Les alentours de la ville / Re : El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)
« le: jeudi 13 juin 2013, 08:38:09 »Les voitures c'est mal pensée ! A l'arrière il y a un vide entre nous pour que chacune puissions être attachées convenablement. Je me mordille les lèvres frustrées de la voir si loin, comme si maintenant que nous étions ensemble je ressentais le besoin d'être toujours collée à elle. Mon cœur s'accélère quand elle détache ma ceinture et me tire doucement contre elle, visiblement elle a le même besoin que moi. Je me colle à son corps avec le sourire, je pose ma tête sur son épaule, heureuse, enfin à ma place.
Assise au milieu je suis obligée d'écarter un minimum les jambes, une de chaque coté du véhicule. Elle ne dit rien mais il n'y a plus besoin de mots entre nous depuis bien longtemps, le contact de sa main sur ma cuisse, cette main qui remonte tout doucement en caressant ma peau douce est bien plus parlant. Elle caresse ma joue, elle relève ma tête et approche ses lèvres. Je ferme mes yeux pour l'embrasser mais rien … Après quelques secondes j'ouvre les yeux, sans comprendre, elle me regarde, son regard est plein de malice, de jeu, terriblement coquin alors qu'elle est si proche de ma bouche que je sens son souffle chaud courir sur mes lèvres. Sa main remonte sous ma jupe, caressant le haut de ma cuisse avec insistance. J'ai tant envie de ce baiser que je pourrais en pleurer, alors de mes yeux je la supplie de m'embrasser, sans un mot, juste par mon regard, lui communiquant tout l'envie que j'ai pour elle que je vénère, que je n'ai jamais cessé d'aimer comme au premier jour.
En maîtresse généreuse elle m'embrasse enfin, c'est une explosion de douceur et de plaisir qui m’envahit alors que je ferme les yeux. Elle vient jouer de sa langue sur ma bouche, je ne résiste pas et j'ouvre la mienne, trop heureuse de venir danser entamer une danse de nos langues sous les yeux du chauffeur que j'ai oublié. Décidément quand elle est là c'est comme si il n'y avait plus que elle et moi, comme si nous étions seules au monde. Sa main aurait maintenant touchée la naissance de ma culotte si j'en avais mis une, elle poursuit pour vérifier et passe à travers mon épaisse toison blonde. Je me mordille les lèvres. Mince ! Si j'avais pas oublié ce matin j'aurai pris le temps de retirer tout ces poils, ma maîtresse m'a toujours voulu le sexe lisse comme celui d'une petite fille … Elle le note, je vois bien qu'elle ne l'oubliera pas mais elle préfère continuer à jouer avec mon corps et vient poser se doigts sur ma fente qui s'est humidifiée rien qu'à son baiser.
" Hihi... tu n'as pas mis de sous-vêtements, petite coquine ? "
Je rougis à sa phrase, toujours un peu gênée de l'entendre dire à haute voix malgré tous nos jeux passés. J'entends le hoquet de surprise du chauffeur et tourne la tête vers lui, réalisant sa présence, rougissant un peu plus. C'est pourtant en la regardant elle que je n'hésite pas à lui répondre à haute voix.
« Je sais bien que porter des sous vêtements m'est interdit maîtresse, je ne ferai pas deux fois la bêtise, je suis trop heureuse de t'avoir retrouvé. »
" Le chauffeur n'a pas l'air très convaincu, je crois... ", elle me parle dans le creux de mon oreille, son souffle fait bondir mon cœur, ses doigts me pénètrent par surprise, je lève un peu les fesses alors que sa main possède mon sexe et ne peut retenir un gémissement.
« mmmmhhhhhh », je vois l'homme nous observer presque autant qu'il regarde la route alors qu'elle ajoute.
" Écarte les cuisses, ma chérie, montre lui que tu es une coquine... hihi ! "
« Oui maîtresse »
Je sais qu'il n'a pas entendu les dernières paroles de Mélanie, juste les miennes et je vois bien que deux belles femmes qui s'exhibent à l'arrière de son taxi ce n'est pas pour lui déplaire. Les doigts de ma maîtresse se portent à ma bouche, je viens les sucer délicieusement, profitant plus de la saveur de sa peau que de mon goût, même si c'est ma liqueur qu'elle me donne. Moi je soulève mes fesses, je remonte ma robe à l'arrière, maintenant cul nu sur le cuir du taxi. J'ouvre un peu plus les cuisses, ma jupe déjà haute de la caresse de ma compagne remonte encore. J'observe dans le rétroviseur central et quand on voit enfin ma toison blonde je ne bouge plus. Je baisse les yeux, ma jupe est juste à la limite de mon sexe pleinement exposée dans le rétroviseur mais complètement cachée par le tissu au regard de ma maîtresse. Je dois avouer que lui obéir sans lui montrer à elle mon sexe, qu'elle meure d'envie de voir m'excite encore plus, je sais bien que provoquait ainsi elle va être encore plus joueuse.
« Je ne porte pas de soutien-gorge non plus maîtresse »
« Ohhhhhh »
Le chauffeur pousse une exclamation, ne pouvant plus se retenir, je lui souris et alors sans qu'on me le demande … quoi que elle m'a demandé d'être coquine, alors je désobéis pas vraiment … Je remonte ma main droite à mon sein gauche, je le caresse, presse le téton pour le faire saillir. Je poursuis mon chemin et trouve la bretelle gauche, je m'en empare de deux doigts. Je regarde Mélanie, ma maîtresse, guettant un signe de refus de sa part. Je n'en vois aucun mais je sais que même si elle s'amuse de mon geste, même si elle le désire peut être, même si cela lui apportera du plaisir, elle utilisera peut être celui-ci pour me punir par la suite.
Sous les yeux de cet inconnu, moi qui depuis des années avait vécu sans plus un contact, je descend la bretelle, tire sur le pan de mon vêtement. Sous son regard mon sein se dénude, la belle rondeur blanche d'une poitrine laiteuse. Le tissu accroche à mon téton, le faisant jaillir d'un coup et rebondir quand enfin il décide de se montrer. Je baisse le haut de ma robe jusque sous mon sein gauche, l'exposant entièrement. J'offre dans le rétroviseur la vision perverse d'une femme a demi nu, le sexe offert sous sa jupe, un sein se montrant au soleil, l'autre caché mais dont le téton semble vouloir crever la petite robe d'été qui le cache.
« ggggrrrccchhhhhh … Charlie … tu es là Charlie ? Tu es en course ? …. ggggrrrrccccchhhh »
La radio du chauffeur se met en marche, l'appelant, il la regarde avec surprise comme si elle venait d'apparaître par magie. Il tend la main pour décrocher puis se ravise en nous regardant l'une puis l'autre, comme s'il avait peur que nous changions d'avis. Moi je pose tendrement ma tête sur l'épaule de ma maîtresse.
« gggrrrccchhhhh … Charlie réponds s'il te plaît … », encore un appel qui passe mais la situation semblait figée dans le temps, le malheureux semble ne plus savoir quoi faire, « ggggrrrrccchhhh … bon Charlie si tu m'entends ta mère est passée, elle a déposé ta crème contre tes hémorroïdes … », on entend l'homme à l'autre bout du fil qui commence à rire, « … tu dois avoir le feu au cul là ... », il rit de plus belle, s'il savait à quel point il avait raison il baverait de jalousie au lieu de se moquer.
« ggggrrrrrccchhhhh Je suis avec des clientes là ! Je passe après la course ! Terminé ! », il répond paniqué, l'air penaud, comme si tout le charme venait d'être rompu, comme s'il venait de rater la chance de sa vie, éteignant sa radio maladroitement.
Moi étrangement, même si je n'ai pu m'empêcher de rire, la situation est drôle quand même, ça me l'a rendu plus sympathique. Je suis surprise que ce grand gaillard de bien 40 ans, peut être plus, vive encore chez sa maman, ça a un coté mignon … Faut dire que je compte pas l'épouser aussi, juste jouer peut être avec lui sous les ordres et le regard de ma sublime maîtresse ...