En cet instant précis, Ayumi était sans doute la lycéenne la plus heureuse au monde. Non, elle n'était pas encore zombifiée au sexe, seulement droguée au plaisir. Elle venait tout de même de passer près de six heures à se faire remplir d'un peu partout, un record pour elle... et peut être bien dans ce manoir. Son ventre était tellement remplis qu'il donnait à la nageuse une apparence de jeune femme enceinte de plusieurs mois. Tient, d'ailleurs ça débordait un peu de son anus. Entre temps, le sexe dur de Kaori avait pu entrer dans son vagin, la semence et la cyprine lubrifiant tellement son intimité, que ça glissait tout seul sans causer d'irritations.
Cinq minutes plus tard, sa Maîtresse expulsa de nouveau son nectar dans ses entrailles, avant de se retirer pour donner un ordre bref. Lorsque Ayumi releva la tête, elle se cru au paradis et accéléra le mouvement sur la queue de son amie, excitée par la vue de toutes ses hermaphrodites. Elles se masturbèrent sous ses yeux et Mélinda arriva par derrière.
- Regarde bien, Ayumi, et n’en perds pas une miette... Je suis sûre que, même dans tes rêves les plus fous, tu n’aurais pu concevoir ça... Toutes ces femmes... Rien que pour toi... Mais tu n’es pas au bout de tes surprises... Les sexes que j’offre à mes protégées ont bien des fonctions, et seule une femme digne de ce nom peut vraiment les utiliser sans s’épuiser trop rapidement...Et la surprise fut de taille, sans mauvais jeu de mots. Le membre d'une des futa, déjà imposant, prit une taille impressionnante, avant de finir entre les lèvres de la nageuse qui sentit le débit de sa mouille augmenter proportionnellement. Lors de la jouissance collective de toutes les futa, Kaori comprise, Ayumi sentit son plaisir exploser et un geyser de cyprine inonda le corps de son amie. Elle était à présente recouverte d'une couche plus ou moins blanc transparent, gluant et bien chaud. De plus, son expression facial évoquait un "
ahegao", soit les yeux révulsés, le regard éteint, la bouche grande ouverte et la langue pendante, laissant couler un filet de salive et – à l'heure actuelle – de sperme. C'était les limites du plaisir. Au-delà, c'était ce que l'on nommait l'état "d'esprit brisé". Ayumi était donc au bord de la rupture psychologique. Pourtant, la vampire n'en prit pas compte et lâcha...
- Encore.Tour à tour, les femmes firent entrer leurs membres démesurés dans la bouche de la nageuse, pendant que les autres se frottèrent sur elle. De son coté, Kaori agrippa les hanches de Ayumi et remua intensément des hanches en elle.
- Haaaaaaaaaan.... Haaaaaaaaaaaaaan.... Hmmmmmmmm... Hmmmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaa... Huuuuuuuuuuuu.... Hmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaaaaaa.... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRGGLLLLMMPPPHH !!!!!!!!Elle fut de nouveau aspergée de semence sur le corps et en elle, atteignit de nouveau l'orgasme en sentant son amie se décharger dans son utérus, avant de tombée en arrière sous la puissance des jets, son visage figée en ahegao et haletant furieusement, n'ayant plus vraiment conscience de ce qui l'entourait. Elle donnait vraiment l'impression d'être complétement brisée, ne répondant même pas lorsque sa Maîtresse lui demanda si elle avait eu sa dose. Mais vu comment elle débordait de partout, c'était sans doute le cas... Oui, lors de son dernier cris de jouissance, elle avait recrachées d'important flots de sperme de son estomac. A présent, Ayumi ressemblait à une poupée gonflable, le regard complétement éteint mais toujours en vie. Il lui faudrait un moment avant de reprendre ses esprit et, vu son état, ne réagirait même pas si les futa continueraient à utiliser son corps...
Les autres filles étaient en sueurs et prises de fatigue extrême. Pour autant, elles étaient toujours conscientes, même si elles n'avait sans doute pas ressenties le même plaisir que la nageuse...