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Les bas fonds / Re : Nouvelle rencontre. [PV]

« le: dimanche 03 octobre 2010, 00:11:56 »

Saphyra s'appliquait bien, drôlement bien à la tache, comme toujours elle disposait d'un appéttit puissant, vorace pour le sexe, se délectant du "plat" offert à sa bouche, passant de son petit anus qui, grâce aux excavations langoureuses de sa longue langue, s'était déjà bien détendu, élargi, à ses douces petites lèvres de chatte, au bon goût de cyprine agglutinée, dégoulinante sur son corps, Aaaah la petite garce... Sa punition n'en était pas réellement une à en juger par la quantité de mouille qu'elle lui refourguait, et ce n'était pas pour lui déplaire, loin de là, celà semblait redoubler ses efforts, la force de ses coups de langues, de la caresse plus appuyée de ses lèvres, sentant cette savoureuse petite chatte remuer, se tortiller en vaine résistance face à son propre plaisir.

Mais cette petite chose n'allait pas se laisser faire, pas aussi facilement, Elle mordilla ses belles grandes bourses avec une rage qui, malgré la densité décuplée de la résistance métabolique, physique de la démone lorsqu'elle était en excitation, lui fit bien mal, plus de par l'écrasement de ses objets délicats, que par la morsure en elle même, mais elle ne broncha pas plus que celà, si elle n'était pas habituée aux jeux de douleurs dans des ébats sexuels en provenant tout droit des enfers dédiés au sexe, elle ne le serait donc jamais, n'est ce pas ? Donc... ça n'interrompit pas son repas, et au pire du mieux, lui élargit un sourire, écartant ses cuisses pour, à la limite, la laisser faire, geste qu'elle regrettera bientôt.

Surtout quand la tête dure de cette sale petite garce s'écrasa sur ses bourses violemment, il y avait certains seuils de douleurs, et d'irrespect de son corps auxquels Saphyra ne s'accordait parfois pas d'aller, et l'écrasement pur et simple de ses bourses n'en faisait pas partie, surtout lorsqu'on ne sait pas doser la bonne touche de douleur avec la bonne pincée de plaisir.

Là, oui on peut dire qu'elle n'avait pas apprécié du tout, voir absolument pas, elle se mit à grogner, et releva assez haut le corps de Pandora pour que ses yeux croisent les siens, une petite veine palpitante à la surface de son front, refermant doucement un regard de tueuse sur celui du petit chaton.

-Puisque tu as l'air si pressée d'utiliser ta tête, ainsi que ta bouche pour quelque chose...

La laissant redescendre doucement, laissant glisser sa petite poitrine contre ses seins bien grands et fermes, son visage exposé au gland de la démone en rut, une verge pulsant et bouillonnant de désir recouverte de veines, Saphyra s'extasia de la sentir se débattre quand elle put sans doute, se rendre enfin compte de la longueur qu'elle risquait de se prendre dans la gorge, dansant à nouveau sensuellement contre le corps de la petite chose.

-Puisque ton appétit te pousse à essayer de gober mes bourses...

Elle planta sa bouche sur son pieu, ne lui laissant pas le temps, finalement de réfléchir beaucoup à ce qu'elle allait faire, ni le temps à sa bouche sans doute entrouverte de surprise, de se refermer pour ne pas l'acceuillir, sa verge était au moins aussi, voire, bien plus dure que le reste de son corps, elle pouvait y aller avec ses dents si elle en avait envie, elle ne ferait peut être que l'errafler à la surface.

-...Utilise le à bon escient... hhhhmmmmmmm ♥ prends bien ta respiration... ma belle petite salope... Tu vas en avoir besoin...

Inexorablement, elle l'enfonça sur sa lance, lui caressant d'abord la langue, le palais, lui chatouillant les amygdales avant de cogner contre le fond de sa gorge, la trachée un peu fermée opposa quelques résistances, elle sentait le corps de la jeunette tressauter devant l'introduction très invasive du large et long membre, mais elle s'en délectait, sadique, tout en continuant de lui bouffer l'anus, attaquant même parfois son vagin avec ses dents pointues de démone, afin qu'elle se rendre bien compte de l'extrême appéttit de sa "maitresse" du moment pour la "chose".

Belle panthère violacée, sensuelle, voluptueuse ondulant sur sa proie, enfermée entre ses bras, et plantée sur son vit, qui, pénétrait... et s'enfonçait, déformant un peu la gorge de Pandora pour aller enfin se loger dans les conduits plus proches de l'estomac, lui laissant tout le loisir d'aller perdre son nez, ses lèvres et son menton, dans sa toison pubienne rose-violette, la "fichant" sur son sexe en la gardant de loooongues et interminables premières minutes, suffocantes, rendant difficille chaque respiration pour elle.

-C'est bon, n'est ce pas ? en tout cas... Haaaaah... moi j'adores...

C'était une position parfaite... sa gorge en ligne droite directement avec sa bouche permettait un coulissement, une pénétration de sa gorge, de ses lèvres, bien profonde, tellement longue qu'elle l'emprisonnait de toute manière contre son corps, son corps fiévreux, empli d'un désir tel qu'elle en perlait de sueur, ça allait être bon, en tout cas... pour elle, elle n'aurait plus de pitié si cette proie essayait encore de se rebeller, où de protester d'une quelconque manière.

Mais à en juger le redoublement de liquides produits par cette petite chatte, être possédée de la sorte n'avait pas l'air de lui déplaire, tout du moins, c'était le language physiologique, pour ce qui est du psychologique... bah... de toute façon elle ne s'y interessait pas en ce moment, pas excitée comme elle l'était.

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Les landes dévastées / Re : Un combat éreintant (pv Saphyra)

« le: samedi 02 octobre 2010, 05:19:55 »

Quel plaisir... parfois de remettre les pieds dans des domaines aussi proches de l'enfer, les corps étendus... le paysage désolé parsemé de petits cratères, d'autant de marques de combats, de fureur qui laissaient l'esprit de la démone imaginer quels genre d'hommes au corps bien battit, musclé avaient pu ici abattre leurs lourdes armes, dans l'effort, les cris rugissants, la mêlée mortelle.

Pourquoi s'était elle encore perdue dans un endroit aussi moche tout compte fait... parce que c'était aussi l'un des rares endroits où elle pouvait assouvir ses pulsions sur des soldats blessés, les soigner un peu pour obtenir une récompense, récompense qu'elle prenait de force quand on lui résistait de toute manière, la silhouette de la plantureuse donzelle démoniaque se dandinait sur ses hauts talons, déjà qu'elle était grande, elle portait des espèces de hautes plate formes, semelles épaisses qui, permettaient à quiconque croisant son chemin d'avoir une incroyable vue sur certaines parties de son corps.

Alors qu'elle s'apprêtait à rebrousser chemin aux détours de deux chariots brisés, et de vieilles ruines de maisons détruites, quelque chose...

...l'odeur...

...haaaaah...

... La délicieuse... odeur d'un mâle... d'un mâle haletant... d'un mâle en sueur... d'un mâle épuisé par son combat acharné, celà lui fit immédiatement tourner la tête, elle s'approcha en direction de la silhouette armurée, devinant à l'odeur, devinant à la condensation s'élevant dans les airs, à quel point son corps devait être chaud, raffermit par l'effort.

Elle se planta devant l'homme, posant ses mains sur ses hanches, assez proche de lui pour qu'il ait une vue imprenable sur ses courbes féminines, sa peau violacée, ses jambes bien écartées, face à son "repas" elle s'accroupit, posant doucement ses mains autour de son torse, laissant ses ongles presque griffus gratter sur ses plaques d'armure, et son regard néantin se planter dans celui du guerrier.

-Quel beau fruit bien mûr tu fais... mais de quel arbre es tu tombé ? Laisses moi donc t'éplucher un peu...

Ses ongles, s'intercalèrent entre les plaques et les rivets de soutient, les faisant sauter un à un, laissant retomber ses plaques sur le sol, afin de dévoiler à ses yeux ses épaules, son torse et son ventre, terriblements chauds, sur lesquelles ses mains récoltaient la sueur avant que sa langue ne vienne s'ajouter aux fines caresses de ses doigts, qu'elle lèches et goûte à cette peau chaude, à cette sueur salée, accumulée par des heures de "cuisson" sous son armure.

-Voilaaaahhh qui est mieux, n'est ce pas hmmm ?

Evidemment, ce qui ne risquait pas de passer inaperçu pour ce pauvre bougre exténué, c'était évidemment le service trois pièce dont elle était dotée, et, si les uns l'auraient espéré discret, ce n'était en rien le cas chez cette entreprenante démone, son vit était dressé à tout rompre, comme d'habitude lorsqu'elle était à ce point excitée, obsédée... Il finirait probablement par avoir peur, vouloir fuir, ce qui rendrait les choses plus compliquées... Mais si elle était venue à sa rencontre, c'était également pour profiter de sa grande fatigue, de son exténuation, pour goûter à ce guerrier affaibli.

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Les bas fonds / Re : Un endroit tiède, humide... et terriblement... odorant. [PV Perona]

« le: mardi 28 septembre 2010, 06:38:29 »

Étant donné la salive "bullante" et "moussante" s'échappant des lèvres de cette petite chieuse pourrie gâtée, les sons qui parvenaient aux oreilles de Saphyra n'étaient peut être pas aussi clairs, ni entendus que ce que cette princesse pensait prononcer... clairement, donnant plutôt du : "Aaaarghhlblblh ! Arghlrête çarbl ! Le corps dble Perblona ! Tu vablrgl lrgle brlglbriser en morceaurgl !" Enfin passons ces petits détails inintéressants, la bête de Sodom se réjouissait du spectacle, s'apercevant bien vite que même si cette gamine possédant deux pastèques en guise de seins protestait avec véhémence, son corps, lui, parlait un tout autre language face à la puissance dominatrice qui lui martyrisait le corps.

-HMmmmmm ♥  -gémit Saphyra d'une voix qui se fit des plus sensuelles et lascive à l'oreille même de Perona, jouant de sa langue, et de son piercing sur le rebord de cette dernière, en fit le tour avant de s'échouer sur son cou, "caressé" par cette dernière lentement, de bas... en haut, ajoutant à cela, la douce sensation, savoureuse... sensation de sappe physique, de soumission progressive, les forces du corps de Perona, l'empêchant de la plier d'avantage en arrière la quittaient, la tétanie musculaire, la révulsion des yeux de sa "victime" à cette leeeente, et goûteuse agonie calculée.

Et elle s'amusait, ça... oui... elle prendrait tout son temps pour lui faire regretter chaque lettre de chaque mot, de chacune de ses arrogantes petites phrases, en jouant bien de sa douleur lancinante, en jouant bien, avec son endurance, voyez plutôt... déjà... elle relâchait lentement la pression sur son genoux, lui laissant quelques instants de répit où elle pensait pouvoir souffler... relâcher aussi, la pression de ses doigts sur ses poignets, et de ses cuisses enlaçées autour des siennes... pour qu'elle prenne une grande bouffée de cet air nauséabond qui stagnait dans l'air, avant de recommencer... et recommencer... Et.... hmmmm ♥ Recommencer... encore...

Encore...

Et... Encore...

Bientôt elle n'aurait plus beaucoup de force pour lui résister, mais, elle n'avait pas besoin d'aller trop loin, elle était déjà plus faible qu'elle, et il fallait bien que son beau petit corps ait encore la force d'essayer de se mouvoir sur son sexe, essayer de refermer les muscles de son fessier, et de ses entrailles sur sa "lance".

Lance qui, était d'ailleurs au garde à vous, lubrifiée par l'écoulement de Cyprine abondant provenant de ses lèvres, de sa culotte détrempée, impressionnante bure aux proportions impressionnantes, pratiquement chevalines, dont le gland avait écarté le tissus de la culotte pour se placer à l'endroit qui obsédait plus que tout la démone, tournoyant en cercles pour lubrifier la peau de son petit anus lisse.
 
"Je t'ordonne de relacher Perona ! Perona est une princesse tu dois obeir a tous ses ordres !"

-A vos ordres ma princesse... Je ne saurai désobéir à une figure aussi noble que vous, surtout quand la proposition est aussi alléchante...

A la grande surprise de Perona, sans doute, pour quelques secondes où elle pouvait penser qu'elle obéissait en toute bonne foi, Saphyra relâcha ses bras, pour la relâcher... enfin, elle n'allait pas aller bien loin... une fois qu'elle l'eut lâchée la même Loi qui fut citée dans la réponse précédente de Saphyra exerca son pouvoir sur le corps de la princesse, qui retomba donc sur son mandrin, pour s'y empaler de son propre poids, sans même avoir besoin de son aide, La moitié de sa verge salie par les résidus et les rejets du bassin d'où elle sortait précédemment, mélangée à la cyprine, glissa merveilleusement bien dans ses entrailles, coulissant progressivement jusqu'au fond du conduit étroit.

-Oups... pardon.

Saphyra donna quelques coups de soc avec le bassin, pour que le reste de son engin plonges bien à fond, ses délicates mais puissantes mains appuyèrent de concert sur les hanches de cette dernière, elle la sentait tremblante, et raidie de surprise, probablement les yeux grands écarquillés, la langue sortie et les dents serrées, les mains de Saphyra pétrirent ses hanches avec une envie démesurée, une envie exploratrice qui était traduite par l'enfoncement inexorable... lent... de ce phallus presque géant, lui lissant les boyaux, au point où même la peau du ventre de la veinarde se tendit, poussée par ses viscères remplies, appuyant sur la couche de muscles abdominaux, laissant apparaître légèrement la "forme" de son burin.

Là, à cet instant, lorsque sa toison pubienne, violette caressa la raie de ses fesses et que ses bourses violacées, douces rebondirent contre ses lèvres, la démone prit un temps d'arrêt, se cambrant en arrière en soupirant d'aise, de satisfaction, tout était entré... et ça faisait un moment qu'elle n'avait pas pénétré quelqu'un jusqu'au fond, il lui fallut une petite pause, pour se remettre de ses émotions, elle laissa s'échapper une bonne coulée de sperme pour lui graisser les entrailles.

-Tu as d'autre ordres à me donner ? Oh... suis je bête ♥... si tu as déjà du mal à respirer avec ça... comment serais tu capable d'aligner assez de mots pour formuler une phrase...

Saphyra élargit un sourire sadique sur ses lèvres, en se penchant vers Perona pour poser son imposante, ferme et lourde poitrine bien contre son dos, la plaquant, visage contre un des murs sales, mousseux et dégoulinant de suintements d'humidité de cet endroit, lui plaquant progressivement tout le corps contre le mur, pour qu'elle laisse son engin coulisser en arrière, qu'elle se sente libérée, refermant ses chairs comme un entonnoir derrière son passage, assez lentement pour que Saphyra lise sur les traits de son visage, et les contractions musculaires de ses entrailles, de son corps, le "soulagement" que provoquait le geste.

- Alors comme ça... je suis une gueuse... Hmmm ? Pour faire une bonne princesse... haaann ♥ Il va falloir que tu apprennes à te rouler dans la plus basse des fanges, pour comprendre... ton peuple.

La démone remonta d'un coup "sec" dans son fondement, se plaisant de la sentir fébrile, tremblante, nerveuse, tout autour de l'objet phallique, qui, pulsait tellement fort, à épaisse veines autour de ce sexe plus foncé, plus violacé que tout le reste de son corps, les veines pulsaient tellement fort du sang dans cet organe qu'il lui était possible de ressentir chaque battement de coeur de la démone dans son beau petit fion écartelé, répandu en echo dans ses entrailles comme une percussion de basse, ou de tambour.

- Lèches le mur... Cette fois... c'est moi qui te donnes un ordre... et ne m'obliges pas à me répéter.

Saphyra colla cette fois tout son corps contre celui de Perona, la prenant en sandwitch contre le mur, tournoyant lentement ses hanches alors qu'elle était à fond en elle, pour écarteler son postérieur et "masser" ses boyaux, laissant sa langue démoniaque, longue, pourvue de plusieurs piercings sur toute sa longueur, lécher la raie des fesses de sa "proie", remontant jusqu'au plus haut de son dos, par chance... ou par malheur, le top trop serré, comprimant les seins et une partie haute des côtes de l'arrogante petite peste lui serrait les chairs autour de son sexe, l'étouffant légèrement en plus de lui procurer une belle sensation d'étroitesse pour Saphyra, de remplissage pour Perona.

 

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Les bas fonds / Re : Un endroit tiède, humide... et terriblement... odorant. [PV Perona]

« le: dimanche 26 septembre 2010, 02:02:13 »

Saphyra ne s'attendait pas à ce que l'ours soit aussi fort, écarquillant les orbites lorsque son poing s'abattit dans la muraille pour y déloger une brique, elle siffla, souriante, avant d'élargir un grand sourire amusé, surenchérissant probablement comme une bonne comédienne sur l'effet de fausse-surprise qu'elle rendait, plus ou moins "bien".

La peluche sous estimait peut être les capacités à répliquer de la démone, quand la brique fut lancée dans sa direction, elle écarta simplement bien ses grandes jambes, presque en grand écart pour que sa croupe, son vagin et ses bourses épousent le sol, tandis que son visage se retrouva... amorti, dans la poitrine de la jolie, en profitant au passage, pour lui mordre un téton de ses dents pointues à travers le tissu de son t shirt si serré qu'il laissait facilement apparaître toutes les formes de cette dernière.

Cette gamine manquait de jugeote, assez, en tout cas pour jeter une brique dans sa direction, alors qu'elle se trouvait devant "son" corps étendu, et avec sa tentative d'esquive, la brique percuta le mur au dessus de la tête de cette irritante petite pimbêche, mais comme tout objet ayant rencontré un obstacle dans sa course annulant les forces qui la meut, malheureusement newton avait établi une loi universelle et je ne vous ferait pas l'affront  de vous en resservir la définition, mais la brique retomba donc sur la tête couronnée, jouant ainsi au ping pong avec ses propres neurones.

C'est en observant les conséquences des actes irresponsables de la gamine que Saphyra décida tout bonnement de prendre... le corps inanimé de la princesse en otage dans une position assez... troublante, affichée a ses propres yeux.

Elle put admirer son propre corps assise sur son manche qui dépassait d'entre ses jambes, les pieds ballants au dessus du vide, et la tête comprimée, maintenue droite entre deux coussins ronds de peau violacée et de chair ferme, les cuisses de la vilaine démone, aussi agiles que puissantes, vinrent écarter les jambes de cette petite emmerdeuse, l'une de ses mains pétrissait, malaxait fermement son sein droit, pendant que l'autre, elle, s'amusait à glisser sur son ventre en direction de la naissance de ses lèvres.

Pour finir, elle rajouta une danse exotique de son bassin, qui laissait le haut de la longueur de sa verge frotter contre sa culotte, ajoutant à celà les envoûtants gémissements de la succube, qui prenait un plaisir pervers à cette "posture" dominante, jouant déjà avec la souplesse de sa victime en écartant plus que de raison ses cuisses.

-HMmmmmm ♥ Si tu continues à te lancer des briques je pense que ça n'arrangera rien à ton cerveau dérangé... Allons... sois bonne perdante et sors de là qu'on joues toutes les deux... De toute façon... que tu le veuilles où non...

Lui mordillant la lèvre inférieure en comprimant d'avantage ses seins entre ses doigts puissants, seins... qui étaient désormais tellement pétris d'une poigne démoniaque qu'ils semblaient déborder de leur chair entre les doigts de Saphyra, doucement, mais sûrement, un de ses genoux vint s'imbriquer parfaitement dans le centre du dos de la "princesse" mettant à mal la souplesse de cette dernière en tirant sur ses bras et ses jambes, ainsi, son dos formait un "pont" arqué vers l'arrière, et de la bave moussue sortait de sa bouche, même si elle était inconsciente, les effets d'un tel traitement restaient les mêmes.

-... Tu me céderas... mais soit sûre de me céder avant que ce ne soit un de tes os... qui ne se rompe...
 
En tout cas celà érigeait le dard de cette démone à tout rompre de lui plier, lui tendre son corps à la limite de sa souplesse, de sentir ses muscles et ses tendons lutter inconsciemment contre la rupture, les spasmes et les déglutitions rauques, de sa respiration devenue difficille par la tension de son propre corps.

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Les bas fonds / Re : Un endroit tiède, humide... et terriblement... odorant. [PV Perona]

« le: samedi 25 septembre 2010, 00:19:24 »

"N'est ce pas ? C'est vrai que c'est loin d'être l'endroit que Perona préfère ! Et elle n'a aucune envie de se fricotter avec des monstres ! Retournons vite la chercher !"

Saphyra eut un léger sourire en coin, si elle savait avec quoi elle risquait de "fricotter" une fois qu'elle l'aurait menée à son corps, elle allait goûter, et ce, pour très longtemps aux odeurs de ces égouts, la perspective de donner une bonne leçon à cette prétentieuse, de lui racler le fondement en l'obligeant à lécher les sécrétions sûres des murs commençait tout bonnement à dresser son chibre, et ce, alors même qu'elle marchait dans la vase et la puanteur des liquides stagnants des égouts, tout en suivant l'imposante peluche.

...D'ailleurs, cette peluche, il faudrait qu'elle s'en débarrasse une fois arrivée, alors qu'elle réfléchissait à un moyen quelconque de s'en défaire, la voix insupportable de sa maîtresse trancha net avec l'ambiance flairant bon la crasse par bruits sourds de liquides déglutissant et suintant depuis les murs de ces égoûts :

"Si tu me sers bien gueuse je consentirais a te donner quelques atours pour te vétirs ! Tu pourra alors dormir au chaud auprès de tes quinzes frères et soeurs ! Qu'as tu a dire pour remercier ta princesse ?"

Saphyra n'en croyait pas ses oreilles, elle voulut rire mais le retint bien profond dans le fond de sa gorge, plaçant l'une de ses mains sur ses lèvres, ça avait si bien fonctionné que cette princesse se prenait pour sa "sauveuse", son égo et son orgeuil bien engrossis, ça n'en serait que plus délectable lorsqu'elle l'obligerait à lécher son membre qui était désormais recouvert du liquide le plus dégoutant qui soit par sa faute.

Lorsque l'ours pointa du doigt le corps étendu de la "princesse" Saphyra ne put s'empêcher d'admirer les courbes de sa future "proie" par chance, elle était jeune et belle, avec une opulante poitrine, peut être pas aussi outrageuse et ferme que la sienne, mais très agréable au regard, bien "comprimée" dans un t shirt qui semblait presque l'étouffer, sa façon de se vêtir renforçait l'impression pourrie gâtée, de fille de riche intouchée à qui on cède milles et un caprices.

Sa descente en enfer n'en serait alors, que plus délectable, savoureuse... longue...

Tout en sortant de l'eau le plus tard possible, comme si elle voulait laisser "mariner" son sexe dans la mélasse pour qu'il s'ompreigne bien de l'odeur, elle détailla l'anatomie du regard de sa future proie sans la moindre gêne. Et pendant cette auscultation, les mains gourmandes de cette succube s'activaient sur son propre corps. Ses doigts enserraient son vit érigé, glissant de haut en bas sur toute sa longueur. L'autre main caressait un sein avec lenteur et délicatesse. Ses mouvements masturbatoires s'accéléraient à chaque fois que le regard démoniaque caressait la poitrine "écrasante" de cette  "princesse".

De temps en temps, tout de même, l'impudique allait se mordiller le mamelon, penchant sa tête sur ces seins arrogant, difficilement soutenus par ses mains fuselées. La distinction et l'étiquette ne semblaient pas effleurer l'esprit pervers de cette maléfique grande fille.

Son petit manège dura à peu près jusqu'à ce qu'elle soit complétement hors de l'eau, une jambe, et l'autre bien écartées, relevant bien la forme musculeuse, ronde de ses fesses, enjambant le corps de la jeune femme, ses formes soulignées par l'écoulement de l'eau poisseuse sur sa magnifique galbe, son "mandrin" dressé à tout rompre, avait triplé de taille par rapport au "repos", prenant une pose des plus aguicheuses, indécentes, en pointant son "engin" en direction du visage de la princesse.

- Mes hommages, ma dame... Puis plus bas : -...ce genre de fadaises.

Mais il était temps de se débarrasser de l'ours :

- Prépares toi, mon chou, je suis un experte du... hmmm...

Sous les yeux de ce dernier, Saphyra se lécha le majeur, dévoilant le piercing de sa langue, avant de le glisser dans sa bouche. Elle le ressortit finalement, poursuivant :

- ...corps à corps.

La démone était déjà dos tourné par rapport à l'ours, se cambrant bien souplement en avant tout en s'écartant une fesse d'une main, pointant son doigt humide contre son anus fermé. L'anneau musculeux s'écarta avec une facilité déconcertante, pour accueillir le petit veinard. Le membre chevalin était tendu à tout rompre, tressautant sous la pénétration digitale.

-Je sens qu'on va bien s'amuser...

De la provocation... Elle ne connaissait pas la force d'un ours en peluche de cette taille mais ça ne devait pas être bien difficile de lui arracher les membres les uns après les autres, après tout, il n'était fait que de tissu et de mousse.

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Les bas fonds / Re : Un endroit tiède, humide... et terriblement... odorant. [PV Perona]

« le: vendredi 24 septembre 2010, 23:05:45 »

Les recherches de Saphyra se firent bientôt interrompre par le plus désagréables des rires sur une voix toute aussi agaçante, irritante pour les oreilles, et le contenu du discours que cette voix portait haute et fort dans les galeries résonnait facilement jusqu'aux oreilles de la succube phallique.

" Ararararara !C'est le jour de chance de Perona ! Il faut être bien bête pour jeter un diamant pareil dans les égoux !"

La grande et plantureuse démone se redressa doucement pour afficher face a la grosse peluche la virilité démesurée de cette dernière, elle comprit facilement qu'il venait de retrouver "son" diamant, qu'elle observa brièvement, parce que la taille imposante de cet énorme ours en peluche obstruait presque toute la galerie.

"Hélà gueuse ! C'est la princesse Perona qui te parle ! Et elle cherche la sortie de ce trou a rat ! Je t'ordonne de me guider jusqu'a une sortie !"

-G... Gueuse...

Deux secondes... avant de s'emballer, maintenant que sa verge était au repos, le sang accumulé dans son organe sexuel pouvait enfin "mieux" irriguer son cerveau et lui permettre de mieux "réfléchir", elle se lissa le contour des lèvres du bout de l'ongle de son index, souriant à l'idée de trouver la princesse arrogante qui tirait les ficelles de cette marionnette, donc, c'est en jouant le jeu de cette grognasse qu'elle se mit à trépigner d'une fausse envie joyeuse de l'aider, sautillant pour faire rebondir ses formes, et jouer la pimbêche nunuche complétement idiote de surcroit.

-Ô Joie ! Ô Bonheur de vous aider princesse ! Je serai honorée de vous servir de guide afin que vous regagniez la surface !

C'est ça... Jouons son jeu un petit moment... Elle trouvait cela amusant tout compte fait, jouons les gourdasse, et peut être que ce gros nounours la mènerait a cette fameuse "princesse" qui tires les ficelles de cette marionnette ridicule, mais impressionnante de par sa taille, elle effectua une élégante, mais néanmoins sensuelle courbette de ses formes dénudées, passant son regard parfois, sur la grosse paluche tenant son diamant, ne faisant pas l'erreur de préciser qu'il s'agit du sien, enfin, pas encore.

-Cet endroit est loin de convenir à votre royale personne, Diable, laissez moi vous mener hors d'ici, avant qu'ils ne scellent la sortie pour la nuit !

Elle se doutait qu'elle ne devait pas être très loin pour envoyer un "garde" du corps s'enquérir de chercher la sortie, elle devait même se trouver dans ces égoûts, sans savoir où, cette réplique n'avait pour but, que de la paniquer afin qu'elle la conduise à elle.
 
-C'est très dangereux de s'égarer dans les égoûts, il y a parfois de très grosses, vilaines créatures qui y vivent, qui s'en prennent aux sans abris qui croient pouvoir y passer la nuit, si si, on n'a retrouvé que leurs os le lendemain !

-Sans même vous parler des chauves souris arracheuses de cheveux, des limaces acides, des rats rongeurs de chair...

-Mais dépêchons nous, n'est ce pas ? Sortons vite d'ici avant qu'il nous arrive du malheur !

Elle l'espérait assez niaise pour croire à son barratin, pressant l'urgence et le stress de la chose afin qu'elle préssente un danger qui n'existe pas, après tout, cet endroit était assez malsain et lugubre pour ressembler à l'antre possible de créatures monstrueuses et cannibales.

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Les bas fonds / Un endroit tiède, humide... et terriblement... odorant. [PV Perona]

« le: vendredi 24 septembre 2010, 20:40:46 »

Il s'agissait carrément des égouts des bas fonds... là ou stagnaient tous les immondices de la ville, des rats crevés pris dans les grilles d'évacuation dispensaient leur odeur de chair en putréfaction, de charogne dans cet endroit, un endroit qui sentait presque aussi bon que l'enfer, personnellement, Saphyra appréciait les odeurs les plus malsaines, autant qu'elle savait savourer les plus doux et précieux des parfums, depuis les bouches de déversement d'autres odeurs ragoutantes, soufrées, âcres,  venaient se mêler à l'ambiance des galeries.

Les murs suintaient comme cyprine dégoulinant d'un vagin, ils avaient l'air de "transpirer" d'eux mêmes, recouverts d'une mousse verte foncée qui avait des allures moelleuses, au centre, entre deux rives, un écoulement d'eau nauséabonde, aux reflets colorés, stagnant d'algues, de mousse, et parfois même de quelques ossements de rats bloqués par l'accumulation d'ordures dépassaient de ce bourbier infâme.

Pourquoi est ce que Saphyra se trouvait dans un endroit pareil ? Vous demanderez vous, eh bien les formes de la silhouette aguicheuse de notre grande démone se penchait, par ci, par là, à la recherche d'un objet qu'elle avait fait tomber comme une gourdasse à travers les grilles de la surface, elle avait reçu comme paiement d'un mandataire, un petit diamant qui aurait pu lui rapporter une jolie fortune si elle n'avait pas été tentée de l'observer dans tous les sens en sortant dans la ruelle.

Idiote, tête en l'air, où légèrement irresponsable, un peu des trois, elle oublia que dans ce coin de la cité, elle attiserait la convoitise de bandits, de voleurs en agitant un objet brillant entre ses doigts, elle s'était faite bousculer par un pique pocket, à qui elle fit rapidement regretter d'avoir tenté de lui dérober son bien, lui flagellant le visage avec une arme de choix, sa bure bien droite et dure, avant de lui briser la mâchoire sur un de ses genoux, et de faire en sorte qu'il se rappelle de ne plus jamais s'en prendre à elle, en lui démontant l'arrière train façon "puzzle", et de finir par l'expulser sur la lune d'un bon jet de foutre puissant, avant de lui briser le dos sur sa verge tendue lorsqu'il revint de son voyage en orbite autour de la terre.

Quand elle en eut terminé avec son agresseur-agressé, elle était donc descendue dans les tréfonds de cet endroit pour le moins dégueulasse lui tirant dans un premier temps, un haut le coeur, afin de retrouver son bien, relevant l'une, ou l'autre de ses belles mèches blanches pour les repasser derrière une corne, où une oreille lorsqu'elle se baissait, et affichait son arrière train au mur, sa poitrine ferme et rebondie au sol.

Franchement... Le simple fait de devoir retrouver un diamant dans le pire des endroits qui pouvait exister dans cette ville lui rétrécissait tout de même son "engin" qui était désormais au repos.

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Prélude / Re : Gurdal, le nain

« le: jeudi 23 septembre 2010, 04:49:18 »

Bienvenue, belle hache...

@Khaléo : T'en fais pas, sa "maman" n'est pas loin... *regard plus qu'intéressé en pelotant bien le fessier du chaton au passage*

*Tires Véro par la cheville et la ramènes à la maison.* Viens ici toi... tu as un bain a prendre... et cesses de manger des cochonneries...

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Les terres sauvages / Re : La quintessence farouche et indomptable d'une créature sauvage. [pv ambroise]

« le: mercredi 22 septembre 2010, 23:11:12 »

[ Je n'ai jamais étée très difficile, même si j'avoue aimer le "bon" jeu, je n'ai pas de plaintes à formuler jusque là, je suis en train de prendre mon pied ^^ ]

C'est étrange... toutes les femmes, et parfois même les hommes, avaient toujours le même argument idiot pour refuser ses avances, ça allait du "Mon dieu, c'est trop gros" au "ça n'entrera jamais" sous estimant l'élasticité, l'extensibilité de leur propre corps, et de leur anneau anal, Ce qui se traduit chez l'Ange par ce même genre de rengaine :

« Han.. Vous n'allez pas me prendre par.. la vous allez me déchirer... »

-Oooh, tu sais, elles disent toutes ça... mais c'est toujours entré et sans problème... SI... si si, ça passe.

Maintenant, c'était au tour du "lit" de se plaindre...

"-Ca va ? je vous emmerde pas trop là haut j'espère ? Non mais il faut le dire parce que je peux aussi servir de repose pied, de meuble de salon, et accessoirement de porte manteau, suffit de demander, quoi..."

Un lit si doux et soyeux, un duvet blanc et fin, posé sur une belle musculature adulte, rablée et sauvage, parcourue de belles paires de rayures noires, qui, soulignaient ses formes hybrides, légèrement félines, et à vrai dire, cette sensation de puissance bestiale, couplée aux grognements, et roulements rauques faisant vibrer son corps, ravissait les fesses rondes, bien fermes et musclées de Saphyra à un point qu'il ne pouvait sans doute pas imaginer, ajoutez à cela les coups de "fouet" prodigués par sa queue dans son dos musclé, et il y avait de quoi tendre sa verge à tout rompre.

Elle aurait pu répliquer au tigre, et lui demander s'il voulait bien cesser de fuir, et se prêter a leur jeu, mais... sa queue de tigre l'interrompit alors qu'elle prenait de l'air, entrouvrant la bouche pour répondre, elle sentit quelques chose de très doux, qui la fit frissonner, et hoqueter à la fois, écarquiller les yeux avant de se sentir carrément étranglée...

Sa queue possédait une force qu'elle ne lui soupçonnait pas, il étranglait bien, et fort avec, presque aussi puissante qu'une bonne grosse poigne, tout ça ne faisait que l'exciter, et lui donner de plus en plus d'idées peu catholiques sur l'utilisation qu'il pourrait en faire sur elle, là, elle avoua être quelque peu "dépassée" par les évènements sur le coup, surprise, elle se saisit de la queue pour l'empêcher de l'étouffer pour de bon, abandonnant Ambroise à son sort, et sa liberté sur le coup.

L'Ange continuait de lui prodiguer du plaisir, le vilain tigre roulait de colère et relevait son dos en contractant ses muscles qu'elle sentait par le biais de ses fesses, elle répliqua en resserrant ses puissantes cuisses sur les flancs du tigre, et elle était forte la bougresse, surtout excitée à ce point, l'étranglement bien dosé sur sa gorge, son corps tendu, arqué en arrière pour lutter contre la force du sauvage qui, s'était transformé en taureau essayant de les désarçonner, c'était du petit lait pour elle et son plaisir.

-HAaaaaaaan ♥

Fit elle, lorsque finalement, tellement excitée par les évènements, que sa poigne redoubla de force pour s'écraser contre la queue du tigre, aussi musculeuse et puissante soit elle, ça restait tout de même un point sensible et fragile si sa force s'en trouvait plus grande que la sienne, assez en tout cas, pour la tordre, et c'est ce qu'elle se mit à faire, la tordre pour l'obliger à s'arrêter, pour l'obliger même à se retourner sur lui même pour suivre le mouvement, la torsion de sa queue, afin de l'écraser dos sur le sol, et de profiter maintenant de la force de ses abdominaux.

-Je suis douée pour les massages, non ? hmmm ♥ Allez, retournes toi...

Tout cela faisait partie d'un jeu sadique, pour épuiser le tigre, et elle était douée pour ça, il fallait qu'elle le brise physiquement, vienne à bout de son endurance, l'épuise, l'essoufle, il fallait reconnaître qu'elle était assez impressionnée, qu'il oppose encore une telle résistance, une résistance qu'elle prendrait du plaisir à briser, en tant que guerrière, puis, en tant qu'amante, elle comprimait sa queue, la malaxait, la tordait à foison, la mordillait tout en souriant, obligeant peu à peu son corps à se retourner, sans quoi, elle lui déboiterait un à un les os de cette queue de tigre, ce qu'elle trouverait dommage étant donné l'agilité et la force dont elle était capable, s'imaginant déjà pouvoir l'accueillir dans l'un ou l'autre orifice, mais tant pis, s'il résistait, elle n'hésiterait pas à lui tordre, et ce, autant de fois qu'il le faudrait sur elle même pour qu'il se retourne.

-ALLEZ ! FAIS CE QUE JE TE DIS !! TOUTE RÉSISTANCE EST INUTILE !!

Elle murmura à l'oreille d'Ambroise :

-Aides moi à le maintenir au sol... aides moi... à l'obliger à céder sans que je doives recourir à la violence... tu n'aimerais pas, n'est ce pas... qu'il y ait effusion de sang... que j'aille à devenir violente avec lui... Regardes le... il est déjà blessé...

A vrai dire elle n'en avait pas envie non plus, elle n'avait jamais aimé devoir abimer physiquement ses proies, si l'emballage pouvait rester plus ou moins intact, pour le plaisir des yeux, si l'Ange pouvait faire quelque chose afin d'aider son esprit à se laisser aller au lieu de résister inutilement, ça se passerait beaucoup "mieux" pour lui, jouant avec les émotions, et les sentiments de l'Ange pour parvenir à ses fins, bah, dégueulasse et lâche de recourir à ce genre de méthode ? Peut être... mais je suis une démone après tout...

 

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Les bas fonds / Re : Nouvelle rencontre. [PV]

« le: mercredi 22 septembre 2010, 22:13:53 »

[Ca ne peut pas toujours être long... pour ce qui est de "danser" laisse moi donc en juger... ]

Elle l'avait mise dans un état d'excitation pas possible celle là, et elle comptait réellement s'en sortir comme ça, en s'évanouissant par terre ?

Il était temps de rendre à son visage, d'autres expressions que celles de la tristesse et l'indifférence, pour le faire rayonner de plaisir, ou même de souffrance, mais autre chose en tout cas.

La démone s'avança, posant ses mains sur ses hanches jusqu'au corps étendu de la petite chatte, secouant son dos du bout de son talon, elle ne réagissait pas beaucoup la pauvre, Saphyra se mordit la lèvre inférieure en s"inquiétant tout de même d'y être allée un peu fort... Elle ne l'avait pas tuée tout de même ?

Elle venait de protéger son violon, c'était quelque chose d'important pour elle, et de dangereux pour la démone, Saphyra s'abaissa pour attraper la petite créature par les cheveux, et la soulever par ces derniers, lui arrachant son violon des mains pour l'examiner un temps, elle semblait y tenir, et posséder un pouvoir intéressant avec ce dernier, qui, pourrait lui servir plus tard si elle en faisait son esclave obéissante, elle reposa donc le violon sur le sol.

Cette ruelle crasseuse, humide lugubre et sombre, convenait ma foi, parfaitement à ce qu'elle allait lui faire subir, maintenant qu'elle était à elle, sans défense, de son autre main elle ne put s'empêcher de branler sa verge monstrueuse, déjà bien excitée et dressée, pulsant d'un désir vorace.

-Inconsciente... hmmm ? Voyons voir combien de temps tu vas pouvoir rester dans cet état...

Ca ne la dérangeait pas de profiter d'un corps lorsqu'il était endormi, c'était moins drôle, certes, mais ses victimes ne restaient jamais très longtemps inconscientes quand son impressionante bure écartait leurs chairs.

Comme mademoiselle était inconsciente, elle détacha la chaine dorée qui reliait son collier de "chien" à picots autour de son cou, et qui redescendait jusqu'a ses hanches, et elle se dédoubla comme par "enchantement" possédant donc, encore la chaine attachée à ses "parures" et une seconde "laisse" du même type entre ses mains, qu'elle attacha autour du cou de la féline.

-Tu es à moi maintenant.

Elle s'approcha d'un mur, pour retourner, et coller le corps inanimé de la jeunette contre le sien, matûre, bien mure, caressant sa verge, sa peau violacée et ses formes féminines, un peu musculeuses contre les siennes, elle n'était pas très grande et c'était facile de la manipuler, et d'en faire ce qu'elle voulait, imposant le postérieur de cette dernière à son visage, avant de déchirer ses sous vêtements sous l'envie.

Parce qu'il fallait tout de même "préparer" le terrain, même si elle l'avait foutu dans une rage rare, défoncer son petit corps à sec aurait pu lui provoquer d'entrée quelques lésions internes, et elle n'aimait pas "trop" abimer ses jouets, enfin, pas de l'intérieur en tout cas, même si, malheureusement pour elle, il lui fallait trop souvent "battre" l'extérieur de jolies personnes pour qu'on lui offre enfin ce qu'elle désire.

La longue langue de la démone glissa entre ses magnifiques lèvres violines, pulpeuses, et lécha habilement les contours de ses lèvres, se dirigeant ensuite vers ce qui intéressait sa "bête", son petit anus étroit et rose, qu'elle prit un malin plaisir, vicieux, à lécher, écarter doucement en effectuant des cercles concentriques pour le détendre, l'entrouvrir, enfournant sa langue à l'intérieur avant d'aller embrasser sa peau, et la "lécher" à l'intérieur des fesses pour bien lubrifier tout ça.

La démone plaquait l'arrière de la tête de sa victime contre le mur en imposant ses bourses violacées, aussi rondes que deux belles fesses, et bien fermes d'être remplies d'un "trop plein" de pression, contre son visage, caressant toute la longueur de son sexe contre son corps, qui passait entre ses seins, et une partie de la base appuyée contre ses lèvres, la créature possédait une queue féline, qui, devait s'en trouver, être très sensible aux caresses, ce avec quoi elle s'amusa, parcourant toute la longueur de cette fine "queue" d'une main aux doigts agiles, experts et délicats, procurant une espèce de "masturbation" à ce membre, certaine que ça allait envoyer des décharges électriques de plaisir au cerveau endormi de sa victime.

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Les bas fonds / Re : Nouvelle rencontre. [PV]

« le: mercredi 22 septembre 2010, 19:21:22 »

En tant que mercenaire, il n'était pas rare qu'il arrive qu'elle soit blessée, celà faisait partie des prises de risques du métier bien évidemment, La mandale phénoménale qu'elle venait de recevoir n'eut pas l'effet escompté sur une créature aussi frêle, à l'allure fragile, comment avait elle pu encaisser une masse pareille dans son joli minois ?

Ce n'était pas très "logique" pour Saphyra, la petite chose devait peser une tonne, et les cervicales de sa tête devaient être soudées sur des boulons en fonte, raison pour laquelle elle n'avait pas au moins virevolté deux mètres dans les airs avant d'atterrir au sol...

...Ou non... il devait y avoir un "truc" comme une illusion... où une protection... une aura autour de son corps qui devait réduire la force des attaques physiques, pour la protéger, ce pourquoi elle passa ses mains à droite, à gauche, derrière et devant le corps de sa "proie", laissant sa paire de seins fermes, sa peau violacée caresser plus ou moins tendrement le visage de cette dernière tout en continuant ses "investigations", visiblement contrariée par le peu d'impact que venait d'avoir son geste, elle n'y était pas allée de main morte tout de même.

Rien... elle ne trouvait pas le "truc" et ça commençait à l'agacer d'autant plus que la petite continuait de l'ignorer, elle expulsait rapidement de l'air chaud à travers ses délicates narines, une veine palpitant sur son front de n'obtenir ce qu'elle désirait, pour le moment elle ne pouvait pas réellement considérer "ça" comme une façon de fuir sa présence, puisqu'elle restait là, sur place, à continuer son petit train de vie comme si de rien n'était et recommença à jouer.

Mais l'attaque qui suivit pouvait être considérée cette fois comme une véritable protestation, et agression de sa part, lorsque le premier couteau se planta profondément dans son épaule droite... puis un deuxième... et un troisième dans son épaule gauche, quand elle leva la tête pour se rendre compte des allures que venaient de prendre la pluie, un autre couteau se planta dans sa joue, puis dans l'une de ses mains, pour protéger son visage.

Avec un sourire nerveux, serré de ses dents, plissé de rage de ses yeux, elle affirma :

-Tu as fait la plus grosse connerie de ta vie ma jolie...

Sa démoniaque personne et ses formes parfaites s'en voyaient truffées de couteaux de différentes tailles et longueurs, dans ses hanches, le dessus de ses seins, ses trapèzes, épaules, et bras, qui, tentaient de protéger la partie la plus inutile de son corps, sa tête, une ribambelle d'autres couteaux se plantèrent le long de son chibre, du sang commençait à dégouliner sur la peau violacée de la donzelle, qui s'enrageait à chaque nouveau couteau planté, qui étaient, chacun d'eux, considérés par la démone comme autant de preuves d'un refus de coopérer.

-Ô douleur... Ô colère... Je rêves où tu essayes de me tuer, petite pétasse ?

La démone semblait changer légèrement de volume... son corps meurtri gagnait en musculature, et quelques veines palpitantes de colère et de désir apparurent à la surface de sa peau de plus en plus violacée, qui durcissait, au point ou les couteaux avaient de plus en plus de mal, à y entrer, et ceux déjà présents, furent comme "expulsés" les uns après les autres de son corps.

Elle se baissa, pour empoigner les jointures des pavés entre ses doigts, pénétrant le mortier, arrachant une belle surface de pavés qu'elle dressa au dessus de sa tête, un parapluie improvisé pour une pluie tranchante que lui permettait sa force dans l'état où elle se trouvait.

Puisqu'une torgnole n'était pas assez persuasive pour qu'elle fasse fi de sa présence, c'est donc ce morceau de route, qu'elle, lui balança sur sa jolie petite gueule, espérant tout de même que cette fois, cela soit assez efficace pour l'empêcher de jouer à nouveau.

-J'ai assez entendu ta musique, si tu dansais avec le diable maintenant ?

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Les terres sauvages / Re : La quintessence farouche et indomptable d'une créature sauvage. [pv ambroise]

« le: mercredi 22 septembre 2010, 08:12:51 »

Avec une certaine prudence qui fit sourire Saphyra, lentement, l'Ange se laissa plutôt facilement tenter, apprivoiser par le vice que représentait chaque cellule de son corps, qui criaient au pêché, pour ne pas l'effrayer tout de suite avec ses pulsions, la démone se fit violence lorsqu'elle commença à lui lécher le pourtour de ses tétons, de ses belles lèvres rouges carmines, goulue d'un bel appétit, elle laissa échapper un gémissement presque grogné de plaisir.

- RrHAaaan ♥ T'en fais une belle salope pour un Ange... et douée avec ça...

Saphyra se mit à suivre le rythme des mains d'Ambroise dans un déhanchement sinueux du ventre et de ses hanches, et bien vite, elle passa à son service trois pièces, Bon sang ?! Cette créature semblait aussi "affamée" qu'elle, elle ne regretterait pas avoir fait un détour, et s'être aventurée plusieurs heures dans la forêt pour trouver un beau diamant brut.

Ses mains étaient douces, sa peau fine sur la sienne, eut rapidement fait de lui dresser son abominable verge aux proportions plus que raisonnablement généreuses, droit devant elle, allant s'écraser doucement sur le ventre de l'ange, remontant jusqu'au décolleté de son corset, tappottant plusieurs fois le bout de son gland à cet endroit, par simples "spasmes" musculaires induit depuis la base de son sexe, dans toute sa verge.

Bientôt, entre deux caresses durant lesquelles elle avait pratiquement tout oublié autour d'elle si ce n'est la charmante et entreprenante présence de l'Ange dans son entourage, elle crut entendre quelque chose comme :

« Laissez le partir je vous en prie... »

Elle le répéta elle même, alors que l'Ange prenait de plus en plus de terrain sur son sexe et mordillait désormais ses seins, se cambrant pour offrir son corps aux envies palpatrices et dégustatives de cet Ange hors du commun.

-OOooh... ♥ Ouuui... ♥ Laissez le partir...

Dit elle sans vraiment comprendre, dans un premier temps de quoi elles étaient en train de parler, concentrée sur son propre plaisir ma foi, bien égoïste jusqu'ici, avant qu'elle n'aille envie de lui rendre la pareille, laissant sa longue langue parcourir ses lèvres pupleuses, plissant ses paupières d'une malice vicieuse, plantant son regard lubrique dans celui d'Ambroise, pour l'envoûter, l'hypnotiser de son regard, ellle partit ensuite l'embrasser fougueusement et sans aucune forme d'avertissement, s'emparant de sa belle bouche avec la sienne, laissant sa langue s'enfouir au plus profond de sa gorge, s'emparer de sa bouche.

Sa langue ne quittait jamais sa bouche, détaillant le moindre recoin, caressant ses amygdales et s'emparant de la langue bien impuissante de l'Ange face à cet organe qui ne manquait pas de force chez cette démone, parfois, ses lèvres quittaient les siennes pour un laps de temps très court, les plaquant à nouveau, pour que la salive de plaisir, abondante produite par la succube ne fasse en sorte que leurs lèvres glissent de mieux en mieux l'unes sur l'autre.

-Hmmmm ♥ Laissez le partiiiiiir ♥

ses bras gainés, musculeux encerclèrent le dos d'Ambroise pour l'enfermer dans un étau compressé contre sa poitrine, avant que ses mains ne suivent habilement les courbes de la silhouette angélique, poignant, pétrissant ses seins à travers son corset, avant de continuer à descendre... pétrir cette fois ses hanches, terminant par malaxer ses fesses avec une habileté remarquable, rapprochant petit à petit ses doigts de l'orifice qui l'intéressait.

-...

C'était le genre de chose qui, dans l'état d'excitation où elle se trouvait, demandait un ééééénorme effort de la part de son cerveau pour recréer des connexions logiques entre ses synapses et ses neurones.


-Laissez le partir...


Elle mordilla l'une des oreilles d'Ambroise, et tandis qu'elle abaissa le regard pour se sucer les doigts les uns après les autres, elle vit la tête de kalhéo dépasser entre les jambes de cette dernière, qui rampait... qui rampait... il fallut un temps pour que la pièce tombe enfin, jugez plutôt :

-Le Laisser partir ?!

Immédiatement elle décida de poser le talon de sa botte au millieu du dos du chaton, chose qui devait s'avérer assez douloureuse, puisqu'elle portait souvent des bottes à haut et grand talons, il n'était pas question qu'elle laisse partir ce morceau de choix, elle prit un plaisir malsain à s'appuyer sur cette jambe, soulevant un peu le corps de l'Ange pour le rajouter à son poids sur sa jambe et "clouer" Khaléo sur place.

-Il n'est pas question que je laisses partir qui que ce soit, et lui...

Elle retira son talon, trouvant qu'il était déjà bien assez abimé à son goût comme ça, pas besoin d'en rajouter à ses cicatrices, elle s'assit sur son dos en emportant Ambroise avec elle.

-...encore moins...

Saphyra éclata de rire, elle trouvait la scène délirante, culbuter un ange sur le dos d'un tigre, s'assurant que le dos puissant de ce beau mâle allait supporter le poids et la force de sa "culbute" avec Ambroise, elle se laissa rebondir une ou deux fois sur ce dernier pour effectivement tester la souplesse de sa nouvelle "descente" de lit.

-T'en fais pas mon doux petit chaton ♥ J'ai un remède universel pour les maux de dos... le suppositoire...

Saphyra chatouilla l'anneau d'Ambroise, doucement avec ses doigts afin d'habituer son derrière, l'attendrir, l'élargir un peu, enfournant l'un, après l'autre, lentement plusieurs doigts dans son derrière angélique, préparant le terrain pour les choses sérieuses.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: mercredi 22 septembre 2010, 02:59:52 »

3 h 01

Bonne nuit Noctis !

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Les bas fonds / Re : Nouvelle rencontre. [PV]

« le: mercredi 22 septembre 2010, 01:47:27 »

La petite chose semblait n'avoir pas remarqué sa présence, un comble pour une démone aux proportions aussi généreuse, aussi bien membrée qu'elle, un affront même... Au lieu de poser le regard dans celui de Saphyra, elle préférait laisser errer son regard sur l'un ou l'autre pavé détrempé de cette bien morne ruelle...

Comme si un stupide pavé pouvait concurrencer une seconde sa beauté naturelle comme si un pavé possédait plus de charisme, de magnétisme qu'elle, comme si...

...un pavé n'existait plus... Elle avait décidé, simplement de l'éclater d'un bon coup de poing pour attirer son attention, pour que son regard capte sa présence et s'en imprègne, après quoi elle ne pourrait plus nier l'évidence même de sa présence, et peut être, qu'enfin les traits dépressifs d'inexpression de la petite chatte allaient s'illuminer de surprise en se posant sur elle, et comme c'est souvent la première impression la bonne...

-Eeeh beh, ça a pas l'air très joyeux la vie tous les jours avec toi...

La musique sortant du violon de ce petit être semblait traverser non pas les oreilles, mais venir se loger directement dans le cerveau en transperçant tous les tissus du corps par résonance, et pour dire franchement, maintenant qu'elle y faisait un tant soi peu attention entre deux pensées et un regard déshabillant déjà la petite chose, c'était un son qui devenait de plus en plus désagréable.

Même si elle était affublée d'une force hors norme, d'un corps plus que bien "équipé", d'une excitation quasi inextinguible, ça ne l'empêchait pas d'entendre cette musique... Et des choses désagréables commençaient à ressurgir du fond des ténèbres, des choses qu'elle n'imaginait pas ressortir dans un lieu pareil, ni à cette époque.

La vision de sa mère d'abord... l'abandon de cette dernière qui en avait fait une orpheline... jamais elle ne lui avait pardonnée, longtemps elle l'avait accusée d'être responsable de l'absence de son père, qu'elle n'avait jamais été assez "forte" pour l'enchainer et l'obliger à rester auprès d'eux, cette vision la perturbait, la démone se mit à regarder autour d'elle...

...Et les images abominables de son lourd passé en enfer ressurgirent comme autant d'aiguilles plantées dans son cerveau, provoquant une douleur incroyable à cet organe, les rapines pour s'en sortir, les viols des personnes qu'elle avait considéré un temps, comme des amis, ou des amies, oui... aussi incroyable celà puisse paraître, elle avait, il fut un temps, des "amis", enfin, avant qu'elle ne soit prise à chaque fois de la plus vile des envies de visiter leur derrière de fond en comble, jusqu'a ce qu'ils en perdent complétement la tête parfois, et ne deviennent de parfaits légumes.

Cette perspective commençait aussi à faire son chemin pour la petite garce qui était apparemment responsable de ces "maux" de tête, mais malheureusement pour elle, il y avait peu de choses qui l'effrayaient réellement, et son cerveau dérangé de démone reprenait vite le pas sur ses émotions, et ses pensées pour que son excitation prime avant toute réflexion logique...

...elle s'avança donc, prit un élan considérable avec l'une de ses mains, haute levée, et gifla violemment la petite musicienne pour qu'elle cesse de jouer, une gifle phénoménale presque capable de lui dévisser la tête, ou de la faire tourner trois fois sur elle même avec la force déployée dans le coup, ou l'assommer nette.

-J'aime quand on me regarde quand je parles... Et il y a matière pour tes yeux...

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Les bas fonds / Re : Nouvelle rencontre. [PV]

« le: mardi 21 septembre 2010, 20:31:30 »

Quelle poisse... alors !

Après s'être joyeusement beurrée la tronche dans une taverne, sous une chaleur de plomb, la démone s'était perdue dans les ruelles sinueuses et crasseuses des bas fonds. Il faut dire qu'imbibée comme elle l'était, Saphyra aurait pu se perdre même dans une grande rue rectiligne, alors dans un labyrinthe pavé... La mémoire de ce qui s'était passé dans la dite taverne, avant et pendant l'absorption d'alcool, lui faisait défaut. Quelques fragments, bribes de mémoire refaisaient surface, des flashs où l'on pouvait admirer le somptueux fessier et la belle poitrine d'une serveuse, avec un uniforme outrageusement révélateur. On voyait aussi des flashs de la même serveuse sans les vêtements, ou bien avec des morceaux, celles... d'un jeune homme aussi, à qui elle avait démonté l'arrière train comme un vulgaire puzzle, il lui avait résisté, et d'une manière très très grossière, et violente en plus, et elle détestes ça, qu'on lui résiste.

Des images de bières, de tonnelets et du corps magnifique d'un hybride sur lequel elle fantasmait encore... Bref... toutes ces images confuses envahissaient la caboche démoniaque, brouillant suffisamment sa vue pour qu'elle percute la plupart des obstacles qui se trouvaient entre elle et l'autre bout de chaque rue. même des gardes parfois, qui auscultaient son "engin" de façon craintive.

Et puis, sans crier gare, la pluie se mit à tomber. Toute cette eau glacée martelant la peau douce et chaude de l'esclavagiste eurent tôt fait de la faire désaouler, enfin, pas entièrement, Malheureusement, avec la raison vint la migraine, tous ses souvenirs lui explosant dans le crâne, comme balancée contre les parois de sa caboche pour rebondir dans tous les sens.

Ainsi donc, elle avait bu pour oublier la perte de ses meilleurs esclaves et avait finis ivre morte, à troncher une pauvre serveuse, non sans détruire une partie du mobilier de la taverne. Et, maintenant, la donzelle était perdue, toute nue, sous une pluie diluvienne, avec un pic-vert , voire un marteau piqueur, logé dans la tête.

Ô joie... Ô agonie...

Maintenant, il s'agissait de trouver un coin où s'abriter. En arpentant les rues, toujours aussi paumée, mais en esquivant admirablement les poubelles qui trainaient, comme par enchantement, comme si dans son code génétique, il y avait un radar à immondices, la maléfique demoiselle entendit quelques sons d'un instrument qu'elle ne reconnaissait pas encore, non, c'était le brouillard encore dans son esprit.

Visiblement on s'amusait dans le coin...


...Enfin non... à mieux y réfléchir et ouvrir les oreilles, c'était une musique plutôt déprimante, comme cette foutue pluie.

 S'en servant comme point de repère, la démone avança, pour finalement se trouver en face d'une mignonne petite chose jouant du violon sous une pluie battante, la démone n'était pas habituée à un tel froid, les enfers étaient tellements plus chauds, il n'y pleuvait jamais, elle s'approcha de l'inconnue, sans se faire prier, qu'elle aille un regard accusateur surprise ou effrayée, elle n'en avait rien à faire, elle s'était toujours promenée à moitié nue, mais là elle donnerait tout pour un coin sec.

Même si le froid avait réduit la taille de son chibre et rétracté la peau de ses gonades, l'ensemble n'en restait pas pour le moins "impressionnant" mais heureusement, calmait les ardeurs de la démone.

Là, marquant un temps d'arrêt, Saphyra ne put s'empêcher de remarquer la demoiselle féline et ses courbes si délicieuses. Son membre viril en fut tout ému et, luttant contre les effets du froid, décida de lever la tête. Ignorant cet état de fait, la démone s'avança encore un peu plus, pour s'afficher droite, fièrement devant elle.

- Bonjour, mignonne, moi qui pensais que ce serait une sale journée, vous croiser en ce lieu me réchauffe le coeur...

 Puis, plus bas, à elle même : ...à défaut d'autre chose.

-Dites moi, ce n'est pas très joyeux ce que vous jouez là... Je n'ai pas l'habitude de me préoccuper des affaires des autres... Mais la plainte de votre violon m'a presque... ému...

*non mais qu'est ce que je baragouines moi, une vraie pipelette, embroches là pour te tenir chaud au lieu de lui faire bêtement la causette...*

Ce devait être l'un des effets produit par la possession d'un corps sur le plan "terrien" enfin, ce "plan" ça commençait à l'ennuyer de ressentir avec plus d'insistance les émotions humaines... après tout c'est ce qu'elle avait voulu en sortant des enfers, non ? Les âmes qui s'y trouvaient était toutes trop souillées, elle voulait des sentiments purs pour s'en nourrir et satisfaire sa gourmandise, mais celà commençait à montrer ses revers.