense et difficile à soutenir pour le commun des mortels (ou bien difficile de s'en détacher par sa beauté, au choix). D'épais sourcils bruns viennent s'ajouter à ce portrait, ainsi qu'une paire d'oreilles pointues telles celles des elfes, dont l'oreille droite est percée d'un anneau. Maintenant, passons au trait principal de Solaris : ses cheveux. Une épaisse chevelure faites de flammes solaires aux couleurs chaudes et chatoyantes. Tel le feu, celle-ci produit une douce lumière dans le noir ainsi qu'une douce chaleur : vous pouvez caresser cette toison sans prendre le risque de vous brûler. Au touché, cette chevelure a une texture très douce semblable à celle d'une magnifique chevelure bien entretenue, mais avec un côté onirique, un brin irréel. Cette épaisse chevelure est laissé à l'état naturel sur le dessus mais se natte à partir du bas du cou. Cette natte descendent aisément jusqu'à ses reins, virevoltant dans l'air tel un feu-follet. De cette chevelure s'extirpent deux énormes cornes de bouc ou de bélier, impossible de le savoir.
C A R A C T È R E : Malgré ses antécédents, Solaris est un homme bien. Bon vivant, très sociable, il est toujours de bonne humeur quelque soit l'occasion. Il est toujours prêt à rendre service gratuitement à quiconque le lui demande gentiment. Néanmoins, il reste une personne curieuse – même s'il ne sort pas souvent des temples de l'Olympe – voire casse-cou et un brin joueuse. C'est dans sa nature : il aime jouer des tours aux prêtres et prêtresses des Dieux Grecs. Malgré ça, il reste quelqu'un d'honnête, de juste et de loyal. Le Satyre est très têtu et quand il a une idée, il y tient : cela en va de même pour ses valeurs et ce qu'il est, il n'est pas quelqu'un que l'on peut changer du jour au lendemain. Même s'il est du genre à parler de façon familière avec ses « supérieurs », il ne respecte pas moins leur différence de statut. Solaris n'a jamais eu de réels soucis avec la supériorité divine. Ça, ce n'est que devant les Dieux, en réalité il est plutôt impulsif et démarre un peu trop souvent au quart de tour. C'est pourquoi beaucoup de situations dérapent en sa présence. Il a la mauvaise habitude d'agir avant de réfléchir, et comme notre protagoniste est le roi des « raisonnements à la con », ça n'aide pas. Oui, Solaris a fait énormément de choses stupides dans sa vie. C'est aussi un peu pour ça qu'il est connu sur l'Olympe... À force de faire l'imbécile avec ses pouvoirs, c'est normal que ça lui retombe dessus. M'enfin, cela ne le dérange pas vraiment, au contraire.
Solaris aime beaucoup de choses : la musique, l'alcool, les ébats passionnés, les arts du feu et la poésie (même les arts en général). C'est un homme très passionné et souvent émerveillé pour pas grand chose. Ses envies sont pourtant très changeantes, comme il peut très bien vouloir errer en solitaire dans des pleines s'étendant à perte de vue comme il peut vouloir passer sa journée à boire et faire la fête. C'est un satyre, ne l'oubliez pas, il reste quelqu'un de très fêtard et de très porté sur l'alcool. Solaris est aussi du genre à tomber amoureux trop facilement : il ne pourrait jamais se contenter d'un seul amour dans sa vie. Il est très facilement attiré par untel même s'il ne voit de la beauté que chez les personnes bonnes. C'est aussi quelqu'un de très porté sur le sexe, comme n'importe quel satyre mais contrairement à ses comparses, il sait un minimum contenir ses pulsions. À vrai dire, il n'a pas de préférence particulières, Solaris ne fait pas la différence entre les femmes et les hommes et il peut adopter bon nombre de rôles – et oui, il est super-polyvalent.
H I S T O I R E : Voilà une bien étrange histoire que nous avons là. Après avoir bien bu – et accessoirement vidé tout l'hydromel de la région, Silène, le premier satyre, lança un défi à son père, Pan. Celui-ci devait séduire le dieu Hélios afin d'empêcher le dit-Dieu d'apporter le jour, histoire de voir « ce qu'il se passerait » – une idée de con, je sais. Pan se changea en femme et s'en alla à la conquête de la Personnification du Soleil. Se faisant passer pour une nymphe, il réussi à attirer les faveurs du Dieu : Pan réussi à maintenir son déguisement juste assez longtemps pour que Hélios en oublie de mener le char du Soleil. Contrarié, il chassa la « nymphe » sans en découvrir sa véritable identité. Sur l'Olympe, les Dieux étaient furieux. Devaient-ils rejeter la faute sur Hélios ou sur cette illustre inconnue ? Peu de temps après, Silène, face à Athéna, cracha le morceau et dénonça son propre père, Pan. Zeus ne fut pas si étonné de voir que Pan était le coupable, dans cette histoire. Ainsi, le condamna uniquement à supporter la grossesse qu'il venait d'entamer sous forme de femme. Le Dieu Cornu fut obligé de garder cette forme féminine pendant dix mois, le temps qu'il lui faudrait avant de mettre bas.
Ainsi naquit Solaris, d'abord connu sous le nom de Alpha Arietis. L'enfant, ressemblant manifestement à ses deux pères, grandit bien vite. Rapidement deux cornes vinrent orner son front et une étrange chevelure de feu se fit voir. Zeus nomma une étoile sous le nom d'Alpha Arietis, justement à cause de cette chevelure lumineuse (on notera que cette étoile se trouve dans la constellation du Bélier). Même si la ressemblance était frappante, Hélios choisit de ne pas reconnaître son fils. De toute façon, tout le monde était au courant de cette petite histoire, sur l'Olympe. Rapidement, Pan cessa aussi de reconnaître son fils.
L'éducation de Solaris se fit dans les forêts d'Arcadie, avec d'autres satyres. Il y apprit le chant, la lyre, la harpe, et la flûte. Inutile de préciser que chaque jour était ponctué de copieux banquets où le vin coulait à flots – sans compter la « chasse » aux nymphes dans les bois. Cette vie d'allégresse plut très vite à notre protagoniste qui s'y adapta comme un poisson dans l'eau. Il découvrit bien vite quelques capacités qu'il a sans doute hérité de son père Hélios : une maîtrise du feu, mais pas n'importe quel feu : du feu solaire (je préciserai ses particularités plus tard). On respectait beaucoup Solaris pour ça, malgré son apparence un peu plus humaine que celle des autres satyres. Cela faisait son charme, on va dire ça comme ça. En tout cas, grâce à son apparence, il collectionna de nombreux amants : hommes, femmes, créatures diverses et inconnues... Solaris avait quand même son petit succès auprès des nymphes peuplant les forêts d'Arcadie. Parfois, avec ses amis satyres, ils allaient infester un village voisin pour transformer les lieux en une immense fête dérapant petit à petit vers une orgie. Un passe-temps habituel de satyre, moui.
Un beau jour, on ne sait pas quelle idée lui vint en tête, mais Solaris décida de voler la flûte de Pan à son possesseur. Mission dangereuse, qu'il réussit avec succès. Maintenant, il porte fièrement la flûte de Pan accroché à la lanière lui servant de ceinture. Bon, Solaris a depuis été obligé de se réfugier sur l'Olympe tant son père lui en veut... Mais cela en valait la peine, le voilà en possession de ce fameux artefact ! Notre satyre n'ose plus, depuis ce jour, mettre un pied dans les forêts d'Arcadie de peur de tomber sur son père fou de rage. Depuis, il passe son temps avec les ménades et d'autres nymphes dans le temple de Dionysos. Il lui arrive de descendre de l'Olympe, de temps à autre, histoire de taquiner un peu les mortels. Il aime descendre dans les petits villages terrans afin de boire, faire la fête et forniquer. Solaris ne se lasse pas de ses petits plaisirs !
A U T R E S :
La flûte de Pan : Voici la première flûte de Pan à avoir jamais existé. À première vue, c'est une flûte tout à fait banale, à un détail près. Quand on joue de cette flûte, toutes les personnes sur un rayon de 10m sont prises d'une forte envie de faire l'amour. L'effet dur jusqu'à ce que tous les désirs dans cette zone soient assouvis. Cela peut être plutôt rapide comme cela peut durer des jours, cela dépend des personnes présentes. Une mélodie d'une petite dizaine de minute permet d'initier cet effet.
Le Feu d'Hélios : Solaris peut contrôler le feu solaire. Celui-ci ne s'éteint pas par des moyens conventionnels comme de l'eau ou un vulgaire extincteur... Enfin, si, mais cela nécessite beaucoup plus de matière que pour du feu normal car en temps normal, seul le temps peut avoir raison de ce feu. Le feu solaire est d'une lueur plus dorée que son cousin. Grâce à ce feu, Solaris peut aussi produire des boules de feu, produire des flammes via ses poings, mais la nature de ce feu fait que ses effets seront bien plus puissants. Néanmoins, il ne peut utiliser pleinement ses pouvoirs que lors des jours ensoleillés (donc c'est pas en Bretagne qu'il fera le plus grand mal...). La nuit, il peut éventuellement produire une petite flammèche grâce à la lumière des étoiles. En effet, Solaris tient ses pouvoirs de la lumière des astres tels le Soleil ou les étoiles. Après un accord passé avec les Dieux, il n'a pas le droit d'utiliser ses pouvoirs sur l'Olympe.
Chaleur éternelle : Grâce à la capacité sus-cité, il est impossible pour Solaris d'avoir froid, même à oilpé sur la banquise. Une douce chaleur s'échappe de son corps en toute circonstance.
Feu-follet : Solaris peut s'élever à quelques mètres au-dessus du sol (pas plus haut que deux mètres de haut). Il peut planer et virevolter dans tous les sens. Sa vitesse dans les airs ne peut excéder sa vitesse sur terre.
Vitesse de la pensée : Solaris peut se téléporter, tout simplement. Il n'a aucune limite, si ce n'est celles du divin. Il ne peut pas non plus se téléporter dans un endroit où il n'a pas été invité (la demeure d'autrui, par exemple). Il ne peut pas non plus se téléporter sur un autre plan. Néanmoins trop se téléporter dans la journée le fatigue très rapidement.
Le Chant du Satyre : À l'instar des Dieux, on peut invoquer des satyres. Cela est moins courant, mais c'est tout à fait possible. Les satyres peuvent venir à plusieurs, ou seul. On les invoque les jours de grandes fêtes, en général. Souvent, c'est Solaris le plus rapide à répondre à l'appel.
Solarblaze Aries : Solaris peut adopter une autre forme : celle d'un bouc fait de feu. Il est extrêmement rapide sous cette forme et je vous déconseille de vouloir le chasser sous cette forme, ou vous risquez de vous brûler les doigts... Il ne peut adopter cette forme que si les conditions météorologiques le permettent (grand soleil, donc).
Je suis désolé, ma fiche est bâclée... Mais je ne suis pas doué pour ça ! Patapé ! é___è
 G E : Vieux, probablement.
S E X E : Mâââââle.
R A C E : Demi-Dieu, il est plus considéré comme un Satyre ou un Faune sur l'Olympe.
O R I E N T A T I O N : Pansexuel, pardi ! Une personne ne doit pas être réduite à son sexe.
E X P E R I E N C E : Expérimenté, voyons, vous êtes face à un satyre !
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(Cliquez pour agrandir les images !)
P H Y S I Q U E : Nous n'allons pas entrer dans les détails. Solaris est un grand homme atteignant sans peine le mètre 90. Sans être une bête de muscle, notre homme est plutôt bien fait : sa silhouette harmonieuse semble être elle-même taillée dans du marbre, si on omet sa peau dorée, hâlée. Une douce chaleur s'échappe de son corps imberbe, jeune et vigoureux, inchangé depuis les âges. Combien de personnes, de tout âge, de tout sexe, sont tombées sous le charme de cet éphèbe ? Faire le compte de toutes ces personnes serait une bien trop grande perte de temps. Uniquement vêtu d'un bête pagne en tissu (dissimulant un remarquable organe), on remarquera quelques marques noires sur le corps du Satyre : deux traits noirs partant du haut de son visage traversent ses pommettes et ses joues et se rejoignent au niveau de la pomme d'Adam. Une autre marque noire se trouve en-dessous de celle-ci. Deux autres descendent de ses épaules pour atteindre son torse, on en trouve d'autres partant de l'arrière de ses épaules pour zigzaguer jusqu'à ses coudes. On retrouve d'autres marques du genre sur ses jambes. Solaris porte aussi un simple collier fait de dents : ce fut un cadeau de l'un de ses amants du moment.
Malgré les années, le visage de notre Satyre reste inexorablement jeune. Jeune, et beau. Ses traits sont fins, légèrement androgynes. Avec quelques artifices, Solaris pourrait se travestir et être convaincant. Ses lèvres, légèrement fournies, affichent bien souvent un grand sourire communicatif. En remontant un peu plus haut, on peut voir ses yeux en amandes, d'un noir aussi profond que l'onyx. Ses yeux de biches sont ornés de longs cils noirs bien fournis, ce qui rend son regard intense et difficile à soutenir pour le commun des mortels (ou bien difficile de s'en détacher par sa beauté, au choix). D'épais sourcils bruns viennent s'ajouter à ce portrait, ainsi qu'une paire d'oreilles pointues telles celles des elfes, dont l'oreille droite est percée d'un anneau. Maintenant, passons au trait principal de Solaris : ses cheveux. Une épaisse chevelure faites de flammes solaires aux couleurs chaudes et chatoyantes. Tel le feu, celle-ci produit une douce lumière dans le noir ainsi qu'une douce chaleur : vous pouvez caresser cette toison sans prendre le risque de vous brûler. Au touché, cette chevelure a une texture très douce semblable à celle d'une magnifique chevelure bien entretenue, mais avec un côté onirique, un brin irréel. Cette épaisse chevelure est laissé à l'état naturel sur le dessus mais se natte à partir du bas du cou. Cette natte descendent aisément jusqu'à ses reins, virevoltant dans l'air tel un feu-follet. De cette chevelure s'extirpent deux énormes cornes de bouc ou de bélier, impossible de le savoir.
C A R A C T È R E : Malgré ses antécédents, Solaris est un homme bien. Bon vivant, très sociable, il est toujours de bonne humeur quelque soit l'occasion. Il est toujours prêt à rendre service gratuitement à quiconque le lui demande gentiment. Néanmoins, il reste une personne curieuse – même s'il ne sort pas souvent des temples de l'Olympe – voire casse-cou et un brin joueuse. C'est dans sa nature : il aime jouer des tours aux prêtres et prêtresses des Dieux Grecs. Malgré ça, il reste quelqu'un d'honnête, de juste et de loyal. Le Satyre est très têtu et quand il a une idée, il y tient : cela en va de même pour ses valeurs et ce qu'il est, il n'est pas quelqu'un que l'on peut changer du jour au lendemain. Même s'il est du genre à parler de façon familière avec ses « supérieurs », il ne respecte pas moins leur différence de statut. Solaris n'a jamais eu de réels soucis avec la supériorité divine. Ça, ce n'est que devant les Dieux, en réalité il est plutôt impulsif et démarre un peu trop souvent au quart de tour. C'est pourquoi beaucoup de situations dérapent en sa présence. Il a la mauvaise habitude d'agir avant de réfléchir, et comme notre protagoniste est le roi des « raisonnements à la con », ça n'aide pas. Oui, Solaris a fait énormément de choses stupides dans sa vie. C'est aussi un peu pour ça qu'il est connu sur l'Olympe... À force de faire l'imbécile avec ses pouvoirs, c'est normal que ça lui retombe dessus. M'enfin, cela ne le dérange pas vraiment, au contraire.
Solaris aime beaucoup de choses : la musique, l'alcool, les ébats passionnés, les arts du feu et la poésie (même les arts en général). C'est un homme très passionné et souvent émerveillé pour pas grand chose. Ses envies sont pourtant très changeantes, comme il peut très bien vouloir errer en solitaire dans des pleines s'étendant à perte de vue comme il peut vouloir passer sa journée à boire et faire la fête. C'est un satyre, ne l'oubliez pas, il reste quelqu'un de très fêtard et de très porté sur l'alcool. Solaris est aussi du genre à tomber amoureux trop facilement : il ne pourrait jamais se contenter d'un seul amour dans sa vie. Il est très facilement attiré par untel même s'il ne voit de la beauté que chez les personnes bonnes. C'est aussi quelqu'un de très porté sur le sexe, comme n'importe quel satyre mais contrairement à ses comparses, il sait un minimum contenir ses pulsions. À vrai dire, il n'a pas de préférence particulières, Solaris ne fait pas la différence entre les femmes et les hommes et il peut adopter bon nombre de rôles – et oui, il est super-polyvalent.
H I S T O I R E : Voilà une bien étrange histoire que nous avons là. Après avoir bien bu – et accessoirement vidé tout l'hydromel de la région, Silène, le premier satyre, lança un défi à son père, Pan. Celui-ci devait séduire le dieu Hélios afin d'empêcher le dit-Dieu d'apporter le jour, histoire de voir « ce qu'il se passerait » – une idée de con, je sais. Pan se changea en femme et s'en alla à la conquête de la Personnification du Soleil. Se faisant passer pour une nymphe, il réussi à attirer les faveurs du Dieu : Pan réussi à maintenir son déguisement juste assez longtemps pour que Hélios en oublie de mener le char du Soleil. Contrarié, il chassa la « nymphe » sans en découvrir sa véritable identité. Sur l'Olympe, les Dieux étaient furieux. Devaient-ils rejeter la faute sur Hélios ou sur cette illustre inconnue ? Peu de temps après, Silène, face à Athéna, cracha le morceau et dénonça son propre père, Pan. Zeus ne fut pas si étonné de voir que Pan était le coupable, dans cette histoire. Ainsi, le condamna uniquement à supporter la grossesse qu'il venait d'entamer sous forme de femme. Le Dieu Cornu fut obligé de garder cette forme féminine pendant dix mois, le temps qu'il lui faudrait avant de mettre bas.
Ainsi naquit Solaris, d'abord connu sous le nom de Alpha Arietis. L'enfant, ressemblant manifestement à ses deux pères, grandit bien vite. Rapidement deux cornes vinrent orner son front et une étrange chevelure de feu se fit voir. Zeus nomma une étoile sous le nom d'Alpha Arietis, justement à cause de cette chevelure lumineuse (on notera que cette étoile se trouve dans la constellation du Bélier). Même si la ressemblance était frappante, Hélios choisit de ne pas reconnaître son fils. De toute façon, tout le monde était au courant de cette petite histoire, sur l'Olympe. Rapidement, Pan cessa aussi de reconnaître son fils.
L'éducation de Solaris se fit dans les forêts d'Arcadie, avec d'autres satyres. Il y apprit le chant, la lyre, la harpe, et la flûte. Inutile de préciser que chaque jour était ponctué de copieux banquets où le vin coulait à flots – sans compter la « chasse » aux nymphes dans les bois. Cette vie d'allégresse plut très vite à notre protagoniste qui s'y adapta comme un poisson dans l'eau. Il découvrit bien vite quelques capacités qu'il a sans doute hérité de son père Hélios : une maîtrise du feu, mais pas n'importe quel feu : du feu solaire (je préciserai ses particularités plus tard). On respectait beaucoup Solaris pour ça, malgré son apparence un peu plus humaine que celle des autres satyres. Cela faisait son charme, on va dire ça comme ça. En tout cas, grâce à son apparence, il collectionna de nombreux amants : hommes, femmes, créatures diverses et inconnues... Solaris avait quand même son petit succès auprès des nymphes peuplant les forêts d'Arcadie. Parfois, avec ses amis satyres, ils allaient infester un village voisin pour transformer les lieux en une immense fête dérapant petit à petit vers une orgie. Un passe-temps habituel de satyre, moui.
Un beau jour, on ne sait pas quelle idée lui vint en tête, mais Solaris décida de voler la flûte de Pan à son possesseur. Mission dangereuse, qu'il réussit avec succès. Maintenant, il porte fièrement la flûte de Pan accroché à la lanière lui servant de ceinture. Bon, Solaris a depuis été obligé de se réfugier sur l'Olympe tant son père lui en veut... Mais cela en valait la peine, le voilà en possession de ce fameux artefact ! Notre satyre n'ose plus, depuis ce jour, mettre un pied dans les forêts d'Arcadie de peur de tomber sur son père fou de rage. Depuis, il passe son temps avec les ménades et d'autres nymphes dans le temple de Dionysos. Il lui arrive de descendre de l'Olympe, de temps à autre, histoire de taquiner un peu les mortels. Il aime descendre dans les petits villages terrans afin de boire, faire la fête et forniquer. Solaris ne se lasse pas de ses petits plaisirs !
A U T R E S :
La flûte de Pan : Voici la première flûte de Pan à avoir jamais existé. À première vue, c'est une flûte tout à fait banale, à un détail près. Quand on joue de cette flûte, toutes les personnes sur un rayon de 10m sont prises d'une forte envie de faire l'amour. L'effet dur jusqu'à ce que tous les désirs dans cette zone soient assouvis. Cela peut être plutôt rapide comme cela peut durer des jours, cela dépend des personnes présentes. Une mélodie d'une petite dizaine de minute permet d'initier cet effet.
Le Feu d'Hélios : Solaris peut contrôler le feu solaire. Celui-ci ne s'éteint pas par des moyens conventionnels comme de l'eau ou un vulgaire extincteur... Enfin, si, mais cela nécessite beaucoup plus de matière que pour du feu normal car en temps normal, seul le temps peut avoir raison de ce feu. Le feu solaire est d'une lueur plus dorée que son cousin. Grâce à ce feu, Solaris peut aussi produire des boules de feu, produire des flammes via ses poings, mais la nature de ce feu fait que ses effets seront bien plus puissants. Néanmoins, il ne peut utiliser pleinement ses pouvoirs que lors des jours ensoleillés (donc c'est pas en Bretagne qu'il fera le plus grand mal...). La nuit, il peut éventuellement produire une petite flammèche grâce à la lumière des étoiles. En effet, Solaris tient ses pouvoirs de la lumière des astres tels le Soleil ou les étoiles. Après un accord passé avec les Dieux, il n'a pas le droit d'utiliser ses pouvoirs sur l'Olympe.
Chaleur éternelle : Grâce à la capacité sus-cité, il est impossible pour Solaris d'avoir froid, même à oilpé sur la banquise. Une douce chaleur s'échappe de son corps en toute circonstance.
Feu-follet : Solaris peut s'élever à quelques mètres au-dessus du sol (pas plus haut que deux mètres de haut). Il peut planer et virevolter dans tous les sens. Sa vitesse dans les airs ne peut excéder sa vitesse sur terre.
Vitesse de la pensée : Solaris peut se téléporter, tout simplement. Il n'a aucune limite, si ce n'est celles du divin. Il ne peut pas non plus se téléporter dans un endroit où il n'a pas été invité (la demeure d'autrui, par exemple). Il ne peut pas non plus se téléporter sur un autre plan. Néanmoins trop se téléporter dans la journée le fatigue très rapidement.
Le Chant du Satyre : À l'instar des Dieux, on peut invoquer des satyres. Cela est moins courant, mais c'est tout à fait possible. Les satyres peuvent venir à plusieurs, ou seul. On les invoque les jours de grandes fêtes, en général. Souvent, c'est Solaris le plus rapide à répondre à l'appel.
Solarblaze Aries : Solaris peut adopter une autre forme : celle d'un bouc fait de feu. Il est extrêmement rapide sous cette forme et je vous déconseille de vouloir le chasser sous cette forme, ou vous risquez de vous brûler les doigts... Il ne peut adopter cette forme que si les conditions météorologiques le permettent (grand soleil, donc).
Je suis désolé, ma fiche est bâclée... Mais je ne suis pas doué pour ça ! Patapé ! é___è
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