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« le: mercredi 13 janvier 2010, 21:37:11 »
Mizuho avait reçu une lettre avec dedans le noms de la cible et le prix de sa tâche, il n'était pas rare pour Noir de passer d'un plan à l'autre, il savait pertinemment où se situait les portails et leurs déplacements, car certains bougeaient de place. Il prit celui qui menait à Nexus et commença son investigation, pour estimer si la mission en valait la peine.
Un mois passa et la prime c'était vu multiplié par cinq, car la cible avait présentit, il ne savait comment, sa futur mort, du coup il y avait beaucoup de garde et il passa au second plan.
Il se déguisa en servante, en tenue de soubrette pour bien attirer l'œil de ce pervers et se faire embaucher, il passa donc un semaine à nettoyer la demeure en se laissant caresser par les main de ce gros tas qui n'allait pas tarder à clamser. Puis vint enfin la situation qu'il espérait, le maître demanda à Noir de venir dans sa chambre, officiellement pour le masser, officieusement, tout le monde savait que c'était pour se faire la soubrette.
Effectivement cela commença par une massage du dos du maître, mais ce dernier voulut en faire un sur la fausse poitrine de Mizuho, ce dernier imita à la perfection la réaction qu'aurait uen fille en se mettant à gémir légèrement.
- Non maître, je ne suis pas prête pour ce genre de chose ... ha !!!
Une imitation qui aurait fait bander un voyeur, surtout que d'un coup les s'arrêtèrent et un revolvers munnit d'un silencieux fut pointer sur le crâne du gros tas.
- Qui êtes-vous ?!!
- Noir. Bye !
Un tir et il y eut un cadavre, Le Loup Blanc avait frappé, maintenant il ne restait plus qu'à faire son alibi. Aussitôt, il se frappa, pour faire apparaitre des bleus, des éraflures, déchirant ces vêtement, faisant bruler son rembourrage, cela ne surprendrait pas de le voir planche à pain, plein de fille utilisait ce stratagèmes pour avoir des clients. Il se mit à crier.
- LÂCHEZ MOI !!! AU MEUTR .... HAAAA !!!
S'en suivit un tohubohu similaire à une chute et à des objets se fracassant au sol. Le scénario parfait du tueur qui à prit peur et n'a pas finit son travail, un tueur amateur, n'ayant pas assez tué.