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« le: dimanche 22 janvier 2012, 22:42:45 »
Voodoo est-elle une gourmande ? Ça en a tout l'air du moins quand elle passe la langue sur ses lèvres comme si elle envisageait de le croquer comme une sucrerie. En tout cas elle ne se fait pas priver pour saisir sa chance quand Ulrique lui tend la perche.
La danseuse vient donc s'appuyer contre ses larges épaules qui soutiennent son poids sans bouger d'un millimètre. En guise de réponse silencieuse il pose à son tour ses larges mains sur le corps de celle avec qui il risque de passer un bon moment. À son tour il prend le temps de découvrir le corps de Voodoo, c'est de bonne guère non ? Il a d'ailleurs pendant quelques instants une vue imprenable sur la poitrine de cette dernière qui, il faut bien le dire, ont largement de ce qu'il faut pour combler n'importe qui.
Rapidement cette vue est remplacée par les yeux de Voodoo dont le bleu lagon complète bien celui des yeux d'Ulrique. Que ce soit lié ou non, l'impression étrange qu'elle lui laisse s'amplifie en lui confirment une bonne fois pour toutes que la jeune femme n'est pas plus humaine que lui. Ce qu'elle est, c'est une autre histoire ... Mais au fond, ils s'en tapent l'un comme l'autre.
C'est mieux non ? Mais je pense que ce n'est pas encore tout à fait ça...
Je suis sûr que tu as mieux à proposer.
Au fur et à mesure que la bouche de Voodoo descend à la découverte des détails du visage d'Ulrique, ce dernier écarte ses mains l'une de l'autre. La droite part exploré le fessier de son amante en tâtent sans vergogne ce qui se trouve sous le tissu tandis que la gauche remonte en distillent ses caresses le long de la colonne vertébrale jusqu'à se perdre entre les omoplates.
Les choses s'accélèrent quand les lèvres se trouvent enfin, la réaction est immédiate au doux contacte du premier baisée. Les deux mains du "géant" reviennent se mettre face à fasse, séparée par les cotes qu'il pourrait sans doute briser, du moins dans le cas d'une humaine pure jus. Le reste du corps d'Ulrique est resté immobile jusque-là, laissant tout le loisir à la streap-teaseuse d'observer et tester son partenaire.
Mais quand les choses s'amorcent pour de bon, il est temps de changer quelque peu de position. Sans rompre le baisser fougueux de Voodoo auquel il répond avec la même force, il la soulève comme si elle ne pesait rien, la déposent à califourchon sur ses jambes avant de partir à l'assaut de l'imposante poitrine. Il y a sans doute peu de main capable d'en contenir autant, aussi ça doit être une surprise pour le jeune femme de le sentir soupeser doucement les mamelons à pleine main, un dans chacune.
Bien évidemment, ce n'est pas la seule réaction du jeune homme. En temps normal, son boxer noir est déjà tendu plus que de raison pour pouvoir habiller les hanches d'Ulrique, difficile en effet d'imaginer un tel gabarit sans les jambes et hanches capables de le soutenir et il va de soit qu'il est compliqué de trouver la bonne taille de sous-vêtement en magasin. L'épreuve et rude pour les coutures du synthétique quand la pression à l'intérieur grandie, retenue pour l'instant par le jean encore en place. Ce dernier se pare d'ailleurs d'une bosse de belle taille sous la poussé de l'organe qui envahit l'espace disponible, déformant la fermeture que Voodoo ne peut probablement ignorer.
Le coeur accélère sa cadence alors que la température monte. Pendant ce temps la langue du français vient rendre visite à celle de l'américaine, s'invitant dans l'espace buccale autant pour entamer la danse que pour goûter ce nouvel environnement. Difficile maintenant de faire machine arrière dans cet après-midi qui s'annonce dorénavant comme très ... Intéressante.