Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Asuka Kahori

Pages: 1 ... 3 4 [5]
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Bureau de la direction et infirmerie / Re : L'experte [Tessia]
« le: mercredi 13 janvier 2016, 01:10:11 »
Ohlàlà ! Avais-je seulement été un jour aussi nerveuse ? Pour autant que je m’en souvienne, le seul exemple me revenant en tête datait de l’époque où j’avais surpris mon père en train d’exercer son art sur le corps d’une femme. Une femme mariée ! Il l’avait attaché, et elle avait gémi pendant des heures, suspendue en l’air… Je l’avais observé du début de l’après-midi au crépuscule, quand mon père était revenu. Elle avait eu un bandeau autour des yeux, son corps tout nu suspendu en hauteur. Je l’avais vu, avec ses belles jambes fuselées, son corps tendu vers le bas, une série de cordes tout autour de son corps, la retenant et la serrant. Oh oui, ça avait vraiment été… Incroyable ! J’avais eu envie de caresser ses jambes, voyant les gouttes de sueur couler le long de son corps. Et je me rappelais encore des craquements de la corde, qui avaient lieu à chaque fois que la femme remuait un peu. Elle avait aussi un bâillon sur les lèvres, étouffant ses gémissements. De mémoire, ce fut pour moi ma première véritable expérience sexuelle. Mon père ne me laissait jamais voir ce genre de choses, même s’il m’enseignait la théorie, et c’était clairement en voyant ça que j’avais eu envie de devenir une experte en kinbaku. Une véritable experte… Et j’avais face à moi une véritable professionnelle.

La senseï était terrible, tout simplement, et je pensais en être déjà amoureuse… Enfin, pas amoureuse-amoureuse, mais… Euh… Amoureuse, quoi ! Je voyais donc Alexanders-senseï me montrer tout son attirail, et j’étais… Franchement impressionnée. Elle avait vraiment un sacré attirail, avec divers instruments, probablement dans des pièces attenantes. Son système de poulie était parfaite, et elle alla chercher une tenue de chaton, le proposant à Sakura. J’avais encore du mal à me faire à l’idée que cette dernière était encore vierge, car je pouvais lire la luxure sur tout son corps… Mais, en un sens, je trouvais ça… Étrangement excitant. C’était comme une sorte de perversion naturelle, de manière de contourner le caractère pur de la virginité.

Et puis, une fois que tout fut présenté, Alexanders-senseï retourna à l’attention de ma personne, en me demandant si je comptais me déshabiller ici, ou de manière discrète… Et, ma foi, vu la manière dont elle me regardait, je ne pus que sourire, en me mordillant les lèvres.

« Je… Oui… Je vais le faire ici… Mais… Je ne veux pas que Sakura me voit nue ! »

Il fallait bien que je sois digne de mon statut de Maîtresse improvisée ! Un bandeau fut donc mis autour des yeux de Sakura, puis j’attrapai ensuite ma tenue, et, en rougissant et en me mordillant les lèvres, je la sortis. On put voir ma belle combinaison en néoprène violette, puis je m’observa légèrement. Un rougissement traversa mes joues, et mes mains tremblèrent un peu… Allez, merde, calme-toi ! J’avais déjà vu des gens se déshabiller devant moi, mais… C’était la première fois que ça m’arrivait à moi, et je tournais le dos à Alexanders-senseï… Cependant, il fallait que je sois forte, que je lui montre que je suis à la hauteur des attentes qu’elle place en moi, et c’est en suivant cette idée que je finis par me retourner, en reprenant mon souffle.

Puis, dans un léger silence, je me déshabillai, et enfilai ma tenue, en tremblant sur place. Je n’osais croiser le regard de Tessia, et enfilai ma tenue, faisant claquer cette dernière, enfilant mes jambes, avant de glisser mes bras sous les bretelles, pour la relever. Je fermai ensuite la fermeture, et me dressai devant elle, en tendant les bras vers elle dans une pose que je voulais sexy.

« Taa-daaaann !! »

Cette tenue, en toute honnêteté, m’allait super. Elle moulait mes formes à la perfection, surtout mon adorable petit cul. Je me tournais sur place, toute contente, comme si le simple fait de mettre cette combinaison m’aidait à aller mieux, à sortir de ma nervosité naturelle, et à admettre la femme perverse qui se cachait en moi.

« Elle me va bien, hein ? J’adore l’enfiler, et j’adore l’idée qu’on me mette avec quand je fais de la course le long de la plage le soir… »

J’esquissai un léger sourire ravi, puis me déplaça ensuite vers ma petite esclave. Lentement, j’entreprenais de lui donner sa tenue de chat, laissant encore son bandeau sur ses yeux. C’était fou à dire, et encore plus à voir, mais c’était comme si cette combinaison était ma tenue de super-héroïne, ouvrant une autre facette de ma personnalité.

« Voilà, ma belle chatte… Il ne te manque plus que ta queue… »

Je la tenais entre mes mains, sa belle queue caudale, et j’entreprenais de la glisser dans ses fesses, après avoir pris soin d’utiliser un lubrifiant pour le répandre sur son fondement, frissonnant à ce contact. Belle et bien formée, cette femme était magnifique… Ah, si Alexanders-senseï n’en avait que des comme ça, je tomberais raide dingue d’elle, moi ! J’enfonçais ensuite la queue en elle, et esquissai un léger sourire, avant de tirer sur le bandeau, dévoilant les yeux de la femme.

« Coucou… ! Comment me trouves-tu ? Profite du fait de me voir, tes yeux risquent d’être très souvent obstrués cette nuit ! »

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Premiers clients [Ryujin]
« le: mercredi 28 octobre 2015, 17:13:45 »
La sensation de sentir une corde s’entortiller autour de vous, limiter et restreindre vos mouvements... Honnêtement, je n’aurais jamais su dire en quoi ça me fascinait tant, mais... C’était comme ça. J’aimais les sentir rouler autour de mon corps, bloquant mes membres, j’aimais restreindre mes mouvements, me sentir prisonnière, tout en refusant l’idée de ne pas être en sécurité, face à des inconnus dangereux dont je n’étais pas totalement assurée des intentions. C’était plutôt paradoxal, je sais, mais c’est comme ça que je fonctionnais. Les cordes, j’aimais ça, j’aimais les sentir sur moi, mais je n’aimais pas être en situation de danger. C’était si plaisant de se restreindre, de s’immobiliser, c’était comme une manière de découvrir son corps, de découvrir comment le sang circulait, et de voir à quel point le corps humain pouvait se montrer élastique. J’aimais pratiquer ça sur moi, mais aussi (surtout ) sur les autres. Je transformais mes partenaires en cobayes, traçant avec leurs corps des formes géométriques, et ça, c’était franchement cool. Je les faisais souffrir, mais pas de cette souffrance que vous n’aimiez pas, oh non ! C’était, au contraire, de celle qui vous faisait fantasmer... La frustration, une arme terrible.

Je pensais à tout ça en arrivant au lycée, et, en ouvrant mon casier, fut surprise d’y voir un papier, que j’attrapais, avant de le lire... Et d’écarquiller les yeux. Je le relus même, comme pour m’assurer de n’avoir pas rêvé. Je n’arrivais tout simplement pas à en croise mes yeux ! Je le relus donc, encore, avant de sourire, tout en sentant un tremblement vibrer dans mon estomac. C’était... Ce mot était à la fois un mélange de sensualité, d’érotisme, et... Oserais-je dire de poésie ? Ouais, quand même, il y avait un peu de ça. Je lisais ce mot avec plaisir, en sentant un homme intelligent et talentueux derrière... Ce qui m’amena subitement à regarder autour de moi, comme si je m’attendais presque à ce que le Don Juan soit là, avec un sourire goguenard sur les lèvres. Évidemment, il n’y avait personne, mais je sentais quand même mon cœur battre la chamade de manière inhabituelle.

Je passais le reste de la matinée en transe, en attendant avec impatience la pause-déjeuner, où je pourrais avoir accès à un ordinateur. Tout en poireautant en cours, je me demandais vraiment qui avait bien pu m’envoyer ça. Un membre de ma classe ? J’avais beau tous les observer, j’étais incapable de deviner de qui il pouvait bien s’agir. Diable, j’étais vraiment une piètre détective ! La matinée passa donc lentement, leeeeeeeeeentement. J’essayais à nouveau de dessiner. J’avais avec moi un petit cahier de dessins, où je m’amusais à faire des « dessins techniques ». En fait, il s’agissait de croquis de kinbaku, mais n’allez pas vous faire des idées, hein ! Ce n’était nullement des dessins sensuels, mais vraiment des croquis, avec des traits et un schéma de corps humain. Hey ! J’étais peut-être (et je dis bien peut-être) une experte en kinbaku, mais on pouvait pas être douée partout ! J’avais néanmoins bien du mal à dessiner, car je repensais constamment à ce message...

...Et puis vint l’heure de la pause-déjeuner. Mes amies sentaient bien que j’étais là sans être là, que j’étais pas dedans, perdue dans mon monde, dans une bulle faite de liens et de cordes. Je retournais vers mon casier, fébrile, et mon cœur rata un battement en voyant que j’avais encore reçu un papier ! La vache ! Un vrai admirateur ! Je m’en mordillais joyeusement les lèvres, et je filais à toute allure vers ma chambre, dans le dortoir, en oubliant totalement le fait de manger. Vite, vite, je me dépêchais ! Je filais sur mon ordinateur portable, et l’allumai rapidement, pestant contre cette machine trop lente, avec mes doigts qui continuaient à trembler sans que je comprenne pourquoi, comme si j’avais froid, mais sans avoir froid... Ouais, une sensation bien zarbi’ !

Je finis par ouvrir ma messagerie, et envoyais un message, m’assurant à deux ou trois reprises d’avoir bien tapé la bonne adresse, et je laissais mon inspiration me guider :


Citer
« Mon Cher admirateur,

J’ai lu en toi quelqu’un qui comprend tout le plaisir qu’il peut y avoir à sentir des cordes enlacer le corps, comme une sorte de doucereuse et passionnante étreinte. J’aime cette sensation, celle d’être attachée, celle de se sentir restreinte dans ses mouvements. C’est une sorte de méditation sensuelle et spirituelle, un moyen de mieux comprendre son corps,, et de vivre en étant davantage serein, et davantage conscient de l’importance qu’il y a à être libre de ses mouvements.

Mon Cher admirateur,

Ton offre m’intéresse grandement, et je serais ravie d’honorer ton rendez-vous de ce soir. Preuve de ma gentillesse, je te laisserais décider qui attachera l’autre, car j’aime autant une situation que l’autre.

PS. – Mon ventre chauffe bien !
»

Autant dire que j’avais eu une mal de chien à l’écrire... Maintenant, il me restait à attendre la soirée, et, après les cours de l’après-midi, j’en profitais pour enfiler, sous mes vêtements, ma tenue officielle (ma swimsuit rose moulante), et je m’empressais d’aller vers l’entrée des caves du lycée...

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Premiers clients [Ryujin]
« le: mercredi 14 octobre 2015, 10:03:47 »
Finalement, le lycée Mishima n’était pas si mal. Pour un établissement qui portait le même nom qu’un suicidé, je devais bien admettre que l’ambiance n’était pas trop... Déprimante. Quand j’étais arrivée au lycée, il y a encore quelques semaines, j’étais encore une jeune fille assez naïve, quelqu’un qui pensait que ce lycée était comme n’importe quelle autre lycée, un endroit chiant où on bâillait aux corneilles en cours en devant respecter religieusement le corps enseignant. Un endroit où on vous apprenait que, si vous étiez un clou dépassant de la rangée, il fallait bien se remettre à sa place, car il ne fallait pas être excentrique, original, mais rentrer dans les petites cases que la société tissait pour vous. L’image classique du lycée, quoi ! Au lieu de ça, j’avais rapidement rencontré Alexanders-senseï, et cette rencontre avait été... Woaw ! J’en étais encore sur le cul, et, comme je continuais régulièrement à la voir, et qu’elle avait manifesté un grand intérêt pour les parties anales du corps humain... Disons que j’étais littéralement sur le cul !

Je découvrais donc Mishima et ses joyeusetés, sous le conseil d’Alexanders-senseï, qui avait l’air d’en connaître un rayon là-dessus. Elle m’avait ainsi parlé de cette élève, Warren-san, une superbe femme aux cheveux châtains, en me disant de me rapprocher d’elle... Et, même mis à part Alexanders-senseï, il y avait également d’autres profs qui me faisaient fantasmer, généralement du sexe féminin... Il y avait Ichtora-senseï, par exemple, ou encore Kurokawa-senseï. Tant de beautés circulaient dans ce lycée que c’en était à peine croyable ! Et, suite à ma rencontre avec Alexanders-senseï, j’avais enfin trouvé une manière d’exercer mes talents du kinbaku auprès des élèves de Mishima. Pour ça, il suffisait de faire confiance à cette chose, au lycée, cette chose fascinante et horrible, qu’on appelait la rumeur. Avec mon nom, qui faisait référence à un grand artiste du kinbaku, je m’attendais à ce que d’autres personnes, autres qu’Alexanders-senseï, fassent le rapprochement, et, grâce à mes quelques amis, j’avais commencé par m’ouvrir aux autres, proposant mes services à ceux qui suivaient les « consignes ». Des consignes non-écrites, mais qu’on pouvait apprendre en écoutant les bruits de couloir et en surprenant les rumeurs. Certains en parlaient peut-être sur l’Intranet du lycée, sur les réseaux de discussion instantanée, mais je n’avais pas spécialement le temps de les chercher.

Ma stratégie était donc de venir chaque matin près de mon casier, de l’ouvrir, et de voir si j’avais reçu des petits mots pour devenir mes cobayes. Il y a trois jours, j’avais reçu un mot avec une adresse mail, et j’en avais envoyé un, en donnant un lieu de rendez-vous. C’était un homme, un lycéen, et je l’avais attaché pendant des heures, jouant avec lui, utilisant mes techniques anciennes, ainsi que celles que j’avais pu apprendre auprès d’Alexanders-senseï... Et ça avait été bon. Très bon... Super bon, en fait ! Je l’avais fait couiner en le masturbant, jusqu’à le faire jouir sur lui, sans même avoir à le masturber avec mes doigts au début, simplement en frottant avec les cordes. Le pénis était une zone extrêmement fragile, car il fallait secouer ce machin pour lui faire cracher sa semence, tout en sachant aussi que, si on serrait trop, la douleur était terrible. Il fallait donc bien le ligoter, et, tandis que je l’avais attachée, j’avais vu son membre se dresser en mettant la corde le long de son sexe, pour remonter sur le reste de son corps.

Ça avait été un moment exquis, et, ce matin, je me rendais vers mon casier, en me demandant si j’avais reçu un mot hier...

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : L'experte [Tessia]
« le: mercredi 14 octobre 2015, 10:03:01 »
Vous avez déjà ressenti cette sensation ? Celle d’être à la fois présente... Et absente ? D’être à la fois « in » et « out » ? C’est une sensation qu’on ressent souvent quand on regarde un film nul, une émission télévisée, et qu’on approche de Minuit. On se tient là, assis sur le fauteuil, la chaise, ou le sofa, et on fixe l’écran, hagard, avec la sensation d’avoir vu votre intelligence être aspirée par les débilités que vous entendez à l’écran. C’est une sensation très curieuse, parce qu’on est là, qu’on est physiquement là, qu’on entend ce qu’on nous dit, mais sans être là, parce qu’on ne réagit pas aux stimuli extérieurs, ou, tout du moins, difficilement... Et, dans tous les cas, on arrive pas à se concentrer. C’est comme si le cerveau était en train de faire une pause, de se faire un break.

Et c’était comme ça que j’étais pendant toute la durée de la journée. Alexanders-senseï était aussi belle qu’intrigante, et j’avais du mal à croire à ma chance, ou à me dire que tout ça était sérieux, et que ce n’était pas une sorte de mauvaise blague. Woow, quoi ! Elle m’avait invité à faire l’amour, et, surtout, à lui montrer mes talents avec une autre fille. C’était... Putain, c’était tout simplement dément ! Quand je sortais de mes phases d’absence, je trépignais surtout sur place, mes mains n’arrêtant pas de trembler. Comme une petite vieille qui avait de l’arthrite. J’avais beau serrer mes poings, out enter de reprendre mon calme, en respirant lentement, je continuais à vibrer. Sous tension, je soupirais encore, me mordillant les lèvres en plein cours, essayant vainement de m’intéresser à ce cours.

Alexanders-senseï m’avait invité, et, dans ma tête, je savais déjà ce que j’allais faire. Ça, honnêtement, ce n’était pas le problème, mais... Je ne l’avais encore jamais fait avec une personne adulte, et a fortiori une femme qui semblait... Si sûre d’elle, et si expérimentée. Pour moi, c’était vraiment une première, et j’étais aussi impatiente que nerveuse à l’idée d’être à ce soir. Est-ce que je serais à la hauteur de ce qu’Alexanders-senseï attendait ? Impossible à dire... J’avais bien fait quelques essais chez moi, mais c’était avec de jeunes gens inexpérimentés, et, si je pouvais fanfaronner, j’étais loin d’avoir le talent de mon père, ou son calme légendaire. Quand je voyais la manière dont il saucissonnait les magnifiques femmes du village, et ce sans sourciller, ou sans jamais trembler des mains, j’étais toujours éberluée.

La journée défila à vitesse d’escargot, tandis que, dans ma tête, j’étais clairement ailleurs. Impossible de me concentrer sur le moindre cours, je ne voyais que des cordes qui défilaient dans mon esprit. Des liens, des mouvements, des cordes qui glissaient sur des corps, se frottant contre de la peau en sueur... C’était beau, c’était magnifique, et difficile à ôter de l’esprit. Comment penser à son cours de mathématiques quand on avait en tête la vision de corps emmêlés, enchevêtrés dans des assemblages de nœuds et de cordes ?

Je finissais aujourd’hui à 16 heures, ce qui me laissait amplement le temps de revenir chez moi, et de récupérer le travail nécessaire avant d’aller à mon rendez-vous avec Alexanders-senseï. Je m’effectuais donc à la tâche, en sentant toujours la nervosité me traverser.

« Calme-toi, calme-toi, me disais-je pour moi-même. Respire, Asuka, respire... »

Ouais, autant demander au vent de ne pas remuer vos cheveux... J’allais perdre ma virginité ! Avec une prof’ !! Comment étais-je censée rester calme ? Une soirée de folie m’attendait, et, rien qu’à y penser, j’en avais l’estomac qui bondissait comme un kangourou. Néanmoins, je m’évertuais à me dépêcher, car il était impensable d’arriver en retard. Je retrouvais donc ma combinaison violette, et la mettais dans une mallette, avec un jeu de cordes, et quelques produits. Des cordes personnelles. Ceci fait, je m’étais assise sur un fauteuil, afin de me calmer... Sans trop de succès.

Avance rapide sur le séjour en bus me ramenant au lycée, jusqu’à ma rencontre avec la soumise d’Alexanders-senseï... Sakura Tōsaka. Le nom ne me disait rien, mais la femme était plutôt belle, avec une peau bronzée, ce qui changeait de la pâleur habituelle du corps japonais féminin.

« En... Enchantée également, Tōsaka-san. J’espère bien être à la hauteur de vos attentes... »

Ne pas trop s’engager, et jouer la carte de l’humilité, c’était toujours nécessaire dans ce genre de choses. Tandis que nous parlâmes de choses et d’autres (Sakura me demandait comment je trouvais Seikusu, depuis combien de temps j’y étais, ce genre de banalités mondaines, alors qu’on pensait à des trucs qui n’avaient rien de mondains !), moi, j’observais son corps... Non pas pour me rincer l’œil (enfin, pas que pour ça), mais aussi – et surtout – pour observer son corps, et réfléchir à ce qu’elle pouvait faire, ou où mettre les corps. Aucun corps n’était semblable à un autre, et, si le kinbaku était une chose excitante, il ne fallait pas non plus oublier que mon père faisait toujours signer un contrat. Il était bien entendu confidentiel, mais il y avait dedans des clauses limitatives de responsabilité si le client oubliait d’avertir le professionnel de sa condition de santé. Le kinbaku n’était pas qu’un art du plaisir, c’était aussi (et ça se complétait, selon moi) un moyen d’infliger de la douleur. Pour autant que je me souvienne, certains grands maîtres du kinbaku avaient aussi été de redoutables bourreaux. On pouvait torturer quelqu’un avec ces cordes, en les serrant trop fort, par exemple, coupant ainsi la respiration ou la circulation du sang. Une torture « propre », car il n’y avait aucune effusion de sang, et qui s’accompagnait d’une économie de moyens, car il fallait juste des cordes.

Le trajet vers l’appartement d’Alexanders-senseï se fit dans le silence. J’avais ma mallette avec moi, mon uniforme de lycéenne toujours sur le corps, et je continuais à trembler sur place. J’avais enfin en tête le corps sur lequel j’allais m’exercer... Et c’était un corps magnifique, prouvant qu’Alexanders-senseï savait bien s’entourer. Nous finîmes ainsi par nous retrouver dans son appartement. Mon tour se rapprochait rapidement, Alexanders-senseï m’expliquant les différents détails. Je hochais la tête, avant de me réfugier dans le professionnalisme, et ouvris ma mallette.

« Soit... Je ne prendrais pas votre virginité, alors. »

Je ne comprenais pas trop pourquoi cette femme tenait à rester vierge, mais bon... Chacun son trip ! D’un côté, je la comprenais, parce que j’avais déjà fait perdre bien des virginités sans jamais m’impliquer moi-même. J’ouvris donc ma mallette, et en sortis une lotion.

« Quand vous aurez fini votre douche, enduisez-vous ça sur le corps. C’est un lubrifiant, décidé à protéger la peau des irritations. »

Je parlais d’une voix chaude et doucement excitée, car, dans ma tête, j’avais l’image de combinaisons de latex sur le corps de cette femme. Ce lubrifiant ne servait pas tant pour les cordes que pour les combinaisons en latex, en fait. Le fétichisme, le bondage... Pour moi, tout cela faisait partie du même ensemble, celui dans lequel j’avais décidé de me spécialiser : la domination sexuelle... Ou la soumission, mais c’était un peu pareil, parce qu’il n’y avait pas soumission sans domination, ou inversement.

« Le temps que vous preniez votre douche, je déposerais sur la clenche de la salle de bains la tenue que vous porterez. Vous irez avec cette tenue sur vous dans la chambre d’Alexanders-senseï. »

S’il y avait des poulies et des cordes, c’était le mieux.

Nous allâmes donc dans la chambre, et j’observais le tout,  que ce soit les poulies ou les cordes, avant de demander à voir les tenues.

« J’ai... J’ai moi aussi ma propre tenue dans ma mallette. Je... J’aimerais bien voir la tenue de chat, et... Vous voulez que je me change ici... Ou dans une autre pièce ? »

Étant entendu que me déshabiller sous les yeux d’Alexanders-senseï ne risquait pas vraiment de me déranger...

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : L'experte [Tessia]
« le: mardi 06 octobre 2015, 10:26:46 »
Quand elle posa son doigt sur mes lèvres, je rougis comme une tomate, frappée par son assurance, par son calme... Bordel, elle était une prof’ qui parlait de coucher avec une élève, et elle disait ça comme si elle était en train de négocier le prix d’un sac de patates ! Je tremblais comme une feuille devant ce geste, d’autant plus intense qu’il s’agissait d’un contact corporel. Contrairement aux Occidentaux, nous, les gens civilisés, savions que le contact corporel était quelque chose de très intime. Les Japonais se touchaient rarement dans la rue, sauf dans le métro. Alexanders-senseï me vit donc délicatement rougir, la jeune femme à la beauté parfaite (parfaite, oui !) continuant à me perturber avec ses douces provocations.

Elle continua ensuite à me parler, m’expliquant qu’elle préférait n’avoir que des partenaires de sexe féminin, car elle n’avait pas confiance dans les partenaires de sexe masculin, les estimant trop instables... Si je n’étais pas aussi nerveuse, j’aurais tout à fait pu sourire, car le point de vue d’Alexanders-senseï était un cliché ambulant, qui était bien trompeur... Car, entre les hommes et les femmes, les filles étaient souvent les personnes à parler le plus entre elles... Donc, si Alexanders-senseï voulait rester discrète, faire confiance à des nanas n’était peut-être pas la meilleure solution. Et, quand je pensais ça, je le pensais en toute connaissance de cause, car j’étais une fille ! Alors, je savais très bien que les filles étaient des pipelettes ! Si les hommes avaient tendance à jouir rapidement et à se la ramener, j’avais néanmoins remarqué que, quand il s’agissait de se faire soumettre par une fille, les hommes avaient tendance à ne pas le dire... Peut-être par fierté masculine ? Mais bon, c’était elle la senseï, et moi, je n’étais qu’une jeune lycéenne en train de fantasmer sur sa prof’.

Je comprenais tout ce qu’elle me disait, et je remuais légèrement la tête quand ses doigts caressèrent mon menton, appréciant ce contact. Elle m’expliqua donc que, si elle voulait bien d’une relation sexuelle, elle ne voulait pas d’une relation trop sérieuse, car elle avait déjà d’autres amantes (dont plusieurs parmi ma classe, ce qui, comme vous pouvez légitimement vous en douter, m’amena immédiatement à me demander de qui il s’agissait), et m’indiqua aussi, comme condition, que je néglige jamais mes études. Moi ? Hey, j’avais encore du mal à croire que j’allais vraiment coucher avec elle ! Ma seule réaction initiale fut donc de hocher la tête, de haut en bas, comme pour confirmer tout ce qu’elle disait.

Elle finit ensuite par relâcher mon menton, et je me mettais à lentement déglutir, essayant de calmer l’excitation nerveuse qui remontait en moi. Il fallait que je parle, maintenant, et je fixais mon ventre, avant de m’humecter les lèvres. Nerveuse, je l’étais, car Alexanders-senseï venait de me confirmer qu’il y avait bien deux lycées : il y avait l’apparence publique, l’apparence artificielle, et, sous les murs, le vrai Mishima, dont j’avais ici un aperçu... Très excitant. M’humectant à nouveau les lèvres, je finis par lui répondre :

« Je... Je crois que ma décision est prise, Alexanders-senseï... »

Elle l’était déjà, mais ces quelques explications supplémentaires avaient fini par me convaincre définitivement.

« Déjà... Pour l’étendue de notre relation, il... Il n’y a aucun problème, Alexanders-senseï... Et, concernant mes études... Si mes notes viennent à baisser, mon père me rapatriera à la maison, alors... Je ne compte pas négliger mes études. Pour le reste... »

Encore une fois, je me tus un peu, pendant quelques secondes, avant de reprendre :

« Alors, je suis d’accord pour... Pour vous offrir ma... Ma virginité. Et, si vous voulez tester mes compétences sur l’une de... De vos amantes... Et bien, ça ne me dérangera pas. Il faudra juste que j’aille me changer avant de... Avant de commencer. »

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : L'experte [Tessia]
« le: jeudi 24 septembre 2015, 10:06:47 »
Ça faisait effectivement beaucoup à assimiler pour mon palpitant ! Mon pauvre petit cœur bondissait à toute allure dans ma poitrine, comme si un kangourou venait d’y entrer. Je réalisais, avec stupeur, qu’Alexanders-senseï était, non seulement une bombe sexuelle (enfin, ça, je l’avais déjà remarqué, hein !), mais aussi (surtout) qu’elle couchait avec ses élèves ! J’étais peut-être une experte du kinbaku, mais, celle-là, je dois bien avouer que je ne l’avais pas du tout vu venir ! Tout mon corps en était en ébullition, et je me mordillais les lèvres en frissonnant, surtout lorsque la senseï se glissa dans mon dos pour me caresser les épaules. Je bus d’une traite le verre d’eau qu’elle, toujours sans rien dire, l’esprit embrumé et confus par toutes les révélations qui venaient de me tomber dessus en cascade. Alexanders-senseï avait bel et bien envie de coucher avec moi, de me voir à l’œuvre, mais elle ne voulait pas me brusquer, et me laissait donc l’après-midi pour réfléchir. Oh, en soi, il était inutile de me laisser autant de temps. Quel malade aurait refusé la possibilité de coucher avec une femme aussi belle... Et prof’ de surcroît ? Non, ce qui me mettait dans cet état, ce n’était pas le fait de savoir si, oui ou non, je devais le faire (ce débat était révolu depuis le jour où j’avais utilisé les talents de mon père à des fins sexuelles), mais si je serais à la hauteur des attentes de cette femme, et, surtout, si ce n’était pas un genre de piège... Car ça semblait tout simplement trop beau pour être vrai !

Néanmoins, comme je ne voyais aucune caméra cachée, et que la prof’ avait vraiment l’air sérieuse, je finissais par retrouver un peu de mon aplomb. Est-ce que j’allais attendre jusqu’à ce soir pour lui dire que, oui, ça me démangeait méchamment de coucher avec elle ? Pour lui dire que mon premier objectif, en venant dans ce lycée, ça avait été de tomber sur des personnes talentueuses et expérimentées, des personnes avec qui je pourrais enfin taire ce feu qui bouillonnait en moi ? J’avais tout à fait confiance d’être un cliché ambulant, celui de cette vierge dont la frustration sexuelle la démangeait tellement qu’elle se comportait comme la pire des traînées... Mais... Ben, justement, j’étais une vierge ! Une vierge qui avait déjà eu des relations sexuelles ! Si ça, c’était pas paradoxal...

Elle me donna ensuite un paquet de biscuits, et je croquais machinalement dessus, tandis que la senseï vint à se rasseoir, et m’invita à lui poser des questions... Ou à partir. Le chat qui avait avalé ma langue me la rendit, et je me redressais un peu.

« Ben... Euh... »

Ouais, très spirituel, je sais ! Je me raclais à nouveau la gorge, puis posai le paquet de biscuits sur le bureau, avant de la regarder. Dans ma tête, je me disais d’arrêter d’agir comme une demeurée. Bordel, j’avais attaché les sportifs de ma classe, je les avais faits pleurer comme des fillettes, me suppliant de les masturber, j’avais fait jouir des nanas juste en frottant une corde sur leur moule ! Je n’allais tout de même pas trembler comme une feuille devant cette femme juste parce qu’elle me proposait de s’envoyer en l’air ce soir !

Un peu de poigne !

Saisie par cette nouvelle résolution, je repris mon souffle, et me lançai :

« Vous proposez souvent à vos élèves de coucher comme ça avec vous ? Je... Non pas que ça me dérange, ou quoi que ce soit, mais... J’ignorais que les légendes et les mythes circulant sur Mishima étaient vraies... Mais... Ben, ça me dérange pas, parce que... Euh... Enfin, vous... Vous êtes carrément très belle, Alexanders-senseï... »

Oh ça oui ! On se damnerait pour lécher ses jambes, à celle-là !

« Et... Enfin, d’un point de vue purement professionnel... Vos mensurations sont parfaites pour le kinbaku. Vous... Votre corps, c’est une œuvre d’art... »

Car le kinbaku était un art, l’art du corps humain !

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : L'experte [Tessia]
« le: jeudi 17 septembre 2015, 10:02:57 »
En rougissant, j’étais en train de lui dire que ce n’était pas vrai... Ben oui, pourquoi aurais-je rougi en parlant de ficeler des mannequins, moi, hein ? Je venais juste de lui dire que je l’avais fait sur de vraies personnes ! Papa m’aurait tué en l’apprenant... Enfin, c’est ce que je croyais, parce qu’il me disait toujours que le kinbaku était une science, et n’avait visiblement pas l’air d’être au courant de toutes les applications sexuelles qu’on en faisait. Ou alors, il cachait bien son jeu, et j’étais juste la petite fille vivant encore dans le monde de l’enfance, et incapable d’imaginer son Papa en train de faire l’amour, comme s’il n’avait jamais pénétré la moindre femme... En tout cas, la manière dont Alexanders-senseï me dévisageait ne manquait pas de m’intimider, comme si elle était capable de lire dans mon esprit, et d’y voir tout ce qu’elle avait envie d’y voir, à savoir que j’étais loin de m’être uniquement exercée sur des mannequins. Est-ce qu’elle savait que j’avais attaché des garçons et des filles dans ma grange, que je les avais masturbés ? Que j’avais glissé la corde dans la chatte d’une fille, et que je l’avais fait jouir ainsi, juste en frottant son clitoris contre ma corde ? Que je m’attachais moi-même pour ce genre de pratiques. J’aurais pu ligoter Houdini, moi ! Ou, inversement, me libérer de n’importe quel nœud... Tout n’était qu’une question de physique et de mathématiques.

Face à moi, Alexanders-senseï semblait s’amuser, et me demanda donc quelle était mon orientation professionnelle. Je ne pus que confirmer ce que j’avais dit : le kinbaku. Les cordes. Je retins néanmoins pour moi l’idée de lui dire que je me voyais aussi très bien en Maîtresse sadomasochiste, et que je rêvais d’ouvrir mon propre club de bondage. Honnêtement, vous m’auriez vu balancer ça à ma prof’ ? Diable, je serais passée pour une vraie cinglée en seulement quelques secondes ! Évidemment, j’étais loin de me douter que cette bombe sexuelle était une succube, mais, rassurez-vous, j’allais vite m’en rendre compte.

...En fait, dès les prochaines minutes...

Les questions suivantes de la senseï me firent écarquiller les yeux. Bordel ! Est-ce que j’avais bien entendu, ou est-ce que j’étais... Genre... En train de délirer total ? « Un certain goût pour les plaisirs charnels »... Quand elle me demanda si ça ne me dérangeait pas, j’avais les joues en feu (là, j’en étais sûre !), et je ne pus que secouer la tête de droite à gauche, comme pour dire : « Non, non, en fait, je trouve ça normal de parler de cul avec une prof’ ». Et, vu la manière dont la voix d’Alexanders-senseï ne tremblait pas, soit elle était vraiment douée... Soit je n’étais pas sa première fois. Oh God ! Dans ma tête, j’étais en train de me ressasser toutes les histoires qui circulaient sur Mishima. On disait que ce lycée avait déjà été poursuivi pour des scandales sexuels, mais qu’il avait toujours réussi à s’en sortir, les excellents résultats scolaires de ses élèves ayant toujours été un élément décisif pour faire taire ceux qui affirmaient que ce lycée était un mauvais établissement scolaire, encourageant le vice et la luxure. Dès lors que les parents étaient assurés que la préparation fournie leur permettraient de réussir les concours d’entrée aux universités japonaises, le reste était sans importance.

Moi, en ce moment, j’étais muette de stupeur, tellement étonnée que j’avais du mal à remarquer que mon corps commençait à frissonner de partout. Ce que je vivais était dément ! Comme un genre de rêve, le fantasme de l’élève qui avait comme prof’ une bombe sexuelle, et qui ne pouvait s’empêcher de se masturber en pensant à elle. Le scénario de 95% des fanfics de lycée et de mangas sur le lycée qui circulaient sur le Net : ce jour béni où l’élève mal-aimé avait droit à une entrevue spéciale avec sa prof’, une nana à forte poitrine qui, soit était vierge / soit se faisait chier avec son mari, et qui, dans tous les cas de figure, voulait se taper l’élève (et ce alors que le prof’ était mille fois trop belle pour passer pour une vierge !). Ce scénario improbable, ce fantasme de lycéen, venait de me tomber sur le coin de la gueule comme un uppercut en pleine figure d’un boxeur. J’en étais encore scotchée, alors que la femme, de sa voix magnifique, continuait à parler, m’invitant chez elle, pour une « |i]démonstration pratique[/i] »... Aurais-je eu quelques années de moins que j’aurais pu sincèrement croire à son baratin, mais, hey, entre-temps, j’avais masturbé mes camarades ! J’avais senti leur ouistiti entre mes doigts gantés, et, si je n’y avais pas apposé mes lèvres (boire du sperme, beurk !!), j’avais au moins pu sentir leur érection.

Suite aux révélations d’Alexanders-senseï, un léger silence s’instaura dans la pièce... Je finis par comprendre qu’elle avait fini de parler, que mes yeux étaient élargis comme ceux d’une grenouille, et je finis par reprendre mon souffle. Que dire ?! On venait de m’inviter à un plan cul avec, au menu, cordes et kinbaku ! Et je n’avais pas été invitée par n’importe qui, mais par une prof’ que je connaissais en moins d’une semaine ! Et, cette fois, dans ce silence qui suivit les révélations de la femme, je pus clairement sentir mes frissons... De multiples vibrations qui se concentraient à hauteur de mon bassin, et je finis par hocher la tête, retrouvant ma langue.

« Ben, euh... Ouais... Enfin, euh... Je suppose que... Je suppose que oui... »

Des répliques très spirituelles, très excitantes, très spontanées ! Bravo, Asuka ! Encore un peu, et j’allais vraiment passer pour la neuneue qui débarquait de sa campagne ! Mon cœur était en train de battre follement la chamade, et je me mordillais les lèvres, avant d’essayer de retrouver mon calme :

« Mais... Hum... Pour qu-quelle heure, chez vous ? Et... Ben... Vous vivez où ? »

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Bureau de la direction et infirmerie / Re : L'experte [Tessia]
« le: lundi 14 septembre 2015, 09:31:24 »
Est-ce que les rumeurs sur Alexanders-senseï étaient vraies ? Je ne pouvais que l’espérer, et, alors que j’entrais dans son bureau, c’était comme si mon cœur allait fondre sur place. Elle était là, face à moi, assise, avec sa natte de cheveux, ses lunettes, et... Et elle, tout simplement ! Cette femme était vraiment d’une terrifiante beauté, presque autant que tout le reste du personnel ici. Quand j’avais été voir le secrétariat pour obtenir la carte du lycée, j’avais vu cette secrétaire, à l’accent français, Mlle Stevens, qui était terriblement belle, et qui m’avait fait un sourire qui n’avait rien de « strictement professionnel » ! Honnêtement, lors du cours d’Alexanders-senseï, malgré ma passion pour les sciences et pour l’informatique, j’avais eu du mal à regarder autre chose que ses hanches, ses longues jambes, sa chute de reins... On disait qu’elle avait une culotte noire à dentelle sous sa jupe, mais la voir n’était pas simple...

Bon sang, comme j’espérais que ces rumeurs soient vraies ! Ça faisait sans doute de moi une fille horrible, qui voulait coucher avec ces profs’, mais... J’en avais un peu marre des bébés. J’avais envie de coucher avec quelqu’un qui serait capable de me faire vraiment plaisir, et non avec de jeunes garçons venant à peine d’atteindre la puberté, et qui jouissaient dès qu’ils sentaient des doigts frôler leur verge. Le sexe... J’aimais ça, bien sûr, mais je n’arrivais pas à me le représenter sans quelques cordes... Et les adultes étaient forcément plus expérimentés que les simples élèves, nan ? Impossible qu’Alexanders-senseï soit vierge, avec un tel corps, mais je n’avais vu aucune alliance sur ses doigts... Ce qu’on pouvait interpréter comme on voulait, surtout de la part d’une gaijin (elle avait un nom occidental, après tout, même si son accent était parfait).

Elle me glissa de me mettre à l’aise, et j’acquiesçai, légèrement raide.

« Oui, senseï... »

Je n’avais fait aucune bêtise ici... Dès lors, je me demandais vraiment pourquoi elle m’invitait, et j’espérais bien qu’il n’y aurait aucun problème... Genre des trucs administratifs manquants, ou des machins comme ça. Le bureau était confortable, mais je le trouvais, pour le coup, un peu étroit, car j’étais vraiment proche de la senseï... Proche de sa magnifique silhouette, de sa bouche terrible, et de sa belle poitrine... Je respirais lentement, ce qu’on pouvait tout à fait interpréter comme la nervosité classique qu’un élève ressentait en étant convoqué dans le bureau d’un prof’... Même si, pour être honnête, il n’y avait pas que cette nervosité-là.

Le suspens se diminua rapidement quand Alexanders-senseï m’expliqua que le but de cette convocation était tout simplement de discuter de mon avenir professionnel. J’acquiesçais silencieusement. Peut-être que c’était un truc que le lycée faisait ? Mishima avait l’air d’avoir de l’argent, et, malgré les scandales médiatiques, au niveau des résultats scolaires, l’établissement était plutôt bien placé. Au Japon, le lycée n’était qu’une étape préparatoire avant la faculté. L’éducation scolaire avait conservé toute son importance ici, contrairement aux pays occidentaux. Ici, il n’y avait pas de Bac, d’examen final à la fin des études au lycée. On pouvait arrêter les cours, mais sans espoir de décrocher des postes importants. L’examen final, donc, se retrouvait de l’autre côté, car, contrairement aux universités occidentales, l’entrée dans une université japonaise n’était pas de droit, mais commençait par des examens préparatoires. Le lycée préparait ses élèves à ces examens, et, au vu de l’importance que le travail avait dans la société, on pouvait comprendre que l’administration organise ce type de rendez-vous avec les nouveaux.

M’enfin, en ce qui me concernait, le choix était vite fait !

En revanche, ce qui m’interpella, ce fut la suite... Visiblement, Alexanders-senseï s’était renseignée, parlant de ses « loisirs »... Mais quel loisir, justement, impliquait de se renseigner sur le kinbaku ? Père avait toujours dit que le kinbaku n’était pas une expérience sexuelle, mais plutôt une sorte de sport, une méthode invitant le sujet à la méditation et à la réflexion, en faisant circuler le sang de manière particulière... Mais, dans les faits, et ça, je le savais très bien, le kinbaku était une forme de bondage amélioré, qui faisait fantasmer tous les Japonais.

Takada Kahori... Évidemment que je le connaissais, c’était mon père ! Et je savais quelle genre de revue venait lui demander des interviews, parce que c’était moi qui gérait ça, Père ayant du mal avec l’informatique ou avec les médias.

« Et ben... Euh... Merci pour votre bienvenue, Alexanders-senseï, et... Oui, c’est... C’est bien mon père. »

Est-ce que j’avais déjà les joues rouges à ce moment ? Difficile à dire, ce n’est pas comme si j’avais un miroir sur moi... Mais j’avais chaud aux joues, oui, ce qui était une sensation assez bizarre.

« Kahori-san, mon père, et comme bien de mes ancêtres, sont des experts en kinbaku... Nous apprenons dès l’enfance le maniement des cordes, des nœuds... Et, comme je n’ai pas de frère, c’est à moi qu’il reviendra de prendre la suite de notre maison. »

La vache, j’avais tant de questions à lui poser, mais rien n’arrivait à sortir !! Je l’imaginais enroulée de cordes, et je décidais de me rabattre dans ce domaine, en baissant les yeux, sans trop comprendre ce que je disais :

« C’est la passion de la famille... C’est pour ça que j’aime bien les maths. Je me suis entraînée avec des mannequins, afin de déterminer les meilleurs endroits où mettre les cordes sans faire mal, ou pour s’assurer que ça tient bien... On ne s’en rend pas compte, mais c’est très compliqué de maintenir quelqu’un attaché pendant des heures sans que les cordes rompent ! »

Attends... Qu’est-ce que je venais de dire, ?!! Je me mis à ventiler à nouveau, et je devins toute rouge.

En fait, je mourrais d’envie de lui dire qu’elle avait le profil parfait pour être attachée et ficelée...

...Mais je venais juste d’arriver à Mishima, moi !!

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Bureau de la direction et infirmerie / L'experte [Tessia]
« le: dimanche 06 septembre 2015, 09:26:12 »
Alexanders-senseï. Je lisais avec une certain anxiété l’inscription sur la porte, tout en m’approchant, mordillant craintivement mes lèvres. J’étais déjà là depuis moins d’une semaine, quand, ce matin, en finissant le cours, Alexanders-senseï, une superbe femme, prof’ magnifiquement bien roulée, avec une belle natte de cheveux, m’avait abordé pour me demander de venir la voir ce soir, après mes cours. Qui étais-je pour refuser ? Elle était belle, terriblement sexy, mais… Ben, ça restait une prof’, moi une élève, et, à mon corps défendant, à ce moment, je n’étais même pas depuis moins d’une semaine à Mishima ! J’avais déjà pu remarquer un trait commun à la plupart des senseïs du lycée : ils étaient tous d’une beauté redoutable. Il y avait Alexanders-senseï, mais aussi cette professeur de mathématiques, Ichtora-senseï, dont le costume court dévoilait ses longues jambes fuselées, à la limite de l’indécence, sans parler de la manière dont elle s’appuyait sur les épaules des élèves, afin d’observer leurs avancements sur les travaux qu’elle leur donnait. Je parlais en connaissance de cause, car j’y avais personnellement eu droit, en sentant les seins de la femme s’enfoncer contre ma nuque. J’avais mouillé sur place, et, à la pause, je m’étais enfermée dans les toilettes pour me masturber généreusement, balançant des filaments de mouille en me mordant fort les lèvres.

Une simple recherche sur Internet m’avait permis d’apprendre que le lycée Mishima avait une solide réputation, et avait plusieurs fois été poursuivie par des associations de parents d’élèves. Une association spéciale avait même été créée pour attaquer en justice le lycée Mishima, mais toutes ses actions avaient échoué. C’était comme si une sorte de petit ange, ou de kami, protégeait Mishima. Et moi, je venais de débarquer là-dedans… Je vous l’avoue franchement ; j’étais TOUTE EXCITÉE ! On dit qu’un déménagement est l’une des principales sources de stress, mais ça, pour moi, c’est tout un tas de conneries. Je quittais enfin mon bled ! Un trou paumé du fin fond du Japon pour rejoindre la ville, pour rejoindre le vrai Japon ! Tout ce que j’espérais, c’était de me faire sauter, et je me masturbais chaque soir en pensant aux garçons et aux filles de ma classe, ainsi qu’à mes cordes… Père m’avait confié aux bons soins de mon oncle, mais il travaillait fréquemment au port, un travail de nuit, ce qui faisait que, concrètement, j’étais toute seule chez lui… Avec mes cordes.

Le premier soir de mon arrivée, je m’étais attachée les chevilles puis les bras, en reliant le tout à mon corps, avec une corde glissant entre mes lèvres intimes, et je m’étais… Hum… Frottée. Est-ce que vous pouvez imaginer le bonheur que ça fait ? Nan, vous pouvez pas, et, si vous dites le contraire, vous êtes un sacré menteur ! Parce que ça, ce genre de trucs, c’est ces trucs empiriques qu’on ne peut que ressentir en les vivant. Aucun mot couché sur papier ne pourra jamais retransmettre avec exactitude ce moment intense où on sent tout disparaître, où c’est comme si tout votre corps, tous vos instincts et tous vos sens, qui se regroupent en un seul point. Une petite mort… Et putain, c’était bon ! J’avais joui comme une folle, les yeux dans le vague, des larmes coulant le long de mes joues. Jouir, putain, JOUIR ! Oh, j’avais tellement envie de me faire défoncer, tellement envie de sentir des grosses queues en moi… Ou de sentir l’expertise d’une femme. Je m’imaginais mes profs’ en train de me prendre, se glissant dans mon dos, tirant sur la corde pour caresser ma vulve, approchant un martinet de mes fesses, me frustrant. Avec le sexe, on voulait toujours aller vite, on voulait toujours sauter les préliminaires, mais moi, les préliminaires, c’est ça qui me faisait jouir… Imaginer ces moments précédant l’orgasme, cette tension, ces mots doux, les mots salaces qu’on s’échangeait, l’assurance de la Maîtresse, l’odeur rafraîchissante du latex qui se mélangeait à la sueur et au latex… Comment vouliez-vous que je ne jouisse pas en pensant à ça ?!

Et voilà donc où je me trouvais, face à la porte d’Alexanders-senseï, sans savoir ce qu’elle me voulait… J’avais entendu dire que le lycée était rempli de nymphomanes et de pervers, et qu’Ichtora-senseï éduquait sexuellement ses élèves. Une telle chose, à vrai dire, ne me surprenait guère, car j’avais bien vu les regards qu’on lui disait… Ou le fait que l’un de ses élèves se masturbait en plein milieu de son cours. Bordel ! Un mec avait JOUI à côté de moi ! Il avait soupiré, basculant sa tête en arrière, sans que rien ne semble surprendre Ichtora-senseï… Médusée, j’avais observé cette scène, sans vouloir la croire… Et j’en avais joui le soir en y repensant.

Sérieusement, c’était quoi ce lycée de tarés ?! Le pire, c’est que j’étais loin d’être au bout de mes surprises, et j’allais le voir ce soir… Avec Alexanders-senseï. Je me rapprochais de la porte, me mordillant les lèvres… Avant de taper légèrement à cette dernière, puis de l’ouvrir.

« A… Alexanders-senseï ? hasardais-je. Vous… Vous vouliez me voir ? »

À ce moment, j’étais loin de me douter que la belle femme avait fait des recherches sur moi, et qu’elle avait lu un interview de mon père dans une revue spécialisée axée sur le sadomasochisme, et qui avait fait un numéro spécial sur le kinbaku. Tout ce que je savais, c’est qu’elle voulait me voir… Et j’ignorais bien pourquoi, à ce moment précis.

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Le coin du chalant / Recherche Maître/Maîtresse
« le: vendredi 04 septembre 2015, 11:19:07 »
Boooonjour !!

Maintenant que je suis validée, il est temps, pour moi, de faire ma demande de RP.

C'est très simple, alors je vais faire court : j'ai envie d'un Maître ou d'une Maîtresse qui apprécie et le bondage et les gros nichons pour me sortir de ma misère sexuelle :(

Qui se dévoue ?!

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Prélude / Re : Asuka Kahori, petite masochiste [Valisuccubisée]
« le: vendredi 04 septembre 2015, 11:06:57 »
*Se blottit contre Tinuviel, les yeux brillants et plein d'espoir*

Ah oui ? Il faudra me montrer, alors !!

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Prélude / Re : Asuka Kahori, petite masochiste [Valisuccubisée]
« le: vendredi 04 septembre 2015, 10:54:13 »
Oh oui, Rin, attache-moi, et tu pourras jouer avec moi aussi longtemps que tu le souhaites *o*

Quelles idées, Tinuviel :o ?

73
Prélude / Re : Asuka Kahori, petite masochiste [Valisuccubisée]
« le: vendredi 04 septembre 2015, 10:36:11 »
Yumi, c'est pour mieux inciter les gens à me bâillonner (han ouais, c'est subtil ^_^ !)

Tessia, merci beaucoup ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥

*Exhibe fièrement ses seins en se dandinant sur place, et récupère précieusement sa carte, avec des étoiles qui brillent partout dans les yeux*

C'est possible que je vienne, vi vi ;D

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Prélude / Asuka Kahori, petite masochiste [Valisuccubisée]
« le: vendredi 04 septembre 2015, 00:53:49 »
Identité : Asuka Kahori
Âge : 16 ans
Sexe : Femme !
Race : Humaine

Physique

Salut, les loulous ! Alors, pour commencer à me présenter, je dirais que… Hum… Et ben, comme vous avez déjà dû voir mon visage, vous devez avoir une petite idée de mon look, nan ;) ? Comment me présenter simplement ? J’ai de longs cheveux bruns, et j’adore les sentir remuer dans mon dos quand je fais mon sport le long de la plage. J’ai également de magnifiques yeux bleus sombre (^_^), qui sont hérités de ma mère, un joli visage légèrement ovale, de belles lèvres que j’entretiens régulièrement avec des pommades pour éviter qu’elles ne se craquèlent et ne se fissurent (BEURK !). Bref, j’adore mon visage, tout simplement, et… Hum… Ah oui, vous l’avez peut-être remarqué, mais j’adore le ROSE… Mais genre ouais, je KIFFE, quoi ! C’est sexy, et j’ai très souvent (*tout le temps*) des sous-vêtements roses, sans parler de ma combinaison de plongée, super-moulante, qui moule à la perfection mon joli cul et ma taille de guêpe, qui est rose et violette. Ouais, on pourrait croire que ça fait de moi une fleur bleue, mais… Hum… C’est un truc qui est plus à prendre dans le genre « Petit Chaperon Rouge », si vous voyez de quoi je parle =).

Par ailleurs, et vous l’avez peut-être aussi remarqué, mais, pour une Asiat’, j’ai aussi une jolie paire de nibards ! J’adore mes nichons, et, comme je sais que ce que les mecs adorent regarder, ben… Ben ouais, je me fais plaisir à les exhiber quand il le faut ! Mais, hey, pas comme une genre de pute, hein, allez pas vous faire des idées, nan mais oh è_é ! Non, mais, comme j’aime bien aller sur la plage, ben quand y a des mecs qui me matent en douce, j’aime bien ça… J’fais genre que j’les vois pas, mais, si je peux vous confier un petit truc, juste entre nous… Les filles, elles ont un radar sur ce genre de trucs, vi vi. Quand un mec bande sur moi en regardant mon cul trempé, je le sais, mais ils ont pas à avoir honte, car j’adore ça… Se sentir belle et tout.

Mine de rien, j’entretiens mon corps, bien loin de toutes ces conneries de canons de beauté sur la maigreur et tout. Moi, je bouffe ! Je m’en prive pas ! Hey, comment j’pourrais avoir de tels nichons, autrement ?! J’bouffe, mais j’fais GRAVEMENT attention à ma ligne. Genre, je me pèse chaque semaine, j’ai des courbes, et je choisis strictement ce que je dois manger, et je fais beaucoup de sport pour entretenir tout ça. J’ai un peu de graisse, mais suffisamment pas assez pour qu’on me traite de « grosse patate »… Et, de toute façon, le premier qui me dit que j’ai un gros cul, je le TUE ! Sans déconner !!


Caractère

Hum… Si je ne vous ai pas encore fait fuir, mes loulous, il est temps de vous en dire un peu plus sur moi… Pas sur mon corps, car, ça, je préfère laisser un peu de mystère (notamment savoir si je m’épile ou pas =P), mais sur ce qu’il y a dans ma tête… Car ouais, je suis pas qu’une paire de nichons avec un bras (ça, ce serait la femme parfaite, LOL !). J’ai une tête, et, croyez-moi, je peux vous assurer qu’elle fonctionne bien. Si vous pensiez que j’étais la blondasse écervelée du quartier, vous pouvez vous foutre cette idée droit au cul, Messieurs-dames… Nan, nan, mes bulletins de note parlent pour moi. Première de ma classe à chaque fois, en Histoire, en maths (et j’adore les maths, vous allez vite comprendre pourquoi ♥), en sciences, en sport (très important !), soit on m’idolâtre, soit on me hait, mais c’est soit l’un, soit l’autre… Et je sais que vous avez envie d’être dans la première catégorie ;-) Sinon, vous me fendriez le cœur 

Doooooooonc… Par où commencer ? Ohlàlà, y a tant à dire ! Ma passion pour les maths, peut-être ? C’est pas le truc banal, ça… On pourrait ouvrir un groupe Facebook sur le nombre d’élèves qui détestent les maths’, et j’suis sûre que, en une journée, notre nombre dépasserait la population d’un petit pays, LOL ! Mais ouais, ouais, j’aime les maths’… Sincèrement. Chaque fois que j’entends des gars me dire que les maths’, ça sert à rien, je suis en mode >_<, et j’ai envie de les gifler ! Les maths, sérieux, c’est la base de TOUT, et ce encore plus quand on a mes goûts… Vous voulez en savoir plus, hein ? Est-ce que j’attise votre appétit de petit coquin ?

Si c’est le cas, un seul mot… Kinbaku.

Does it ring a bell to you, comme dirait nos amis anglais (parce que, OUAIS, je suis douée en langues, hihi !) ? Si ce n’est pas le cas, arrêtez de lire ma présentation, ouvrez Google, et tapez « kinbaku »… Mais genre, faites-le maintenant ! MAINTENANT, OKAY !! Ça y est, vous l’avez fait ? Si vous l’avez fait, voilà ce que vous devriez lire tout en haut : « le kinbaku est un art japonais qui consiste à attacher une personne avec des cordes ». Et, si vous avez vu les images (mais ça, on le fait tous), vous devriez avoir une petite idée de ce qu’est le kinbaku… Le genre de trucs improbables que vous regardez dans les hentaïs, un œil légèrement écarquillé, en vous disant : « Nan mais sééééérieux, c’est quoi ce bordeeeeeel made-in-Japan » ? Ce bordel, Mesdames et Messieurs, c’est le kinbaku, et le kinbaku est autant un art érotique qu’une science du corps humain.

Le kinbaku, ça, j’pourrais vous en tartiner des briques sur des kilomètres à vous en arracher les yeux de la tête. C’est ma grande passion, et ce parce que mon père est un spécialiste du kinbaku… Vi, vi ! Et il m’a toujours dit que cet art n’était rien de plus qu’un mélange de physique et de maths’. Regardez les figures composant le kinbaku… Elles ne sont possibles que grâce aux mathématiques, aux angles droits, aux chiffres, qui permettent de déterminer si le corps va tenir, à partir de la résistance de la corde, du nombre de nœuds, des points d’attache, du poids de la cible… Bref, tout un tas de trucs ! Mon père a tout un tas de schémas et de détails techniques, mais… CHUUUUUT =X ! Je ne peux pas en dire plus, parce que… Hum… Et bien, vous connaissez le truc… Un magicien conserve toujours ses secrets ;-)

Donc, ouais, j’aime les maths’, parce qu’elles sont pour moi le moyen de pratiquer le kinbaku, et, quand on pratique le kinbaku, on n’a pas envie de pratiquer autre chose. Le sexe classique me semble primaire, rustre… Pas sans intérêt, non, parce que, à la simple idée de sentir une queue me défoncer la chatte, j’en mouille ma culotte, mais je veux pas juste me contenter de baiser, nan… Je veux baiser de manière artistique, avec un garçon qui appréciera le kinbaku (ou avec une nana)… Malheureusement, pour l’heure, les garçons du village étaient tous des ignares, et, si c’est moi qui les attachait et les dépucelait, aucun n’a réussi à me soumettre… Alors, voilà une petite devinette pour vous… Suis-je une masochiste ou une dominatrice ? Je fantasme à l’idée de me faire fouetter, de me faire attachée dans tous les sens, de sentir les mains brutales et viriles d’un homme me peloter le cul… Mais, pourtant, c’est toujours moi qui ait fouetté des culs  Je traîne sur Internet dans l’espoir de tomber sur un vrai dominateur, mais, hélas, pour l’heure, je fais chou blanc ^^’‘ C’est triste, hein ? *SNIF SNIF*

Alors, oui, j’ai déjà couché… Mais sans coucher. Disons que j’attache mes amants après leur avoir expliqué la manière dont j’envisage le sexe, et eux se laissent attacher. J’ai appris avec mon père, et, croyez-moi, j’ai une sorte de talent inné pour ça. Donc, pour en revenir à nos moutons (si vous ne l’aviez pas remarqué, je me disperse beaucoup !), j’attache les mecs (ou les femmes !), je les suspends dans ma grange pendant plusieurs heures, et je les masturbe avec mes gants en latex… Ou alors, je me contente de les pincer, de les fouetter, de les insulter… Tout dépend du profil et de mes envies du moment. Parfois, je leur mets un gag-ball sur la bouche, je les attache bien, puis je les laisse accroché pendant plusieurs heures. Le mieux, c’est de le faire avec les femmes, en leur laissant des vibromasseurs dans le cul.

Maintenant, et c’est là que ça devient cool, j’adore le faire sur moi-même… Je vous l’ai dit, je suis douée ! J’adore m’attacher, sentir le frisson et la caresse des cordes glisser sur ma peau, les marques rouges dessinant des toiles d’araignées sur ma peau. J’ai l’impression de me faire baiser par Pythagore en faisant ça, LOL ! Mais genre, j’adore à un point maladif ! Je suis une putain de perverse, ouais… Mais, à moins de me connaître, vous ne vous en rendrez jamais compte.

Ben ouais, vous imaginez quand même pas que je me promène dans la ville avec une pancarte accrochée autour du cou en mode : « GROSSE VIERGE EN CHALEUR ADEPTE DE BONDAGE ET DE GROSSES BITES DANS LE CUL », hein ? Tsss-tssss… Nan, en apparence, je suis une fille modèle, qui lit beaucoup… Parce que, ouais, j’adore lire. Je lis beaucoup, mais, attention, n’allez pas croire que je me drogue à des conneries comme « Twillight » (*UUUUGHHH !!*, ou encore « Cinquante Nuances de Grey » (*AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHH !!*). Je milite pour le vrai bondage, moi, pas pour les fantasmes traînards de sexagénaires qui pètent au lit parce qu’elles se font chier avec leurs maris, gras et gros.

Donc, voilà, je crois que j’ai un peu fait le tour… À l’heure actuelle, j’ignore si je préfère les femmes ou les mecs… J’pensais que les nanas seraient un peu plus calmes que les mecs, mais, en fait, dès qu’on pousse un peu, et qu’on les fait couiner… C’est comme si des hyènes en chaleur venaient de débarquer !

Mais breeeeef, j’crois en avoir assez dit sur moi pour le moment… Du moins, sur ce qui concerne ma personne.

Petite note finale, tout de même, mon petit bonus : j’adooooooore me foutre à poil devant ma webcam !


Histoire

Ne vous attendez pas à un roman palpitant, à la grande histoire d’Asuka Kahori. Mon histoire, en réalité, est chiante comme c’est pas possible, la seule originalité venant du fait que mon père a un métier peu banal… Dans notre village, il est un senseï très respecté, et presque tout le monde vient le voir, notamment les femmes (dont ma propre senseï). Sa spécialité ? Ben, si vous avez lu jusqu’ici, vous devriez le savoir… Il saucissonne les clients, et les laisse pendouiller pendant plusieurs heures. Aucune pénétration, tout se fait dans les règles de l’art. Il attache les femmes nues, les laisse là pendant des heures, offrant à chacune un catalogue permettant de savoir ce qu’il propose. C’est un art ancestral dans sa famille, mais, comme ma défunte mère est morte peu de temps après m’avoir mis au monde (ne soyez pas désolée, je ne l’ai jamais connu), il a dû se rabattre sur moi pour transmettre son art, plutôt que sur un garçon inexistant. Il m’a tout appris, tout ce qu’il y avait à savoir, et, dès que j’avais trois ou quatre ans, j’apprenais à faire des nœuds, et à en faire des solides. À six ou sept ans, je savais faire des nœuds de marin. Lui m’expliquait que son art se retrouvait partout, y compris dans le fait d’attacher des prisonniers pour la police. Puis, ensuite, chaque soir, après les cours, et après avoir fait mes devoirs, et chaque week end, on s’entraînait ensemble sur des mannequins. À l’époque, je n’y voyais aucune attirance sexuelle, juste… Un truc barbant, quand je voulais sortir avec les copines, et que lui me forçait à m’entraîner au gymnase.

Maintenant, ouais, je remercie mon vieux, parce que ce qu’il m’a filé… Merde, quand j’entends dire à côté de ça que des gosses sont contents parce qu’ils ont passé tout le Dimanche après-midi à se faire chier au bord d’un lac pour capturer un gros poisson, j’ai envie de rire, quoi ! Moi, j’apprenais à ficeler des gens ! Et mon père me répétait ô combien cet art était dangereux, car on pouvait tuer quelqu’un en l’attachant, en lui coupant la circulation, tout ça, tout ça… Alors, pour faire clair, ‘ME FAITES PAS CHIER è___é !!

Donc, j’ai grandi dans ce petit village, et, à l’âge de la puberté, faire des cordes commençait à m’exciter, surtout que mon Papa me laissait voir certaines vidéos où il attachait des femmes… Et merde, c’était… Waaw O__O Je me suis masturbée devant ces vidéos, puis, peu à peu, j’ai décidé d’avoir une approche plus moderne du kinbaku. Alors, j’ai commencé à jouer avec mes doigts de fée, et j’ai utilisé Internet (mon père n’y connaissait rien, et c’était moi qui avais créé un site Web pour notre boutique) pour acheter différents objets supplémentaires : vibromasseurs, pinces à seins, etc… Et, comme j’étais assez populaire au collège, j’ai joué avec les élèves de ma classe… Ou avec des individus du lycée.

Et puis, est arrivée la fin du collège… J’étais toujours foutrement vierge (*BOUHOUHOU !!*), et mon père m’a envoyé à Seikusu. Le kinbaku, mine de rien, ça ne permet pas tant de payer les factures, et, comme il avait sa sœur là-bas… Ben, ça permettait de m’héberger chez elle. J’ai donc été à Seikusu…

…Et, cette fois, j’espère bien trouver la perle rare ♥ !

Pas vous ?


Autre : spécialiste en kinbaku !

RPs

1°) L'experte [Tessia] [EN COURS]
2°) Premiers clients [Ryujin] [EN COURS]
3°) Enseignement ancestral [Jeff Alvory] [EN COURS]
4°) Invocation démoniaque [Desmina] [TERMINÉ]
5°) New Life In Hell [Desmina] [EN COURS]

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