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Messages - Dextra-Senestra

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mercredi 28 janvier 2015, 09:45:28 »
Les deux étaient là, silencieux, dans le salon, et si le petit frère en était encore à essayer de comprendre où est-ce qu'il avait bien put faire une erreur aussi monumentale, la soeur avait quand à elle allumer la télé en ronchonnant, tout en tendant l'oreille pour savoir ce qu'il se passait dans le couloir. C'était quitte ou double ce qu'elle avait fait, soit elle allait revenir un peu plus vite, soit elle allait se barrer tout de go, avec l'intense désir de maudire toute la famille qui venait de l'accueillir. Encore une fois cette idée ne déplaisait pas à Dextra qui voyait ainsi un souci de moins sur sa liste, mais la possibilité qu'une telle réaction puisse blesser Sen' lui faisait presque mal au coeur, elle ne supportait pas ça, et du coup elle ne savait clairement pas comment réagir dans un cas comme dans l'autre. Elle verrait cela au moment opportun.

Et là elle l'entend, le bruit de la porte qui se ferme. Il semblerait que cette jeune femme ai choisie de se la jouer de la manière la plus âche possible, quel dommage, voilà un souci de moins. Elle pose le regard sur son frère et se mordille la lèvre en le voyant aussi effondrer sur le coup. Était-ce de sa faute si elle avait choisie de partir d'un coup sans même prononcer un au revoir, sans agir de manière polie, ou même sans présenter le moindre mot à Senestra qui aurait put le faire aller mieux ? Sur le coup elle sentit quelque chose qu'elle n'aimait pas du tout sentir s'agiter dans sa poitrine : le remord. Putain non seulement les deux tourtereau lui cassait les couilles, mais en plus ils avaient le don de la faire se sentir mal alors qu'elle n'aurait normalement aucuns scrupule à faire partir cette vilaine bête qui tournait autour de son frère ! Putain de merde !

« Sen ? Bouges toi le cul elle s'est barrée...
 -  Et pourquoi ? C'est déjà à cause de moi qu'elle est dans cet état ! Je passes mon temps à faire n'importe quoi ... »

Elle allait en plus devoir lui faire la moral pour qu'il réagisse ? Pitié elle voulait tout faire sauf ça, elle avait déjà bien assez de mal à se dire qu'elle était en train de le pousser vers Amélie, alors si en plus elle devait lui forcer en lui bottant le cul, elle était sure qu'elle allait craquer pour finalement hurler dans tout les sens. Se levant avec une hâte qui témoignait de sa nervosité, la voilà qui s'approche de son petit frère et manque de lui mettre un prodigieux coup de pied qu'il évite de justesse grâce à ses réflexes, avant de regarder avec un air de bêta absolu sa grande soeur qui elle l'observe durement, furieuse. Elle se maîtrise pour ne pas le taper une autre fois et s'énerve en le contournant et pour partir vers le couloir, regardant Senestra juste avant de passer la porte pour lui gueuler dessus autant pour se défouler que pour le secouer :

« J'ai zéro raison de penser à elle, mais toi tu me fais juste pitié ! Bouges toi le cul si tu veux vraiment lui faire plaisir ! Moi je me casse, vous m'avez assez saoûlée. Une idiote bi-polaire et une petite bite, voilà ce que vous êtes.
 -  Dex attends...
 -  RIEN À FOUTRE ! Tu te débrouilles ! »

Claquant la porte, elle part s'enfermer dans sa chambre pour ne plus avoir à subir les jérémiades de son frère et le laisses donc seul dans la pièce. Baissant la tête un instant, toujours perdu, il finit quand même par se lever, passer la porte du couloir, puis celle de son appartement et s'élance dans les escaliers, manquant par trois fois de tomber et de s'élancer dans une vile chute dans les escaliers, ne se rattrapant qu'à l'instinct pour continuer sa course presque idiote pour rattraper Amélie. Oui il avait fait de la merde comme le dirait Dextra, mais il fallait aussi qu'il soit honnête avec la jeune femme et il ne lui avait pas présenter ses excuses pour avoir été aussi nul en sa présence. Il n'avait pas bien compris tout ce que voulait dire sa grande soeur, mais au moins en avait-il retenu cela, et il n'allait donc pas se laisser à un mauvais élan de déprime qui risquerait de laisser la demoiselle plus blessée qu'elle ne le devrait.

« Amélie ! »

Il en avait bavé, mais le voilà, juste en haut des marches du rez-de-chaussée tandis que la SDF avait quasiment atteint la porte de sortie et s'apprêtait à quitter le bâtiment pour ne plus jamais y retourner, sans aucuns doutes. Essoufflé par sa course maladroite, les marches ayant en plus été traîtres plus d'une fois pour le jeune homme, il l'observa rapidement d'en haut et quasiment paralysé maintenant qu'il était en la présence de la jeune fille, il hésita presque à prononcer ses mots, de peur qu'elle ne le prenne encore plus mal. Pourtant il n'avait pas fait tout ce chemin pour rien, et même si il bégaya un peu au début, il finit par maîtriser ses mots pour lui exprimer ce qu'il avait sur le coeur à l'instant même, espérant dans le fond que cela puisse la toucher.

« J... Je... Je te demandes pardon Amélie. Pardon de t'avoir fait du mal, pardon d'avoir été maladroit, pardon pour t'avoir mise en colère, et encore plus pour t'avoir menée ici et fait connaître pareille situation. Je voulais que tu sois heureuse, que tu profites, t'offrir un peu de sécurité le temps qu'il n'y ai plus de possibles soucis au dehors. Finalement j'ai merdé pour tout. Alors encore une fois, je te présentes mes excuses Amélie, je ne sais pas si tu les accepteras, mais je me devais de venir te les présenter. Pas pour moi mais pour toi... »

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: lundi 26 janvier 2015, 09:26:30 »
« Je... »

Ouiiiii ? Oh arrêtes de douter s'il te plait et fait vite. Elle n'allait pas s'énerver parce que la jeune femme avait du mal à prononcer ses quelques mots, mais dans le fond elle n'aimait pas conforter les gens, s'occuper de leurs petits problèmes et devoir les écouter pendant une demi-heure pour qu'ils aillent un peu mieux mais gardent une tête de dix pieds de longs juste parce qu'il n'arrivait plus à retrouver la moindre joie. Pour elle, les projets catastrophes, elle les laissait à son cher frère, qui semblait tellement se complaire à trouver tout les cas perdu de la rue pour offrir une main bienveillante, que la jeune fille allait même jusqu'à se demander si finalement il n'était pas lui même une source d'ennuis perpétuels. Enfin, si tant est que la personne en face d'elle tente de dire quelque chose, elles avaient un peu progresser vers la voie du réconfort, n'est-ce pas ? Avec un peu de chance les choses allaient s'arranger...

« Je suis désolée, Dextra... Je... Je sais que... Je sais que Senestra est... Enfin... »

Est un sacré nigaud qui prends soin de ceux qui parfois ne le méritent pas, ou encore un putain d'abruti qui avait juste tendance à trouver les meilleures manières de se faire du mal sans qu'il n'obtienne quoi que ce soit en contre-partie, ce qui était bien dommage. Sa soeur n'aimait pas sa façon de faire et elle ne le cachait pas, ayant bien souvent prévenu Sen qu'un jour il allait tout simplement souffrir plus que de raisons parce que sa confiance sera trahie, que les résultats de ses tentatives de bonté seront désastreuses, et qu'en plus il sera le premier à se jeter la pierre. Elle ne pensait pas forcément à Amélie pour tout cela, cette jeune fille n'avait rien de mauvais en elle, c'était juste ... une enfant qui avait du mal avec ce qui ce déroulait autour d'elle, la privant à la fois de quelques petites joies et de la tendresse d'autrui. Qu'est-ce qu'elle avait bien put vivre pour réagir aussi mal à de simples et communes attentions, franchement ?

« C’est juste que... Parfois, même la plus grande bonté ne suffit pas à oublier la cruauté des autres... »

Nerveuse et, il fallait l'avouer, un peu au bord de l'envie de meurtre immédiate après avoir entendue pareille idiotie, Dextra s'était contractée d'un coup et avait plantée ses ongles dans sa peau, ne cherchant même pas à minimiser la morsure de ses phalanges sur sa chair. La jeune fille s'était tournée vers elle et avancer pour placer ses mains sur les siennes, donnant au tableau un aspect relativement touchant, mais aussi à Dextra l'envie d'ôter ses mains avant de venir secouer Amélie en face d'elle, de manière à ce que son cerveau puisse enfin revenir en place pour qu'elle se mette à réfléchir. La bonté n'était pas magique ouais, et alors ? C'est comme tout ça, si la bonté n'était pas omnipotente, il s'agissait d'un baume qui faisait souvent un bien fou, et c'est en en appliquant plusieurs fois qu'il faisait effet. Entendre que la bonté était inefficace de la part d'une jeune femme qui la refusait naturellement, ça lui metteit les nerfs en pelotes ...

« Je... Je suis désolée... Dis-lui que... Euh... Que je ne voulais pas lui faire du tort, et que... Il est super sympa, mais... Je... Je ne veux pas vous imposer ma présence...
 -  Bon sang, t'as rien compris de ses agissements. »

Sa phrase était tombée, comme une immédiate sentence en réponse à la dernière des conneries qu'elle avait prononcée. Attrapant la SDF par les épaules, Dextra la regarde droits dans ses yeux encore mouillés des pleurs de plus tôt, puis reprends son explications avec autant de sympathie que plus tôt, si ce n'était pire.

« Le jour où tu imposeras ta présence à quelqu'un, rappelles-toi que non, être invitée par autrui pour partager un bout de temps ensemble, ce n'est pas "s'imposer". Putain Senestra est nouille mais t'es pas bien plus perspicace que lui dans le fond ! T'es complètement paumée ma chère Amélie ! »

Durs normalement, les derniers mots furent pourtant dit avec ce qui pouvait être assimilé à de la bienveillance chez Dextra ne se voulant pas critique, mais plutôt de l'ordre de la constatation. Après tout Dextra pouvait très bien imaginée les sautes d'humeurs qui pouvait survenir dans un coeur solitaire et perdu, possible raison pour laquelle elle était elle-même aussi éprise de son frère cadet, mais cela n'excusait pas non plus de virer aussi rapidement de l'amabilité franche à la colère la plus surprenante. Se redressant un peu, tout en regardant sa pauvre petite âme esseulée en face d'elle, elle soupira profondément de tracas avant de se décider à se détachée un peu de la demoiselle et de se tourner vers la porte, s'en approchant avec lenteur. Pourtant, avant même de tourner la poignet et de rejoindre Dextra, elle regarda à nouveau Amélie par dessus son épaule et lui adresses quelques derniers mots :

« Saches d'ailleurs que je ne lui dirais rien de tes propos. C'est à toi de lui dire ce que tu veux lui dire, je vais pas t'aider à le charmer non plus ! Sois tu prends ton courage à deux mains et tu tentes de te faire pardonner par tes propres moyens, soit tu restes ici et démêles un peu ce que t'as au niveau du coeur. Mais je t'interdis de filer à l'anglaise, c'est compris ? »

Elle passe la porte sur ces mots et retourne dans le salon pour découvrir un Senestra en train de se morfondre sur la table basse, cette simple vue lui donnant envie de lui shooter dedans à grands coups de pieds non maîtrisés. Des choses à pardonner ? Son frère devait surement se sentir aussi mal qu'Amélie actuellement, et si il y avait bien une chose pour lui qu'il allait devoir pardonner, c'est lui-même, parce qu'elle imaginait déjà ô combien il allait être inventif dans les prochaines minutes pour se donner tout les torts du monde. N'allant même pas vers lui pour lui parler, elle s'écroula à nouveau à sa place sur le canapé, plaça son pied contre le rebord de la table... et poussant pour obliger Sen à quitter sa position pitoyable contre la surface en bois. L'observant un instant en ronchonnant face à son expression perdue et ahurie, elle prit la télécommande de la télévision et la lui jeta en pleine poire, l'objet rebondissant contre son front avec un bruit creux.

« Vous me cassez les noisettes sans déconner ! »

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: samedi 24 janvier 2015, 13:46:32 »
Peut-être était-ce parce qu'il parlait à Dextra qu'il ne s'en était absolument pas rendu compte, mais le changement de comportement d'Amélie lui passa complètement à coté, et pour cause, jamais il n'aurait put penser que ses douces attentions puissent être mal vue par la belle demoiselle. Pour lui, il n'y avait pas vraiment quoi que ce soit qui puisse blessé dans ses propos, et de ce qu'il connaissait de la jeune fille, il se serait plus attendu à ce qu'elle n'y fasse pas attention dans le cas où les mots n'auraient su la toucher, plutôt que se s'en sentir offusquer. Alors, quand il se retourne vers elle après avoir rapidement échangé avec sa soeur, il ne s'attendait clairement pas au regard qu'elle lui adressa, ainsi qu'à l'expression contrite sur son visage. Bloqué sur l'instant, absolument pas préparé à se retrouver face à une telle réaction de la part d'Amélie, il ne put même pas dire quoi que ce soit alors qu'elle se mit à lui parler, avec une certaine colère marquée dans la voix :

« J’suis pas une clodo, Senestra... J’suis pas venue ici pour obtenir ta pitié. Tu peux te la garder, tu sais, tu crois quoi ?! »

Senestra ne fut pas le seul à être surprit par ce changement, Dextra tournant d'un coup la tête pour regarder la jeune femme pleine de son envie de prouver qu'elle était bien au-delà du comportement qu'elle prétextait à son frère, et c'était bien la première fois qu'elle voyait quelqu'un réagir ainsi avec lui. Normalement les gens préférait utiliser à leur avantage l'innocence de l'homme, y voyant la possibilité de se faire entretenir à moindre frais, ou de pouvoir enfin connaitre une attention qui en leur était pas familière et qui les confortait sur l'instant, chose qui mettait d'ailleurs la lycéenne hors d'elle, considérant ce fonctionnement comme une preuve de faiblesse et de sottise particulièrement irritante... Mais là non, Amélie était juste partie s'enfoncer dans un sursaut d'orgueil qui aurait presque put faire peur, mais qui était surtout en train de rendre le frère de cette petite famille complètement abasourdie, choqué par une réaction qu'il n'avait jamais connu, et qui était surement d'autant plus choquante qu'il avait les plus belles attentions du monde.

« J’en veux pas, de ta pitié ! »

Et la voilà qui part comme une furie dans le couloir, surement prête à partir dés que la politesse lui en permettra, cette demoiselle conservant des valeurs et un comportement bien digne malgré tout ce qu'elle avait put traverser. Sur son coussin, surement tout aussi perdu que la jeune fille qui venait de s'éclipser du salon, Sen était en train de regarder son repas les yeux vides, se demandant ce qu'il avait bien put faire pour qu'elle puisse croire qu'il la prenait en pitié, chose qu'il n'avait jamais fait envers qui que ce soit et qui était même inconcevable pour l'homme. Restait une seule personne qui semblait saine d'esprit et qui regardait tour à tour la porte du couloir et son petit frère, soupirant en constatant l'idiotie des deux autres occupants actuels de l'appartement, avant qu'elle ne ronchonne et se lève du canapé tout en faisant le tour de la table basse, en direction du couloir. Elle ne manqua pas de mettre une jolie petite frappe sur le haut de la tête de son frère au passage, histoire de lui remettre les idées en places, puis elle alla dans le couloirs en fermant la porte derrière elle, pour débarquer sur une Amélie en sanglots.

« On peux parler ? »

Allumant la lumière du bout du doigt, elle s'adossera tranquillement au mur en regardant la forme tressautante d'Amélie qui était en train de lentement se remettre de ses émotions dans le couloir, et Dextra ne prit pas le temps de dire un mot de plus le temps que sa compagne se calme. Après, dans toute l'honnêteté qu'elle était capable d'admettre, elle ne savait pas non plus très bien quel genre de choses elle allait bien pouvoir dire à cette forme peinée qui se trouvait en face d'elle, mais elle comptait bien essayer de recoller les pots cassés, et dieu savait qu'elle n'aimait pas ça pourtant. La seule différence c'est qu'il s'agissait de son frère, et si il avait bien souvent tendance à la sauver des situations pénibles ou plus ou moins gênante, elle comptait lui rendre la pareille sur ce coup-ci, voyant bien que le jeune homme se sentait concernée par le cas d'Amélie, Dextra faisant d'ailleurs un effort surhumain à l'heure actuelle pour ne pas secouer cette greluche qui s'appropriait tant les douceurs de son frère sans le vouloir.

« Je ne comptes pas entendre un peu plus tes plaintes, alors écoutes. Tu te trompes sur toute la ligne, et en plus tu te ridiculises en faisant cela. Sen ne fais pas dans la pitié, non seulement il est trop innocent pour cela mais en plus il ne pourrait le faire, considérant tout le monde comme son égal. Si ça te casses les couilles d'être ici dit le, mais au moins arrêtes de psychoter sur les attentions qui t'ont fait venir ici. »

Elle l'observait, sa voix exprimant tout le paradoxe que la grande soeur ressentait actuellement envers Amélie, et ses mots ne se faisant pas pour être doux, tout en étant portée par une volée de gentillesse surement autant dirigée envers Sen que la SDF, restaient crus malgré leur but premier, celui de faire réfléchir la demoiselle. Bras croisés, jambes croisées, et en partie couchée sur le mur, il était difficile pour la femme d'avoir une posture plus désinvolte et fermée, mais si la jeune femme voulait discuter proprement avec celle qui "n'était pas une clodo", de ses propres mots, elle pensait qu'elle avait besoin de lui montrer le moins d'attention possible, où elle risquait encore de partir dans une crise de pleurs encore plus tragique. S'écartant du mur d'une petite impulsion, elle se tourna bien vers Amélie, main sur la hanche et ronchonna en faisant un léger mouvement de tête pour désigner Senestra derrière la porte, surement encore plombé dans sa déception d'avoir blessée celle à qui il avait tant voulu faire plaisir.

« Alors ouais, tu me broutes, sans déconner. Voir que tu as toutes les attentions de mon frère me les brises et j'ai déjà du mal rien qu'à me dire qu'il te ferait les yeux doux. Mais putain, ça nous changerait quoi que tu vives dans un manoir où sous un carton ? Sen' t'as invitée, pour moi ça s’arrête là, et pour lui il s'est surement dit que ça pourrait te plaire ... Pas plus, pas moins. »

Ronchonnant, elle se redresse pour regarder la jeune femme de toutes sa hauteur, et il le fallait surement bien étant donner qu'Amélie était un poil plus grande qu'elle, et commença à se mordre la lèvre en apercevait le visage de la demoiselle. Bon sang, tant mieux qu'elle était là pour la réconforter, sinon elle lui aurait déjà mise deux bonne baffes de types magistrales dans sa tronche de complexée, puis aurait prit soin de la secouer en lui gueulant dessus comme du poisson pourri. Encore une fois, la présence de Senestra dans la salle d'à coté la retenait d'agir en de pareils termes, mais ça la démangeait durement.

« Bon sang j'ai l'impression de devoir faire la morale à Sen'. Enfin, si t'as quelques chose à dire, je t'écoutes et après je retourne dans le salon, j'ai un autre mortifié dont je dois m'occuper et ça me fait tellement chier que je pourrais en avoir une diarrhée ! Après tu feras ce que tu veux ! »

- - -

De son coté Sen avait repousser son assiette et s'était collé sur la table, la tête entre ses bras, se demandant encore et encore ce qu'il avait bien put faire de mal juste avant. Il était maladroit, il le savait, mais au point que de soudainement joviale, la demoiselle passe à un comportement complétement furieux, et à une envie de hurler sur lui comme si il était le dernier des connards, il en était à se demander comment il pouvait avoir fait preuve d'une telle sottise sans pour autant s'en rendre compte. Il avait tout fait pour qu'elle se sente bien, accueillie comme il faut et qu'elle puisse apprécier un peu de sécurité loin du policier qui avait voulue s'en prendre à elle, mais non, il avait tout foiré et voilà qu'elle s'était exilée dans le couloir pour laisser aller son chagrin ... quel abruti, quel sombre abruti il était.

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mercredi 21 janvier 2015, 13:38:44 »
Quand il avait parlé de sa solitude amoureuse, il fut surprit de voir la jeune fille se tourner un peu de coté, comme si elle avait du mal à entendre cette histoire, ce qui eut le don de surprendre le jeune homme vu que c'était elle qui s'était engagée sur ce chemin de discussion. Avait-elle eut une histoire difficile, est-ce que c'est au terme d'une dispute ou d'un mauvais évènement familiale qu'elle avait dut quitter le confort d'un foyer pour la dureté de la rue ? Il se le demandait sincèrement et posait sur elle un regard plein de douceur et de tendresse, comme si il avait envie de la soigner de ce qui lui blessait le coeur. Quand à Dextra, elle sentait très bien le regard pesant de la jeune femme sur elle, et ce n'est pas pour rien qu'elle ne se retourna pas un seul instant, ne voulant pas offrir à leur camarade de la journée une occasion de plonger dans les faiblesses de ses sentiments pour venir la taquiner une fois encore. Au moins, des deux, il y avait quelqu'un qui avait compris le comportement d'Amélie.

Par contre, le moment où Senestra fut quasiment sur de ses impressions fut le moment où, en réponse à sa question, il vit la jeune femme se rétractée sur elle-même, faisant disparaître son assurance derrière un comportement qui était à la fois attendrissant mais aussi passablement attirant aux yeux du lycéen. Il la vie mordiller ses lèvres, baisser un peu son regard comme si elle s'interrogeait elle-même, et il n'en aurait pas fallut plus pour que quelques nigauds en profitent pour venir se coller à elle et tentent par quelques gestes mals avouées de la faire tomber sous leurs charmes. Le jeune homme quand à lui ne le voyait pas ainsi, et pourtant il aurait bien aimer avoir à l'instant même la capacité de la consoler, de la rendre plus joyeuse vis-à-vis de ce genre de questionnement, de ne pas la voir douter dés lors qu'on lui parlait de ce genre de soucis. Il ne savait pas comment faire sur l'instant et attendit un peu d'avoir une potentielle réponse, mais si elle tardait, il comptait bien agir pour consoler cette demoiselle qui lui révélait pour la première fois sa fragilité.

« C’est sans grand intérêt. J’ai pris l’avion, voilà tout... »

Elle éludait la question, c'était peu surprenant. Dextra, elle, profitait que la discussion ne tournait plus autour des amourettes de son frère pour reprendre son repas avec avidité, elle avait une capacité à manger à une vitesse qui faisait presque froid dans le dos, et elle se leva d'ailleurs rapidement pour aller se resservir sans mots dire, partant vers la cuisine pour aller voir si il restait assez pour qu'elle en reprenne sans pour autant lésé son frère ou leur "invité" si ils avaient encore faim. Dans le salon, Senestra observait doucement la jeune fille qui en le regardait plus depuis maintenant un petit moment, perdue dans ses pensées, et le jeune homme en profita pour se redresser un peu de manière à pouvoir venir la toucher le cas échéant. L'empressement avec lequel elle parla juste après fut autant d'indice qui offrit une jeune homme la possibilité d'assurer sa volonté, et il écouta doucement la voix d'Amélie alors qu'elle avait enfin relever son regard pour s'adresser à lui :

« En tout cas, tu cuisines bien... Tu fais les pizzas, aussi, donc ? »

Avant qu'il ne réponde à cela, sa main vint se poser sur le sommet de la tête d'Amélie avec délicatesse, un geste simple et léger fait pour entamer de la réconforter, et elle put l'observer avec son sourire doux et un peu naïf, avant qu'il n'ouvre les lèvres pour lui parler avec une voix qui fait naturellement chaud au coeur :

« Avant de parler de ça, pardon de t'avoir mise mal à l'aise. Un peu idiot de ma part de dire ça alors que le mal est fait, mais je ne voulais que tu te sentes blessée. Je promets de faire attention Amélie. »

Il retire délicatement sa main du sommet de la tête de la jeune femme et se repose dans la position typique japonaise, sur son coussin, observant la demoiselle avec une douceur, une impression de calme et de gentillesse irradiant de sa personne. Il espérait sincèrement que ces quelques mots, qui n'étaient pas grand chose dans le fond, avaient quand même eut le don de la rendre un peu plus sereine, un peu plus à l'aise avec ses deux hôtes, ou son hôte si on considérait que Dextra était en train de manger à même la poêle d'une manière bien mal élevée, loin de tout les malaises qu'avaient put ressentir celle qui depuis le début du repas lui faisait des crasses. Se replaçant bien comme il faut, il reprend son assiette en main et en prends une bouchée le temps que la jeune fille intériorise ce qu'il venait de dire, puis reprend la discussion avec aisance et tranquillité :

« Pour être honnête, ce n'est pas pour rien que je suis serveur, et non pas cuisinier ! Les pizzas sont faites d'une certaines manières, et mes pâtes ont tendance à ne jamais bien cuire quand je les prépare, tout comme j'ai un mal fou à préparer les aliments, leurs pré-cuissons et leurs quantités ne semblant pas vouloir se faire instinctivement dans ma tête. Du coup... Si j'aide en cuisine, c'est généralement pour faire les plats de pâtes et les sauces.
 -  J'ai goûté une de ses pizzas une fois ... Dieu que j'ai cru bouffer du charbon !
 -  Merci Dex, ça me va droit au coeur !
 -  De rien, cadeau de la maison. »

La demoiselle était revenue avec une assiette pleine et vint se vautrer sur le canapé sans aucuns savoir-faire, manquant de renverser l'intégralité de son repas si elle n'avait pas eut l'habitude de le faire à chaque fois qu'elle s'installait ici, et regarda le duo en pleine discussion avec un ravissant sourire qui voulait à peu près tout exprimer. La seule approche qu'avait fait Senestra s'était révélée tout à fait inutile car Amélie n'avait même pas daignée lui répondre, et cela, en un sens, rendait la demoiselle bien joyeuse, ravie de voir que cette fourbe petite fouine n'avait pas réussit à réagir sur la meilleure des phrases où elle aurait put le faire ! En gros, tout dans les paroles et rien dans l'action, c'était parfait pour la lycéenne qui imaginait déjà la partie comme gagnée, et qu'une fois qu'Amélie serait partie, elle ne remettra même pas les pieds ici... Enfin si encore Sen ne faisait pas des siennes, et ça ce n'était pas gagné.

« Mais si tu trouves ma cuisine bonne, n'hésites pas à repasser la prochaine fois en me demandant un truc que tu aimes bien, j'essaierais de te faire ça ! »

Gagné ...

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 19 janvier 2015, 23:14:36 »
Perso ... je vois pas le boïng moi !
C'est où ?

23:14 Meal time !

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: dimanche 18 janvier 2015, 19:53:17 »
Elle venait à peine de retourner à sa place, calme et sereine, débarrassée de sa légère animosité grâce au petit coup qu'elle venait de faire connaitre à Amélie, quand elle sentie soudainement son corps s'alourdir sous le poids de celui de la jeune femme. Enfin ce n'était pas tant tout son poids qu'elle sentait, mais surtout celui de ses deux mains sur ses épaules, ainsi que, peut-être, celui des mauvaises ou taquines intentions de la demoiselle qu'elle venait de provoquer, qui lui étaient toute adressées. Refroidie sur le coup, frissonnante en sentant que la situation venait de paradoxalement s'inverser, elle voulue tourner la tête vers la fille de la rue mais elle sentit un souffle chaud courir sur sa peau, les lèvres de sa camarade s'étant rapprochée dangereusement de son oreille, avant qu'elle n'expire quelques mots dans un nouveau courant d'air chargé d'une impression gênante :

« Oui… J’ai envie de te faire l’amour sous ses yeux… »

Il ne lui en faut pas bien plus pour frémir de tout son corps, comme si ces seuls mots avaient suffit pour ébranler son corps et ses envies de vengeance d'un coup, tout en lui donnant l'impression qu'une main un peu baladeuse venait de lui passer ses doigts gourmands tout du long de son échine. Complètement involontairement, Senestra l'avait sauvée de cette situation en revenant dans la pièce pour s'adresser à leur invitée, ce qui l'avait fait se décoller de la grande soeur avec vivacité tandis qu'ils échangeaient rapidement. C'est très discrètement que la jeune femme soupira pour témoigner de son sentiment d'aise désormais qu'elle étaient toutes les deux séparées par la présence de son petit frère, mais elle ne pouvait pas pour autant oublier la présence d'Amélie, et c'est bien pour cela qu'au travers de son soulagement, elle conservait sa perpétuelle vigilance envers "l'intrue", l'oreille tendue sur la discussion qui se produisait à ses cotés.

« Merci beaucoup, Sen’, mais je sais me débrouiller avec les baguettes. Je suis une fille plutôt agile de ses doigts, tu sais…
 -  Oh d'accord, j'y penserais la prochaine fois. Je pose toutefois la fourchette ici si tu en as besoin, d'accord ? »

L'innocence de cet homme pouvait parfois surprendre mais c'était ainsi, il était pour lui difficile de faire le lien entres quelques allusions et un quelconque désir, surement son manque de connaissance dans le domaine, ou encore le fait que pour lui, une majorité des choses ne se faisaient pas dans le sens sexuel, et qu'ainsi la probabilité de tels provocations étaient majoritairement réduite. Toutefois ce n'était pas du tout le cas de Dextra qui avait très bien compris quels genres de mots cette vipère avait utilisée pour provoquer l'émoi de son tendre frère, et elle en était d'autant plus outrée quand elle repensait à la fois où cette succube avait pris le plaisir de faire de même, à cette même place qu'occupait Amélie en cette journée. Le temps et le moyen lui en serait donnée qu'elle aurait déjà prit tout le plaisir du monde à réduire cette parvenue, qui dans le fond ne devait pas être bien différente d'elle, un frère seulement en moins pour lui permettre d'avoir un logement, mais tout cela lui étant moralement proscrit, elle se contenta de manger, veillant aux dire de la personne à sa gauche.

« Alors, vous faites quoi, tous les deux, à Seikusu ? Vos études ? Tu as une petite copine au lycée, Sen’ ?
 -  Que ...!
 -  Eh bien ... Dextra est la première à s'y être installée, il y a deux ans, suites à quelques histoires avec  nos parents. Nous étions inséparable à l'époque, alors je dois avouer que quand j'en ai eut l'occasion, j'ai pris un baïto et me suis installé avec elle. Le plus dur à faire fut les papiers pour le changement de scolarité, mais ça s'est fait sans problème finalement...
 -  Et quand j'ai été virée, on a serré la ceinture et fait avec la paye de Sen'. Désolé, mais un type qui me propose de bosser dans une succursale de sa boutique aux mauvaises moeurs, je ne travaille pas sous ses ordres ! Je finirais mes études avant afin d'avoir un vrai boulot.
 -  Hé hé ... C'est comme ça que nous avons finit dans le même lycée, à une année d'écart. Je bosse dans une pizzeria, dans le centre, "Al'ondo Romano". Cette affiche ne doit vouloir rien dire d'ailleurs vu que le dirigeant est un japonais pure souche, mais le cuistot avec qui je m'entends bien est né à Ancona, dans le sud de l'Italie, donc les repas sont bons. »

Avaient-ils tout les deux omis de parler de la seconde partie des questions d'Amélie de manière volontaire ? En fait Dextra avait en effet choisis de ne même pas faire attention à cela quand elle avait vue son frère y réagir de manière sereine, tout à fait naturelle, sans piquer un énorme phare à l'énonciation de la possibilité qu'il ai une conjointe. Après tout si il parvenait à être aussi calme, c'est surement parce qu'il ne voulait pas y répondre, ou que cela lui passait complètement au-dessus désormais, pour certaines raisons que la grande soeur n'exprimerait jamais en public... Et pourtant la raison en était tout autre, c'est surtout que l'adolescent venait de comprendre que quelque chose ne tournait pas rond dans les paroles de la jeune fille, pourquoi s'intéressait-elle à son statut de célibataire chevronné ? C'était étrange vu ce qu'il avait auparavant pressenti chez elle, cette impression du genre : "je ne pose pas de questions sur ta vie alors fais-en de même" ! Enfin, il n'allait pas la laisser sans réponse, aussi poursuivit-il avec un léger rose aux joues, et une main gênée dans les cheveux.

« Quand à ce que tu me demandes euh ... Eh bien ... Non je n'ai jamais eut personne à mes cotés. Je ne sais pas, je ne dois pas être attirant, les filles ont plus tendance à m'esquiver qu'autre chose, sans raisons que je ne connaisse. »

Imperceptible sur le coup, le tressaillement de Dextra fut rapide mais assez pour la réveillée et lui faire tourner la tête vers le mur de manière inconsciente, manière incertaine de ne pas capter l'attention alors que ce geste même révélait les pratiques de la demoiselle pour éviter qu'une quelconque adolescente puérile vienne fourrer son nez dans les affaires de Sen'. Histoires diverses et variés, mises en scène, menaces, tout était bon pour faire comprendre que Senestra n'avait pas vraiment besoin d'une petite amie dans la vie de tout les jours, ou plutôt que Dextra avait besoin de son petit cocon confortable d'intimité relative entre "frère et soeur". Encore une fois, seule elle y révélait une véritable importance, le jeune homme n'étant attiré envers sa soeur que pour son inhabituelle élégance, et non en tant que personne. D'un coté l'amour, de l'autre un simple désir qui parfois se faisait plus fort que la morale...Rien de bien complexe, mais rien de bien clair non plus.

« ... Enfin je parles, et toi donc Amélie, tu as quelqu'un ? Comment es-tu arrivée à Seïkusu ? Enfin, tu peux ne pas me répondre, je ne souhaites pas être indiscret. »

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Prélude / Re : Je veux juste être une fille normale... [Validémonisée]
« le: dimanche 11 janvier 2015, 23:16:20 »
Bienvenue parmi nous !

J'espères que tu te plairas dans le coin ^^

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Un modérateur est un joueur comme les autres !
Si il est de son devoir de limiter les soucis, les prises de parties, d'aider à la cohésion du forum, ou d'éviter les erreurs de langages...

Il n'est pas exempt d'une remarque quand il fait une erreur, et peut le comprendre. Ce qu'a dit Sentinel était très bien, elle a put se tromper et personne ne l'incrimine pour cela.

Ta remarque toutefois Jethro, passes soit pour du léchage de bottes, soit pour une pensée un peu limite du "on courbe l'échine devant les modérateurs et on se tait". C'est ainsi que fonctionnerait un mauvais forum et par bonheur ce n'est pas le cas ici ^^

Donc essayes de ne pas amener ce genre de propos, c'est à la fois dégradant pour toi et les modérateurs que tu essayes de défendre.

PS: toutes mes excuses pour ton post d'arrivée Idranel, je ne postes plus dessus promis.

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Les alentours de la ville / Re : Hotomiiiii-chaaaaan <3 (Pv Akua Hotomi)
« le: samedi 10 janvier 2015, 15:51:42 »
@Escroc-Girl>> Mon petit Hegion ; si tu savais….
@Escroc-Girl>> Aller maintenant que tout le monde est là, je vais pouvoir vous faire des révélations, mes Boutons !
@Escroc-Girl>> Première nouvelle, le groupe à changer d’idée sur la sélections des résulta. Contrairement à ce qu’il a était prévue, il n’y pas un gagnant, mais trois ! Les meilleurs par Fan d’un membre. Ainsi, il y a un vainqueur par membre.
Juju>> Cool ! C'est quand même mieux comme ça ^^
Paprika>> Par contres ça restes les trois meilleurs sur le jeu non ? Pas de mention spéciale en cas de grande réussite sur tel ou tel niveau ?
Hegion>> Je penses pas, après je peux me tromper, mais bon j'ai hâte de lire les résultats du coup.
Mal_aux_Tofs>> Laisses tomber Hegion, je t'ai mis la misère j'en suis certain
Hegion>> Tu peux rêver !
Juju>> Perso j'avais fais un score minable donc c'est pas ça qui vas changer quoi que ce soit.
Frenchie32>> T'es si sur que ça ?
Paprika>> Frenchie, j'étais avec Juju et il a tout perdu à l'entrée du deuxième niveau...
Franchie32>> Ah quand même !

Bon en tout cas il était plutôt à l'aise désormais, car si il y avait trois vainqueurs, une petite erreur sur le jeu ne devenait pas trop punitive, et du coup cela mettait plutôt en confiance le fan qu'était Senestra, ravi de se dire qu'il avait encore plus de chances de s'en sortir. De plus, l'idée qu'un fan de chaque puisse rencontrer son idole était vraiment quelque chose d'agréable à lire, le jeune homme imaginant déjà se retrouver seul avec Akua, pouvoir échanger avec elle de tout et de rien, pouvoir connaître un peu plus cette merveilleuse jeune femme qui à elle seule illuminait les scènes plus que tout les projecteurs réunis. Non clairement, Escroc venait de lui offrir le meilleur réveil possible, et si il était encore à lézarder sous la couette comme le plus grand des fainéants, il n'en faudrait surement pas bien plus pour qu'il se lève d'un trait et aille s'habiller pour courir jusqu'au studio des Rose Noire...

@Escroc-Girl>> Pour les plus curieux, ce changement viens de June qui au vue du nombre de participant à trouver plus juste d’en récompensé d’avantage.
@Escroc-Girl>> Comme les premiers l’on vue plus tôt, j’ai annoncé que j’avais les résultats.
@Escroc-Girl>> Et si je vous disais que deux des vainqueurs sont du forum ?
Juju>> Merci à June, merci beaucoup
Mal_aux_Tofs>> Attends, deux appartiennent au forum ?
Juju>> Je sais pas pourquoi mais je crois savoir qui ...
Paprika>> Je sais même pas si il y a du suspens...
Hulla-hoop>> On a déjà nos idées sur les gagnants apparement !
Paprika>> Ouaip
Paprika>> Plus que ...
Frenchie32>> Comment dire, on a deux cas désespérés ici après tout.
Hegion>> Genre ? Des cas désespérés ?
Mal_aux_Tofs>> Je crois pas qu'on ai de types aussi déglingué que ça ici  ;D
Juju>> Les abrutis  :-[
Hulla-hoop>> Je confirme...

Comment dire que le jeune homme ne se doutait pas un instant qu'il pouvait être l'un de ces cas désespérés ? Non pour lui il était parfaitement normal, juste un peu réactif s'il s'agissait d'Akua, mais autrement il n'y avait rien de malsain dans ses agissements ou ses propos, donc il ne fallait pas croire qu'il puisse comprendre les insinuations de ses camarades... D'ailleurs s'il n'avait pas beaucoup réagit durant cette courte phase de discussion, s'était bien parce qu'il venait de se lever, encore un peu ensommeillé, et qu'il était allé ouvrir les volets de sa chambre pour laisser la lumière entrer un peu dans celle-ci, afin qu'il ne se crâme pas trop les yeux sur l'écran. Ayant ensuite pris son petit pc portable, il l'avait amener jusqu'à son bureau, et en avait écarter le clavier pour poser l'ordinateur à la place, et s'asseoir tranquillement en soupirant, attendant la suite des opérations selon Escroc-Girl.

@Escroc-Girl>>Aller je vous le dire.
@Escroc-Girl>>3…
@Escroc-Girl>>2…
@Escroc-Girl>>1…
@Escroc-Girl>>0.5….
@Escroc-Girl>>0.25……….
@Escroc-Girl>>Ils sont ici parmi nous, sur notre CB préféré !
Paprika>> Aaaaah Escroc, traîtresse !
Frenchie32>> C'est fourbe !
Hulla-hoop>> c'méchant !
Paprika>> Allez on arrête de jouer, donne les noms où je m'attaque à un crocodile ou un lama !
Hegion>> Oh cesse de nous faire languir Escroc.
Paprika>> Tu aura ma mort sur la conscience ! File les noms avant que je ne comettes l'irréparable !
Juju>> Hey no stress les gars, voyons.
Mal_aux_Tofs>> Pitié les noms Escroc, ne nous oblige pas à te supplier... Wait ...
Frenchie32>> C'est un monstre elle nous torture mentalement :)
Hegion>> Ouais pas qu'un peu ...

Il savait que Escroc aimait jouer, le nombre de fois où elle l'avait fait tourner en bourrique dans leurs discussions par message privé étant assez de preuves pour Senestra que la fille qui se cachant derrière ce pseudo en avait assez dans la jugeotte pour se faire attendre longtemps tout en ricanant derrière son écran ! Enfin bon, ça lui faisait une certaine défense pour jouer un peu le jeu et faire comme si il lui demandait quelque chose, sans trop y mettre du sien, le temps qu'elle se soit assez amusée pour se dire qu'elle avait enfin le droit de faire parvenir les résultats, tandis que sur le chat les messages de désespoirs fusaient les uns après les autres. C'est donc patiemment, en profitant pour ranger rapidement son bureau tout en zieutant la discussion, qu'il attendit de voir le pseudo d'Escroc réapparaître avec toutes les belles promesses de rencontres merveilleuses avec les membres du groupes.

@Escroc-Girl>>Aller je vous ai suffisamment torturés mes Boutons.
@Escroc-Girl>>Les deux vainqueur sont…
@Escroc-Girl>>Mal_aux_Tofs et Hegion !
@Escroc-Girl>>Pour tous les autres sachez que vous réserverez tous une récompense pour avoir participé au concours. Suivant votre score, sa peut monter à de beau cadeaux quand même.

Non ... Nooon ? Nooooon ! Il avait bien été choisie, il avait valider l'un des trois meilleurs score du jeu et avait ainsi obtenu sa place pour aller voir Akua !!! C'était merveilleux, c'était génial, il entrait dans un état d'euphorie quasiment jamais atteint où il se mit à crier sa victoire dans sa chambre, ravi d'avoir enfin l'occasion de rencontrer son Akua chérie, et de pouvoir enfin se rapprocher de ce groupe dont il était fan. C'en était presque impossible à croire, il n'osait pas vraiment se dire qu'il avait réussit à gagner sa place auprès d'une telle idole comme Akua, et pourtant quand il regardait le message le nom du gagnant n'avait pas changer, c'était bien lui et Mal qui avaient réussit ce tour de force pour enfin les rencontrer. Bon dieu, un peu plus et il n'arriverait même plus à réfléchir normalement, par chance, avant que sa joie ne le fasse faire une bêtises ou réveiller tout l'immeuble, au choix, c'est sa grande soeur qui frappe contre la cloison du mur pour le faire redescendre de son petit nuage :

 -  Tais-toi abruti ! Fermes là ! T'es clairement plus agréable quand tu dors !
 -  Oh euh ... eh ... Moui désolé ...

Se rasseyant tranquilement devant son ordinateur en faisant le moins de bruit possible, il regarde à nouveau son écran, et réponds comme il peut, tout en contenant son excitation du moment.

Frenchie32>> Eh bah ... bravo aux gagnants !
Frenchie32>> Et chiotte, j'y avait pourtant passer du temps sur ce jeu !
Paprika>> Fallait aussi faire avec le temps tu sais ?
Mal_aux_Tofs>> Yeaaaah victoire !
Mal_aux_Tofs>> Ouais, plus tu faisais les énigmes rapidement plus tu avais de points à la fin !
Juju>> Félicitation les gars, faites pas n'importes quoi quand vous les verrez.
Paprika>> Ouais bravo, et ... j'ai pas trop peur de la part de Mal, mais Hegion...
Hulla-hoop>> Ouais Hegion vas falloir le tenir en laisse
Paprika>> En parlant d'Hegion ... il a pas réagit
Hulla-hoop>> Maintenant que tu le dis, c'est vrai qu'il est bien silencieux
Juju>> Je paris sur un évanouissement !
Paprika>> Je parirais pas là dessus, peut-être qu'il est devenu fou ?
Frenchie32>> Même fou il arriverait à taper sur un clavier c'est inscrit dans ses gênes !
Paprika>> Pas faux, donc euh ... accident ?
Mal_aux_Tofs>> Même mort il trouverais une connexion WI-FI en enfer pour nous répondre.
Hegion>> Je vous emmerdes !
Hegion>> ET .... VICTOIRE ! Bonheur des bonheurs !
Juju>> Du coup, avouez nous vos scores les mecs
Frenchie32>> Ouais faites péter les scores.
Paprika>> J'aimerais bien savoir aussi.
Mal_aux_Tofs>> Bon d'accord, j'était environ à 237 000
Hegion>> 256 070
Hegion>> Ah ah BEST SCORE !
Mal_aux_Tofs>> Zut ...

S'ensuivent quelque réactions sur les scores de chacuns, et même Escroc semble prendre part à la discussion, plutôt intéressant. En tout cas il a remporté une double victoire aujourd'hui, une victoire en tant que fan, mais aussi une victoire en tant que membre de la communauté amatrice du groupe Rose Noir, se hissant AU MOINS en deuxième place du classement, parmi les meilleurs de tous ! Bon ce n'était qu'un jeu vidéo, mais il ne lui fallait pas grand chose de plus pour nourrir d'orgueil son coeur de fan absolu, et pour qu'il lui sente pousser des ailes. Il était tout simplement l'un des meilleurs, et cela rien ne pouvait lui dire le contraire, et c'est en plus grâce à cela qu'il allait pouvoir aller voir Akua ! Bon du calme, du calme, il fallait avant tout qu'il demande quand même quelque chose, et cela pouvait être plutôt urgent selon les résultats :

Hégion>> Sinon... Escroc, est-ce que tu as des infos sur la date des rencontres ? Sur l'heure ? Est-ce que nous allons êtres prévenu par courrier ou quelque chose du genre ? Et qu'est-ce qui nous permettras de prouver que nous sommes les heureux gagnants ?

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Citation de: Marie Raven
Ou comment dire qu'on a pas lu la fiche.

Ou comment dire une bêtises en voulant faire la morale ^^

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: vendredi 09 janvier 2015, 12:41:21 »
« Merci beaucoup, Senestra. Ne t’en fais pas pour moi et ta sœur, nous sommes les meilleures copines du monde, maintenant !
 -  ...Midinette, eut le temps de dire tout bas Dextra, juste assez pour qu'Amélie l'entende. »

Comment dire que le comportement de la jeune femme était à l'opposé de ce qu'elle appréciait chez autrui ? Eh bien en le lui faisant remarqué alors même qu'elle était accrochée à son coup, en signe de camaraderie, et que la lycéenne n'avait rien d'autre comme envie que de la planter là, ce genre d'action lui rappelant de bien mauvais souvenir. Cette enfoirée d'Inuko avait fait de même, elle avait complètement endormi la vigilance de Senestra en prétextant l'amitié avec sa soeur, et elle avait bien vue où ça l'avait menée au final, aussi avait-elle tout autant de mal avec les gestes d'Amélie. Oh rien de grave dans le fond, si ce n'est qu'elle était encore bien plus sur ses gardes vis-à-vis de la jeune fille, et qu'elle était prête à réagir au quart de tour pour renvoyer chier la jeune femme et lui dire de foutre le camp de chez elle.

« C'est très bien, profitez bien du repas toutes les deux, j'arrive. »

Et repartant dans la cuisine sans se douter de quoi que ce soit, c'est un Senestra joyeux qui commence à chercher le sel et le poivre, qui sont surement perdus dans l'une des petites étagères de la cuisine, sous un paquet de farine ou une boîte de sucre. De son côté, Dextra apprécia le fait que la jeune inconnue lui ai lâchée le cou, retrouvant enfin un peu de liberté tout en profitant de la fin de la comédie d'Amélie, petite représentation théâtrale qui n'aurait surement eut aucune chance de fonctionner si c'était quelqu'un d'autre que Sen qu'il fallait convaincre ! En tout cas la vile démoiselle a un bien trop fier sourire sur le visage, et cela ne plait pas du tout à la maîtresse de maison, celle-ci sentant les mauvaises surprises arriver à plein nez, encore plus quand Amélie se met de nouveau à se coller à elle :

« Il a un joli cul, non ? Je suis sûre que tu aimerais le tripoter… »

Grrr ce qu'elle l'énervait !

« Et toi alors hum ? Pourquoi es-tu autant focaliser sur lui ? Me dis pas que tu crois à des choses aussi idiote que le gentil sauveur qui vient sortir de la rue la pauvre délaissée ? Je dois te surnommer Cendrillon ? »

C'est bon, elle en avait marre, elle allait faire profiter à Amélie de ses propres taquineries, et elle comptait bien la faire rougir comme une tomate d'ici la fin de la journée, ou du moins son départ ! Après tout elle avait bien vue comment Inuko se servait de ses mots pour la faire perdre pied et dévoiler sans le vouloir ses secrets, alors elle allait bien pouvoir reproduire le même schéma pour faire comprendre à la sdf qu'on ne jouait pas avec le feu, surtout quand celui-ci s'appelle Dextra ! La regardant dans les yeux avec un sourire malin, et entendant toujours son petit-frère en train de chercher le poivrier et la salière dans la cuisine, elle s'approche une peu d'Amélie et la colle contre le fond du canapé en la poussant par l'épaule, puis parles avec le ton de la taquinerie, de la mince provocation quasiment jouissive :

« Tu sembles le regarder avec insistance mon petit-frère, hein ? Tu aimes bien regarder les hommes en général ou c'est juste lui ? Qu'est-ce qui pourrais tant te plaire dans cette cervelle de moineau, Hum ? Son coté athlétique ? Son coté tête en l'air ? Ou peut-être que tu as d'autres inavouables plaisirs, hein ? »

Entendant alors Senestra se rapprocher, elle lâche la jeune femme et cesse de l'embêter, reprenant son plat et y piquant une bonne quantité de légume cuit pour les avaler d'un coup, profitant un peu des dons de cuisinier de son cher cadet. Le jeune homme quand à lui revient en effet avec de quoi assaisonner un peu plus, et pose le tout sur la table avant d'aller s'asseoir sur l'un des coussins en face des deux jeunes filles, leur adressant un délicat sourire en se posant, et pouffant un peu d'aise, ravi de pouvoir manger un bout en compagnie d'autrui. Regardant d'ailleurs Amélie, il sourit et sort une fourchette pour la lui tendre avec délicatesse, afin qu'elle puisse manger sans problèmes, les occidentaux ayant toujours du mal à manger avec les traditionnelles baguettes japonaises.

« Tiens Amélie, j'ai mis un peu de temps à la trouver, mais je crois que ce sera plus simple pour toi n'est-ce pas ? Allez ne te prives pas, et même, si tu as encore faim, il en reste dans la poële donc tu n'auras qu'à me demander pour que j'aille te resservir. Sur ce, bon appétit tout le monde. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: samedi 03 janvier 2015, 14:55:20 »
« Oooohh... Ne t’en fais pas pour ça, Dextra, ton frère, je te le laisse !
 -  Mais ... mais non ce n'est pas ça ! Je ne veux juste pas que mon appartement devienne un baisodrome pour mon frère et les copines qu'il peut y ramener. »

Jolie manière de cacher la vérité tout en faisant l'exemple de son intérêt pour l'état de son lieu de vie. Dextra était après tout la régente officielle de l'appartement, c'était elle qui l'avait louée en premier et qui s'y était installée selon ses propres goûts, et même si désormais c'était Senestra qui payait le loyer grâce à son travail dans le restaurant italien, la jeune femme gardait une vision des choses très stricte vis-à-vis de ce à quoi devait ressembler son chez-soi, et de comment devait s'y dérouler les choses. Après, comme l'avait si bien déduit Amélie un tout petit peu plus tôt, oui, elle n'avait aucune envie qu'une autre qu'elle touche à son petit frère chéri, mais cela elle n'accepteras jamais de l'avouer, se défendant corps et âmes pour que personne ne comprenne les voeux viciés qu'elle désirait tant entretenir avec Senestra. Le jeune homme ne voyait pas les choses de la même manière, au grand damn de la lycéenne, mais cela ne changeait rien au fait qu'elle n'avouera jamais ses terribles penchants, et qu'elle continueras de nier, quitte à ce que l'on pense qu'elle déteste son frère.

« Sincèrement, j’ignore pourquoi il a voulu que je vienne chez vous, mais, rassure-toi, dès que j’aurais cassé la croûte, je vous laisserais en paix. Je ne voudrais pas briser votre union idyllique.
 -  Mais puisque je te dis qu'il n'y a rien de ce genre. Sen est mille fois trop enfantin et naïf pour que je pose mon regard sur lui, puis c'est mon frère bon sang ! Un peu de logique quand même ! »

Elle ronchonne, fait la tronche, puis s'assoit en tailleur sur le canapé, tandis qu'elle remarque que la jeune femme en a fait de même sur le sol, souriante et apparament bien fière de la provoquer sur ses hypothétiques, mais véridique, amours. Mise mal à l'aise d'ailleurs, elle n'osait plus vraiment regarder cette étrangère qui lui prêtait des intentions incestueuse, qui même si elles étaient vrai, prouvait qu'elle était peut-être un peu trop honnête avec ses sentiments, et qui ainsi influait bien trop sur son comportement de tout les jours. Toutefois ce n'était pas ce qui la gênait le plus dans l'immédiat, non, ce qui créait le plus de problèmes du point de vue de Dextra c'est que son frère avait prit le partie de ramener cette jeune femme, et n'avait même pas su lui expliquer dans quelle circonstance ils s'étaient rencontré, comme si il devait lui cacher quelque-chose... Elle n'aimait pas ça... du tout !

« Et puis ... pour les raisons qui ont pousser Sen à te ramener ici... Je ne sais tout simplement pas, c'est généralement juste parce qu'il aime prendre soin d'autrui, qu'il fait attentions aux autres. Trop de filles lui tournent autour pour en profiter, pour ça que je fais gaffe. Enfin bon si je te crois, ça devrais plutôt bien se passer, on vas dire que je te fais confiance. »

Un gros mensonge, elle se méfiait de cette jeune femme comme de la peste, si son frère l'avait amené ici et n'avait rien voulut lui expliquer, alors qu'il était doté d'une extrême franchise, c'est qu'il avait quelque chose de sérieusement important à cacher ! Est-ce qu'il s'était attaché à elle ? Était-ce même quelque chose de pire ? Très honnêtement elle craignait un peu la présence de cette jeune étrangère particulièrement jolie, et elle espérait que son frère ne s'était pas fait avoir par les chants de sirène de cette jeune femme, chose qui lui semblait en même temps bien improbable vu l'innocence de son frère et son don à aider les pires demoiselles qui soient. En tout cas, peut-être par une bénédiction divine pour Amélie, qui se risquait bientôt à la jalousie pure de Dextra, Senestra entra dans la salle avec des assiettes remplies de sa petite préparation, et il vint poser les trois assiettes sur la tables basses tout en servant les couverts, avec une dextérité qui prouvait un peu son expérience de serveur de restaurant.

« Et voilà. Mangez tant que c'est chaud, j'amène un peu de sel et de poivre pous ceux qui préfère ajouter un peu d'assaisonnement. Tu fais une drôle de tête Dex, ça va ?
 -  Ouais t'en fais pas, riposta t-elle sèchement. Allez bon app'. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: jeudi 01 janvier 2015, 21:28:17 »
Le pauvre Senestra ne pouvait pas vraiment faire grand chose face à sa furie de soeur, et cela se voyait bien, il perdait facilement ses moyens avec elle et essayait de se justifier auprès d'elle de la mnaière la plus rapide possible, son débit de langage ayant tant augmenté qu'en effet, cela devait être désormais incompréhensible pour l'étrangère. De son coté, Dextra passait d'Amélie à Senestra avec une férocité dans le regard qui laissait comprendre son état d'esprit immédiat, et son désir ardent de les palcer tout les deux hors de la maison pour que la jeune fille n'ait pas à entrer chez elle, ni à tourner autour de son frère pour qui elle était dotée d'une jalousie tout à fait maladive. Jalousie qui se lisait bien facilement dans son regard, et qui, si elle paraissait comme totalement invisible pour Senestra, devait être plus que visible pour la pauvre française qui se retrouvait au milieu d'une belle engueulade entre frère et soeur. Par chance son intervention fut une vraie douche froide pour Dextra, qui se calma dés qu'elle entendit l'anglais :

« Yo, ma cocotte ! Rassure-toi, je ne mords pas !
 -  C'est pas une question de pouvoir mordre... »

C'était une question de pouvoir attirer le regard de Senestra et d'utiliser de manière un peu trop franche son excessive gentillesse, chose que nombre de personne ne se privaient pas en découvrant l'incroyable amabilité du jeune homme, et sa tendance à offrir sa main, quitte à ce qu'on lui prenne le bras. Toujours les yeux rivés sur l'intrue, Dextra la vit partir tranquillement vers el salon, au fond du couloir pour ensuite se retourner, et capta le délicat sourire de Senestra, offert à cette demoiselle au style de la rue, ce qui ne lui donna que plus envie d'attraper la jeune femme pour l'égorger. Personne ne s'accapare son frère, personne ne lui fait cet affront dans sa propre maison, et Amélie avait bien de la chance qu'une personne comme Inuko soit passée par ici avant elle, sinon elle serait déjà dehors à pigner avec un bel hématome sous l'oeil et le mot traînée marquée sur le front ...

« Bon, vous comptez rester plantés dans le couloir comme des arbres ou quoi ? Ton frère m’a invité ici, et je ne vais pas vous braquer, ou faire quoi que ce soit... En fait... »

Un gargouillie, un gros... Senestra se met à rire chaleureusement puis s'approche d'elle.

« "En faite j'ai très faim." C'est cela ? Dextra sois gentille, montre lui où s'installer dans le salon, je vais faire un petit truc à manger, rapidement.
 -  Que je ... Oui oui vas-y ... Dépêches toi de te bouger le cul ! »

Un peu nerveux en sentant l'énervement croissant de sa grande soeur, il ne se le fait pas dire deux fois et passes à coté d'Amélie en souriant délicatement, puis rentre dans el salon et bifurque immédiatement à gauche pour pouvoir aller dans la cuisine et faire rapidement de quoi manger. Enfin... rapidement est peut-être vite dit, car le jeune homme qui a tendance à toujours en faire trop pour ses invités a déjà prévu de lui offrir un vrai repas, et regarde dans son frigo si il n'a pas quoi que ce soit de déjà en partie cuisiné, avant de se rappeler que si il était partie faire des courses un peu plus tôt, c'était aussi pour pouvoir compléter les quelques denrées disparates qui se trouvent dans son frigidaire. Finalement il trouve quand même quelques légumes, et décide de faire uen rapide poêlée aux herbes auquel il ajoutera une tranche de jambon de porc, ce sera bien suffisant pour remplir l'estomac de la demoiselle. Il se met donc à la tâche sans tarder, ne voulant pas qu'elle attende de trop.

De son coté, et dés qu'elle se retrouve seule avec Amélie, Dextra laisse sentir tout son mécontentement envers la présence d'une intrue chez elle, mais ne tarde pas à s'avancer d'un air bougon et de lui faire signe de la suivre pour qu'elles s'installent dans le salon, avant de lui montrer le canapé ou des chaises dans le plus grand silence. Amélie pourra remarquer que les deux jeunes gens ont un goût un peu occidental de l'équipement ménager, et qu'en ce sens, le lieu ressemble plus au salon d'une colocation européenne que japonaise, avec le canapé, des meubles pour soutenir télé et console de jeu, une table basse sur laquelle mettre les différents couverts, et une bibliothèque en coin qui contient quelques livres disparates, certains semblant être de grands classiques mondiaux, et d'autres des livres un peu plus propres aux moeurs et aux goûts nippons. Prenant la parole, elle choisit d'emblée l'anglais pour être sure de se faire comprendre.

« Vas-y, installes toi. Je ne sais pas pourquoi Sen t'as amené ici, mais il y a des règles à respecter ! On range ce qui a été défait et chacun s'occupe de ses affaires ... Ah et pas de ... de, elle cherche un instant le mot, puis la regarde avec toute la jalousie et la méfiance du monde. Pas de drague chez moi, voilà ! »

Ceci dit, elle alla s'installer sur son canapé, à sa place fétiche, et laissa la jeune femme se trouver un lieu confortable pour s'assoir, ne faisait même plus attention à l'étrangère maintenant qu'elle l'avait intronisée aux règles de la maison. Pendant ce temps, Senestra avant commencer à faire sauté les légumes et une délicates odeurs commençaient à se faire sentir dans la pièce, prouvant encore une fois que lorsqu'il était à la cuisine, et grâce à ses quelques années d'expériences du à la préparations de repas pour lui et sa soeur, il était plutôt adroit dés qu'il s'agissait de faire à manger. La question maintenant était de savoir si ce qu'il allait faire plairait à la jeune femme, mais il avait bonne espoir d'agréablement la suprendre !

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One Shot / Re : Une nuit en enfer(Avec Dextra)
« le: mardi 30 décembre 2014, 22:45:25 »
Dans la famille, et sachant que le père n'était pas souvent là, elles étaient généralement trois à bien vivre dans ce charmant lieu qu'était leur maison, et avaient généralement toujours une petite occasion de s'occuper, soit entre elles, soit chacun de son coté pour pouvoir profiter de leurs petits plaisirs personnels. Ce soir, tout le monde était là, il était 18h50, et Evelyn, l'aînée des deux soeurs ne faisait rien de plus que regarder la télévision, se passionnant devant un documentaire discutant des différents types d'insectes en ce monde, et de ce qui les rendait tous si exceptionnels vis-à-vis de leurs formes ou de leurs organisations en colonies. La jeune femme aux cheveux clairs et aux yeux marrons tellement vifs qu'ils en apraissaient parfois rougeoyant était une ferrue de science animales, et plus le temps passait, plus elle se passionnait pour tels ou tels types de bêtes, appréciant de voir toute l'originalité qui pouvait exister dans le règne bestial.

À l'étage, dans sa chambre, une petite demoiselle était encore à lire, une peluche sur ses genoux et actuellement complètement perdue dans une histoire où les pauvres masses prolétariennes survivaient avec difficulté face à la puissance patronale. Le livre appelé "Germinal" provenait d'un auteur français, et depuis qu'elle avait commencer à en lire les différents chapitres, la jeune fille du nom de Gwenaël s'y était plongée avec ferveur, remerciant au passage sa grande soeur qui avait eut la très bonne idée de lui mettre ce chef-d'oeuvre entre ses mains. Bon il y avait bien des moments où le vocabulaire particulièrement poussé et les descriptions à rallonge rendait la lecture difficile, même si le livre avait eut quand même la chance d'être traduit en japonais, mais il en restait qu'elle devait parfois relire une page plusieurs fois avant d'en comprendre toute les nuances, ce qui pourtant ne la faisait pas rendre les armes, bien au contraire. Elle avait peut-être l'air innocente et délicate avec sa peluche trônant fièrement sur son ventre, mais ce n'est pas pour autant qu'elle laissait facilement tombé les choses.

Et tandis que les deux filles de la famille s'occupaient dans leur coin, la mère était en bas avec une de ses vieilles amies, Eleanor, qui prenait grand soin de lui raconter ses dernières "vacances musclées" dans la cambrousse, où elle avait menée une expédition de recherche au coeur du Cambodge, ce qui, avec les différents groupes de rebelles avoisinants, n'avaient pas vraiment été une partie de plaisir :

 -  Je te jure, j'ai cru parfois que mon coeur allait exploser, je crois que j'avais vraiment bien fait qu'acquérir un permis de port d'arme et quelques cours de tir avant de partir là-bas, ça m'as bien aidée sur le terrain.
 -  Tu m'en diras tant Hokura. Et si tu me montrais tes dons en épluchant les patates avec moi ?
 -  T'as envie de perdre la moitié de ton légume en même temps ?
 -  Bien sur que non ...
 -  Alors ne me demande rien, je suis nulle pour les tâches ménagères.

La dite Hokura était une aventurière des temps modernes, elle ne pouvait s'empêcher de voyager, de faire quelques excursions et d'accompagner les chercheurs en tant que guide ou d'aide matériel, sa force physique lui permettant d'être un support considérable dans tout ce qui nécessitait le déchargement d'outil de calcul lourd et autres ordinateurs emportés par les curieux en milieux forestiers. Tatouée sur toute la partie droite du corps, le plus étrange restait son oeil de verre aux teintes dorées, obtenu après une virée un peu dangereuse dans les péninsules arabiques, et qui lui donnait désormais un aspect relativement dérangeant, que son magnifique corps contrastait assez pour en conserver une étrange beauté. Les filles avaient eut un peu de mal avec cette amie au début, surtout quand elles étaient jeune et que cet oeil avait eut l'occasion de leur offrir la plus grosse terreur de leur vie, lors d'un repas, mais désormais elle était plutôt bien incorporée à la famille.

 -  Et puis je ne voudrais pas gâcher tes plats Misaki, ils sont tellement bon quand toi seule les prépare ! Je suis d'ailleurs heureuse que tu me laisse manger chez toi pour ce soir !
 -  Tu viens de rentrer, et je te connais, autrement tu vas juste commander une pizza avec un peu de boisson gazeuse. Je suis la seule ici qui fait que tu manges encore sainement, alors bon, il faut bien que je t'invites par moment.
 -  Oh oh oh, serait-ce la maman qui parle ?

Misaki, la mère de la famille et peut-être le seul adulte responsable de cette maison était une femme approchant de la quarantaine, mais donc le corps ferait rêvé n'importe quel homme, le stéréotype le plus classique de la mère au foyer qui a embellie avec l'âge. De belles rondeurs, un corps de rêve, et un comportement ferme qui lui valait d'être souvent surnommée maman par sa meilleure amie, même si elle avait tendance à lui refuser ce genre de rapprochement en lui laissant comprendre qu'une telle description de sa personne finissait vite avec un coup de louche sur la tête. Un stéréotype je vous dis ! Finissant d'ailleurs de couper les légumes, elle alla les jeté dans le bouillon qui mijotait depuis un petit temps maintenant et elle se mit du coup à préparer les sauces pour accompagner le repas, observant par la porte son aînée toujours aussi captivée par le visionnage de son documentaire du soir.

 -  Et toi Evelyn tu pourrais au moins m'aider un peu.
 -  Voyons maman pas maintenant, je suis au milieu de l'émission. Sitôt finit je promets de te filer la main, mais là c'est bien trop intéressant pour que je fasse autre chose !
 -  Je vis dans une famille d'ingrats !

Reprenant son travail de cuisinière accomplie sous le rire de sa meilleure amie, elle laissa encore el temps passer un peu jusqu'à ce qu'une sonnerie retentisse dans la pièce, faisant comprendre aux occupantes de la maison qu'il y avait de la visité aujourd'hui ! Encore un vendeur au porte à porte ? Peut-être mais elle n'aimait clairement pas cela, elle en avait marre de se voir emmerder aussi tard le soir, et les petits amis de ses filles n'avaient pas le droit de venir à la maison à cette heure-ci, simple question de principes que la femme avait réussi à intrôniser avec eux. Elle comprenait qu'ils veuillent se voir, mais si il voulait passer tard à la maison ou dormir ici, ils devaient au préalable en faire la demande, de manière à ce qu'elle puisse prévoir un couvert en plus, et un couchage, même si elle se doutait que dans de nombreux cas ce n'était plus nécessaire, vu l'âge de ses enfants. Encore des manies de mère qui veille toujours sur ses "poussins".

 -  Là, c'est à toi de bouger Evelyn, que ça te plaises ou non !
 -  C'est bon, j'y vais maman ne t'en fais pas !

L'aînée ronchonne et se dirige tranquillement vers la porte, à petit pas, les pieds enfoncés dans des chaussons gris tout simple, ne produisant quasiment pas de bruits sur le sol. Approchant de la porte, elle regarde dans l'oeillère et sourit en voyant son tendre et aimé de l'autre coté de l'ouverture en bois, jusqu'à ce qu'elle remarque sa petite mine contrite et son air un peu mal à l'aise. Que lui arrivait-il, et puis c'était bizarre, il ne devrait pas venir à cette heure, sa mère avait été bien claire à ce sujet et il avait lui-même dit à Misaki qu'il ne comptait pas y déroger... C'était important si il était ici à cet heure, et un peu alarmée, elle déverouilla la porte et ouvrit assez pour qu'elle puisse le voir en entier, et lui de même, parlant de sa douce voix amoureuse avec le visage couvert d'une inquiétude sincère envers son bel et tendre compagnon.

 -  Bonsoir Lucas, qu'est-ce que tu fais là mon amour ? Tu sais pourtant bien que maman ne veux pas que tu passes à cette heure, il se passe quelque chose ?


(H.S : hormis Gwenaël, les avatars proviennent de la gallerie de Jjune, que je vous invite chaudement à contempler pour sa qualité graphique.)

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Le parc et son sous-bois / Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]
« le: mardi 30 décembre 2014, 12:41:51 »
Ce qu'il avait dit semblait ne pas avoir atteint Amelie de la meilleur de manière vu qu'elle lui adressa un regard plein de doutes à ce moment là, comme si il venait de lui dire qu'il allait l'amener chez elle pour profiter de sa faiblesse pour lui sauter dessus et lui obliger de faire il ne savait quelle atrocité. Pourtant rien de cela n'avait traversé son esprit et bien loin de ce genre de pensée, il souhaitait juste lui offrir un endroit chaud et agréable pour passer une partie de la journée avant qu'elle ne choisisse de repartir quand l'envie le lui prendra. Bon après, qu'elle soit prudente pouvait se comprendre, mais il pensait avoir prouver plusieurs fois qu'il n'avait que de bonnes intentions à son égard, et que son comportement ne se prêtait de toutes manières pas à la tromperie et aux coups bas. Toutefois elle ne le connaissait pas, et c'est surement cela qui influençait son jugement vis-à-vis de sa proposition, et elle le lui fit remarquer par une simple petite bravade, auquel il répondit avec toute l'honnêteté du monde :

« Tu sais, ce n’est pas très prudent d’inviter des inconnus chez toi...
 -  Si on y pense, il n'était aussi pas très prudent d'aider quelqu'un qui était poursuivie par un officier de police, non ? Du coup, au point où j'en suis avec la prudence... »

Était-ce ses paroles qui avaient eut un effet positif sur les doutes de la jeune femme ? En tout cas elle lui livra pour le coup un visage bien moins suspicieux, détendu, et même si elle semblait bien plus à l'aise d'un coup avec cette idée, elle conservait un coté réflectif, comme si il lui restait quelque petit cas de figure à s'imaginer avant de donner une réponse positive ou non. Le jeune homme ne s'en offusqua pas, il savait bien qu'il pouvait être très étrange de voir quelqu'un inviter chez lui une personne provenant de la rue, et c'est vrai que même si sa gentillesse était quasiment excessive, il n'avait normalement pas tendance à la pousser assez loin pour amener chez lui un clochard ou un mendiant pour lui offrir un thé. Ici, ce qui influait sur sa bonté était aussi le fait que la demoiselle lui plaisait, quoi qu'il en dise, et il avait ici l'occasion d'offrir un peu de douceur et de délicatesse à quelqu'un qui n'en avait pas l'habitude, donc il ne réfléchissait pas vraiment aux tenants et aux aboutissants d'une telle proposition.

« ...Allez, GO ! Je te suis, Quasimodo !
 -  Super. Allez c'est par là... Euh sinon ... Kazimoto ? »

Outch, rien qu'à le dire, son accent lui faisait saigner les oreilles, il avait décidément bien du mal à parler en français, et la jeune fille avait du s'arracher les tympans en l'entendant écorcher d'une telle manière ce prénom. Il croyait avoir déjà entendu ce prénom mais cela ne lui disait trop rien dans l'immédiat, et il se contenta du doux sourire de la jeune femme alors qu'elle le rejoigna pour qu'il la guide au travers des diverses rues pour aller jusque chez lui, au niveau des immeubles résidentiels pour ceux qui n'avait que peu d'argent. Passant la première rue, il vit la demoiselle le suivre avec entrain, ce qui lui mit un peu de baume au coeur, le pauvre s'étant vraiment demander à un moment si il ne lui avait pas fait peur avec cette soudaine proposition. Apparemment ne restait que de la confiance, et il en était vraiment heureux, aussi il avança sans doutes jusqu'à la porte automatisé de son immeuble, et sortit ses clés afin de déverouiller la porte.

« Oh par contre toutes mes excuses, mais ça fait longtemps que l'ascenceur est H.S et on a pas assez pour le réparer donc ... Bah vas falloir monter par les escaliers, et nous nous trouvons un peu au cinquième étage. Désolé. »

Il ricana un peu nerveusement et ouvrit la porte à gauche de la cage d'ascenceur pour finalement commencer à monter une à une les marches qui menaient à son appartement, ceci ajouter à leur course folle était suffisant pour el faire souffler, n'ayant plus vraiment l'habitude de jouer sr son cardio vut qu'il avait arrêter le sport depuis une petite année, restant le plus souvent devant son ordi à discuter ou jouer. Il y avait bien son baïto, mais là encore il n'avait rien de très physique à faire, et en montant il eut l'occasion de se dire qu'il serait peut-être un peu intéressant qu'il se remette au sport d'une quelconque manière. Regardant derrière lui si son "amie" n'avait pas trop de mal à gravir les suites interminables de marches, il finit par ouvrir la porte du cinquième étage et la laisse passer le palier avant de lâcher la porte et d'allumer la lumière. Ne leur reste plus qu'à se diriger vers le fond du couloir et d'ouvrir la porte, Senestra rentrant en premier et se faisant vite accoster par sa soeur, sortant de sa chambre en trombe.

« Qu'est-ce que tu branlait ? Je t'ai envoyé un message mais tu ne m'as pas répondu...
 -  Eh bien, j'ai été un peu occupé sur la rou...
 -  Oh attends, c'est qui elle ?
 -  Je te présentes Amélie, nous nous sommes croisés sur le chemin et je l'ai invité boire un coup.
 -  ... t'es sérieux ? »

La jeune femme toisa longuement la jeune femme peut-être même au point de la rendre mal à l'aise, grogant intérieurement envers son frère. Qu'est-ce qu'il avait encore fait cet idiot ?

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