Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jane Watson

Pages: 1 ... 5 6 [7] 8 9 ... 15
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Ce qui lui arrivait était assez inexplicable, dépassant la logique. Sayaka avait une verge, et elle aussi ! Délirait-elle ? Était-elle en train de vivre un trip’ ? Elle suçait frénétiquement cette grosse sucette, tendue, grosse, assoiffée, impatiente. Ce n’était pas la première fellation que Jane faisait, mais elle devait bien admettre qu’elle avait rarement eu une queue aussi grosse et dure entre les lèvres. C’est ça qu’elle aimait sur un phallus : cette grosse taille, avec ce mélange de dureté et de douceur. Car oui, sucer un sexe, le mordiller, jouer avec sa langue, ce n’était pas s’attaquer à un morceau de béton, mais à une sorte de peau regroupée, tendue et gonflée. Une sensation sans pareille, toujours aussi exquise, qui faisait mouiller Jane. Elle ne se privait pas pour sodomiser Ruby. Son propre cul lui faisait mal, très mal. En temps normal, elle aurait déjà été rassasiée pour la semaine, mais elle ne ressentait, dans son corps, qu’une excitation de plus en plus patente, une excitation qui avait explosé quand on lui avait fait boire cette potion. Elle avait pu le sentir : c’était une substance magique. Probablement une sorte de puissant aphrodisiaque. Elle était fébrile, tremblante, nerveuse, sentant le désir exploser... Et eut un orgasme. Mais cet orgasme... Elle eut l’impression qu’il était interminable. Ruby jouit en elle, mais elle ne fut pas étouffée, pas comme la première fois, tandis que son propre corps s’activait. Elle eut plusieurs giclées, et, si ses amants avaient parfois été jusqu’à gicler six fois en elle, elle balança au moins une vingtaine de jets. À chaque fois qu’elle se croyait repue, elle sentait quelque chose revenir dans sa verge, la forçant à jouir encore, à expulser ce truc qui, autrement, provoquait des frissons dans tout son corps. Elle jouit dans la bouche de Ruby, puis sur sa figure, l’imaginant inondée de sperme, ce qui la fit encore jouir.

*Putain de merde !*

Qu’est-ce qui se passait ? Jane venait de jouir, mais le désir était toujours là... Elle avait également senti Belgorth, leur démon, jouir sur elles, et Ruby, visiblement lâchée, se pressa contre le corps de Jane, l’embrassant fiévreusement, un baiser sale, infect, horrible, dégueulasse et visqueux, puisque Jane sentit son sperme... Mais, vu son état d’excitation, elle répondit avec joie à ce baiser, se pressant contre le corps de Ruby, glissant ses doigts sur son dos sale, évitant les traces de sperme pour lui claquer les fesses, en gémissant lentement.

Ruby se releva alors, et joua avec son sexe, et avec celui de Jane, pour pouvoir s’empaler sur elle. Jane rouvrit les yeux en la sentant en elle, tout son corps se soulevant, avant de se rabaisser. Elle baignait dans une sorte de piscine de mouille... C’était donc ça, ce qu’un homme ressentait ? Une sensation d’anesthésie, de délice intense et sexuel. C’était terrifiant. Lentement, Ruby vint s’étaler sur elle, l’embrassant tendrement. Elle sentit alors la main de Belgorth se rapprocher d’elle, et la queue de Rubys ‘enfonça en elle, dans une curieuse position, qui amena leurs corps à se rapprocher encore plus. Jane soupira, ressentant une véritable extase, ses ongles s’enfonçant dans la peau de Ruby.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!! » haletait-elle, incapable de se contrôler.

Dieu, c’était tellement intense, tellement immense ! Jane n’y comprenait plus rien, s’envolant bien loin. Elle n’arrivait pas à entendre Belgorth parler, car elle était ailleurs, mille fois ailleurs, soumise à un plaisir qui la dominait, l’écrasait... Mais elle sentit une nouvelle vague la saisir quand un sexe s’enfonça dans son fondement. Sa salive sortit de sa bouche, Jane n’arrivant plus à l’avaler, se mettant à hoqueter, tremblant nerveusement. De la sueur coulait le long de son corps, et ses yeux se révulsèrent. Elle avait cessé d’hurler, émettant quelques soupirs.

Elle ferma les yeux, et vit alors une silhouette apparaître. Impossible à reconnaître, mais Jane avait l’impression de la connaître...

*Faith ?
Est-ce là tout ce dont la descendante de Shalassaska est capable ? lâcha une voix moqueuse dans son esprit. Je sens son âme brûler en toi, Terrienne...*

Jane revint alors à la réalité, sentant les sensations revenir. Avait-elle encore halluciné ? Difficile de se concentrer, d’y réfléchir... Le plaisir explosa encore, et elle eut deux orgasmes simultanés : un avec la verge, l’autre avec son intimité.

« Owww... Par la Déesse, aaaahhh... »

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C’était vulgaire, sauvage, dénué de la moindre subtilité. Mais, honnêtement, comment imaginer autrement une séance de sexe avec un démon ? Jane ne comprenait pas cet élan de soumission irrésistible qui s’emparait d’elle, mais elle en était indéniablement victime. L’apprentie-sorcière ne pouvait rien faire d’autre que subir, écrasée par le poids du démon, et par Ruby. On l’insultait, on la traitait de chienne, on la prenait comme la pire des traînées, et elle mouillait follement, serrant ses doigts sur le sol, se crispant aux fesses de Ruby, qui se laissait aller. Elle entendit de loin l’échange auquel Ruby se livra avec Belgorth, sans trop le comprendre. Avec sa bouche pleine, et son fondement éclaté, il lui était difficile de se concentrer. Qui aurait cru que cet homme pouvait avoir un tel mandarin ? Jane, en Californie, avait déjà couché avec des hommes qui avaient gonflé leurs sexes, mais ils n’avaient jamais atteint cette taille, et aucun de ses amants n’avaient jamais eu la sauvagerie dont Ruby et Belgorth faisaient preuve à son égard. Était-ce ainsi qu’on faisait le sexe, sur ce monde ? Sur Terra ? Elle souffrait délicieusement, et sentait l’orgasme approcher.

Son doigt continuait à remuer dans le fondement de Ruby, essayant de se venger, mais, manifestement, cette dernière semblait encore plus excitée, s’écrasant contre elle, enchaînant de terribles gorges profondes qui laissaient Jane pantoise, indécise. Elle était douée, l’apprentie-sorcière ne pouvait décemment pas prétendre le contraire. Et Belgorth aussi. Dans ces circonstances, Jane se laissait totalement faire, jusqu’à les sentir jouir tous les deux. Belgorth jouit longuement, tout comme Ruby, et Jane, peu habituée à de telles projections de sperme, manqua s’étouffer. Quand les deux monceaux de chair se retirèrent, elle s’affala mollement sur le sol, la gorge enrouée, toussant et sifflant, la vision floue. Sa respiration lui manquait, et, pendant un bref instant, tout ce sperme en elle lui bloqua la respiration, l’asphyxiant. Elle cracha, éructant, tandis que Ruby se transformait, et que Belgorth se risquait.

*Putain, c’est terrible ! Ce ne peut pas être un délire, les sensations sont bien trop réelles pour ça !*

Elle secoua lentement la tête, reprenant peu à peu son souffle, avant de sentir du brûlé, et de sentir également une hausse de température. Sa tête se releva, alors que le sommeil commençait à l’engourdir. Elle ne flottait pas que dans du sperme, mais aussi dans sa mouille, suite à son bel orgasme. Elle cligna des yeux, éberluée, voyant une Ruby membrée... Nimbée de flammes. Toute nue, elle dégageait une terrible prestance magique, et Jane la regardait, ébahie. Dément. C’était tout simplement dément. À nouveau, après son orgasme, un sursaut rationnel explosa dans son esprit. Tout ça ne pouvait pas être vrai. C’était un délire. Sayaka lui avait infligé une drogue, un puissant hallucinogène, et elle était dans la bibliothèque du lycée Mishima, en train de se tortiller sur le sol, mangeant son vomi en attendant l’arrivée des secours. Ça ne pouvait pas être vrai !

Jane vit Ruby se rapprocher, les flammes s’approchant d’elle... Elle manqua hurler en craignant de s’enflammer, mais constata que les flammes partant de ses mains, de ses avant-bras, de ses jambes, et de ses cheveux ne la faisaient pas brûler. Elle sentait de curieuses sensations au contact des flammes, vive, mais le feu ne se répandait pas, tandis qu’elle approchait une fiole. Une nouvelle drogue ?

« Allez, bois ma salope... Pour avoir une grosse bite bien dure, toi aussi... »

Quoi ?! Elle tenta de protester, mais, concrètement, elle était trop surprise pour faire le moindre geste, et Ruby lui fourra la fiole dans la bouche. Un liquide chaud et délicieux, ressemblant à du jus de fraise, défila dans sa bouche, chaud et mielleux, lui permettant de nettoyer sa bouche des traces de sperme. Elle déglutit en avalant, jusqu’à ce que la fiole se retire, et que Jane reprenne son souffle. La fiole était vide, et Jane sentit rapidement quelque chose brûler entre ses cuisses.

« Hiii... Haaaa.... Haaaaa... !!! »

Il se passait quelque chose d’anormal, de fort et de violent. Elle remua son corps, sentant la chaleur exploser, comme avec Faith, dans son bureau. Elle revit dans sa tête le visage soyeux et magnifique de Faith, ses formes gracieuses, sa silhouette magnifique, et s’imagina la pénétrer avec un sexe masculin. Elle s’imagina ses mains pleines de grâce sur ses fesses, s’imagina l’embrasser langoureusement, et eut alors une vision... Une image qui s’imposa en elle alors que tout son corps effectuait un puissant orgasme qui fit sortir une longue verge tendue.

L’eau était chaude, pleine de vapeur... Des colonnes en marbre, belles et longues, avec du lierre venant du plafond, des fleurs dans les coins... Une crevasse en hauteur... Un temple en ruines ? Et une femme qui la tentait... Elle s’avançait, lentement, l’embrassant, ne discernant pas son visage à travers la brume... Des lèvres magnifiques, un corps envoûtant... Elles avaient fait l’amour dans ce bain, à de nombreuses reprises, et comptaient bien continuer à le faire... La femme qu’elle embrassa se mit à rire, ses longs cheveux argentés glissant en cascade derrière son dos...

Jane rouvrit les yeux, son souffle s’accélérant. Que s’était-il passé ? Pendant un bref instant, elle s’était vue ailleurs... Et la mémoire lui revenait. Elle secoua la tête, sentant les flammes au-dessus d’elle, et tourna la tête, sentant quelque chose entre ses cuisses, qui raclait le sol, et la suivait. Elle se retourna, et tendit sa main, sentant alors un truc dur et long.

Oh. Mon. Dieu.

Elle avait une verge au bout de son corps. Elle avait une verge au bout de son corps ! Sainte mère de Dieu ! Jane n’en croyait pas ses yeux, n’y comprenait plus rien. Son esprit était en train d’avoir une erreur critique. Au-dessus d’elle, Ruby s’abaissa, son sexe se rapprochant de ses lèvres. De petits flammes tournoyaient autour. Jane, comme hypnotisée, leva une main, caressant sa verge, et la guida dans sa bouche, avalant les flammes, qui produisirent de puissants frissons électriques dans son corps, des spasmes nerveux qui l’agitèrent. Elle se tortilla sur le sol, en sentant Ruby lui faire également une fellation.

Jane était en train de ressentir un plaisir masculin, mais aussi féminin, car elle continuait à mouiller. Et cette verge... Oh putain cette verge ! Elle en avait terriblement mal, terriblement ! La souffrance était insoutenable, irrésistible... C’était donc ça, que les hommes ressentaient ?! Pas étonnant, dans ce cas, qu’ils soient si furieux en faisant l’amour ! Le seul moyen de soulager une telle souffrance était d’agir, de canaliser la douleur en une sorte d’ivresse aveugle, de fureur dévastatrice.

Ses doigts remuaient sur le corps de Ruby, pressant ses belles fesses chaudes. Elle était brûlante, mais cette chaleur ne la détruisait pas. Elle était délicieuse, onctueuse, rassurante, faisant frissonner tout son corps.

« Hum-hummmm... »

Le sexe, à nouveau, revenait totalement la dominer, l’empêchant de penser à autre chose. Le plaisir explosait, délicieux et vif, magnifique. C’était délicieux, tout simplement.

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Les alentours de la ville / Re : Réveil... || PV Jane Watson
« le: samedi 17 août 2013, 21:44:50 »
« Je suis désolé de t'avoir enlevé. »

On aurait cru que Terminator était en train de lui parler, la regardant avec des yeux froids, et une tête de psychopathe. Une vraie tête de stalker ! Jane retint un frisson de peur. Qui était donc ce cinglé ? Il n’avait visiblement rien capté de ce qu’elle avait dit. Elle se souvenait de ses films sur ces amnésiques qui ne se rappelaient rien de leur passé, mais, en revanche, étaient capables de citer le nom du dernier Président des États-Unis, et de décrire les principaux points de ses réformes politiques... Faisant en ce sens mieux que la majorité des citoyens américains. Peut-être que le phénomène était inversé chez ce taré ? Jane ne pensait qu’à une chose : foutre le camp d’ici. Que les flics se radinent, et lui fassent exploser la caboche ! Non, sérieusement, ce mec était un dingue, un tueur !

*Pourquoi est-ce que tous les tarés de la ville cherchent à me faire chier ?*

Il se mit à se justifier, expliquant qu’il avait tué l’homme parce qu’il s’estimait en situation de légitime défense. Mouais... Ça n’expliquait pas pourquoi il avait cru nécessaire de la capturer, elle, la douce, jeune, et innocente Jane Watson, qui n’avait jamais fait de mal à personne ! Il se justifia en lui montrant la mystérieuse dent. Jane l’observa en fronçant les sourcils. Oui, elle sentait clairement qu’il y avait quelque chose de particulier avec cette dent, sans trop pouvoir se l’expliquer. Une résonance magique ? Elle avait beau avoir des pouvoirs magiques, Jane n’y croyait pas vraiment. Mais cette dent... Pourtant, elle était très laide... Mais elle lui procurait de curieux frissons, des sensations qui remontaient le long de son corps.

« Je me souviens que je portais ça autour du coup, avant toute cette histoire. Si je me fie à mon instinct, cette dent est la seule chose qui me relie à mon passé. Et c'est toi qui l'avais, tout à l'heure. Si tu l'as pris, c'est qu'il y a bien une raison. Je veux que tu m'expliques. Je veux comprendre. »

Voilà qui risquait d’être difficile ! Jane elle-même ignorait ce que cette dent avait. Cependant, si elle lui sortait ça, il risquait de lui briser la nuque. Ce type, avec sa tête de dingue, d’ours mal léché, semblait tout à fait être le genre de salauds ne voyant aucun problème à battre les femmes. Il semblait aussi galant qu’un grizzly, et elle fronça les sourcils, cherchant une réponse qui pourrait ne pas trop l’énerver, sans rien trouver de concret sur le coup.

« Je... Euh... Ben... Je la trouvais jolie... »

Un mensonge guère convaincant, elle le réalisait bien, mais, pour être honnête, elle ignorait comment décrire cette sensation qu’elle ressentait en voyant la dent. Elle se dépêcha de poursuivre, intimidée par la stature de l’homme, et par son regard de dingue échappé d’un asile. Mais que dire ? Il ne comprenait rien, et elle enchaîna, en déblatérant tout ce qu’elle savait, et qui lui venait à l’esprit :

« Le Japon est un État riche, qui, bien qu’étant géographiquement au sud de l’hémisphère, appartient à un regroupement politique et économique qu’on appelle les pays du Nord, et qui désigne les plus riches pays du monde, par opposition aux pays du Sud, pauvres, et en voie de développement. Le Japon est une grande puissance qui ne dispose pas d’une armée, et qui est en rivalité avec la Chine. Il est proche des États-Unis d’Amérique, le plus beau et le plus classe pays du monde. Il... »

Jane déblatérait tout ça sur un ton rapide et monocorde, donnant presque l’impression qu’elle était à un examen, lorsqu’elle s’interrompit en entendant des bruits. Des policiers s’avançaient dans les fourrés.

« Il est parti par là !
 -  N’oubliez pas qu’il a une otage, et qu’il a tué quelqu’un ! Il est extrêmement dangereux !
 -  Ne lui tirez dessus que s’il constitue une menace, il n’est pas armé ! »

Jane entendit également des aboiements, et comprit que les policiers devaient avoir des chiens de chasse, pour le retrouver. L’espoir se mit à renaître, et elle décida d’agir à la manière dont une fille effrayée réagissait, face à son bourreau. Voyant que ce dernier avait été occupé par les policiers se rapprochant, elle se mit à courir à toute allure, en hurlant.

« Au secours, au secours !! Il va me tuer, au secours !! »

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Ce monde était vraiment hors normes... Un monde atypique, où il était difficile de se repérer, et d’y comprendre quoi que ce soit. Le sexe y avait une place beaucoup plus importante qu’ailleurs. Jane commençait à le réaliser, et ignorait quoi en penser. Qu’était donc cet endroit ? Ce monde ? Allait-elle vraiment coucher avec un démon ? Ce type, beau comme un Dieu grec, était-il vraiment un démon ? Et Ruby... Sur Terre, elle était totalement effacée, une véritable petite poupée, innocente et toute douce. Mais, ici... Elle avait du mal à en croire ses yeux. C’était presque comme s’il y avait une autre personne face à elle, qui jouait avec elle, qui se révélait tactile et aventureuse. Jane vit Ruby boire la potion, et faillit avoir une crise cardiaque. Elle sentit le démon labourer son fondement, et poussa un vif cri de douleur, ses doigts se crispant sur le sol, tandis que Ruby se touchait joyeusement, se doigtant.

*Qu’est-ce que... ?!*

Jane haletait douloureusement, et, quand Ruby eut un orgasme, une belle verge se mit à jaillir, pulsant fièrement entre ses doigts, sous les yeux écarquillés de l’apprentie-sorcière. C’était du grand délire ! Jane grognait et soupirait. Était-ce bien elle, qui était ainsi, à quatre pattes, haletant et grognant en sentant une énorme verge labourer son fondement ? Dans sa tenue noire serrée et moulante, Ruby était exquise, et Jane grognait et soupirait. Elle avait mal, mais elle mouillait aussi, et sentait les mains de Belgorth la claquer. C’était vraiment impensable. Jane n’avait jamais aimé une sodomie aussi rapide et brutale, et, pourtant, en ce moment, elle adorait ça ! Ce démon... Elle ignorait si c’en était un, mais elle en avait la certitude, sans pouvoir se l’expliquer.

Ruby se mit à quatre pattes, devant elle, tellement désirable, tellement belle. Les joues rouges, Jane releva la tête, et l’embrassa tendrement, en retour. Leurs langues jouèrent ensemble, dans un baiser baveux et ardent, avant qu’un coup de reins du démon n’amène la tête de Jane à heurter celle de Ruby. Elle sentait les mains gantées de Ruby jouer avec ses seins, les pinçant, la faisant gémir. Cette soumission était impensable, venant d’elle, une femme qui, par nature, était autoritaire et dominante. Comment l’expliquer, comment la justifier ? Tout ce à quoi son esprit arrivait à penser, c’est qu’elle adorait se faire labourer le cul comme ça ! Elle adorait quand ce démon la claquait, d’autant plus qu’il n’y allait pas de main morte, donnant des gifles vigoureuses, qui résonnaient dans toute la pièce. Quand Ruby se retira, sa mouille qu’elle avait porté dans ses lèvres s’échappa en même temps qu’un filet de salive, et Jane grogna encore, tandis que Ruby se relevait, visiblement très excitée aussi.

*Dingue... C’est complètement dingue !*

Ruby se mit à lui parler, sur un ton langoureux et très pervers :

« Tu la veux ma belle ? Tu veux la sentir dans ta petite bouche de salope affamée ? »

Jane leva la tête, voyant cette belle verge tendue, dont l’érection décrivait une belle ligne, sans boucle. Aucun doute : Ruby avait la trique, ce qu’elle voyait dans tout son corps.

« Haaa... »

Impossible de répondre, de se concentrer pour formuler des mots cohérents. Elle leva sa main, s’agrippant à la jarretelle de Ruby, et s’en servit comme appui pour s’élancer, englobant la verge bien dure dans sa bouche, la mordillant. Elle avait une superbe trique, qui aurait fait pâlir de jalousie les trois quarts de ses amants. Elle la suçait énergiquement, sa langue jouant sur cette belle queue, et ses mains s’avancèrent, pressant les fesses nues de Ruby, serrant son cul. Jane Watson sentait dans son corps des réactions incompréhensibles, liées au fait de coucher avec ce démon. Cependant, elle ne se laisserait pas faire aussi facilement. Un doigt s’enfonça dans le fondement de Ruby. Rien à voir avec le membre imposant de Belgorth, mais c’était la preuve qu’elle n’était pas totalement écrasée.

Son corps se pressait entre les deux, alors qu’ils s’embrassaient. Belgorth donnait des coups de reins, et joua brièvement avec les seins de Jane, la sentant se tortiller, ce qui l’amusait.

« Hum... Voilà un fondement comme il faut ! Putain, Ruby, j’adore son cul !! »

Jane rougit sous le compliment, continuant à gémir en mastiquant avec sa bouche le membre de Ruby. Difficile de faire une fellation réussie, quand un membre aussi gros vous labourait le cul comme ça. Elle tremblait et soupirait, remuant faiblement entre les deux solides individus, bien membrés, la défonçant joyeusement.

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Jane embrassa goulûment Sayaka, sans aucune gêne. Cette dernière lui répondit, et elle eut la conviction que les deux femmes étaient sur la même longueur d’onde. Un tel comportement l’étonnait, car elle n’était pas du genre à agir ainsi... Certes, Jane n’aurait jamais tenu face à un examen de pureté, mais elle se conduisait de manière très aguicheuse. C’était certainement lié à l’ambiance magique et légèrement délurée de ce monde de tarés... Ou une réminiscence du sortilège que Faith avait utilisé contre elle. Quoiqu’il en soit, elle sentit un vif élan de désir quand Sayaka aventura sa langue dans sa bouche.

« - De rien ma belle. Hey, faut te trouver un p’tit nom sympa à toi aussi, maintenant. Et tu me fais penser à quelque chose… suis moi, tu vas adorer ! »

Elle n’eut pas le temps d’enchaîner que Sayaka la conduisit vers la sortie. Elle roula une pelle à la succube, qui embrassa également Jane en plein sur les lèvres, un baiser torride qui manqua de peu de la faire mouiller. Un nom sympa... Jane lui allait très bien, c’était court, simple, et facile à retenir ! Elle s’aventura dans la rue. Curieusement, les gens ne jetaient plus sur elle des regards intrigués, mais excités. Ils mataient ses formes, et elle en profitait donc pour mouler son petit cul, vu que ce dernier était bien mis en valeur. Il s’en fallait de peu pour qu’elle gifle le cul de Ruby. Jane se sentait en manque, avec une envie de baiser qui était de plus en plus forte.

Elles atteignirent une nouvelle boutique, dont les objets sur la devanture étaient dénués d’expliciter. C’était une boutique érotique ! Le pied ! C’était à croire que Ruby voulait vraiment que Jane pète les plombs. Elles se dirigèrent vers un endroit abritant des tenues sexy, tandis que Ruby crut utile de préciser le fond de sa pensée, parlant d’une voix suave dans son oreille, qui continua à l’exciter :

« Si tu veux dresser l’esclave de notre chambre, il te faut une tenue adaptée.
 -  Hum... Je devrais trouver quelque chose... »

Ruby alla faire ses emplettes, et Jane rechercha. Elle vit qu’une neko avec un collier autour du cou faisait également des courses. Elle était clairement en manque, comme s’il y avait le feu dans son caleçon, et choisit assez rapidement. Sa tenue s’avéra assez similaire à celle de Ruby, même si elle était moins noire. Elle opta pour un ensemble elfique* très réussi, et rejoignit Ruby à la caisse. La boutique était tenue par un très beau démon à la longue chevelure rousse, Belgorth.

« Jane, v’là Belgorth, le démon d’ont je t’ai parlée tout à l’heure. Bel, tu penses qu’on peut les essayer dans l’arrière-boutique ? »

Ah ? Jane avait déjà oublié... L’homme était plutôt bien bâti, et clairement insolent. Il traita Ruby de « salope », ce qui ne sembla pas la déranger. Décidément, entre la Sayaka Kamatachi de Mishima et la Ruby de Terra, il y avait tout un monde ! Difficile de croire que tout ceci n’était pas un pur rêve. Elles débarquèrent dans l’arrière-salle, qui était en fait une belle chambre avec un confortable lit. Ruby précisa clairement le fond de sa pensée, et Jane sourit.

« Alors, ça te dit de porter cette tenue devant un beau démon musclé et, surtout, bien membré ? »

Elle répondit rapidement :

« Du moment qu’il ne reste pas uniquement spectateur, ça m’ira... »

Jane entreprit alors de se déshabiller, puis de s’habiller, enfilant ses jarretelles, ses gants, une culotte transparente, et une espèce de corset serré.

« Hum... Je crois que je vais me plaire ici. »

La porte ne tarda pas à s’ouvrir, et Belgorth entra. Il était torse nu, et jeta sur les deux femmes un regard appétissant.

« Hum... Quel charmant spectacle, mes petites putes. »

Il se pencha alors vers Jane, qui sentit son cœur s’emballer. Certes, il était beau, mais ce n’était pas que ça... Elle ressentit un désir inexplicable, et il l’embrassa, et ses lèvres... Oh, ce que ça pouvait être bon ! D’où lui venait une telle envie ? Un tel désir ? Elle se sentait toute chose. Sa langue remua dans sa bouche, et elle la mordilla... Avant que Belgorth ne lui claque douloureusement les fesses, faisant résonner ce désir dans tout son corps, tandis qu’elle sentait son sexe se presser contre sa peau. Il avait une belle érection, et retira ses lèvres.

« Tu m’as amené une vraie perle, Ruby... Je sens la marque de Sha en elle. »

Sha ? Qu’est-ce que c’était ? En entendant son nom, Jane rosit sous le compliment, incapable de parler, imaginant une femme sombre aux yeux blancs... Mais elle n’avait jamais entendu ce nom ! D’où lui venait cette image ? Son cœur s’emballait, et elle sentit les mains de Belgorth pincer ses tétons. Il lui caressa les cheveux, puis rejoignit Ruby, et l’embrassa également, en ne tardant pas à lui claquer les fesses.

« C’est sa première fois avec un démon, hum ? »

L’idée semblait l’amuser. Qu’est-ce que ça avait de drôle ? Jane avait couché, mais elle ne s’était jamais sentie... Comme ça, aussi perturbée, déboussolée. Ce démon l’envoûtait. Il saisit alors une curieuse fiole, et l’approcha des lèvres de Ruby.

« Elle sera notre chose, ma petite pute... Rassure-toi, je te tringlerais... Mais j’ai envie de la voir te sucer... »

Belgorth lui avait donné une fiole hermaphrodite, et il dénoua les lacets de son pantalon, révélant un sexe interminable et d’une beauté incroyable.

« À quatre pattes, chienne ! »

Sa voix tonnait, et Jane déglutit, en obtempérant. Elle sentit les mains de l’homme caresser sa culotte, et ferma les yeux quand son membre glissa dans son fondement.

Elle se mit à hurler.

Ça faisait un bien fou !



* : Sur l’image, c’est le modèle à gauche que Jane met, sans les épaulettes ^^

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Les alentours de la ville / Re : Vodka Cola [Jane Watson]
« le: dimanche 11 août 2013, 21:35:01 »
Le Diable... Ou un démon puissant, qui sait ? Jane n’était pas vraiment quelqu’un qui croyait en la magie, ni une femme très superstitieuse, et encore moins croyante... Ce qui, en Californie, pouvait passer pour un crime de lèse-majesté. En Dieu, elle ne croyait pas. Mais ce qu’elle avait fait ici avait quelque chose de magique. Elle le sentait, et la manière dont Alexeï s’était comportée l’illustrait. Dès lors, fallait-croire que, dans les profondeurs infernales, un abominable être rouge avec une longue langue fourchue veillait sur elle ? On disait les sorcières plus proches des démons que des anges. C’était une possibilité à ne pas exclure, même si Jane ne l’envisageait pas vraiment sérieusement... Tout comme elle ne considérait pas son breuvage comme de la magie pure. Ce n’est pas comme si elle avait fait apparaître des flammes au bout de ses doigts, ou créé des sortilèges terrifiants. Elle avait juste inventé une espèce de drogue très aphrodisiaque. Il y avait plus magique que ça !

*N’empêche...* songeait-elle.

Ce n’était pas quelque chose de très commun. Elle ne savait pas quoi en penser, et releva la tête quand Alexeï balança quelque chose qui la fit sourire :

« Remercie-moi d’avoir été le meilleur amant que t’aies jamais connu et que tu connaîtras jamais. »

Elle esquissa un léger sourire, pour lui répondre assez rapidement :

« Tu es un Russe, je ne me fais pas trop de soucis. Les Européens savent y faire. »

Surtout les Français, les Italiens, et les Espagnols, mais on disait que les Russes n’étaient pas mauvais là-dedans. À force de vivre dans le froid, il fallait savoir se réchauffer. Jane admettait en revanche que, dans ce domaine, les Américains n’étaient pas très... Glamour. Le puritanisme ambiant amenait à aimer plus que nécessaire la vulgarité et le sexe basique, ce que Jane avait malheureusement remarqué à bien des reprises. Elle n’était pas contre la crasse et les grossièretés, mais la Californienne avait aussi des goûts sophistiqués.

« Pour l’heure, t’as été mon meilleur coup, ouais, mais c’est dans la nature de l’être humain d’en vouloir toujours plus. »

Autant lui faire plaisir, cette soirée s’était terminée par une mort. Plutôt pas mal. Les pompiers ne tarderaient pas à venir, et Jane n’avait pas envie de passer sa nuit à l’hôpital, ou au poste de police. Fuku était un con, il était mort, c’était dans la logique des choses. Elle était rhabillée, et se rapprocha d’Alexeï, caressant sa queue, la pressant un peu, avant de l’embrasser sur le coin des lèvres.

« La prochaine fois, j’améliorerai mon breuvage. J’aime bien te voir transformer en fou furieux, mais j’aimerais éviter que ça se finisse en carnage à chaque fois... »

Jane lui fit un clin d’œil, puis se rapprocha de l’avant de la limousine, écartant un panneau qui lui permit de voir, outre des badauds regroupés, un cockpit complètement enfoncé. Fuku n’avait pas mis sa ceinture de sécurité. Quand la limousine avait heurté le devant, sa tête s’était écrasée sur le volant, et l’airbag s’était déclenché, le plaquant en arrière.

« La vache, y s’est pas loupé ! » commenta Jane, avant de revenir à l’arrière.

Elle aurait presque pris une photo, mais elle devait envoyer un message à Nell pour lui dire de venir la chercher.

« Si tu veux me revoir, Alexeï... Laisse un mot dans mon casier. »

Jane n’avait plus rien à faire ici, et se rapprocha de la sortie, avant de lui souffler un baiser, et de sortir dans la rue. En posant ses pieds sur le trottoir, elle regarda autour d’elle. Il était curieux qu’elle ne soit pas blessée autant que ça, malgré le choc. Elle saignait un peu, avait quelques hématomes, mais rien de bien méchant. Son bassin lui faisait en réalité bien plus mal que les conséquences de l’explosion. Est-ce qu’une bonne étoile veillait sur elle ? C’était bien possible, et ce n’était pas sans flatter son orgueil.

Quoiqu’il en soit, elle était convaincue d’une chose : faire l’amour dans une limousine avec un Russe drogué, c’était le top !

97
« Oh, crois moi, tu verras la vie différemment quand tu te serras fait défoncée pendant des heures par un démon ou quand tu passeras la journée avec une succube. A coté, les terriens n'en valent vraiment pas la peine. »

Hein ? Défoncée pendant des heures par un démon ? Jane avait-elle bien entendu ? Par un démon ?! Dans sa tête, elle se mit à imaginer une imposante créature rouge, ailée, avec de longues cornes, qui labouraient le fondement de Sayaka, tout en envoyant une queue en forme de verge dans sa bouche, lui tringlant les fesses en riant grassement, au milieu d’un décor de flammes et de murs rouges. Une image dont l’authenticité fut particulièrement vibrante, si bien qu’elle étonna Jane. Elle se demanda comment elle pouvait avoir une telle vision, vision si forte et si délicieuse qu’elle lui rappela cette sensation qu’elle avait éprouvé lorsque Faith avait utilisé ses pouvoirs sur elle. Elle en était toute troublée, et sentit la main de Sayaka l’attraper, l’extirpant de ses pensées. Les deux femmes se mirent à sortir, retraversant rapidement l’énorme académie, pour se retrouver, après un interminable escalier, dans une grande cour avec un énorme portail en fer, et d’autres étudiants. Il y avait de grandes statues, et Jane regarda derrière elle.

*Putain, ce bâtiment est énorme !*

C’était une véritable tour, qui gagnait en épaisseur au fur et à mesure qu’on montait. Une structure atypique, hors normes, que Jane n’aurait jamais pu voir sur Terre, car, sans l’aide de la magie, une telle structure se serait écroulée sur elle-même. Flottant presque dans les airs, elle pouvait voir les tours latérales, reliées au bâtiment principal par d’énormes poutres. C’était impensable ! Jane en était sciée, mais Sayaka ne lui lissa pas encore le temps d’observer, l’amenant hors de l’académie, dans une grande place circulaire, très animée. Jane vit des patrouilles de soldats dans d’énormes armures s’avancer. Il y avait, le long de cette place, une série de boutiques, avec, au centre, une grosse fontaine, où des individus flirtaient, discutaient, ou mangeaient. Sûrement des étudiants. Jane regardait autour d’elle, éberluée. Il y avait essentiellement des boutiques magiques en tout genre : runes, potions, livres, enchantements...

« Il faudra revenir ici pour ton matos, mais ce n'est pas ce qui nous intéresse pour cette semaine. »

Diable, et elle n’était pas surprise par tout ce qu’elle voyait ? Jane vit une espèce d’homme-fourrure ressemblant à un transfuge de Dragon Ball sortir d’un magasin, avec un cache-œil, et une allure de violeur sur les lèvres. Elles remontèrent le long de la rue, et Jane vit d’autres gardes. Il y avait des archers se promenant sur les toits, quelques miradors avec d’autres gardes, des sentinelles sous certaines arcades, et d’autres patrouilles. Il y avait un risque de guerre civile ou quoi ?! Elle en aurait bien demandé plus à Sayaka sur ce point, mais cette dernière se crut dans l’obligation de faire la guide touristique.

On regardait curieusement Jane, trouvant sans doute son costume assez extravagant. Jane avait toujours son uniforme de lycéenne, et se disait que ce monde n’avait probablement pas connu le péché originel, et était beaucoup plus libre vis-à-vis du sexe. Sayaka lui avait après tout balancé sans honte avoir baisé avec un démon, et son cul était très attirant à regarder. Même dans cette situation, Jane se rabattait sur ce dernier, admirant la manière dont son postérieur remuait dans sa tenue serrée. C’était un véritable régal visuel ! Il y avait de tout dans cette rue, ainsi que des esclaves, généralement nus, ou avec de modestes sous-vêtements. Des clients les observaient, les forçant à ouvrir la bouche pour inspecter l’état de leurs dents, pressant leurs seins, faisant couiner les esclaves. Il y avait des gardes privés autour des estrades, qui n’hésitaient pas à repousser les clients trop entreprenants, ou à cingler avec leurs fouets les esclaves qui ne se mettaient pas assez en valeur.

*Des esclaves... C’est dément !*

Sur un autre stand, des esclaves portaient des tenues de cuir noires, avec des sangles, des clous. On pouvait lire que l’étal appartenait à Jung Barrow. Ce nom ne disait rien pour Jane, mais, pour les Ashnardiens, Barrow était connu. C’était l’un des principaux esclavagistes du secteur, exerçant une influence redoutable dans l’esclavage sexuel, ce qui en faisait le rival principal d’une autre esclavagiste, qui n’avait pas son étal, mais que Jane avait déjà croisé à Mishima : Mélinda Warren.

Tout en déambulant dans cette longue rue pavée, Sayaka et son joli cul présentait des personnes à Jane : les Karistal, que Jane avait déjà vu à Mishima, des espèces de tarées fans des chats. Est-ce que tous les lycéens de Mishima se donnaient rendez-vous ici ? Encore un peu, et elle allait voir cette grosse tête de Shii débouler ici !

*Je me demande si la disparition de cette Akira dont tout le monde parle n’est pas liée à cet endroit...*

Jane n’avait pas pu y échapper. La disparition de cette jeune femme avait mobilisé les forces de police. Il y avait bien trop de disparitions de jeunes filles à Seikusu, et la presse évoquait la possibilité d’un réseau de prostitution clandestins, lié à l’arrivée d’une mafia russe en ville. Il y avait eu quantité de courriels, un groupe de soutien créé sur Facebook, des avis de recherche placardés partout, et, même aujourd’hui, on continuait à en voir certains, sans que personne n’ait jamais retrouvé Akira.

Sayaka lui montra également un homme ayant des cheveux blancs. Il portait une belle cape rouge, et il y avait autour de lui des gardes dans des armures noires redoutables, qui l’entouraient, alors qu’il semblait inspecter des armes, d’un œil expert. Coehoorn Var Emreis... Jane fronça les sourcils. Ce nom lui rappelait quelque chose... Mais elle ne l’avait jamais entendu. Tout cet endroit lui était familier, comme... Comme une espèce de sensation de déjà-vu, mais... En plus nuancé encore. Ce n’était pas facile à expliquer, car elle ne comprenait pas trop, mais elle avait le sentiment que quelque chose clochait.

Les deux filles entrèrent dans une boutique de vêtements curieux. C’était une boutique pour femmes, et Jane déglutit en voyant une série d’armures faisant penser à des soirées coquines entre amies sur fond médiéval.

« Oh, Ruby ! s’exclama une femme, plutôt bien roulée, en s’approchant. Quelle joie de te revoir, ma puce ! »

Elle l’embrassa en plein sur les lèvres, et Jane nota alors la queue qui remuait dans son dos, et comprit qu’il s’agissait d’une démone... Ultra-bandante. Jane frissonna, alors que la démone se tournait vers elle. Les présentations furent faites, mais Jane avait noté quelque chose de surprenant... Le regard de cette démone, quand elle l’avait vu... Il s’était légèrement voilé, comme si elle la connaissait. En soi, c’était impossible. Et pourtant...

« Je vois... Et bien, Ruby, laissons donc ton amie, Shala... Euh... Jane... Faire son choix. »

La démone se mit en marche, ondulant sa queue de droite à gauche, Jane fronçant légèrement les sourcils. C’était qui, cette cintrée ?  Shala ? Qu’est-ce que ça voulait dire ? Elle proposa à Jane divers vêtements, et cette dernière fit assez rapidement son choix, optant pour une armure noire courte en cuir*, avec des épaulettes, des bottes, et de longs gants sexy. Elle s’observa devant un ensemble de miroirs, lui permettant de voir son dos

« Yay ! Ça, ma vieille, c’est classe ET sexy ! »

En revanche, elle ne voyait pas trop en quoi cette armure la protégeait, mais ce n’était pas grave. Elle se retourna vers Sayaka.

« Hey ! Ça me moule bien le cul, non ? »

Il fallait croire que c’était le critère le plus important pour Jane. Elle se rapprocha de Sayaka, et lui roula une pelle, sans crier gare.

« Merci, Ruby. »

Jane remerciant quelqu’un... C’était suffisamment rare pour qu’on se donne la peine de le noter !



* : Compte tenu de l’état de ma connexion, je n’ai pas cherché à savoir si ce jouet s’inspirait d’un modèle préexistant. Il faudra donc faire un léger effort d'imagination pour concevoir Jane dans cette tenue ^^

98
Une Texane n’aimant pas Johnny Cash ? Encore un peu, et elle allait lui dire qu’elle votait démocrate... Les États-Unis ne ressemblaient vraiment plus à rien. Mais serait-elle joueuse ? Elle observait le flacon avec suspicion, tandis que Jane se contentait d’un sourire mielleux et énigmatique. Bien sûr, elle aurait pu dire à Marlène que sa fiole était un puissant aphrodisiaque, mais ça n’aurait pas été drôle. Après tout, la Texane l’avait empêché de corriger Eito. Elle l’avait humilié, car c’était la seule chose que ces primates pouvaient comprendre. Le Japon était un pays de machos : voir une nana battre un homme, c’était d’autant plus humiliant pour le battu. Eito éviterait de la faire chier, désormais. Il ne viendrait pas l’attaquer à trois, sa honte serait totale. Il avait fallu qu’elle tombe sur cette putain de surveillante, cette Texane qui n’en ratait pas une pour la faire chier. Jane aurait pu l’envoyer foutre et se casser, mais elle avait préféré... Faire sa vicieuse.

Marlène observait la fiole avec une appréhension naturelle, puis fit à Jane un sourire tentant, avant de boire. Jane ne put s’empêcher de sourire, en la voyant boire la moitié de la fiole. Depuis l’expérience avec Alexeï*, qui avait été son premier cobaye, Jane avait légèrement diminué le breuvage. Toutefois, elle savait que le sexe était aussi à prendre en compte. Comment la fiole allait-elle réagir sur le corps de Marlène ? Pour l’instant, Jane ne voyait aucun changement physique extérieur... Chez Alexeï, la fiole n’avait pas non plus agi tout de suite.

« OK, bon, ça, on va le garder... » annonça Marlène en rangeant sa fiole.

Jane ne dit rien, sur le coup. Bien sûr, Marlène n’avait aucun droit de prendre sa substance, c’était du vol... Mais il valait mieux qu’elle la conserve. La Californienne ne disait rien, sentant son cœur palpiter dans sa poitrine, et commença à discerner quelques effets... Rien de bien méchant, mais elle vit clairement une goutte de sueur, les doigts de Marlène sur sa tempe, ainsi que son regard glissant sur elle. Marlène lui expliqua alors pourquoi elle avait conservé la fiole : pour servir de pièce à conviction.

« Bon, je ne vais pas te retenir plus longtemps, du coup... tu peux retourner en classe. Moi, je vais aller me faire un café pour faire passer le goût de ta saloperie, là... »

La Texane semblait s’être radoucie. Jane resta les bras croisés dans le dos, joignant ses mains sans rien dire.

« À cette heure-là, si je vais dans la salle, le prof’ va m’engueuler. C’est un vieux connard misogyne qui n’aime pas les étrangères sexy comme moi... Et puis, il faut que je range mon casier. »

Jane se retourna alors, un sourire en coin, et se pencha en avant, relevant du coup sa jupe. Elle se pencha plus que nécessaire en attrapant ses fioles, pour les mettre dans un coin, remettre ses livres, et, alors qu’elle déposait son cahier de mathématiques, elle heurta malencontreusement une fiole, qui se mit à tomber. Elle atterrit sur le pied de Jane, et roula sur le sol.

« Oups ! Quelle maladroite ! Attends, je vais la chercher... »

La Californienne s’abaissa alors, mais la fiole avait roulé sous le casier. Elle dut donc se mettre à quatre pattes, sous les yeux de la pionne, relevant ainsi sa jupe, frottant ses seins contre le sol, en s’avançant. Elle tenait la fiole entre ses doigts, et décida de mentir, afin que Marlène puisse continuer à profiter du spectacle :

« Je... Aaaah... Elle est partie loin, la salope... »

Jane se pencha un peu, relevant encore plus sa jupe, ce qui fit qu’on pouvait apercevoir le bas de sa culotte, car elle se penchait en avant, relevant du coup son bassin. La Californienne se releva ensuite, puis s’épousseta, avant de refermer le casier, souriant devant Marlène.

« Si j’ai raté une heure sans le justifier, ma sœur va m’engueuler. Il faut que tu justifies que tu m’as gardé pour une heure, ma belle. »

Ceci consistait donc à revenir dans son bureau, en sachant que la substance aurait tout le temps de faire effet.

*Je suis persuadée qu’elle n’est pas aussi innocente qu’elle aime le faire croire... Tu auras beau lutter, ma jolie, quand le sexe se réveille, on ne peut retarder l’inévitable... Surtout que je compte bien prendre du plaisir avec toi...*

Marlène avait un très joli cul, après tout. Peut-être bien qu’elle allait demander un mot pour une absence de deux heures...

99
Mains dans le dos, Jane suivait Sayaka dans un lieu incongru. Elle se faisait progressivement à l’idée que son cerveau n’était pas en train de délirer, et qu’elle était réellement en train de suivre Sayak, habillée en tenue érotico-fantasy, dans une académie magique. L’académie n’avait d’ailleurs pas la forme d’un château, avec une succession de couloirs cylindriques et de marches. Jane réalisa assez rapidement qu’il s’agissait plutôt d’une longue tour comprenant de nombreux niveaux, et d’autres petits tours reliées par des passerelles à la principale tour. De même, elle ne voyait pas vraiment de robes de sorciers, le signe, soit que Merlin et Harry Potter avaient des goûts démodés, soit que, dans ce monde, ce Terra alternatif à la Terre, on préférait des tenues sexy à des robes poussiéreuses. De même, elle ne voyait aucune baguette magique. Quand le duo approchait, c’était pour voir la magie luire des doigts des apprentis. Jane la sentait pourtant, cette énergie si spéciale, cette énergie qu’elle avait déjà senti sur Terre, mais de manière dilatée, sans jamais pouvoir vraiment l’appréhender. Là, elle était tout autour d’elle, l’enveloppant, comme un délicieux cocon. Est-ce cela qui la rendait si calme ? Ou la vue de l’agréable fessier de Sayaka ?

*Je n’aurais jamais doué qu’elle avait un aussi beau cul... Ces uniformes scolaires sont sexy, mais ils ne moulent pas beaucoup les formes...*

En tout cas, ces... Ces Terranes (Jane ne savait pas comment les appeler) semblaient être moins coincées du cul que le Japon. Certaines filles se promenaient dans des tenues qui auraient même choqué un lycée californien, mais les profs’ portaient également des tenues mettant en valeur leurs alléchantes formes. Elle continuait à suivre Sayaka, jusqu’à rejoindre le dortoir. C’était une sorte de structure oblongue, avec de petits perrons en pierre menant à des espèces de coques de noix. Jane eut en tête ces mini-studios qu’on trouvait à Hong Kong, pas plus grands qu’une cage à poules. Elle allait devoir dormir là-dedans avec Sayaka ? C’était plus que spartiate !

« Ne te fie pas aux apparences. Si tu as vue le quatrième film d'Harry Potter, avec la tente, tu dois savoir à peu près à quoi t'attendre. Chaque bâtiment comporte cent chambres, chacune pouvant accueillir trois élèves. J'te laisse faire le calcul du nombre de personne dans ce secteur, de nuit. »

Jane hocha la tête.

« Je l’ai vu... Et il était à chier. »

Elles grimpèrent les étages, Jane ayant l’impression d’être dans une espèce de bloc pénitentiaire. Plusieurs portes s’ouvraient sur des élèves, et elle constata qu’il y avait une grande majorité de filles. Elle avait lu, dans son grimoire, que la magie attirait plus le sexe féminin, sans qu’il n’y ait de raisons logiques à cela. Un homme pouvait faire un aussi bon magicien qu’une femme. Sur Terra, il fallait croire que, comme sur Terre, on préférait former les hommes à devenir des guerriers. Le duo se rapprocha d’une porte de pierre, ressemblant à une porte d’appartement, avec un numéro dessus : 2576. Ça en faisait, des portes ! Jane vit Sayaka poser sa main sur un panneau de bois, et un frisson la parcourut. Elle ressentait la magie de Sayaka, provoquant de délicieux échos dans son corps, alors que la porte se mit à coulisser.

« C’est une académie magique, ou c’est un remake de l’Enterprise ? » railla-t-elle.

Elle s’attendait à ce qu’elle allait trouver à l’intérieur, mais fut pour autant très surprise de voir que la cage à poules recélait en réalité une immense pièce. Pièce... Disons plutôt un vaste appartement ! Jane entra dans le vestibule, ébahie. Les couloirs médiévaux laissaient place à un appartement qui aurait très bien pu se trouver au cœur de Seikusu.

*Fuck, what the hell is that ?!* songeait une Jane estomaquée, dans sa langue maternelle.

Autant dire qu’elle était effectivement surprise. La « chambre » était partagée à trois, avec Naïa, et, tandis que Sayaka lui parlait, Jane regardait, écoutant à moitié. Elle eut un regain d’attention quand Sayaka mentionna une « esclave ». Pour ce qui concernait les systèmes de sécurité, elle n’avait rien compris, mais estimait que ce n’était pas trop grave.

*Une esclave rien que pour moi ? J’ai hâte de lui fouetter le cul !*

Sayaka cachait bien son jeu... Une esclave... Jane eut un léger sourire, observant à nouveau sa belle tenue, qui la mettait vraiment en forme. Elle lui remit ensuite une pièce en platine, que Jane considéra avec suspicion, avant que Sayaka ne lui explique le système financier de la région. Jane écouta donc. L’argent, c’était important. Il y avait quatre types de pièces : le bronze, l’argent, l’or, et le platine. Elle se croyait dans un putain de jeu vidéo, et comprit que cette pièce de platine devait valoir une certaine somme. Jane aurait sans doute du se sentir redevable envers Sayaka, mais il n’en était rien. Elle avait surtout envie d’avoir, elle aussi, une tenue bien bandante, afin qu’on lui mate le cul.

« Bon, comme on a la journée, tu préfère faire les boutiques avant que ça ferme ou passer à la bibliothèque avant ? »

Jane pencha la tête sur le côté.

« Sayaka, tu demandes à une fille si elle préfère lire des livres ou dépenser son argent de manière totalement irresponsable à faire les boutiques ? J’ai envie d’une tenue bandante comme la tienne, ma salope. Ce sera encore mieux quand je fouetterais le cul de notre esclave ! »

Elle se rapprocha de Sayaka, tenant la pièce dans sa main.

« Et... Merci pour le fric. »

Elle la remercia en l’embrassant sur la joue.

« Et moi qui te prenais pour une timide coincée du cul... Mais, vu les goûts vestimentaires du coin, et le fait que tu n’as pas sourcillé en voyant l’autre blonde me faire jouir comme une catin... Sans parler de ton assurance, ou du fait qu’il est normal d’avoir une esclave... J’en déduis que tu ne dois pas être aussi vierge que ce qu’on peut penser en te voyant au lycée... »

Jane sourit, amusée, et s’écarta. Elle n’était peut-être pas très douée en magie, mais elle savait observer, analyser, et interpréter.

Et il était temps pour elle de s’acheter une tenue bien bandante. Histoire de parfaire son immersion dans ce monde qui ressemblait à une version grandeur nature de World Of Warcraft, ou toutes ces autres conneries cybernétiques pour geeks.

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Les alentours de la ville / Re : Une colloc spéciale.[Jane watson]
« le: jeudi 01 août 2013, 01:23:45 »
« Tu lui as jeté un sort ? »

Jane cligna des yeux, plantant son regard dans celui de sa sœur.

« Nan...
 -  Putain, c’est space... soupira Nell. On m’avait bien dit que c’était une ville de cinglés... »

Jane n’ajouta rien, silencieuse. Était-ce une blague ? Elle continuait à le penser, mais une part d’elle-même était curieusement de plus en plus excitée par la possibilité d’avoir, sous peu, une esclave. C’était à peine croyable ! Dans la chambre, Melody était-elle en train de se changer, ou d’envoyer des SMS à ses copines pour se marrer ? Jane n’arrivait pas à croire qu’elle n’était pas en train de rêver. Tout ça semblait tellement délirant ! Elle y pensait encore, lorsque la porte s’ouvrit, et que Melody arriva. Sa belle chevelure argentée, son collier, et cette tenue d’esclave en cuir... C’était un très bon ensemble, et elle s’avança lentement vers les sœurs Watson, baissant respectueusement les yeux, en position de soumise. Jane la regardait, ébahie... Et de plus en plus excitée, frissonnant devant ce pouvoir qu’elle allait exercer sur cette femme.

« Ce collier et cette tenue sont obligatoire désormais ?  Enfin je veux dire même dans la rue je serais en soubrette ? »

Nell haussa les épaules, tout en se glissant dans le dos de Melody, bras croisés. Jane s’humectait les lèvres en l’observant. Cette tenue était vraiment sexy... C’était elle qui la mettait, pour faire plaisir à sa sœur. D’ailleurs, c’était Nell qui l’avait acheté. Jane lui sourit, tout en avançant une main, caressant la pince qui reliait ses deux tétons, tirant un peu dessus.

« Non... Simplement ici... Esclave. »

Ce que ce mot pouvait être sensuel ! Jane adorait le dire. Avec Nell, c’était toujours un jeu, mais, là, en ce moment, elle avait le sentiment que ce n’était pas qu’un simple jeu. Jane restait devant Melody, se rapprochant un peu, tandis que Nell enfilait, dans leur dos, de long gants en cuirs, dont elle se servit pour caresser les joues de Melody, restant dans son dos, avant de les glisser sur ses hanches, lentement, en prenant son temps. Ce joli corps, après tout, se devait d’être savouré comme il se doit. Les mains de Nell se promenaient joyeusement, glissant sur cette peau, avant de caresser l’une de ses fesses.

« Tu es très appétissante, Melody... Tu ne regretteras pas d’être notre esclave... » soufflait Nell, visiblement aussi excitée que Jane.

Jane alla embrasser Melody sur les lèvres, mordillant sa lèvre inférieure, la gobant entre les siennes avant de tirer dessus. Elle s’écarta ensuite, un léger sourire coquet sur les lèvres, puis alla s’asseoir sur le fauteuil, en croisant les jambes.

« Suce mes doigts, souffla Nell dans l’oreille de Melody, montre-moi à quel point tu es une esclave dévouée... »

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Les alentours de la ville / Re : Une colloc spéciale.[Jane watson]
« le: mardi 30 juillet 2013, 14:52:42 »
Maîtresse... Comme ce choix de mot était judicieux ! Il n’allait sûrement pas arranger l’ego de Jane, mais ce n’était pas le moment de se préoccuper de ce genre de choses. Yeux clos, Jane poussa un léger soupir, sentant sur son corps un frisson, alors que les mains de Melody parcouraient ses épaules, glissant sur sa peau. Ce n’était effectivement pas un massage d’exception, mais Jane n’avait pas non plus l’habitude des massages. Elle savourait surtout ce moment, cette sensation de puissance, de domination. Melody était en train de lui faire un massage, répondant à un ordre direct, et sans manifester la moindre gêne. Était-elle vraiment une Déesse ? En théorie, c’était aux Dieux qu’il appartenait de soumettre les humains, et non le contraire. Mais, en théorie, Jane ne croyait pas à l’existences des Dieux, alors ce n’était pas vraiment un problème. Les mains de Melody étaient douces et tendres, chaleureuses et vivifiantes, illustrant tout le talent dont la jeune femme savait faire preuve.

« Alors ? Voulez vous bien de moi en esclave ? » demanda-t-elle.

Jane devait le voir pour le croire. Ce n’était pas tous les jours qu’on tombait sur une femme demandant à être votre esclave. La Californienne aurait du mal à croire que ce n’était pas un canular en d’autres circonstances. Son regard croisa celui de Nell. Bras croisés, elle regardait sa sœur. Si c’était un jeu, alors le ton était subtilement en train de monter, et Jane, en réalité, se sentait assez excitée à l’idée d’avoir sous ses ordres une femme docile, dotée, qui plus est, de pouvoirs magiques. Sous l’effet de la surprise, elle ne répondait pas encore, réalisant que ce qu’elle avait amorcé comme étant une blague était pris très au sérieux par Melody, ce qui, du coup, amenait Jane à reconsidérer la question.

En faire une esclave ? L’idée était, en soi, complètement saugrenue, mais avait tout de même quelque chose de délicieusement excitant. Jane se mordilla les lèvres, salivant à cette idée, et Nell se rapprocha. L’une de ses mains se posa sur la joue de Melody, et elle se pencha alors, l’embrassant sur les lèvres. Leurs bouches se frôlèrent, se touchèrent, se cherchèrent, et se caressèrent, se prenant l’une à l’autre, avant que Nell ne s’écarte, un sourire léger sur les lèvres.

« Ouais... Une petite esclave docile et sexy, ça ne se refuse pas... »

Jane sourit, décidée. Comme toujours, Nell, en cas de doute, avait eu le mot décisif. La réponse était positive. Une esclave, effectivement, ça ne se refusait pas.

« Mais il va falloir te trouver une bonne tenue d’esclave... N’est-ce pas, Jane ?
 -  Je crois qu’on a quelque chose dans la chambre. Viens... Esclave. »

C’était si bon à dire ! Jane s’avança, pénétrant dans leur chambre, puis ouvrit le placard, commençant par mettre un collier autour du cou de Melody, puis lui sortit différents vêtements, l’ensemble formant une tenue d’esclave.

« Habille-toi, esclave, et retrouve tes... Tes maîtresses dans le salon, on s’occupera de toi comme il faut. »

Et Jane ponctua l’ensemble par une petite tape sur ses fesses, avant de sortir, ayant l’impression de baigner dans une sorte d’impression surnaturelle. Melody était-elle vraiment sérieuse ou pas ? D’un autre côté, Jane l’imaginait mal raconter des blagues de ce type...

En tout cas, c’était dément !

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Les alentours de la ville / Re : Une colloc spéciale.[Jane watson]
« le: dimanche 28 juillet 2013, 12:41:02 »
Leur appartement était assez coquet. Rien à voir avec le manoir qu’elles avaient quitté en Californie, mais on était bien loin des cages-à-poules d’Hong Kong, ces minis-studios aussi grands qu’un placard. Le leur était agréable, avec une salle principale faisant office de salon, et des baies vitrées qui agrandissaient tout. Jane adorait se mettre sur le balcon, en maillots de bain de plage, lunettes de soleil sur les yeux, à siroter du Coca, en se laissant bronzer. Une Californienne devait savoir profiter du soleil, et, pour Jane, avoir un appartement en hauteur sans balcon était tout simplement exclu... Tout comme Nell, qui adorait faire l’amour sur le balcon. Les deux femmes restaient un peu nerveuses. Inviter une personne extérieure dans leur cercle intime, c’était une décision lourde, et ce d’autant plus qu’elle s’était faite en une matinée... Et que Jane n’y était pas étrangère. Melody était une magicienne, et elle pouvait apprendre à Jane quelques tours pour se perfectionner, ce que cette dernière désirait ardemment. Elles avaient tellement agi rapidement qu’elles n’avaient évidemment pas prévu ça. Par conséquent, il y avait, dans l’appartement, des éléments compromettants, que Melody vit d’emblée.

En voyant le fouet, Jane frémit en se rappelant les coups que Nell lui avait infligé. Difficile d’imaginer Jane aimant se faire fouetter le cul quand on la connaissait au lycée, fonceuse, dominante, et insupportable. Cependant, avec Nell, Jane était complètement différente. Nell était sa grande sœur, la seule créature en ce bas-monde que Jane respectait fermement. Elles s’engueulaient souvent, mais jamais sans que Jane ne gagne... Et, quand le ton montait trop, Nell la fessait, ce qui finissait généralement en jeu sexuel. Hier, il y avait eu une dispute similaire, et Nell avait ligoté Jane à une poutre de leur chambre en la fouettant. En voyant les objets, que Jane n’avait pas rangé, il y eut un léger mouvement de flottement, avant que Melody ne se retourne, pour leur lancer, sur un ton guilleret :

« Euh... Je peux vous proposer mes services ? Je suis une bonne servante ...  »

Jane et Nell se regardèrent entre elles. Curieuse réaction.. .Est-ce qu’elle était choquée ? Nerveuse ? Excitée ? Sans attendre de réponse de la part des deux soeurs, Melody les regarda, pour leur avouer qu’elle aimait bien cet appartement :

« J'aime bien ce style d'appartement...  » glissa-t-elle.

Nell se mit à sourire, se rapprochant de Melody, et vint lui ébouriffer les cheveux, glissant ses deux mains sur ses joues, les amenant près de ses oreilles, avant de les caresser, les frottant ensemble.

« Et je l’aime aussi, ma petite Melody... »

Elle l’embrassa sur le front, avant de s’écarter, allant récupérer le fouet. Jane s’avança un peu.

« Notre servante, hum ? Et que proposerais-tu comme service ? »

Jane s’assit en croisant les jambes sur un fauteuil. Servante, c’était quelque chose de très général. Jane ferma les yeux, tapotant ses épaules, mettant à l’épreuve la soumission de Melody :

« Masse-moi les épaules et le cou, esclave. »

Elle voulait voir si Melody était du genre soumise ou très soumise. Quoi de mieux, pour ça, que de l’appeler « esclave » ? Jane la regardait, en attendant de voir sa réaction.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Le grimoire magique [Sayaka Kamatachi]
« le: dimanche 28 juillet 2013, 12:28:13 »
Cet orgasme surprenant l’avait terrassé, et elle avait du mal à se relever. Ce fut intense, et, s’il s’agissait juste de lui montrer le pouvoir de la magie, Jane était convaincue. Sayaka l’aida à se relever, et Jane ne protesta pas, perturbée. Jouir avait eu pour effet de lui remettre les idées à plat, de lui permettre de voir clairement les choses. Elle était dans une sorte de Terre parallèle, entourée de magiciennes sexys disposant visiblement de pouvoirs la dépassant totalement. Belles à en damner les Anges, ces magiciennes dominaient toute une académie, dans un État impérial qui avait l’air de ne pas rigoler avec la magie. Sayaka avait fait une connerie en la conduisant ici sans en référer auparavant à ses supérieures, et, même si elle se la pétait face à Jane, elle allait devoir veiller à prendre soin d’elle. Si l’académie ne ovulait vraiment pas de Jane, la logique voulait qu’on la renvoie chez elle, en se disant que, de toute manière, personne ne croirait à son histoire, qui semblait sorti d’un remake moisi japonais d’Harry Potter. Un orgasme... Putain, elle avait balancé sa mouille comme une petite vierge se touchant devant un film porno’, et tandis qu’elle se remettait, Sayaka lui fit part d’une anecdote très... Rassurante.

Cette histoire lui rappelait une légende urbaine circulant sur le lycée Mishima. Entre Warren et son gang qui grossissait, il y avait aussi des anciennes histoires sur une esclave sexuelle qui aurait figuré dans le dortoir du lycée. Mais Jane n’y croyait pas trop... Les Japonais étaient extrêmement superstitieux, comme ce mythe sur Hanako-san, la fantôme japonaise vivant dans les toilettes, au troisième cabinet des toilettes du troisième étage. Ceci conduisait toujours les élèves, surtout les filles, à redouter le troisième cabinet, et Jane avait déjà vu quelques Japonaises pure souche, comme Shii, attendre devant d’autres portes qu’elles se libèrent, afin de ne pas tomber sur le Yurei... Et il y avait même des filles qui affirmaient qu’il y avait des cadavres dans les souterrains du lycée... Elle n’était donc pas surprise qu’il y ait de telles histoires dans une académie magique, mais Jane n’avait pas spécialement envie de tester leur véracité.

« Bon, tu veux faire quoi ? Voir ta future chambre ? La bibliothèque ? Ou peut être assister à mes cours ? Même si tu ne peut pas encore participer, ça te donnera une idée du niveau. Sache déjà qu'il y aura une dizaine d'élèves, pas forcément tous humains. »

Ce qu’elle voulait faire ? Elle n’en avait pas la moindre idée. Prévenir Nell, ce serait pas mal. Trouver un plan de cette académie, savoir où elle était, ne pas avoir l’impression d’être une prisonnière. Elle secoua la tête, s’adossant contre le mur.

« Je... Euh... Laisse-moi deux secondes, okay ? »

Elle soupira, fermant les yeux, puis regarda Sayaka.

« Je crois que tu peux aussi appliquer tes propres conseils... Si cette Faith est aussi influente que ça, je crois qu’elle n’a pas trop aimé ce que tu as fait. Si je fais des conneries, tu en seras tenue pour responsable... Alors, même si tu as une tenue sexy mettant bien en forme ton cul et tes nichons, garde-toi bien de me faire la leçon, seule ma sœur peut le faire. »

Sa sœur, oui, et non sa mère... Ceci permettait de comprendre, si on s’y intéressait, que les parents de Jane étaient visiblement très défaillants à son égard.

« Mais bref... Dans le fond, je devrais te remercier... J’ai toujours cru que t’étais qu’une pauvre cloche, comme les autres, quoi... Mais, hey, toi aussi, tu caches bien ton jeu, hein, ma salope ? »

Elle le lui balança avec un sourire malicieux, l’air de dire qu’elle savait ce que c’était d’avoir un secret.

« Pour l’heure, je préfère voir à quoi notre piaule ressemble, et aller à la bibliothèque pour essayer d’en savoir plus sur ce monde... »

Aller voir un cours... Et puis quoi encore ? Sayaka tenait tant que ça la déprimer ? Jane s’écarta, afin de la laisser passer devant.

« Et comment on retourne sur Terre, d’ailleurs ? Et où est-ce qu’on doit signer pour avoir une tenue comme la tienne ? Elle moule très bien le cul. »

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« Cependant, pour quelqu'un qui souhaitait apprendre la magie, je suis assez surprise de son rejet de la chose... »

Le regard de tueuse que Sayaka lui offrit fut entièrement rendue par Jane. Lui effacer la mémoire ?! Mais c’était qui, cette greluche ? Jane allait lui montrer de quel bois elle se chauffait, ouais ! Un bon gros coup de pied dans le cul, ça allait calmer cette impertinente qui s’était fringuée comme une pute. Faith n’était nullement amusée, restant de marbre, silencieuse.

« Néanmoins, je suis prête à accepter votre sanction... »

Elle soupira légèrement, en fermant les yeux.

« Je sens ton irritation, Ruby... Vous, les élèves, et même certains professeurs, vous avez du mal à comprendre que la magie est avant tout politique... Beaucoup de conseillers royaux ou seigneuriaux sont des mages, et il est coutume, pour les hommes d’influence, de s’entourer de mages. De même, chaque académie dispose d’un conseil qui édicte un protocole magique. Le droit de la magie existe, et il est contrebalancé par de nombreuses sources de pouvoir, ici et là. Ces portails dimensionnels ne sont guère appréciés des politiciens, et beaucoup de mages avisés redoutent leur multiplicité, en craignant un choc transdimensionnel. »

Ça y est, Jane ne captait plus rien, encore. Elle restait muette, préférant observer la beauté surréaliste de Faith. Elle parlait du ton le plus mélodieux possible, empreinte de cette beauté dont on façonnait les contes... Même si elle avait l’air d’être la casse-burnes de service. M’enfin, tant qu’elle engueulait Sayaka, c’est tout ce que Jane demandait.

« Nous pourrions essayer d’effacer la mémoire de Jane, oui, mais la mémoire ne fonctionne pas comme des tâches qu’on nettoie avec le bon solvant... Il est impossible d’effacer des souvenirs totalement, et, si nous devions faire cela, Jane s’en souviendrait, et chaque passage avec toi serait un risque qu’elle découvre l’existence d’un autre monde, et n’engendre des problèmes que l’État ashnardien devrait régler... Notre académie est indépendante du pouvoir impérial, mais cette indépendance n’est pas acquise. La magie est quelque chose de très politisée, et tous les gouvernements aimeraient contrôler définitivement les académies... Surtout Ashnard. En tant que membre du Conseil d’administration, il m’incombe de veiller à conserver l’autonomie de l’académie, une autonomie qui repose sur des points difficiles. »

Bon sang, elle lui balançait un vrai sermon. Ouais, c’était cool, mais qu’allaient-elles faire d’elle ? Hors-de-question qu’on touche à sa tête ! D’un autre côté, si elles étaient vraiment des magiciennes...

« J’essaie de te faire comprendre que chaque acte de ta part a des réactions qui te dépassent, Ruby. C’est ça, la magie : apprendre à jouer avec des choses qui vous dépassent complètement. Tu pouvais aussi tout simplement ignorer cette jeune femme, faire preuve de tempérance, plutôt que de la conduire ici, et nous placer dans une situation difficile. »

Jane se racla alors la gorge. Faith tourna la tête vers elle, et l’apprentie-sorcière intervint :

« Je ne comprends pas trop ce que vous sortez, mais, si on est vraiment dans une académie magique... Ben, je veux bien être formée... »

Son ton n’était pas très assuré. Elle ignorait toujours vraiment dans quelle espèce de cirque elle était tombée. Faith réfléchit silencieusement, plissant les lèvres. Irrésistible. Jane sentit alors quelque chose la brûler entre les jambes, et se mit à soupirer, les joues rouges. Elle vit alors que Faith avait tendu un doigt vers elle.

« Je ne suis pas Ruby, jeune femme. Je suis une télépathe, et toi, tu es une magicienne non formée. Il m’est donc très difficile de lire dans tes pensées...
 -  Mais... Mais que... ?
 -  Ceci est un sort de magie rose permettant de déclencher un orgasme... Inutile d’essayer d’y résister... »

Jane se mit à rougir en se mordillant les lèvres, se tortillant sur place, tandis que le doigt restait fixé. Elle haletait et gémissait, sentant des visions extrêmement érotiques l’envahir, où elle faisait aussi bien l’amour à Faith qu’à Sayaka, Loria, et même à la démone qu’elle avait vu dans la cour.

« Le Conseil d’administration se prononcera d’ici une semaine sur le sort de cette humaine. En attendant, Ruby, tu l’auras sous ta charge. »

Le doigt de Faith se mit alors à remuer, et Jane poussa un cri de surprise, avant de se retenir contre le mur, mouillant sans se retenir. C’était... C’était irrésistible... Elle eut un orgasme en fermant les yeux, et sentit ses jambes la lâcher. Elle tomba sur le sol, haletant lourdement.

« Elle dormira dans ta chambre... »

Jane se mit à soupirer, reprenant peu à peu son souffle, les joues rouges.

Pourquoi diable Faith avait-elle voulu la faire jouir ?!

*’Foutues perverses...*

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Les alentours de la ville / Re : Une colloc spéciale.[Jane watson]
« le: mercredi 24 juillet 2013, 11:57:53 »
Il y eut une curieuse panne de courant. Jane fronça les sourcils. Ce n’était pas habituel, pour elle... La panne fut assez courte, et le métro repartit rapidement, tranquillement. À force, elle risquait de devenir paranoïaque. Mais, face à la magie, Jane ignorait totalement comment réagir, et avait donc naturellement tendance à être suspicieuse. Elle ne croyait toujours pas vraiment que Melody était une Déesse, mais elle voulait bien croire que cette dernière était talentueuse, douée... Suffisamment pour croire être une déesse, mais Jane, elle, pensait plutôt que c’était une simple humaine.

« Et vous vous vouliez donc une quête de pouvoir magique c'est bien cela ? » s’enquit Melody.

Jane hocha la tête, tout en s’appuyant sur une poutre de soutien filant au-dessus de sa tête.

« On peut dire ça comme ça, ouais...
 -  La Californie est une très belle région, mais Jane pensait qu’il fallait aller à Seikusu pour qu’elle perfectionne ses talents... »

Le métro continuait à avancer, quittant une nouvelle station pour s’élancer vers le centre-ville. La prochaine station serait la bonne. Jane, de son côté, évitait de penser à son transfert de la Californie vers le Japon. Il suffisait juste de traverser le Pacifique, mais les Californiens ne se rendaient au Japon qu’en vacances, pour voir l’excentricité japonaise à l’œuvre. Quand Jane et Nell avaient envisagé de vivre à Seikusu, cette petite ville côtière, tous leurs amis avaient été surpris. Leurs parents, eux, s’en moquaient complètement. Nell, majeure, avait trouvé sur Internet une agence au Japon, et elles avaient résidé dans un bel hôtel pendant une semaine, avant de trouver cet appartement, qu’elles avaient loué.

Jane s’était attendue à rapidement trouver des communautés de sorcières, une sorte d’équivalent nippon de Salem... Mais elle avait rapidement déchanté, en tombant sur quantité d’escrocs et de faux magiciens. Ses recherches infructueuses à Seikusu l’avaient progressivement découragé, tout en la persuadant inconsciemment que la magie n’existait pas vraiment. Elle avait visiter les temples traditionnels sans rien ressentir, et bon nombre de boutiques, sans rien obtenir de probant. Et voilà que la situation commençait enfin à s’améliorer.

« C’est notre station... Allons-y. »

Jane sortit de la station, et le trio arriva dans un grand boulevard éclairé, et chaud. Jane avait hâte de retrouver son appartement, afin de profiter de la climatisation intégrée ! Elles se dépêchèrent donc, et filèrent dans l’ascenseur, menant vers les derniers étages d’un gratte-ciel pour ouvrir la porte menant à leur appartement. Il était assez simple à comprendre, et on en faisait rapidement le tour :


Pour le coup, les sœurs avaient complètement oublié qu’il y avait, sur la table à manger, dans le salon, quelques objets compromettants. En effet, il y avait un fouet qui traînait par là, et que Nell avait oublié de ranger, ainsi que les quelques cordes qu’elle avait utilisé hier soir avec Jane. Le genre de détails auxquels, sur le coup, elles n’avaient pas du tout pensé.



Le plan de l’appartement n’est pas à l’échelle.

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