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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 19 mai 2013, 10:59:14 »
Dix heures 55 ~ après une semaine rude, place a quelques jours de détente. Rp, mais seulement demain !
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Les alentours de la ville / Re : « Holy » Night. (Gabriel)
« le: jeudi 09 mai 2013, 22:54:52 »
Attendant mon verre, je fis le tour du bar du regard. Quelques spécimens intéressants étaient en vue, mais rien de bien transcendant. En même temps, si je me rapporte à Clark sans cesse, peu d’homme lui arrivent à la cheville. Il y avait bien eu ce… Cette sorte de « sosie » de Clark, une fois. Sentinel Prime qu’il s’appelait. Mais, évidemment, je ne risque pas d’en croiser des masses si je ne me base que sur ces critères-là.
Soupirant doucement, je chassais les collants rouges et bleus, la tignasse brune et le regard océan de mon esprit pour reprendre mon inventaire. Juste à temps. Un blond, à l’air plutôt très bien, se posta près de moi. Je souris discrètement en humant la fragrance qu’il dégageait. C’était un parfum de mâle ça. Pas une eau de Cologne à prix exorbitant pour tapette de la haute. Quoique je n’aie rien contre les gays en général. Plutôt contre ceux qui se croient obliger d’acheter des produits hors de prix, pour montrer leur richesse.
La voix de cet inconnu à mes côtés était d’autant plus séduisante que son odeur et son apparence. Mais il commandait un Whisky. Ce n’est pas ma tasse de thé je dois dire. Le thé non plus, par ailleurs…
- Sunrise, oui. J’aime ces couleurs chaleureuses.
Tournant la tête pour l’observer plus attentivement, je fus saisie par son regard. God. Je dois avouer avoir un faible pour les yeux bleus. Et du coup, pour ce charmant inconnu à mes côtés, à présent. Son tee-shirt me tira un sourire. Il le moulait parfaitement, en plus.
- Sympa le tee-shirt.
Après une gorgée de mon verre, je repris la parole :
- Vous êtes un policier ? Ou juste un client lambda de ce bar ?
Soupirant doucement, je chassais les collants rouges et bleus, la tignasse brune et le regard océan de mon esprit pour reprendre mon inventaire. Juste à temps. Un blond, à l’air plutôt très bien, se posta près de moi. Je souris discrètement en humant la fragrance qu’il dégageait. C’était un parfum de mâle ça. Pas une eau de Cologne à prix exorbitant pour tapette de la haute. Quoique je n’aie rien contre les gays en général. Plutôt contre ceux qui se croient obliger d’acheter des produits hors de prix, pour montrer leur richesse.
La voix de cet inconnu à mes côtés était d’autant plus séduisante que son odeur et son apparence. Mais il commandait un Whisky. Ce n’est pas ma tasse de thé je dois dire. Le thé non plus, par ailleurs…
- Sunrise, oui. J’aime ces couleurs chaleureuses.
Tournant la tête pour l’observer plus attentivement, je fus saisie par son regard. God. Je dois avouer avoir un faible pour les yeux bleus. Et du coup, pour ce charmant inconnu à mes côtés, à présent. Son tee-shirt me tira un sourire. Il le moulait parfaitement, en plus.
- Sympa le tee-shirt.
Après une gorgée de mon verre, je repris la parole :
- Vous êtes un policier ? Ou juste un client lambda de ce bar ?
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Le coin du chalant / Re : Les articles de Loïs.
« le: mercredi 08 mai 2013, 20:32:45 »- RP → Abandonné → Encore un héros (Sentinel Prime).
- RP → Abandonné → Speed-Hiring (Spiderman).
- RP → Actif → Le reportage du siècle (Iron Girl & Co.).
- RP → Actif → « Holy » Night. (Gabriel Valmy).
- RP → Actif → Plus haut on est, plus dure est la chute. (Adramalech)
- [#url=Lien du sujet]RP[/url] → [color=#?]État[/color] → Titre (PV).
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Les alentours de la ville / Plus haut on est, plus dure est la chute. (Adramalech)
« le: mercredi 08 mai 2013, 20:23:31 »
Les hommes puissants étaient quand même de sacrés connards. Bon nombre d’entre eux étaient pourris jusqu’aux os. La plupart trempaient dans des pots de vins, des magouilles politiques et autres petits crimes agaçants. Certains, aussi, faisaient du trafic d’armes ou de drogues. Mais les pires, c’étaient ceux qui faisaient du trafic d’être humains. Et particulièrement, de jeunes femmes innocentes et naïves qui étaient ensuite vendues à des réseaux de prostitution malsains.
Je n’ai rien contre la prostitution en elle-même, tant que les femmes ont les mêmes droits que dans une autre profession. Si elles sont protégées, qu’elles ont une assurance santé et tout, et qu’elles l’ont choisi (surtout !), ça me va. Mais si elles sont gérées par un mac sans pitié qui les exploite sans vergognes, si elles sont forcées de se prostituer, alors là, ça ne passe plus.
Et c’est sur quoi je bosse actuellement. Un vilain trafic d’être humains femelles que je compte démanteler. Et je compte bien faire tomber celui qui est à sa tête.
En l’espace de trois semaines, quinze jeunes filles entre 16 et 23 ans ont été portées disparues. Ma source, dans la police, me l’a confirmé. La veille de leur disparition, ces jeunes filles avaient toutes en commun une seule chose. Elles avaient reçu un carton d’invitation pour « La Nuit De Toutes Les Débauches ». Une fête, une rave-party, censée se dérouler dans les docks. Mais aucune fête n’y avait été donnée. Et on a retrouvé, pour les quinze disparues, quelque chose leur appartenant qui traînait sur les bords du quai.
Avec un peu de persévérances, j’ai pu obtenir des informations sur les petits cartons d’invitations qu’elles avaient reçus. Ils avaient été imprimés par l’entreprise d’un des plus puissants hommes de cette ville. Et c’est là que j’allais commencer mon enquête.
Déterminée, et habillée en secrétaire modèle, j’arrivais dans le hall. Discrètement, je piquais le badge d’un des séduisants vigils qui gardaient l’entrée, pendant que je flirtais avec lui. Et je me dépêchais d’entrer, de passer les sécurités, pour pouvoir monter au dernier étage. Normalement, je devrais pouvoir trouver mon homme là-bas.
Je n’ai rien contre la prostitution en elle-même, tant que les femmes ont les mêmes droits que dans une autre profession. Si elles sont protégées, qu’elles ont une assurance santé et tout, et qu’elles l’ont choisi (surtout !), ça me va. Mais si elles sont gérées par un mac sans pitié qui les exploite sans vergognes, si elles sont forcées de se prostituer, alors là, ça ne passe plus.
Et c’est sur quoi je bosse actuellement. Un vilain trafic d’être humains femelles que je compte démanteler. Et je compte bien faire tomber celui qui est à sa tête.
En l’espace de trois semaines, quinze jeunes filles entre 16 et 23 ans ont été portées disparues. Ma source, dans la police, me l’a confirmé. La veille de leur disparition, ces jeunes filles avaient toutes en commun une seule chose. Elles avaient reçu un carton d’invitation pour « La Nuit De Toutes Les Débauches ». Une fête, une rave-party, censée se dérouler dans les docks. Mais aucune fête n’y avait été donnée. Et on a retrouvé, pour les quinze disparues, quelque chose leur appartenant qui traînait sur les bords du quai.
Avec un peu de persévérances, j’ai pu obtenir des informations sur les petits cartons d’invitations qu’elles avaient reçus. Ils avaient été imprimés par l’entreprise d’un des plus puissants hommes de cette ville. Et c’est là que j’allais commencer mon enquête.
Déterminée, et habillée en secrétaire modèle, j’arrivais dans le hall. Discrètement, je piquais le badge d’un des séduisants vigils qui gardaient l’entrée, pendant que je flirtais avec lui. Et je me dépêchais d’entrer, de passer les sécurités, pour pouvoir monter au dernier étage. Normalement, je devrais pouvoir trouver mon homme là-bas.
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Les alentours de la ville / « Holy » Night. (Gabriel)
« le: mercredi 08 mai 2013, 20:22:54 »
Seïkusu by Night, mon eau de parfum favorite. Après m’en être vaporisée quelques jets, je m’observais dans le miroir.
Si je devais être critique, je dirais que j’étais un peu trop… Hors du commun. Je n’étais pas sortie depuis longtemps, alors je ne savais pas trop quoi mettre pour me remettre à la drague. Je portais une courte robe blanche, mettant mon teint et mes cheveux en valeur. Mais je crois que le rouge à lèvres Maxi-Red ne va pas dans ce cas-là. On dirait une prostituée. Je vais plutôt mettre Sweet Autumn . Oui, voilà. Il me va mieux.
Ma crinière est domptée pour une fois, en un queue de cheval qui chatouille ma nuque et mes omoplates. Ma robe ayant un décolleté en V à la fois devant et derrière… Par-devant, la coupure du décolleté s’arrête entre mon nombril et ma poitrine, mettant celle-ci en valeur sans vulgarité. Dans le dos, par contre, il descend jusqu’au creux de mes reins. Il dévoile même un peu la naissance de mes fesses. Heureusement, je n’ai pas mis de collant.
J’ai privilégié les bas. Plus discrets, et plus sexy aussi.
Avec ceci, j’ai joint une paire d’escarpin aussi blancs que ma robe, et ouverts sur le dessus. Un effet « lacé » est donné sur le dessus, mais globalement, ils sont ouverts.
Satisfaite, -enfin !-, je sors de chez moi avec une veste en cuir noir sur le dos et une pochette d’un blanc pailleté à la main.
Pas besoin de prendre la voiture, j’habite à deux rues du bar où je me rends.
Sans plus tergiverser, je marche un peu moins de dix minutes, et j’arrive devant le bar. Festi’bar était ouvert depuis vingt-et-une heure. Et il est… Ah putain, quand même ! Il est vingt-trois heures. Heureusement qu’ils ouvrent jusqu’à six heures, cette nuit. Je crois même qu’ils accueillent un truc du genre pot de départ d’un fonctionnaire ou quelque chose comme ça.
… Un fonctionnaire de police, même, vu tous les uniformes qu’il y a dans le bar quand je rendre. Amusant. Je vais peut-être trouver quelqu’un de sympa avec qui passer du bon temps.
- Une Vodka s’il vous plaît. Avec de la grenadine et du jus d’orange.
Pour faire une sorte de vodka-sunrise. Je m’assois au bar, attendant ma conso, et retirant ma veste pour la poser sur mes genoux.
Si je devais être critique, je dirais que j’étais un peu trop… Hors du commun. Je n’étais pas sortie depuis longtemps, alors je ne savais pas trop quoi mettre pour me remettre à la drague. Je portais une courte robe blanche, mettant mon teint et mes cheveux en valeur. Mais je crois que le rouge à lèvres Maxi-Red ne va pas dans ce cas-là. On dirait une prostituée. Je vais plutôt mettre Sweet Autumn . Oui, voilà. Il me va mieux.
Ma crinière est domptée pour une fois, en un queue de cheval qui chatouille ma nuque et mes omoplates. Ma robe ayant un décolleté en V à la fois devant et derrière… Par-devant, la coupure du décolleté s’arrête entre mon nombril et ma poitrine, mettant celle-ci en valeur sans vulgarité. Dans le dos, par contre, il descend jusqu’au creux de mes reins. Il dévoile même un peu la naissance de mes fesses. Heureusement, je n’ai pas mis de collant.
J’ai privilégié les bas. Plus discrets, et plus sexy aussi.
Avec ceci, j’ai joint une paire d’escarpin aussi blancs que ma robe, et ouverts sur le dessus. Un effet « lacé » est donné sur le dessus, mais globalement, ils sont ouverts.
Satisfaite, -enfin !-, je sors de chez moi avec une veste en cuir noir sur le dos et une pochette d’un blanc pailleté à la main.
Pas besoin de prendre la voiture, j’habite à deux rues du bar où je me rends.
Sans plus tergiverser, je marche un peu moins de dix minutes, et j’arrive devant le bar. Festi’bar était ouvert depuis vingt-et-une heure. Et il est… Ah putain, quand même ! Il est vingt-trois heures. Heureusement qu’ils ouvrent jusqu’à six heures, cette nuit. Je crois même qu’ils accueillent un truc du genre pot de départ d’un fonctionnaire ou quelque chose comme ça.
… Un fonctionnaire de police, même, vu tous les uniformes qu’il y a dans le bar quand je rendre. Amusant. Je vais peut-être trouver quelqu’un de sympa avec qui passer du bon temps.
- Une Vodka s’il vous plaît. Avec de la grenadine et du jus d’orange.
Pour faire une sorte de vodka-sunrise. Je m’assois au bar, attendant ma conso, et retirant ma veste pour la poser sur mes genoux.
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Les alentours de la ville / Re : Le reportage du siècle [Loïs Lane]
« le: mercredi 08 mai 2013, 20:19:42 »
Cette loi, visant à recenser les super-héros… J’en avais entendu parler. Et pas que, d’ailleurs. Cette loi avait fait pas mal de bruit à Metropolis. Certains de mes amis en avaient pâtis. Ils ne m’en ont pas parlé, les lâches. Mais Chloé, si. Et je n’ai jamais abordé le sujet avec Clark non plus. Il gérait sa vie de Super comme il le sentait. Du moment qu’il gérait aussi sa vie personnelle pour ne pas m’oublier… Mais tout est fini à présent. Entre Clark et moi, et aussi entre Metropolis et moi. Je ne compte pas y retourner. J’ai ma place à Seïkusu à présent. Je suis une journaliste mondialement reconnue en plus, et je n’ai plus besoin de Clark.
Bon. J’ai p’tet un peu décroché du discours de l’agent Lloyd. C’est dommage, parce qu’il n’est pas moche en plus.
Non, chut Loïs, boucle tes hormones.
On était presque arrivés. Un regard par la fenêtre m’informa qu’on arrivait en effet à la base.
- Ne vous excusez pas, agent Lloyd. Personne n’aime vraiment quand les journalistes viennent se mêler de leurs affaires.
Et je suis sincèrement flatté qu’un homme comme lui apprécie mes articles. Il ne doit pas y avoir beaucoup de gens qui comprennent que moi, au moins, je ne fais pas dans l’exagération et les potins. Ce que j’écris dans mes articles est la stricte vérité, sans aucun fard. Peu m’importe que des hommes puissants perdent leurs places. Ils n’ont qu’à être fidèles à leur femme et à leur pays. Et ne pas faire de magouilles bizarres dans le dos de leurs électeurs.
- Je vous promets que chacune de mes publications passera par vous. Je comprends que le gouvernement ne souhaite pas laisser passer des informations qui puissent être erronées. Ou exagérées.
… Ou des informations trop sensibles… Mais je ne pense pas que ça sera le cas. On ne me censurera pas. On m’a, après tout, expressément demander de mener ce reportage. Il fallait rassurer la population. Et le Seïkusu Mag’ m’avait élue « Journaliste la plus appréciée au japon » depuis que je suis arrivée. Ma côte de popularité est énorme. Tout ce que je dis fait office de parole d’évangile pour certains. Ainsi, l’information sera mieux accueillie venant de moi que si elle émanait de l’un ou l’une de mes confrères/consœurs/rival(e).
- Je serais enchantée de rencontrer Mlle Hawkes dès maintenant. J’aurais amplement le temps de visiter la base un autre jour. Et puis, une base est une base, non ? Elle ne doit pas être tellement différente de celle où j’allais rendre visite à mon père.
Loïs, ta gueule.
Je sais, je parle beaucoup. Je suis peut-être un peu nerveuse. C’est une lourde responsabilité qui m’est confiée après tout.
- Vous m’y conduisez, agent Lloyd ?
Voilà. Souris au gentil monsieur !
Bon. J’ai p’tet un peu décroché du discours de l’agent Lloyd. C’est dommage, parce qu’il n’est pas moche en plus.
Non, chut Loïs, boucle tes hormones.
On était presque arrivés. Un regard par la fenêtre m’informa qu’on arrivait en effet à la base.
- Ne vous excusez pas, agent Lloyd. Personne n’aime vraiment quand les journalistes viennent se mêler de leurs affaires.
Et je suis sincèrement flatté qu’un homme comme lui apprécie mes articles. Il ne doit pas y avoir beaucoup de gens qui comprennent que moi, au moins, je ne fais pas dans l’exagération et les potins. Ce que j’écris dans mes articles est la stricte vérité, sans aucun fard. Peu m’importe que des hommes puissants perdent leurs places. Ils n’ont qu’à être fidèles à leur femme et à leur pays. Et ne pas faire de magouilles bizarres dans le dos de leurs électeurs.
- Je vous promets que chacune de mes publications passera par vous. Je comprends que le gouvernement ne souhaite pas laisser passer des informations qui puissent être erronées. Ou exagérées.
… Ou des informations trop sensibles… Mais je ne pense pas que ça sera le cas. On ne me censurera pas. On m’a, après tout, expressément demander de mener ce reportage. Il fallait rassurer la population. Et le Seïkusu Mag’ m’avait élue « Journaliste la plus appréciée au japon » depuis que je suis arrivée. Ma côte de popularité est énorme. Tout ce que je dis fait office de parole d’évangile pour certains. Ainsi, l’information sera mieux accueillie venant de moi que si elle émanait de l’un ou l’une de mes confrères/consœurs/rival(e).
- Je serais enchantée de rencontrer Mlle Hawkes dès maintenant. J’aurais amplement le temps de visiter la base un autre jour. Et puis, une base est une base, non ? Elle ne doit pas être tellement différente de celle où j’allais rendre visite à mon père.
Loïs, ta gueule.
Je sais, je parle beaucoup. Je suis peut-être un peu nerveuse. C’est une lourde responsabilité qui m’est confiée après tout.
- Vous m’y conduisez, agent Lloyd ?
Voilà. Souris au gentil monsieur !
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 06 mai 2013, 00:59:19 »
Une heure 00 ~ Bon, ben en fait, ça s'est fini en apéro et barbec' chez un pote. Et vu que je bosse demain... Au dodo !
Bonne nuit mes p'tits loups ♥
Bonne nuit mes p'tits loups ♥
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:54:14 »
Dix-sept heure 54 ~ Marché conclu Enora 
Bon, par contre, il faut que j'aille chercher les frites. Qui ne sont pas dans mon congélo, mais dans celui de mon père (mon congélateur étant récent (depuis vendredi)). Je reviens dans... Approximativement... Plusieurs heures. Le temps de dire bonjour, boire un coup, prendre les frites, repartir, les cuisiner, manger, et tout.
Bon, par contre, il faut que j'aille chercher les frites. Qui ne sont pas dans mon congélo, mais dans celui de mon père (mon congélateur étant récent (depuis vendredi)). Je reviens dans... Approximativement... Plusieurs heures. Le temps de dire bonjour, boire un coup, prendre les frites, repartir, les cuisiner, manger, et tout.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:46:54 »
Dix-sept heure 47 ~ Non, en fait, j'ai juste sorti les cuisses de poulet du congélo ^^.
Mais je mange dans deux heures, par contre héhé.
Et moi, j'suis pas contre la polygamie. *sifflote*
Mais je mange dans deux heures, par contre héhé.
Et moi, j'suis pas contre la polygamie. *sifflote*
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Damn it !
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:43:43 »
*est contente et redemande à en faire* ♥
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:42:12 »
Dix-sept heure 43 ~ Absolument !
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Damn it !
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:40:06 »
Yep, j'avais compris héhé
^^
Je n'aurais pas mis un p'tit coeur à n'importe qui voyons. ♥ ^^
Citer
[♥ SP inside ♥]
^^
Je n'aurais pas mis un p'tit coeur à n'importe qui voyons. ♥ ^^
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:39:05 »
Dix-sept heure 40 ~ Owi ! Et on fera plein à manger. Et plein de cochonneries sur le plan de travail 
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Damn it !
« le: dimanche 05 mai 2013, 17:37:34 »
Haha, possible x)
Et on dirait que l'HP est contagieuse
Et on dirait que l'HP est contagieuse