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« le: vendredi 27 janvier 2012, 19:12:19 »
L'atmosphère s'échauffe de plus en plus rapidement, comme en proie au brasier ardent qui enflamme les deux bassins proches, mais encore séparés par leurs prisons de tissus respectives. D'après ce qu'il sent dans ses mains, les 2 imposantes masses de chaires que la vie a offerte à Voodoo sont entièrement vrais et donc encore plus excitante. Il ne peut s'empêcher de les tâter tout en massant les pointes de chaire au bout des obus entre 2 doigts comme pour faire monter encore l'excitation de la mutante si cela est encore possible.
Il doit cependant arrêter son petit jeu, au moins le temps que son t-shirt lui soit retiré pour dévoiler ce qu'il peinait de toute façon à cacher. La découverte semble valoir le coup du point de vue de son amante qui caresse son torse du bout des doigts, testant au passage la rigidité de chaque bosses formés par les muscles sous la peau. Assurément, Ulrique incarne la force brute dans ses moments là, déchaînant sans doute l'imagination de la danseuse.
Elle n'est d'ailleurs pas la seule à voir son corps réclamer plus, la pression continue de monter dans le jean d'Ulrique dont l'inconfort écrase presque douloureusement sa virilité qui ne peut s'étendre à son aise, faute de place. C'est dans ses sithuations là que les mots deviennent inutiles, Voodoo se levant pour le guider dans un endroit plus adapté que la chaise devant l'ordinateur.
À peine arrivée dans la chambre qui servira de nouveau théâtre à leur ébats, la mutante se met en devoir de retirer tout le tissu qu'elle porte et qui risque de gêner la suite des événements. Ulrique se montre nettement moins rapide dans l'opération, car dans intervalle il ne peut que se débarrasser de ses chaussures et chaussettes. Pour sa défense il se montre très intéressé par le spectacle de la poitrine en mouvement de son amante qui lui donne une distraction des plus adéquate en cet instant.
C'est un mal pour un bien, car ça conserve jusqu'au bout la surprise du contenu du pantalon toujours en place pour Voodoo qui se fait un plaisir de libérer la virilité comprimer qui l'intéresse. Elle n'a d'ailleurs aucun mal à faire sauter les boutons gêneurs qui de toute façon avaient toutes les peines du monde à soutenir la tension que la nature de l'événement leur fait subir. Le gain d'espace ainsi généré provoque un gémissement de soulagement de la part d'Ulrique qui malgré tout se retrouve très vite à l'étroit dans son boxer noir outrageusement déformer par ce qui l'habite.
L'engin occupe rapidement tout l'espace en ce gorgeant du sang brûlant poussé par le coeur qui bat à un rythme soutenu. L'odeur désagréable du synthétique tendu à se rompre ce retrouve rapidement couverte par une autre nettement plus puissante, émanation de tout l'effet que Voodoo provoque sur le jeune homme. Mêlant la force de l'alpha canin à la puissance des dragons qui lui ont légué leur sang, c'est plus que suffisant pour raviver l'urgence qui habite la mutante qui descend cette dernière barrière entre elle et l'objet de ses désires.
Un nouveau sifflement meuble le silence qui s'était instauré quand elle découvre l'ampleur de la chose. Elle s'était demandée si tout était en proportion chez Ulrique ... Manifestement oui, car si avec ses 130 Kgs il pouvait rabattre le caquet à beaucoup de pseudo sportif, son entrejambe écrase facilement ce qui se vante d'être des "étalons". Beaucoup de ses vantards comparent sans complexe leurs engins avec un manche de pioche, lui il ne dit rien à ce sujet et pour cause. Les manches les plus épais que l'on trouve dans le commerce couleraient aisément à l'intérieur de sa colonne de chaire sans la remplir. Mais une telle démesure n'est là que pour soutenir la longueur hors norme de la chose qui nécessite pour sa mesure un triple décimètre. Pour résumer en un mot, impressionnant.
Malgré cela, ça ne semble pas refroidir Voodoo, peut-être même le contraire allez savoir. Elle s'installe confortablement en une pause aguicheuse qui incite Ulrique à la rejoindre au plus tôt. Mais plutôt que de s'allonger bêtement sur le lit il se contente de se pencher sur la jeune femme, posant les deux bras de chaque côté des hanches pour y prendre appuis. Visiblement il n'est pas décidé à la satisfaire tout de suite.
La grotte aux plaisirs s'exhibe sans complexe sous son nez, lui permettent d'observer le fait qu'elle n'attend plus que lui. Il se penche un peu plus sur l'endroit, suffisamment pour passer sa langue sur la fente. Il se laisse guider par son instinct qui lui commande d'explorer l'endroit du bout de son appendice buccal, poussant un peu plus fort sur le bouton à jouissance de Voodoo dès qu'il passe dessus, guettant ses réactions.