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« le: mardi 29 juin 2010, 19:36:20 »
Mario observa la belle demoiselle qui lui était toujours inconnue se présentait à lui d’une bien étrange manière. Après lui avoir demandé s’il aimait son goût, ce qui aurait été difficilement inavouable dans la mesure où elle avait le goût sucré et étrangement exotique que la chair de l’homme – sans doute tout comme celle de certaines femmes – aimait tant. En effet le jeune homme ne pouvait que remarquer l’ampleur de ses propres réactions corporelles. Jamais il ne s’était réellement demander quel serait le résultat du sexe sur son organisme, mais la seule présence de cette femme ou la seule perception animale qu’il eût de ses lèvres gorgées de sang et dégoulinantes de mouille le faisait entré en un état proche de celui de l’intensité propre aux entraînements les plus éprouvants. C’était comme si son corps se tendait vers elle, jouxtant tous ses atouts pour s’apprêter à l’effort. Alors qu’il avait libéré son membre, il avait immédiatement irrigué celui-ci en sang, le présentant sous sa forme la plus terrible, semblable à une lance.
Il n’avait rien d’un acteur pornographique quant à ses dimensions génitales, cependant on pouvait noté l’extrême dureté de sa virilité. Sa faculté lui permettait en effet de maîtriser avec exactitude sa pression sanguine tout comme l’extension de son corps caverneux, l’absence de douleur chez lui le prévenant de trop de brutalité. Mais alors qu’il posait ses yeux sur le sexe de la belle, palpitant presque plus vite que le cœur de celle-ci qui semblait déjà prêt à rompre, il remarqua un bijou posé sur une perle de chair. L’objet n’était de toute évidence pas décoratif étant donné sa facture… Sans doute une chose du sexe, puisque ça lui échappait. Bien qu’il n’eût jamais eu de rapport sexuel, il n’était pas niais au point de ne pas savoir ce qu’était que le coït. Pourtant lorsqu’elle lui demanda de "la" mettre… Il ne comprit pas de quoi elle parlait. En effet un peu plus tôt elle lui avait demandé si son goût lui convenait, or le goût lui venait de sa langue et non de son sexe, ça il pouvait en être certain. Elle avait le bassin surélevé aussi en profita-t-il. Tout d’abord le bel artiste martial s’assit en lotus sur le sol puis il se saisit des cuisses de la belle en passant ses avant-bras au dessous. L’attirant vers lui, le dos de la jeune fille glissant sur l’herbe sèche, il la souleva bientôt un peu plus et porta ses lèvres jusqu’entre ses cuisses.
Alors sa langue se posa contre l’anneau alors que sa mâchoire supérieur bloqué celui-ci. Ainsi sans risquer d’amener quelques liaisons à ce petit morceau de chair si fragile, il se mit à appuyer du bout de la langue à l’intérieur du cercle de métal. Ainsi la petite boule de plaisir se retrouvée brusquement pressée contre le sexe de la belle par la parure génitale. Faisant bouger sa langue, il intimait un petit mouvement circulaire au clitoris qui tantôt était délicatement tiré, par peur de la blesser, tantôt brusquement compressé, puisqu’elle ne risquait pas d’avoir de déchirure ainsi. Toujours poussé par son instinct, le maître du corps poussa son index entre les petites lèvres de la splendide demoiselle, le bout de son doigt vint alors à un ou deux centimètres du clitoris de l’esclave d’Ishtar. Effectuant à court mais lent mouvement de vas et viens qui s’accélérer, il excitait la zone de la même façon qu’il l’aurait fait pour tenter de ramener le sang vers le bouton de bonheur. Mais son mouvement était tout aussi efficace sur la membrane que sur l’épicentre des plaisirs clitoridiens. Immédiatement le plug anal – auparavant retenu par les vêtements de l’inconnue – tomba au sol.