Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Zynoe K. Florah

Pages: [1] 2
1
Je serre les dents pour ne pas gémir de satisfaction alors que je sens ses doigts se faufiler entre mes cuisses rougies, et sent mes joues chauffer alors qu'il se rends compte de mon excitation. Je cherche à me dégager, mais mes poignets entravés m'en empêche, tout comme la chaîne autour de mon cou. Je crie une nouvelle fois alors qu'il viens me mordre après avoir léché le sang de mes plaies. Je gigote, cherchant à lui échapper, toujours, mais me raidit alors qu'il pose sa main sur mon ventre. Je ressentis une intense douleur alors que mon corps changeait. A cause de lui je suppose. Je lâchais un hurlement d'animal blessé quand je compris ce qui se passait en moi. Il venait de me revirginiser en quelques sortes. Cette virginité qu'un homme m'avait prise de force longtemps auparavant.

Je grondais à nouveau, fermant les yeux sous la douleur, et secouais faiblement la tête alors que mon corps s'arque à nouveau et que je laisse échapper quelques larmes de douleur alors que le courant est plus fort encore. Les coups de fouets semblent me chatouiller à côté de l'intensité électrique.


. Nnn.. Nooon !

Je réussis juste à lâcher ce cri du coeur avant de m'arquer à nouveau, serrant les poing devant moi. Mais ce qu'il disait était vrai. J'aimais ça. J'en redemanderais presque, si ça n'était pas fierté. Je résistais lorsqu'il tenta de changer ma position, mais je ne réussis qu'à le griffer légèrement, malheureusement. Et alors que je reprenais mon souffle, je criais à nouveau, m'étouffant presque. Une des pince métallique fut insérée de force dans mon anneau de velours, et je creusais le dos pour échapper à la douleur. Vainement. Le courant courrait dans mon corps épuisé. Et les coups de fouets et de cravachent qui striaient ma peau ne me faisaient plus rien à force. Les dix minutes qui passèrent me semblèrent des heures alors que mon esprit flottait entre douleur et plaisir. Intenable. Le plaisir en devenait douloureux, et la douleur devenait plaisante. Un foutu cercle vicieux. Et je criais. Encore et encore.

Le courant cessa enfin de courir dans mon corps. Corps épuisé et tremblant convulsivement d'ailleurs, alors que je grimaçais. Je laissais échappe un faible gémissement sortir de ma gorge. Sentir ensuite sa langue lécher le sang qui coulaient des entailles dues au fouet, c'était... Rafraîchissant. J'haletais. Je grimaçais. Mais la chaleur entre mes cuisses n'avait pas cessé. Je finit par capituler :


. Han.. Je... Moi... C'est moi...

Et je serre les dents pour m'empêcher d'en dire plus. J'ai déjà trop ravaler ma fierté, mais c'est.. Si bon et si douloureux à la fois...

2
L'arrêt du courant électrique me fit lâcher un soupir. Soulagement ou juste répit ? Je ne tardais pas à chercher à rouler sur moi-même pour échapper aux coups qui pleuvaient. Ma peau devaient être écarlate à force. Et comme je marquais rapidement, j'allais sûrement avoir de jolies marques durant un grand nombre de jours. Je grognais quelques insultes en réponse à sa théorie, mais je n'eus pas le temps de faire plus que déjà je m'arquais sur place sous le coups d'une décharge beaucoup plus forte que précédemment, sapant une grande partie de mes forces d'un coup. Je ne sentais que faiblement les coups de cravache sur mes flancs, haletant tout le temps que le courant parcourait mon corps. Une minute qui dura des heures. Puis il coupa à nouveau le courant, et mon corps retomba lourdement à plat.

Je n'eus même pas la force de résister alors qu'il écarta mes cuisses brutalement, voulant violer mon intimité avec ses doigts. Je ne sus pas pourquoi il changea soudainement d'avis. Au départ. Mais alors qu'il tira sur les pinces emprisonnant mes tétons, je lâchais un cri de douleur. Bordel, ça faisait vachement mal ! Je n'avais plus le loisir d'avoir peur. La douleur mobilisait toutes mes forces restantes. Et cette foutue excitation qui, malgré les aléas des sévices, continuait à serpenter au creux de mon ventre comme un serpent prêt à mordre. Je grognais des protestations alors que les pinces qu'il vient d'ôter de ma poitrine viennent mordre la chair de mon intimité.

Il me provoqua encore une fois (comme je m'amusais à le faire avec lui), mais ne me laissa pas le temps de répondre. je poussais un autre cri alors qu'il mordit l'un de mes tétons maltraités auparavant, pinçant l'autre férocement. J'allais avoir la voix éraillée plus tard, mais qu'importe. Je commençais malgré moi à apprécier ça. Je ne voulais pas pourtant. Sérieusement. Mais je glissais dans le monde du masochisme ou la douleur me rends encore plus excitée. Pour mon plus grand malheur car, alors qu'un nouvelle décharge de courant arquait mon corps, je sentis un fluide couler entre mes cuisses. Il laissa le courant plus longtemps, et d'autres cris franchirent mes lèvres. Mais moins de douleur pur, que de douleur mêlée à une sensation semblable au plaisir. Lorsqu'il arrêta, ce fut pour reprendre presque aussitôt. Et encore une fois. Je n'avais donc pas le temps de parler, pas le temps de le provoquer encore.

Il finit par arrêter à nouveau et je retombais à plat en haletant, le corps couvert de chair de poule et d'une fine pellicule de sueur. Mon corps était pris de tremblement convulsif alors que la douleur refluait doucement. Je repris mon souffle alors qu'il parlait, rassemblant mes forces pour une autre réplique mordante, mais étouffais un cri de plaisir (étonnamment) lorsqu'il gifla de nouveau l'une de mes cuisses. Les pinces sur mes lèvres intime paraissait être de métal en fusion, et lorsque la décharge reprit, je ne distinguais même pas le changement de voltage. Les coups suivant, par contre, je suis qu'il avait changé la cravache pour un fouet, car les lanières de l'instrument me frappèrent un peu partout sur le buste, martyrisant ma poitrine déjà bien rougie. Je saisis le moment exacte où le fouet mordit ma peau plus profondément, l'entaillant, laissant désormais perler sur sang à chaque application.


. Haaaan.. Ne... Haa... Ne crois pas... Que haaaa... Je me laisse avoir... Si ... Haaan... Si facilement !

Ma voix, entrecoupés de cris mêlant plaisir et douleur, était hésitante et rauque, mais lorsque j'ouvris les yeux, mon regard opaque luisait de fureur (contre moi-même), et d'un désir que j'essayais de réprimer.

3
Ouh, susceptible le monsieur. Je sens ma tête partir en arrière sous l'aller-retour qu'il m'offre gracieusement. Je gronde, sourdement, de douleur et ma main part masser mon visage, apaiser un peu la brûlure du choc. Une chose m'interpela... Il sentait ma peur ? Merde alors. Crotte même. Pourvu qu'il ne sente pas ce début d'excitation à peine perceptible qui commence à monter... Je voulu m'éloigner à nouveau, mais la chaîne était trop courte. Pire encore, grâce à elle, il avait une emprise sur moi et je me retrouvais bientôt allongée sans moyen de me relever car il m'écrasait de son poids. Je grimaçais.

Mais ce n'est rien par rapport au second grondement sourd qui m'échappa alors qu'il commençait à s'amuser avec la pointe de l'un de mes seins, qui s'érigea sous le "doux" traitement infligé. Je grondais une protestation, et me tortillais en tout sens pour lui échapper. Sans succès. Au contraire. J'ai eu l'impression qu'il me dominait encore plus à force. Mais peut-être était-ce parce qu'il frappait également mes cuisses, donnant l'impression d'être partout à la fois.


. Genre tu crois que je vais... Hééé ! Que... Haaaaaa !

Je me cambrais violemment alors que la décharge d'électricité parcourait mon corps et se propageait à partir de mes tétons, couvrant ma peau d'une sorte de chair de poule. Je criais aussi. Mais pas vraiment de douleur. De gêne. De surprise. Mes cuisses, que j'avais cessé de contrôler durant le laps de temps que dura la décharge, étaient écartées honteusement. Les coups de cravache me firent les resserrer, et je protégeais mon visage de mes mains. Je trouvais toutefois la force de ricaner à ses paroles.

. Parles pour toi..Aaaaaah ! Enfoiré...

Je serrais les dents alors que mon corps s'arquait à nouveau. Mes tétons étaient rougis par la pression de ces pinces et du courant qui passait, mais je ne pouvais m'empêcher de le provoquer, encore. Ma peau d'albâtre était à présent striée de rouge d'ailleurs. Différentes nuances. Du rouge rosé, au rouge vif, voir même au rouge sang sur quelques zébrures. La peur ne me contrôlait pas. Elle était à égale puissance que la douleur. Et cette maudite excitation qui montait toujours... Il faut dire que ça change de ces humains trop tendre, trop guimauve.

Je serrais les dents plus fort et resserrais à nouveau mes cuisses que j'avais laissé se rouvrir lors de la décharge. Mon corps était sensible, plus que jamais. Mes tétons surtout. Mais, en serrant les cuisses, je ressentis cette étrange chaleur au creux de mon ventre, et je luttais pour ne pas les frotter l'une contre l'autre. J'haletais alors, difficilement :


. Non.. Vraiment... S'tu crois que ça m'impressionne...

Provocations, provocations... Vous allez causer ma perte. Je tremble de tout mon corps, mais pas de froid ni de peur. c'plutôt un contre-coup immédiat du courant électrique. J'ai pas l'habitude de me prendre autant de puissance comme ça. Et putain, ça fait mal mais j'crois qu'j'aime encore mieux.

Bon, finalement, posté maintenant ^^.

4
Je réprimais ma terreur du mieux possible. Après tout, j'ai subi bien pire. Mais là, c'est surtout le brusque changement de situation qui s'est produit qui me choquais en fait. Mais passé le premier instant, ça allait mieux. Un peu. Je tirais toujours sur le collier, avant de me concentrer sur la chaîne. Je ne me recroquevillais pas. Je ne suis pas du genre pudique. Au contraire, je m'étirais de tout mon corps en tirant sur la chaîne. J'y mettais toutes mes forces.

Soudain, la porte s'ouvrit. Je me figeais. Mais l'homme, le même que j'ai aperçu avant mon enlèvement -faut dire ce qui est- tout à l'heure, m'ignore. Superbement. J'ouvre de grands yeux surpris et relâche même la chaîne que je tiens entre mes mains. Je suivis le mouvement du placard qui s'ouvrit. Avec un temps de regard, je m'aperçus du contenu de ce placard. J'haussais un sourcil, curieuse et vraiment surprise. Je crois que je viens de comprendre pourquoi je suis ici.

Il parla. Je soupirais. Donc personne ne viendra m'aider, apparemment. Soit. J'ouvris la bouche pour répondre, mais un coup cinglant me fit l'impression d'une traînée de feu sur ma peau. Je me rejetais d'un bond en arrière, ma main allant se placer sur la douleur qui file sur ma joue et ma poitrine, la fraîcheur apaisant un peu le feu du coup de cravache. Et il sourit le bougre, alors que je lève sur lui un regard à mi-chemin entre l'halluciné et le furieux.


. Je crois saisir en effet.

Mon ton est franchement ironique alors que je m'écarte de lui autant que me le permet la chaîne. Je tire même un peu plus, mais la chaîne et le collier sont trop solides. Je frémit en saisissant son regard, mais masque la peur qui revenait doucement mais sûrement. Et la pointe d'excitation qui faisait son petit bonhomme de chemin maintenant que j'ai compris ce qui se passait.

. Je suis sûre qu'avec les goûts que tu as l'air d'avoir... Peu de femmes acceptent de visiter cette pièce de leur plein gré...

5
Il était tard, ou tôt. Moi, j'm'en fiche, mais les patrons des bars, eux, non. Alors à la fermeture du dernier bar de la ville, je n'avais plus d'endroit où se poser pour m'amuser. Obligée de rentrer donc. Heureusement, j'avais l'adresse d'un ami avec qui je savais que je pourrais boire quelques bières autour d'une pizza en s'racontant des blagues vaseuses. Je passais par le quartier de la Toussaint pour me raccourcir. Juchée sur des bottines à talon particulièrement haut, je n'avais pas envie de faire le tour de la ville à pieds. Ma mini-jupe, plissée, blanche, dévoilait mes jambes allongées par les talons. J'avais une ceinture dorée pour maintenir la jupe sur mes hanches, et mon buste était recouvert par un bustier de lamé argenté sous une veste en lin blanche elle-aussi. En gros, j'étais dans les tons blancs. Avec ma chevelure neige, je paraissais comme un ange au milieu de l'obscurité de la nuit, surtout dans ce quartier dit mal famé.

Je n'entends que le bruit de mes pas sur les pavés, et le ronronnement des moteurs des diverses voitures. D'ailleurs, une voiture la dépassa. Feux éteints. Bizarre. Mais ils sont tous bizarres ici alors bon. J'hausse les épaules. Et je continue mon chemin. Jusqu'à ce qu'un homme sorte de la voiture garée un peu plus loin. La voiture qui vient de me dépasser justement. Je fronce les sourcils, mais je n'ai pas le temps de demander à cet homme s'il est perdu que je me plie en deux en laissant échapper un grognement de douleur, bien vite étouffé par la main qui me saisit la gorge pour me soulever un peu du sol et par le mouchoir plaqué sur mon visage. Je tente de respirer, une ou deux fois, inhalant la substance qui imbibait le mouchoir. Je suffoque un peu, puis finit par sombrer dans l'inconscience, dans une sorte d'espace cotonneux, alors que déjà l'individu inconnu la délestait de ses vêtements.

Je ne sentis rien de ce qui se passa ensuite, et fini par me réveiller dans un étrange lieu. Je tentais de bouger, de me relever, et senti du même coup que j'étais nue, et que j'étais enchaînée. J'étouffais un gémissement effrayé. C'est un sacré choc tout de même. Je frissonne et secoue la tête pour répartir ma chevelure immaculée sur mon corps, comme je peux. Pour me réchauffer. De mes mains enchaînées, je touche le collier de métal qui orne mon cou. Par-dessous, j'ai une chaîne en argent avec une perle en onyx en pendentif. J'essaie de retirer ce bout de métal relié au mur par une chaîne. Je m'escrimais à m'en débarrasser, en vain. Je me résignais donc à appeler à l'aide. Ou à demander si quelqu'un était là.


. Ohé ! Y a quelqu'un ?! Quelqu'un peut m'aider ? Ohé !

6
Prélude / Re : Florah Khara, de Zynoe. [Valiplantée!]
« le: mardi 11 octobre 2011, 20:19:45 »
Ha oui, pas faux. J'avais oublié ça ^^.
Mes excuses dame verte ^^

7
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 11 octobre 2011, 19:53:29 »
Quatre.

8
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 11 octobre 2011, 19:50:34 »
Deux.

9
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 11 octobre 2011, 19:43:29 »
Neuf, télécom ? ^^

10
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 11 octobre 2011, 19:38:02 »
Seven sins, wonders, etc...

11
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 11 octobre 2011, 19:23:15 »
Five

12
Prélude / Re : Florah Khara, de Zynoe. [Valiplantée!]
« le: mardi 11 octobre 2011, 18:00:39 »
Merci ♥ ^^

Alraunya : Pourtant, ils existaient déjà avant, et lorsque Prométhée à créé les hommes ^^.
xD. 'façon, peu importe. J'aime pas les Dieux Grecs Mdr.

Vlad : *la joueuse te remercie, pas le perso ^^*

13
Prélude / Re : Florah Khara, de Zynoe.
« le: mardi 11 octobre 2011, 16:22:44 »
Merci à tous  ♥

Quetzalcoatl : Je suis flattée ♥♥

14
Prélude / Re : Florah Khara, de Zynoe.
« le: mardi 11 octobre 2011, 08:20:12 »
Merci ♥

15
Prélude / Re : Florah Khara, de Zynoe.
« le: mardi 11 octobre 2011, 08:19:14 »
Tu fais parti des dieux grecs ? xD

Merci en tout cas ^^

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