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« le: mercredi 29 mai 2013, 23:58:41 »
Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de mouchoir goût bolognaise organisé tout les six cents quatre-vingt-quatre mille millions d'années, soit un peu plus d'un siècle, plus deux. Ce kikko-lol maléfique était d'ailleurs peu connu de l'agence de notations Moody's... Ce qui était con d'ailleurs car c'était ces employeurs. Ainsi devint-il le premier disciple du roi, dans son combat contre les goodies japonais pas cher fabriqués par les Vieux Gars, mystérieuse tribu issue du fin fond, pour ne pas dire fion, car celui-ci était tout-à-fait... Aussi sombre qu'un lama que l'on aurait émasculé au paprika sur la place publique... De st martiens ! Cependant dans une soucoupe volante, on se livrait à d'étranges activités, particulièrement d'ordre intellectuel, telles que la rage du gros orteil ou le viol de cerveau humain avec des chansons pourries comme le générique de champs-Elysées. Pas de bol comme King Kong qui, par bêtise, a accepté l'invitation de Michel Drucker, et décidé d'interpréter le chant de
l'ornithorynque qui balayait l'immense terrasse du batiment appartenant à un calamar yakuza, à la langue de tapir. Aujourd'hui, le Seigneur Gilgamesh, gobeur de gallinacées gomorrhéennes, gâche la gastronomie guerrière de Guadeloupe grâce à des gambas gustativement agaçantes et agressives. C'est alors que débuta la sixième guerre du sushi sacrée, lorsque le vélociraptore géant lança une banane sur...