Le métro et la gare / Re : La bonne, la brute, et le truand [PV Jericho]
« le: mercredi 17 mai 2017, 11:58:50 »Jericho fit claquer sa langue contre son palais, agacé contre lui-même. Serguei le faisait chier et Max le faisait bander. Putain oui, rien qu'à l'idée de la détruire du bout de sa bite il se sentait raidir comme pas permis. Un bon petit viol... Hm. Non. La transformer en serpillère comme l'était Natasha la tueuse apportait un petit plus. Une satisfaction de domination que devaient éprouver les souverains sur les cons de paysans avec lesquels ils se torchaient. Et ça, Jericho avait bien envie de savoir ce que ça faisait. De cracher à la gueule de quelqu'un qui en redemanderait volontairement, à cors et à cris, comme si sa putain de vie de merde en dépendait.
Il acheva son verre d'un trait et le posa sur le mini-bar.
- Tu es prêt ? On auras que quelques secondes, on arrive à sa hauteur, j'ouvre les portes, tu la chope et tu la fait rentrer, faut pas qu'elle ai le temps de crier avant qu'on ai fermé les portes. Ensuite quand elle sera dans la limo ce sera bon, elle pourra gueuler autant qu'elle voudra...
- Elle n'aura pas le temps de broncher, ne t'en fais pas pour ça. Colle lui un petit fix pour la mettre en appétit, qu'elle aie de la came dans le sang mais assez de neurones disponibles pour comprendre que c'était juste l'apéro.
Tandis que la caisse remontait à hauteur de Rachele dont la première vue qui s'offrait fut son monumental cul bombé, Jericho ajusta son col et posa la main sur la poignée de la portière. La limosine freina alors tandis que le colosse était au niveau de la jeune femme et il s'extirpa rapidement de la limo' malgré son gabarit, dressant sa silhouette de gladiateur sous dopant devant l'allure plus frêle d'une Max figée par la surprise.
Avant qu'elle ne puisse ouvrir la bouche, la large paume de Jericho lui attrapa le visage et étouffa ses mots d'une poigne infernale qui se concrétisa également sur son poignet. En un tournemain, Max se retrouva soumise à une clef de bras terrible qui menaçait déjà durement de lui faire sauter l'épaule -le colosse n'aurait eu qu'à forcer légèrement, l'italienne n'étant pour lui pas plus impressionnante qu'un bâton de gressin. Facile à briser.
Il ne dit rien et la balança sans ménagement dans la limousine, la faisant s'écraser comme une pauvre merde sur la banquette où il la rejoignit aussitôt, ayant le loisir de voir son cul relevé par le choc. Ses gros seins devaient être écrasés devant Serguei, mais ce dernier préparait apparemment déjà l'injection qu'il destinait à leur proie.
Jericho referma sur lui et la bagnole démarra en trombe. Pour éviter que Rachele ne se débatte trop et complique la vie de Serguei, le Boucher l'attrapa par les cheveux et lui décolla une gifle. Juste de quoi expliquer à cette pute servile en devenir que la machine à baffe était un distributeur gratuit, et surtout de quoi la sonner un peu le temps que Serguei puisse la piquer. Promis, il ne lui avait pas abîmé sa petite gueule -ça serait pour plus tard, ça, il s'en faisait la promesse.
- Maintenant, camarade, tu vas pouvoir faire montre de tes talents. J'suppose qu'on doit attendre avant de lui coller une queue dans les entrailles, avec tes conneries ?
Puisqu'il avait accepté de jouer selon les règles de Serguei, Jericho accepta de ne pas labourer Rachele à même la banquette. Il grogna et compensa en attrapant la fille par les cheveux à nouveau, lui collant la gueule contre la forme de sa bite bandée à travers le pantalon. Ça le calmerait un peu pour le moment.
Le reste était entre les mains du russe.