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« le: mercredi 07 mars 2012, 10:31:38 »
Une petite chose fragile, voilà à quoi ressemble sur l'instant la jeune enseignante face à lui. Nul doute que cette vision les excites tous deux au plus au point, le regard d'Ulrique étant plus que sans équivoque sur ce point. La situation semble être la source d'une sensation puissante chez elle, suffisamment prenante pour lui provoquer une envie des plus pressentes. Basiquement, c'était la jeune femelle dans ses premières chaleurs face à l'imposant mâle en rûte de la meute, une façon résumée d'exposer la chose. C'est sans doute le mélange des sangs bouillonnant parcourant ses veines qui lui donnent ce genre de pensés.
Heureusement, ni l'un ni l'autre ne sont des animaux. Il y a bien des choses à faire avant le passage à l'acte, des choses qui rajoutent encore aux sensations chaudes qui font partie de "parade". S'observer et apprécier son partenaire, se laisser porter par les odeurs et finalement prendre contacte. De son côté Ulrique doit probablement combler Hitomie avec ses odeurs fortes et légèrement plus "animale" que la moyenne.
Mais la jeune femme a elle aussi des atours dans son sac. Une peau douce, de jolies yeux bleus encadré par de longs cheveux et quelques taches de rousseurs. Ajoutez une décente de rein qui fait envie et une poitrine ferme et généreuse pour le cloue du spectacle, Ulrique a toutes les raisons de penser qu'il va passer une bonne soirée.
D'une légère pression de la main, elle l'incite à ce caler au fond du canapé, coupant quelques instants la vu qu'il avait sur l'intimité encore cachée par le dessous de l'enseignante. Mais la scène suivante en vaut largement le coup, la vision d'Hitomie agenouillée entre ses cuisses renforçant encore l'érotisme de la situation et l'impression de démesure qu'il dégage.
Toi aussi tu as de quoi rendre heureuse.
De te rendre heureuse Hitomie.
C'est la première fois qu'il l'appelle par son prénom depuis qu'ils se sont rencontrés quelques heures plus tôt. Mais vu l'avancé des choses, ce n'est plus qu'un détail. Un frisson lui parcoure l'échine quant à nouveau elle pose sa main sur le bélier tendu devant elle. Mais ce n'est rien par rapport à la sensation qu'elle lui offre ensuite.
Partant de la base légèrement velu de la tour dressée, sa langue part à l'assaut de la masse de chaire chaude qui déchaîne ses envies. La sensation humide que lui laisse à traîner de salive provoque comme un tremblement de terre sur le monolithe vivant, accompagné d'un long gémissement et de légères vibrations des testicules toutes aussi corpulentes qui en disent long sur ce que pense Ulrique de l'initiative.
Parvenu au bout de l'interminable hampe, elle entreprend d'engloutir l'imposante verge du jeune homme. La chose pose un défi qu'elle ne pourra relever, du moins pas maintenant. Seul le gland trouve place dans la cavité buccale envahie, venant tenir compagnie à la langue qui tente de compenser le manque aidée par les lèvres largement ouvertes qui l'aspirent. Bien peu tente l'aventure, et rien que cela lui fait fuser des traits de plaisirs le long de ses nerfs.
En réaction il vient caresser de ses grandes paluches le corps d'Hitomie toute occuper à sa tâche. Ses doigts viennent s'emmêler doucement dans les cheveux roux comme pour la remercier de ses attentions. Dans le même temps les gémissements se changent progressivement en un grondement tout en grave et chargé de l'envie puissante qui l'habite, héritage probable de sa partie terranide qui donne un son animal, très proche de ce que l'on attend d'un loup mâle désirant sa femelle.
Il lui faut toute sa résistance pour ne pas se relâcher tout de suite, ce qui serait bien dommage il faut l'avouer. Hasard ou effet savamment doser, elle abandonne la lance quelques instants le temps que la pression redescende. L'intervalle est suffisent pour qu'elle l'emprisonne au creux de ses seins qu'elle vient glisser sur toute sa longueur. La sensation est encore différente, arrachant de nouveau grondement de plaisirs à Ulrique qui commence lui aussi à perdre un peu pied. Heureusement le regard d'Hitomie est là pour le ramener à elle, ce n'est pas encore le moment d'exploser. Ça serait gâché l'instant.
Repris en bouche, il a pourtant toutes les peines à empêcher ses bourses de relâcher leur contenues. Ça n'empêche cependant pas un peu de la liqueur lubrifiante et sans doute bienvenu de s'échapper de la prune mise au chaud et en bonne compagnie dans la bouche d'Hitomie. C'est peut-être le signal qu'attendait l'enseignante pour mettre fin au supplice, signe qu'elle ne pourra pas l'emmener beaucoup plus loin sans provoquer la montée de sa sève.
Doucement elle remonte contre lui, laissant çà et là de petits baisés humides qui lui donnent le goût du reste de sa personne tout en provoquant d'énième frisson le long de son corps, remontant dans sa tête en s'ajoutant aux plaisirs déjà fort qu'il ressentait. Finalement ils se font à nouveau fasse, Ulrique répondent à la moue gourmande d'Hitomie avec un sourire de prédateur devant une proie qu'il apprécie pleinement.
À ton tour de t'amuser avec moi.
J'espère bien te rendre la pareille.
Il n'a pas besoin d'être devin pour comprendre ce qu'elle souhaite, pressée comme elle est contre son bras. Voilà une chose qu'il n'a jamais expérimente à vrai dire, il faut bien un début à tout comme on dit. Il prend quand même le temps d'une caresse appuyée contre la vulve qu'il devine à travers le tissu mouiller de sa culotte, puis il lui retire ce dernier vêtement qui ne fera que le gêner pour la suite.
Doucement il la fait basculer tête en bas, tirent ses hanches vers son visage en plaquant le reste de sa personne contre son torse chaud et odorant. Sa tête entre les cuisses de la jeune femme, il lui laisse le loisir de découvrir cette nouvelle perspective de son anatomie.
Le monstre sous ses yeux semble avoir encore grandie. Effet d'optique due aux veines qui commencent à apparaître ou réalité physique en réponse à l'excitation accumulée, difficile à dire. Quoi qu'il en soit le membre attend sagement en oscillent doucement au rythme des mouvements d'Ulrique.
Dans un premier temps, il se contente de distiller son souffle chaud sur les chaires à nue en observant le dessin de la vulve humide et libre de tout poiles. C'est d'ailleurs une bonne chose qu'il ait la vue dégagée pour la suite. Les mains prisent, c'est avec son nez qu'il entreprend d'ouvrir les grandes lèvres à la découverte du trésor qu'il ne tarde pas à découvrir, caché entre les plis.
Le bouton à plaisirs localisé, il pousse légèrement dessus du bout de son nez pour l'obliger à se réveiller si ce n'est déjà fait. Il accompagne d'ailleurs le mouvement de son souffle, guidé par les bruits qu'émet sa partenaire pour trouver le rythme qui le guide vers les sommets.
Il dure comme ça un moment, titillant le petit trésor ainsi que le reste du coquillage comme une douce vengeance de tout le bien qu'elle lui a procurée et lui procure encore. Finalement il abandonne l'endroit un instant, le temps de la laisser se plaindre éventuellement avant d'attaquer des choses un peu plus sérieuses.
Faute de doigts disponibles, c'est de sa langue qu'il entreprend de visiter plus en profondeur l'intimité de l'enseignante. D'abord l'extérieur, humidifiant sans vergogne toute la zone alentour en se permettant même une poussé jusqu'aux limites du fessier. Puis progressivement il pousse l'organe humide à l'intérieur de l'écrin.
Consciencieusement et en prenant tout son temps, il goûte toutes les parties de l'endroit hypersensible, menacent par moment de croquer littéralement ce qui lui passe sous les dents. Petit à petit, il va de plus en plus loin, ouvrant autant qu'il le peut le passage pour la suite et tirant autant de gémissement que possible d'Hitomie pour son plaisir. Il lui faut quelques minutes pour introduire entièrement sa langue dans l'étui qu'il visite de fond en comble, découvrant même le début de la grotte au merveilles mais ne pouvant guerre aller plus loin.
Ça ne l'empêche pas de grogner son plaisir, loin de là. Les vibrations de sa voix emplisse l'air surchauffé de l'appartement au fil des traitements que lui inflige Hitomie. D'ailleurs à se rythme, il ne tardera pas à devoir se libérer si elle continue. Et comme elle s'en doute, il y a au fond de ses glandes largement de quoi l'étouffer si elle en prend pas garde aux signes avant-coureur de l'explosion ...