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« le: dimanche 22 mai 2011, 16:15:57 »
[Je vais utiliser le masculin pour que cela soit plus facile à lire.]
Une personne vêtu d'un manteau noir, les deux pans du vêtement se laissant emporter par la puissance du vent qui balayait la plaine, faisant courber les rares plantations qui se sont adaptés à cette nature pour le moins hostile aussi bien pour les végétaux que les animaux. Les portes du village étaient grandes ouvertes, pour éviter que les murs en rondin de bois n'aient à supporter une trop grande pression, ce qui affaiblissait quelque peu le système de défense du village.
L'étranger prenait la direction de la sortie du village, sa chevelure blanche et courte bougeant à chaque rafales de vents qui transperçaient le village, ses yeux rouge sang intimidait tout ceux qui croisait son regard, la chose la plus insolente sous cette apparence frêle, c'était un sourire qui semblait se moquer du mal et encourager la bienveillance que cela soit la maison du chef ou encore une mère donnant son sein à son enfant.
C'est alors que quelque chose de mauvais se passa sous ses yeux, cette personne n'avait pas perdu son sourire mais un léger soupir d'ennui se fit entendre avant qu'il ne disparaisse, laissant à son emplacement une empreint de pied enfouie profondément dans le sable, pour tout les autres le temps semblait tourner normalement mais pour l'étranger chaque battement d'aile d'un oiseau semblait être d'une extrême lenteur, puis le temps reprit ses droits.
Itachi n'eut pas le temps de voir le poignet qui tenait le chasseur, se faire broyer par la poigne de l'étranger, ce qui obligeras Itachi à lâcher sa proie, l'opposant de la décision d'Itachi ne semblait même pas se soucier de la présence de l'illusionniste, son autre main fut aussi sollicité, se dirigeant vers le menton, la force qui en dégageait allait sans nul doute faire légèrement éjecter Itachi en arrière pour goûter le sable du village.
Mais figeons le temps à cet instant précis pour revenir en arrière et éclairer votre lanterne sur la raison de la présence de cette personne bien étrange et mystérieuse que l'on nomme Hephasia.
* Il y a 24 heure. *
La maison du chef était bondé, le chef se trouvait avec sa fille et Hepasia, le jours était à la fête, les femmes apportèrent à Hephasia divers bijoux, les hommes des armes et de la nourriture, mais l'androgyne refus avec douceur tout les cadeaux, le chef ne pouvant pas accepter que cette personne ne soit pas récompenser se mit à dire avec une voix certes grave et vieille, mais qui savait être impérieuse.
- Vous avez sauvez la vie de ma fille, demandez moi ce que vous voulez et je vous l'offrirait.
Hephasia dit de sa voix androgyne.
- Pourquoi pas votre fille, seigneur.
Un long silence se fit entendre et l’étranger se mit à rire.
- Je plaisante, je ne peut m'encombrer d'une personne vu la vit que je mène, m'offrir l'hospitalité pendant 24 heure me semble suffisant.
Hephasia se lève et sentit une chaleur trop connut venir, il prit congé et tira un sceau d'eau fraiche du puits avant de plonger sa tête dedans, attendant que son mal passe, puis il vit une jeune fille s'inquiéter de son état, l'étranger frotta affectueusement la tête de cette terranide, la rassurant avec de simple mots.
S'il semblait aller bien, ce n'était rien qu'une impression, son mal se faisait de plus en plus présent, son réveil était dans des délais plus courts, il allait devoir trouver un moyen de le rendormir ou du moins atténuer les sensations qui se renforçaient aussi avec le temps et allait sans nul doute le mettre en difficulté si cela devait arriver lors d'un combat.
Hephasia eut le droit de loger dans la maison du chef, le repas fut animé, l'étranger s'amusant à faire changer ses cheveux et ses yeux pour amuser les enfants, la magie était toujours d'accords pour apporter le sourire, le prix qu'il dû payer fut d'avoir un grand appétit, prix bien cruel pour une personne faisant attention à son poids. Il se fit donner une chambre d'invité, il prit congé et était trop fatigué pour prendre le temps de retirer un minimum d'affaire.
Son sommeil fut agité, la magie parlait à Hephasia par le biais des rêves, ce qui fit qu'il apprit que son destin allait changer demain s'il ne se donnait pas à fond, elle indiqua même à l'androgyne la source d'un pouvoir qui allait sans doute le permettre de s'en sortir. Quand il reprit conscience la nuit était bien avança, il sortie par al fenêtre, quitta le village pour se diriger vers une grotte.
Il batailla contre les pièges et les gardiens, pour enfin trouver l'objet en question, il en avait déjà vu des similaire, ce n'est rien de plus qu'un artefact que jadis il avait déjà eut le droit de voir activer. Il s'agit d'une bombe magique, la puissance est équivalent à la bombe atomique, hormis que là les être touché par l'énergie libéré se font lentement dévorer leurs énergie vitale jusqu'à la mort du corps et de l'âme, une arme qui n'aurait jamais dû exister.
Hephasia repartie dans sa chambre et reprit sa sieste où il l'avait laissé.
Le matin, l'étranger avait déjà fait son sac, prêt à partir le plus vite possible, ne mangeant rien au petit déjeuné, sa faim étant coupé par l'idée qu'une arme de destruction massive se trouvait non loin du village, mais ce n'était plus son problème le chef semblait savoir cela, car quand il fit allusion à l'arme, le chef se mit à changer brutalement de sujet, sa fille semblait inquiète, Hephasia ne pouvait supposer que les deux étaient au parfum.
Il sortit en remerciant de l'hospitalité et partie vers la sortie.
C'est là que notre histoire reprend.
Le coup fit l'effet voulut, faisant reculer l'illusionniste, le chasseur se mit à trembler de peur et Hephasia se mit à parler avec gravité.
- Faites évacuer ce village aussi vite que possible. Je vais les retenir le temps que je pourrais.
L'étranger n'avait pas quitté des yeux les trois personnes, son sourire n'avait pas disparut, bien au contraire il restait fixé, son aura d'assassin était bien visible, informant aux Kuro Yume que leurs adversaires n'étaient pas un de ses villageois. Aucun émanation magique n'étiat perceptible, car Hephasia ne comptait pas l'utiliser sans savoir contre qui il se battait