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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: lundi 23 avril 2018, 21:27:52 »

C'est plus dur que je ne pensais de ne pas montrer que l'entendre me traiter de vilaine fille m'amuse. J'ai envie de rire tellement ça fait cliché de mauvais film porno. Par contre c'est bien moins dur de simuler que je le pensais. Je suis impressionnée car le son des claques qu'il me met aux fesses est très impressionnant, mais au final ça ne fait pas si mal que ça. Je parviens à simuler des gémissements de douleur bien sexy et tout, mais très vite mes fesses insensibilisent à force des tapes, du coup ça ne fait presque plus mal. J'ai chaud au derrière malgré tout et je me trémousse pour donner vraiment une belle impression que je dois me forcer pour rester alors qu'en fait pas du tout. Je découvre même un peu surprise que j'arrive à apprécier ça, les fessées.

Je trémousse à chaque tape qui s'abat sur mon petit derrière et j'agite bien ma poitrine devant la caméra en gémissant chaudement, même si je pense que j'en fais peut-être un peu trop. Par contre j'ai fait une erreur de stratégie, en me mettant en travers des genoux de Marc j'ai perdu l'écran du PC de vue et je ne vois plus les commentaires des viewers.

J'ai pas été très maline sur ce coup... Songe-je en couinant à une énième fessée.

Puis elles s'arrêtent et Marc commence à dire que je mérite bien ça. Le seul soucis c'est que je me demande bien quoi. Puis je sens ses deux mains en même temps se poser sur mes fesses pour les écarter. Là je ne parviens pas à m'empêcher de tirer une tronche assez surprise.

Hein ? Quoi ? De l'anal aussi tôt dans un show ? Mais je ne me suis pas encore chauffée ! Songe-je en me disant que normalement je passe d'abord un bon moment à m'exciter vaginalement avant de m'attaquer à mon petit trou.

Et après j'y vais vraiment par étape parce que par cet orifice-là c'est super délicat et rater une étape peut faire la différence entre prendre du plaisir anal et couper tout plaisir tout court. J'essaie de faire discrètement signe à Marc pour qu'il m'explique avant de faire quoi que ce soit, mais sa tête n'est plus là où je peux lui faire des signes quand j'essaie.

L'instant d'après je couine de surprise réelle cette fois.

C'EST SA LANGUE QUE JE SENS LÀ ?!?

Mes trémoussements qui suivent eux ne sont pas du tout du cinéma. On ne m'a jamais fait d'anulingus et je suis extrêmement gênée. Je voyais ça plutôt comme un préliminaire bien plus tard.

Au début je rougis comme c'est pas permis et je me contracte tellement ça me fait bizzare. J'ai envie de lui dire d'arrêter, mais je m'arrête en voyant la caméra en face de moi.

Allez Alaïs... Arrête de baliser, le show doit continuer ! C'est rien, détend-toi et profite...

Bon, plus facile à penser qu'à faire et je mets plusieurs minutes à m'habituer à des coups de langue dans ce coin-ci de mon anatomie. Mais après... Quand je commence à me détendre...

Hooouuuuu... Qu'est-ce qu'il est douééé... Me mets-je à songer alors que mon souffle se fait haletant.

La première gêne passée, je commence à avoir des sensations vraiment pas désagréable et ça commence à bien m'exciter, je sens d'ailleurs que je commence à couler sur les genoux de Marc. Et cette fois mes gémissements n'ont rien de simulés et quand je regarde la caméra, je sais que mes pupilles sont dilatées de plaisir.

- Bande de méchants... Hooouuuu... C'est pas juste... Haaaaa... De commencer à m'attaquer si tôt par là... Souffle-je chaudement à la caméra.

Mais honnêtement, si la caméra avait un beau sexe bien dressé, je crois que je me serais assise dessus.

Je finis par me contorsionner un peu pour voir les commentaires. Ça a l'air de bien se passer. Visiblement le publique apprécie de voir le visage de Marc entre mes fesses. Mais il va falloir passer à la suite du show... Je cherche une idée intéressante dans ce qui est suggéré et je vois une toute petite majorité réclamer un truc qui me tente bien.

- Vous avez raison, pauvre de lui dont personne ne s'occupe... Halète-je en me dégageant difficilement de sur ses genoux. Il est temps que je prenne soins de mon étalon...

Je reprend la lotion et en asperge un peu sur le bas de mon dos, surtout entre mes fesses, puis je viens m'asseoir à l'envers sur ses cuisses, pressant mes fesses contre son engin.

- J'ai été une vilaine fille, dis-je d'un ton chargé de plaisir et de désir. Mais toi tu as été un vilain garçon aussi... Continus-je en commençant à faire aller mes fesses de haut en bas contre son sexe en prenant appuis avec mes mains sur ses genoux.

Je sens son sexe prisonnier de la vallée entre mes fesses et contre son torse être astiqué par mon fessier glissant et frotter contre mon anus. Je commence lentement alors qu'un de mes follower propose une musique d'ambiance d'une de mes playlist française. Je me penche pour accepter avec enthousiasme et cliquer sur "play".

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Je me cale alors sur le rythme pour ma masturbation rectale et adresse des regards langoureux à Marc alors que la musique commence à se faire entendre dans la pièce. La chanson est triste, je le sais, mais je trouve aussi que c'est un merveilleux duo. Je le sens durcir de plus en plus sous mes caresses. Vers la moitié je double la cadence avec mes fesses, n'hésitant pas à en profiter pour reprendre des bouts de la musique en chantonnant. Je sens sa verge être secouée de léger spasmes et je sens que du pré-sperme commence à en couler. Peu avant la fin je double encore la cadence et quand le final vient, je me retire d'un coup pour le laisser avec sa trique.

Je suis vraiment excitée, j'ai le bas-ventre en feu et je sens que je ne réfléchis plus très bien. Je n'ai presque plus qu'une envie : Qu'il me saute ! Tout de suite ! J'hésite d'ailleurs à la plaquer contre le lit pour le chevaucher tout de suite. Je suis tellement trempée en bas que je sens que je coule sur la moquette à grosses gouttes. Mon regard lui hurle de me baiser, mais je ne sais même pas s'il va arriver à assurer le show encore. D'après l'horloge on a fait à peine plus d'une quinzaine de minutes de show et même pas encore vingt minutes. C'est pas mal, mais je suis plutôt habituée à tenir une demi-heure au moins. Mais c'est la première fois que j'ai un partenaire et bon sang ce qu'il m'excite !

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One Shot / Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

« le: lundi 23 avril 2018, 17:26:52 »

Je pensais avoir le rouge aux joues avant la tirade de madame Charlie. J'avais torts, je suis absolument écarlate après celle-ci.

Tout ce qu'elle vient de dire... C'est à la fois outrageant, intéressant, excitant et extrêmement tentant... Je ne peux pas m'empêcher de me demander si ce n'est pas trop beau pour être vrai. Une vraie futa qui vient me montrer son service trois-pièces et qui est en plus outrageusement sexy. Par-dessus le marché c'est une de mes profs et elle vient de me donner carte blanche pour en faire ce que je veux.

C'est pas possible, je dois être en train de rêver... Je me suis endormie en pleine classe et je suis en train de fantasmer sur ma prof...

Je glisse discrètement une main dans une de mes manches et me pince le bras pour contrôler que je suis bine réveillée. Et comme la douleur fuse, je comprends que ce n'est pas un rêve. Tout est vrai.

Je lève mes lunettes vers madame Charlie, toujours hésitante. Mais je sens déjà que si je refuse maintenant je vais probablement le regretter toute ma vie.

À geste lents je lève le bras, hésite, approche ma main de la culotte, hésite encore, puis après une grand inspiration, je pose ma main au complet sur le paquet.

J'ai des frissons en réalisant que c'est chaud. Je tente de tâter un peu, ça a l'air totalement vrai, je sens de légères contractions musculaire sous le tissus.

Je pousse un petit gémissement de surprise et serre les cuisses car je sens une chaleure plutôt connue commencer à poindre à mon entrejambe.

Je lève les yeux vers la prof, la fixant du regard pour voir si elle réprouve mon geste. Sans vraiment regarder, je lève ma main plus haut et glisse ma main sous la culotte pour saisir le manche de ce service trois-pièces XXL. Je le palpe, le doute n'est plus permi, c'est chaud et moelleux, c'est de la peau et de la chaire.

Kamis-Sama... Protégez-moi... Non seulement c'est une vraie mais elle est aussi gigantesque... Songe-je en redescendant mon regard pour constater que j'ai bel et bien la main dans la culotte de madame Charlie et que je suis bien en train de lui palper le membre viril qu'y s'y cache.

Comme dit le proverbe, la curiosité vient de tuer le chat, mais dans mon cas elle ne m'a pas rendue sourde et un bruit lointain dans les couloirs me rappelle brusquement où nous sommes : au lycée.

Avec peur je retire brusquement ma main de la culotte de madame Charlie. Je serre la main qui a touché ce sexe immense contre moi en regardant en direction du couloir avant de tourner le regard vers la prof.

- D'... D'accords, vous avez gagné madame... Mais pas ici... Dis-je avec un regard implorant. Ici je ne pourrais pas... Je... Un lit... J’aimerais un lit... Souffle-je en détournant le regard de son paquet proéminent. Un lit, dans un lieu fermé... Où il n'y aurait pas de risque d'être dérangée... Je dors au dortoire alors personne ne remarquera si je ne rentre pas de la nuit... Dis-je en me mordant la lèvre.

Je sens que je mouille déjà rien qu'à l'idée de ce qu'il pourrait se passer ensuite dans un lit. J'ai été percée à jour si facilement que c'en est déconcertant...

Je n'ai plus qu'à espérer qu'elle veuille bien accéder à ma demande.

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One Shot / Re : Par les chemins de l'aventure [Alaïs] - [Lamnard]

« le: lundi 23 avril 2018, 16:10:08 »

Alors que le marin nordique parlait, celui qui sentait le chien mouillé se tourna vers lui et fit entendre un grondement sourd de canidé mécontent, mais celui qui parlait avec un accent sifflant leva une main pour l'interrompre.

- Tu es un humain plutôt esssstrange... Et tu es un peu trop persssspicassse... Mais comme nous ssssommes découvert, je crois que nous n'avons pas le choix...

Il désigna aussi discrètement que possible en sortant un doigt écailleux et griffus de sous sa capuche pour la pointer vers la serveuse aux très lupins.

- Sssette demoiselle est la fille de mon asssossssié... Ssssela fait plus de quatre lunes que nous traquons ssssa pisssste depuis le village où elle a été emmenée... Et mon asssossssié souhaite la récupérer... Dit-il avant de tourner des yeux jaunes aux pupilles fendues de sous sa capuche vers le marin. Et ssssi tu te mets ssssur notre route, je sssserais forssssé de te faire taire... Continua l'autre trarrnide alors que dans l'ombre de la capuche le grand marin pouvait deviner comme une collerette se déployer à la manière des cobras royaux du désert.

L'acolyte de son interlocuteur resta muet, mais scruta intensément lui aussi en direction du marin, de léger reniflements se faisant entendre de sous sa capuche à lui.

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: lundi 23 avril 2018, 15:43:12 »

Sa remarque sur le fait qu'il puisse me toucher avant le show me fait bien rire.

- Marc, ne fait pas l'idiot, rigole-je. Dans moins d'un qrat d'heure on va être tout nus devant des caméras pour avoir une activité sexuelle. Alors je pense qu'on peut considérer les préparatifs comme faisant partie du show, non ?

Je le laisse ensuite faire pendant qu'il me répand de la lotion dessus. C'est vraiment très agréable. Il n'y a rien à dire à ce sujet, c'est vraiment un garçon doué avec ses mains. Je soupçonne même que certains mouvements sont destinés à masser plutôt qu'à appliquer la lotion.

- Je ne pense pas que ce soit opportun à la caméra, dis-je en laissant finalement tomber ma serviette pour lui permettre d'accéder bien partout. Je préfère faire ça en off, comme ça nos viewer n'ont pas à perdre leur temps avec ce genre de détails qu'ils n'ont pas forcément envie de connaître...

Je ne peux pas m'empêcher de soupirer doucement en le sentant me passer la lotion un peu partout. Et comme il insiste un peu, je me prends à rire timidement, malgré que je n'en sois pas à ma première fois, ça me fait toujours tout drôle de me faire tripoter par quelqu'un d'autre. C'est franchement très agréable et je pourrais carrément devenir accro à ce genre de caresses avant l'acte.

Il me tend la bouteille ensuite et me réclame le même traitement. Je souris, c'est de bonne guerre après tout, surtout que maintenant je suis toute huilée et brillante de partout.

Je prend la bouteille et fait couler de la lotion sur mes mains pour la tiédir avant de la passer sur le dos musculeux de mon partenaire.

- Enlève ton boxer, Lui demande-je en passant doucement mes mains le long de ses homoplates et de sa nuque. C'est mieux si on en met vraiment partout, ça peut vraiment aider sur beaucoup de choses.

Je reste assez songeuse pendant que j'arrive à ses flanc en passant la crème et je prend mon temps pour réfléchir en lui en passant sur les fesses.

- Pour le premier jour, laissons de côté le fist tu veux bien ? Ris-je un peu nerveusement. Je suis plutôt entraînée avec les gros calibres, mais pas forcément à ce point. Après, si c'est une de tes petites envies, pourquoi pas ? Mais il faudra peut-être qu'on teste hors-show dans ce cas... Par contre pour les petits fessées, je ne dis pas non, mais gentiment hein ? Je n'ai pas envie de devoir me rattraper au plafonnier après la première tape. PLaisante-je en m'accroupissant pour étaler le produit sur ses cuisses et ses tibias.

Je réfléchis encore en lui en passant sur les pieds avant de lui demander de se tourne et de commencer à lui en passer sur le torse.

- Honnêtement, je pensais surtout laisser nos viewer nous demander des choses et éventuellement lancer un truc ou l'autre si on se sent dans l'humeur pour. Par contre...

C'est bête, mais il suffit qu'on en parle et je sens l'inspiration me venir tout de suite.

- Hmm... Moui, je crois que j'aimerais bien essayer de te faire un paizuri si tu veux bien ? Propose-je en rosissant un peu pendant que je termine de lui passer de la lotion sur le bas du torse et que je commence à attaquer sa virilité. Qu'est-ce que tu en dis ?

Je termine délicatement de lui étaler le produit sur les bourses, normalement il en a partout et il est prêt.

- Bon, c'est l'heure du show ! M'exclame-je ensuite en fermant la bouteille avant de prendre une serviette pour m'essuyer les mains afin qu'elle ne glissent pas trop et me tourner pour orienter le PC de manière à voir depuis le lit.

Je commence la connexion et je fais le nécessaire pour nous connecter sur mon compte. J'ai fait un peu de pub les derniers jours et alors que je connecte le sous-compte que j'ai créé pour l'occasion je réalise qu'il y a déjà presque cent personnes dans le chat en train de discuter en attendant.

- Waouh ! Tout ce monde ? Hé, regarde ça Marc ! Cent onze utilisateur attendent de nous voirs à poil pour faire des cochonneries !

À chaque fois ça me fait tout bizzare de voir autant de mon pour accourir me voir nue faire des trucs, mais d'ordinaire il y a plus facilement entre vingt et trente personnes, pas plus de cent. Il faut croire que le mot a bien passé. Je reconnais pas mal de pseudos qui sont des habitués de mes shows.

- C'est fou ! Prépare-toi on va leur faire coucou ! Dis-je en me tournant pour vite aller chercher mon petit masque.

C'est un objet très simple en plastique blanc et souple, il ne couvre que le haut du visage à partir des pommettes jusqu'au front. Trois élastique permettent de le tenir en place et comme ils sont d'une couleure très similaire à mes cheveux on y voit que du feu. Je l'enfile en vitesse, même si je croise le regard de marc qui me laisse comprendre qu'il n'aime pas trop cet accessoire.

- Désolée, je tiens à mon anonymat sur le site. Et je veux pouvoir mener une vie normale sans qu'un homme me croise dans la rue et s'exclame "la fille des camshows" ! Si tu n'aimes vraiment pas je réfléchirais à tomber le masque pour le show final...

Je repasse devant lui et l'attrape par la hanche pour le coller contre moi avant d'allumer les webcams.

- Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ce soir ? Aujourd'hui je suis en compagnie d'un des étalons les mieux dôtés du monde ! Dis-je en faisant un pas de côté pour désigner Marc.

Je me penche ensuite vers la webcam centeale et lui glisse d'un ton conspirateur.

- Il rêve de me glisser sa grosse affaire dans des coins pas du tout autorisés ! Mais je ne crois pas être encore prête pour ça, vous en pensez quoi vous ? Dis-je en jouant les fausses ingénues.

Je le regerette un peu, les commentaires affluent à l'intention de Marc lui recommandant de me prendre sans ménagement, ajoutant que je suis une fausse prude, et une bonne moitié s'exclament que je ne fais jamais rien avec personne et du coup qu'il peut y aller sans protections.

- Heeeiiiinnnnn ? Fais-je semblant de me plaindre. Mais c'est pas juste ! Vous voulez qu'il me distende avant l'âge ou quoi ?

Une dizaine d'utilisateur avec des pseudo très féminins s'empressent d'écrire pour dire à Marc que je suis une fille pas sage et lui demander de me donner une bonne fessée.

Hé bien, ça part bien... Songe-je en ayant presque envie de rire.

On est à peine apparu devant la cam qu'il y a déjà une belle petite majorité qui demandent à ce que je reçoivent des fessées qui me fassent bien rougir les fesses. Inétireurement, je suis plutôt contente, ça part plutôt pas mal et les gens ont l'air déjà bien chaud pour la suite.

- Boooh.... Soupire-je d'une manière très téhâtrale en tirant la langue à la caméra. Vous avez de la chance que je n'aie pas le choix... Termine-je avant de pousser gentiment marc pour qu'il s'asseye sur le lit.

Une fois qu'il est assis, je me couche en travers de ses genoux en faisant semblant de bouder, mes petite fessess blanches bien relevées sous son nez.

- Pas trop fort s'il-te-plaît... Lui murmure-je discrètement pour ne pas être entendue depuis les micros des caméra.

Je lui adresse un petit clin d'oeil complice pour lui faire comprendre que ce n'est que du jeu d'acteur juste avant de recommencer à faire semblant de bouder. Intérieurement, je me prépare à couiner de manière sexy et à agiter les jambes comme si je n'en pouvais plus dès la troisième fessés. Et a à commencer à m'agiter un peu à  la cinquième de manière à balloter ma poitrine devant la caméra qui me fait face.

Je vais vous donner envie de me torturer, vous allez voir bande de petits pervers ! Songe-je pour moi-même malicieusement.

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: lundi 16 avril 2018, 22:27:42 »

Finalement Marc se range à mon opinion ce qui me rassure. Si des incidents avaient commencé à apparaître à ce niveau-ci de notre collaboration, j'aurais commencé à me poser des questions pour la suite. Mais il a l'air d'être un garçon tout à fait réglo et cette idée me rassure et me rend heureuse. Je suis vraiment contente que ça se passe aussi entre nous deux, ça me permet d'envisager plus sereinement de bien me lâcher pendant le show à venir.

Pour le coup il n'est pas le seul à être pressé d'être vendredi. Je sens que je vais avoir un mal fou à me retenir ce soir...

Une fois que nous avons tout rangé, nous rentrons chacun de notre côté et effectivement, je passe une nuit infernale peuplée de torses musculeux et de sexes énormes. Quand je me réveille je suis à peine surprise de voir la plus grosse tache de cyprine que j'aie jamais faite dans un protège-slip. Et je suis obligée de continuer à en porter pendant deux jours comme si j'avais des règles super-abondantes tellement je n'en peux plus d'attendre.

Je prépare et démonte déjà tout ce que je peux le soir d'avant comme matériel informatique et je bourre le tout dans un sac pour le transporter à l'hôtel le lendemain soir juste après les cours. Je prépare aussi une valise que je bourre avec mes sextoys depuis les plus petits jusqu'aux plus fous en ajoutant tout ce que j'ai comme lingerie sexy et, malheureusement, tout mon nécessaire pour faire une grande toilette de fond en comble.

Je ne tiens vraiment plus en place le vendredi et suis complètement incapable de me concentrer sur mes cours.

Ce soir je vais jouir ! ENFIN !

Dès la fin des cours je me dépêche de prendre le bus et de foncer à l'hôtel. J'échange mon bon contre la clé et je m'y rend un peu en avance pour commencer les préparatifs. Je pique un des fauteuils et la table basse pour y poser mon laptop et commencer à faire les branchement pour mettre en place ma caméra sur son trépied. J'en profite pour tourner la webcam de mon netbook afin d'obtenir un deuxième angle de vue et avec la caméra de Marc ça nous donnera en tout trois angles de vue.

Je prend ensuite mes sextoys et je commence à les répartir sur les étagères pour faire un peu comme si c'était chez moi ou un studio "pro", et puis ça décore tout en cachant un peu le cadre où nous allons nous trouver. J'aligne des dizaines de godes du plus petit au plus grand, ensuite des vibros, depuis des petit vibros à tétons jusqu'à des oeufs vibrant pour la stimulation anale en passant par les traditionnels godes-vibro, double-godes, pinces à tétons, plugs anaux, plugs vaginaux, etc...

Je termine tout juste quand Marc appelle pour signaler qu'il est dans le hall. Je lui envoie un texto pour lui dire de monter que je suis déjà dans la chambre.

Je suis fébrile, mais en même temps contente et c'est avec un immense sourire que je lui ouvre la porte quand il toque.

- Entre ! J'ai pris des pizzas à réchauffer pour manger après. Dis-je en m'écartant.

Je le laisse entrer, le laisse voir comment j'ai commencer à organiser les lieux en temple du sexe et de la débauche. avant de prendre mon nécessaire.

- Bon, je file en salle de bain. Tu peux déballer et préparer ton matériel informatique, je pense que j'aurais terminé ma douche avant que tu n'en aie besoin. J'ai fais un peu de pub sur le site. On commence le live à 19:00, il nous reste un peu moins d'une heure et quart pour nous préparer.

Je file dans la salle de bain. Puis j'envoie valser mes vêtements tout de suite. Première étape, je rase tout ce qu'il y a à raser, aisselles, jambes. Ensuite c'est l'épilation, le moment que je déteste le plus. J'utilise de la cire froide et je me fais le maillot. Pour une japonaise ce n'est pas courant, mais j'ai vite compris que d'avoir une grosse touffe en bas ça n'attirait pas les viewers. Du coup j'épile tout ce qui dépasse et je termine avec une petite tondeuse pour avoir un petit ticket ras et doux, le reste étant retiré.

Déjà rien que là j'ai perdu presque une demi-heure et alors seulement je peux aller dans la douche.

Tout y passe, les cheveux, le savons, je me savonne bien consciencieusement partout avec un savon qui sent l'amande et surtout mes parties intimes. Mon shampoing a tendance à blanchir encor eplus mes cheveux, mais c'est normal, c'est voulu ainsi.

Quand finalement je sors de la douche avec une serviette enroulée autour de la taille et une autre autour des cheveux, je crois Marc qui attends pour la douche.

- C'est bon, tu peux y aller, lui-souris-je en laissant couler mon regard sur son affaire.

Je n'y résiste pas, quand il passe près de moi, je frôle son sexe avec ma main.

- À tout de suite bel étalon ! Lui dis-je en lui faisant un clin d’œil coquin avant de me remettre devant le mirroir pour mettre un tout petit peu de maquillage et me recoiffer comme il faut.

Je termine tout juste de me sécher quand il sort de la douche à son tour, je lui tends ma bouteille de lotion.

- Tu veux bien ? Il faut en mettre partout, pour que j'aie la peau qui reluise bien à la caméra. Tu peux en mettre aussi si tu veux, ça rend le corps légèrement glissant, mais c'est tout. C'est tout à fait comestible, tu peux limite la boire à la bouteille. Bon par contre si tu en bois trop ça donne la nausée. C'est goût amandes. Ça fait penser à du massepain. Mais c'est pas génial pour les cheveux par contre.

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One Shot / Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

« le: lundi 16 avril 2018, 16:29:56 »

Voilà qu'elle me parle des rumeurs et des mythe du lycée maintenant ? Je comprend de moins en moins.

Et qu'est-ce que ça a à voir avec un détail qui m'est personnel ?

Décidément plus cette conversation avance et moins je comprends de quoi on parle. Je dois avoir l'air de plus en plus perdue, ne sachant plus vraiment trop où me mettre. Mais alors qu'elle commence à me parler d'élèves normales qui cachent des choses je commence à pâlir. Je ne vois qu'une raison de me faire accoster comme ça. Et je commence à envisager avec terreur que ma prof ne soit tombée par hasard sur un de mes shows hot.

Puis je me perds de nouveau parce qu'elle me parle de ses propres secrets et qu'elle est prête à me les révéler.

C'est quoi ce délire ? Je suis entrée dans la quatrième dimension pendant que j'avais le dos tourné ? Ne puis-je m'empêcher de me demander.

La suite me laisse littéralement sans voix. Voir une intervenant externe commencer à écarter les jambes et vous montrer sa culotte c'est déjà pas courant et je sens le rose me monter aux joues à vitesse grand V.

Q-Q-Q-Q-Q-Qu-Qu-Qu-Qu-Quoi ?!?!? Mais il est en train de se passer quoi là au juste ?!?

Je sens la température de mon visage prendre l’ascenseur et je ne suis même pas au bout de mes surprises. Elle continue à écarter les jambes et je commence à distinguer des détails. Mais clairement le genre de détails qui ne devraient pas s'y trouver.

Heu... Mais on dirait... Des... Boules ? Et ça on dirait... Mince !?! C'est un PHALLUS ?

J'ouvre des yeux immense en commençant à me demander si c'est une caméra cachée. En plus ça a l'air énorme ce qu'elle cache dans sa culotte.

Étrangement, je sens ma peur et mon stress redescendre, emportés par la curiosité. Madame Charlie me demande si je n'ai encore jamais vu ceci. Vu ce qu'elle vient de me montrer, j'ai presque envie de lui dire que ce n'est pas le premier que je vois, mais d'un autre côté c'est effectivement la première fois que je vois un truc pareil... Ben sur une aussi jolie femme.

Par contre elle me demande si ça me fascine et je dois bien admettre qu'elle a tapé dans le mille, je ne parviens pas du tout à décoller mes yeux de son corpulent outillage. Ça a l'air tellement gros, tellement disproportionné... Et tellement excitant aussi !

- Je... Dis-je en hésitant. En fait... Ce n'est pas la première fois que je vois un... De ces trucs... Me défends-je pour essayer de regagner un peu de contenance. Cependant... Si votre question est plutôt "Avez-vous déjà vu un pénis sur une femme ?"... Je dois bien admettre que la réponse est "non"... Dis-je en décollant mes yeux de force pour regarder ma prof dans les yeux. Mais pourquoi m'en parler à moi... Et pourquoi me montrer ça ? Dis-je en rajustant mes lunettes sur mon nez, essayant de ne pas avoir l'air aussi intriguée que je le suis réellement.

Je me fais la réflexion qu'une fille normale aurait sans doute crié au scandale et dit à la prof qu'elle ne devrait pas montrer ses sous-vêtement à une élève. Ce qui me fait penser que vu que je me suis contenté de demander pourquoi moi, je viens sans doute de cramer mon intérêt pour ce genre de choses.

Kuso... Si elle le remarque je suis grillée...

Pourtant, une partie de moi aimerait qu'elle le remarque. J'ai vraiment envie d'en savoir plus. Et puis, madame charlie est très loin d'être moche, si en plus elle est montée comme les bosse sont l'air de le suggérer...

Je secoue légèrement la tête pour me remettre les idées en place, mais j'ai bien failli partir en fantasme.

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Prélude / Re : (Terminé) De la pudeur, tu dis ?

« le: lundi 16 avril 2018, 15:48:07 »

Bonjour et bienvenue sur le forum.

Et bonne chance pour la suite.

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One Shot / Re : Par les chemins de l'aventure [Alaïs] - [Lamnard]

« le: lundi 16 avril 2018, 15:44:17 »

Les deux silhouettes encapuchonnées étaient à cran, ça se devinait autant que ça se sentait. Le crissement du cuir et le raclement de l'acier était ténu mais audible et il se trouvait peu de chances que d'autres dans la taverne ne l'aient remarqué, la plus belle preuve en étant leurs choppes vides sur leur table. Si les esclaves n'avaient pas été aussi nerveux à leur proximité il y avait longtemps qu'ils seraient passé pour les emplir à nouveau, mais par un sorte de miracle du sixième sens, ceux-ci trouvaient le moyen d'éviter de revenir remplir les récipients de cette table en particulier.

Au regard insistant que lança le grand nordique l'un des deux Terranide sembla se crisper et siffla d'une voix étonnamment aiguë en direction de l'homme du nord.

- Passsse ton chemin esssstranger... Nous n'avons rien qui puisssse t'intéressssser...

L'autre se contentait visiblement de rester silencieux et le plus immobile possible, mais son regarde semblait suivre de près une terranide ayant des traits vaguement lupin. Un nez exercé aurait pu remarquer que le silencieux sentait également assez fortement le canidé ayant pris l'eau.

Personne dans la taverne ne semblait attacher quelconque importance à la discussion qui venait de s'ouvrir, même pas la tavernier qui faisait rouler une paire de dés en compagnie de deux marins à la dentition défaillante.

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: lundi 16 avril 2018, 15:06:07 »

J'écoute très attentivement la suggestion de Marc, j'ignorais complètement que le site permettait le reconnaissance de plusieurs caméras et la possibilité de switcher entre elles suivant les sélections des utilisateur pour leur permettre de visionner ce qu'ils préfèrent. C'est un peu comme un film à la carte, vous choisissez les angles de vue qui vous conviennent et vous visionnez. L'idée me plaît bien.

- Il faudra faire des tests avant. Je te ferais une invitation comme pour un show privé et tu essaiera de voir si tu arrives à bien switcher entre les caméras. Prévois peut-être aussi un smartphone, qu'on teste si la version mobile du site propose la fonction ou pas... Dis-je en agitant les jambes.

Ses petites provocations et ces petites piques me donnent envie d'y réagir. Je sens bien que ce sont mes hormones qui me jouent des tours. Si mon corps pouvait parler, je pense qu'il hurlerait à qui veut l'entendre qu'il veut faire l'amour et satisfaire ce besoin dévorant de se faire prendre qui me consume les entrailles.

Quelle condition à la con... Je meurs d'envie d'un bon coup de pieux bien au fond...

Je regarde la bosse de marc à son pantalon, de plus en plus songeuse et de plus en plus envieuse. Mes yeux dans la flou doivent être en train de trahir que j'ai envie qu'il la sorte et qu'il essaie de me la mettre. Mais je secoue la tête. Je dois me contrôler.

- On a dit pas avant vendredi Marc et si on ne peux pas tenir nos conditions maintenant, ce sera quoi pour le show du grand soir ? Dis-je en grognant. Je vais être honnête avec toi, je meurs d'envie de m'envoyer en l'air ici et maintenant avec toi. Je pense même que c'est en train de me donner mal au ventre cette frustration, mais j'ai posé cette condition et si je ne la respecte pas, et bien ça ne sert à rien que j'en pose.

Je me tourne et roule sur lui, mes cuisses sur ses jambes, assise sur son sexe.

- Tu fais ce que tu veux Marc, mais moi je vais quitter cette chambre en ayant tenu ma parole, Dis-je en rassemblant un immense effort de volonté pour lui répondre ça. Si tu es d'accords de me suivre, on se revoit vendredi et je te promet que je te ferais jouir si fort que tu crachera ton sperme jusqu'au plafond. Ok ? Je te propose de déjà commencer à réfléchir où sur moi tu veux gicler pour attendre.

J'attends. S'il accepte la prochaine fois qu'on se verra ce sera pour les montages du vendredi prochain. Sinon...

Prise d'une inspiration soudaine, je me penche sur lui et viens coller mes lèvres aux siennes pour lui rouler un patin avant de me décoller et de lui fair eun clin d'oeil.

- Petit avant-goût pour vendredi.

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: vendredi 13 avril 2018, 09:47:13 »

Il y a vraiment des gens qui considèrent leurs employés comme des esclaves...

Bon courage à toi et prompt rétablissement.

09:46

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: jeudi 12 avril 2018, 22:19:46 »

Je secoue la tête en l'entendant parler de tout ça comme si de rien n'était. Visiblement ce que je lui ai fait ne l'a pas dérangé, mais il en profite même pour rajouter une couche. Le voilà qui s'allonge sur le lit, me demandant d'en faire de même. Je le regarde assez neutrement, me posant sérieusement la question pour savoir si je vais le faire. Mais je pense que si je commence à m'allonger, on est pas sortis.

Je ne peux cependant m'empêcher de détailler les muscles de mon futur partenaire. Il est vraiment taillé comme un dieux Grec et ça n'arrange pas ma moiteur intime. Si ça continue comme ça, à ce rythme je vais finir par soit foncer chez moi pour me soulager, soit le chevaucher jusqu'à ce que je n'en puisse plus sans forcément lui demander s'il est d'accords.

Alaïs, concentre-toi. Vous n'avez pas le temps, le patron t'as laissée moins d'une heure pour jeter un œil et ça fait déjà bien quinze minutes qu'on est là !

Heureusement c'est Marc lui-même qui me rappelle à la réalité avec une question technique sur laquelle me concentrer et il marque malheureusement un point.

- Mince, c'est vrai que tu as raison... Il faudrait limite un ingénieur d'image pour switcher les plans au moment opportun... Par contre je n'ai jamais montré mon visage dans un show, alors je pense que je vais tourner avec un masque. Précise-je avant de reprendre. Mais pour la caméra, tu me poses une colle. Et très honnêtement s'il y a une autre personne dans la pièce qui nous regarde faire, je sens que ça va juste réussir à me couper... Grommelle-je.

Je m'assied quand même à côté de lui pour régléchir, levant les yeux au plafond pour éviter de regarder ce corps de rêve à la bosse proéminente allongé à côté de moi.

- Il faudrait une sorte de switch automatique... Ou une commande vocale... Dis-je pour moi-même. Je ne suis pas une spécialiste en informatique, mais avec les nouveaux smartphones à commande vocale, tu crois qu'il y aurait moyen qu'on puisse simplement dire "passe à la caméra 2" pour que le programme fasse switcher les plans ? lui demande-je en tournant la tête pour le regarder strictement dans les yeux.

Mais même comme ça, ma main me démange de vouloir sentir sa peau et le reste...

Concentre-toi, on a dit pas avant vendredi ! D'ailleurs ça ne ferait pas de mal qu'il s'en souvienne aussi.

- Marc, on a dit pas avant vendredi... Dis-je en chouinant un peu. Si tu continue, je te jure que je me met topless et que je t'agite mes seins sous le nez. Et défense d'y toucher ! On verra bien qui aura l'air malin à ce moment-là ! Finis-je par dire d'un ton sérieux.

J'espère juste que mes yeux n'ont pas trahis que j'ai très envie de le faire quand même.

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: jeudi 12 avril 2018, 17:31:11 »

Je ne suis pas déçue par le décors, c'est vrai que le fait que cette chambre ait été celle d'un love-hotel avant donne un cadre très adapté au show que j'imaginais faire. Je fais un peu le tour du lit, il est spacieux, c'est une bonne chose. En m'asseyant dessus je constate qu'il rebondit bien.

Avec la taille du sexe qu'il a, je sens que ça va être une sacrée gageure de ne pas jouir en cinq minutes sur un lit qui permet si bien de me faire rebondir dessus.

Je secoue la tête, ce n'est pas le moment d'y penser. Ça fait cinq jours que je ne me suis pas touchée et je commence à sentir le manque et la frustration.

Je suis vraiment conne d'avoir posé cette condition, la prochaine fois je le saurais... Songe-je en me relevant pour faire le tour du reste de la pièce principale.

Outre l'espace avec le lit qui est le plus proche de la baie vitrée donnant sur la rue, il y a un petit coin salon à l'entrée avec une table basse, un canapé et deux fauteuils en cuir beige sont répartis autour ainsi qu'une télé contre le mur du fond. Deux petites tables de chevets trônent de chaque côté du lit qui a même des rideaux. Il y avait sans doute un miroir contre le mur derrière le lit à une époque car on voit encore les petits espaces comblés où devaient se trouver les fixations.

Je remarque que mon collègue est allé vers la salle de bain et le suit pour voir. Je remarque qu'il regarde la douche avec intérêt. Bien que je me souvienne qu'il apprécie les trucs sous la douche, vu qu'il m'a presque tous les jours envoyé des photos de lui à cet instant précis, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il n'y a pas beaucoup de places pour deux personnes, même si je n'en prend pas des masses à la base.

Mais soudain il m'attrape par les hanches et me soulève sans même me poser la question.

- Mais qu'est-ce que tu... !?! M'exclame-je surprise avant d'être posée sur le bord du lavabo.

Je sursaute un peu, déjà parce que je ne comprends pas ce qu'il vient de se passer et ensuite parce que ma jup a volé un peu quand il m'a reposé et du coup je sens bien que le lavabo est froid contre le tissus fin de ma culotte.

Je n'ai droit à aucun répit ! Il approche droit derrière sa tête beaucoup trop proche de la mienne comme s'il voulait m'embrasser et je me sens rougir intensément.

Puis il ouvre enfin la bouche, mais pour me faire remarquer que la salle de bain est idéale pour faire des trucs sexuels.

Je dois bien passer plusieurs secondes à le regarder complètement figée. Après le premier mouvement, je m'attendais presque à ce qu'il m’arrache mes vêtement et commence à me violer contre le miroir, mais l'entendre me dire que c'était juste un test... Mon cerveau a bugué.

- Groumpf ! Tu n'aurais pas pu me demander avant de te servir de moi comme mesure d'étalonnage ? Grommelle-je un peu vexée.

Je le repousse doucement pour redescendre du lavabo, mais il m'a donné chaud cet idiot ! Et maintenant que le danger est passé, je sens que la moiteur est en train de gagner mon intimité.

- D'ailleurs, je ne connais toujours pas ton nom... Dis-je pour meubler la conversation.

Et juste après je réfléchis et je réalise que je viens de faire la boulette du siècle. S'il me donne son vrai nom, est-ce que je pourrais encore décemment cacher le mien ?

Mais avant que je ne puisse reprendre ma question il y a répondu. Mais quelle andouille ! Maintenant me voici bien attrapée.

- Humm... Enchantée Marc... Moi c'est Alaïs... Réponds-je en espérant que je n'aurais pas à m'en mordre les doigts.

Je retourne dans la pièce principale pour tenter de penser à autre chose. Je sors ma webcam et la branche sur un petit netbook pour l'allumer et essayer de faire des prises d'angles.

- Marc, tu veux bien essayer de t'asseoir sur le lit ? Demande-je pour tester à quelle distance il faudrait poser la caméra.

Mais alors qu'il se pose sur le lit, une autre idée me vient en tête. L'idée me séduit tout de suite, même si j'entends au loin ma raison me hurler que ce sont mes hormones qui me dirigent pour celle-ci. Je me rapproche, comme tous les mecs plutôt bien doté il s'est naturellement mis en "man's spreading", autrement dit les jambes bien écartée. Et puis sans crier gare, je sors mon pied recouvert de mon bas de ma chaussure et la pose délicatement sur son entrejambe. Je fais mine de régler la caméra, mais en réalité je cherche son chibre sous son pantalon du bout du pied. Quand je le trouve, je commence à utiliser mes orteils pour frotter le bout sans aucune pitié.

- Le lit a l'air parfait aussi pour faire des cochonneries, dis-je pour le parodier avec un petit sourire.

Juste après avoir commencé je retire mon pied et renfile ma chaussure.

- Je pense que c'est à peu près là qu'il va nous falloir installer la caméra pour filmer les zones intimes, dis-je comme si de rien n'était.

Même si je me rends bien compte de plus en plus que c'était une mauvaise idée cette petite vengeance. J'ai beaucoup trop chaud en bas et le taux d'humidité commence à égaler celui d'une forêt tropicale.

Je lui jette un coup d’œil et soupire.

- Je m'excuse, c'était une mauvaise idée de ma part... Je suis très maladroite dans mes relations avec des gens de mon âge, j'ai trop l'habitude de tout-petits ou de personnes âgées.

Je me tourne vers lui et m'incline.

- Je te demande de bien vouloir m'excuser pour mon comportement déplacé ! Dis-je avec l'air contrite.

J'espère juste qu'il acceptera mes excuses.

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One Shot / Par les chemins de l'aventure [Alaïs] - [Lamnard]

« le: jeudi 12 avril 2018, 15:24:51 »

La journée avait été nuageuse dès l’aurore, un vilain vent d’Est ayant furieusement soufflé toute la nuit poussant les marins à quai à croire qu’une tempête allait éclater. À l’heure où les premières brumes normalement se dissipent, l’air s’était fait lourd, chargé d’humidité et propice à déchaîner la colère d’Ægir.

Sans surprise, les dockers avaient terminé leur labeur aussi vite que possible pour mettre en sureté les denrées susceptibles de prendre l’humidité dans les entrepôts avant de finalement battre en retraite au premier crachin tombé du ciel.

À l’heure de lever l’ancre, les navires étaient tous amarrés dans le port et les vagues commençaient déjà à grossir et assaillir la plage de grosses roches et de gravier crissant et claquant sous le poids des assauts.

C’est par des temps pareils que les taverniers sont souvent les plus heureux, car dès lors leurs établissements s’emplissent et c’est alors le rôle des serveuses et serveurs de donner envie aux clients de faire la fortune de leur patron, ou parfois de leur maître comme c’était le cas dans ce comptoir mal famé des confins des routes commerciales Nexussiennes.

À la taverne du « Calicot Rouge », pas une fille ou un garçon du service n’était rémunéré d’une autre manière que par la trique ou par le fouet pour leur dur labeur. Tous présentaient d’ailleurs les signes de vieillissement précoce de jeunes gens mis trop tôt au travail et qui ne mangeaient pas souvent à leur faim. Ce qui ne les empêchaient pas d’user leur sourire et leurs forces à tenter de satisfaire le patron en tournant pour servir des boissons, régaler de commentaires sur les derniers potins les marins habitués et parfois rester immobile pendant qu’une main baladeuse s’égarait du côté de la cuisse ou de la fesse.

On repérait rapidement les habitués dans cette taverne, les marins accoudés au bar se faisant appeler par leur prénom ou surnom par le patron ou ceux réunis autour de tables pour simplement discuter ou faire rouler des dés en os usés sur des jeux de hasard. Ils faisaient tellement partie du décor qu’on aurait peine à imaginer l’établissement sans ces piliers de leur communauté changeante.

Il fallait un second temp pour repérer plus facilement les intrus une fois écartées toutes les personnes se hélant entre eux à l’aide de sobriquets de toutes sortes.

L’on remarquait ce vieux marin à la barbe blanche jaunie par le tabac de sa pipe, son tricorne de cuir brun usé, posé de travers sur une tête où l’on devinait une calvitie naissante. Une jambe sur un coffre d’effets personnels tandis que ses yeux n’étaient non pas rivés sur la chope en étain remplie d’une eau-de-vie propre à rencontrer un coma éthylique dès la première gorgée, mais sur le quai à travers la fenêtre aux épais carreaux de verre malpropres et scrutaient sans discontinuer la mer. Celui-ci le cachait plutôt bien, mais un œil avisé pouvait remarquer qu’il semblait inquiet.

Dans le fond de la salle, au plus près de la cheminée, un groupe de trois nains reconnaissables à leurs lourdes armures aux motifs typiques de leur espèce discutaient à voix basse autour d’une pile de parchemin, lorgnant immédiatement d’un air méchant quiconque s’approchait d’un peu trop proche de leur table. Des gestes étaient parfois esquissés laissant comprendre que les trois êtres courtauds préparaient quelque expédition et la manière qu’ils avaient de rouler leurs moustaches et de sourire parfois pouvait laisser à penser que le profit attendu serait conséquent.

Il se trouvait également une paire d’individus enroulés dans leurs capes en une tentative futile de passer inaperçu, mais quelques coups d’œil furtif et certains détails saisis du coin de l’œil permettait de comprendre rapidement qu’il s’agissait de Terranides à l’esprit peu tranquille. Peut-être en fuite, ou peut-être préparant quelque coup expliquant leur nervosité. Mais il fallait quand même une bonne oreille ou un bon œil pour deviner le crissement de l’acier sous leurs capes.

Et dans cette taverne où de nombreuses personnes réduites à partager un espace restreint s’abreuvaient d’alcool se trouvait l’équipage d’un homme de mer en devenir de célébrité, mais malheureusement actuellement confiné à l’inactivité par la fureur des eaux. Cependant, les chemins de l’aventure ne sont jamais loin. On marche, on marche et si l’on ne prend pas garde d’où l’on met les pieds, l’on ne sait pas jusqu’où cela peut nous mener…

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix

« le: mercredi 11 avril 2018, 22:52:54 »

C'est quand il fait beau qu'il faut en profiter pour tout refaire à neuf !

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

« le: mercredi 11 avril 2018, 22:46:34 »

L'idée des photos coquines me fait ouvrir de grands yeux.

- Je veux bien croire que ça va nous exciter, mais tu penses vraiment que c'est judicieux alors qu'on a résolu de ne pas nous soulager hors-show pendant ce mois ? Demande-je un peu surprise. Je sens déjà que je vais avoir de la peine alors si en plus on se file des stimulus supplémentaires... C'est quoi le but ? Nous rendre aussi fou que des animaux pour les shows qu'on saura à peine se retenir de se sauter dessus ?

J'avoue que cette proposition m'intrigue. Autant je n'ai jamais envoyé de photos coquines de moi à personne, autant je me demande ce que serait le résultat. Mais à côté de ça, la partie plus pragmatique de mon cerveau pense que ce serait plutôt une mauvaise idée. Mais si je l'écoutais tout le temps, je ne me serais jamais touchée de ma vie.

Je reste néanmoins un moment silencieuse en tapotant l'écran de mon smartphone sur mes lèvres. Puis décide que c'est juste pour mois.

- Après tout, pourquoi pas ? Tu peux m'en envoyer si tu as envie et si l'envie m'en prend je ferais de même, mais je ne crois pas qu'il faille t'attendre à des trucs grandioses.

Mais quand il évoque le lycée, là je panique un peu. Faire des trucs hors du lycée je veux bien, mais dans le lycée, ça pas du tout !

- Heu... Alors écoute, ce n'est pas contre toi du tout. Mais de un, je ne sais pas si on est dans le même lycée. Et de deux, je ne suis pas sûre que ce soit très judicieux qu'on nous y voie ensemble si c'est le cas. Je ne suis avec personne depuis toujours et je préférerais que ça reste le cas. Je veux rester libre même si, si ce show se passe bien, j'envisage volontiers qu'on se revoie et qu'on soit des amis "avec bénéfices", mais dans quelques années je vais quitter le pays et je ne pourrais pas emmener un potentiel petit-copain avec moi. Alors je ne veux pas te briser le cœur ou te faire perdre du temps avec une relation sans lendemains. J’accepte volontiers d'être considérée comme un simple "plan cul" mais je crains que le fait d'être collés nous donne des idées qui ne seront pas réalisables.

Je suis extrêmement désolée pour lui, j'imagine bien qu'il doit falloir une sacrée dose de courage pour se déclarer et je pense que je risque bien de venir de presque tout foutre en l'air entre nous avec mes propos de sainte-nitouche.

- Je suis vraiment désolée, mais je préfère vraiment ne rien construire pour que ce soit le moins douloureux possible pour le jour des adieux...

Je reste pour m'excuser encore un peu et surtout éviter qu'il ne pense que je le considère comme un mec jetable, ce n'est pas du tout le cas et j'emploie toute mon énergie à essayer de le lui faire comprendre.

Pour finir on se sépare en sortant du bar et je rentre chez moi, plus fatiguée mentalement qu'après un gros cours bien relou et bien saoulant.

Mais une fois arrivée, je me sens quand même encore un peu ma pour lui. Du coup, un peu en désespoirs de cause, et parce que je ne vois rien d'autre, je me déshabille, je file dans ma salle de bain et je prend un selfie nue dans le miroir en essayant d'avoir un sourire encourageant.

Je lui envoie la photo au numéro qu'il m'a donné avec la mention "tiens bon, je sais qu'un jour tu trouveras une fille qui sera vraiment faite pour toi !"


Le mardi suivant, j'ai obtenu les informations de l'hôtel et pris rendez-vous pour aller faire les repérages. Je reprend mon téléphone et profite d'un moment de pause pour aller aux toilettes, me pencher en avant et descendre ma culotte pour prendre une petite photo de ma vulve et lui envoyer avec la mention "demain soir on peut visiter la chambre pour le show. Tout est organisé avec le patron. Je te joins l'adresse. N'oublie pas que c'est vendredi qu'on fait le premier show, on pourra en discuter un peu sur place en faisant les repérages."

Le soir j'ai renfilé la même tenue que la dernière fois et je me rend dans le hall de l'hôtel pour l'attendre. Quand il arrive enfin, je lui fais signe et l'emmène à l’ascenseur.

- Tu verra, c'est plutôt grand et assez spacieux. Le lit a une drôle de forme, c'est parce que avant c'était un love hôtel, mais le propriétaire précédent a vendu et maintenant c'est un hôtel normal.

Je l’amène jusqu'à la chambre qui a un numéro plutôt adapté puisque c'est la chambre soixante-neuf, je l'ouvre et rentre en écartant les bras.

- Tadaaam ! M'exclame-je avec un grand sourire.