Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Aloysia Weber

Pages: [1] 2 3 ... 14
1
La kitsune l’attendait patiemment assise sur son lit et elle la dévisagea quand elle entra dans la pièce. A l’évidence, elle ne paraissait pas avoir été ennuyé par le comportement de son esclave et Aloysia savait alors qu’elle ne serait pas punis pour ce qu’elle avait fais ou dis. Sa Maîtresse lui demanda de venir s’asseoir même si cela sonnait plus comme un ordre. Aloysia s’avança d’un pas léger, le regard braquer sur celui de Sofia. Ses yeux bleu laissait deviner la colère sourde que la princesse tentait de réprimer. Elle s’assit silencieusement à environ 1 mètre de la jeune femme et attendit que sa Maîtresse prennent la parole.

- Bien, tu peux me haïr, me détester de t’avoir prit ta première fois, a vrai dire je le mérite bien et cela me rendrait la vie plus facile. Mais comprends une chose. Honnêtement je t’aime bien. La preuve en est que tu es toujours en vie alors que nous avons fais l’amour ensemble. Tu es la seule à être encore en vie, car c’est la ou je suis faible. T’apprécier, ce serait te mettre en danger, tu serais la cible de tous ceux qui me veulent du mal, et il y a de quoi faire. De plus, je ne suis pas fait pour aimer. La mort est sur mes mains et si je ne suis pas folle aujourd’hui, c’est parce que je ne ressens pas la peine, la douleur et tous le reste… Ma vie est ce qu’elle est et il est bien mieux pour tout le monde que je reste seule. Maintenant, part si tu veux, je te trouverais un endroit tranquille ou tu trouveras un prince charmant mais c’est tout ce que je peux faire…

Aloysia avait les lèvres pincés, attentive au moindres mots de la jeune femme. Alors comme ça, Sofia l’appréciait. Pour la princesse, ce n’était pas suffisant mais elle préférait le garder pour elle. Aloysia avait trouvé depuis longtemps la solution à leur problème et Sofia l’avait justement souligné. Elle prit une inspiration et parla d’une voix dénué de toutes émotions.

- J’ai la solution à notre problème. J’y ai réfléchis et je pense que c’est ce qui a de mieux à faire. Vous ne voulez pas vous encombrer avec des sentiments, moi non plus.
Aloysia fit une pause, réfléchissant au comment annoncer sa solution qui serait sans aucun doute radical.

- Je ne partirais pas. Mais traitez moi réellement comme une esclave. C’est la seule façon pour nous deux de nous en sortir et de peut être trouver un équilibre. Si vous ne voulez pas que je vous considère autrement que comme ma Maîtresse, il faut alors que vous adoptiez un autre comportement. Si ne vous êtes pas assez ferme, je n’aurais de cesse de remettre votre autorité en jeux et je tenterais forcément de prendre le dessus. Ce que vous ne voulez surement pas, je suppose.

Aloysia savait qu’elle tendait le bâton pour se faire battre mais c’est ce qu’elle attendait. Elle ne voulait plus penser aux sentiments qui l’habitaient concernant sa Maîtresse. Maintenant c’était à Sofia de se décider.  Mais elle avait peur que cette dernière refuse, depuis le début elle la traitait avec tendresse et elle la voyait mal changer de comportement. Mais on peut toujours avoir des surprises…

2
La princesse se cala en face de sa maîtresse, les yeux dans le vague. Aloysia ne savait pas ce qu’elle attendait de la réponse de Sofia mais elle ne fut en aucun cas surprise par celle que la kitsune lui délivra. Alors comme cela, elle ne voulait qu’une servante… Pleins de questions subsistait dans l’esprit de la jeune femme mais elle ne savait pas par quoi commencer. Par contre, les questions de la kitsune restèrent sans réponse car la princesse s’immergea complètement dans l’eau avant de ressortir la tête. Ses long cheveux blond était maintenant plaqué sur sa tête et ses yeux étaient braqué sur ceux de sa maîtresse. Elle prit finalement la parole mais sans prendre la peine de répondre aux précédentes questions de la kitsune. Encore un moyen de montrer sa rébellion.

- Vous mentez.

Deux mots. Une vérité. Pour Aloysia, personne ne pouvait s’endurcir au point de ne pas apprécier la compagnie de quelqu’un, de ne pas avoir besoin de se reposer sur un ami, ou de ne pas être capable de ressentir de sentiment. Mais la jeune princesse ne précisa pas sa pensée, elle était persuadé que sa maîtresse comprendrait le sens de ces deux mots. La jeune femme avait peut être vécu toute sa vie dans un véritable cocon, elle savait que l’être humain ne pouvais pas vivre seul.

Elle ré-analysa les paroles de la kitsune et quelque chose la frappa. Aloysia avait l’impression de se prendre un mur. Son visage se ferma et elle se leva, ne supportant pas de rester plus longtemps en compagnie de la kitsune. Elle sortit du bain et pris une serviette qu’elle enroula négligemment autour de sa poitrine. Aloysia planta son regard dans celui de sa maîtresse.

- Je viens de réaliser que j’es été bien sotte. Je viens seulement de comprendre que j’ai donné ma première fois à une personne qui ne me considère que comme sa servante.

Aloysia se dirigea vers la porte l’ouvrit et jeta un dernier regard par-dessus son épaule.

- J’ai besoin de me calmer.

Puis elle referma violemment la porte et se retrouva dans le couloir. Elle ne savait pas où aller pour être tranquille. Elle alla alors au fond du couloirs où se trouvait un petit escalier et elle le monta quatre à quatre sans faire trop de bruit car elle ne voulait pas que la kitsune devine où elle se cache.

Elle ouvrit la prote qui se trouvait au sommet de l’escalier et déboucha sur ce qui devait être une sorte de grenier. Elle ne fit même pas attention aux objet entreposé mais donna un coup de pie puéril dans un carton. De la poussière s’éleva et Aloysia toussa. Elle n’arrivait plus à accepter de passer du statut princesse à simple servante. Elle avait été bien gentille et docile depuis le début mais c’était plus qu’elle ne pouvait en supporter. Elle alla s’asseoir dans un coin de la pièce, replia ses jambes et posa sa tête sur ses genoux.

Des larmes coulaient sur ses joues. Elle ne voulait pas que la kitsune viennent et la voit dans cet état là. Sa fierté en prendrait un coup et Aloysia risquerait de s’énerver, ce qui ne lui était jamais arriver, enfin si une fois. Elle avait fais peur à ses amis devant ce changement d’attitude, elle était devenue froide et presque violente. Mais elle avait eu ses raisons. Aloysia connaissait maintenant mieux sa maîtresse et savait qu’elle ne pourrait jamais rien attendre d’elle. Il allait falloir qu’elle l’accepte et fasse avec.

Les nerfs redescendait doucement et sa respiration se calmait mais elle ne se sentait pas prête à redescendre et se retrouver en face de la kitsune. Elle se rappela des conseils de son père pour qu’elle devienne une grande reine. Elle devait savoir cacher ses émotions, comme au poker disait sa mère. Jeu humain que sa mère avait tenté de lui expliquer. Elle retrouva le sourire en voyant le visage de ceux qu’elle aimait et se leva. Elle se dirigea vers la porte, prit une grande inspiration puis l’ouvrit. Alosyia arborait désormais un visage neutre qui ne trahissait aucune émotion. Mais ses yeux la trahissait et étaient légèrement rougis. Elle descendit les marches sans un bruit, ne sachant pas où se trouvait la kitsune car elle n’avait aucune idée du temps qu’elle avait passée seule dans le grenier. Elle h ésitait, la princesse ne savait pas où aller. Elle regarda sa tenue et s’aperçut qu’elle était encore en serviette, il allait falloir de toute évidence qu’elle aille dans la chambre se trouver une tenue plus décente. Elle prit alors une démarche assurée et elle ouvrit la porte qui donnait sur la chambre de la kitsune sans prendre la peine de frapper.

3
La réprimande de la kitsune fit sourire la princesse. Elle aurait en effet beaucoup de mal à cacher son petit côté autoritaire qui pouvait ressortir quelques fois. Aloysia avait été conditionnée ainsi. Elle avait aussi beaucoup de fierté mais en la prenant par la douceur, on pouvait presque tout en faire. Elle ne réagit pas lorsque Sofia lui donna un petit baiser car elle était un peu vexée de se faire ainsi remettre à sa place. Car plus elle connaissait la kitsune, plus elle prenait son aise. Ce qui n'avait pas vraiment plus à cette dernière. Aloysia frotta ses poignets après avoir été détachée, elle avait tiré sur la corde et ceux-ci étaient légèrement échauffés. 

La princesse laissait la douce queue de sa maîtresse caresser, ne répondant pas pour l'instant à la remarque de sa maîtresse. Elle la vit se lever et se diriger dans la salle de bain puis elle lui proposa de la rejoindre. Aloysia avait en effet besoin de prendre un bon bain aprés leur activité. Elle se leva donc et alla rejoindre sa maîtresse qui se trouvait déjà dans la baignoire. Sans attendre, Aloysia s'immergea dans l'eau et s'assit en face de la kitsune. Elle était toujours un peu vexée mais elle se détendait grâce à l'eau chaude. Elle ne regardait pas la jeune femme en face, boudant presque comme une enfant. Finalement, elle brisa le silence qui s'était instaurée entre elle deux.

- Je représente quoi pour vous ? Et surtout qu'attendez vous de moi ?

4
Aloysia poussa un gémissement frustré alors que la kitsune se retirait de son intimité. Elle la regardait les yeux suppliant de continuer, et ne comprit pas tout de suite ce qu’il se passait. Sa maitresse lui souleva les jambes et lui donna une tape sur les fesses. La princesse ne comprit pas tout de suite le pourquoi de ce geste mais s’ensuivit ensuite l’explication de sa maitresse. Elle arqua un de ses jolis sourcils blond. On n’avait jamais oser porter la main sur elle avant et elle comprit enfin l’étendue du pouvoir que Sofia possédait sur elle. Jusqu’ici, ceci lui paraissait assez fictif et comme un jeux de rôle. Si ceci s’était passé alors qu’elle était dans son royaume, le roi aurait fait couper la tête de celui-qui avait oser porter la main sur sa fille. Et Aloysia n’avait pas du tout aimé ce geste et ne put s’empêcher de fusiller du regard la kitsune. Son corps lui ne s’était pas soucié de cela et avait réagit tout autrement. Elle en mouillait plus abondamment.

Finalement la belle jeune femme repartit à l’attaque de son corps et elle reprit ses caresses linguale là où elle s’était arrêtée. Aloysia tirait sur ses liens alors que son corps tremblait d’excitation et de plaisir. Ses hanches ondulait sous les caresses de la langue de la jeune femme. Elle sentit une nouvelle fois le plaisir monter en elle et elle poussait des gémissements de plus en plus audible et emprunt de plaisir. Finalement tout son corps se tendit alors que ses yeux se fermèrent sous le puissant orgasme longtemps refoulé. Puis ce plaisir redescendit, la laissant haletante.

Elle ne répondit pas tout de suite à la question de sa maitresse mais répondit d’abord au baiser qu’elle lui donnait puis c’est avec un petit sourie malicieux qu’elle prit la parole.

- Une punition ? Alors vous avez de drôle de punition car je n’en ai jamais eu d’aussi agréable…

Elle disait vrai. Lorsqu’elle était punie, généralement sa gouvernante l’obligeait à lire un livre entier sur les théorie politique et devait en faire un résumer d’une bonne dizaine de page. Et ça, c’était une vrai torture pour Aloysia qui préférait aller dehors rejoindre ses cousins. Alors là, elle ne voyait aucun côté désagréable , elle n’avait ressentit que du plaisir. Un peu de frustration, certes, mais ceci était vite balayé par l’orgasme qu’elle avait eue ensuite.

- Vous pouvez me détacher maintenant ?

Aloysia était de plus en plus à l’aise avec sa maitresse et sa timidité laissait place à son caractère plus affirmer. Elle ne pouvait pas changer du tout au tout non plus. Elle était habituer à mener tout le monde à la baguette et tout le monde lui obéissait aux doigts et à l’œil. Par moment son caractère une peu autoritaire ressortait… Trop peut-être ?

5
Aloysia plissa son front d’inquiétude en entendant les propos de sa maitresse. Elle ne l’avait pas fait exprès à la base mais avait insisté à cet endroit en imaginant que cette zone était elle aussi érogène… Elle faillit s’excuser mais s’arrêta net lorsqu’elle comprit à quoi serviraient les rubans. Elle se laissa faire, ne mettant pas vraiment de bonne volonté pour se soustraire aux bons soins de Sofia. Qu’elle le veuille ou non, cela l’excitait.
Son dos se cambra légèrement en sentant les griffes de la kitsune sur ses pointes durcis. Elle ne pouvait plus caresser sa maitresse et cela l’embêtait un peu de ne pas pouvoir lui donner du plaisir. Si on lui avait décris la scène alors qu’elle vivait encore dans son château, elle ne l’aurait pas cru et ne se serait pas laisser faire. Elle se serait débattu et aurait tout fait pour garder son honneur et sa fierté. Car être attaché démontrait que la kitsune pouvait absolument tout lui faire…et elle adorait cela.

- Punissez-moi, maitresse…

Elle sentit ensuite sa belle maitresse s’occuper une fois de plus à la zone si sensible de son intimité qui a le don de lui arracher des gémissements in-contrôler. La princesse tente vainement d’échapper aux doigts agiles de la jeune femme mais ses mouvements deviennent de moins en moins énergiques et tout doucement elle se laisse envahir par le plaisir qu’elle lui procure. Le plaisir se faisait de plus en plus présent et elle le sentait monté en elle puis redescendre. Sa maitresse contrôlait habilement son plaisir et ne la laissait pas atteindre la délivrance que l’orgasme lui donnerait. Son corps se couvrait de sueur et ses cheveux commençaient à coller dans son cou et sur son front. Elle gémissait désormais de plaisir sans retenu et son corps ondulait sous les sensations de plaisir qui l’envahissait.

- Encore…

Aloysia avait sans vraiment le vouloir utiliser le ton princier qu'elle employait lorsqu'elle donnait des ordres. Mais elle avait l’impression qu’elle allait devenir folle de plaisir mais pour rien au monde, elle ne souhaiterait que cela s’arrête. Chaque fois que sa maitresse s’arrêtait pour ne pas qu’elle jouisse, elle suppliait, chose qu’elle n’avait pas vraiment l’habitude, et bougeait ses hanches pour que la kitsune accède à sa demande mais rien y faisait. Elle ne sut combien de fois elle crut atteindre le point culminant… Aloysia ne désirait plus qu’une chose, jouir…

6
Alors que la maitresse caressait ses lèvres intimes, Aloysia se laissaait littéralement happée par le plaisir que la jeune femme lui procurait grâce à ses doigts expérimentés. Elle fermait de temps à autres les yeux, appréciant les frottement excercé par la kitsune sur son sexe. Elle n'arrêtait pas ses caresses pour autant et continuait de s'attaquer à sa poitrine. Alors qu'elle continuait de malaxer un des seins de sa maitresse, elle prit le téton de l'autre entre deux doigts et commença à le titiller avec douceur. Elle n'était que débutante dans l'art du plaisir mais espérait pouvoir lui donner un peu de ce qu'elle recevait. Elle vit alors sa maitresse porter ses doigts à sa bouche, goutant à son jus de plaisir et ses yeux s'écarquillèrent un peu et elle rougit. Sa maitresse la rassura et lui dit qu'elle avait bon goût. Ce geste lui avait paru bizarre mais vraiment excitant.

- Merci, maitresse...

Mais déjà les doigts agiles de la jeune femme retournèrent s'occuper de son entrejambe et lorsqu'elle sentit les doigts caresser son antre, un long frisson lui parcoura l'échine et un gémissement se fit entendre. Elle sentait que sa maitresse faisait attention à ne pas briser son hymen et elle regretta presque de ne pas sentir les doigts de la jeune femme aller profondément en elle. Mais une autre zone attira l'attention de la jeune femme et elle lâcha quelques gémissements plus sonores que les précédents. Elle ne savait pas vraiment comment sa maitresse s'y prenait pour lui donner autant de plaisir. Les mains de la princesse continuait de s'activer sur le corps de la kitsune mais ses gestes étaient de plus en plus passionnés et elle pétrissait avec plus d'envie et de force la belle poitrine de la jeune femme.

Son corps étaient complètement à la merci de sa maitresse et elle aimait cela. Se faire dominer étaientdès plus excitant pour la jeune princesse qui avait eu l'habitude de commander et d'imposer ses choix aux sujet du Royaume.
Elle lâcha un des seins de la belle jeune femme et descendit une de ses mains au niveau de ses fesses pour les caresser. Elle embrassa alors langoureusement sa maitresse, caressant sa langue de la sienne et jouant avec elle. Un des doigt innocent de la jeune femme passa sur l'anus de de sa maitresse puis se mit à le caresser avec douceur. Elle était dans l'improvisation totale et n'avait aucune idée de ce qu'elle faisait. Cette main, au bout de quelques minutes, alla se balader sur le pubis de la jeune femme et elle caressa ensuite les lèvres intimes de la kitsune. Elle pouvait sentir de la mouille s'étalée sur ses doigts et elle fit comme sa maitresse précédemment et les porta à ses lèvres pour les lécher.

- Vous aussi avez...bon goût.

Aloysia sourit un peu gênée par le geste qu'elle avait reproduit sans réfléchir et sa main retouna s'occuper de l'intimité de sa maitresse.

7
La maitresse enleva le morceau de tissu cachant son intimité et la lenteur de ce geste déclencha des frissons à la princesse. Elle était désormais complètement nue devant la jeune femme comme un peu plus tôt. Mais cette fois-ci, la suite des événements serait différente et très excitante. Aloysia sentait le corps nue et chaud de la kitsune contre le sien et ce contact ne la faisait que plus désirer Sofia. La main de la jeune femme s'égara sur son ventre et la princesse frissonna une nouvelle fois en sentant sa main si proche et pourtant si loin de son mont de vénus.

Finalement, les doigts de la jeune maitresse s'attardèrent sur son pubis et Aloysia ferma les yeux de plaisir, la respiration légèrement accélérée. Son corps répondait avec plaisir au caresses de la kitsune et toutes ces sensations physiques étaient nouvelles pour elle. Elle ne s'était jamais caressée et était donc complètement pure avant le début des caresses de sa maitresse. 

- C'est si bon... Continuez maitresse, s'il vous plait...

Puis elle sentit un doigt de la jeune femme caresser ses grandes lèvres et un petit soupir de plaisir s'échappa de ses lèvres. Elle voulait plus de sensations... Mais la jeune femme s'en rendrait rapidement compte grâce à la cyprine qui s'écoulait de son sexe. Pendant ce temps, Aloysia caressait avec délicatesse le dos de son amante puis elle commença à s'occuper de la poitrine généreuse de sa maitresse, les malaxant avec douceur. Elle alla une nouvelle fois chercher les lèvres de son amante avec douceur, passion et tendresse... Elle s'attachait doucement mais sûrement à cette jeune femme qui ne la jugeait pas et qui lui faisait maintenant découvrir le plaisir charnel...

8
Aloysia sourit au compliment de sa maitresse. Elle n'avait pas la prétention d'un jour devenir aussi sensuel et sexy que la kitsune mais elle y travaillerais, rien que pour plaire à sa maitresse et qu'elle soit fière d'elle. La princesse répondit avec passion au nouveau baiser qu'elles échangeaient. La kitsune savait faire monter l'excitation de la jeune princesse, notamment grâce à ses queues qui sont d'une douceur incomparable sur ses cuisses. Les sentir aussi proche de son intimité, maintenant humide, faisait un peu plus monter le désir de l'esclave qui se décoinçait au fur et mesure.

La suite fut encore plus plaisante pour la jeune femme. Elle pût sentir la main de la kitsune caresser ses seins et les sensations que cela lui procuraient étaient vraiment délicieuse. Les joues d'Aloysia étaient légèrement rose d'excitation et de plaisir. Elle pût ensuite sentir la main de la jeune kitsune s'approcher de son intimité et crut tout d'abord que Sofia allait finir de la déshabiller mais elle s'arrêta et retira même sa main. Leur lèvres de séparèrent et elle pût sentir de petits mordillement au creux de son cou qui entretenait le désir qu'elle éprouvait pour sa maitresse.

- C'est incroyable... Mais ne vous arrêtez pas...

La kitsune pourrait entendre presque une supplication dans la voix de la princesse. Elle voulait continuer ce moment de douceur et de plaisir. Et maintenant qu'Aloysia était excitée, elle voulait aller au bout. Elle caressait pour l'instant le dos de sa maitresse avec douceur, ne sachant pas trop comment d'y prendre pour donner du plaisir comme le faisait si bien sa maitresse. Ses mains descendirent aux niveaux des cotes de la jeune femme et elle les caressa avec tendresse alors que ses lèvres cherchaient de nouveau celle de sa belle maitresse.

9
Aloysia sourit à la réponse de sa maitresse, soulagée que celle-ci respecte son choix et n'en demande pas les raisons. Car secrètement, elle espérait encore rencontrer son prince charmant. La princesse avait été éduquer sans le but de se marier et surtout donner des héritiers à la couronne. La kitsune représentait beaucoup pour la jeune femme mais son rêve de petite fille était toujours présent dans un coin de sa tête. 

Le baiser qu'elles échangèrent eut le mérite de la faire quitter sa réflexion et elle se reconcentra sur le magnifique ballet qu'elles avaient entamé. Leur langues se séparaient pour mieux se retrouver ensuite. Leur échanges buccales s'intensifiaient avec le temps et Aloysia sentit l'excitation commencer à sérieusement grimper quand la jeune femme commença doucement à enlever sa robe. Au fur et mesure que le tissu dévoilait sa peau, la princesse désirait plus ardemment Sofia. 

Une fois qu'elles étaient toutes les deux en sous-vêtements, la jeune maitresse lui demanda d'enlever son ruban. Les joues de la princesse s'échauffèrent et l'excitation monta en flèche. Elle allait voir la jeune femme nue... Elle entreprit avec douceur de défaire le nœud qui maintenait ce ruban autour du corps de son amante. Elle déroula le ruban avec lenteur, passant sa main sur la peau qui devenait au fur et à mesure visible. Elle dévoila d'abord sa poitrine et ensuite son intimité. Aloysia était complètement rouge et ne savait plus vraiment où poser son regard. 

- Vous êtes magnifique.

Aloysia sourit mais ne savait pas trop quoi faire,attendant encore une fois que sa maitresse prenne les devants.

10
La princesse sourit en voyant la jeune femme détacher ses cheveux. Elle était encore plus belle au naturelle. Aloysia écarquilla les yeux en voyant les sous vêtement de sa maitresse. Ce n'était qu'un ruban qui entourant son corps, cachant ses parties intimes. Alors voilà à quoi servait les rubans qu'elle avait acheté au magasin... Aloysia les avaient remarqué et c'était posé la question de savoir à quoi cela pourrait bien servir à la kitsune. Elle avait maintenant la réponse. Elle se sentait de plus en plus excité du moment qui allait venir. Elle en avait de plus en plus envie.

La question fit légèrement rosirent les joues de la princesse. Elle Voulait lui donner sa première fois mais pour l'instant elle désirait garder une chose.

- Je veux le faire avec vous... Mais...mais je veux juste garder pour l'instant mon...mon hymen intact...

La jeune femme rougit. Elle voulait gouter au plaisir de la chair. Mais, peut être était ce dû à son éducation, elle préférait pour l'instant que ce soit un membre d'homme qui rompe son hymen et qu'elle perde toute virginité. Le reste de son corps appartenait à la jeune femme et elle en frémissait d'avance. Elle se colla contre Sofia et requerra un autre baiser. Elle était déjà accroc au lèvres de sa maitresse. Elles étaient si douce. La princesse sentait son désir monter doucement mais elle avait du mal à prendre les commandes et préférait que ce soit la kitsune qui s'occupe d'elle...

11
Sa maitresse ouvrit grand la porte et elle était sublime dans son kimono. Elle s'était apprêté juste pour Aloysia et cela faisait vraiment plaisir à la princesse. La kitsune la rejoignit sur le lit alors qu'Aloysia sentait déjà ses joues s'échauffer. Elle savait ce qui allait suivre et rien que l'imagine la faisait rougir.

- Vous êtes vraiment magnifique ! Je n'aurais pu rêver plus belle maitresse.

Aloysia sourit timidement avant que Sofia ne s'empare de ces lèvres. Leur baiser fut sauvage et langoureux et Aloysia goutait enfin aux lèvres de la kitsune. Leur langue avait entamé un ballet qui était des plus agréable pour la jeune femme. Sofia se sépara d'elle et Aloysia la laissa faire à regret. Elle aurait voulu continuer à l'embrasser jusqu'à l'ivresse mais sa maitresse lui demandait si c'était comme elle se l'imaginait.

- C'était encore mieux que dans mes rêves... Et vous sentez si bon...

Aloysia avait les joues légèrement rosé par leur baiser mais n'était plus autant gênée. Elle enfouit sa tête dans le cou de la jeune femme pour respirer l'odeur de la rose. Elle déposa un petit baiser sur sa peau parfaite avant de retirer sa tête. Aloysia plongea ses yeux dans ceux rubis de sa maitresse et son regard dérivait indubitablement vers les lèvres de sa maitresse. Elle souhaitait encore goûter ses lèvres vermeilles. Elle approcha avec douceur son visage et déposa un baiser long mais tendre. Ce fut elle qui interrompit le baiser et elle sourit à sa maitresse. Elle était vraiment attirée par Sofia et cela ne pouvait que se comprendre. Elle était belle, sûre d'elle et savait vous charmer d'un seul regard. Elle s'allongea sur le lit avec douceur à coté de la jeune femme et son sourire était clairement une invitation. Elle voulait passer à l'étape suivante...


12
Elle resta donc sagement à attendre sa maitresse dans la cabine comme elle le lui avait demander. Aloysia attendait lançant quelques regard derrière le rideau cherchant à apercevoir la kitsune. Elle avait toujours peur de se retrouver seule et qu'il lui arrive à nouveau quelque chose. Heureusement sa maitresse revint rapidement chargé des paquets.

Elles sortirent du magasins et la princesse restait près de la kitsune. Elle pouvait voir les regards se poser sur elle, elle en avait l'habitude étant une princesse, même si ce n'était pas le même genre de regard. Elle n'avait pas perdu ses réflexes de princesse, la tête haute, une démarche assuré et gracieuse. Elle avait passé des années à s'exercer et cela ne s'oubliait pas. Tout était automatique et ses gestes étaient devenus naturels.

Une fois rentré, la jeune femme posa les affaires par terre et s'éclipsa après lui avoir demander d'aller l'attendre dans sa chambre. Aloysia obéit sans un mot et monta les marches qui conduisait au nid douillet de la kitsune. Elle ouvrit la porte et la referma derrière elle avec douceur. Les battements de son coeur s'accélerent en réalisant ce qui allait peut être se passer dans quelques minutes. Elle s'assit d'abord sur le lit puis se releva quasiment aussitôt, incapable de rester en place. Elle marchait dans la chambre, essayant de se calmer. Elle avait l'impression d'être une jeune femme veant de se marier qui attendait son maris pour leur nuit de noce. On lui avait expliquer comment cela devait se passer, il y a quelques années. Normalement s'était le mari qui attendait sa nouvelle épouse dans la chambre. L'esclave sortit de ses pensées alors que de très léger pas s'approchait de la porte. Elle avait hérité d'une ouïe plus fine que les humains à défaut d'avoir des attributs animalier. Son coeur ratta un battement alors que la poignée s'abaissait et que la porte s'ouvrait...

13
Aloysia hocha la tête après la réponse de sa maitresse mais se demanda ce qu'elle aurait à essayer. Elle la laissa mettre des gants noir qui lui rappela les gants qu'elle portait parfois dans les bals organisés par les nobles. Elle enfila ensuite une longue robe noire sans doute de soirée aussi. La robe était vraiment très sexy, peut être encore plus que celle que Sofia lui avait prêté. Cette dernière finalisa en arrangeant ses cheveux et la princesse s'admira dans la glace. Elle ne se reconnaissait pas et avait l'impression de voir une étrangère. Elle semblait vraiment être une femme fatale dans cette tenue et cela la changeait vraiment de ses habitudes vestimentaires. Ses formes étaient mise en valeur et ses jambes paraissaient plus interminables. Si ses parents l'avaient vu comme cela, ils en auraient fait une crise cardiaque. Surtout sa gouvernante. Mais tout cela était du passé et cette tenue plaisia tà sa maitresse.

- Disons que ça me change. Il va me falloir un peu de temps pour m'habituer... Mais j'aime bien.

Aloysia lui sourit avant de rougir après le sous entendu plus qu'évident que Sofia venait de faire. La jeune princesse essya de se callmer et sourit timidement. Elle ne savait pas trop quoi répondre à cela et était de nouveau mal à l'aise, à croire que sa maitresse aimait la mettre dans l'embarras. Ce qui était surement le cas.

- Pourquoi pas...

Aloysia baissa les yeux, incapable de regarder la kitsune en face. Elle avait articuler difficilement sa réponse, complètement destabilisée. Elle reprit doucement son aplomb et un petit sourire s'étira sur ses lèvres.

- Je reste comme ceci ou je remet votre robe ?

Aloysia savait qu'elle plaisait beaucoup à sa maitresse dans cette tenue et elle trouvait dommage de l'enlever pour retourner chez elles. Elle aimait aussi se sentir belle et désirable et elle pensait aussi un peu à la suite. Les sous-vêtements que portaient la jeune femme était sexy et s'il se passait quelque chose une fois rentrer, elle voulait être la plus belle possible pour la jolie kitsune.

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Ville-Etat de Nexus / Re : La petite sirène...nymphomane ( PV: Lyli )
« le: jeudi 29 décembre 2011, 16:33:18 »
Bien, tu es raisonnable princesse... bien qu'une personne normale aurait nager à toute vitesse vers la surface plutôt que risquer sa vie pour cet objet.


Aloysia fronça des sourcils. Cette couronne était le seul lien qu'elle avait conserver de son ancienne vie mais elle ne pouvait pas l'expliquer à la sirène sans se noyer. Elle la laissa donc faire même si cela énervait franchement la princesse d'être aussi faible. C'est vrai, elle avait préféré tenter de reprendre sa couronne plutôt que de sauver sa propre vie. Mais elle était comme ça. Elle sentit un doigt de la jeune femme titiller son clitoris et elle devait se retenir de garder la bouche fermer pour ne pas gémir et avaler de l'eau. Elle répondis au baiser avec douceur, toujours dans l'optique de retourner plus vite à la surface.

Elle sentit ensuite la sirène passer sa main dans sa culotte puis rapidement un doigt entra en elle. Aloysia se demandait vraiment jusqu'où elle comptait aller car elle sentait lentement mais surement la diminution de ses réserves d'air. Elle fusilla du regard la sirène après sa remarque, faute de pouvoir s'exprimer. Elle ne se sentait pas du tout à l'aise dans l'eau et la peur de se noyer continuait à lui nouer l'estomac. Elle sentit sa culotte descendre le long de ses cuisses et sentit les mains de la jeune femme lui caresser ses hanches.

Tu es tellement belle... tu mérite amplement ton titre de princesse

Aloysia fut franchement surprise que la sirène lui fasse un compliment. Elle eut un petit sourire de remerciement et se laissa allonger sur le sable. Elle commençait à voir des bulles s'échapper de son nez, preuve qu'il lui faudrait rapidement de l'air. Aloysia paniquait toujours intérieurement lorsqu'elle sentait son air atteindre un niveau bas. Elle avait de nouveau l'impression qu'elle allait se noyer. Elle sentait les mains de la jeune femme s'activer sur sa poitrine. Cela l'aurait excité si elle n'était pas à des mètres et des mètres de la suface. Mais son corps réagissait de lui même aux caresses de la jeune femme. Elle ne semblait pas s'apercevoir qu'elle manquait de plus en plus d'air. Elle sentait d'ailleurs de l'eau rentrer dans sa bouche. Elle n'allait plus tenir longtemps. Elle ne voulait pas bruquer la sirène ni la mettre en colère mais si elle avait pu, elle se serait jeter sur elle pour l'embrasser et ravoir de l'air dans ses poumons. Au lieu de cela, elle choisit la douceur et elle caressa la joue de la sirère et un de ses doigt alla caresser avec douceur la lèvre de la belle brune. Elle indiqua ensuite ses propres lèvres. Elle n'avait pas trouver mieux pour indiquer qu'il fallait absolument qu'elle est de l'air. La princesse esclave jeta un coup d'oeil vers la surface et espérait pouvoir y remonter au plus vite. L'eau n'était vraiment pas son élément...

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Aloysia trouvai la situation de plus en plus gênante. Désormais, sa maitresse savait qu'elle était attirée par elle. Elle l'avait piégé dans des filets. Mais Aloysia ne s'était pas braient débattu pour en sortir. Elle avait même foncer dedans avec plaisir. Aloysia n'était déjà plus la petite princesse qu'elle était avant de la rencontrer. Elle devenait doucement mais sûrement une femme sous les yeux de la kitsune. Elle laissa la jeune femme lui enlever sa nuisette mais elle évitait son regard car elle était toujours un peu gênée de la scène précédente. Rien que de sentir les doigts fin de sa mairesse lui procura de délicieux frissons et la chair de poule en prime. Son corps réagissait tout seul et la demi-Néko découvrait tout ceci.

En sentant les mains de la jeune femme lui mettre les porte-jarretelles, elle sentit un peu d'excitation monter et son entre-jambe s'humidifia légèrement. Aloysia serra un peu plus des jambe pour ne pas que Sofia remarque les réactions qu'elle sucitait en elle. Une fois qu'elle portait la tenue complète, elle s'admira dans le miroir et cela lui fit vraiment drôle. Sa poitrine et ses jambes fines étaient mises en valeur dans cette tenue. Elle avait l'habitude de porter de longue robe qui cachait ses formes alors qu'ici...on ne voyait que cela.

La remarque de la jeune femme la fit sourire. Et oui, elle était la petite souris qui ne demandait qu'une chose: de faire manger par le chat. Mais cela, elle avait encore du mal à se l'avouer. Pour elle hier encore, ce n'était pas vraiement imaginable que deux femmes est une relation et là, elle avait clairement envie de découvrir de nouvelle sensation avec sa maitresse. Inconsciemment, elle cherchait même une raison pour décider sa maitresse de la dévorer tout crus. Aloysia tenait ses mains dans son dos, laissant sa maitresse profiter de la vue.

- M-merci, c'est agréable de faire du shopping avec vous... Je continue d'essayer d'autres tenues ou nous rentrons ?

Aloysia n'en avait pas marre, loin de là. Mais elle ne savait pas si elle devait continuer les essayages, quelle tenue mettre. Elle voulait que Sofia soit satisfaite d'elle et elle aimait sentir le regard remplis de désir de la jeune femme se poser sur son corps.

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