Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kenza

Pages: 1 ... 3 4 [5] 6 7 8
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L'Art / Last Act [NC-17]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 20:42:28 »
Sur petite demande de Don et pi parce qu'aussi je devais le faire

Auteur : Moi ^^
Titre : Last Act [ou Dernier Acte]
Genre : Lemon [plus ou moins hard]
Fandom : Naruto.
Naruto et ses amis ont à peu près 17 ans.
Tsunade est Hokage.
Ils sont encore Chuunin

Bonne lecture.

PS : désolée pour les fautes u_u



POV Sakura

Deux ninjas étaient pressés contre la grille, leur regard luisant de perversité. Sasuke me serrait contre lui. Pour la première fois de ma vie, j'avais peur devant eux. Ils avaient de la bave aux coins des lèvres dénonçant hostilement leur aliénation. Notre cellule était petite et sombre, trop intime à mon goût...nous entendions Naruto hurler quelque part torturé dans ce palais de gêole. L'un des shinobis haleta comme un chien langue pendante, il frappa contre la grille en criant :

-Déshabille-la ! Déshabille la!

Nous sûmes non avec une certaine horreur mêlée à de la gêne qu'il parlait à Sasuke. Ce dernier se mit à trembler contre moi, pas un tremblement de peur non. Mais plutôt de douce frustration, il se maîtrisait. Maintenant je n'aurais su dire s'il se maîtrisait pour ne pas répondre au gardien ou bien s'il se maîtrisait pour ne pas me déshabiller d'une traite faisant plaisir à nos ravisseurs. Mais Naruto criait toujours, Dieu seul savait ce qu'ils lui faisaient. Et Kabuto avait été clair, si nous n'obéissions pas...le blond mourrait de ces tortures sûrement plus inhumaines que ce qui était cité dans les actes criminels du Bingo Book.

Je sentis alors une main d'homme se faufiler comme un serpent sous mon T-shirt, je sursautai mais Uchiwa plaqua sa bouche tremblante à mon oreille :

"Je ne te ferai pas de mal Sakura, mais si nous voulons que Naruto ait la vie sauve...nous allons devoir être...

Il remonta mon haut, dévoilant mon ventre, puis bientôt mon soutien-gorge pourpre. Je frissonnai quand il rajouta le dernier mot de sa phrase :

- patients très chère...

Se moquait-il ? Ou bien essayait-il de détendre l'atmosphère, de rendre ce moment moins humiliant et plus excitant. Seulement cette situation là, ne m'excitait pas. Malgré le mains de Sasuke qui m'enlevaient sensuellement mon habit de kunoichi. Le garde frappa de nouveau contre la grille, soufflant comme il n'était pas permis, les yeux exorbités de folie :

-Plus vite ! Violent! Violent!

Nous sursautâmes, Sasuke et moi. Je levai mon regard vers mon collègue, un regard tremblant, suppliant, il m'avait promis qu'il ne me ferait pas de mal. Et dans tous les cas je n'étais pas consentante ; même pour sauver Naruto. Seulement Uchiwa n'était pas de cet avis. Il me cogna à terre, m'allongeant de manière vulgaire.

-Désolé Sakura...mais on peut pas se permettre de jouer avec la vie de Naruto pour des broutilles.

Il m'arracha littéralement mon soutien gorge tout en se mettant à califourchon sur moi. Ma poitrine se dévoila à lui dans un sursaut de chair, blanche possédant pour l'instant une peau lisse. Je ne pus m'empêcher d'attraper au passage le regard empli d'envie que le sharingan leur lança. A mes seins, à un bout de mon corps que je ne voulais absolument pas qu'il touche. Ce n'était pas légitime, mais il continua, se foutant pas mal de ma notion de légitimité. J'entendais les gardes fous rirent bruyamment lâchant des râles pour l'instant, au commencement d'une excitation qui prendrait tous les mâles présents. Le brun défit ma jupe-short, vivement, brusquement s'acharnant sur ma malheureuse braguette qui ne lui avait rien demandé. Il la fit glisser sur mes cuisses, en profitant pour en caresser l'intérieur, puis sur mes jambes qu'il parcourut avidement du regard. Puis cinq secondes après, chaussures et chaussettes n'étaient plus de la partie. J'étais totalement nue, à la merci d'un ami qui comptait beaucoup à mes yeux, la merci des cris d'un autre ami qui souffrait.

Je me voyais suppliant le regard de Sasuke d'arrêter de dévorer mon corps soumis indirectement aux ninjas ennemis, quand il me toucherait je sentirais les mains des gardes sur ma peau. Je ne pouvais plus bouger, j'avais trop honte de me laisser faire ainsi prise par un sentiment d'hésitation qui voulait me faire pleurer tellement il était pathétique. Nouveaux coups contre la grille, cette fois...c'était les deux soldats qui frappaient comme des singes dans un zoo. Ils hurlaient des choses que je ne voulais pas entendre, tellement que je collai mes mains à mes oreilles :

-Baise-la petit con ! Prends-la ! Prends-la ! Ou bien on saigne ton ami le baka !

Sasuke les regarda, tristement, presque atteré par leur état mental et il hocha la tête. Je fermai les yeux, comment pouvait-il être d'accord ? Il pensait que mon honneur comptait moins que la vie de Naruto. Il défit son pantalon, sans prendre la peine d'enlever son haut...je regardais faire ses doigts avec horreur, des doigts qui j'espérais ne s'amuseraient pas en vaines préliminaires; s'il devait me baiser comme les autres disaient alors autant que ce soit rapidement et vite fait. Le bien fait étant accessoire vu l'état dans lequel je me trouvais. Quand je fermais de nouveau les yeux pour échapper à toute cette comédie, je sentis une nouvelle fois les lèvres de mon coéquipier pressées contre mon oreille, son souffle se perdant inutilement sur mon cou :

-Ne t'en fais pas, je ne suis pas assez excité pour te...prendre maintenant...

J'ouvris soudainement les yeux, la bouche mi-ouverte comme frappée par la foudre. Sa voix était si sensuelle, pourquoi croyait-il que cela ne serait qu'un jeu de plaisir ? Son timbre était presque mélancolique comme s'il n'avait pas le choix. Je me redressai alors sur un coude déterminée, voulant en finir avec cette situation ridicule :

-Sasuke, trouve un moyen de nous sortir de là au lieu...de faire ce que tu fais! C'est dégradant !

-Oh non...pour une fois que je peux trouver un moyen de sortir d'ici plaisant. Je t'en prie Sakura...la vie de Naruto est en jeu et pas seulement ta pudeur. Alors mets cette dernière de côté et laisse-moi juste faire. Il se pourrait même que tu en redemande...

La gifle partit toute seule, voilà d'où viendrait le plaisir pour moi : des coups que je lui donnerais. Il se permettait de me traiter comme sa petite amie à outrance. Je ne voulais pas coucher avec lui, pas dans ces conditions, pas sous les yeux effarés de deux vieux fous qui au final nous tueraient. Je demandais juste un peu plus de dignité, de respect, d'intelligence. Et lui, il me sortait par les yeux pour l'instant. Il se massa la joue, un sourire béat aux lèvres alors que les soldat acclamaient ma claque :

- Violent ! Violent ! hurlèrent-ils à l'intention de Sasuke, dans leur voix résonnaient la témérité de la punition. Chez les nouveaux ninjas d'Oto à mon avis la femme ne devait pas être considérée au point de lever la main sur un homme. Les sharingans de l'Uchiwa s'activèrent et tombèrent sur moi. Je sentis une espèce de renflement progressive se créer contre ma cuisse :

-Maintenant je suis excité...

Il m'agrippa violemment les poignets et les plaqua au sol, entravant mes derniers espoirs de résistance. Il se frotta contre moi de manière osée, me laissant avec mon désarroi et sa nouvelle érection.

Une horreur simple, brute que je n'aurais jamais pu imaginer si douce à mon esprit. Mes yeux verts ne pouvaient s'empêcher de se régaler avec cette vision intime ; son sexe avait une épaisseur agréable à regarder, des petites veines le parcouraient trahissant une excitation innée. Dans l'absolu, je n'avais pensé qu'à protéger ma pudeur éloignant les feux du sacrifices, étouffant les murmures de mes vices les plus secrets. En musique de fond, deux seuls artistes : les gardiens qui grognaient de manière spontanée, excités. Ils frappaient la grille de plus en plus fort, au fur et à mesure que le phalus se rapprochait des portes de mon intimité. Dans un réflexe absurde mes cuisses s'écartèrent, se sentant elles-mêmes prêtes à dévoiler un tunnel frémissant de désir. Un désir naissant comme l'aurore qui obligeaient mes muscles internes à se réveiller par des contractions douloureuses qui se perdaient dans un néant humide et chaud.

Il frottait désormais avec une impatience exaspérée sa verge dressée contre mon bas ventre, faisant ainsi le siège de mon intimité, assaillie par son audace charnelle. Mon consentement avait jailli comme une source en même temps que le musc crémeux qui lubrifiait mes parois internes. Son odeur enivrante m'incitait à l'inviter en moi par des murmures audacieux. Je sentais ses mains parcoururent l'intérieur de mes cuisses humides de sueur et chaudes, puis remonter paresseusement vers mes hanches avant de s'y accrocher. Il n'en pouvait plus de ce jeu mortellement douloureux , qui consistait à frôler les lèvres de mon intimé me faisant soupirer, faisant couler à flot mon lait sexuel.

-Sasuke...

Il me répondit en introduisant en moi sa verge presque parfaite d'une manière sèche et brusque qui me força au silence. Sa pénétration déclencha une vague de douleur ne laissant au plaisir que le rôle de l'écume, douce et fragile. Les yeux fermés, je sentais qu'il n'était pas entièrement en moi...il s'adaptait à mon vagin très étroit, espérant le dilater en quelques secondes d'habitude. Mais cela ne suffisait pas, c'était pour ça que ses yeux étaient à la recherche d'un accord muet que donnerait une expression singulière sur mon visage. Je restais mystérieuse, immobile profitant un maximum de ce bout de corps étranger en moi. Tendue et cambrée, je n'arrivais pas à conclure avec un mouvement

-Hn, murmura-t-il, c'est si étroit...

Les gardes nous dévoraient de leur regard pervers, suspendus à nos gestes....je tournais la tête vers eux et ouvrit les yeux. Uchiwa prit cela comme un accord, il entama son va et vient, entrant et sortant en moi comme si j'avais été un moulin. C'était si bizarre d'être aux limites du plaisir et de se laisser guider par des frissons de désir et de satisfaction. C'était effrayant de voir les portes du septième ciel s'ouvrir pour sauver la vie d'un ami. Mes poings se serrèrent et mon coeur trembla. Je me cambrai de nouveau, consentement et accords en tous genres avaient disparu. Je ne voulais plus. Cette phrase résonna en écho dans tout mon corps, pris d'un sursaut, j'essayais de repousser Sasuke qui ne comprit pas mon agitement. Je ne sus pas ce qu'il comprit d'ailleurs mais il me pénétra complètement, entrant très profondément en moi. Je lâchai un cri étranglé que les soldats apprécièrent en applaudissant comme des dégénérés. Le sexe du ninja s’enfonçait impitoyablement en moi, d’une manière brusque et ne me laissant aucun répit. Je le sentais venir en moi au fur et à mesure qu'il lâchait des râles rauques, les yeux mi-clos, le corps en sueur, augmentant périodiquement cette cadence infernale. Entrant, sortant puis entrant à nouveau.. Mes mains étaient impuissantes posées sur son torse, ne trouvant plus cette force de le pousser loin de moi. Ma tête me tournait, j'étais dans l'incapacité de maîtriser deux fronts. Il essayait perpétuellement d'aller plus loin, de s'enfoncer pour faire exploser ce fameux point G.

-Viens Sakura...allez un petit effort, grogna-t-il les dents serrés.

Des larmes perlèrent à mes yeux, je ne voulais pas bouger...je sentais mon dos conclure avec le sol froid de la cellule toujours aussi sombre. Ces coups de reins prirent une certaine puissance, abrupt dépourvue de douceur. Il devait juste me défoncer pour sauver Naruto, il ne voyait pas où était le problème. Mais que les gardes arrêtent ces coups donnés à la grille, ils n'en avaient pas marre. Les mains du bruns descendirent le long de mes cuisses pleines de sueur, il les souleva pour plus de confort, me mettant dans une position qui lui facilitait le chemin jusqu'au bout. Quel bout ? Moi je sentais juste son sexe déchirer mon intimité par son épaisseur et son excitation.Je ne sentais pas de plaisir, mais plutôt de la colère et de l'impuissance, pour moi cet acte n'avait pas de but. Mes pensées tourbillonnaient alors que Sasuke tremblait contre moi, son corps devenait tendu, ses coups de bassin se faisaient plus lents. Il restait plus longtemps en moi avant de sortir, ces râles se prolongeaient et sa voix grave me faisait trembler.Ce n'était pas sensuel juste sexuel. je ne voyais pas d'affection dans ce qu'il me faisait juste du besoin, de la nécessité...je détestais gémir, mais je n'avais pas le choix, ma voix m'échappait et à chaque pénétration je couinais comme un hochet, cela lui procurait du plaisir. Je savais que cela l'encourageait; ma voix aigue accompagnait de manière aussi vulgaire ses actes...

- Lâche-la ! Lâche-la ! hurla un garde comprenait qu'il allait bientôt jouir.

Mais il n'écouta que d'une oreille distraite, oh non, Sasuke Uchiwa ne me lâcherait pas maintenant; Il voulait son orgasme, il ne pouvait pas lutter contre cette envie bestiale qu'il devait refouler au fond de mon ventre. Il se cambra soudainement, restant immobile, voyant déjà les rives de l'orgasme, s'approchant d'elles à vitesse V. Je gémis un peu de douleur, son sexe pulsait de façon beaucoup trop puissante pour mon intimité déjà trop molestée par ses abus. Une de ses mains traversa ma poitrine, puis mon cou et termina sur ma joue. Il me regardait, les yeux mi-clos, les dents serrées, près à éjaculer....mes gémissements se perdaient dans des murmures incompréhensibles. Sasuke me mit un doigt dans la bouche, qu'il enfonça profondément alors que sa verge essayait lentement d'atteindre un endroit plus poussé en moi. J'entendis un bruit qui n'était pas dans le paysage sonore habituel, Sasuke sursauta brusquement, m'arrachant un petit cri de surprise et de douleur avant de se retirer de manière très violente me coupant le souffle. Je ressentis ce vide grandir en moi rapidement comme une douleur intense. Sasuke était toujours contre moi, de son entrejambe excitée, posée sur ma cuisse, je sentis un liquide chaud s'écouler. Je frissonnai de honte, de colère et de plaisir malsain. Il avait fini par éjaculer, mais pas à l'endroit prévu à cet effet.

-Séparez-vous, lança très fort la voix d'un des deux gardes. Ce brusque retour à la lucidité me parut étrange et encore plus déviant que d'habitude. Je repoussai mon coéquipier pantelant qui roula sur le côté...un trait rouge balafrant sa joue pâle. Je venais de comprendre qu'un kunaï l'avait frôlé de très près, l'obligeant à me libérer de son étreinte sexuelle.

-Putain de mecs...ils auraient pu me laisser finir...

-Imbécile! hurlai-je.

je voulais le frapper, lui ouvrir le ventre pour observer ses entrailles se glisser hors de son corps. Il devait souffrir pour ce qu'il venait de me faire bêtement. Les deux gardes avaient été sadiques, le retirer de moi juste au moment de l'orgasme. Sasuke se mit à genou et m'admira, un air de désolation se promena innocemment sur son visage :

-Je suis désolé...

-Menteur ! m'exclamai-je hors de moi. Un des gardes tapa violemment contre les barreaux en lâchant des cris d'animal. je m'assis me massant un dos douloureux, éprouvé par un sol dur. Je daignais regarder vers l'extérieur, c'était douloureux, de savoir qu'il y avait un espoir de sortir. Mais plus mort que vivant. Une autre chose, un peu plus rassurante que mon sordide constat était que la voix de Naruto ne se faisait plus entendre.

-Ils l'ont peut-être tué, lâcha Uchiwa pour mettre fin à tous mes espoirs.

Tuer Naruto ? Alors nous avions fait cela pour rien, j'avais souffert de manière absurde en accueillant en moi l'artillerie lourde de mon collègue. J'éprouvais une sorte de dégoût en voyant la semence de Sasuke couler le long de ma cuisse, prenant un chemin lent, luisant sur ma peau en sueur...évitant les marques rouges laissés par les doigts de mon second. Quelque chose dans ce liquide translucide parfois blanc soulevait une douce horreur en moi. Je mis une main sur mon ventre et ne put m'empêcher de vomir. Je me sentais souillée, ma seule envie était de frotter ma peau jusqu'au sang, pour me débarrasser de l'odeur de Sasuke, de sa marque sexuelle laissée en moi et sur moi.

-Hé Sakura...soupira-t-il en s'approchant mais je l'arrêtais d'un geste du bras. Je ne voulais plus qu'il m'approche, peu importe s'il avait aimé m'humilier en faisant confiance aux gardes. Pourquoi voulait-il me prendre à nouveau dans ses bras, alors qu'il m'avait violentée. Il voulait me réconforter alors que dehors deux hommes se branlaient encore de ce qu'il avait osé me faire subir. J'essuyai ma bouche sans grâce et portait un regard dur sur le sharingan :

-Trop tard Sasuke;..maintenant c'est chacun pour soi. Tu m'as fait mal....




[/pre]

62
Prélude / Re : Kenza Nobunaga
« le: vendredi 07 novembre 2008, 20:32:09 »
Than you gentleman =)

63
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 07 novembre 2008, 20:15:54 »
20h15

u_u je pige rien comme d'hab

64
Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 19:51:41 »
« Monsieur est exigeant on dirait, quelque chose de plus élaboré non mais lâche-moi avant pauvre type! »

Il allait entendre parler de la pucelle et même Kenza se découvrait ce caractère un peu plus farouche qu’à l’accoutumée. Sûrement le danger présent qui vous changeait une femme. Elle l’avait même insulté de pauvre type, certes, ce n’était pas très grave vu ce qu’il devait s’en foutre mais le but de l’opération était juste d’éviter qu’il ne foutre en elle. Ca serait sympathique.

Elle grimaça en gémissant alors qu’il s’appliquait à resserrer l’étreinte. Elle était totalement perdue, sollicitée de toute part, son corps obéissait et son esprit acerbe et amer de ce piège tentait de s’exprimer par les paroles tranchantes et sèches. Le coup de grâce fut quand sa main frôla l’entre-jambe de notre rouquine. Immédiatement elle referma ses cuisses, donna un vilain coup de coude à Dorian, rien de bien grave, juste histoire qu’il dégage le passage. Elle n’avait pas la prétention de vouloir le tuer u_u.

Rapidement, elle bondit hors du grand lit mais se retrouva à terre à cause de manque de rattrapage et sa perte d’équilibre. Les joues rouges à causes des attouchements de l’autre obsédé, elle se redressa vite et fila de la chambre. Elle frappa à chaque porte, tambourinant pour demander de l’aide. Elle courait sans même regarder arrière.

Mauvais film d’horreur. Elle avait cette désagréable impression d’être dans le rôle de la pétasse à fort rouge à lèvre et en petite tenue qui à la fin serait étripée par le monstre. Loin d’elle tous ces clichés, ou à peu près, elle débarqua brusquement dans le salon. Absolument paniquée, en colère et ne sachant plus quoi faire, elle saccagea la table. Une maigre vengeance.

Alors, elle s’intéressa de plus près à la porte qu’elle n’avait pas réussi à ouvrir. Il le faudrait bien, c’était sa seule issue. Alors elle s’acharna dessus et après un vif coup épaule réussit à l’ouvrir à la volée. Emportée par son élan, elle échoua lamentablement au sol avant de redresser son visage. Ses cheveux aubrun, encore un mouillé par l’eau de la douche et la sueur étaient plaqués sur son visage pâle et son cou.

Elle resta interdite devant la vision qui s’offrit à elle et n’eut qu’une envie fuir à nouveau et faire preuve de lâcheté. Cette pauvre fille inconnu qui se trouvait devant elle lui rappelait le sort qu’elle risquait de subir et pourtant, elle obéit à son regard important et tenta de la détacher.

« Ne..ne vous en faîtes pas! « 

Dos à la porte, elle s’acharnait sur les chaînes.

65
Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 19:16:18 »
« Une pucelle ?! » s’indigna-t-elle.

Elle n’aimait pas quand on la traitait de pucelle, elle ne souhaitait pas qu’on l’étiquette dans une case particulière. Elle était juste elle, et très vertueuse donc de ne pas succomber à ce genre de vice inutile et douloureux. Alors soudain, elle eut une idée. Bon, Kenza n’avait jamais été peste de sa vie, ou chiante mais il y avait une première fois à tout et ce soir-là elle espérait que ce serait autre chose que ce à quoi voulait en venir Dorian.

La musique sourde servait de fond sonore et c’était une techno totalement déchaînée et insupportable. Alors qu’elle se mordillait la lèvre pour ne pas succomber devant ses caresses poussée, elle s’exclama d’une voix aigre :

« Et ils ne peuvent pas baisser la musique à côté! Une seule plaie me suffit ! »

La plaie en question, c’était Dorian, sa langue et ses mains. Même si ses seins commençaient à adorer ça, leur peau se tendant et les tétons se durcissant, son esprit à elle désapprouvait. 

« Et le lit n’est même pas confortable ! »

Elle lui passerait l’envie de vouloir la posséder, et quitte à ce qu’elle doive lui vomir dessus, elle le ferait. Il serait dégoûté, c’était la seule et unique solution pour qu’il se refuse à ses plans totalement tordus. Elle profita qu’il massât ses seins pour décoller ses fesses de l’entre-jambe de l’homme et tenta de mettre une jambe hors du lit. Il ne pouvait pas retenir son bassin plaquer contre le sien et pétrir ses seins, le tout n’étant pas au même niveau.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 18:50:01 »
Ce type était totalement fou, malade et obsédé. Bien la veine de la petite. Elle se calma un instant, ne souhaitant pas se fatiguer plus, il fallait attendre une occasion. Naïve certes, mais intelligente aussi. Elle calma sa respiration, chose difficile à faire tant elle tremblait. Et surtout pour rien au monde, elle ne culpabiliserait. Il n’avait pas tort sur certains point mais pas tout le monde n’aurait agi de cette façon, et il lui avait proposé la nuisette, elle n’avait accepté que pour ne pas l’offenser malgré la luxueuse étoffe. Il ne devait pas inverser les rôles parce que pour l’instant, la victime c’était elle.

A cette pensée, elle retint un hoquet de consternation redoublé d’un spasme désagréable quand il passa sa langue sa peau tendre et blanche. Elle était brûlante cette langue, à confondre avec celle d’un démon même.  Enfin, sur le coup, c’était ce qu’il sembla à Kenza. Elle se contorsionna un peu en vain, et tenta de ne pas céder à la panique qui la gagna pourtant.

« Oui! Et je ne veux rien connaître au plaisir que tu me chante…laisse-moi à présent. »


Elle souhaitait comment dire, laisser faire le temps et là, il était en train de lui annoncer que cette nuit même serait un violent baptême du feu, elle n’était pas d’accord. Apparemment, il se fichait pas de sa permission. Elle mordit sa langue alors qu’il pelottait son sein droit comme si c’était le sien. Elle détesta, ça ne la jetait que dans une plus grande confusion et si son corps avait le malheur de réagir à cette caresse, ce serait une erreur hormonale tout simplement.

Elle posa sa main sur celle de Dorian et essaya de l’arracher à son sein pour qu’il stoppe de la pétrir comme de la patte.

67
Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 18:33:43 »

Elle ferma fort les yeux et tenta de rien entendre de ses premières paroles tant elles étaient horribles. Elle ne voulait PAS être récompensées et souhaitait qu’il la laisse en paix, c’était tout. Elle tenta d’éloigner sa tête, voir de la détourner quand il colla sa bouche à son oreille. Elle trouva bien évidemment ce contact tout aussi répugnant que celui plus bas, c’était tellement malsain.  Et puis, les fables qu’ils racontaient la terrifiaient. On lui avait toujours appris qu’on traitait les femmes comme des princesses, elle ne connaissait que la galanterie de son père et à part avoir été attouchée une fois, elle ne savait rien de tout ce qu’il racontait.

Elle gémit de plainte quand il se mit à mordiller son oreille, elle détestait sentir son souffle contre sa peau, c’était tout simplement pas du tout ce qu’elle imaginait. Dire qu’elle l’avait trouvé beau et attirant. Elle devait sûrement être punie pour ça justement. Elle serrait plus fort ses cuisses pour refuser d’admettre ce qu’il disait, non, ce corps ne pouvait que refuser ce genre de traitement.

Alors elle lâcha un petit cri de surprise quand il entreprit de relever le seul vêtement, seul rempart, qu’elle avait. Bien évidemment, elle l’en empêcha avec une force, toujours pas suffisante, mis qui l’étonna pour sa fatigue. Elle mit beaucoup d’énergie à empêcher son ascension et réussit  à résister juste en dessous de son fessier.

« Ca suffit ! » s’emporta-t-elle dans un souffle, désormais agacé.

Que cherchait-il ? La question ne se posait plus mais elle n’avait aucun moyen de lui rendre cette méchanceté et cette sympathique philosophie au visage. Gardant une main pour tirer sur la nuisette, elle tendit son autre bras vers le chevet pour attraper n’importe quoi même un stylo, pour lui crever l’œil. Ne pas rester passive ou elle s’enliserait.


68
Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 17:54:15 »
Toujours rien, Kenza s’impatientait comme une mauvaise fillette, ne voyait absolument rien du stratège me du machiavélique Dorian et se contenta de fermer les yeux pour plus de concentration. La seule chose qui la troubla fut la musique, et bien dis donc, le prince devrait sérieusement penser à déménager comment allait-elle dormir avec ce vacarme. Elle soupira avant d’entendre la voit de Dorian qui apparemment s’était levée ou pas, elle n’en savait que trop rien. Il allait enfin se coucher, pas trop tôt. En fait, elle avait entendu me elle, parce qu’avec le fond sonore, elle avait cru le louper.

Enfin, maintenant, il était parti, elle ne sentait plus rien sur le lit. Elle se détendit donc et ferma les yeux malgré la musique lourde pour pouvoir tomber dans les bras de Morphée. Elle commençait d’ailleurs à succomber au sommeil quand deux bras puissants se refermèrent autour d’elle pour l’enlacer. Ses yeux s’ouvrirent brusquement avant de s’écarquiller en sentant la rudesse d’un corps d’homme contre le sien. Sa pauvre nuisette qui ne protégeait de rien, laissa passer cette désagréable sensation à travers le fin tissu. Elle comprit avec horreur de quoi il s’agit, faisant pression sur son joli et petit fessier. Et contrairement à ce dernier, ce n’était ni petit, ni fin. Elle se figea, se retenant de crier simplement ou bien de hurler aussi, autre option.

« Qu’est-ce… »


Elle ne pouvait pas se dégager ça c’était clair. Elle n’était plus calme là, et elle comprit alors avec une sourde terreur pourquoi l’option crier était inutile Bon, ne pas s’affoler, il y avait juste un homme de deux mètres dans son lit, entièrement nue et elle à moitié. Elle commença à angoisser et dirigea ses mains sur les avant-bras de Dorian pour tenter d’y faire pression. Constatant avec plus de regret qu’elle n’avait pas la force nécessaire pour se dégager de lui, elle gémit. 

La surprise passée, et l’affolement également, elle prit la peine de respirer par grands coups, sa poitrine tout de même bien galbée pour son âge se souleva à ce rythme. Elle se sentait oppressée et c’était peu dire, d’ailleurs son réflexe fut immédiatement de serrer ses cuisses, et de fermer à nouveau les yeux espérant qu’en les rouvrant mais non. Alors sa lucidité candide prit le dessus et elle trouva on ne savait où la force de demander :

« Que…je..je n’ai rien fait de mal! Si ? »


Elle voyait ce genre de brusquerie comme une punition, car oui, pourquoi la plaquer si violemment contre lui et la forcer par la même occasion à ressentir sa fierté d’homme si proche de son intimité féminine. Si c’était un délice pour lui, elle ça en devenait un relatif supplice pour l’instant, elle ne pouvait pas assumer ça. Elle grimaça, le souffle désormais court. La musique faisait rage et de secondes en secondes, les décibels augmentaient. Bon, un jour des camarades, pour la persécuter l’avaient coincée dans un laboratoire de biologie et l’un d’eux-lui avait toucher les seins alors que l’autre la tenait pour qu’un troisième passe sa main dans sa culotte, c’était le pire qu’elle avait vécu. Et pour elle, encore plus pire était impossible. Elle avait été sauvée par une surveillante qui passait par là…mais là c’était différent. Elle le savait et elle le redoutait.

69
Prélude / Re : Kenza Nobunaga
« le: vendredi 07 novembre 2008, 17:26:21 »
Merci ! ^^

70
Prélude / Re : Kenza Nobunaga
« le: vendredi 07 novembre 2008, 17:16:40 »
euh dans ma fiche tout ça @__@

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La petite allait vraiment commencer à roupiller, oui elle était tout le temps fatiguée c’était un trait persistant de son caractère impossible de la traîner trois heures sans qu’elle ne geigne, niveau endurance la Terre avait connu tellement mieux. Cependant, elle avait un moment de répit, elle souhaitait en profiter et avant même qu’elle ne sache pourquoi, la porte contre laquelle elle était calée se déroba soudainement et elle se vit accueillir par le sol. C’était sans compter les bras providentiel d’une bien charmante demoiselle qui avait fait grâce de la réceptionner.

Kenza rougit un peu, totalement gênée par sa maladresse et voulut excuse La belle inconnue la devança et Nobu ne put que dénier ses plates excuses. Elle n’avait rien fait et assurément que Kenza n’avait eu aucun mal. Après tout on ouvrait les portes, on s’appuyait pas dessus car l’un empêchait l’autre. Elle était donc fautive, et en rougit de honte, d’autant plus. Elle était embarrassée qu’une si jolie inconnue se penche en signe de profond respect pour s’excuser, elle n’était qu’une petite lycéenne qui n’avait qu’à faire attention et puis voilà.

« Non..non ! Je n’ai..rien….merci. »


Kenza ne savait pas quoi dire d’autre ni quoi faire de ses jambes et de ses bras qui restèrent raide alors que l’inconnue s’installait après avoir refermé la porte.  Les yeux écarquillés, Kenza l’observa se rafraîchir tout comme elle auparavant et fut légèrement troublée par la grâce et la chaleur qu’elle dégageait. Elle préféra s’éclaircir la voix et répondre le plus naturellement possible :

« Oui.. »


Elle appréciait que la dame engage la conversation, une nouvelle connaissance ne pourrait pas faire de mal à Kenza voyons, c’était ce qu’il lui fallait, même.  Elle prit donc l’assurance de lui sourire et hocha lentement la tête. Nobu n’était pas perdue mais déconcertée par le charisme de cette magnifique femme, une femme que toute jeune fille comme elle rêverait de devenir. Il n’y avait aucune raison de se méfier de la part d’une telle créature et Kenza eut la mauvaise idée de comparer leur poitrine, pour trouver à quel point la sienne était désavantageuse.

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Prélude / Re : Kenza Nobunaga
« le: vendredi 07 novembre 2008, 16:21:23 »
:shock: XDD

Bah é_è

Loul Xia je prends ca comme un compliment ou pas XDD

Mici

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Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 16:09:02 »
Pas le chauffage, pas le chauffage.. Normalement n’importe quel Prince Charmant se devait d’avoir un palais chauffé ne ? La petite était lasse et fatiguée, perdait de son énergie et ne pensait qu’à roupiller. Alors bon, il pouvait la laisser maintenant et non pas de chocolat chaud mais cela, elle ne put clairement lui dire à part à travers un léger silence qui insinuait ce qu’il voulait dire. Cependant, quand elle le sentit s’asseoir à ses côtés, elle grimaça immédiatement de surprise, totalement perdue. Eh euh, où il s’installait là ? Sa chambre n’était pas au fond, beaucoup plus loin. Il avait un lit lui, il pouvait s’en servir. Habituellement, elle aimait partager avec ses amiEs, mais là c’était un lit quoi et le fait même qu’il s’assoit dessus n‘était pas décent. C‘était peut-être un Prince Communiste mais chez Kenza la propriété faisait un minimum le maître donc, ce lit pour ce soir il est à ELLE et donc elle y est seule.

Elle sursauta pour la troisième fois de la soirée en sentant la main chaude de Dorian se poser sur sa jambe. Elle écarquilla les yeux. Doucement ma fille, examine la situation, le lit est grand, décale toi. Et sans même prêter attention à ses nouvelles paroles, elle se décala vers l’autre côté du lit en ramenant bien ses genoux contre sa poitrine pour que ce genre ‘incident ne se reproduise plus é_è.

« C’est drôle eh ? Un instant j’ai cru que vous aviez accidentellement perdu votre main sur ma jambe,
 » tenta-t-elle avec un sourire nerveux, elle s’empêcha de trembler.

Elle n’avait pas peur, ah ça non, en fait, elle tremblait plutôt de douce confusion et ça l’énervait. Seulement, elle ne penserait jamais à lui vouloir du mal - comme si elle pouvait XD - donc, elle s’était contentée d’attendre qu’il s’en aille gentiment sans demander son reste. Parce que s’il demandait, elle ne pourrait absolument pas être méchante. Elle frappa donc soudainement dans ses mains, l’air faussement joyeuse :

« Ah voilà, il ne fait plus froid. Ne retenez pas votre nuit ! Allez-vous reposer, je vous ai donné du soucis en plus…j’en suis navrée. Bon, pour la troisième fois bonne nuit. »

C’était dit, c’était fait. Elle ramena le draps sur elle et s’allongea complètement, lui tournant sympathiquement le dos. Nobu se garda de rajouter quoi que ce soit, elle avait peut-être offensée son hôte et il y avait une chose dont elle navait absolument pas envie, enfin deux. Se retrouver à la porte et sentir une nouvelle fois sa main sur sa jambe. Non, rien de pire. Il pouvait être beau tant qu’il le voulait, et gentil, et bien qu’il le reste en ne la touchant pas justement. Bon, elle voulait bien lui accorder le bénéfice du doute. D’ailleurs, elle le lui accordait dans sa grande naïveté. Il n’avait pas fait exprès, c’était bon alors. Et puis, elle ne put s’empêcher de prévenir.

« Au cas ou, je suis tout au bout du lit…donc évitez d’y mettre votre main. C’est vrai qu’on ne voit pas grand-chose, mais je suis une grande fille, c’est mieux de dormir dans le noir…c’est plus reposant ! Allez pour la quatrième fois bonne nuit! »


Kenza soupira, et s’immobilisa un instant, tentant d’écouter la respiration de Dorian ou de ressentir son poids en moins sur le lit, signe qu’il s’en allait. Elle n’avait pas l’habitude d’être aussi attentive - forcément quand on ne se sent jamais menacer au pays des bisounours, c’est dommage.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 12:26:55 »
Elle l’entendit alors l’interpeller et sursauta de nouveau, pourtant elle aurait pu le voir venir mais non. Elle regardait dans la mauvaise direction. Elle lui rendit un sourire nerveux. Oui, surtout nerveuse de se savoir sans sous-vêtements devant un peu bien qu’elle eut quelque chose, apparemment pas assez suffisant pour la couvrir. Elle voulut se reculer mais ne pu guère, happée par le charisme de ce grand monsieur.

« Merci…mais…ne vous dérangez pas.»


Elle détourna son visage et ce maudit, de toute façon de quoi aurait-elle besoin ? Nada, il lui avait déjà tout donné et c’était bien assez l’importuner. Elle soupira alors prête à refermer la porte mais il parla de nouveau et elle se figea un instant, étourdie :

« Eh ? Froid ? »


Elle dut tou de même réfléchir pour savoir si elle avait froid ou pas. Un frisson parcourut sa chair la dressant en chair de poule et elle rougit avant de mentir très faiblement.

« No…non. »


Elle loucha vers le lit, les couvertures seraient donc largement chaudes pour la réchauffer. Elle lui fit un petit signe de la main mais ne put se résigner à refermer la porte. Elle aimait bien le voir mine de rien, et bien que s amère lui ai parlé de tout le patraque sexuel, elle n’en avait rien retenue et ne connaissait que ses cours sur la reproduction et bien, elle ne tentait pas de combattre ça. Grande romantique qu’elle était, elle souhaitait réellement ne plus douter - haha, comme si elle doutait là non mais, elle était mignonne la petite.

Se mordant la lèvre, elle recula un peu pour se cacher et surtout se calmer. Elle souffla, s’éventa de la main et repartit vers le lit, dans l’espoir de vraiment dormir. L’espoir faisait vivre, c’est bien.



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Le quartier de la Toussaint / Re : Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 12:04:33 »
C’était bien le moment de continuer à lui faire des compliments mais elle tenait absolument à être en forme demain. Sans doute parce qu’elle avait une compétition de sport ou un truc dans ce genre. Enfin, peu importait. Elle le remercia d’un sourire avant d’entendre qu’il allait en faire de même. Elle rougit terriblement embarrassée par la gêne qu’elle occasionnait. 

« je vous en prie, ne changez pas vos habitudes pour moi.  Bonne nuit.»


Bon, elle était fragile et fatiguée au moindre mouvement et alors, i fallait de tout pour faire un monde surtout des faibles car sinon les forts ne pourraient exister. Pas étonnant qu’avec ce genre de raisonnement, elle se soit toujours faite arnaquer. Elle passa sur ce détail qui ne lui frôla même pas l’esprit. Elle ne fit pas non plus attention au fait que cette fois-ci, il ne la guida nulle part. Elle se dirigea vers une porte, et tenta de l’ouvrir. Verrouillée. Tant pis, ça serait l’autre. Elle sourit, encore une fois désolée de lui faire perdre son temps et ouvrit la seconde porte pour regagner l’étage, à peine consciente qu’il la suivait.

Elle était entrée dans sa chambre en soupirant. Après avoir erré forcément un peu dans les couloirs, mais bon. Elle n’était pas non plus totalement bête et le trajet lui était à peu près revenu. Disons qu’elle espérait plutôt passer une agréable nuit maintenant et peut-être qu’elle reverrait son bienfaiteur ? Elle le souhaitait plus que tout autre chose, cet homme était tellement serviable.
Et aussi, beau.
Oui bon, beau aussi mais ça ne faisait pas tout, enfin chez lui c’était quand même un agréable plus. Elle plissa les yeux, réfléchissant à ce détails avant de rougir, vaincue. Oui, il était assez attirant, et elle ne se privait plus de le dire à présent.

Elle fredonna un peu alors qu’elle défaisait les draps pour s’y glisser. Cependant, elle se souvint qu’elle n’avait pas plié ses affaires. Elle le fit donc et finit même par retirer sa petite culotte, elle détestait dormir avec des sous-vêtements, c’était d’un désagréable.  Elle abaissa une bretelle de la petite tenue pour observer son épaule, par pur réflexe et la remit en place. Elle s’en retourna alors vers la porte dans le but de la verrouiller, c’était sans compter Dorian. D’ailleurs, elle n l’avait pas vu passer dans le couloir. Elle le chercha du regard un instant, observa la porte un peu plus loin, guetta un soin. Il ne pouvait pas s’être déjà endormi si?



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